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Lettre envoyée le 03/01/2022


 

 

Lundi 3 janvier 2022                                                                                   La Lettre N°567

 

Foi et prière... contre tyrannie!

 

Face à un génocide des peuples programmé de longue date, la bonne vieille technique du harcèlement et de la peur est mise en œuvre face à des êtres humains si conditionnés par leur style de vie qu'une grande majorité d'entre eux rechigne à se poser des questions et à sortir de leur zone de confort. N'ont-ils pourtant pas remarqué qu'on nous trimballe depuis deux ans avec des promesses non tenues, puis des injonctions à se faire injecter un produit improbable, une fois, deux fois, trois fois ?... et on parle maintenant d'une quatrième dose ! Comment ne pas douter de nos élites devant les revirements successifs, la réduction des libertés fondamentales, l'acharnement à vouloir monter les citoyens (vaccinés, mais également contaminants !) contre les autres (non-vaccinés, et désormais sous-citoyens dont un ministre déclarait il y a quelques jours « qu'ils ne passeraient plus pour longtemps entre les gouttes de la vaccination » !).

Et le peuple de se laisser asservir à grand coups de matraquage médiatique…

J'ai revu récemment le film « Les dix commandements ». Le peuple juif exploité par le pharaon d'Egypte.

La colère de Moïse envers ceux qui vénéraient le veau d'or et cette longue marche qui conduira à la libération de ces êtres opprimés. Qu'on le veuille ou non, l'Histoire se répète, et il appartient à chacun d'entre nous d'ouvrir les yeux et de garder la foi en la vérité, en vous-même ou en Dieu si vous y croyez, peu importe. Autrement dit, votre esprit et votre corps vous appartiennent et nul ne peut se les approprier, sauf à vouloir vous transformer en esclave.

De la même manière, la tyrannie ne dure qu'un temps. Rien n'est perdu, il s'agit juste de vouloir s'en sortir. Voilà le message d'espoir que je vous adresse en ce début d'année.

Certains croient aux prophéties et d'autres, pas.

Pour ma part, je suis convaincu que certaines personnes ont le pouvoir de ressentir des choses et de nous les transmettre, mais peu d'entre nous y accorde de l'attention, occupés que nous sommes à (ne) vivre (que) l'instant présent. Je me suis toujours projeté dans le futur, trop peut-être, afin de prévoir ce qui pouvait l'être et de me préparer en conséquence. Un homme averti n'en vaut-il pas deux ? Face à la situation actuelle, on découvre que certains auteurs avaient prévu il y a déjà quelques années ce qui arrive aujourd'hui ou qui risque éventuellement d’arriver...

Machiavel n'écrivait-il pas, au XVIème siècle : « Jamais il n'y eut dans le monde de grands évènements qui n'aient été prédits de quelque manière » ?

Pour peu qu'on s'y intéresse, et qu'on sache les déchiffrer, les prophéties contiennent certains éléments permettant de comprendre notre époque et d'en tirer un aperçu des conséquences potentielles.

Il est vrai que pris de manière isolée, chaque événement annoncé ressemble plus à une divagation d'illuminé qu'à un fait avéré. En revanche, si l'on étudie de près les prophéties et si on croise leurs références, un schéma chronologique et géographique se dégage, qui, certes, nous dépeint un avenir sombre fait d'innombrables maux, heurts, terreurs, faillites, révolutions, famines et guerres mais après tout, l'histoire du monde n'est-elle pas faite de ces ingrédients ? C'est triste mais c'est ainsi.

Derrière ces abominations, il y a toujours un signe d'espoir, une issue.

Ainsi, si on considère les prophéties chrétiennes, généralement jugées fiables, on peut y voir le déroulement d'une révélation (qui est celle de Dieu) à l'humanité concomitante au jugement des nations et à un grand reset d'un monde devenu corrompu et rebelle à son Créateur.

Marie-Julie Jahenny, annonça ainsi (https://data.over-blog-kiwi.com/0/89/71/35/20140120/ob_736d59_les-amis-de-marie-julie-jahenny.pdf ) ses propres prédictions :

Islamo-révolution précédée par l'entrée en France d'un grand nombre d'étrangers qu'il sera impossible de renvoyer, et autres précieux indices désignant les années 2020-2024 comme étant la période la plus critique du conflit civil français.

Nostradamus décrivait, il y a plus de cinq siècles, un grand conflit entre Orient et Occident, mentionnant la victoire provisoire de « Mahomet », avant celle, définitive, du Grand Roi eschatologique et du Grand Pape « Petrus Romanus » nommé par Saint Malachie. Et Nostradamus de citer 2017 comme le commencement de ce scénario.

Le prophète Daniel, qui interpréta les songes de Nabuchodonosor, décrit sept temps (périodes) où dominent les Gentils (du latin Gentiles, « nations »).

Quant à la Fin des Temps, souvent mentionnée, elle signifie simplement l'achèvement des époques accordées au règne des nations et aux non juifs avant que ne vienne la Vérité Universelle « révélée par Dieu » à l'humanité.

Mentionnons aussi Alois Irlmaier (https://lepetitrapporteurdunet.unblog.fr/2015/03/17/les-propheties-dalois-irlmaier-et-la-3eme-guerre-mondiale-ce-precise/comment-page-1/ ), qui détailla la période séparant les deuxième et troisième conflits mondiaux (à venir), à savoir :

Bien-être matériel omniprésent, perte de la Foi, perversion des mœurs, arrivée d'un nombre important d'étrangers, forte inflation dévaluant les monnaies, révolution, et attaque de l'Europe de l'Ouest par les Russes.

D'autres détails confortent les prédictions à venir d'ici à 2033 : Islam, athéisme, laïcité conquérante et réveil du paganisme laissent entrevoir des guerres de religions annoncées. Le tiers-monde (surtout l'Afrique) déborde et l'Europe devra absorber tant bien que mal ce trop-plein d'humanité miséreuse, jusqu'à la dissolution des institutions européennes. Le règne de l'aveuglement militant et de la folie finale où la doxa interdit toute discrimination.

Chacun devient son propre Dieu et se croit en mesure de définir réalité et vérité. Le virtuel s'installe jusqu'à la suppression de l'argent liquide. Et les calculs de se recouper pour établir que la période 2017-2033 est celle de cette Révélation, qui débutera par une faillite universelle, conduisant à des guerres civiles puis au 3ème conflit mondial (lequel ne s'achèvera que par l'avènement du Grand Roi mentionné plus haut). Ces prophéties sont autant de perches tendues pour nous préparer à l'impensable.

Un appel pressant à retrouver cette Foi et à reprendre en considération notre fin dernière.

Certains d'entre nous (moi le premier) s'intéressent à la chronologie des évènements à venir.

Au risque de décevoir, point de date précise mais une succession d'évènements « censés survenir » entre 2017 et 2033 évidemment en espérant que la plupart ne se produisent jamais bien que la situation actuelle laisse craindre le pire quand même… :

 

  • Ruine morale et spirituelle de la civilisation occidentale

  • Faillites universelles, effondrement des bourses et des institutions financières, des monnaies fiduciaires et virtuelles

  • Avertissement (probablement spirituel) et miracle

  • Apparition d'Al-Mahdi, le messie musulman, en Perse (https://youtu.be/EAyz6ax9v7s )

  • Emeutes, puis guerre civile ethnico-religieuse en Angleterre et fin probable de la monarchie anglaise

  • Guerre civile, révolutionnaire, ethnique et religieuse en France

  • Dissolution de l'Union européenne et fin des Républiques

  • Terreur islamo-révolutionnaire, et conversion officielle de la France à l'Islam

  • Aurora boréale annonciatrice du prochain conflit

  • Apparitions de maladies mortelles inconnues

  • Phénomènes terrestres destructeurs (tornades, cyclones, inondations, tsunamis, tremblements de terre, réveils volcaniques...)

  • Offensive russe en Europe de l'Ouest

  • Grande famine mondiale

  • Invasion de l'Europe par l'Empire islamique via la Méditerranée

  • Evènements célestes remarquables durant les persécutions anti-chrétiennes

  • Destruction de Paris

  • Trois jours de ténèbres

  • Faux rois suscités par la manipulation des prophéties

  • Chaos jusqu'à l'aube des années 2030, guérillas et barbaries (fin des conflits vers 2030-2033)

  • Emergence d'un Français de la lignée d'Hugues Capet et de Saint-Louis, décrit comme invincible par Nostradamus, et apparition du dernier pape, restauration de l'Eglise et anéantissement de toutes les sectes et de l'Islam

  • 25 années de paix

  • Les évènements postérieurs concerneraient la venue d'un possible successeur du Grand Roi, dernier Empereur d'Occident, puis venue de l'Ante-Christ.

 

Quant à la géographie des conflits, elle sera mondiale, même si l'Europe sera le continent le plus touché. Il y aura malgré tout de rares ilots de survie :

  • La Bretagne (partiellement protégée, conformément aux prédictions de Marie-Julie Jahenny)

  • La Suisse (qui dispose traditionnellement d'un fort potentiel de résistance aux invasions)

  • Le Portugal (terre des apparitions de Fatima, et pays européen le plus excentré qui pourrait donc être le plus préservé)

  • Madagascar (île normalement protégée des invasions terrestres, et dont la population est majoritairement chrétienne. La présence musulmane radicale croissante pourrait bien exploser lors de l'apparition d'Al-Mahdi)

  • La Papouasie-Nouvelle-Guinée, très excentrée et majoritairement chrétienne a un bon potentiel de survie

  • Les Philippines pourraient bien devenir une cible privilégiée pour les islamistes

  • La Nouvelle-Zélande, excentrée, est considérée comme un haut-lieu du survivalisme (hors trajectoire d'éventuels nuages radioactifs). Plusieurs milliardaires y ont déjà construit des abris anti atomiques

  • L'Australie (également excentrée, peut représenter un bon potentiel de survie)

  • Le Groenland (aucune prophétie ne mentionne cette zone comme impliquée dans le conflit mondial)

  • La Terre de Feu (lieu isolé à bon potentiel de survie)

  • Les Caraïbes (ne sont pas présentes sur l'axe des invasions annoncées, mais potentiel de protection mitigé compte tenu de la présence du terrorisme islamique à Trinidad-et-Tobago)

 

Et la France ? toujours selon les prédictions, elle sera la première mise au tombeau par les calamités et les guerres, mais aussi la première ressuscitée par le signe de miséricorde divine que doit être la venue du Grand Roi Henri V de la Croix. Avant cela, notre pauvre pays devra subir la guerre civile et la terreur islamo-révolutionnaire favorisée par les invasions migratoires. La France, déjà sous occupation étrangère, n'attend plus que le basculement qui fera d'elle une terre mahométane. Lors de la guerre civile, les régions les plus dangereuses seront :

  • La région Nord (Lille-Roubaix) déjà gangrenée par la violence et la délinquance. Pour les envahisseurs, cette région descendra jusqu'à la Vendée et la Normandie. La ville d'Amiens devrait être particulièrement punie (grands désordres par le feu et les armes).

  • La région parisienne (Paris et banlieues) : plus de cinquante prophéties s'expriment sur la destruction complète de la capitale française. Et Paris d'être l'une des pires villes où se trouver lors de ces prochains conflits. Paris serait ainsi brûlé par des insurgés eux-mêmes français. Un autre phénomène, surnaturel celui-là, entrerait en compte dans la destruction de Paris, puisque les prophéties évoquent des tremblements de terre 43 jours durant. La capitale ne sera plus qu'un mur de feu.

  • La région lyonnaise : lors de leur invasion de notre pays, les Russes pénétreront début août avec des armées de chars vers Lyon

  • Les Bouches-du-Rhône, le Gard et l'Hérault. Cette zone devrait être la plus concernée par le conflit intérieur et les invasions navales islamiques venues de l'extérieur. Al-Mahdi débarquera avec ses troupes entre Marseille et la Seyne-sur-Mer.

 

En Europe de l'Ouest, les prophéties d'Alois Irlmaier et d'Erna Stieglitz relatives au troisième conflit mondial décrivent une Allemagne dévastée par l'invasion russe, l'anéantissement de ses troupes puis le retour à la paix dans un pays dépeuplé. Cette invasion russe serait-elle une réponse à la désinvolture des dirigeants européens dans la crise de l'Ukraine que nous vivons actuellement ? A moins qu'il ne s'agisse, comme le prophétise Erna Stieglitz, de la conséquence d'un conflit moyen-oriental prochain contre la Russie et ses champs pétrolifères. A voir.

L'Angleterre, elle, connaitra un nouveau règne. Sera-ce la fin de la monarchie anglaise ?... Le royaume sera plus que jamais divisé au moment où une partie de l'Angleterre (dont le sud et ses îles) sera engloutie par les flots déchainés qui envahiront la côte de la mer du Nord à la Belgique. Des tremblements de terre sont aussi annoncés, et l'Irlande n'évitera pas les inondations.

L'Espagne, elle aussi, ne sera pas épargnée, et ses maux seront si cruels qu'ils dépasseront les horreurs des révolutions passées. De son côté, l'Italie connaitra de grands troubles avant d'être purifiée. Calamités, tremblements de terre et maladies contagieuses s'abattront sur elle et les mécréants périront à leur tour.

En Europe de l'Est, Alois Irlmaier nous livre diverses informations détaillées sur l'invasion russe et le lieu d'origine de ce conflit. Cette invasion sera déclenchée après l'assassinat de trois personnages de haut rang. Un premier meurtre aura lieu dans les Balkans, puis un deuxième, et un troisième, à l'aide d'un poignard. Après l'écroulement de l'économie, les Russes se mettront en marche, passant par Prague, puis se dirigeant sur la Ruhr avant d'atteindre Berlin.

Il est prédit que les Etats-Unis oeuvreront activement sur le front Est, mais en pure perte. Trois fronts russes se dirigeront durant l'été, sans doute en juillet (vers la Turquie et la Grèce) puis fin juillet (attaques éclairs en Europe de l'Ouest). Au final, Prague sera détruite et les plus grandes destructions en Europe surviendront lorsque la Russie perdra la guerre. Une guerre courte (trois mois durant) mais terrible.

En Asie Mineure et au Moyen-Orient, on assistera à l'anéantissement des troupes russes, puis à l'invasion de la Russie par...les Turcs. Nostradamus brosse un tableau apocalyptique de la destinée d'Israël, avec la chute d'un grand mur dont on présume qu'il s'agit probablement de la chute du mur de sécurité de Jérusalem.

En conclusion :

Evidemment tout ceci est un tableau extrêmement noir et assez peu probable mais si les peuples ne prennent pas garde aux manœuvres actuelles de leurs dirigeants, certaines choses sont tout de même à craindre !

Toutes ces prophéties, qui ne doivent pas être prises au pied de la lettre, sont uniquement là pour nous inciter à ouvrir les yeux sur un monde sans cesse en devenir.

Certaines abominations annoncées seront, si elles se produisent, plus supportables si nous y sommes préparés et si nous acceptons de regarder en face la réalité d'un monde corrompu.

La détermination populaire devra être entière : plus les repères traditionnels seront effacés, plus la famille sera anéantie, plus les invasions migratoires et l'islamisation progresseront, plus le libéralisme et l'immoralité progresseront, plus le virtuel remplacera le réel. La nature a horreur des faibles tout comme elle a horreur du vide. A nous de combattre la tyrannie pour regagner et maintenir nos libertés !

LE CLIN D'OEIL DE VALERIE !

A la fois, (ex) royaume et refuge, la Bretagne a aussi son maquis. Entre landes, rocs et tourbières, voici les Monts d'Arrée. La légende y voit les portes de l'Enfer, encore faut-il préciser à qui est destiné celui-ci, car « le toit de la Bretagne » semble plutôt nous rapprocher du divin. Certes, les modestes sommets (culminant à presque 400 mètres !) en feront sourire bien plus d'un mais le charme de l'endroit réside dans la beauté des paysages : sauvages, irréels, inattendus, peuplés de légendes, de contes et d'histoires fantastiques, les monts d'Arrée sont constitués de landes, et les rocs surplombant les immenses tapis de bruyères et d'ajoncs côtoient les nuages. Ce massif qui fut formé il y a 200 millions d'années, lors du plissement hercynien, est encore assez marqué malgré son érosion, et forme une frontière entre Léon et Cornouaille. Et cet ensemble d'être naturellement inclus dans le Parc Naturel d'Armorique lors de sa création en 1969. Ce territoire forme le plus vaste ensemble de landes atlantiques de France, avec une superficie de plus de 10 000 hectares. En 1937, un lac de quelques 450 hectares noiera une partie des tourbières, changeant ainsi le visage de « Yeun Elez », incontournable miroir reflétant depuis l'humeur changeante des cieux bretons. Comme pour le lac de Guerlédan, c'est à la fée électricité que l'on doit cette retenue d'eau artificielle, laquelle alimenta d'abord une petite centrale électrique en aval sur l'Elez, avant d'être utilisée pour le fonctionnement de l'ancienne centrale nucléaire de Brennilis. Il reste aujourd'hui un circuit de randonnée pédestre de 15 km qui invite à faire le tour du lac, lequel offre des berges en pente douce faites de prairies, landes et tourbières dont celle du Vénec classée réserve naturelle nationale. Bretagne Vivante (tél : 06 07 22 91 77 et www.bretagne-vivante.Org) propose de découvrir cette zone humide exceptionnelle lors de balades accompagnées. Sachez enfin qu'un centre d'information du public situé sur le site de la centrale permet de découvrir l'histoire de l'électricité

(Tél 02 98 99 69 06).

UN PEU PLUS D'HUMOUR

Le virus à Maman (Pierre Perret) : https://youtu.be/2F9CHq3oUe0

SEQUENCE NOSTALGIE

Un de mes moments de bonheur télévisuels fut Les Aventures de Pinocchio. Feuilleton télévisé italien en six épisodes de 55 minutes adapté du conte de fée de Carlo Collodi, réalisé par Luigi Comencini, et diffusé pour la première fois en avril 1972 sur la RAI. Puis, le feuilleton deviendra un film de 135 minutes afin d'en permettre la diffusion dans les salles françaises dès août 1975. L'histoire est celle d'un village de Toscane de la fin du 19ème siècle. Employés du forain et marionnettiste Mangiafuoco, le « Chat » et le « Renard » distribuent des affiches pour le spectacle. Ce qui donne l'idée au menuisier Geppetto de se fabriquer une marionnette. Avare, son maitre, Maitre Cerise fait tout de même don à Geppetto d'une bûche dont il n'avait plus l'usage. Une fois achevée, le pauvre menuisier donna à sa marionnette le nom de Pinocchio, et celle-ci se mit soudainement à bouger, puis à parler. Il ne manquera plus, la nuit suivante, que l'intervention d'une fée pour transformer la marionnette en... petit garçon. L'enfant turbulent sera menacé d'être ramené à l'état de pantin en cas de bêtise de sa part...

Générique : https://youtu.be/1uAGixLQUjQ et épisodes : https://youtu.be/sBseEF43bJU , https://youtu.be/8K-2sJ-3kRI , https://youtu.be/8BH6Afq8c3I

VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR...

  • Les Pays-Bas et les narco-trafiquants : Aux Pays-Bas, les autorités s'inquiètent de menaces pouvant émaner de narco-trafiquants. Quatre jours après l'attaque d'un journaliste, un studio de télé a dû être évacué à Amsterdam https://fr.euronews.com/2021/07/11/pays-bas-les-menaces-de-narco-trafiquants
  • L'ingéniosité française : trois ingénieurs textiles ont ouvert un bar d'un genre nouveau à Roubaix (Nord) où l'on vient prendre un verre pour s'initier au tricot. Ce bar-atelier abrite des machines à tricoter japonaises qui permettent la production (à la demande) d'une dizaine de vêtements personnalisables. Les tricots sont faits de coton bio et de laine mérinos et portent la certification « Global Organic Textile Standard », garantissant la qualité bio, et le respect de l'environnement et des conditions de travail. Les (nombreuses) commandes sont pour l'instant honorées sur le champ. Mais devant l'afflux des commandes, et pour éviter d'avoir maille à partir avec les clients et de finir avec les nerfs en pelote, les trois compères envisagent d'embaucher un salarié et de commander une autre tricoteuse japonaise. www.lestroistricoteurs.fr

  • Livre « Le grand désordre hormonal » de Corinne Lalo (Cherche-Midi). "Vaccins, médicaments et produits chimiques, on nous empoisonne !" https://youtu.be/UGeFrgmqxyE

  • Proposition de Maitre Brusa de réclamer aux laboratoires pharmaceutiques une compensation financière en tant que cobaye ayant expérimenté un « vaccin » toujours en phase d'essai. Rendez-vous sur www.reaction19.fr pour se tenir informé du projet de réclamation collective à venir (détails sur la vidéo « Novavax...No Vax», (à la 43ème minute de la vidéo).

  • Livre « Histoire du COVID-19 » de Valérie Lounnas, avec Gérard Guillaume et Xavier Azalbert. Cet ouvrage retrace de façon abrégée le récit du Covid-19 publié en feuilleton sur le site de France Soir entre fin août 2020 et début mars 2021. Pour connaître la vérité cachée derrière ce qui a été affirmé péremptoirement par les médias depuis le début de la pandémie. 317 pages, 24,79€.

  • Des généticiens suggèrent que la maladie cible principalement le système immunitaire et non les poumons, et considèrent la possibilité d'un nouveau traitement à base d'antioxidants : https://fr.timesofisrael.com/une-etude-israelienne-invite-a-repenser-la-nature-de-la-covid/

  • CSI (Conseil Scientifique Indépendant) avec Laurent Toubiana (à la 45è minute de l'émission) : https://crowdbunker.com/v/QnmLVJh9

QUOI DE NEUF EN CRYPTO ?

  • La crypto-banque suisse SEBA, agréée par l'Autorité Fédérale de surveillance des marchés financiers (FINMA), lance un token adossé à de l'or physique, le Gold Token : L'objectif est de proposer la propriété numérique de l'or physique tout en bénéficiant de sa réserve de valeur. Ce token permet de bénéficier de plusieurs choses : investir dans l'or physique de manière décentralisée ; un token règlementé qui offre un règlement sécurisé des transactions et des échanges ; un token qui permet aux investisseurs de racheter leur or physique à la demande et à tout moment auprès des raffineries partenaires.L'objectif de ce nouveau service est de pouvoir bénéficier de la réserve de valeur que promet l'or et d'utiliser ce token comme un stablecoin. En effet, ce dernier peut être une contrepartie pour les institutionnels qui recherchent de la stabilité afin de se prémunir de la volatilité des marchés traditionnels et des cryptomonnaies.

  • Une communauté équatorienne adopte le Bitcoin comme monnaie locale : un jour où l'homme d'affaires Mauricio Rubio tenait un podcast sur le sujet du Bitcoin et plus largement du développement des cryptomonnaies, une habitante de la communauté des Píntag Amaru (de 40 habitants) l'aurait entendu et lui aurait alors proposé de venir au sein de son village pour leur en parler davantage. L'homme décrit les habitants comme une communauté de paysans où « tout ce qu'ils sèment, ils le sèment sans engrais chimique d'aucune sorte. Ils essayent de défendre leur autosuffisance, la reforestation, et cela tout en vivant à 3000 mètres d'altitude ». Pour lui, cela est en accord avec la volonté pour la plupart des détenteurs de bitcoins de vivre en autonomie, loin du système bancaire que nous connaissons.

  • Une belle année 2021 pour les cryptomonnaies : on notera que 2021 a été bénéfique pour la plupart des projets majeurs. Dans le top 3 des cryptomonnaies les plus capitalisées, le roi Bitcoin (BTC) progresse ainsi de +92 % sur l’année. Il est cependant dépassé par un Ether (ETH) en grande forme, avec un bond de +538 % sur les douze derniers mois. De son côté, le BNB de Binance a lui aussi progressé fortement malgré l’émergence de concurrents : il prend +1 531 % sur la même période. Il suffit aussi de voir l’évolution de la capitalisation totale des cryptomonnaies pour se convaincre de l’enthousiasme qui a porté les projets en 2021. Au 1er janvier 2021, la capitalisation totale n’affichait « que » 756 milliards de dollars. Elle dépasse désormais 2 500 milliards de dollars…

LE PETIT MANUEL DU RESISTANT

ACTIVONS NOS NEURONES

Pour vous présenter mes meilleurs vœux pour 2022, j'ai pensé aborder un thème original, celui de drôles de métiers, dont on ne connait pas toujours l'existence mais qui possèdent un sacré savoir-faire tout en restant essentiels.

Prenez par exemple le fabricant de sonnailles. Celui-ci évoque immédiatement le son des clochettes des vaches dans les alpes bavaroises, mais, pour le vacher, le son de la cloche est important car il doit être profond, puissant et harmonieux. Fabriquer une sonnaille (cloche) nécessite entre deux et huit heures de travail de forge, et jusqu'à 25 000 coups de marteau pour une cloche d'environ 2,5 kg et 45 cm.

 

Pour réparer les poupées ou autres objets de notre enfance, la chirurgienne de peluches est là pour remettre en place pattes arrachées, membres désarticulés et visages défaits. En Ecosse, un hôpital des jouets est spécialement chargé de ce genre de chirurgie réparatrice à Edimbourg. On y traite environ dix peluches par semaine et les propriétaires de ces objets sont rassérénés de retrouver leur chère peluche après l'intervention salvatrice.

 

Au golf, il y a les joueurs et... les pêcheurs de balles de golf. Certains prennent d'ailleurs du plaisir à partir à la chasse aux balles égarées ici et là, mais les repêcher au fond de l'eau requiert plus de moyens. En Suède, il existe même une entreprise spécialisée pour cela (Golfballdivers.se) qui intervient même à l'étranger. Chaque étang permet de récupérer de 500 à plusieurs milliers de balles. Et les plongeurs de retrouver aussi équipements de golf, téléphones, patins, poêle à frire et caisse enregistreuse. Une fois repêchées, les balles sont revendues à des détaillants en ligne.

 

Et Lego dans tout cela ? Il a aussi généré un métier, celui d'artiste aux briques Lego : Dirk, citoyen belge vivant à Anvers s'est fait une spécialité de créer des œuvres uniquement constituées de pièces de Lego. Chaque œuvre lui demande 35 heures de travail réparties sur un mois. Notre homme est si talentueux qu'il a depuis décroché le titre de septième « professionnel Lego certifié » dans le monde. Sa petite société, Amazings, lui permet de créer et d'exposer ses œuvres dont des mosaïques 2D.

 

Eve Kastner, elle, a choisi le métier de tondeuse de... lamas et d'alpagas. Vivant en Dordogne, ces animaux ont besoin d'être tondus régulièrement sous ces latitudes, sous peine de mourir de chaud. Depuis 2015, la jeune femme s'est constituée une clientèle de cent clients en France et a tondu près de 400 animaux rien qu'en 2020. Voilà un métier au poil !

DU COTE DE CHEZ NOUS

Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix. L'homme, qui a manifestement de la conversation, possède sa chaine Campagnol Tvl (https://odysee.com/@campagnoltvl:2) sur laquelle il diffuse ses vidéos : https://youtu.be/ugDRHYt0Nbg

Retours sur Molière, à la BnF (Paris) le 8 janvier 2022

Pour célébrer le quatrième centenaire de la naissance de Molière, la BnF propose un colloque co-organisé avec l’Université de la Sorbonne, suivi de la projection de Molière ou la vie d'un honnête homme réalisé par Ariane Mnouchkine. Entrée gratuite, le 8 janvier 2021, de 9h30 à 18h00, au Petit auditorium (François Mitterrand) https://www.bnf.fr/fr/agenda/retours-sur-moliere

Le Musée Zadkine (Paris) célèbre ses 40 ans en 2022

Le musée Zadkine fêtera ses 40 ans en 2022. 40 ans, c’est presque le temps que l’artiste a passé sur place avec son épouse artiste peintre de 1928 à 1967. Grace au legs consenti par Valentine Prax, veuve du sculpteur, à la Ville de Paris, instituée légataire universelle de ses biens en 1982, ce lieu est devenu le conservatoire de son œuvre. Un accrochage soulignera les acquisitions majeures réalisées depuis l’inauguration du musée ainsi que l’évolution de ce lieu plein de charme, des photos d’archives illustrant la métamorphose de cet atelier en musée qui a su garder son âme. Cet anniversaire sera aussi l’occasion de publier un ouvrage rassemblant les chefs-d’œuvre d’Ossip Zadkine avec le concours des meilleurs spécialistes. https://www.zadkine.paris.fr


L'Orchestre de Picardie au Musée de Picardie du 7 au 13 janvier 2022, à Amiens (80)

Le Musée de Picardie accueille l'Orchestre de Picardie en ce début d'année. En plein cœur de la ville d'Amiens, ce musée des beaux-arts, qui possède des collections de rayonnement international, sera un merveilleux endroit pour y passer sa pause déjeuner en musique ou écouter une répétition ou un concert :

  • Vendredi 7 janvier, de 9h30 à 12h et de 14h à 15h30 : Répétition, Gabriel Fauré : Pavane, Pelléas et Mélisande, Masques et Bergamasques

  • Samedi 8 janvier à 20h00 : Répétition, Gabriel Fauré : Pavane, Pelléas et Mélisande, Masques et Bergamasques. Sur réservation. 15€.

  • Dimanche 9 janvier à 15h00 : rencontre « Point de vue » avec Pierre Brouchod, directeur général de l'Orchestre de Picardie. Activité gratuite, comprise dans le prix du billet d'entrée.

  • Mardi 11 janvier, de 9h30 à 12h00 et de 13h30 à 16h00 : répétitions Ludwig van Beethoven : Symphonie N°2

  • Mercredi 12 janvier, de 12h30 à 13h30 : La pause musicale d'Arie van Beek. Ludwig van Beethoven : Symphonie N°2. Entrée gratuite.

https://www.amiens.fr/Vivre-a-Amiens/Culture-Patrimoine/Etablissements-culturels/Musee-de-Picardie

Une bonne bière, pour bien commencer l'année

Deck & Donohue et Justin Kent, chef du Milagro proposent une recette de mousse au chocolat à la Makkuro, bière intense aux saveurs torréfiées.

La bière Makkuro de Deck & Donohue : Pour cette version XO extra Porter, Deck & Donohue élève cette bière brassée en 2019 pendant deux ans, dans des barriques de Cognac. La barrique avait précédemment contenu le Umami gin de Audemus Spirits pour une complexité végétale encore renforcée. Une bière noire de dégustation, dense et corsée, presque liquoreuse. Un caractère torréfié, des notes de noix fraîche et une pointe de fraicheur mentholée.

Cette bière (et le dessert qui va avec) est à déguster au restaurant Le Milagro, 85 Avenue Bosquet, à Paris (7ème). A consommer avec modération, selon la formule consacrée...

Les paris de l'art en janvier 2022

Du 14 octobre 2021 au 17 juin 2022 Paris Musées propose des cours d’histoire de l’art à destination de tous les passionnés, amateurs d’art et amoureux de Paris :

  • La Société parisienne à travers les portraits au 17ème siècle. A l'Auditorium le 6 janvier 2022 à 15h30 et le 7 janvier à 18h30. Cours en ligne le 11 janvier 2022

  • Hôtels particuliers : architecture, décors, mobilier, à l'Auditorium le 13 janvier 2022 à 15h30 et le 14 janvier à 18h30. Cours en ligne le 18 février 2022.

  • Paris invente le luxe : les marchands-merciers au 18ème siècle. A l'Auditorium le 27 janvier 2022 à 15h30 et le 28 janvier à 18h30. Cours en ligne le 1er février 2022.

Informations et tarifs : www.parismusees.paris.fr/fr/les-paris-de-l-art


Exposition « Le mystère Mithra – Plongée au cœur d'un culte romain », jusqu'au 17 avril 2022, à Morlanwelz (Belgique)

Cette exposition lève le voile sur les idées reçues autour des adeptes des cérémonies secrètes dédiées à Mithra, cette divinité venue d'Orient et dont le culte s'est répandu dans tout l'Empire romain. Et d'expliquer en quoi cette pratique a été perçue comme concurrente du christianisme tout en révélant pourquoi les officiants étaient presque exclusivement des hommes. Musée royal de Mariemont, Chaussée de Mariemont 100, à Morlanwelz (Belgique) https://www.musee-mariemont.be/

Exposition « VIH/Sida, l'épidémie n'est pas finie ! », jusqu'au 2 mai 2022 à Marseille (13)

L’exposition « VIH/sida, l’épidémie n’est pas finie ! » retrace l’histoire sociale et politique du sida.

Posant un regard à la fois rétrospectif et contemporain sur l’épidémie comme sur les mobilisations qu’elle a engendrées, elle souhaite elle-même contribuer à la lutte. En effet, mettre le sida au musée, ce n’est pas l’enterrer ; c’est réaffirmer au contraire toute son actualité, comme le montre le titre de l’exposition qui reprend un slogan historique d’ActUp : « L’épidémie n’est pas finie ! »

En juillet 1981 est publié dans le New York Times le premier article de presse relatif au sida, évoquant des cas de cancer chez des hommes homosexuels. Si en 1983, on écarte l’hypothèse d’une maladie uniquement homosexuelle, on pointe alors du doigt les « 4H » : homosexuels, héroïnomanes, hémophiles, Haïtiens. La victime est aussi l’accusée et sa stigmatisation passe par des propositions de mise en quarantaine, des moyens disproportionnés de protection, et la réprobation de catégories sociales touchées et jugées responsables. Dans le même temps, la désignation de ces « groupes à risques » va invisibiliser d’autres situations d’exposition au virus, dont témoignent l’activisme des femmes et les initiatives en faveur de la prise en compte des enfants et adolescents. L’épidémie est un choc pour la société, comme la maladie ou la séropositivité sont des chocs pour les personnes touchées. L’exposition revient sur l’impact de cet événement dans les trajectoires individuelles autant que collectives.


Que ce soit à une échelle locale ou mondiale, la lutte contre le sida a concerné de nombreux aspects de l’épidémie : scientifiques et médicaux, mais aussi politiques et sociaux, pour revendiquer l’action et l’attention des pouvoirs publics et refuser la stigmatisation des malades et des communautés. La mise au point de traitements plus efficaces à partir de 1996 marque une rupture. On voit des personnes « renaître » grâce au renforcement de leur système immunitaire et à l’affaiblissement de la réplication virale dans l’organisme, malgré un traitement contraignant et de nombreux effets indésirables. Mais l’accès aux médicaments est très inégal et l’ouverture des régimes de propriété intellectuelle devient une revendication majeure.

Des années 1980 à nos jours, l’épidémie a suscité maintes hypothèses sur son origine et de nombreux discours sur les moyens de sa fin. L’exposition apporte ainsi un éclairage sur ces différents récits, nous permettant d’aborder avec recul les savoirs du passé et les compréhensions du présent. L’exposition interroge enfin l’héritage de l’épidémie, ce qu’elle a révélé, les avancées qu’elle a rendues possibles, principalement en termes de droits, mais également les reculs et les stagnations. Elle propose un bilan des luttes, de leurs victoires comme des obstacles toujours présents. En évoquant les leçons politiques du sida, elle pose des questions toujours majeures aujourd’hui, qu’il s’agisse des réponses sociales aux épidémies et à la gestion des crises sanitaires, ou de la manière dont d’autres affections chroniques ont bénéficié ou non de ce bouleversement des rapports de pouvoir entre médecins et patients.

L’exposition « VIH/sida, l’épidémie n’est pas finie ! » offre l’occasion de valoriser l’exceptionnel fonds constitué au début des années 2000 par le Mucem sur le thème du VIH/sida. Des banderoles, tracts, affiches, revues associatives, brochures et matériel de prévention, objets militants, vêtements, badges et rubans rouges, mais également des médicaments, photographies et œuvres d’art ont été collectés auprès de nombreuses associations de lutte contre le VIH/sida, permettant au Mucem de constituer une collection de référence à l’échelle européenne (plus de 12 000 pièces portées à l’inventaire). De nombreux prêts de particuliers et d’institutions viennent dialoguer avec cette collection pour permettre aux visiteurs de découvrir plus en détail l’histoire sociale de la lutte contre l’épidémie (440 objets ou œuvres présentés dont 300 issus des collections du Mucem). https://www.mucem.org/programme/exposition-et-temps-forts/vihsida

Prolongation de l'exposition « Robert Doisneau. Portraits d'artistes et vues de Lyon » jusqu'au 30 avril 2022, à Lyon (9ème)

Inédite, l'exposition « Robert Doisneau. Portraits d'artistes et vues de Lyon », présente plusieurs séries de tirages originaux de l'illustre photographe français, connu dans le monde entier pour ses portraits et scènes de genre si justes et sensibles. Le Musée Jean Couty accueille plus de soixante-dix clichés, dont une vingtaine jamais montrée au public. Charles et Myriam Couty, directeurs du musée, ont fait réaliser, par ailleurs, une trentaine de tirages, notamment des photos de Lyon prises pendant les années Vogue. Artiste viscéralement humaniste, Robert Doisneau livre un univers singulier qui se donne au regard de tous par sa poésie et, encore aujourd'hui, par son actualité.

Un tel ensemble n'a jamais été présenté. L'équipe du musée a souhaité ajouter une dizaine de photos de portraits d'artistes à l'exposition : certaines photographies avaient déjà été tirées pour des expositions précédentes mais ont été très rarement présentées. Parmi celles-ci figurent les portraits de Braque, Foujita, Léger et son chien, Fautrier. D'autres n'ont cependant jamais été exposées : les portraits de Wolinski, David Hockney, Duchamp / Villon, et Sempé. En outre, cinq tirages en couleurs, Poliakoff, Vasarely, Braque dans son atelier, Picasso à Mougins, Niki de Saint Phalle, sont dévoilés pour la première fois au public. 

Les vues de Lyon, quant à elles, n'avaient pour la plupart jamais été tirées et présentées. Le photographe travailla pendant trois ans pour le magazine Vogue, de 1949 à 1952, période pendant laquelle il fit plusieurs reportages sur les villes d'après-guerre, dont une série sur Lyon en 1950 avec Edmonde Charles-Roux. Cette section réunit aussi plus de 30 œuvres - huiles sur toile et dessins - de Jean Couty représentant des vues de Lyon. Musée Jean Couty, 1 Place Henri Barbusse à Lyon (9ème) https://www.museejeancouty.fr

Une rame Paris Musées pour le RER C

Après les rames Versailles, Impressionnistes, Nature et patrimoine, et Cinéma, voici le RER Paris Musées. Pour célébrer les temples de la culture de la Ville de Paris, chacune des quatre voitures de cette rame a été décorée selon un thème précis. L’idée est bien de mettre en valeur la richesse des musées parisiens, aussi nombreux que variés.

L’idée de faire découvrir directement aux voyageurs les salles et les collections présentées par ces lieux prestigieux, a imposé de faire un choix parmi les nombreux musées de la ville. Un choix qui fut difficile. Aussi, le tracé dans Paris du RER C a servi de repère, pour retenir quatre musées (autant que de voitures dans une rame), accessibles par les trains de la ligne. On retrouve ainsi une voiture du palais de Tokyo dédié à l’art moderne, du Petit Palais pour les beaux-arts, du palais Galliera pour la mode, et du musée Carnavalet pour l’histoire de Paris. C’est donc un pelliculage soigné qui est venu métamorphoser l’intérieur des voitures du sol au plafond sur chacun des deux niveaux. Le résultat, qui a demandé 600 heures de travail, a été obtenu après la pose de pas moins de 700 m2 de vinyle. Au-delà de l’aspect esthétique, il y a un indéniable effet trompe-l’œil qui surprend d'abord le voyageur.

Et c’était précisément le but recherché, faire croire le temps d’un instant que l’on est transporté au cœur du musée évoqué. Découvrir que c’est dans ces murs que l’on peut voir les magnifiques boiseries dessinées par Hector Guimard, ou encore « La Fée Electricité », cette œuvre peinte par Raoul Dufy pour l’Exposition universelle de 1937. Et il y en a tant d’autres encore, pas seulement des œuvres d’art mais un décor qui « rappelle » et qui « évoque », qui plonge le voyageur dans une ambiance de luxe et de beauté pure. Une réelle incitation à aller plus loin et à pousser la porte du musée. D’autant que ceux de la ville sont tous gratuits afin d’être accessibles au plus grand nombre. La mise en circulation de ce train, qui aurait dû intervenir il y a plusieurs mois déjà, a été reportée en raison de la crise sanitaire. Preuve du succès indéniable de ces opérations, de nouveaux trains à thèmes sont déjà demandés, notamment pour les RER B et E.

Livre « La fabuleuse histoire des transports parisiens » d'Olivier Bernard (Editions du Panthéon)

Les transports ont permis la croissance des villes, désormais rapidement accessibles à tous leurs habitants. Aujourd’hui encore, la ville garde l’empreinte de ces premières lignes d’omnibus ou de tramways le long desquelles s’étiraient de longs faubourgs qui devaient plus tard faire partie intégrante de la cité. Nous les détestons quand ils sont en grève, aimons-nous en plaindre, certains d’entre nous craignent même de les emprunter. Les transports publics parisiens sont pourtant indispensables à la vie francilienne. Ils ont tant à raconter, eux qui représentent une formidable révolution dans nos déplacements. Olivier Bernard a plongé dans les archives, en particulier celles de la maison de la RATP, les plans et les comptes rendus pour extraire de cette manne une aventure humaine et sociale finalement peu connue. 520 pages, 26,90€.

Exposition « Gustave Moreau. Les Fables de La Fontaine » jusqu'au 28 février 2022, à Paris (75)

Cette exposition est l’aboutissement d’un rêve longtemps caressé et qui semblait jusqu’ici inaccessible. Son objet est l’étude des soixante-quatre aquarelles illustrant les Fables de La Fontaine par Gustave Moreau (1826- 1898) à la demande d’Antony Roux (1833-1913), l’un de ses principaux collectionneurs. Réservés, à l’origine, à la seule jouissance du commanditaire désireux d’en faire un unique livre, ces chefs-d’œuvre virent le jour à Paris, au 14 rue de La Rochefoucauld, entre 1879 et 1884.

Exposées, pour vingt-cinq d’entre elles, en 1881 dans le salon particulier que la Société́ d’Aquarellistes français occupait chez Durand-Ruel, au 16 rue Laffitte, puis, dans leur ensemble, à la galerie Boussod et Valadon (ancienne maison Goupil), au 9 rue Chaptal et à Londres en 1886, ces aquarelles furent réunies dans leur quasi-totalité́ une ultime fois en 1906 sous l’égide de Robert de Montesquiou et de la comtesse Greffulhe. À la mort d’Antony Roux, le 14 octobre 1913, soixante-trois aquarelles sur les soixante-quatre de la série sont acquises par Miriam-Alexandrine de Goldschmidt-Rothschild, qui offrira, en 1936, Le Paon se plaignant à Junon au musée Gustave Moreau. Trente-quatre d’entre elles reviennent aujourd’hui, à l’occasion de l’exposition qui leur est dédiée, au musée national Gustave Moreau, autrefois atelier qui les vit naitre. Musée national Gustave Moreau, 14 rue de La Rochefoucauld, à Paris (9ème). https://musee-moreau.fr/agenda/evenement/nouvelle-exposition

Exposition « Cave Canem. Jean-Baptiste Oudry et les chiens de Louis XV » jusqu'au 30 Juin 2022, à Fontainebleau (77)

Réunis pour la première fois depuis la Révolution française, six portraits des chiens de Louis XV formeront, dans l’appartement Mérimée, au début du parcours de visite du château, une véritable « Antichambre des chiens » et rappelleront la place fondamentale occupée par ces animaux dans la vie à Fontainebleau au XVIIIème siècle. Les chiens y sont toujours au premier plan, leurs noms en lettres d’or soulignent leur rang et le paysage à l’arrière affirme la beauté du décor. Ces onze tableaux gagnent en 1733 le château de Compiègne, où ils ornent les différentes pièces du nouvel appartement conçu pour Louis XV par son architecte Ange-Jacques Gabriel. Réunis à Fontainebleau sous le règne de Louis-Philippe, qui souhaite réaffirmer le lien de Fontainebleau avec la chasse, plaisir royal par excellence, ces portraits de chiens sont les premiers du plus grand peintre animalier du XVIIIème siècle. La noblesse du port de Misse, l’espièglerie de Gredinet, la concentration de Lise ou la fierté toute royale de Mignonne montrent à quel point l’artiste a insufflé aux animaux un étonnant supplément d’âme, ou, pour l’écrire comme le comte de Buffon, « la chaleur du sentiment ». Ces œuvres sont exceptionnellement présentées jusqu’au 30 juin prochain dans le cadre de l’édition 2022 du Festival de l’histoire de l’art, consacrée à l’animal. https://www.chateaudefontainebleau.fr/exposition-cave-canem-jean-baptiste-oudry-et-les-chiens-de-louis-xv/

Le Musée des Merveilles fête ses 25 ans, jusqu'au 28 février 2022, à Tende (06)

La vallée des Merveilles, qui se trouve dans le massif du Mercantour à 80 km de Nice, constitue l'un des plus importants sites de gravures rupestres d'Europe. Ouvert en 1996 par le Département des Alpes Maritimes dans le but de valoriser et de sauvegarder ce lieu d’exception de la région du mont Bego, le musée a su, au cours des années, développer et enrichir ses missions culturelles autour du patrimoine archéologique et ethnographique local, voire départemental et régional, avec des actions diversifiées mais complémentaires : collaborations scientifiques, colloques internationaux, publications spécifiques… Un véritable outil de conservation, de recherche et d'exposition, qui a pour vocation d'être un instrument de transmission des connaissances rassemblées par les chercheurs et de les véhiculer dans le monde entier.

A travers des expositions temporaires, des journées d’archéologie expérimentale, des spectacles grand public, ou encore des animations pour enfants, le musée départemental des Merveilles souligne le formidable travail des scientifiques qui, par leurs découvertes, nous instruisent sur les origines de l'homme et nous révèlent la permanence de son génie. Le musée des Merveilles, dont l’entrée est gratuite depuis 2008, a pu accueillir depuis son ouverture environ 640.000 visiteurs et c’est tout particulièrement vers ces publics que l’équipe du musée s’est tournée pour la réalisation de cette installation : une rétrospective de toutes les affiches des expositions temporaires depuis 1996 (certaines sont déjà devenues « collectors » !) et un diaporama qui parcoure 25 ans de diffusion d’expériences culturelles de haut niveau. Ce musée départemental est ouvert du mercredi au lundi de 10 heures à 17 heures. https://museedesmerveilles.departement06.fr/agenda/agenda-13304/le-musee-departemental-des-merveilles-fete-ses-25-ans-46461.html?cHash=b51ad82f2e28ea7f237b549fca33d00f

Livre « Le journal d'une super-vagabonde : Australie » d'Ingrid Anderson-Aylestock (Les Editions du Panthéon)

A 18 ans, Ingrid décide de quitter la Côte-Nord du Québec pour aller apprendre l'anglais en Australie. En s'immergeant dans un pays totalement inconnu, son univers et sa conception du monde seront bouleversés. Entre aventures rocambolesques et trouvailles fascinantes, à la fois de soi-même et des autres, la vie au bout du monde lui apprendra que le présent se trouve dans n'importe quel moment. La jeune adulte qu'elle est découvrira une passion incorrigible pour les voyages, mais aussi pour l'existence. 168 pages, 15,90€.


Exposition « L'abîme, Nantes dans la traite atlantique et l'esclavage colonial, 1707-1830 », jusqu'au 19 juin 2022 à Nantes (44)

Aujourd’hui encore, les historiens ne parviennent pas à se mettre d’accord sur le nombre de victimes de la traite atlantique. Les documents manquent, bien évidemment, pour qu’une comptabilité exacte soit réalisée, cependant les écarts des estimations ne s’évaluent pas en dizaines ou en centaines de milliers, mais en millions. Comment est-il possible qu’un phénomène aussi tragique et fondamental puisse partager à ce point ceux qui se sont consacrés à son étude ?

Qui plus est, que saurions-nous vraiment si ce nombre était définitivement arrêté ? Saurions-nous combien d’hommes, de femmes et d’enfants périrent au moment des guerres, des raids et des razzias qui furent à l’origine de leur captivité ? Saurions-nous comment, à des milliers de kilomètres de là, une ville entière et son territoire ont pu trouver dans le système colonial et esclavagiste les raisons et les moyens d’un enrichissement sans précédent ? Comprendrions-nous la place que ces acteurs ont tenue dans un monde globalisé, à l’aube du capitalisme moderne ? Imaginerions-nous le lien étroit entre la traite atlantique et les prémices de la révolution industrielle ? Comprendrions-nous, ne serait-ce que l’espace d’un instant, ce que fut l’horreur de ne plus s’appartenir, de quitter le monde des hommes pour celui des biens matériels, de disparaître sans laisser de trace ni même de souvenir ? Le musée d’histoire de Nantes propose d’interroger ses collections sous un nouvel angle, afin de révéler les traces invisibles au premier abord mais bien présentes, du destin de celles et ceux qui furent victimes du système colonial. Au-delà de la vision économique et commerciale habituelle, l’exposition lèvera le voile sur la complexité du réel d’une ville qui fut négrière et esclavagiste. Volontairement immersive, suggestive et sensibleL’Abîme rend compte de la complexité du réel et sera l’occasion de découvrir les noms de celles et ceux qui, inscrits dans les documents officiels, vécurent à Nantes en subissant le statut de personnes captives mises en esclavage, entre 1692 et 1792. Château des Ducs de Bretagne, 4 Place Marc Elder à Nantes (44). https://www.chateaunantes.fr/expositions/labime/

Des nouvelles qui font de notre pays la France …

  • En août 2021, la vanille de la Réunion obtenait le label d'indication géographique protégée (IGP) de la Commission européenne. Produites sur l'Ile Bourbon depuis la découverte, en 1841, d'un procédé de fertilisation de l'orchidée mexicaine Vanilla Planifolia, les célèbres gousses parfumées y sont désormais cultivées de façon presque confidentielle.

  • La baie d'Audierne (Finistère) est devenue la 51ème « zone humide d'importance internationale », compte tenu de sa valeur exceptionnelle, de la gestion et de l'engagement des deux communautés de communes bigoudènes pour sa préservation. D'une superficie de 2400 hectares entre la Pointe du Raz et le cap Caval, cette baie renferme les deux plus grands étangs naturels du départements (Kergalan et Trunvel) et abrite plus de mille espèces animales, dont quelques 300 espèces d'oiseaux.

  • Les Hauts-de-France seront officiellement promus « Région européenne de la Gastronomie » en 2023. L'occasion nous sera ainsi donnée de découvrir la richesse culinaire de cette région.

  • Les légendaires arbres isolés, emblématiques des paysages du Morvan et héritage d'anciennes haies disparues, seront bientôt renforcés suite à l'opération en cours de replantage d'une centaine d'arbres, à l'initiative du parc naturel du Morvan (https://www.parcdumorvan.org)

  • Et la Vendée d'emboiter le pas en projetant de planter plus d'un million d'arbres d'ici à 2023. Objectif : permettre de protéger la faune et la flore locales tout en captant 500 tonnes de carbone chaque année. Chaque zone géographique du département, du marais breton au Marais poitevin, en passant par les bocages et les littoraux, recevra les essences d'arbre spécifiques à son milieu naturel.

Exposition « Christophe Plantin et son officine (1555-1655) » jusqu'au 19 février 2022, à Paris (75)

Originaire de Touraine, Christophe Plantin (vers 1520-1589) s’installe vers 1549 à Anvers, plaque tournante du commerce international. Formé à la reliure, il y établit en 1555 les fondements de la plus vaste entreprise d’imprimerie que l’Europe de l’Ancien Régime ait connue. Sa correspondance, ainsi que les archives de l’entreprise, témoignent d’amples ambitions commerciales et d’une grande attention accordée aux attentes des publics et des marchés. Elles documentent également le soin extrême apporté à la conception des livres. Le monde du livre célèbre aujourd'hui le 5ème centenaire de sa naissance. Bibliothèque Mazarine, 23 Quai de Conti à Paris (6ème) https://www.bibliotheque-mazarine.fr/fr/evenements/un-siecle-d-excellence-typographique-christophe-plantin-son-officine-1555-1655


Première sélection Larousse de 2022

Voici une sélection d'ouvrages à paraître chez Larousse ces prochaines semaines :

  • Cap sur 100 balades zéro carbone en Corse (de Brigitte Valetto – 19,95€) (parution : 16 mars 2022) C’est la destination préférée des français. Des anecdotes, des traditions, des découvertes gastronomiques, folkloriques, religieuses... partout en Corse

  • Cap sur 100 balades zéro carbone en Alsace (de Clémentine Santerre – 14,95€)(parution : 16 mars 2022) La route des vins, Strasbourg, le mont Saint-Odile, le château du haut- Koenigsbourg... les plus beaux endroits d’Alsace

  • Une histoire du féminisme en 100 infographies (14,95€ - Parution le 2 mars 2022) Le combat des femmes pour l’égalité́ depuis 150 ans

  • Chefs d'œuvre d'Egypte (12,90€ - Parution : 16 mars 2022) L’histoire de l’Art égyptien au temps des pharaons

  • Petit Larousse des films (19,95€ - Parution : 19 janvier 2022) 3000 films et 300 filmographies pour découvrir le meilleur du cinéma mondial

  • Petit Larousse de l'histoire de France (19,95€ - Parution : 12 Janvier 2022) Tous les grands événements, les grands personnages qui ont marqué́ notre Histoire

  • A chacun son chat (19,95€ – Parution : 16 février 2022) Les plus beaux chats du monde : 90 races aussi fascinantes qu’époustouflantes

Jusqu'au 7 février 2022, le Musée national Jean-Jacques Henner, en partenariat avec le musée Alsacien de Strasbourg, nous invite à découvrir l'exposition « Alsace, rêver la province perdue 1871-1914 » qui traite de cette Alsace perdue, apparue après la guerre franco-prussienne de 1870-1871. L'approche originale de cet événement consiste à s'appuyer sur des œuvres d'artistes alsaciens, dont le peintre Jean-Jacques Henner, pour étudier les aspects historique, culturel et artistique d'alors et la manière dont se construit et se diffuse, depuis la capitale, l'image de l'Alsace durant cette période. A découvrir cette semaine !

Permettez-moi enfin de vous adresser mes vœux de bonheur, prospérité et santé à l'occasion de cette année naissante !

Yves

 

Classement des dix premiers pays qui ont visité ce site la semaine dernière : 1) Etats-Unis 2) France 3) Chine 4) Canada 5) Belgique 6) Suisse 7) Guadeloupe 8) Japon 9) Pays-Bas 10) Angola




Exposition "Alsace,Rêver la province perdue 1871-1914 (Musée national Jean-Jacques Henner, Paris, France)


Jusqu'au 7 février 2022, le Musée national Jean-Jacques Henner, en partenariat avec le musée Alsacien de Strasbourg, nous invite à découvrir l'exposition «Alsace, rêver la province perdue » 1871-1914 » qui traite de cette Alsace perdue, apparue après la guerre franco-prussienne de 1870-1871. L'approche originale de cet événement consiste à s'appuyer sur des œuvres d'artistes alsaciens, dont le peintre Jean-Jacques Henner, pour étudier les aspects historique, culturel et artistique d'alors et la manière dont se construit et se diffuse, depuis la capitale, l'image de l'Alsace durant cette période (...)


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