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Lettre envoyée le 07/03/2016


style="Lundi 7 mars 2016                      La Lettre N°263

 

style="Big is Beautiful ! Ne boudons pas notre plaisir, Le plus gros paquebot du monde, Harmony of the Seas, devrait sortir d'ici quelques semaines des chaines de montage des Chantiers de Saint-Nazaire. Immense fierté pour les 3000 salariés qui rendirent possible cette merveille de technologie et de gigantisme : 362 mètres de long, seize ponts passagers culminant à 72 mètres de hauteur, 227000 tonneaux de jauge brute, soit 71000 de plus que le...Queen Mary 2 ! Gigantisme ne veut pas pour autant dire gabegie puisque la performance énergique sera améliorée de 20%, grâce entre autres, à plusieurs systèmes de récupération d'énergie. Basé à Barcelone, l'immense paquebot pourra embarquer 5479 passagers et 2394 membres d'équipage pour des croisières en Méditerranée et aux Antilles. C'est le 12 mai prochain que le navire devrait être remis à l'armateur, le groupe américain Royal Carribean Cruise Line. Bon vent !

style="Faire bon poids bonne mesure n'est pas toujours aisé à bord d'un avion. Airbus pourrait dorénavant aider les compagnies aériennes avec un siège réglable pour les passagers en surpoids. Il s'agit d'un siège reconfigurable qui pourrait aussi bien être attribué à deux personnes obèses, trois voyageurs standard ou encore à une même famille de deux adultes et deux enfants. Un brevet a donc été déposé dans ce sens par le constructeur d'avions, aux Etats-Unis, mais Airbus n'est cependant pas le premier à se pencher sur le problème des personnes en surpoids, de plus en plus nombreuses, notamment outre-atlantique. Un marché qui vaut son pesant d'or....

style="Croisière sur le Queen Mary 2. A l'occasion du 500 ème anniversaire de la ville du Havre, Cunard propose une transatlantique sans escale à destination de New York, sur le paquebot Queen Mary 2. Le départ n'est pas prévu avant le 15 septembre 2017 mais les inscriptions pour cette croisière débuteront au début du mois d'avril 2016. Cette croisière « sans escale » est une première, et risque d'attirer beaucoup de monde. Le voyage reste mythique et durera sept nuits. Pour une cabine inférieure, il vous en coutera 2700 € au moins, et 3240 € minimum pour celle avec balcon. Des animations en français seront bien sûr organisées à bord, pour les 500 heureux bénéficiaires de cette traversée. Qu'on se le dise !

style="L'Indonésie ouvre son office du tourisme en France, plus exactement au cœur de Paris, à côté du Panthéon, au 22, rue Laplace, dans le 5è arrondissement. L'objectif du bureau est de mieux faire connaître l'Indonésie auprès du public français, de fournir des informations aux Français qui envisagent de partir sur place, et d'apporter une assistance concrète auprès des professionnels du tourisme de notre pays. Ouvert du lundi au vendredi, de 9h30 à 17h30, le bureau peut aussi être joint par téléphone au 09 72 54 93 82 ou par internet : https://www.indonesie-tourisme.fr/

style="Quatre plages françaises dans le classement mondial, c'est ce qu'on vient d'apprendre du quotidien britannique The Guardian, qui a récemment publié son palmarès des plus belles plages ...du monde ! La France compte quatre de ces plages, parmi les vingt premières : c'est d'abord la Dune du Pilat qui a charmé les auteurs du classement. Classée deuxième, cette plage est qualifiée d'éblouissante et n'a finalement qu'une seule rivale sur la planète, la plage de la Source d'argent, aux Seychelles. La deuxième plage française est Bora-Bora (Polynésie française), et classée 12 ème. A la 14 ème place, on trouve la presqu'île de Crozon, avec son sable blanc et ses grottes. Enfin, La plage de Pinarello (Corse) et ses superbes pins clôture ce classement du journal britannique.

style="Le tourisme français souffre aussi. La compétition est en effet de plus en plus rude dans le monde pour attirer les visiteurs prêts à dépenser leurs devises. En France, ce secteur est responsable de plus d'un million d'emplois salariés directs mais notre pays s'est un peu endormi ces derniers temps. Nous sommes désormais distancés par les Etats-Unis, l'Espagne ou la Chine, en termes de recettes touristiques, et nous perdons chaque jour des parts de marché face à des voisins européens plus dynamiques. Selon l'association 46.2, qui regroupe une vingtaine d'entreprises liées au tourisme (hôteliers, parcs de loisirs, commerçants, transporteurs...), lorsque la France accueillait 100 touristes en 2000, elle n'en reçoit que 110 aujourd'hui, contre 140 pour l'Espagne, et 172 pour l'Allemagne. Secteur considéré sans doute pendant longtemps comme n'étant pas très noble, le tourisme n'a pas bénéficié de vision à long terme jusqu'à récemment, où le gouvernement s'est donné pour objectif d'accueillir cent millions de touristes en 2020, mais encore faudrait-il que nos ambassades à travers le monde promeuvent l'image de marque de notre pays à l'étranger. Ainsi, le Mexique apparait-il comme un marché porteur avec ses vingt millions de touristes potentiels. Côté formalités, les choses doivent aussi être les moins compliquées possible. En 2014, la délivrance de visas a ainsi été simplifiée pour les Chinois en leur permettant de décrocher le précieux sésame en 48 heures seulement. Et même en 24 heures pour les groupes. D'où une hausse de demandes de 40% sur les dix premiers mois qui suivirent l'instauration de cette mesure. Enfin, il est nécessaire d'effectuer des études de marchés sérieuses et adaptées aux pays concernés : les Japonais adorent par exemple l'Alsace mais les Sud-coréens,eux, se passionnent pour la Provence. Il faut en tenir compte et vendre le bon produit aux bonnes personnes. N'oublions pas non plus l'importance de l'accueil et de la sécurité.

style="Tablettes et ordinateurs seront interdits en soute à partir du 1er avril prochain. Les passagers devront les garder avec eux, en cabine, car l'OACI a interdit le transport des batteries lithium-ion contenues entre autres dans les appareils électroniques portatifs. Cette interdiction était réclamée par plusieurs compagnies aériennes et des associations de pilotes pour des raisons de sécurité car il existe effectivement un risque d'explosion accru avec ce type de batteries. Ainsi, en 2013, deux cas graves de surchauffe de telles batteries à bord d'un Boeing 787 DreamLiner avaient alerté les autorités. Dite provisoire, cette mesure devrait prendre fin le jour où de nouvelles normes de sécurité pour le conditionnement de ces batteries seront en place.

style="Fermeture programmée du Musée des Tissus de Lyon, suite à la décision de la municipalité de financer avec le budget de ce musée, le festival Confluences, plus dans l'air du temps (si vous voyez ce que je veux dire!). La fermeture de ce musée serait une catastrophe pour notre patrimoine, puisqu'il retrace 2000 ans d'histoire occidentale et orientale du textile, en présentant pièces de tissus, tapis, tapisseries et costumes. Ses collections, ainsi que ses expositions temporaires mettent en valeur le savoir-faire textile de la ville de Lyon. Il est donc impensable que nos élites, qu'il s'agisse de la ville de Lyon ou du Ministère de la Culture et de la Communication, peu soucieuses du patrimoine national, décident d'un trait de plume de fermer un tel lieu culturel. Une pétition rassemble déjà presque 100000 signatures (dont la mienne) de personnes qui veulent le maintien de ce musée. En voici le lien : https://www.change.org/p/non-%C3%A0-la-fermeture-du-mus%C3%A9e-des-tissus-de-lyon

 

style="Toujours sur la route du Tokaido, je me promène à la découverte des villes-étapes qui la constituaient jadis, jour après jour. Vous aussi, découvrez-les quotidiennement sur le site ! A bientôt !

 

style="Yves

 

style="Classement des dix premiers pays qui ont visité ce site cette semaine: 1) France 2) Japon 3) Canada 4) Belgique 5) Suisse 6) Espagne 7) Ile de la Réunion 8) Etats-Unis 9) Algérie 10) Mexique




Tokaïdo, la Route de la Mer de l'Est - Ishiyakushi et Shono (Préfecture de Mie, Japon)


Je me réveille avec un magnifique ciel bleu, un soleil éclatant et un air printanier. Ma promenade du jour va me conduire à Ishiyakushi puis à Shono, anciennes étapes de la route du Tokaido. J'ai prévu de m'y rendre en train et il me faut regagner la gare JR un peu distante de mon hôtel. L'employé de la gare me demande d'acheter un ticket car ma carte de paiement (rechargeable) japonaise ne fonctionnera pas. Ici, c'est la campagne, et lors de mon voyage retour, je devrai même prendre mon billet auprès du contrôleur du train. L'hôtel m'avait gentiment tiré un plan et je suis parti sans trop savoir où j'allais (...)


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