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Lettre envoyée le 26/10/2020


 

Lundi 26 octobre 2020                                                                                   La Lettre N°505

 

Liberté chérie......j'écris ton NON !

Je ne sais pas ce qui me révolte le plus, l'état de dhimmitude dans laquelle se complait notre société, la traitrise de certains élus politiques français et leur collaboration avec l'ennemi, ou le fait qu'on me prenne pour un imbécile. Je m'enorgueillis chaque jour d'avoir hérité d'un esprit rebelle et critique qui ne gobe pas bêtement tout ce que distillent médias et responsables politiques. Mes congénères sont méconnaissables : soumis au vent dominant, ils ont peur de tout, tolèrent l'intolérable, culpabilisent et pardonnent tout à ceux qui menacent leur existence.

Jacadi « Acquiesce tout ce que dit Salomon le croque-mort » et tout le monde acquiesce sans se poser de questions, sans même faire appel à son sens critique. Nos peuples sont devenus décérébrés à force de subir les assauts quotidiens des écrans de télé, et la propagande ordinaire des chaines d'informations. Si je dis oui à la mesure, je dis NON à la soumission. Mon métier de navigant a souvent exigé de moi de la retenue mais aussi des prises de décision. Il me fallait alors « trancher » entre laisser un passager récalcitrant contaminer toute une cabine, au risque de voir s'installer l'anarchie dans l'aéronef, ou bien neutraliser l'agitateur après les sommations d'usage. Tout le contraire de ce que font nos dirigeants, lesquels pinaillent sur l'attitude à observer tout en s'atermoyant sur la faiblesse d'esprit du délinquant en lui trouvant toutes sortes d'excuses. Je dis oui aux circonstances atténuantes crédibles mais NON à la collaboration avec l'ennemi : or, nous n'en sommes plus loin (de la complaisance avec l'ennemi) lorsqu'un ancien ministre de la Justice a libéré des milliers de dangereux individus dans la société civile, donnant à certains d'entre eux l'occasion de s'exprimer par la récidive en violentant, assassinant ou trucidant des innocents. Et les coquins, élus par nos suffrages, de nous rendre indirectement complices de leurs actes, alors qu'un sondage IPSOS-Le Monde du 14 septembre dernier annonçait que 55% de nos compatriotes sont en faveur de la peine de mort. Pur hasard ou cri du cœur ? Disons qu'on nous prend pour des pigeons depuis trop longtemps, et que les mesures liberticides envers notre peuple (enfin, de manière sélective car pas question de déranger certains « Français » requérant des permissions spéciales pour le bon exercice de leurs trafics) s'imposent à nous, sauf à nos compatriotes corses qui ne s'en laissent pas conter, et que je salue pour leur détermination à défendre leur identité et leur histoire face aux tentatives de la métropole d'imposer le mondialisme dans toute son horreur. Je me suis rendu en Haute-Corse il y a quelques années et m'y suis tout le temps senti en sécurité. Ce n'est pas un hasard car les Corses ont préservé un fort sentiment d'appartenance à un même peuple, le peuple corse. Moi qui suis breton le comprends très bien. Oui au vivre-ensemble dans le respect des traditions du pays d'accueil et NON aux enclaves étrangères, ce que nos gouvernants successifs tolèrent depuis des décennies sur notre sol, devenant de fait le complice de l'ennemi intérieur.

Cette « liberté » dont on nous rabat les oreilles et qui entre dans la devise de la république française a perdu de sa superbe depuis bien longtemps. La faute aux moralisateurs de toutes sortes à qui on donne (trop) voix au chapitre, au nom de ...la liberté d'expression. Mais quelle liberté d'expression ? Et cette liberté de devenir une arme au service des ennemis de la démocratie, lesquels la brandissent contre le pays des droits de l'homme, cette nation qui leur a tout donné, et qu'ils veulent plonger dans le chaos pour mieux imposer ensuite leur dictature. Intolérable ! Et, cerise sur le gâteau, d'endormir les masses avec nounours et bougies, naïveté et insouciance...NON, tout le monde n'est pas beau, tout le monde n'est pas gentil, pour reprendre le titre du film de Jean Yanne. NON, la liberté des uns ne doit pas s'arrêter là où commence celle des autres. Car, à ce tarif-là, et nous l'observons chez nous aujourd'hui, c'est le barbare qui l'emporte (celui qui décapite sait pertinemment qu'il ne craint rien devant l'esprit hyper-tolérant de nos juges qui considéreront que ce bourreau n'avait plus toute...sa tête au moment des faits!). Oui, j'acquiesce avec Albert Camus qui disait « Vivre en homme libre, c'est refuser d'exercer et de subir la terreur ». En cela, il rejoignait Horace, lequel prétendait que « Celui qui vit dans la crainte, ne sera jamais libre ». Pour triste qu'il puisse être, le constat actuel est pourtant criant : la « liberté chérie », celle évoquée dans « la Marseillaise » et dans « le Chant des Déportés » s'en est allée, un jour et sans faire de bruit pour laisser place à une guerre civile rampante sur notre territoire. Trop de liberté tue la liberté, je le crois. Et je suis surtout convaincu que la liberté se mérite, et que le fait d'accorder celle-ci à des personnes mal intentionnées conduit tout droit à l'intolérance et à l'obscurantisme. C'est précisément ce qu'est devenu notre quotidien depuis l'apparition du coronavirus, qui incita nos élites à nous imposer des mesures liberticides jamais vues auparavant et dignes de régimes totalitaires, tout cela pour limiter leur risque pénal. Ainsi, au pays des droits de l'homme, impose t-on le confinement, la liberté conditionnelle, le couvre-feu et le paiement de la « gabelle* » aux honnêtes gens....et le droit à tout sans rien payer, l'expiation immédiate des crimes et délits, la libération anticipée, et aussi celle de décapiter les gens qui ne pensent pas comme vous, aux autres! Ce genre de politique est de la pure inconscience et de la mise en danger délibérée de la sécurité des Français. A ce compte-là, mon cœur penche pour un retour à l'autorité et un arsenal judiciaire répressif mettant une fois pour toutes les délinquants hors d'état de nuire. Quitte à ce que notre pays sorte de cette Europe de malheur...

 

(*Impôt indirect sur le sel, appliqué sous l'Ancien Régime, en France)

 

LE CLIN D'OEIL DE VALERIE !

Peut-on rire de tout ? La question est posée avec les caricatures d'un journal satirique français qui a déclenché l'ire de certains, au point de décapiter un enseignant gaulois ce mois-ci. Il se trouve que la caricature est inscrite de très longue date dans l'histoire de notre pays et que celle-ci nécessite d'avoir le goût de l'humour. En ce qui me concerne, et en tant que croyant, je pratique l'humour en prenant bien soin de ne pas blesser mon interlocuteur et en évitant la provocation inutile. Question d'éducation et de bon goût? Sans doute, mais pas seulement. On touche ici au respect de l'autre. Tous les peuples du monde ne rient pas des mêmes choses et la religion fait partie des sujets sensibles que je n'aborde qu'en cercle restreint en prenant soin de ne pas choquer. Quel plaisir tirerai-je à heurter l'autre ? A chacun son éducation, ses idées, sa conscience, et son humour. Je fais aussi partie de ceux qui aiment jouer avec les mots, mais là encore, j'évite de blesser mon interlocuteur ou d'être grossier. Il reste que l'humour à la française permet de rire de bien des choses : depuis le « Roman de Renard », en passant par Beaumarchais, Alfred Jarry, Sacha Guitry, Coluche ou Pierre Desproges (https://youtu.be/arQqmwL6uXU), notre rire peut être tendre, absurde, salace, ironique, provocateur décapant...Et que ceux qui n'aiment pas notre humour se tirent ailleurs (tirailleur!) !

 

SEQUENCE NOSTALGIE :

Vous souvenez-vous du....petit train de la mémoire ? Oh, ce n'était pas (encore) le TGV mais cet intermède faisait partie du paysage audiovisuel français des années 1960-1970 (https://youtu.be/CG9kKqOXxhg). Le Petit Train de la mémoire (https://youtu.be/GQyis2u8YyM) était un interlude créé en 1963 (j'avais deux ans!) pour l'ORTF par Maurice Brunot, pour remplacer le Rébus Express (https://youtu.be/-qWNV_XLM5s) diffusé depuis 1960. La musique de l'indicatif est signée Alec Siniavine, sur des arrangements de Raymond Lefèvre et Paul Mauriat. En voiture !

 

LE SAVIEZ-VOUS ?

Il y aura treize (et non douze, comme habituellement) pleines lunes cette maudite année 2020. La prochaine, appelée lune bleue, pourra être admirée la nuit d'Halloween, ce 31 octobre...

 

Spectacle « Les Etoiles du Cambodge » du 30 octobre au 1er novembre 2020 : Le spectacle Les Étoiles chorégraphié par S.A.R la Princesse Norodom Buppha Devi offre un tour d’horizon des danses les plus emblématiques du Ballet Royal du Cambodge : la danse antique de la déesse des Eaux Moni Mekhala, les danses de séduction, ou celle des nymphes célestes « Apsaras ». On retrouve les ingrédients qui font le succès du Ballet depuis des siècles: costumes somptueux, délicatesse et précision de la gestuelle des danseuses, partition musicale céleste. Accompagné par un ensemble Mohori, musique de chambre jouée lors des cérémonies et anniversaires royaux, le ballet suspend le temps et nous invite à côtoyer les étoiles. Ce spectacle, d'une durée de 1h30 aura lieu au Th éâtre Claude Levi-Strauss, Musée du Quai Branly-Jacques Chirac, à Paris (7è) https://www.quaibranly.fr/fr/expositions-evenements/au-musee/spectacles-fetes-et-evenements/spectacles/details-de-levenement/e/les-etoiles-du-ballet-royal-du-cambodge-38467/

 

Premier guide vert Michelin consacré à la Jamaïque : Cet ouvrage de 152 pages est disponible dans toutes les librairies et points de vente de France. La parution est organisée en cinq parties :
- Bienvenue en Jamaïque : des conseils, les incontournables et deux propositions d’itinéraires en 7 et 14 jours.
- Visiter la Jamaïque : ce chapitre se décline en plusieurs catégories divisées en fonction de la géographie de l’île. On y trouve les informations sur les différentes régions : Kingston et ses environs, Blue Mountains, Port Antonio et l’Est, Ocho Rios et le Nord, De Montego Bay à Negril, Treasure Beach et le Sud.
- Nos adresses : besoin d’un spot pour boire un verre, admirer un coucher de soleil ou faire du shopping, les lecteurs trouveront leur bonheur.
- La Jamaïque pratique : toutes les informations utiles pour préparer son voyage
- Pour en savoir plus et un plan détachable de l’île

https://travelauth.visitjamaica.com/

Hausse de fréquentation des véloroutes et des voies vertes de Bretagne sur tout le premier semestre 2020 : Dès la sortie du confinement, le besoin d’évasion s’est fait sentir sur les voies vertes balisées de Bretagne avec une augmentation de 23% pour les randonnées à pied et de 36% pour les randonnées cyclistes. Le mouvement s’est prolongé, même avec un score moins impressionnant sur juin (+7% des cyclotouristes) et plutôt dynamique sur juillet-août (+27%). Rien que sur ces deux mois, 615 000 passages ont été enregistrés sur les véloroutes et voies vertes de Bretagne. https://www.tourismebretagne.com

 

Mariages et lunes de miel en Thaïlande : Quoi de plus idéal que de se passer la bague au doigt au « Pays du Sourire »? Avec ses paysages plus féériques les uns que les autres, ses plages paradisiaques et ses hôtels de charme, la Thaïlande est sans aucun doute l'une des destinations les plus romantiques du monde. Pour répondre aux demandes de plus en plus nombreuses, l'Office National du Tourisme de Thaïlande a ainsi référencé tous les produits nécessaires pour faire de ce séjour, un véritable moment unique dans une vie : des thématiques variées (fleurs, montagne, océan, culture), des organisateurs expérimentés, des photographes professionnels ou encore des activités romantiques (dîner, sortie en yacht, spa, etc.). Prendre de la hauteur en montgolfière pour se dire oui au-dessus du Singha Park de Chiang Rai, plonger en costume et robe de mariée au large de Trang, partir décompresser - une fois les festivités passées - dans le très onirique Royal Park Rajapruek, terminer le séjour en réservant pour un cocktail en amoureux sur l'un des rooftops de Bangkok...https://tourismproduct.tourismthailand.org/content/480

 

L'Agence Spatiale Européenne (ESA) a sélectionné Airbus pour développer et construire la mission de topographie des glaces et des neiges polaires de Copernicus (CRISTAL). Avec deux satellites, la mission CRISTAL assurera la continuité à long terme des mesures altimétriques radar de l'altitude et de l'évolution de la glace. Il s'agit de l'une des six nouvelles missions qui amélioreront les capacités actuelles de la composante spatiale de Copernicus au profit de tous les citoyens européens. Le contrat est d'une valeur de 300 millions d'euros. 

Avec un lancement prévu en 2027, CRISTAL embarquera un altimètre multifréquence avancé qui mesurera l'épaisseur de la banquise et la hauteur de la calotte glaciaire. Ces données aideront aux opérations maritimes dans les océans polaires et contribueront à une meilleure compréhension des processus climatiques. CRISTAL contribuera également à des applications liées aux eaux côtières et intérieures et à l'observation de la topographie des océans.

Six panneaux solaires fixes et deux déployables - 18,6 m² au total - assurent une puissance suffisante sur une orbite polaire à 760 km au-dessus de la Terre. Sa mémoire embarquée pourra stocker jusqu'à 4 térabits de données à la fois, fournissant ainsi aux scientifiques une mine d'informations pendant ses 7,5 années de vie. Le site Airbus Defence and Space de Friedrichshafen (Allemagne) sera à la tête d'un consortium industriel réunissant des entreprises de 19 pays pour réaliser le projet, dont Thales Alenia Space qui fournira IRIS, le radar altimètre interférométrique. L'engin spatial de 1,7 tonne est basé sur un design de satellite Airbus éprouvé et robuste, qui s'inspire de l'héritage de Sentinel-6 et de CryoSat.


Gastronomie de Formentera (Baléares, Espagne), entre traditions et modernité : Formentera, la plus petite île de l'archipel des Baléares, réserve de nombreuses surprises culinaires à ses visiteurs. Elle fait partie du mouvement "slow food", qui consiste à mettre en avant les producteurs locaux en les rémunérant justement, à protéger l'environnement et la biodiversité et à valoriser les traditions locales. Ainsi, Formentera invite fièrement ses voyageurs à goûter à sa gastronomie, issue d'un savoir-faire qu'elle doit à son mode de vie traditionnel et à son lien avec la mer. Les plats incontournables de la région sont la ensalada pagesa ou salade campagnarde, la friture de poulpe (frit de polp), sofrit pagès, un met de viande et pommes de terre et le ragoût de poisson aux pommes de terre (bullit de peix). Ils doivent notamment leur succès à la qualité du poisson, pêché sur place et consommé frais, ainsi qu'au goût authentique de la viande grâce à une production maison de la fameuse "sobrassada" (saucisson de porc épicé). Concernant les desserts, le flaó (gâteau au fromage blanc à la menthe), les orelletes (confiseries anisées) et la greixonera (pudding d’ensaimada) sont les plus caractéristiques de l'île. L'ensemble de ces spécialités aux noms catalans est né du mélange entre l'adaptation des autochtones à ce territoire insulaire et la créativité gastronomique moderne.La diversité fait d'ailleurs partie des atouts de Formentera: du plat traditionnel à la cuisine gastronomique raffinée, en passant par la découverte de saveurs du monde entier, comme le Japon ou l'Argentine, l'île saura ravir et surprendre les papilles de tous les voyageurs.

Formentera recèle également des productions locales tels que le miel, les figues sèches, le fromage blanc et la liqueur aux herbes, entre autres, un savoir-faire unique marqué par un héritage riche. Le vin tient également une place importante dans la tradition de l'île, et il est possible de visiter deux caves lors d'une visite guidée, dégustation incluse :  www.terramoll.es et www.capdebarbaria.com. La réputation du vin en termes de qualité, qualifiée d'exceptionnelle, participe entièrement à son succès auprès des visiteurs. Une belle idée de séjour...Pour s'y rendre, se rendre en avion jusqu'à Ibiza, puis prendre le bateau au port d'Ibiza pour atteindre La Savina (Île de Formentera) (https://www.formentera.es/fr/planifier/comment-venir/ ) en 35 minutes. https://www.formentera.es/fr/ et https://www.formentera.es/fr/planifier/brochures-cartes-et-guides/



 

Halloween en Irlande ! Ce qui au départ n’était qu’une simple fête déguisée dans un pub de la célèbre ville fortifiée de Derry ~ Londonderry (Irlande du Nord) est devenu la célébration d'Halloween la plus excitante d'Europe, élue « destination d'Halloween n°1 mondiale » par les lecteurs de USA Today.« Derry Halloween » est désormais un événement incontournable, rassemblant des visiteurs du monde entier - sans parler de l'autre monde - venus profiter d'un festival spectaculaire fusionnant mythes anciens et culture moderne.Ce festival a transformé Derry ~ Londonderry en une « ville des os » et a permis de braquer les projecteurs sur tout ce dont cette ville fortifiée dispose en termes de culture et d'art. L'édition 2020 se déroulera du 28 octobre au 1er novembre et aura une forte orientation numérique sous le thème « the awakening / le réveil ».La ville sera envahie par d’énormes monstres gonflables, visibles de jour comme de nuit, des balades à vélo, plusieurs feux d'artifice, et des spectacles musicaux… Il y aura aussi beaucoup de contenu en ligne avec des performances contées, des tutoriels sur la sculpture de citrouilles, la peinture faciale, la fabrication de costumes, de masques, de manches à balai, le maquillage SFX, des recettes, des cocktails…Egalement au programme, des contes en ligne, du théâtre et des histoires de fantômes pour adultes, des concerts en direct et un espace enfants en ligne proposant des activités manuelles (https://media.ireland.com/fr-fr/story-ideas/local/french/l%E2%80%99irlande,-berceau-d-halloween-festivals-2020)

Halloween est aussi l'occasion de se souvenir que le vampire le plus célèbre du monde est la création du Dublinois Bram Stoker. Enfant maladif qui passa la plupart de ses premières années alité, son oeuvre est fortement inspirée des histoires irlandaises de morts-vivants revenus se venger que sa mère lui racontait à son chevet. 
Découvrez ces histoires d'horreur dont regorge le folklore irlandais sur https://media.ireland.com/fr-fr/story-ideas/local/french/dublin,-dracula-et-les-histoires-des-morts-vivants

L'Irlande a bien sûr ses fantômes, des maisons hantées, des châteaux maudits et toutes sortes de lieux effrayants. Ces endroits ont tous leur propre histoire, ils attirent les amoureux du surnaturel désireux d'apercevoir un fantôme ou de ressentir le souffle d'un esprit.Partez à la rencontre de quelques uns des lieux hantés les plus célèbres de l'île (https://media.ireland.com/fr-fr/story-ideas/local/french/les-fantomes-de-l-ile-d-irlande)

Découvrez aussi des recettes traditionnelles pour fêter Halloween à l'irlandaise : Samhain était célébrée quand la récolte était terminée. La nourriture était alors abondante et les Celtes organisaient un grand festin de plats de saison pour se rassembler autour du fruit de leur travail tout en se racontant des histoires et en essayant de prédire leur fortune future. Découvrez quelques recettes traditionnelles simples, et les anecdotes qui vont avec (https://www.ireland.com/fr-be/activit%C3%A9s/boire-et-manger/articles/recettes-halloween/)

Saviez-vous qu'Halloween est née en Irlande celtique ? Remonter aux origines de cette fête, c'est se retrouver dans les brumes des terres ancestrales d'Irlande au moment du festival celtique de Samhain, une grande célébration du feu et de festins qui marquait la fin de la saison de la lumière et le début des jours sombres de l'hiver. Découvrez l'histoire des origines d'Halloween (https://media.ireland.com/fr-fr/story-ideas/local/french/l-irlande-celtique,-la-ou-halloween-est-ne)

Télétravail : des règles juridiques à redécouvrir...Dans l’Union européenne, plus d’un tiers des personnes travaillant actuellement ont commencé à télétravailler en raison de la pandémie, dont 37,2% dans notre pays. Aujourd’hui, le télétravail concerne de nombreux salariés traitant de l’information, avec différentes qualifications, en utilisant les technologies de l’information et de la communication. Actuellement, de façon générale, le télétravailleur a les mêmes droits que le salarié qui exécute son travail dans les locaux de l’entreprise. L’employeur doit veiller au respect de la législation sur le temps de travail. Il doit notamment s’assurer de la fiabilité du système de décompte des heures supplémentaires, comme cela a été souligné par le juge de l’Union européenne dans l’arrêt du 14 mai 2019, exigeant que la durée du travail quotidien des travailleurs soit enregistrée. Il en est ainsi même si le salarié gère librement ses horaires de travail. Quoiqu'il en soit, le salarié doit bénéficier des durées maximales du travail, notamment de la durée maximale hebdomadaire absolue de 48 heures, de la durée maximale hebdomadaire moyenne de 44 heures sur 12 semaines consécutives (46 heures en cas d’accord collectif dérogatoire) et de la durée maximale quotidienne de 10 heures (12 heures en cas d’accord collectif dérogatoire).Le salarié bénéficie des repos minimums, notamment du repos quotidien de 11 heures entre deux journées de travail et du repos hebdomadaire de 35 heures (aucune période d’astreinte ne peut être fixée pendant ces temps de repos minimum, le salarié bénéficie alors du « droit à la déconnexion » et l’entreprise a ainsi un « devoir de déconnexion »). Il en est ainsi, y compris en période de pandémie, et situations exceptionnelles mises à part qui sont appréciées de façon restrictives, comme cela a été rappelé récemment par le juge de l’Union européenne dans l’arrêt du 30 avril 2020.Dans ce cadre, l’accord collectif applicable ou, à défaut, la charte élaborée par l’employeur, de mise en place du télétravail dans l’entreprise, doit préciser les modalités de contrôle du temps de travail ou de régulation de la charge de travail. La mesure de la charge de travail en matière de traitement de l’information est une question délicate. La charge de travail, les normes de production et les critères de résultats exigés du télétravailleur doivent être équivalents à ceux des salariés en situation comparable travaillant dans les locaux de l’employeur. Des points de repère moyens identiques à ceux utilisés dans l’entreprise sont donnés au télétravailleur. La charge de travail et les délais d’exécution, évalués suivant les mêmes méthodes que celles utilisées pour les travaux exécutés dans les locaux de l’entreprise, doivent, en particulier, permettre au télétravailleur de bénéficier de la législation relative à la durée du travail, et tout spécialement la durée maximale du travail et les temps de repos.

L’employeur fournit, installe et entretient les équipements nécessaires au télétravail. Si, exceptionnellement, le télétravailleur utilise son propre équipement, l’employeur en assure l’adaptation et l’entretien.L’employeur fournit au télétravailleur un service approprié d’appui technique. Il assume la responsabilité des coûts liés à la perte ou à la détérioration des équipements et des données utilisés par le télétravailleur. L’employeur prend en charge, dans tous les cas, les coûts directement engendrés par ce travail (en particulier ceux liés aux communications, les frais d’électricité, d’ameublement, etc.). Celui-ci doit verser au salarié « une indemnité d’occupation du domicile à des fins professionnelles ».

L’employeur est notamment responsable de la protection de la santé et de la sécurité du télétravailleur, conformément aux dispositions européennes et aux dispositions légales. L’employeur informe le télétravailleur de la politique de l’entreprise en matière de santé et de sécurité au travail, en particulier, des règles relatives à l’utilisation des écrans de visualisation. Il assure l’application effective des prescriptions minimales de sécurité et de santé relatives au travail devant un écran. L’employeur s’assure que des mesures sont prises pour prévenir l’isolement du télétravailleur par rapport aux autres salariés de l’entreprise. Le télétravailleur doit avoir la possibilité de rencontrer régulièrement ses collègues et avoir accès aux informations de l’entreprise. L’accident survenu sur le lieu où est exercé le télétravail pendant l’exercice de l’activité professionnelle du télétravailleur est présumé être un accident de travail. Le télétravailleur peut demander une visite d’inspection (élus du personnel au Comité social et économique, inspection du Travail) à son domicile (concernant l’ergonomie de son poste de travail, les normes de sécurité des connexions électriques, etc.).

Suivant les choix effectués dans l’entreprise, le télétravail peut constituer une opportunité pour reconnaître aux salariés plus de liberté sur le contenu et l’organisation de leur travail. Cependant, cette modalité particulière de travail peut entraîner, dans une organisation du travail taylorienne, une aggravation de la charge de travail et du contrôle hiérarchique. Un des enjeux des futures négociations collectives sur le télétravail devrait concerner cette question essentielle de la liberté dans le travail. Par ailleurs, l’employeur est tenu de respecter la vie privée du télétravailleur. Dans ce cadre, l’accord collectif applicable ou, à défaut, la charte élaborée par l’employeur, doit préciser la détermination des plages horaires durant lesquelles l’employeur peut habituellement contacter le salarié en télétravail. Si un moyen de surveillance est mis en place, par l’employeur, il doit être pertinent et proportionné à l’objectif poursuivi. Le télétravailleur doit en être informé. Sa mise en place doit faire l’objet d’une information et d’une consultation préalable du comité social et économique.

Murmuration (https://murmuration-sas.com) ou le tourisme durable vu de très haut : en se servant de la plateforme Flockeo.com, cette jeune entreprise cartographie la planète pour disposer d'une photographie globale de l'état de la Terre et mieux mesurer l'impact de notre activité touristique sur l'environnement. Concrètement, les photos satellitaires permettent à Murmuration d'utiliser les données envoyées par satellite pour calculer le score environnemental d'une zone géographique donnée, sur plusoeurs années et à n'importe quel endroit de la planète. On peut ainsi attribuer une note environnementale à tel ou tel club de vacances (tout comme on note la performance écologique d'un réfrigérateur grâce à des codes de couleurs) pour mesurer l'impact de cette activité humaine sur la zone où elle se trouve. Cette mission est possible grâce à la plateforme Flockeo qui est dédiée à l'ensemble de la communauté internationale qui s'intéresse au tourisme durable : Flockeo.com (https://flockeo.com) propose en effet une carte interactive permettant de prendre connaissance d'une multitude d'indicateurs environnementaux sur toutes les régions du globe. Ladite carte est alimentée grâce aux données fournies par des banques de données statistiques et satellites. Au final, les voyageurs choisissent leurs destinations en fonction des objectifs de développement durable énoncés par l'organisme mondial du tourisme UNWTO.

 

« Est-ce que tu croix aux fées ? » est le dernier conte musical pour petits et grands (conseillé de 7 à 777 ans, c'est dire...) conçu par Hélène et Fancy, deux bonnes âmes qui nous invitent à pénétrer dans un monde merveilleux plein de surprises et de rêves, de quoi nous sortir de la torpeur dans laquelle notre société est plongée depuis des mois. Ce conte vous invite à traverser le voile invisible qui nous sépare du monde des fées et à faire ainsi un surprenant voyage...à offrir ou à s'offrir. CD digipack - 18€ (frais d'envoi offerts) - https://www.editions-plumedemouette.com


 

Créée en 2018, la marketplace mon-sejour-en-montagne.com est en passe de devenir LA référence pour la réservation de séjours en montagne. Cette année, elle renforce sa présence et son accompagnement envers les stations en fournissant une solution de marque blanche. Désormais, les stations de l'Alpe d'Huez, de Sainte-Foy Tarentaise et des Sybelles utiliseront la technologie créée par ESF pour les réservations dans leurs domaines. Dès l'automne la station d'Auron viendra s'ajouter à ces marques blanches. Une nouvelle preuve de confiance faite à cette place de marché qui, mois après mois, gagne du terrain et en visibilité. Le lancement de mon-sejour-en-montagne.com par esf il y a 2 ans avait pour objectif de rendre la montagne plus accessible à ses amoureux comme à ses futurs admirateurs. Des transports à l'hébergement, des remontées mécaniques au matériel, en passant par les cours et tout acteur qui souhaite rejoindre la plateforme (s'il dispose d'une offre numérisée), les clients accèdent en un seul et même endroit à toutes les options nécessaires pour réserver et programmer leurs séjours, hiver comme été. Le tout sans majoration ni frais de dossier. Car l'ADN de ce projet réside bien dans l'absence de démarche mercantile et dans la volonté de faire rayonner la montagne et tous les acteurs qui y contribuent. C'est un engagement sociétal fort de la part d'esf qui, en réunissant et valorisant ainsi les différents professionnels de la montagne, contribue à développer et encourager un tourisme durable et solidaire. 

>En 2020, Terre vivante fête ses 40 ans ! Que de chemin parcouru et que de projets précurseurs depuis ces années. Peut-être ne connaissez-vous pas Terre vivante (https://www.terrevivante.org/1968-les-pepites-de-terre-vivante.htm) mais rendez-vous sur le site et regardez cette série de douze vidéos qui vous dévoileront bien des aspects de ce site d'écologie pratique : un projet innovant (en 1980) qui a su s’adapter aux changements sociétaux pendant ces 40 années, tout en conservant ses valeurs initiales, et une vocation : transmettre l’écologie auprès des particuliers pour une mise en application au quotidien, des métiers : l’édition de livres pratiques / la réalisation d’un magazine de jardinage bio (le premier à être paru en France) / la création d’un Centre écologique proposant visites, stages, formations…une expertise dans les domaines du jardinage bio, de la cuisine saine, de la santé au naturel, de l’habitat écologique et des personnes-clé qui ont œuvré pour Terre vivante et ont fait (et continuent de faire ) avancer l’écologie. Ci-dessous, le descriptif de ces douze courtes vidéos :

N°1 : 1973, Claude Aubert, pionnier de l’agriculture bio en France - 7 ans avant la création de Terre vivante, un des fondateurs milite déjà pour un modèle agricole différent

N°2 : 1992, Bienvenue chez nous ! Le JT des Alpes fait le récit d’un chantier en cours à Mens - 1994, le Centre écologique de Terre vivante, situé à Mens, ouvre au public.

N°3 : 2004, Claude Fournier, entre passion et engagement - 10 ans après l’ouverture du Centre de Mens, les graines semées par Terre vivante ont fleuri

N°4 : 2000, Matériaux d’antan, constructions d’avenir - le Centre fait découvrir au plus grand nombre les techniques du bâti écologique qui arrivent tout juste en France

N°5 : 2000, Vincent, le jardinier pédagogue - Dans les années 2000, le Centre partage son savoir-faire auprès des écoliers

N°6 : 2002, Yves, le jardinier zen - Quelques années après l’ouverture du Centre, la terre des jardins de Mens est bien… vivante !

N°7 : 2004, L’union fait la force - Claude Fournier réaffirme les fondamentaux du jardinage bio

N°8 : 2002, Tous unis pour la qualité de l’eau ! - Terre vivante sensibilise le public à une problématique universelle

N°9 : 2009, La relève est là ! - Le message écologique est désormais largement répandu

N°10 : 2013, Quatre saisons et une revue - Plus de 30 ans après sa création, Terre vivante reste fidèle à l’esprit des pionniers

N°11 : 2016, Comprendre, apprendre, échanger - Les visiteurs s’inspirent de l’expérience de Terre vivante

N°12 : 2016, Cap sur l’agriculture urbaine ? - Le directeur actuel confie sa vision de l’avenir

Pour les amoureux de gastronomie nipponne, Euro Japan Crossing lance une gamme goumet et inédite de produits issus des plus beaux terroirs du Japon. Sélectionnée par un jury de prestige francophone (Sylvain Sendra chef étoilé du restaurant Fleur de Pavé, Maison Plisson, etc), la gamme 'débutante' est commercialisée dans une dizaine de points de vente à Paris ainsi qu'en E-shop. Des produits jamais commercialisés sur le marché français qui régalent les palais japanophiles du 19 octobre 2020 au 28 février 2021. Les amateurs trouvent ainsi des basiques de la gastronomie nippone , mais également des produits plus spécifiques et des condiments épicés aux douceurs suaves et sucrées. A titre d'exemple, on peut acheter le riz Koshihikari, les pâtes Udon, les nouilles Kahada, la Bakasco, sauce épicée originaire de la ville de Tokushima, le Yuzu Japaice (assaisonnement à base de yuzu et de piment) ou le vinaigre Gotoh. Il est également possible de se procurer les algues Kombu (Hokkaido), le bouillon traditionnel Furidashi à base de bonite, le miso sous la forme de graines croustillantes, la pâte de soja miso Yuzurikko, les mandarines séchées Satsuma, des nouilles Sobaa au sarrazin fraichement moulu Kyosoba, de l'ail noir fermenté, ou les Bekko, des bonbons traditionnels.

Il existe 50 raisons de découvrir cette sélection « débutante » de 50 produits,ne serait-ce que pour revivre chez soi l'authenticité et la typicité nippone sous l'égide de Euro Japan Crossing. A l'origine de cette initiative, le Ministère de l'agriculture, des forêts et de la pêche japonais, désireux d'étendre le marché des ingrédients et des produits japonais dans plusieurs métropoles mondiales, une sélection de produits à laquelle un jury prestigieux impliqué das le monde culinaire français a participé. Il sera possible d'acheter ces produits dans une sélection de boutiques ou par internet (https://takumif.com/shop/ ou Takumi Flavours Amazon sur le site Amazon habituel).


 

En France aussi, on a des idées...ou comment réinventer le tourisme en cinq tendances ! L'incubateur Welcome City Lab de Paris&Co et Atout France, partenaire du projet, ont récemment présenté le cinquième numéro du Cahier-Tendances, condensé exhaustif des nouveautés à suivre de près dans l'industrie touristique. Cinq idées ressortent d'un intense travail de réflexion que même la « pandémie » n'aura pas réussi à contrarier : 1) Prendre soin et rassurer mobilise la jeune pousse Qweekle (https://www.qweekle.com/fr) qui propose une solution pour un accueil fluide et sécurisé du public, avec une technologie de prise de rendez-vous, de réservation de créneau et de gestion des jauges. Très pratique aujourd'hui pour des musées, parcs d'attractions, piscines... 2) Utiliser la phygitalisation (mélange du présentiel et du virtuel) pour partir en vacances tout en restant chez soi grâce à la popularisation d'expériences immersives, dans l'espace physique comme dans l'espace virtuel, avec la création d'environnements 3D haut de gamme (https://www.talentmakingtalent.com). 3) Développement de la Low Tech (technologie peu gourmande en énergie), une technologie au service de l'environnement, comme Ouibike (https://www.ouibike.net) qui propose une plateforme sur laquelle les touristes peuvent réserver des vélos partout sur le territoire. Le réseau de loueurs partenaires va ensuite pouvoir exécuter les prestations. Une démarche de plus en plus demandée par les entreprises du tourisme, à l'instar des hôtels, qui peuvent offrir un service supplémentaire à leurs clients. 4) Gamification (utilisation du jeu) et immersion virtuelle s'allient pour rendre plus ludique la découverte, mais aussi d'enrichir des séminaires avec des expériences immersives. La jeune pousse Urban Expé (https://www.facebook.com/UrbanExpe/) propose ainsi des voyages depuis le salon en créant des capsules virtuelles immersives. S'appuyant sur la logique d'inspiration, elle peut par exemple développer des jeux pour faire découvrir des villes ou des sites culturels dans lesquels les utilisateurs n'ont qu'à bouger pour progresser et avancer dans les paysages, et voyager autrement. 5) Les villes comme concentrés d'innovations : celles-ci permettent de tester aisément les idées nouvelles, mais reflètent aussi l'apparition d'autres tendances prometteuses comme le développement durable, la végétalisation, la restauration ou la gamification. A suivre...


 

Jusqu'au 1er mars 2021, le Musée des Arts asiatiques de Nice (06) présente l'exposition « Corps célestes, Les nouvelles aventures de l'explorateur ». Partie d’un vieux casque de sableur abandonné, l’histoire commence après la personnalisation de l’accessoire et la création d’un costume lors d’une résidence de recherche artistique à Villematier en juillet 2018. À l’instar d’un Garcin acteur de son mini-théâtre ou d’un Méliès qui voyage sur la lune depuis son studio de Montreuil, Christelle Garric incarne elle-même l’Explorateur, un spationaute suivant une quête futuro-philosophique à travers les dimensions.

Un premier épisode de « l’Explorateur » est réalisé entre Barcelone et Toulouse en 2018. Le projet, dans un premier temps photographique, donne également lieu à un court-métrage de 14mn intitulé « épisode 1 : ode au futur intérieur ». Le second volet se déroule à Bangkok et met en scène la rencontre d’un voyageur cosmique avec une jeune Thaï dans différents quartiers de la mégapole, depuis les buildings de Huai Kwang jusqu’aux khlongs de Hua Mak en passant par les chantiers de Bang Sue et les temples de Thonburi. Le personnage y traverse des portes lui permettant de passer d’un monde à l’autre en jouant de flux énergétiques mystérieux. C’est ce projet narratif, empruntant aux codes du conte, du roman- photo, du cinéma et de la bande dessinée, qui est, en partie, présenté au musée départemental des arts asiatiques. Une nouvelle étape doit encore compléter ce projet. L’ensemble des images doivent, en effet, être montées et animées autour d’une bande son originale et prendre la forme d’un film photographique ou d’un diaporama sonore.

Qu’il s’agisse des grands explorateurs ou des acteurs de la conquête spatiale, rares sont les figures féminines dont on relate les aventures et dont on célèbre les exploits. Bien que notre imaginaire et notre mémoire soient profondément marqués par l’empreinte masculine, notre époque connait un tournant avec la réhabilitation de femmes scientifiques, sportives, aventurières ou encore artistes. Par le biais de L’Explorateur, qui est en fait une exploratrice, l’artiste interroge le spectateur sur l’identité, le genre et le statut du personnage et cherche une figure universelle au-delà du genre. Pas de rampe de lancement, ni de vaisseaux spatiaux. L’Explorateur ne semble pas bénéficier de technologies sophistiquées pour se déplacer et seuls un casque et une lampe constituent son équipement. Ce parti pris laisse une large part au fantasme et à l’imagination du spectateur, car, plutôt que les attributs de la science-fiction même, ce sont davantage le fantastique et l’onirisme que recherche la photographe. https://maa.departement06.fr/musee-des-arts-asiatiques-13422.html


 

Automne Gourmand en Centre-Val de Loire est une opération totalement novatrice sur notre territoire puisqu’elle fédère sous une même bannière de communication régionale les opérations de sept partenaires labellisés, associations départementales et interdépartementales de restaurateurs et offices de tourisme, menées dans les six départements.
Pas moins de 150 participants se sont portés volontaires pour porter haut les couleurs d’une gastronomie authentique, de qualité et responsable, élément incontournable de notre patrimoine culturel et de notre identité régionale. Chaque représentant d’association de restaurateurs ou d’office de tourisme adhérant à l’opération Automne Gourmand s’engage à respecter La charte d’engagement des restaurateurs, charte consistant à utiliser des produits frais prioritairement de la région, valoriser les vins du Val de Loire et du Centre-Loire, élaborer la cuisine au sein de l’établissement, proposer un accueil et un service de qualité  à la clientèle, et former le personnel de salle à la connaissance  du menu et des produits. Les restaurateurs se verront remettre quant à eux un kit de communication par la Région Centre-Val de Loire qui permettra aux visiteurs et touristes d’identifier facilement les établissements référencés.

 

Les nouvelles habitudes de voyage des Français en six chiffres : Le tourisme national, tout particulièrement à la campagne emporte l'adhésion de 40% de nos compatriotes depuis la crise du coronavirus. 19% des Français interrogés (tout de même!) prévoient de ne pas envisager de déplacement tant que la COVID persistera. 45% des sondés considèrent que les pratiques écologiques visant à compenser leur empreinte carbone influeront à l'avenir sur le choix des prestataires en matière de tourisme et de transport. Un tiers des Français déclarent opter désormais pour des voyages en famille. 68% de nos compatriotes attachent une importance particulière au rapport qualité/prix en matière de tourisme et 66% d'entre eux sont attentifs à la flexibilité des conditions de réservation en temps de crise sanitaire.

 

Alors, êtes-vous plutôt crêpe ou galette ? Pour la dernière fois, retrouvons cette exposition collective en nous rendant cette fois au Musée départemental breton de Quimper (29) qui présente à son tour cette exposition.

Yves

Classement des dix premiers pays qui ont visité ce site la semaine dernière : 1) France 2) Etats-Unis 3) Canada 4) Argentine 5) Grèce 6) Belgique 7) Allemagne 8) Gabon 9) Maroc 10) Mexique

 

 




Exposition "Et vous? Êtes-vous plutôt crêpe ou galette?"- Musée départemental breton (29) (Quimper, Finistère, France)


Cet été, j'ai parcouru la Bretagne pour visiter quatre des cinq expositions traitant de la crêpe et de la galette sous ses différents aspects. A l'exception de celle du Musée départemental breton de Quimper (29) puisqu'elle celle-ci n'ouvrit ses portes au public que le 17 octobre dernier. Ce musée d'art de d'histoire du Finistère ne pouvait faire l'impasse sur un sujet aussi séduisant, et assurément le plus savoureux marqueur d'une forte identité régionale. Cette fois, le sujet abordé est comment crêpes et galettes ont gagné leurs lettres de noblesse après avoir été plutôt dépréciées au 19e siècle, et comment ce plat « du pauvre » est-il devenu un mets gastronomique breton ? Comment cette crêpe s'est-elle imposée à Quimper et par quels moyens ? Où, avec qui et comment la mange t-on ? Bref, une crêpe représentée par son authenticité, son identité et son universalité. Vaste sujet qu'aborde avec brio cette cinquième exposition intitulée « Et vous ? Êtes-vous plutôt crêpe ou galette ? » (...)


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