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Lettre envoyée le 17/08/2020


 

Lundi 17 août 2020                                                                                 La Lettre N°495

 

Trouville sur Mer ...à tout prix (comme à Paris)! Je suis parti la semaine dernière en Normandie, en compagnie de Soraya, pour tenter de trouver un peu de fraicheur. Nous primes le train Nomad (TER normand) en gare Saint-Lazare (Paris) pour effectuer les deux heures de trajet jusqu'à notre destination finale en Calvados. Notre train Nomad était propre ( y compris les toilettes!) malgré l'absence de poubelles individuelles, mais quel manque d'espace vital : un maximum de sièges, un minimum d'espace pour ranger ses effets personnels et des porte-bagages ridiculement petits au-dessus des sièges, à croire que les concepteurs de ces cabines n'empruntent jamais le train. Nous effectuâmes (contre un modeste supplément) le trajet retour en première classe, et disposâmes de bien plus d'espace (avec rangement de nos effets personnels près du fauteuil). L'accès internet fut parfait, il faut le rappeler, ce qui ne fut pas le cas du contrôleur de la rame sur notre voyage aller qui ne montra jamais le bout de son nez. L'absence du chef de train livre ainsi les usagers à eux-mêmes en cas d'attaque terroriste (« incivilité macroniste ») ou d'accident ferroviaire. Décidément, on est loin de la qualité sécuritaire du transport aérien...Je reconnais la gare de Deauville, laquelle bruisse d'activité en ce début de matinée. Deauville et Trouville sont deux stations balnéaires à l'ambiance très différente : Le style « léché » de la première, ses planches qui ont mal vieilli et son manque de charme architectural tranche avec la seconde et sa clientèle familiale, ses belles villas normandes, son casino qui rivalise haut la main (excepté pour la qualité des mets de son restaurant) avec celui de sa voisine Deauville. Cette dernière a ainsi remplacé ses palaces de jadis par la populace, les paillettes par les poussettes et la famille royale émiratie d'antan par le tout-venant. Seuls les prix n'ont pas baissé : au Bar du Soleil (sur la plage, le long des planches), main basse sur l'oseille, avec une carte de prix confuse : Perrier 33cl affiché à 5€ (dans la colonne 1 litre). Comprenne qui pourra ! Covid oblige, les deux villes imposent le port du masque mais personne n'annonce dans quelles rues (excepté sur le lieu même) et il me faudra appeler les mairies concernées. En ce qui nous concerne, nous séjournerons à Trouville, sur l'autre rive de La Touque, dans une atmosphère plus familiale. Notre hôtel deux étoiles (Hôtel Reinita) est propre même si la femme de ménage oubliera (momentanément) de faire notre chambre le premier jour. L'accès internet promis, lui ne fonctionnera que partiellement mais l'amabilité du personnel compensera largement ces imperfections. Pour se déplacer en ville, il faut savoir que le port du masque s'impose dans les zones suivantes et en l'état actuel des choses : la rue des bains, le marché aux poissons et les marchés alimentaires de plein air. Ne parlons pas du concert non-stop gratuit offert par les dizaines de goélands quelque soit le moment de la journée (boules Quies très fortement conseillées), qui interprètent en boucle le succès d'Edith Piaf, « La Goélante du Pauvre Jean ». Cela dit, je préfère cela au bruit des mobylettes avec pot d'échappement trafiqué dont nous gratifient parfois certains énergumènes venus des « quartiers ». Soraya et moi visiterons la Villa Montebello, désormais musée de la ville, où les règles varient selon les visiteurs (on m'obligera à porter mon sac à dos sur le torse de peur que j'abime les oeuvres, tandis que deux autres touristes le garderont dans le dos. Que n'ont-ils pas pensé à installer des consignes à l'entrée ?). Mais le plus pathétique sera sans doute ce bar où il nous sera impossible de consulter la carte, pour la simple raison...qu'il n'y en a pas ! Si si, et moi, en pareil cas je me ...barre du bar. On verra le pire comme le meilleur sur ce boulevard Fernand Moureaux où la vigilance s'impose : la boulangerie Dupont avec un thé (au 134, boulevard Fernand Moureaux) n'affiche pas le prix de ses viennoiseries (d'une qualité d'ailleurs moyenne) sur son menu (une carte en forme de set de table, récupéré après usage et donc tâché) pour mieux en doubler le prix sur l'addition. Vous me connaissez, après avoir contrôlé l'affichage des prix des pains au chocolat (1,25€), croissants (prix inexistant en devanture) et pains aux raisins (inexistant aussi, mais on nous l'annoncera à 2,30€!) en vitrine, l'addition sera salée : un double café (4,20€) + un double crème (4,60€) + 2 croissants (2,40€ chaque ) + un pain au chocolat (2,50€) + un pain aux raisins (4,60€!) = 20,70€. Soraya s'étant rendue à Cabourg, a découvert une boulangerie de la même enseigne avec la même incohérence dans le menu, à savoir l'absence du prix des viennoiseries consommées sur place. Après avoir conversé avec d'autres commerçants, l'enseigne serait coutumière du fait. Coutumière ou pas, le citoyen veilleur que je suis a immédiatement alerté le cabinet du maire sur ces pratiques et la DGCCRF. Retenons seulement deux enseignes : la pâtisserie Charlotte Corday (au numéro 172), de loin la meilleure adresse de la ville pour ses incomparables viennoiseries (à prix doux en sans surprise!) et ses délicieux gâteaux fait maison. Les amateurs de coupes glacées et de salades gourmandes se rendront à L'Atelier de Luc (72, rue des Bains). Dans es deux enseignes, convivialité et gentillesse sont au rendez-vous. Nous découvrons jour après jour les deux extrêmes pratiquées concernant les prix à Trouville :d'un côté, la restauration locale, qui pratique souvent les tarifs parisiens (compter 14 à 19€ pour une salade! Et 10€ pour un petit déjeuner...dans certains endroits) et des chaussures pour femme affichées à ...400 € tandis que de l'autre, il est possible de visiter la Villa Montebello et la galerie Savignac (Office de tourisme) pour 3€, et qu'un trajet aller-retour en bus Trouville-Honfleur ne coute que...3,70€. A ce tarif-là, nul besoin de louer une voiture...Petits budgets s'abstenir, même si Trouville reste une destination idéale pour un week-end ou des vacances en famille. L'accueil des Trouvillais vous fera bien vite oublier ces petites contrariétés.

 

LE CLIN D'OEIL DE VALERIE !

Pourquoi aller chercher ailleurs ce qu'on a chez soi ? « Allez viens boire un p'tit coup à la maison » pourrait être le leitmotiv de ces vacances estivales contraintes, avec ou sans accordéon. Outre le fait de vivre dans le plus beau pays du monde, les Gaulois que nous sommes ont de qui tenir. Nous avons le sens de la fête, l'esprit de tolérance et ...le cochon ! (dans lequel tout est bon!). Et la Nature de nous avoir donné des vignobles (tant convoités par les étrangers!) qui nous fournissent de quoi nous hydrater en ces fortes chaleurs (« ...y'a du blanc, y'a du rouge, du saucisson »). Fais comme ton médecin, bois du vin (avec toutefois modération). A la tienne, Etienne !

 

Si vous passez par Trouville (14) : Pensez à la navette! Du 8 au 23 août, la navette, gratuite, fonctionne tous les jours, de 8h30 à 22h30 et marque deux arrêts : le 1er sur le rond-point Fernand Moureaux (à l’arrêt de bus) et le 2nd sur le parking d’Hennequeville (face au collège-Lycée Marie-Joseph). Un arrêt temporaire a également été mis en place pour les résidents d'Hennequeville, en face du chalet des boulistes, chemin de la Mare aux Guerriers. Merci de faire signe au conducteur au passage de la navette. Un parking de délestage gratuit accueille les véhicules à Hennequeville, devant le Lycée Marie-Joseph. Le port du masque est bien sûr obligatoire dans le véhicule. Information et renseignements : 02 31 14 41 41 ou contact@mairie-trouville-sur-mer.fr 

Cerise sur le gâteau, en partenariat avec des commerçants, restaurants et prestataires de loisirs de Trouville-sur-Mer, l’Office de Tourisme a lancé un carnet à coupons avec 39 offres privilèges valables jusqu’au 30 décembre 2020. Venez chercher votre carnet à l’Office de Tourisme et au chalet de la plage pour profiter de réductions, remises, cadeaux de bienvenue, entrées offertes… ! https://www.trouvillesurmer.org

 

Explor Games, les jeux de piste numériques en extérieur à découvrir en famille . S'il vous vient l'envie de changer des « escape games » en huis clos ou des courses d’orientation un peu trop sportives ? Explor Games, à la croisée des chemins, sont des jeux de piste numériques conviviaux, qui se déroulent en extérieur et sont guidés par un compagnon de visite sur tablette ou smartphone, pour le plaisir des plus jeunes et la curiosité des plus âgés. Explor Games, c’est plus de cinquante aventures sur l’ensemble du territoire français. Les jeux de piste scénarisés Explor Games sont de véritables escape games en extérieur, guidés par une application sur tablette ou smartphone. Les visiteurs découvrent un lieu autrement, utilisent leurs cinq sens pour résoudre les défis et les énigmes tendus sur leur chemin. Les visiteurs se connectent sur le site explorgames.com, puis choisissent l’aventure qui leur convient : en un clic, ils seront dirigés sur le site des partenaires qui proposent des Explor Games, où ils pourront réserver leur session de jeu. Cet été, d’un site touristique à l’autre, les visiteurs évolueront dans des univers différents : ils retourneront « À l’Origine du Futur » dans le Parc Bol d’Air Aventure, deviendront « Les Explorateurs des Mondes Interdits » aux Ecopark Aventures, partiront « À la recherche des Machines Fantastiques » avec Jules Verne dans le parc Acrocime, élucideront le mystère de « La Bête du Gévaudan » à Mende - Communauté de communes Cœur de Lozère, collaboreront avec « Les Druides de Cellardhor » dans des contrées fantastiques et combattront le « Serviteur des Ténèbres », etc. Site internet : https://explorgames.com/



 

Major de police et syndicaliste en retraite, Jean-Louis Arajol publie Police en péril : la grande maison brûle (Cherche Midi). De son vibrant verbe méditerranéen, ce grand flic dresse un état des lieux – à l’évidence – apocalyptique de la police nationale, dont la refondation passera, selon lui, par une poigne résolue du nouveau ministre de l'Intérieur. L'année 1996 signe un triste record pour la Police nationale, avec une vague de suicides sans précédent. Depuis, loin de s'être rétablie, la profession semble au contraire au bord de l'implosion. Comment en sommes-nous arrivés là ? Manque de moyens, politique du chiffre et exigence de rendement, échec des politiques publiques, discrédit populaire, mais aussi, et plus généralement, intensification des violences au sein de notre société... : les causes du malaise sont multiples. À travers des analyses nourries, des témoignages ainsi que des pistes de réflexion concrètes pour inverser la tendance, ce livre se fait le porte-voix des femmes et hommes qui œuvrent au quotidien pour notre sécurité, mais qui aujourd'hui peinent à faire entendre leur souffrance.

 

L'exposition « Les gendarmes crèvent l'écran- De Cruchot à Marleau », qui se déroule jusqu'au 28 février 2021 au Musée de la Gendarmerie de Melun (77) offre un subtil équilibre entre fiction et réalité. Du figurant au héros, il n’y a qu’un pas, mais quelques décennies quand même et surtout à l’écran. Qu’il s’agisse de cinéma ou de télévision, les rôles de gendarmes ont évolué depuis la silhouette d’arrière plan jusqu’au héros en tête d’affiche. L’exposition vous propose de découvrir comment le personnage du gendarme a pris des galons au fil du temps, comment la fiction révèle ses parts d’ombre et de lumière mais aussi comment elle aborde les différentes missions de la gendarmerie ou encore sa féminisation. Un parallèle peut être fait entre la fiction et la réalité, tout en ayant à l’esprit le « mentir-vrai » de la première.Une chose est sûre, depuis les prémices de la fiction audiovisuelle à la Belle époque, en passant par Cruchot dans les années 1970 et jusqu’à Marleau, aujourd’hui « les gendarmes crèvent l’écran ». https://lesgendarmescreventlecran.com/

 

Sans surprise, le transport aérien est le secteur « le plus touché » par cette crise liée au coronavirus, d’après l’étude menée par la Compagnie française d’assurance pour le commerce extérieur (Coface). Le chiffre d’affaires mondial des transporteurs aériens devrait baisser entre 51 et 57% en 2020, en fonction des scénarios. Au global, en cas de deuxième vague de Covid-19, le chiffre d’affaires des sociétés du secteur des transports dans le monde chuterait au dernier trimestre 2021 de 27% par rapport à la même période en 2019. Sans deuxième vague, Coface prévoit que cette baisse sera de 5% seulement. De son côté, l’Association internationale du transport aérien (Iata) estime les pertes du secteur seront de 84 milliards de dollars en 2020 et de 15,8 milliards en 2021. La chute du trafic aérien passagers, victime de la fermeture des frontières, a contribué à celle de l'activité cargo, le fret étant, pour une large part, transporté dans les soutes des avions transportant des passagers. En avril, le volume de fret transporté par voie aérienne a ainsi baissé de 27,7% quand la capacité offerte a sombré de 42%, rappelle la Coface. Le trafic aérien commercial a par exemple atteint au mois de juin 6,8% du niveau d’il y a un an dans les aéroports parisiens. Le trafic de Paris Aéroport est donc en baisse de 93,2% par rapport au mois de juin 2019 avec 677 899 passagers accueillis, indique le gestionnaire dans un communiqué. Néanmoins, les chiffres remontent. Les aéroports d’Orly, rouvert à la fin du mois de mai, et de Roissy-Charles-de-Gaulle, ont enregistré depuis trois fois plus de passagers qu’en mai. Ils n'étaient que 204 402 passagers en mai. Les vols domestiques sont en baisse de 84,4% sur juin et les vols intra-européens de 95%. Les pays de l'espace Schengen ont levé les restrictions de circulation entre États membres depuis le 15 juin. Le trafic international (hors Europe) a lui aussi été fortement affecté en juin, avec une chute de 94,5% par rapport à l'an passé. Le trafic avec les territoires outre-mer, où des liaisons sont maintenues au nom de la continuité territoriale, a été en baisse de 80,8%. Depuis le début de l'année, le trafic du Groupe ADP est en baisse de 57,5 % avec un total de 48,2 millions de passagers accueillis. Le trafic total du Groupe ADP est en baisse de 87,9 % par rapport à juin 2019, avec 2,8 millions de passagers accueillis dans l'ensemble du réseau de plus d'une vingtaine d'aéroports gérés par le groupe dans le monde. En France, Groupe ADP a décidé d'engager des négociations avec les syndicats pour s'adapter à une activité réduite dans les prochaines années en raison de la crise due au coronavirus, avec pour objectif d'éviter tout départ contraint. De nombreuses compagnies aériennes ont d’ailleurs aussi décidé de licencier pour traverser l’une des crises les plus importantes jamais connues par le secteur. Récemment, la compagnie aérienne American Airlines a annoncé qu'elle pourrait congédier jusqu'à 25 000 salariés en octobre, gonflant ainsi la vague de licenciements qui devrait submerger à l'automne un secteur durement touché par la chute du transport aérien depuis le début de la pandémie. L'entreprise pensait initialement que le trafic se serait redresserait à cette date, en vain, écrivent le PDG de l'entreprise Doug Parker et le responsable des opérations Robert Isom dans une lettre adressée aux employés et consultée par l'AFP. Pour rappel, l'ensemble des compagnies aériennes américaines ont bénéficié d'une enveloppe de 25 milliards de dollars versés par le gouvernement pour les aider à faire face au plongeon brutal des achats de billets d'avion depuis le début de la propagation du Covid-19. Elles s'étaient engagées en échange à ne pas supprimer d'emplois jusqu'au 30 septembre prochain. Mais de nombreuses autorités imposent encore des restrictions, et les passagers sont toujours réticents à se serrer dans un espace confiné. Les programmes de départs volontaires proposés par toutes les grandes compagnies aériennes ne suffisent pas. United Airlines a prévenu la semaine dernière qu'elle pourrait licencier jusqu'à 36.000 salariés. Et le patron de Southwest Airlines a averti lundi ses salariés qu'il faudrait tripler le nombre de ses passagers d'ici la fin de l'année pour éviter des licenciements. En France, la compagnie nationale prévoit également plusieurs milliers de suppressions de postes. Votre serviteur en profite pour tirer sa révérence fin octobre. Une page se tourne...

 

VELO & FROMAGES, la France sur un plateau..., dernier guide du Petit Futé ! Quoi de mieux que le vélo et le fromage pour représenter toute la diversité des patrimoines et des savoir-faire de la France des départements ? C’est autour de ces deux tendances positives et fédératrices que l’Assemblée des départements de France (ADF), en partenariat avec le Centre National Interprofessionnel de l’Economie Laitière (Cniel) et ADN Tourisme et Vélo & Territoires, ont lancé en avril 2019 le projet "Vélo & Fromages, la France sur un plateau". Derrière ce concept se cachent des parcours thématiques à vélo autour du patrimoine fromager des départements. A travers un réseau structuré de plus de 17 500 kilomètres de véloroutes et voies vertes, aménagées en partie par les départements, précurseurs dans le domaine, la France à vélo ne perd pas les pédales et fait office de référence. A destination d’un public novice ou chevronné, ces itinéraires sont d’autant plus accessibles depuis le lancement du vélo à assistance électrique. Le vélo garantit un rythme idéal pour prendre le temps de découvrir, rencontrer et partager. Héritage de la tradition et du savoir-faire local, le fromage est un symbole du patrimoine français et de nos départements. Souvent associé à un moment de convivialité et de plaisir, il n’en fallait pas moins pour le marier à la bicyclette : rien de tel qu’une découverte des saveurs fromagères des terroirs pour ponctuer une balade à vélo, et après l’effort le réconfort ! A travers le projet "Vélo & Fromages", des visites de fermes, de caves d’affinage, des rencontres avec des crémiers-fromagers, etc... sont proposées le long d’itinéraires cyclables existants pour faire découvrir le savoir-faire d’artisans passionnés et la diversité du patrimoine culinaire local. 45 Départements s’engagent aujourd’hui dans le concept "Vélo & Fromages". Des balades les plus sportives aux plus familiales, 87 itinéraires ont ainsi été imaginés. Des idées d’escapades roulantes et gourmandes... sur un plateau à découvrir à travers ce nouveau guide Petit Futé disponible dans un premier temps, gratuitement, en version digitale ou courant août, en version papier auprès de tous les partenaires du réseau "Vélo & Fromages" mais également en librairies, grandes surfaces, etc. et sur internet. Ci-après, la liste des 45 départements actuellement labellisés «Vélo & Fromages» : Allier, Hautes-Alpes, Alpes-Maritimes, Ardèche, Ariège, Aude, Aveyron, Bouches-du-Rhône, Calvados, Cantal, Charente-Maritime, Cher, Corrèze, Côte-d’Or, Creuse, Doubs, Drôme, Indre, Isère, Jura, Loir-et-Cher, Haute-Loire, Loire-Atlantique, Loiret, Haute-Marne, Mayenne, Moselle, Nièvre, Nord, Orne, Puy-de-Dôme, Pyrénées-Atlantiques, Hautes-Pyrénées, Bas-Rhin, Haut-Rhin, Rhône, Haute-Saône, Saône-et-Loire, Savoie, Haute-Savoie, Seine-Maritime, Seine-et-Marne, Deux-Sèvres, Tarn et Yonne.
"Vélo & Fromages" c’est plus de 1050 sites fromagers, 72000 m de dénivelé positif cumulé, 6760 km de route à sillonner (un véritable Tour de France) et, pour rappel, 45 départements labellisés et 87 itinéraires. Version papier disponible pour 5,95 € - version numérique : 3,99 € Disponible sur : https://boutique.petitfute.com


 

Pour fêter dignement ses dix ans, Terra Botanica, le Parc du végétal à Angers offre deux grandes nouveautés : A l’occasion de cet anniversaire, le parc angevin présente sa rose, Terra Botanica, en plus des deux autres grandes nouveautés 2020 : L’Oasis, la plus grande structure en bambous d’Europe et Le jardin sans eau. L’Oasis » : Il s’agit de la plus grande structure en bambous d’Europe, d’une hauteur de 8 mètres, pour une superficie de 600 m2. Elle a nécessité sept tonnes de bambous en provenance du sud de la France principalement. Réalisé à partir du tissage de plus de 1300 cannes de bambous, ce lieu entièrement végétal est un espace de rencontres, de jeux et d’échanges. Là encore, Terra Botanica veut à travers cette structure de bambous unique en Europe, montrer l’utilisation de nouveaux matériaux plus écologiques. L'Oasis en chiffres, c'est une œuvre de huit mètres de haut, et d'une superficie de 600 m2. 20 km de longueur de bambous utilisés pour sa conception, 4400 jonctions et 1300 cannes de bambou pour aboutir à une œuvre de...sept tonnes, qui nécessita 16 ouvriers et 3600 heures d'installation.

Quant au jardin sans eau, il est l’occasion pour les visiteurs de découvrir un jardin ne requérant aucun arrosage. Les plantations sont autonomes en eau dès la deuxième année grâce au système racinaire des plantes qui puiseront l’eau en profondeur, dans un terrain spécialement aménagé pour cette technique future. On y retrouve, à travers une déambulation, des plantes méditerranéennes (oliviers, lavandes...) mais aussi des plantes venues du monde entier spécialement sélectionnées et cultivées pour leur résistance à la sécheresse. Au-delà de cette nouvelle mise en scène végétale, c’est la préservation de la ressource qui sera mise en avant par les jardiniers de Terra Botanica. (https://www.terrabotanica.fr)

Boire un petit coup, c'est agréable... sachez que la filière cidricole de Bretagne compte de nombreux producteurs qui accueillent volontiers et gratuitement les touristes. Une dégustation de cidre et de jus de pomme est souvent proposée en fin de visite d'une ferme ou d'un atelier de fabrication. Vous trouverez d'ailleurs souvent les produits en vente directe sur place. Si vous ne savez pas comment occuper votre temps, profitez-en pour déambuler dans les vergers (la Bretagne en possède 2500 hectares!) et comparer les différentes variétés d'arbres fruitiers tout en découvrant comment les producteurs entretiennent les campagnes dans le respect de la biodiversité de leurs exploitation. https://www.maisoncidricoledebretagne.bzh

Balade en terre d'Auray (56) : il faut quatre heures pour parcourir ce circuit de difficulté moyenne d'une longueur de 18,5 km. A Saint-Goustan, la petite rivière d'Auray met en valeur le petit port, tandis qu'à l'Est, la rivière du Sal sert de refuge aux oiseaux marins. La promenade vous emmène cette fois entre terre et eau, dans l'anse du Téno et ses milieux naturels. Point de départ : le quartier du port, à partir duquel on suit le chemin côtier entre champs et bosquets, jusqu'à atteindre le pont suspendu du Bono, un pont français d'autant plus rare qu'il est réservé aux piétons et que, construit en 1840, il figure désormais à l'inventaire des monuments historiques. En longeant la rivière, des épaves de bateaux en bois donnent à l'anse de Govillo des allures de cimetière marin. On atteint bientôt les berges de Pluneret, dont les quais et les cabanons rappellent le passé ostréicole local, berceau de l'huitre plate du Golfe du Morbihan au 19e siècle. Ne manquez pas au passage le jubé Renaissance en bois de chêne polychrome dont l'étonnante chapelle Sainte-Avoye. Au retour, le sentier longe l'anse du Téno et sa lande humide littorale avec ses ajoncs, ses bruyères et ses molinies.

DIRBY, votre compagnon de voyage! L’expérience du passage à l’aéroport, même avant la crise sanitaire, a toujours été une source de stress pour de nombreux voyageurs. Désormais, aux démarches à suivre avant le vol se rajoute la peur de la contamination. Dans ce contexte, une véritable stratégie a été déployée par les aéroports pour rassurer les clients en leur proposant une prise en charge rapide. En effet, l’une des mesures anti-Covid consiste à réduire le temps de présence des voyageurs dans les aéroports. Une mesure qui va de pair avec le souhait de 80% de voyageurs (Etude IATA effectuée auprès de 10877 passagers de 166 pays) qui ne veulent pas attendre plus de trois minutes pour déposer et récupérer leurs bagages.Le temps de la prise en charge d’un incident de bagage (vol, perte, retard, dommage) est aussi une source de mécontentement mais ce sont surtout les démarches administratives complexes que les voyageurs dénoncent. Les aéroports français et récemment celui de Bruxelles ont trouvé en Dirby la solution à ces problèmes. L’entreprise propose une assistance pour toutes les démarches liées aux bagages, assure un suivi de bagage et met tout en œuvre pour supprimer les attentes. En effet, les agences 100 % digitales de Dirby, implantées dans les aérogares, sont équipées de bornes que les passagers peuvent utiliser en libre-service pour tous les services d’assistance : perte, vol, dommage bagage…Les démarches sont rapides et surtout efficaces : plus de files d’attente interminables avec les bagages perdus d'autres voyageurs pour décor. Déployé dans plusieurs aéroports en France et à l’étranger, Dirby travaille avec plus de 50 compagnies aériennes. Ce véritable assistant de voyage propose aussi les services de « confort » qui consistent à récupérer les bagages à domicile afin de les livrer à l’aéroport ou à l’hôtel. Il assure également la gestion des oublis à bord. https://www.dirby.fr/commandez-une-livraison/


 

Embarquez à Cheverny (41) pour une croisière sonore et visuelle (360°) qui offre la (re)découverte des AOC Cheverny et AOC Cour Cheverny avec audace et onirisme. La grande nouveauté 2020 est de permettre au visiteur de la Maison de Cheverny, d'effectuer un authentique plongeon dans le terroir des vins de Cheverny et Cour Cheverny grâce à une expérience sonore, visuelle et poétique. Créée il y a douze ans par l'ensemble des vignerons des deux appellations, la maison des vins offre un parcours initiatique qui invite au voyage, tout d'abord gustatif, avec un espace de dégustation higt-tech,pédagogique avec l'espace informatif et maintenant immersif, une réelle balade des sens.Dès l'entrée dans la salle, les visiteurs découvrent uns structure originale suspendue de cinq mètres de diamètre et deux mètres de hauteur au centre de la pièce, dissimulant une installation artistique qui projette dans un voyage à 360° au cœur du vignoble des vins de Cheverny et Cour Cheverny. Le récit immersif embarque le visiteur dans une flânerie créative qui intègre autant de repères que les vins de Cheverny et Cour Cheverny en détiennent. Des valeurs humaines, naturelles, patrimoniales, historiques, gastronomiques, ... Au fil des quatre saisons, le visiteur découvre l'évolution de la vigne et les gestes des hommes et des femmes qui accompagnent cette transformation pour produire le vin. On se laisse surprendre par cette narration numérique et technologique inédite de 5 minutes 17 qui invite de façon artistique et onirique à la découverte des vins de Cheverny. Cette expérience sonore et visuelle immersive à 360° révèle avec poésie le travail artisanal des vignerons au cours des saisons. https://www.maisondesvinsdecheverny.fr/


 

Russie : une fois les restrictions temporaires de voyages levées et la reprise générale des activités consulaires actée, les titulaires de visas russes inutilisés en raison de l'épidémie de Covid-19 pourront réclamer un nouveau sésame sans frais consulaires. https://www.action-visas.com/visa/Russie


 

Lexar, marque mondiale spécialisée dans les solutions de mémoire flash, annonce le lancement de deux nouvelles clés USB 3.1 Type-C dans la famille de produit JumpDrive: la D30c Dual Drive et la D35c Dual Drive. Deux nouvelles solutions pour transférer et partager du contenu entre tous les périphériques mobiles : tablettes, smartphones, pc portable… pour libérer de l’espace de stockage. Avec le foisonnement des contenus actuels, il est devenu courant de manquer d’espace de stockage sur son smartphone, sa tablette, son PC ou son ordinateur portable. C’est pourquoi, les clés USB OTG de Lexarjouent un rôle primordial en assurant un gain d’espace supplémentaire. Elles permettent de décharger ses photos et ses vidéos préférées de ses divers périphériques USB Type-C vers des ordinateurs ou des périphériques dotés de ports USB Type-A. Mais il est également possible de visionner du contenu multimédia sur des périphériques mobiles sans avoir nécessairement besoin de les copier. Cela est d’autant plus pertinent pour la D35c, du fait de sa petite taille qui la rend très peu encombrante. https://www.lexar.com/fr/products/


 

INU INU Guides publie "Vivre le Japon sans quitter Paris", l'indispensable guide pour vivre un été 100% nippon à Paris : Et s'il n'y avait pas besoin de quitter Paris pour s'évader, découvrir une autre culture, et vivre un dépaysement total en s’immergeant dans la culture nippone ? Déguster des bentō, des sushi et du bœuf wagyû, admirer les objets décorés de véritables feuilles d'or de la célèbre Maison Hakuichi, se détendre dans un manga café, partager un verre de saké entre amis en savourant des otsunami (petites tapas), s'immerger dans l’atmosphère chaleureuse d’un ryokan (auberge traditionnelle japonaise), s'initier à la cérémonie du thé, s'offrir un kimono, se promener dans un jardin japonais...Alors que les frontières du Japon sont encore fermées en raison de la pandémie de Covid-19, les Parisiens et les Français qui visitent la capitale peuvent embarquer pour un voyage inoubliable dans le Pays du Soleil Levant sans avoir besoin de quitter la capitale. Leira, un mordu du Japon, partage avec les lecteurs et lectrices plus de 100 adresses, activités et événements japonais à découvrir à Paris pendant l'été et au-delà. Paris, ce n'est pas que la Tour Eiffel et l'Arc de Triomphe ! Paname recèle bien des secrets, des pépites habituellement réservées à quelques happy few qui se partagent les bonnes adresses...INU INU Guides lève donc le voile sur un aspect méconnu de la capitale : ses multiples lieux de vie (boutiques, musées, bars, restaurants, parcs, librairies...) 100% nippons. Ce guide procure un tour d'horizon à 360° de la culture japonaise car l'approche proposée par "Vivre le Japon sans quitter Paris" est totalement inédite. Le guide explique en effet une bonne partie de la culture japonaise à travers des définitions simples et concises, accessibles à tous. En effet, les adresses présentées couvrent quasiment tout l'art de vivre nippon : Nature, Karaoké, Cuisine, Baseball (le sport national officieux au Japon, bien avant le Sumo), Manga, Mode et bien plus encore. Mieux ! L'ouvrage indique où se procurer des produits typiquement japonais. Depuis les épiceries japonaises jusqu'aux boutiques de kimonos, le guide propose un large choix d'adresses de qualité pour se procurer des produits typiquement japonais. Enfin, à la fin du guide, Leira, l'auteur de cet ouvrage, propose une sélection de sites web et de chaînes YouTube pour que les lecteurs et lectrices puissent poursuivre leur apprentissage de la culture japonaise.Cette nouvelle génération de "guides", issus des réseaux sociaux, gagne à être mise en avant car elle est composée de passionnés qui ont à coeur de partager leur amour du Japon. Il y a par exemple Julie, une japonaise qui partage sa culture, Julien et ses cours de japonais gratuits, Louis le métis franco-japonais qui livre des anecdotes captivantes et compare les différences entre les deux pays...Les fans pourront bientôt accéder à un site web mobile et à un "Club privé" qui leur donnera accès à toutes les adresses de manière dématérialisée, des adresses filtrables par arrondissement ou par catégorie de lieu. En attendant sa mise en service il est possible de se pré-inscrire sur https://inuinu.fr/club/ et https://inuinu.fr/


Le cœur de ce département français balance entre deux rivières, la Saône et la Loire. Gagné ! C'est à la découverte de la Saône-et-Loire que je vous invite cette semaine, Sur un air d'entre-deux...Quant à moi, je repars ce soir dans l'hémisphère Sud pour quelques jours, après avoir séjourné à Trouville-sur-Mer la semaine dernière (https://youtu.be/Pr9MHkFjcLU). Bonnes vacances !

 

Yves

Classement des dix premiers pays qui ont visité ce site la semaine dernière : 1) France 2) Canada 3) Etats-Unis 4) Belgique 5) Allemagne 6) Espagne 7) Grèce 8) Portugal 9) Emirats Arabes unis 10) Brésil

 

 

 

 

 




Sur un air d'entre-deux (Saône-et-Loire, France)


L'écrivain Blaise Pascal affirmait « On ne montre pas sa grandeur pour être à une extrémité, mais bien en touchant les deux à la fois, et remplissant tout l'entre-deux » (Pensées). Le département qui nous intéresse cultive à fond cette notion d'entre-deux et se partage entre deux cours d'eau, tout en étant parsemé d'abbayes et de châteaux. Numéroté 71, il offre six régions naturelles : l'Autunois, le Charolais, le bassin minier (dit bassin du Creusot-Montceau-Blanzy), le Chalonnais, le Mâconnais et la Bresse bourguignonne. Carrefours d'hier, d'aujourd'hui et de demain, les vallées de la Saône et de la Loire servaient déjà de lieux d'échanges et de passage dès la Préhistoire.Toujours entre deux eaux, de l'eau d'ici avant l'au-delà. Nous voici en Saône-et-Loire... (...)


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