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Lettre envoyée le 28/09/2020


 

Lundi 28 septembre 2020                                                                                 La Lettre N°501

 

Roman national...contre propagande mondialiste !

Qu'il le veuille ou non, l'être humain a son histoire enfouie au plus profond de lui et il n'y peut rien. Au même titre que nous sommes faits pour vivre en communauté, et non esseulé. Depuis l'homme des cavernes, nous répondons à la notion de groupes, de tribus (ethniques) ou de clans. Et c'est encore vrai aujourd'hui. Alors, pourquoi assiste t-on à un « ensauvagement » de notre pays de la part d'autres cultures ? Probablement parce que offrir à ces gens un confort matériel (allocations, aides sociales...) ne suffit pas et que notre type de société française est plus que jamais en décalage avec ce que nous avons été avant la Première guerre mondiale. Pour beaucoup, la France ne fait plus rêver et on ne la respecte pas. Jadis terre de roman national, notre nation ne ressemble plus à rien du point de vue culturel et l'on nous inculque dès le plus jeune âge la honte de ce que furent nos ancêtres les Gaulois, et de ce que fut le Moyen-Âge. Il suffit de lire le contenu des livres d'histoire pour s'apercevoir que le champ de cet enseignement, autrefois chronologique et tourné sur l'histoire de France, a laissé place à la fois à l'attaque systématique de la notion de patrie dès lors que l'emprise de l'idéologie mondialiste a abouti à la destruction de l'identité (historique) des nations. Or, le monde est diversité, et chaque pays a sa propre histoire, ses propres conquêtes, ses héros et... son roman national. Les détracteurs de la nation rétorqueront que l'histoire de France fut longtemps au service de la morale, de la religion et de la politique. Encore heureux, car, que je sache, on n'a pas trouvé mieux ,comme moyen pédagogique efficace, que les biographies d'hommes illustres pour rendre vivants et concrets les grands principes abstraits de la morale (ensemble de règles de conduite de vie et préceptes de l'existence comme par exemple le respect d'autrui, de la vie, la différence entre le bien et le mal, se comporter en homme charitable...). De même, cette France des élites arrogante, qui se prétend donneuse de leçons au reste du monde a t-elle fait la croix sur ses futures générations en promouvant honteusement l'avortement, en décourageant la notion de famille, véritable socle de construction et d'éducation des enfants. Que ne s'étonne t-on aujourd'hui que certains dirigeants d'autres pays, qui ont su quant à eux, capitaliser sur les valeurs, ne renvoie qui vous savez dans ses buts ?

 

C'est pourtant bien ces valeurs morales sur lesquelles notre classe politique s'est assise depuis des décennies qui manquent aux Français de toutes origines. Dès le plus jeune âge, un enfant a besoin d'être cadré et de connaître les valeurs qui guideront sa conduite (et sa réussite) toute sa vie durant, faute de quoi, et à défaut d'avoir été armé (éduqué) pour la vie, il sera vulnérable et à la merci de personnes peu recommandables qui l'utiliseront dans des trafics divers (drogue, pornographie, cambriolages...) jusqu'à le rendre esclave de bandes ou de gangs minoritaires qui ne représentent qu'eux-mêmes. L'éducation est primordiale et le roman national en fait partie. Que propose la France à ses enfants ? Rien. Qu'est-il fait pour les rendre fier de leur pays de naissance (ou d'adoption?), pas grand chose. Notre Etat a failli depuis trop longtemps dans sa mission régalienne, en ne se contentant de n'offrir à la jeunesse qu'un confort matériel. Quid du spirituel ? Ne nous étonnons pas alors de voir déferler des hordes de jeunes dans nos rues se comportant en barbares (avec cruauté et sauvagerie) envers les populations et les biens. Désoeuvrés et livrés à eux-mêmes, cette jeunesse est une bombe à retardement, faute d'avoir été cadrée dès le plus jeune âge. Sont-ils fiers de la France ? Diantre non. Respectent-ils autrui ? Pas davantage car ils n'ont aucune notion de morale et se comportent en êtres féroces (parfois sanguinaires) sans foi ni loi, n'ayant que pour seule règle l'assouvissement de leurs instincts immédiats (sexuels, meurtriers ou de convoitise) aux dépens d'une société dont ils ne connaissent pas ( ou méprisent) les lois. Et cerise sur le gâteau : l'Etat français renonce même à punir les fauteurs de troubles (ce qui revient à se faire le complice des malfaiteurs!) au nom de la tolérance. Ben voyons ! On dit que la sanction doit être proportionnelle à la menace mais aujourd'hui, notre nation est devenue un terrain de chasse pour tous les trafiquants, mafieux, voleurs et criminels. On braque, on poignarde, on viole, on tabasse une femme qui porte une jupe, on frappe au hasard ou gratuitement et la loi vous empêche de vous défendre vous-même : le simple port d'une bombe lacrymogène, arme de 6è catégorie, sans motif légitime, vous expose à une amende de 15000€ et une peine d 'emprisonnement d'UN an (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F2248). Pendant ce temps, le camp d'en face ne cesse de s'armer pour mieux assassiner demain les Français (de souche) que nous sommes. Quant à l'image que la France renvoie, elle est déplorable. Ce qui me conduit à penser que nous devons faire une croix sur le tourisme tant que la sécurité ne sera pas rétablie. Que penser de ces cars de touristes chinois braqués non loin de l'aéroport de Roissy-CDG ? Quelle image la France envoie t-elle aux autres pays lors des pillages des beaux quartiers parisiens après un match de football ? Quels touristes étrangers auront envie de visiter notre pays en sachant qu'ils risquent leurs vies ? Pour celles et ceux qui auraient encore des doutes, je conseille la lecture du livre de Jean-Christophe Notin, « Français, le monde vous regarde » (Tallandier). L'auteur a réussi à faire parler 32 ambassadeurs à Paris sur la place de notre pays dans le monde. Les confidences recueillies sont parfois cinglantes (et peu flatteuses) et donnent à réfléchir sur l'image que nous renvoyons à l'extérieur, même si Paris demeure une affectation prestigieuse pour ces représentants étrangers.

 

Pour ma part, le premier des droits de l'homme, c'est de se sentir en sécurité et, sur ce point, l'Etat a failli. Pire, il libère des prisonniers, et accueille toujours davantage de ressortissants extérieurs peu (ou pas) disposés à s'intégrer à notre mode de vie. Son manque de sanction face aux comportements barbares le rend complice de non-assistance à personne en danger par manque de courage politique. Le récent témoignage du Docteur Berger spécialiste dans la prise en charge des enfants et des adolescents violents sur SUD Radio (https://www.breizh-info.com/2020/09/25/151107/dr-maurice-berger-sur-la-violence-gratuite-en-france-la-france-na-pas-besoin-de-la-convention-europeenne-des-droits-de-lhomme-cest-une-question-de-courage-politiqu/) est particulièrement éloquent. Ce médecin vient d'ailleurs de publier « Sur la violence gratuite en France » (Editions l'Artilleur) afin d'apporter son analyse sur les adolescents hyper-violents. Le temps de l'angélisme est terminé et il est plus que temps de reprendre les choses en main. Comment ? En promouvant TOUS les Français (de souche ou d'origine étrangère) qui travaillent honnêtement à construire notre nation au quotidien (qui s'intéresse à eux?) et en préférant les droits de l'ombre (prison) plutôt que les droits de l'homme pour les nuisibles , en réinstaurant le service militaire obligatoire pour tous les jeunes (pour apprendre à vivre ensemble), en rouvrant les maisons de correction de jadis « à la dure » pour les jeunes mineurs récalcitrants et les camps de travail (de dix ans à la perpétuité en Sibérie, pour les trublions majeurs (en négociant avec la Russie), en refusant la culpabilisation (ce pays est le nôtre, et nous n'avons de leçon à recevoir de personne), en exigeant du ministère de l'Education nationale la refonte totale des programmes d'histoire (en y intégrant le «roman national français et ses hommes illustres), en demandant systématiquement des comptes à nos élus (en les obligeant à assumer, y compris devant les tribunaux, les conséquences de leurs décisions), en arrêtant la « culture de l'excuse » et en allant VOTER!

 

J'ai récemment eu la chance de me rendre pour la première fois au parc du Puy du Fou (https://youtu.be/_94yaSG0VBU) avec des amies. Voilà un lieu dédié à l'histoire de France qui est ici admirablement mise en valeur à travers des spectacles illustrant différents épisodes de notre histoire (les Vikings, l'invasion de notre pays par les Anglais, les trois mousquetaires, Hervé de Charette et le génocide vendéen...) qu'il est bon de fixer dans notre mémoire. Ce parc, œuvre de toute une vie, connait un succès qui ne se dément pas et parvient même à exporter son concept dans plusieurs pays étrangers, comme quoi, la diffusion du « roman national » répond bien aux attentes des peuples qui ne veulent pas renoncer à leurs racines. Nous avons tous besoin de nous accrocher à quelque chose, surtout en cette période de chaos organisée par la gouvernance mondiale pour étourdir les peuples et mieux les asservir plus tard, avec une « pandémie » annoncée dès...2005 (https://www.publicsenat.fr/article/societe/alexandre-adler-le-terme-corona-apparait-dans-un-rapport-de-la-cia-des-2005-181525), et à l'heure de toutes les accusations dont les Gaulois (chez nous) et les Blancs (plus globalement) font l'objet. Notre civilisation est d'autant plus menacée dans sa survie que la France, jadis puissance royale incontestée et incontestable d'Europe, est depuis devenue le ventre mou du vieux continent, les puissances financières ayant juré de tout faire pour transformer notre vieux pays en une simple entité consumériste sans âme au service de la gouvernance mondiale. Et de rien nous épargner afin d'enterrer notre fameux « roman national », en se servant de l'arme de l'immigration, en passant par la disparition des symboles de la nation (dont la monnaie), la refonte des programmes scolaires, l'attaque systématique des idées « patriotiques ».... Le COVID n'est qu'une manœuvre supplémentaire destinée à tourmenter les populations mondiales en créant l'anxiété et en imposant un confinement destructeur des économies réelles (alors que la sphère financière, elle, est préservée!). Un véritable crime organisé contre les peuples !

 

LE CLIN D'OEIL DE VALERIE !

« Si vous êtes en bonne santé, vous ne devez utiliser un masque que si vous vous occupez d'une personne présumée infectée par le Covid-19 », indique clairement sur son site l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Autrement dit, le masque n’est pas recommandé pour l’ensemble du public. « Il n'existe aucune preuve que le port d'un masque par des personnes en bonne santé puisse empêcher d'être infecté par des virusrespiratoires », insiste l'OMS. Selon plusieurs spécialistes, les inconvénients des masques l'emportent largement sur ses bénéfices. « L'utilisation de masques médicaux à grande échelle peut créer un faux sentiment de sécurité, et entraîner la négligence d'autres mesures essentielles, telles que l'hygiène des mains et la distanciation physique », remarque aussi l'OMS. A vrai dire, le gouvernement impose le masque davantage par principe de précaution que par efficacité effective. Un moyen tout trouvé pour « mater » au passage des Gaulois réfractaires au changement.

 

SEQUENCE NOSTALGIE :

Que diriez-vous de vous replonger dans les séries TV culte de notre enfance. DivertiStore (https://fr.divertistore.com/les-series-tele-de-notre-enfance-130-series-cultes-tout-savoir-arts-et-medias-4.html) vous propose une cure de jouvence pour redécouvrir des séries comme Rintintin (https://youtu.be/tVSZKXdn1bc), Thierry la Fronde (https://youtu.be/_9kwVoHgtzo), ou les Saintes Chéries (https://youtu.be/ejF3ceoJJDI). Merci à Valérie pour cette info !

 

Voici ma liste de 30 morceaux favoris de chansons francophones (ou pas) pour le deuxième trimestre 2020 : «Sous les pavés » d'Izia (https://youtu.be/5zHinut_ZUw), «Je me moi » de Louis-Jean Cormier (https://youtu.be/tn4c2UFsokU), « Belles sueurs » de Malik Djoudi (https://youtu.be/iA6VCuWddHY), «  Le manque a gagné » d'Alexandre Désilets (https://youtu.be/YGcUItRFgC8), «Coma idyllique » de Thérapie Taxi (https://youtu.be/NThOdQNXt1c), « A l'autre bout du monde » de Nach (https://youtu.be/dE9i7823DC4), « Simple et funky » d' Alliance Ethnik (https://youtu.be/eg8T1SrFQDQ), « Femme like U » de cœur de Pirate (https://youtu.be/0IRe9EITR5k), « Menteur » d'Emilie Simon (https://youtu.be/3oAqJDz8oqo), « Midi sur Novembre » de Louanne (https://youtu.be/pXRux1bwnFI), « Tercel » de Les Louanges (https://youtu.be/pObZ79LWWTU), « Mes yeux » d'Alex Nevsky (https://youtu.be/te_MFYYFuso), «Cinéma » de Fanny Bloom (https://youtu.be/3wb2dcNvN2w), « Placebo » d'Alexe (https://youtu.be/iD1H_IkPsr8), « Mille et Un » de Caroline Savoie (https://youtu.be/JISDHjzgGL4), « Paris » de Marie Tremblay (https://youtu.be/a_JoBDlEjSk), « Un trou dans les nuages » de Michel Rivard (https://youtu.be/oLFOuHxPoIk), « La vie » (instrumental) de Bolivard (https://youtu.be/L8aw0vpygX0), « Pâle » de Les Louanges (https://youtu.be/nYpUw2juVz4), « The Rollercoaster » de Yuksek (https://youtu.be/JNVqPLfa5AU?list=RDJNVqPLfa5AU), « Ma voie lactée » de Fishbach (https://youtu.be/d_jJckhYkYw?list=RDd_jJckhYkYw), « Montréal » de Ian Kelly (https://youtu.be/BYKWTScqbEU), « Boire leur venin » de Jason Bajada (https://youtu.be/hJfaHz2dQ_0), « Bulles de nuit » de Luis Clavis (https://youtu.be/Kwjg6flmF8Q), « Origami » de Eli Rose (https://youtu.be/bnyOPQjO6t8) , « Fou » de l'Impératrice (https://youtu.be/wmYPpnjthkU), « Silenzio » de Le Couleur (https://youtu.be/aVtiAuhXHyg), « Cheese » de Clay & Friends (https://youtu.be/w0uMU2I0m5M), « Roni got me stressed out » de Chromeo (https://youtu.be/qw8lkpEoBKQ), et « Il n'y a que toi » des Pirouettes (https://youtu.be/phiV5gPUjKI).

 

Territoire en vogue dès le XIXe siècle, les villes thermales ont été pionnières dans l’aménagement dédié à la villégiature à travers des infrastructures d’accueil nécessaires à l’exploitation de l’eau thermale, transformant des villages ou petites villes en "villes d’eaux". Les témoignages bâtis, tels que l’architecture thermale, le foisonnement des décors, les monuments emblématiques, la notion d’urbanisme idéal, couplés au patrimoine immatériel à travers la culture de l’eau thermale, le bien-être, l’histoire, la santé, le marketing touristique... constituent aujourd’hui un fait culturel tout à fait différenciant pour les villes d’eaux et plus largement pour le territoire du Massif central.

"Ils ont goûté aux séjours thermaux. Ils en deviennent tellement "accros" qu’ils ne peuvent plus quitter leur peignoir. Dans la station thermale ou de retour chez eux, dans toutes les situations de la vie courante, même les plus inappropriées, des personnages se retrouvent pris dans la spirale angélique du peignoir. Le phénomène va peu à peu se répandre telle une "épidémie de bien-être" et devenir l’emblème des stations thermales du Massif central". Ce concept est issu de l’imagination débordante des scénaristes Marie-Pierre Demarty et Sébastien Saint-Martin. Il est déployé sur le territoire des villes d’eaux du Massif central depuis 2016 à travers des outils multimédias, tels qu’un carnet de voyage et une exposition réalisés par 12 carnettistes, un web documentaire et une web série. Ce concept sert aujourd’hui de base inspirante des Voyages artistiques avec les Accros du Peignoir, un projet initié par la Route des Villes d’Eaux du Massif Central.

La Route des Villes d’Eaux du Massif Central est une Association de développement touristique et culturel. Ce réseau a été créé en 1998 et œuvre à la valorisation des spécificités de ses 18 villes thermales membres à savoir le bien-être et le patrimoine thermal. Sur l’axe patrimonial, cette Association s’appuie sur l’histoire, l’architecture et le cadre unique de vie des stations thermales pour mener des actions de médiation innovantes. Exposition photo, concours photo, visites virtuelles... ce réseau a ensuite axé ses projets vers un récit au ton décalé en imaginant le concept des Accros du Peignoir. Avec ce nouveau projet des Voyages artistiques, les Accros du Peignoir souhaitent aujourd’hui partir à la rencontre du public, qu’il soit habitant, curiste ou touriste.

Tout au long de l’année 2020 et en 2021, plusieurs villes d’eaux du Massif central accueillent un artiste en résidence dans les domaines du street-art, de l’art vidéo ou des arts numériques, sur une durée deux semaines. Chaque résidence est l’occasion pour les artistes de produire une œuvre artistique s’inspirant de la culture thermale et se positionnant dans un contexte plus global : la présence de sources thermales et l’accès à l’eau, le cadre de vie des villes thermales et l’environnement, l’architecture des villes d’eaux et la notion de ville idéale, le bien-être thermal et notre rapport au quotidien... Dans ce contexte, l'artiste Pablito Zago (https://www.artistikkommando.com/pablito-zago.html) est en résidence à Royat (63) à partir d'aujourd'hui. https://www.lesaccrosdupeignoir.com/

 

« Dinard Film Festival » à Dinard (35) du 30 septembre au 4 octobre 2020 : Chaque édition est un rendez-vous à ne pas manquer pour les mordus du cinéma ! Cette année, le Dinard Film Festival se déroulera du 30 septembre au 4 octobre 2020 et fêtera les 31 ans d’un amour du grand écran durable avec nos amis britanniques. Événement devenu incontournable, toujours plus réputé auprès des cinéphiles, le Dinard Film Festival met à l’honneur des films indépendants, films d’auteur ou courts-métrages, et offre ce que le cinéma britannique fait de mieux. La situation sanitaire du Covid-19, particulièrement en France et au Royaume-Uni, a bouleversé les vies, les habitudes et les calendriers. Elle nous oblige à la sobriété et la simplicité et elle nous pousse à reconsidérer la forme de cet évènement phare de l’année dinardaise. Cette 31è édition s’appuiera sur les trois des quatre fondements du festival : des films britanniques, des spectateurs français, et des salles de cinéma dinardaises ; la quatrième, la présence des invités internationaux. Ce festival s'ouvrira avec le film « Days of the Bagnold Summer ». Adapté du roman graphique éponyme de Joff Winterhart, celui-ci est le premier long-métrage de Simon Bird, interprète de Will McKenzie dans la série The Inbetweeners. https://www.dinardfilmfestival.fr/

 

Et si l'on s'évadait du quotidien en partant en voyage grâce à l'ouvrage de David Dreger, « Un voyage sacré » ? Premier volet d’une trilogie consacrée à l’Amérique du Sud, « Un Voyage Sacré », disponible en français et en espagnol, est une immersion dans un pays fascinant : le Pérou. David DREGER est parti pour un périple hors-du-commun en plein hiver austral, pendant la saison sèche. Avec un sens inné du récit, il embarque ses lecteurs dans l’exploration de ce territoire riche d’histoires, de culture, et de belles rencontres humaines. Avec lui, chacun(e) découvre le Pérou dans toute sa diversité, avec ses particularités et sa vie quotidienne. De Lima à Cuzco, du Canyon de la Colca jusqu’au Machu Pichu et au lac Titicaca, ce récit passionnant, illustré de superbes images, propose de s’aventurer hors des sentiers battus. Une des grandes forces de ce « Voyage Sacré » est d’offrir deux portes d’entrée sur le Pérou.

La beauté des images capturées par David attire d’abord l’attention. Comme au travers d’une exposition, les monuments historiques et culturels côtoient les scènes de rue et les portraits. Équipé d’un boîtier numérique plein format avec trois objectifs adaptés, et d’un boîtier compact, le photographe partage généreusement son regard sur le monde qui l’entoure. « Un Voyage Sacré », c’est aussi un récit captivant qui se lit d’une traite. David n’avait jamais eu l’opportunité de se rendre au Pérou, un pays qui le fascine et l’attire pourtant depuis de nombreuses années. Il livre ici ses découvertes, ses initiations, ses étonnements aussi.

>Photographe français, David DREGER est né le 13 juin 1967 dans le Nord de la France. Attiré par la photographie, il réalise une série de clichés qui lui donne envie d’aller plus loin et il investit dans son premier appareil photo numérique. Il démarre sa carrière artistique puis il découvre et analyse en profondeur le travail de Newton, Lindberg, Sieff ou encore Doisneau. C’est à ce moment qu’il décide de se lancer dans la photographie en créant son premier studio pour faire ses clichés de manière professionnelle. Depuis 2015, l’artiste partage son travail photographique entre les Etats-Unis, l’Afrique, l’Europe et l’Amérique du Sud. Après la publication de son livre « Un Voyage Sacré », qui relate son dernier voyage au Pérou en 2018, David prépare actuellement le second des trois voyages prévus pour explorer l’Amérique du Sud. Ce projet fera également l’objet d’un livre récit. https://www.daviddreger.com/

 

Lancement d'un train Eurostar Londres---Amsterdam le 26 octobre : la compagnie propose des billets flexibles dans le contexte lié au Covid-19. Et les passagers ont bien sûr la possibilité d’échanger les réservations sans frais, jusqu'à 14 jours avant le départ. Les billets pour ces trains directs sont en vente depuis le 1er septembre, à partir de 46€ l’aller. La durée du trajet sera d'un peu plus de quatre heures (4h09 min) d’Amsterdam à Londres et de trois heures et demie (3h29 min) depuis Rotterdam. Les réservations étant ouvertes jusqu'à six mois avant le départ, les voyageurs pourront réserver leurs billets à l'avance pour la période de Noël et jusqu'en février 2021. Compte tenu du contexte incertain et des récentes mesures de quarantaine, Eurostar offre désormais aux voyageurs une plus grande flexibilité pour réserver. https://www.eurostar.com/fr-fr

 

Exposition « Gabrielle Chanel, Manifeste de Mode » du 1er octobre 2020 au 14 mars 2021 : profitant de sa réouverture après des travaux d’extension, le Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris, présente la première rétrospective à Paris d’une couturière hors normes : Gabrielle Chanel (1883-1971). Dans ces années où Paul Poiret domine la mode féminine, Gabrielle Chanel, va dès 1912, à Deauville, puis à Biarritz et Paris, révolutionner le monde de la couture, imprimer sur le corps de ses contemporaines un véritable manifeste de mode. Chronologique, la première partie évoque ses débuts avec quelques pièces emblématiques dont la fameuse marinière en jersey de 1916 ; elle invite à suivre l’évolution du style de Chanel à l’allure chic : des petites robes noires et modèles sport des Années folles jusqu’aux robes sophistiquées des années 30. Une salle est consacrée au N° 5 créé en 1921, quintessence de l’esprit de « Coco » Chanel. En regard du parcours articulé en dix chapitres, dix portraits photographiques de Gabrielle Chanel ponctuent la scénographie et affirment combien la couturière a incarné sa marque. Puis vient la guerre, la fermeture de la maison de couture ; seule subsiste à Paris au 31, rue Cambon la vente des parfums et des accessoires. Viennent ensuite Christian Dior et le New Look, ce style corseté qu’elle conteste. Gabrielle Chanel réagit avec son retour à la couture en 1954 et, à contre-courant, réaffirme son manifeste de mode.Thématique, la seconde partie de l’exposition invite à décrypter ses codes vestimentaires : tailleur en tweed gansé, escarpin bicolore, sac matelassé 2.55, couleurs noir et beige bien sûr, mais aussi rouge, blanc et or... sans oublier les bijoux fantaisie et de haute joaillerie indispensables à la silhouette de Chanel. Gabrielle Chanel. Manifeste de mode occupe une surface de près de 1500 m2–dont les nouvelles galeries ouvertes en rez-de-jardin. Sur un parcours jalonné de plus de 350 pièces issues des collections de Galliera, du Patrimoine de CHANEL, de musées internationaux – le Victoria & Albert Museum de Londres, le De Young Museum de San Francisco, le Museo de la Moda de Santiago du Chili, le MoMu d’Anvers...et de collections particulières, cette exposition est une invitation à découvrir un univers et un style intemporels. https://www.palaisgalliera.paris.fr/

 

Du 1er au 31 octobre, le Musée du quai Branly-Jacques Chirac met à l’honneur les Paiter Suruí d’Amazonie (Brésil) à travers l’installation de Philippe Echaroux intitulée « Dans la Mémoire du monde ». La projection des portraits des Paiter Suruí sur le feuillage des arbres du jardin du musée est une invitation à découvrir ce peuple et prendre conscience des menaces qui pèsent sur lui, sur l’intégrité de son territoire et de son mode de vie. Ces portraits lumineux et éphémères seront visibles : en déambulant dans les jardins du musée les jeudis soirs, dans le cadre des nocturnes du musée, du coucher du soleil jusqu’à 22h30, mais également depuis la rue de l'Université et le quai Branly, tous les soirs d’octobre, du coucher du soleil jusqu’à minuit (uniquement pour les portraits donnant sur l’extérieur du musée). Enfin, les jeudis 1er, 15, 22 et 29 octobre, de 18h à 22h, une immersion sonore vous attend dès votre arrivée au musée (hall d'accueil), à travers des chants collectés auprès des Paiter Suruí (P. Echaroux) et des sons enregistrés au cœur de la forêt amazonienne dans les années 1990 par le musicien Bernie Krause (« Amazon Days, Amazon Nights »). https://www.quaibranly.fr/fr/expositions-evenements/au-musee/spectacles-fetes-et-evenements/fetes-et-evenements/details-de-levenement/e/installation-dans-la-memoire-du-monde-38811/

 

Je vous propose cette semaine de partir au Mexique à travers la lecture du roman de Serge Colonnese, « Un jaguar sur un vélo, Le secret des Mayas » : Serge Colonnese aime découvrir de nouveaux horizons, loin des circuits touristiques. Navigation, moto, randonnée, qu’importe le moyen de transport, pourvu que l’authenticité soit au rendez-vous. Son récit coloré vient réveiller l’imagination et nous promène dans des contrées lointaines en ne laissant qu’une envie, celle de voyager. Cet ouvrage nous raconte l'histoire d'un homme ordinaire qui, sur une impulsion extraordinaire, décide de visiter le Mexique à vélo. Ce voyage à la lenteur exquise lui permet de s’imprégner des trésors naturels, citadins comme humains de ce pays… et de devenir un véritable aventurier ! De contemplation douce en situation fantasque, il se laissera emporter par le fabuleux contraste mexicain et découvrira, avec ses compagnons rencontrés en chemin, des richesses insoupçonnées…Extrait : « Mon ami, tu crois que tu vas revenir en Belgique indemne, en racontant à tes collègues que tu as bien voyagé ? Avec de belles photos ? Eh bien, tu te goures complet. Quand on a posé un pied en Amérique latine, ce n’est pas un acte anodin, tu ne verras plus les choses de la même manière, tu n’aimeras plus les frites et la gueuse. Ton âme sera ancrée ici pour toujours.». 200 pages, 18€. https://www.editions-pantheon.fr

 

Pour changer de vie, essayez la Nièvre ! (58) : Deux qualificatifs résument dans de nombreux commentaires l’année 2020 que nous vivons et qui est loin d’être terminée. Celle-ci est inédite et pandémique, d'où une rupture avec nos habitudes de consommation et nos convictions. Toute crise appelle cependant à l'innovation et la Nièvre en fait partie, par ses innovations sur le territoire rural compris en vallée de Loire à l’ouest et Morvan dans sa partie orientale. La plateforme d’intelligence touristique avec agent conversationnel animé (Pitaca), accessible sur des vitrines numériques implantées sur des sites touristiques de grande fréquentation ou stratégiques, mais aussi sur des vitrines d’offices de tourisme ou d’acteurs touristiques a ainsi obtenu le Prix régional de l’innovation touristique. La présence sur le territoire à Magny-Cours d’un « Pôle performance » dédié à la haute technologie, le sport compétition, le sport loisir, la R&D et l’enseignement illustre cette dynamique, avec un cluster de 39 entreprises dédié à la voiture de demain (décarbonée). La question des mobilités touristiques et de l’accessibilité de zones de moyenne montagne enclavées y est un thème de travail, donc d’innovations à venir.

Le temps du confinement puis du déconfinement a fait mûrir une nouvelle idée portée par la nouvelle agence départementale d’attractivité et de développement touristique créée en juillet dernier. La période est propice aux changements, aux ruptures. De nombreux urbains, enfermés pendant plusieurs semaines, éprouvent le besoin d’air, l’envie des grands espaces, de respirer la nature, de vivre différemment. Le Conseil départemental cherchait à être utile et accompagner les acteurs touristiques dont l’été s’annonçait, en mai dernier, très difficile. Une enveloppe de 150.000 € est débloquée pour les aider. L’envie de changer de vie exprimée par de nombreuses populations urbaines qui furent confinées dans des agglomérations millionnaires aux espaces verts modestes ou inexistants fait naître le projet « Essayez la Nièvre », une action visant à soutenir le tourisme et développer l’attractivité du département, à aider les prestataires et à favoriser les aspirations au changement de vie exprimées notamment sur les réseaux sociaux lors des deux mois confinés. Cette offre s’adresse à des clients qui jusqu’à présent n’étaient pas servis par les entreprises établies. On peut donc affirmer sans craindre de se tromper qu’il s’agit bien là d’une rupture et d’une innovation de nouveaux marchés.

Faire venir des visiteurs et notamment des familles pendant une semaine à l’invitation de la collectivité, leur montrer et vanter et les potentiels du département, pour leur donner l’envie de s’y installer et d’apporter leurs compétences professionnelles, voilà l’objectif de la campagne « Essayez la Nièvre ». Les dix intercommunalités nivernaises, en charge de la compétence économique, sont associées à la démarche. Chacune d’entre elles identifie sur son territoire dix gîtes répondant à un cahier des charges rédigé rapidement mais précis (les maisons doivent incarner le territoire, elles doivent disposer de chambres pour chaque membre de la famille, d’un jardin et d’une belle vue dégagée, les propriétaires doivent être les ambassadeurs de la destination) et s’engage à prendre en charge l’accueil des invités le temps de leurs séjours. L’agence départementale d’attractivité et de développement touristique précise la démarche sur son site, en insistant sur la qualité du territoire nivernais, à la fois d’un point de vue environnemental, social et culturel. L’objectif affiché est d’inviter cent familles pendant une semaine, la dernière du mois d’août, sur l’ensemble du département. Un questionnaire est rédigé pour pouvoir sélectionner les candidats (informations sur la famille, le couple, les enfants, les activités professionnelles, les idées de vie future, le calendrier de ce changement, etc.).

« Essayez la Nièvre », c’est d’abord l’histoire d’une terre rurale qui se bat depuis longtemps contre la désertification, le vieillissement, l’enclavement. « Essayez la Nièvre », c’est ensuite la réalité d’un département aux multiples attraits, visibles chaque année davantage dans une société qui redécouvre les valeurs de la simplicité, de l’authenticité, de la nature. « Essayez la Nièvre », c’est surtout comprendre que la Covid-19, qui fit écrire tant d’article sur le monde d’après et de supposées nouvelles valeurs, a déclenché l’envie de vivre autrement chez beaucoup d’urbains. L’innovation est là, un territoire offre la possibilité à des candidats au changement de venir humer l’air d’un pays préservé, en constater les forces et faiblesses, rencontrer les acteurs et les habitants. Plus qu’une campagne marketing, au slogan souvent creux et redondant, « Essayez la Nièvre » s’adresse à des clients qui jusqu’à présent n’étaient pas servis par les entreprises établies. « Essayez la Nièvre », c’est donc l’histoire de l’innovation territoriale et touristique, celle qui se penche vers l’avenir, non pas pour le prévoir, mais bien le rendre possible…https://www.nievre-tourisme.com/faire-le-plein-didees/experiences-a-vivre/essayez-la-nievre/

Du nouveau en cyclotourisme en Mayenne (53) : La Véloscènie, qui étire son parcours cyclo-touristique de Paris au Mont-St-Michel s'enrichit d'une nouvelle voie verte en Nord Mayenne qui recouvre une ancienne ligne de chemin de fer partant d’Alençon. Le rajout, initié de longue date, emprunte l’ancienne ligne de chemin de fer Alençon à Couterne, pour proposer une alternative au tracé ornais. Actuellement, les amateurs de vélos passent par Alençon, Carouges et Bagnoles-de-L’orne. Avec ce nouveau tronçon de 46 kilomètres, ils passent par plusieurs communes du département de la Mayenne : Pré-en-Pail, Saint-Aignan-de-Couptrain, Neuilly-le-Vendin, avant de rejoindre Couterne, dans l’Orne. Cela va dynamiser cette partie de la Mayenne et enrichir la Véloscénie déjà très populaire auprès des cyclotouristes. Entre pistes aménagées, voies vertes, petites routes balisées et chemins forestiers, ce parcours traverse la vallée de Chevreuse, le Perche et son bocage normand. En apportant une alternative, les randonneurs approchent le Mont des Avaloirs, sommet culminant du département, est également traversé par la Vélo Francette qui part de Normandie pour rejoindre La Rochelle. https://www.veloscenie.com

La Province et la grande couronne attirent plus que jamais, d'après une enquête de PAP.fr réalisée du 1er au 31 août 2020. Celle-ci fait apparaître que Paris n'a plus la cote et offre moins de candidats à l'achat (-5%) que la province. Loin de s'essouffler, la tendance s'est accentuée cet été : les français continuent d'être beaucoup plus nombreux que l'année dernière, à la même époque, à rechercher un bien immobilier à acheter et ils n'ont plus du tout les mêmes envies qu'avant la crise sanitaire du coronavirus ! Les urbains veulent acheter des biens plus grands, avec une terrasse ou un jardin, quitte à laisser les cœurs de ville des métropoles. La tendance observée depuis mai 2020 d'explosion des recherches de biens à acquérir, se confirme et se renforce même dans la plupart des secteurs, aussi bien en Ile-de-France qu'en régions.

PAP.fr a constaté sur son site du 1er au 31 août 2020, une hausse des recherches de biens à acheter de + 60 % par rapport à août 2019 en Ile-de-France et dans les départements limitrophes. C'est encore plus que les +46% de hausse constatés en mai 2020. Tous les départements d'Ile-de-France, de même que l'Eure, l'Eure et Loir, le Loiret, l'Yonne et l'Oise connaissent une forte hausse de recherches de biens à acheter. Sauf Paris, qui pour la première fois, est en baisse par rapport au mois d'août 2019 : - 5 %. Les trois départements de la Petite couronne progressent, mais moins que le reste de la région. En moyenne, ils sont à +32%, ce qui est bien inférieur aux progressions de la Grande Couronne et des départements limitrophes à l'Ile-de-France. La Grande Couronne progresse en moyenne de 83%, et la Seine-et-Marne en particulier voit son attrait exploser : +118% de recherches par rapport à août 2019 ! Et le mouvement s'étend au-delà des frontières administratives de l'Ile-de-France. Ainsi, les départements limitrophes à l'Ile-de-France progressent également de 83% en moyenne, vers le Nord dans l'Oise (+78%), vers l'Ouest dans l'Eure (+102%) et l'Eure et Loir (+65%), ou vers le Sud dans le Loiret (+82%) ou l'Yonne (+88%).

En août 2020, PAP.fr a constaté une moyenne nationale de 46% de recherches d'achat de plus que l'année dernière à l'échelle nationale sur son site. Les autres grandes villes s'en sortent mieux que Paris, mais restent malgré tout dans l'ensemble en dessous de la moyenne nationale. Partout, les recherches autour des villes progressent plus que dans les villes elles-mêmes. Ainsi, quand Bordeaux progresse de 21%, la Gironde progresse de 70%. Quand Lyon progresse de 37%, le Rhône progresse de 86%. Les recherches des Français s'éloignent donc des centres-villes. Pour trouver les plus fortes progressions, il faut aller encore plus loin. Ainsi, le nombre d'acheteurs a plus que doublé dans plusieurs départements. La qualité de vie semble désormais la priorité n°1 des acheteurs, et cela inclut souvent la proximité du littoral ou de la montagne. Le télétravail leur permet d'envisager de s'éloigner des villes jugées trop stressantes.

Quelle est la situation des acheteurs en août 2020? 39% d'entre eux ont déjà bouclé leur financement: 18% des acheteurs ont les fonds nécessaires à l'achat de leur bien et indiquent ne pas avoir besoin de condition suspensive d'obtention de crédit. Il s'agit majoritairement d'acheteurs qui ont déjà vendu leur propre bien, ou qui ont reçu un héritage. Et 21% des acheteurs ont recours à un crédit immobilier et ont déjà obtenu l'accord de principe de leur banque. Leur apport personnel moyen est de 35%. https://www.pap.fr/

Atlantique Jazz Festival, jusqu'au 11 octobre 2020, à Brest (29) : En 2020, l’Atlantique Jazz Festival est un voyage dans la grande diversité du champ jazzistique. La voix du blues (Reverse Winchester, Horla) résonne avec la poésie chantée (You et Les Voyageurs de l’Espace). La base rythmique du jazz (Tony Hymas Trio) et l’écriture pour grand ensemble (Grand Imperial Orchestra) font écho au groove et à la musique soul (Rhoda Scott). Quant aux formes les plus improvisées (Catherine Delaunay & Hélène Labarrière, The Bridge), elles semblent répondre à l’énergie insatiable du rock (Band of Dogs). Tout est question de liberté et de désir, de recherche sonore dans la beauté des choses – dans toute son obscurité (Hippie Diktat) et sa lumière (James Brandon Lewis Quartet, Mathias Levy trio invite Vincent Peirani). La première semaine sera consacrée à l’Atlantique Jazz Tour, une série de concerts parcourant la Bretagne d’est (Langon) en ouest (Crozon) avec deux propositions ouvertes sur les musiques populaires :Reverse Winchester et You (lauréat Jazz Migration). À Brest, une diversité de propositions à l’attention de toutes les curiosités : les rencontres du midi à l’Heure Magnétique ; les concerts du soir au Vauban, au Quartz, au Mac Orlan ou à l’Auditorium du Conservatoire ; les apéros-impro du weekend à la Turbine ; les débuts de soirée au centre d’art contemporain Passerelle ; le spectacle jeune public Chewing Gum Silence à la Maison du théâtre. https://www.plages-magnetiques.org/atlantique-jazz-festival-bretagne/


Trainline, un service pour obtenir une compensation en cas de retard de votre train. Trainline lance une nouvelle fonctionnalité « Récup’Retard ». La France est le premier marché où ce service est proposé. Désormais, quand un train est en retard Trainline prévient automatiquement le consommateur lorsqu’il est éligible à une compensation. Ensuite, le spécialiste de la vente de billets de train estime le montant et aide le voyageur à faire la demande. Les codes de réduction sont ensuite stockables dans l’application mobile pour que les voyageurs les aient sous la main lors de leur prochaine réservation. Lorsqu’un train (TGV et Intercités) est en retard, le client peut être en droit de demander une compensation (de 25% à 75% selon la durée du retard). Malheureusement, tous les voyageurs ne le savent pas et s’abstiennent de demander la compensation à laquelle ils ont droit, selon une étude menée avec OpinionWay reprise par Trainline pour justifier le lancement de ce nouveau service. La plateforme en ligne précise toutefois que recevoir une notification ne garantit pas que la demande sera approuvée ou que le client recevra effectivement une compensation. Il s’agit seulement d’une estimation de la part de Trainline et il est possible que le trajet ne réponde pas aux critères fixés par le transporteur. https://www.thetrainline.com/fr/information/pourquoi-trainline

Toujours dans le cadre de l'exposition collective « Et vous ? Êtes-vous plutôt crêpe ou galette ? », partons cette fois au musée de l'ancienne abbaye de Landévennec (29) pour en savoir plus sur les dernières découvertes archéologiques liées à ce mets breton. Bonne semaine automnale !

Yves


Classement des dix premiers pays qui ont visité ce site la semaine dernière : 1) France 2) Argentine 3) Canada 4) Etats-Unis 5) Chine 6) Tchéquie 7) Hong-Kong 8) Japon 9) Ile de La Réunion 10) Singapour


 


 



 

 

 




Exposition "Et vous? Êtes-vous plutôt crêpe ou galette?"- Musée de l'Ancienne Abbaye (29) (Landévennec, Finistère, France)


Retour sur l'exposition collective « Et vous ? Êtes-vous plutôt crêpe ou galette ? » pour nous intéresser cette fois au regard de ces mets gastronomiques bretons portés par le Musée de l'ancienne abbaye de Landevennec (29), à savoir : Quand la crêpe devint bretonne, retour sur une invention...souvent controversée ! Bernard Hulin, Conservateur du musée et instigateur de cette exposition s'interroge. En Bretagne, la crêpe est une évidence mais pourquoi ce plat qui est si répandu dans le monde est-il autant associé à cette région ? A quand remontent ses origines ? Quelle fut sa forme originelle ? La crêpe bretonne ne se résumerait-elle finalement pas à une seule recette ? Autant de questions auxquelles cette visite va tenter de répondre (...)


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