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Lettre envoyée le 02/05/2022


 

 

Lundi 2 mai 2022                                                                                 La Lettre N°584

 

 La cuisine ? On en fait tout un plat...

 

Jour après jour, on nous annonce le nouvel ordre mondial, le grand reset, les famines à venir, bref la dictature de la peur règne en maître pour ceux qui suivent l’actualité.

Certes, j’ai bien observé la hausse de l’inflation, la fulgurante augmentation du prix des carburants et les prévisions alarmistes concernant la pénurie de sources d’énergie dans les semaines et les mois à venir.

Mais… Ni vous ni moi, n’avons la possibilité d’inverser (individuellement) le cours des choses et ce qui peut surprendre les plus jeunes générations n’étonne guère le jeune retraité que je suis. 

Un petit retour en arrière suffira à comprendre que notre société, qui a connu un essor débridé, sans guerre depuis près de 80 ans (un record !), avec une ouverture au monde d’une intensité jamais atteinte auparavant, et les gaspillages de ressources naturelles qui vont avec, ne pouvait pas durer ainsi.

A ceux qui ont toujours connu le confort matériel, l’immédiateté et la vie facile, je réponds que ceci n’est pas la vraie vie. Que nos aïeux connurent d’autres conditions de vie et s’en accommodèrent fort bien.

Faisons un bond de... 200 ans en arrière et intéressons nous à ce qu’était alors la cuisine, sans réfrigérateur, cuisinière électrique (l’électricité n’en était alors qu’à ses balbutiements il y a deux siècles) ou à gaz, ou autres appareils du quotidien.

Au XIXème siècle, la cuisine était l’atelier de la maison, l’espace du travail domestique où l’on préparait les aliments et où l’on faisait le ménage. C’était aussi l’endroit où la femme (alors femme au foyer) était recluse. Cette cuisine fut longtemps installée à l’extrémité de la maison bourgeoise, à cause des nuisances qu’elle dégageait (fumées de cuisson...) et de la chaleur du four à bois qui, dit-on, affectait la blancheur du teint. 

D’autres motifs comme la réduction des coût de construction, conduisirent à éloigner cette pièce de la résidence principale. Le progrès fulgurant, dont nous ne mesurons pas toujours la force, débuta au XIXème siècle, et permit à la cuisine de passer du four à bois (ou charbon de bois)... au gaz. Révolution industrielle et progrès technologiques aidant, de nouveaux ustensiles ménagers apparurent : batteurs à main, balances, passoires, casseroles et poêles plus légères, bocaux hermétiques, qui allaient considérablement aider la cuisinière au quotidien.

Comme souvent, les Etats-Unis furent les précurseurs en la matière en créant la cuisine modèle qui prévoyait des zones de travail spécifiques (espace pour nettoyage des aliments, espaces ergonomiques pour stocker les denrées et ustensiles modernes avec armoires intégrées).

En 1800, Benjamin Thompson inventait déjà le « cuiseur Rumford », une cuisinière beaucoup plus économe en énergie que les précédentes (un feu suffisait à chauffer plusieurs pots, lesquels étaient suspendus au-dessus de la cuisinière et étaient donc chauffés de tous côtés et pas seulement par le bas). Ladite cuisinière était toutefois trop volumineuse pour s’intégrer dans une habitation.

Qu’importe, le « cuiseur Oberlin », breveté en 1834 aux Etats-Unis sera le bon : de taille plus réduite, il fonctionnait au bois ou au charbon et fut vendu à près de 90 000 unités.

Et le gaz dans tout cela ?

Il fera son apparition à Paris, Londres et Berlin au début des années 1820 avec l’installation des lanternes à gaz, mais il faudra attendre 1825 pour que le premier brevet américain ne soit accordé à une cuisinière à gaz.

Que cuisinait on en 1800 ? En ce début du XIXème siècle, et plus proche de nous, en Espagne, la femme au foyer était dépendante de la raréfaction des matières premières (dont les céréales qui constituaient l’alimentation de base de nombreux ménages, c’est à dire jusqu’à 30 %).

Les plus pauvres consommaient un pain foncé confectionné à base de céréales autre que le blé, tandis que les plus riches consommaient du pain blanc fabriqué à partir d’une farine de blé. 

Légumes secs, lardons, légumes et viandes (abats) et œufs complétaient les repas.

La consommation de poisson se limitait à de petites quantités de morue ou de hareng salé ou fumé, arrosé de vin et de brandy.

En fonction des ressources disponibles, la viande était parfois remplacée par du lard ou des saucisses (élevage fréquents de porcs dans les foyers), des plats dont l’ingrédient principal restait le pain ou des pommes de terre bouillies.

Ce que nos anciens vécurent jadis, pourquoi ne pourrions-pas le vivre ? L’exercice demanderait certes un certain temps d’adaptation, une pincée d’abnégation, un certain bon sens et une organisation nouvelle. 

A nous de nous adapter à la nouvelle donne, sans succomber à la peur diffusée par les médias et aux « famines » sciemment organisées par des dirigeants fous !

 

 LE CLIN D’ŒIL DE VALERIE !

Le savoir est illimité et il suffit de s’intéresser, de chercher, de lire ici et là la PQR (presse quotidienne régionale), bref d’être curieux pour apprendre de nouvelles choses :

  • Lever les yeux vers le haut en se promenant permet d’observer des choses intéressantes, comme, par exemple, ces 72 noms de personnalités françaises inscrits sur le premier étage de la tour Eiffel (Paris). 

Une volonté, voulue par Gustave Eiffel au moment de la construction (1887-1889) de la « dame de Fer », pour honorer des scientifiques, ingénieurs ou industriels français. Parmi eux, on trouve un personnage bien connu des Landais : Jean-Charles de Borda, chevalier de son état, né à Dax en 1733. L’homme sera aussi mathématicien, physicien et navigateur français, connu et reconnu pour ses expéditions maritimes au milieu du 18ème siècle. On lui doit également l’amélioration du cercle de réflexion, un ancien instrument de mesure angulaire qui était employé essentiellement en navigation pour faire le point en mer. Un bâtiment hydrographique de la Marine nationale et un cratère sur la face visible de la lune, portent même son nom.

 

  • J’étais loin d’imaginer jusqu’à récemment que Juvisy (91) posséda jadis une eau réputée pour sa qualité et sa limpidité. Alors que tous les Français n’avaient pas encore l’eau potable chez eux, les sources de Juvisy jouissaient d’une certaine renommée, qui dépassait les frontières de l’Hexagone. L’eau fut ainsi mise en bouteille dès 1890, sous les formes plate et pétillante, pour être ensuite vendue. En 1899, ce furent 70 millions de bouteilles qui furent produites et commercialisées, principalement à Paris et dans la proche banlieue. L’industrialisation des eaux de Juvisy ne démarrera qu’à la fin du 19ème siècle, le précieux liquide croule sous les éloges de plusieurs ouvrages scientifiques et historiques de l’époque. Dès 1750, l’abbé Jean Lebeuf décrivait déjà les eaux de Juvisy comme « le rafraichissement que la Providence offre gratis et qu’on appelle Orgeat de Juvisy ».

     

  • Il y a des choses qui paraissent évidentes, même si ça ne l’est pas. Il en va ainsi de la couleur des camions de pompiers. Saviez-vous que ceux-ci n’ont pas toujours été de couleur rouge ? En effet, dans les années 1880, les chariots des pompiers de Paris étaient verts et noirs en référence à l’appartenance de la BSPP au génie de l’armée de terre. Puis, de nouvelles pompes venues d’Angleterre furent acquises pour faire face aux incendies et l’on s’aperçut alors qu’elles étaient… rouges ! Un beau rouge vermillon qui attirait l’œil et rendait les matériels plus visibles par la population des rues. Et il fut alors décidé de repeindre de cette couleur tous les matériels des pompiers de Paris, une initiative qui sera reprise sur tout le territoire français.

     

 

 

UN PEU PLUS D’HUMOUR

En ces temps de déclaration fiscale, voici un cours de grammaire qui ne laissera pas indifférent les contribuables que nous sommes  (merci à Jean-Marie pour sa contribution) : https://www.facebook.com/watch/?v=450688939330204

 

 

SEQUENCE NOSTALGIE

 Suite de la vie d’antan à Bricquebec-en-Cotentin (50) avec un jour de foire en 1961 : Dès le matin, gens et bêtes convergent vers la place; les affaires commencent timidement; les transactions sont longues. Tout au long du jour, l'animation est grande.

https://www.youtube.com/watch?v=aXXgDcN22ds

 

 

VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR...

 

  • La souveraineté et l’immunité financière, avec Philippe Guillemant,  ingénieur physicien français du CNRS, diplômé de l'Ecole Centrale Paris et habilité à diriger des recherches. Spécialiste du chaos et de l'intelligence artificielle, il est aussi l’auteur de l’ouvrage « Le grand virage de l’humanité » : l'apparition du virus a amorcé un véritable changement positif dans notre futur collectif.

La plupart des coïncidences étranges, des mesures insensées et des erreurs absurdes qui ont jalonné la crise sont les signes d'un ancien futur – le foutur - en cours de désintégration progressive, comme sous l'emprise de la panique. 
Ce futur était en place depuis fort longtemps, créé par la vision matérialiste dominante selon laquelle l'être humain peut se réduire à une machine biologique. Pourtant, grâce aux progrès de la physique, cette vision aurait peu à peu été remise en question pour laisser place à un nouveau paradigme entraînant un nouveau futur dans lequel l'être humain a retrouvé son âme et le potentiel extraordinaire de sa conscience. 
C'est cette nouvelle vision du monde passionnante que nous explique l'auteur. Il fait le lien entre des phénomènes jusque-là inexpliqués tels que les E.M.I. et les synchronicités. Et nous explique le sens de la vie et surtout sur quelles bases fonder notre nouveau futur, selon un modèle dont les mots clés sont : autonomie, résilience et solidarité. La conférence ci-après explique la démarche de l’auteur : https://www.youtube.com/watch?v=yeAwTbzPs6M (merci à Junko pour cette contribution)

 

 

 

QUOI DE NEUF EN CRYPTO ?

 

  • Comment sécuriser ses Bitcoin ?

On insiste beaucoup sur la sécurité de vos crypto monnaies et notamment sur l'utilisation d'un hardware wallet, un wallet physique comme le Ledger ou le Trezor. Avec ces portefeuilles (wallets), vous serez réellement en possession de vos clés privées et donc de vos Bitcoins

           https://www.youtube.com/watch?v=HaaTyoKuiiA&t=5s

  • Face aux sanctions, la Russie préfère les paiements crypto :

L’isolement relatif de la Russie sur la scène internationale l’oblige à se tourner vers de nouveaux acteurs économiques et à abandonner ses anciens alliés. Une partie de sa production cherche des débouchés pendant que son industrie a besoin de matières premières. C’est pourquoi elle a décidé il y a quelques jours de renforcer sa coopération avec des pays du sud. Et la thématique de l’utilisation de cryptomonnaies pour les échanges est au centre des préoccupations. 

Le Service Fédéral des Impôts russe (FTS) et le Ministère des Finances sont aux manettes de ces avancées règlementaires et diplomatiques. Le 8 avril dernier, le Ministère avait publié un projet de loi favorable à l’utilisation des cryptos sous certaines conditions. Et cette nouvelle faisait fait écho aux déclarations de Pavel Zavalny, président de la Commission de l’énergie de la Douma. Ce dernier avait affolé la « cryptosphère » en annonçant que les pays amis pourraient désormais payer le pétrole en bitcoins parmi d’autres devises.

  • Risque de se faire dérober leurs crptomonnaies pour les utilisateurs de Metamask qui utilisent la sauvegarde Icloud (via Iphone, IPAD, ou Mac) :

MetaMask a alerté ses utilisateurs dans une série de tweets du 17 avril 2022, d’un risque de vol de leurs cryptomonnaies. L’alerte s’adresse plus spécifiquement aux utilisateurs de MetaMask qui se servent d’un iPhone, d’un iPad, ou d’un Mac et qui ont activé la sauvegarde sur iCloud. Les données d’applications enregistrées sur l’iCloud incluent le « mot de passe encrypté » du portefeuille MetaMask. Les cryptomonnaies qui y sont stockées peuvent ainsi être volées par un hacker :

-  si le mot de passe Apple  « n’est pas assez fort » 

-  et que le pirate est en mesure de voler les « informations d’identification iCloud ».

MetaMask a fourni des informations pour « désactiver les sauvegardes iCloud » pour le portefeuille, et pour éviter les sauvegardes automatiques sur iCloud qui n’ont pas été paramétrées par l’utilisateur.

Ces avertissements ont été émis après la publication du 15 avril 2022, du twitto revive_dom. Ce dernier aurait perdu les 650 000 $ de cryptomonnaies et de NFT stockés dans son portefeuille MetaMask. La victime aurait reçu un appel avec le Call ID d’Apple. Elle l’a malheureusement rappelé.

Le hacker à l’autre bout du fil lui aurait alors demandé un code envoyé sur son téléphone. L’utilisateur a malheureusement transmis ce code à six chiffres pour prouver qu’il était bien le propriétaire du compte Apple.

 

LE PETIT MANUEL DU RESISTANT

 

Le nouveau site de ReinfoCovid est en ligne !

Une navigation plus fluide, des contenus plus accessibles et un design plus clair. Et toujours des articles scientifiques, des témoignages, des remerciements, …https://reinfocovid.fr/

 

Les malaises des pilotes d’avion vaccinés passés sous silence pour ne pas desservir la vaccination anti-Covid :

https://cogiito.com/a-la-une/les-pilotes-vaccines-covid-font-des-arrets-cardiaques-en-plein-vol-mais-les-medias-restent-silencieux-pour-ne-pas-creer-une-hesitation-vaccinale/ (merci à Thierry pour sa contribution)

 

Film « Hold Out » : https://dissidencetv.fr/19/04/2022/sante/covid-19/hold-out-film-complet/

 

 

ACTIVONS NOS NEURONES

Moi qui rêve de visiter la Russie (voir Saint-Pétersbourg et mourir ?), c’est loupé !

Avec cette fichue guerre ukrainienne, la Russie se retrouve placée au centre de tensions internationales telles que plus aucune compagnie aérienne européenne ou américaine ne dessert désormais ce pays et notre ministère des Affaires Etrangères déconseille même de s’y rendre.

Au-delà des considérations géopolitiques, ce sont comme toujours les populations qui souffrent de ce contexte de guerre (populations ukrainienne et russe sans oublier d’autres civils partout dans le monde). 

Même Dimitri Prikhodko, fondateur de Fit Immersion (https://fitimmersion.com/?v=11aedd0e4327), une jeune pousse française spécialisée dans les solutions d’entrainement sportif en réalité virtuelle, est affecté par ce conflit.

L’homme a pourtant à cœur de maintenir le lien entre les peuples en proposant une alternative originale et ludique : voyager virtuellement en Russie depuis son vélo d’appartement.

Durant le confinement, Fit Immersion avait permis à ses utilisateurs de dépasser le cadre des dix kilomètres imposés par le gouvernement avec des balades dans les Gorges du Tarn et à Ballyreagh (Irlande). 

Aujourd’hui, les mêmes sportifs peuvent mettre le cap sur Moscou et Saint-Pétersbourg, moyennant l’utilisation d’un kit sportif de réalité virtuelle connecté Fit Immersion sur un vélo d’entrainement, elliptique ou Home Trainer, pour vivre une incroyable expérience interactive totalement inédite avec des parcours filmés à 360°. On explore alors les abords de la célèbre place Rouge, la cathédrale St Isaac, avec les habitants, les différents monuments de la ville... comme si on y était.

C’est que l’entreprise française n’en est pas à son coup d’essai depuis 2017 : 21 parcours en France et à l’étranger ont déjà été proposés à des centaines de particuliers et à des salles de sport. En 2021, l’application se retrouvait aussi sur la station spatiale internationale avec trois parcours sélectionnés (Paris, Saint-Pétersbourg et Marseille) pour les spationautes. Disponible en français, anglais, allemand, italien et russe, la start-up prévoit de tourner des parcours partout dans le monde.

Trois kits sont disponibles :

  • sur casque VR sportif autonome Fit Immersion

  • sur la version mobile (Android et iOS)

  • sur une version compatible avec Oculus Quest.

Quitte à porter un masque, autant que cela soit agréable...

 

 

DU COTE DE CHEZ NOUS

 Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix. L'homme, qui a manifestement de la conversation, possède sa chaine Campagnol Tvl (https://odysee.com/@campagnoltvl:2) sur laquelle il diffuse ses vidéos : le monde de demain passe par l’échec cuisant des « Young Leaders » (https://odysee.com/@campagnoltvl:2/annelec1:3)

 

 

 

LES TROUVAILLES DE 

 Valérie :

La Finlande, à la fois riche… et transparente : https ://fb.watch/cqNFspb-tR/

Un train complètement fou ! https ://fb.watch/cmNCyK0Huj/

Comment devenir châtelain ? https ://fb.watch/cmN68N-23u/

Ganvié, l’incroyable Venise africaine :https ://fb.watch/cx8NsXPTLc/ 

 

 

 LE REGARD DE MURIEL

Comment regarder le monde par le petit bout de la lorgnette, ou comment détourner nos objets des plus banals ou très utiles pour scénariser une vie en miniature?
Découvrez chaque semaine, grâce à Muriel, ces petites scénettes du quotidien, revisitées avec beaucoup de talent et d’humour.

 

 

Exposition itinérante « Océan », jusqu’au 22 mai 2022, à Dunkerque (59)

Cette exposition fait une halte à Dunkerque ce mois-ci. Conçue sur le mode immersif, avec une fresque de 40 mètres et un film à 360° projeté sous un dôme de six mètres de haut, elle dévoile les richesses des profondeurs marines, tant pour un public d’adultes que pour les enfants.

A la Halle aux Sucres, 9003, route du Quai, Freycinet 3 môle 1, à Dunkerque (59). https://expo-ocean.fr

 

Exposition « Trésors insolites » jusqu’au 29 mai 2022, à Lewarde (59)

80 objets scientifiques et documents techniques en lien avec l’extraction du charbon sont exposés à cette occasion. Des instruments étranges, peu connus dont il s’agit ici de percer les secrets et d’expliquer la vocation, côtoient des illustrations quais artistiques sur la géologie du sous-sol.

Au Centre historique minier, fosse Delloye, rue d’Erchin, à Lewarde (59).

https://www.chm-lewarde.com/fr/

 

 

21ème édition du « Festival Jazz à Saint-Germain-des-Prés », du 16 au 21 mai 2022, à Paris (75)

Créé en 2001 et situé dans le quartier mythique de Saint-Germain-des-Prés, berceau du jazz en Europe, le Festival Jazz à Saint-Germain-des-Prés Paris propose depuis 21 ans des concerts uniques dans des lieux exceptionnels. Il est l’un des événements jazz majeurs parisiens et offre chaque année :

  • Des concerts exceptionnels, fondés sur des rencontres inédites d’artistes, des découvertes de talents et des coups de cœur

  • Des têtes d’affiche et des jeunes talents. Au festival depuis 2001 : Lisa Simone, Youn Sun Nah, Dee Dee Bridgewater, Brad Meldhau, Norah Jones, Monty Alexander, Manu Katché, Yaron Herman, Matthieu Chedid, Manu Dibango, Michel Legrand, Michel Portal, Kyle Eastwood, Melanie de Biasio, Paolo Fresu, Kenny Barron, Kurt Elling, Lucky Peterson, Richard Galliano, Ben l’Oncle Soul, Raphael Gualazzi, Eric Bibb, Vijay Iyer, Avishai Cohen, Hugh Coltman, Baptiste Trotignon, Roberto Fonseca…

  • Un cadre exceptionnel, unique et patrimonial : le Théâtre de l’Odéon, la Maison des Océans, la Faculté des Lettres Sorbonne Université, l’église Saint-Germain-des-Prés, le Musée de Cluny…

  • Des actions de médiation culturelle : Jazz & Bavardages, Jazz à l’école, Jazz & Lycées, Jazz en prison…

https://festivaljazzsaintgermainparis.com/accueil/

 

 

Festivals dans les Etats du Sud (Etats-Unis)

Le Sud des États-Unis regorge de richesses naturelles, culturelles, gastronomiques et musicales. Tout au long de l'année de nombreux évènements célèbrent les atouts charmes de la région et permettent aux voyageurs de vivre une expérience 100% locale et authentique :

 

  • En Alabama : Le Hang out Music Festival est situé à Gulf Shores, à quelques kilomètres seulement de la frontière de la Floride. Il a lieu en mai, est le premier et le seul festival de ce type à Gulf Shores. L'extraordinaire toile de fond de la plage et les allées de sable font de ce festival un vrai régal pour les amateurs de musique. 

Le festival annuel Barber Vintage se déroule généralement début octobre au Barber Motorsports Park de Birmingham. C'est un rassemblement de motos anciennes et l'un des plus grands festivals de motos au monde. Plus de 80 000 spectateurs sont présents sur place pour profiter de trois jours de courses de motos anciennes, d'une fan zone, de spectacles de cascades, d'une bourse d'échange avec plus de 600 vendeurs et de démonstrations.

Le parc abrite également le Barber Vintage Motocycle Museum, qui présente la plus grande collection de motos anciennes du monde.

Le Festival national de la cacahuète  à Dothan, le plus grand festival de la cacahuète du pays a lieu chaque automne pour rendre hommage aux producteurs de cacahuètes et célébrer la saison des récoltes. Les festivités incluent des manèges, des expositions agricoles, des concerts, des concours de beauté, des expositions d'art et d'artisanat, des concours, de la cuisine locale, une parade de deux heures et des tonnes de cacahuètes.

  • En Caroline du Sud :

le Festival de la gastronomie et du vin de Hilton Head Island en mars. Savourez de délicieux dîners et profitez des événements et des dégustations pendant le festival annuel du vin de Hilton Head Island. Au programme : dégustations, promenades et même des spectacles en direct. De plus, vous ne voudrez pas manquer le plaisir et l'excitation autour de la fameuse course des serveurs. 

Artisphere à Greenville, est l'un des plus grands festivals artistiques de Caroline du Sud du mois de mai, où une centaine d'artistes venus des quatre coins du pays exposent toutes sortes de choses, des peintures et photographies abstraites aux médias 3D, en passant par la musique live, des performances artistiques et bien plus encore. 

Le Festival annuel Spoleto qui a lieu en mai, remplit les théâtres, les églises et les espaces extérieurs de la ville historique de Charleston avec 17 jours et 17 nuits de plus de 140 représentations des meilleurs opéras, pièces de théâtre, danses, musiques de chambre et symphoniques ainsi que des chorales du monde.

  • En Géorgie :

Connaissez-vous le International Cherry Blossom Festival à Macon. Accueillez le printemps avec ce magnifique spectacle de la nature au parc Carolyn Crayton, au cœur de Macon. Chaque année, en mars, la ville se transforme en un paradis rose bonbon avec la floraison de 350 000 cerisiers Yoshino, ce qui vaut à Macon son titre de capitale mondiale du cerisier en fleur. 

Arrêtez-vous également à l'Atlanta Dogwood Festival, il a débuté en 1936 pour célébrer la floraison des cornouillers et est resté une tradition printanière incontournable à Atlanta. Pratiquement toutes les formes d'art imaginables sont représentées au festival, avec un marché d'artistes de renommée nationale qui comprend des sculptures, des peintures, des poteries, des bijoux, des photographies et bien plus encore.

Lors du festival primé Jekyll Island Shrimp & Grits (4-6 novembre 2022), les participants pourront célébrer ce plat favori en dégustant une myriade de variantes préparées par de célèbres chefs. Le point culminant du festival est le Shrimp & Grits Cookoff, où les meilleurs chefs des restaurants de l'État se disputent le titre de « Georgia's Best Shrimp & Grits ». La musique et les nombreux stands d'objets d'art font de ce festival un événement particulièrement divertissant dans l'un des sites les plus beaux de Géorgie.

  • Dans le Missouri :

Boulevardia, à Kansas City en juin, est l'endroit idéal pour que les visiteurs découvrent la musique, la bière et la gastronomie locale et typique du Missouri. Dansez à votre guise dans une « discothèque silencieuse », où la musique du DJ est diffusée dans les écouteurs de chacun. Plusieurs scènes sont occupées par des artistes de tous les genres. 

À Hannibal, le Big River Steampunk Festival vous « transforme » en une autre époque. Les vêtements, les inventions, l'industrie et l'architecture victoriens vous transportent dans un âge doré. Les visiteurs se présentent souvent en cosplay (habillez-vous pour impressionner, car il y a un concours de costumes) et apprécient la variété des divertissements. Le programme inclut des musiciens, des illusionnistes et des spectacles de vaudeville.

 

 

 

Sortie du livre « Retour en Bretagne » de Guillaume de Dieuleveult (Buchet-Chastel), le 5 mai !

C’est le cas de Guillaume de Dieuleveult qui a passé quinze ans par monts et par vaux pour le compte du journal qui l’emploie et dont l’histoire familiale et personnelle trouve ses racines en Bretagne.

Pour lui la Bretagne, c’était le château familial, vieille forteresse à moitié en ruine, les druides, les bols à oreilles, les églises celtes, les forêts et les rivières luisantes comme du cuivre, les rochers, la mer et les cimetières où sont enterrés ses ancêtres.

Mais pour les Bretons de Bretagne, il est un « faux Breton » avec sa vie parisienne et son nom de famille

si « français ». Il a donc voulu partir à la recherche de ce qui fait l’identité bretonne, en Bretagne certes, mais aussi chez les cousins celtes de Cornouailles.
À travers ce récit de voyage où se mêlent l’histoire et les légendes, il nous raconte l’histoire de sa famille et tente de démêler l’écheveau des mille et une facettes qui constituent l’identité bretonne.

 

 

« Fécamp, au gré des vents », du 1er au 31 mai 2022, à Fécamp (76)

Embarquez à bord du Milpat pour une virée en mer : sortie découverte (de deux heures pour se détendre et prendre un bol d’air), sortie au couchant (pour observer le soleil plongeant dans la mer),mini-croisière (de quatre heures vers Etretat) ou sortie contée (pour découvrir les légendes marines).

Réservations (obligatoires) auprès de l’Office de Tourisme de Fécamp, Quai Sadi Carnot, à Fécamp (76).

Téléphone : 02 35 28 84 61. https://www.facebook.com/fecampaugredesvents/

 

 

Exposition « Ukraine éternelle » depuis le 16 avril 2022 à Paris (75)

En partenariat avec l’ambassade d’Ukraine et la délégation permanente de l’Ukraine auprès de l’UNESCO, le Centre des monuments nationaux présente l’exposition «Ukraine éternelle» au domaine national du Palais-Royal à partir du 16 avril 2022.

En accès libre de 8h à 22h30, des photographies en grand format permettront à tous les passants et promeneurs de découvrir onze monuments emblématiques du patrimoine ukrainien, du milieu du XIème siècle à l’orée du XXème.

Ces photographies proposent un voyage à travers un patrimoine méconnu du grand public et aujourd’hui menacé à Kharkiv, Kyiv, Lviv, ou encore Odessa. 

De la Laure des Grottes de Kyiv, l’un des plus grands sanctuaires chrétiens orthodoxes, fondé en 1051, à l’hôtel Passage à Odessa, architecture innovante construite au tournant des XIXème et XXème siècles, ce sont près de mille ans d’histoire qui sont à découvrir sur les grilles du jardin du Palais-Royal. 

La cathédrale Sainte-Sophie et la Laure des Grottes de Kyiv, le centre historique de Lviv et l’ancienne résidence des métropolites de Bucovine et de Dalmatie à Tchernivtsi sont inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, tandis que le paysage culturel de Kamianets-Podilskyï, et le centre historique d’Odessa sont inscrits sur sa liste indicative, qui est un inventaire des biens que chaque État a l'intention de proposer pour inscription. 

Ces images de monuments témoignages du passé de la nation ukrainienne, constitutifs de son identité, permettent de faire connaître la diversité du patrimoine de l’Ukraine, mais aussi de prendre conscience du danger qu’il encourt, comme victime collatérale ou comme cible.

Au Jardin du Domaine national du Palais Royal, 8 rue Montpensier, à Paris (1er)

 

 

 

Exposition « L’eau au cœur de la science » jusqu’au 19 juin 2022,  à Èze (06)

Composée de 24 panneaux illustrés, l’exposition retrace les grands chantiers de la recherche française dans le domaine de l’eau. Elle permet de mieux comprendre le rôle de la recherche pour une gestion durable de l’eau, comme étant une ressource vitale et essentielle au développement.

« L’eau au cœur de la science » propose aux visiteurs d’en apprendre plus sur l’enjeu, l’organisation et la gestion de cette ressource. Cette exposition est proposée par l’Institut de recherche pour le développement et le Centre de Culture scientifique et technique avec le soutien de l’Institut français et le partenariat scientifique du CNRS.

Abondante sur Terre, mais inégalement répartie, cette ressource est aujourd’hui menacée par le changement climatique et des risques de surexploitation. Elle nécessite une gestion solidaire et durable tant elle possède une valeur économique, sociale, environnementale et culturelle.

Améliorer l’accès à l’eau, qui souffre encore de criantes inégalités, est inscrit parmi les 17 Objectifs de Développement Durable (ODD). La question de l’eau constitue aujourd’hui l’un des défis majeurs du 21ème siècle.

A la Maison de la Nature, Parc de la Grande Corniche, à Eze (06)

 

 

 

Exposition « Le sorcier dans tous ses états » jusqu’au 30 octobre 2022, à Tende (06)

Cette exposition met en scène un personnage aux bras levés et aux mains ouvertes qui brandit deux lames de poignards triangulaires, composé de tous les motifs caractérisant l’art rupestre de la région du mont Bego. 

Ce personnage n’est autre que le célèbre « sorcier » gravé sur la roche, il y a 5 000 ans environ, qui a traversé le temps pour devenir, à lui seul, le symbole de la vallée des Merveilles, ainsi que le logo du musée départemental des Merveilles. 

Au fil du temps, son succès a dépassé toute attente. On retrouve le « sorcier » décliné de mille et une manières, sur toutes sortes de supports : œuvres d’art, livres, objets de boutique, timbres, logos d’entreprises, tatouages…

Au Musée des Merveilles, Avenue du 16 septembre 1947, à Tende (06).

https://museedesmerveilles.departement06.fr/agenda/agenda-13304/exposition-le-sorcier-dans-tous-ses-etats-48079.html?cHash=aed7f27b410e37908d7f167f89e4d730

 

 

 

Le nouveau guide Restaurants & Terroirs du Haut-Doubs vient de sortir

Ce guide présente l’ensemble des bonnes adresses pour découvrir les saveurs et les richesses gustatives de la région. Gratuitement mis à disposition dans les offices de tourisme locaux.

 

 

 

Exposition « Les Merveilles de la faïencerie Porquier-Beau » jusqu’au 1er octobre 2022, à Quimper (29)

Cette année, le musée de la faïence dévoile aux yeux du public les planches aquarellées de la manufacture Porquier-Beau. Fondée en 1773 par un ouvrier de la Grande Maison HB, la fabrique s’associe vers 1875 avec le peintre Alfred Beau. 

Cette collaboration entre un artiste et une faïencerie de Quimper dure plus de quinze ans. Elle apporte un souffle nouveau aux productions de la manufacture. En conséquence du succès qui en découle, la fabrique multiplie alors les formes et les décors.

Ces planches décoratives, créées dans le dernier quart du XIXème siècle et illustrant la production de l’époque, sont regroupées dans un ensemble de 10 albums.

Chaque recueil est consacré à une thématique.

Ainsi, les différents volumes regroupent indépendamment les décors de Rouen, Moustiers, Nevers ou Delft, les scènes et les légendes bretonnes ou encore les pièces du célèbre et incontournable service à bord jaune qui a fait la renommée de la faïencerie.

Déposés au musée par leur heureux propriétaire, ces carnets révèlent enfin leurs secrets au public.

Au Musée de la Faïence, 14 rue Jean-Baptiste Bousquet à Quimper (29).

https://www.musee-faience-quimper.com/expositions-thematiques/exposition-temporaire-2022-les-merveilles-de-la-faiencerie-porquier-beau/

 

 

 

Exposition « Raoul Dufy » du 5 mai au 18 septembre 2022, à Aix-en-Provence (13)

Le Havrais passionné par Cézanne s'ancre en terre méridionale. Maitre de la couleur, Raoul Dufy est évoqué ici à travers moins d'une centaine d'œuvres dont de nombreux prêts du musée d'Art moderne de Paris et de collectionneurs privés. 

Cette exposition organisée en collaboration avec le musée d’Art Moderne de Paris, explore toutes les périodes de Raoul Dufy, en mettant particulièrement à l’honneur, les liens étroits que l’artiste entretenait avec l’œuvre de Cézanne de 1908 à 1914.
A l'Hôtel de Caumont Centre d'Art, à Aix-en-Provence. https://www.caumont-centredart.com

 

 

 

Livre « Le Baroudeur : l’Afrique, l’Europe , le Brésil... » de Jean-Pierre Jolliet (Editions du Panthéon)

Jean-Pierre Jolliet est l’homme qui dit non. C’est un homme libre et un aventurier.

Tout commence par ce « Non » à son père, quand celui-ci veut qu’il reprenne la ferme. Ce « Non » va devenir son marqueur de vie.

Non à une carrière dans l’armée, malgré un début d’ascension tonitruante, non au salariat. Au volant de son camion, sur les routes d’Europe, c’est patron, qu’il décide de devenir. Rien d’autre. Bientôt, il est à la tête d’une flotte de camions, puis, il bouge.

On le retrouve en Tunisie associé dans une usine de textile. Hyperactif, Jean-Pierre se met à vouloir fournir aux restaurants du pays les lapins de son exploitation.

En Libye, il vendra de grosses cylindrées allemandes, et en Tunisie des blocs-moteurs français.

Il ira retrouver un ami restaurateur au Brésil. Cet ami qu’il avait connu au volant de son camion au début de toutes ces aventures…

Ils étaient tous les deux partants pour exaucer ce rêve, ils s’étaient promis de changer de vie, de voyager, de vivre libre !
Vous allez découvrir dans ce livre toutes les pérégrinations de ce drôle de personnage… un voyage détonant avec toutes les aventures périlleuses du monde des affaires, le parcours d’un aventurier aux facettes multiples.

Et en seconde partie de ce livre, Jean Pierre va nous faire part de ses coups de gueule sur des thèmes chers à son cœur : l’écologie, la politique, l’immigration, et cette machine à laver les cerveaux : la pub 

144 pages, 14,90€.

 

 

Les dix villes les plus peuplées au monde

Nous avons dépassé la barre symbolique des 7 milliards d’habitants sur Terre en 2011 et l’ONU prévoit que nous franchirons la barre des 8 milliards en 2022 ou 2023…

Civitatis, l’entreprise de vente en ligne de visites guidées, d’excursions et d’activités en français dans le monde entier, a dressé une liste des villes les plus peuplées au monde pour nous en dire plus :

 

  1. Tokyo (Japon) : Certains seront peut-être surpris, mais Tokyo est effectivement la ville la plus peuplée de la planète. Alliant l’ultra moderne au traditionnel avec ses gratte-ciels et ses temples historiques, la capitale nippone abrite dans sa zone urbaine près de 37 340 000 personnes, et on y trouve près de 13 960 000 personnes dans son centre-ville. Cependant, Tokyo a vu sa population chuter ces dernières années et pourrait bien perdre sa première place sur le podium des villes les plus peuplées au monde dans les années à venir.

  1. Delhi (Inde) : Frénétique, colorée, chaotique avec des endroits dignes de havres de paix, Delhi est la ville la plus peuplée de l’Inde, mais aussi la deuxième ville la plus peuplée de la planète avec 31 181 000 personnes dans sa zone urbaine et 20 592 000 dans son centre. Contrairement à Tokyo, Delhi voit sa population augmenter de plus en plus, de sorte que d’ici à 2035, la ville indienne pourrait bien dépasser les 43 millions d’habitants.

  1. Shanghai (Chine) : Shanghai est connue pour être la plus grande ville de Chine et l'un des principaux centres financiers du monde. La ville prend des allures futuristes avec ses gratte-ciels vertigineux et des lieux étonnants comme le district de Pudong, où se trouve l’immense tour de Shanghai. Évidemment, être la plus grande ville de Chine signifie indéniablement être l'une des villes les plus peuplées du monde. La zone urbaine compte 27 796 000 habitants, tandis que le centre-ville en compte 22 315 000. Difficile de croiser quelqu’un que l’on connaît par hasard, donc...

  1. Sao Paulo (Brésil) : Le Brésil est également présent dans la liste des 10 villes les plus peuplées au monde. Ce n’est pas très étonnant, puisqu’il s’agit du plus vaste pays d’Amérique latine et du 7ème pays le plus peuplé au monde. C’est donc São Paulo qui prend la tête du classement au Brésil en termes de population avec une zone urbaine qui abrite 22 043 028 personnes. Et à l'intérieur de la ville ? Vous pourrez trouver 10 021 295 personnes dans les rues de l’une des mégapoles les plus peuplées au monde.

  1. Mexico (Mexique) : Nous restons encore en Amérique latine pour continuer ce classement des villes les plus peuplées au monde en mettant le cap sur le Mexique. Mexico abrite d'innombrables quartiers colorés qui vous feront voyager à coup sûr dans le temps : de l'époque préhispanique à l'époque coloniale, en passant par son côté le plus cosmopolite. Cette mégapole compte 21 919 000 habitants dans son aire urbaine et 12 294 193 dans sa ville.

  1. Le Caire (Egypte) : Changeons de continent pour rejoindre l’Afrique, et plus précisément l’Égypte. Entouré d’immenses dunes et traversé par le Nil, Le Caire renferme des trésors archéologiques inouïs et une histoire des plus fascinantes. En plus de compter d’innombrables sites touristiques qui raviront les plus férus d’archéologie, la zone urbaine de la capitale égyptienne compte 21 323 000 habitants. Pour ce qui est de la population intra-muros, on ne compte pas moins de 8 100 000 personnes qui vivent dans cette ville.

  1. Mumbaï (Inde) : Cap maintenant sur l’Asie, et plus concrètement sur le 2ème pays le plus peuplé de la planète, l’Inde. Mumbai, anciennement Bombay, est la 2ème ville la plus densément peuplée de l’Inde, mais il s’agit également de l’un des plus importants centres financiers du pays. Sa zone urbaine compte 20 688 000 habitants, dont 12 691 836 intra-muros. Une fois de plus, si vous souhaitez passer inaperçu, Mumbai peut être un choix pertinent.

  1. Pékin (Chine) : Toujours sur le continent asiatique, nous poursuivons notre classement avec la 2ème ville la plus peuplée de Chine et la 8ème la plus habitée de la planète. L'histoire de Pékin remonte à plus de trois millénaires et la capitale chinoise se démarque par un mélange d’architecture moderne côtoyant des sites anciens, comme sa Cité interdite. Sachez une chose, si vous décidez de vous y installer, vous ferez partie des 20 897 000 habitants de son aire urbaine. Pour ce qui est de Pékin intra-muros, on n’y trouve pas moins de 11.716.620 personnes.

  1. Dacca (Bangladesh) : C’est encore en Asie que se trouve l’une des villes les plus peuplées de la planète. Dacca, également connue sous le nom de Dhaka, est la capitale du Bangladesh et est traversée par la rivière Buriganga. Si vous visitez la capitale bangladaise, préparez-vous à côtoyer 21 741 000 habitants dans sa zone urbaine, dont plus de 10 365 000 intra-muros.

  1. Osaka (Japon) : Le Japon ouvre et ferme la liste des 10 villes les plus peuplées du monde. Entre modernité et tradition, Osaka est la 2ème métropole la plus peuplée du pays du Soleil-Levant avec une population de 19 111 000 habitants dans son aire urbaine. Si vous vous baladez dans son centre-ville abritant certains des temples les plus anciens du Japon, vous serez susceptible de rencontrer plus de 2 592 413 personnes qui y vivent. Malgré tout, vous pourrez bien y trouver un peu de paix et de sérénité.

     


 

 

Réouverture du Musée Henri-Martin le 6 mai 2022 à Cahors (46)

Après six années de travaux, le Musée Henri-Martin a aujourd’hui doublé sa superficie pour atteindre 2105 m2, avec des façades ravalées, des volumes créés et des espaces réétudiés. A n’en pas douter, le palais épiscopal du début du XIXème a fait un bond dans le XXIème siècle !

Sols en parquet bois, grandes baies vitrées ouvertes sur la verdure, escaliers béton, habillage en acier Corten...

La grande nouveauté architecturale réside dans l’aménagement de deux nouvelles salles aux lignes fuyantes venant doubler l’aile nord.

Leur volume offre l’opportunité de déployer, dans des conditions optimales, de grands décors d’Henri-Martin : la Fenaison et le Monument aux morts.

Ces salles laissent une large place à la lumière via de grandes baie vitrées, à l’extrémité ouest, en connexion immédiate avec le parc.

Le porche d’entrée, surplombé par l’inscription « Musée », est resté en place, libéré des accès massifs attenants. Les portails sont désormais ajourés.

Selon une logique d’axe traversant, la nouvelle perspective offre une vision ouverte et dégagée entre le boulevard Gambetta, artère centrale de Cahors, la cour du musée et le parc Tassart, poumon vert de la ville.

Le travail muséographique a permis de tracer un parcours fluide et intelligible. Ce cheminement intellectuel s’articule autour de trois temporalités :


• Un temps long : le parcours de référence souligne les grands axes des collections. Il évoluera régulièrement au sein des thématiques définies. La rotation des œuvres des fonds majeurs garantira aux visiteurs assidus des découvertes nouvelles au fil du temps.


• Un « entre-temps » : la salle suspendue, située au premier étage de la nouvelle aile, constituera un espace d’exposition semi-permanent. Tous les 2 ou 3 ans, cette salle mettra en lumière des fonds qui, issus des collections permanentes, méritent une (re)connaissance. A l’ouverture, le travail d’Edmée Larnaudie, artiste peintre née à Saint-Pierre-Toirac (Lot), y sera présenté.


• Un temps court : quatre salles sont consacrées aux expositions temporaires. Ce bel espace accueillera, en moyenne deux fois par an, des propositions thématiques ou monographiques, et présentera les œuvres d’artistes invités, reconnus ou à découvrir.

L’exposition d’ouverture mettra le Lot à l’honneur, notamment grâce au travail de la photographe Nadia Benchallal sur le vignoble cadurcien.

Une occasion unique de découvrir différentes facettes du Lot, ce petit territoire aux valeurs humanistes qui relie les Hommes, dans le respect d’un environnement façonné par eux depuis des siècles.

Cette exposition temporaire « Le Lot, terre de… » sera visible du 6 mai au 30 juin 2022.

Au Musée Henri-Martin, 792 rue Emile Zola, à Cahors (46).

 

 

 

Tourisme durable au Japon

Alors que le Japon rouvre progressivement ses frontières, les organisations nationales et locales du tourisme et du MICE sont de plus en plus engagées dans la transition de leurs secteurs vers le développement durable dans l'ère post-Covid. Voici quelques idées de séjours :

 

  • Bain de forêt à Shirataki : Le bain de forêt (ou Shinrin-yoku) est une pratique japonaise qui a attiré l'attention du monde entier. Des études montrent que le fait de s’immerger dans la forêt et de renouer avec la nature apporte de nombreux bienfaits au corps et à l'esprit.

À Shirataki, dans le centre du Japon, les groupes peuvent faire une randonnée sur la montagne Shirataki Daimyôjin, qui a été entièrement sanctuarisée comme divinité. Le sentier suit les pas des apprentis moines bouddhistes en formation.

Ce circuit de bien-être leur permettra également d'apprendre les aspects diététiques de la médecine orientale en dégustant des aliments locaux.

  • Une nuitée dans le village classé patrimoine mondial de Gokayama : Une vue rare au Japon, le village de Gokayama se distingue par ses maisons anciennes, dont les toits de chaume ont été construits à la main selon la technique Gassho-zukuri.

Classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, le village peut être visité par des voyageurs qui découvriront cette partie de l'histoire du Japon et contribueront à sa préservation et à sa transmission aux générations futures.

  • Plantation d’arbres pour la protection du corail sur l’île d’Ishigaki :L’île d’Ishigaki, située dans l’archipel d’Okinawa, est une île entourée de corail qui joue un rôle essentiel dans l’écosystème et la vie quotidienne de sa population. Ce corail est cependant menacé d’extinction depuis plusieurs années, mettant en péril l’environnement et l’économie de l’île. Il est possible de participer sur place au reboisement pour empêcher l’érosion de la terre argileuse rouge dans l’océan et protèger ainsi le corail, la vie marine et l’environnement dans son ensemble.

     

 

 

Max Senior, la nouvelle offre de la SNCF

Depuis plusieurs années, SNCF Voyageurs a remarqué que le comportement des voyageurs de 60 ans et plus évolue : les seniors sont flexibles dans leurs déplacements, souhaitent voyager plus souvent tout en maitrisant leur budget. 
En parallèle, les abonnements Max proposés par l'opérateur ont attiré de nouveaux clients, car ils libèrent des contraintes de la réservation à l’avance. L’offre Max Jeune pour les 16-27 ans créée en 2017 connaît notamment du succès. 
C’est pourquoi SNCF Voyageurs propose dès maintenant à ses clients de 60 ans et plus la nouvelle offre Max Sénior : Pour un prix de 79 € par mois, ces clients peuvent voyager en 2ème classe, du lundi au vendredi, en dehors des périodes d’affluence.

L’abonnement Max Senior est valable sur TGV INOUI et sur les trains INTERCITÉS de jour et de nuit, et couvre toutes les destinations françaises ainsi que les trajets vers Fribourg-en-Brisgau en Allemagne et le Luxembourg.

En souscrivant à Max Senior, les abonnés s’engagent pour une période minimale de 3 mois. L’abonnement est par la suite reconduit automatiquement chaque mois, sans action de la part du client. Max Senior étant 100% numérique, la souscription ainsi que les réservations se font en ligne.

Les clients peuvent voyager autant de fois qu’ils le veulent, tout en réservant jusqu’à 6 voyages en même temps. Deux jours avant, les clients doivent confirmer ou annuler leur trajet depuis leur espace Max. 

A bord des trains, les abonnés doivent présenter un justificatif d’abonnement en complément de leur titre d’identité autorisé à bord.

https://www.sncf.com/fr/offres-voyageurs/cartes-tarifs-grandes-lignes/max-senior

 

 

 

Exposition « Injustice environnementale-Alternatives autochtones », jusqu’au 21 août 2022, à Genève (Suisse)

Le Musée d’Ethnographie de Genève (MEG) présente depuis le 24 septembre 2021 une grande exposition intitulée « Injustice environnementale – Alternatives autochtones ». 

Le thème abordé est l’urgence climatique, l’un des enjeux majeurs de notre époque. Le parcours présente les perspectives et les savoirs et savoir-faire de peuples autochtones pour faire face aux dégradations de leurs territoires accélérées par les changements de climat.

Au Musée d’Ethnographie de Genève, Boulevard Carl-Vogt 67 à Genève (Suisse). https://www.meg.ch/fr/expositions/injustice-environnementale-alternatives-autochtones

 

 

 

L’Anvers du décor (Belgique)

En 2022, la ville d’Anvers est l’endroit par excellence où il faut se rendre cette année, au moment où la cité déploie de nombreux évènements, expositions et rénovations afin d’accueillir les touristes dans les meilleures conditions. Au programme :

 

  • La réouverture du Musée Royal des Beaux-Arts le 25 septembre prochain : le plus grand musée de Flandre s’apprête à rouvrir après d’importants travaux qui lui permettront d’atteindre une envergure internationale, et de rassembler plus de 650 œuvres d’art dans sa nouvelle exposition permanente.

L'entièreté du bâtiment (façades, toiture et intérieur du musée) a subi une rénovation monumentale. La scénographie a été repensée et invite notamment le visiteur à se plonger dans les détails de divers chefs-d'œuvre, et à porter un regard neuf sur l'art. Il accueillera, en plus de ses espaces d'expositions permanentes et temporaires, une bibliothèque et librairie, un grand café, un atelier de restauration, un jardin-musée... 

C'est un lieu de rencontre et d'expérience de l'art pour les habitants d'Anvers autant que pour les visiteurs internationaux.

  • La plus grande exposition sur l'espace d'Europe se tient actuellement à Antwerp Expo (https://www.antwerpexpo.be/fr/) et jusqu’au 30 juin. « The Human Quest », plus grande exposition spatiale d’Europe rassemble de nombreux objets historiques, des répliques et des récits offrant un regard sur l’avenir de l’espace. 

À travers plusieurs documents historiques et anecdotes, les visiteurs auront un aperçu de la vie d’un astronaute. Ils pourront également assister de près au premier alunissage, être dans le cockpit de la navette spatiale Space Shuttle Atlantis ou encore arrimer un vaisseau à la station spatiale internationale.

La régate organisée par Sail Training International attire des centaines de milliers de visiteurs d'Anvers et d'ailleurs ou non pour admirer les plus beaux et les plus grands voiliers du monde. L‘édition précédente a attiré plus de 500 000 personnes en 2016. Outre les navires et les animations annexes, le lien et la durabilité revêtiront cette fois-ci une importance particulière. La ville et le port se relient littéralement. 

En effet, outre les quais de l’Escaut et l’Eilandje ; le Kattendijkdok et la place Zaha Hadid se voient également attribuer un rôle prépondérant. L‘aménagement d‘Ecopolis se déroulera au milieu du site événementiel.

Cette zone mettra à l‘honneur les développements novateurs et durables de la ville, de l‘autorité portuaire d‘Anvers et des partenaires. L‘accent sur la durabilité se prolonge dans les choix des matériaux et de la mobilité. Il continue aussi dans la compensation des émissions CO2 par la plantation de bois en Flandre.

Plus d’infos sur le e-magazine de VisitAntwerp : https://visitantwerpen.maglr.com/antwerp-in-2022-fr/anvers-en-2022

 

 

 

Exposition « La Belle Epoque de l’Art nouveau/ au temps de Bonnard et Mucha » jusqu’au 19 juin 2022, à Pully (Suisse)

La Belle Époque de l’Art nouveau présente, au travers d’une sélection d’œuvres issues d’une prestigieuse collection privée suisse, plusieurs aspects d’un mouvement artistique majeur qui a façonné le visage de l’Europe entre la fin du XIXème siècle et le début du XXème siècle. 

Entre la fin du XIXème siècle et la Première Guerre mondiale, l’Europe connaît des années de paix qui favorisent la prospérité économique ainsi que le développement de nombreux progrès scientifiques et humains. Les artistes participent pleinement au renouveau de la société, à Paris bien sûr, mais aussi à Vienne, à Munich ou à Bruxelles ; ainsi, né des bouleversements engendrés par les révolutions industrielles, l’Art nouveau rejette les formes du passé, conteste la culture classique en proposant une nouvelle manière de percevoir et de ressentir le monde dans la beauté et l’unité de l’art et de la vie. 

Loin de se limiter à des changements esthétiques et formels, l’Art nouveau est pensé comme un phénomène culturel, social, un mouvement artistique novateur qui marque profondément l’entrée dans le XXème siècle. En quête d’une réforme de la société par la beauté de l’objet accessible à tous, il est diffusé largement grâce à ses supports populaires privilégiés, affiches, revues et estampes. De Jules Chéret à Edvard Munch, en passant par Pierre Bonnard, Alphonse Mucha, Gustav Klimt et Oskar Kokoschka, les artistes sont nombreux à participer avec créativité à cette révolution.

Au Musée d’art de Pully, Chemin Davel 2 à Pully (Suisse). https://www.museedartdepully.ch/fr/expositions/par-annee/id-18974-la-belle-epoque-de-l-art-nouveau/

 

 

 

Exposition « Monet/Rothko » jusqu’au 3 juillet 2022, à Giverny (27)

Depuis quelques années, les recherches sur l’impressionnisme tardif ont mis en lumière les correspondances entre les œuvres de Claude Monet et celles des peintres de l’abstraction, parmi lesquels Mark Rothko. L'exposition fait dialoguer les œuvres de ces deux artistes à travers les peintures tardives du maître de l’impressionnisme d'une part, les couleurs énigmatiques de l’artiste américain de l'autre. Le parcours invite à la contemplation.

Claude Monet cherche à rendre l’immédiateté d’un ressenti. Mark Rothko tente quant à lui une approche plus intense, là où la contemplation dilate la pensée. Le parcours d'exposition, divisé en thématiques chromatiques, est une expérience visuelle et sensorielle. Les yeux, ainsi que la perception de l’espace et du temps, sont soumis à une épreuve artistique à travers un dialogue entre six œuvres de Rothko et sept peintures de Monet.

Au Musée des Impressionnismes, 99 rue Claude-Monet à Giverny (27). https://www.mdig.fr/expositions-et-activites/expositions/monet-rothko/

 

 

 

Exposition « La Police des mœurs à Paris » jusqu’au 26 août 2022, à Paris (75)

La prostitution féminine est un phénomène qui a évolué avec la société et la perception que celle-ci se fait des bonnes mœurs. Cette exposition présente l'histoire de la gestion de la prostitution, de l’institutionnalisation des maisons closes encadrées par la police parisienne au XIXème siècle, à leur fermeture après la Seconde Guerre mondiale. Une immersion au cœur des nécessaires relations nouées entre la police et la prostitution : de la police du lieutenant général d'hier à celle de la préfecture d’aujourd’hui.

Au Musée de la Préfecture de Police, 4 rue de la Montagne Sainte-Geneviève, à Paris (5ème)

https://www.prefecturedepolice.interieur.gouv.fr/musee

 

 

 

A la découverte des vins de Bourgogne

Incontournable pour préparer son séjour sur place, la dernière édition du Guide des caves « Vignobles & Découvertes » répertorie près de 250 caves.

Très complet il donne également de nombreuses informations sur le vignoble, le label national « Vignobles & Découvertes », les Climats, La Cité des Climats et vins de Bourgogne, l’Ecole des Vins de Bourgogne… Accompagné du Guide de fêtes viticoles, vous voici paré pour sillonner joyeusement le vignoble de Bourgogne à la découverte de ses 84 appellations…

https://www.vins-bourgogne.fr/escapades-viticoles/escapades-viticoles-decouvrez-l-oenotourisme-en-bourgogne,2300,9604.html?

 

 

 

Exposition « Silsila » jusqu’au 31 juillet 2022, à Paris (75)

Les notions de transmission, et de représentation, sont interrogées à travers les œuvres d’artistes vivant en France et dont l’histoire personnelle ou familiale s’inscrit dans un parcours migratoire. 

Silsila (« la chaîne », en arabe) évoque les liens de filiation qui unissent les êtres ou les événements, suite de maillons singuliers mais indissociables, comme autant de destinées entrelacées. Les artistes tissent délicatement les fils de leurs origines.

Les artistes alternent les médiums et les registres, la figuration et l’abstraction. Ils convoquent des imaginaires renvoyant à l’intime et aux souvenirs, aux symboles et aux rituels. Ils explorent l’histoire de l’art et la poésie, analysent l’héritage au sens propre comme au figuré et affirment des identités féminines en mouvement, dépassant les normes de la tradition. Entre passé et présent, leurs œuvres invitent à un voyage des regards dans le temps et dans l’espace.

A l’Institut des Cultures d’Islam, 19-23 rue Léon, à Paris (18ème). https://www.institut-cultures-islam.org/silsila-le-voyage-des-regards/

 

 

 

Exposition « Tentation » jusqu’au 30 septembre 2022, à Paris (75)

L’exposition met en lumière une rencontre : celle du savoir-faire unique des artisans de la manufacture et le talent d’artistes, d'architectes et de designers de renommée internationale. 

De nombreux créateurs ont cédé à la tentation de Baccarat : de Georges Chevalier à Virgil Abloh, en passant par Salvador Dalí ou Patrica Urquiola. Plus de 300 chefs-d'œuvre de la collection patrimoniale Baccarat sont ici à découvrir. 

Un voyage à travers un siècle de création.

A la Galerie-Musée Baccarat, 11 Place des Etats-Unis, à Paris (16ème). https://www.baccarat.fr/fr/musees/

 

 

 

Exposition « Gustave Doré, Créateur de mondes », jusqu’au 19 juin 2022, à Gravelines (59)

Dessinateur de génie, à l’imagination débridée, Gustave Doré (1832- 1883) a produit avec une équipe de graveurs virtuoses plus de 10 000 illustrations.

L’exposition déroule une sélection de près de 200 gravures révélatrices de cet univers fantasque. Figure originale du romantisme noir, Gustave Doré allie expressions des passions et visions chimériques. À partir de 1855, il s’est donné pour ambitieux programme d’illustrer les grands livres de la littérature, son choix porte sur des récits tragi-comiques, épiques ou sacrés (Gargantua de Rabelais, L’enfer de Dante, Les contes de Perrault, Don Quichotte de Cervantès, La Bible…). 

Il compose des images puissantes, fantastiques et anticonformistes, donne un nouveau souffle aux textes et crée des mondes.

L’exposition propose les images célèbres qui ont largement circulé et nourri notre imaginaire collectif (Le Petit Poucet seul en forêt, les rues de Londres…) mais aussi quelques vignettes méconnues, insérées dans le corps du texte, tout aussi saisissantes.

Au Musée du dessin et de l’estampe originale, Arsenal, Place Albert Denvers à Gravelines (59)

https://www.ville-gravelines.fr/expotemp/02-%20PAGE%20WEB/02Expositions/Expotemp/GD.html

 

 

 

Exposition « Giorgio Vasari, le Livre des Dessins » jusqu’au 18 juillet 2022, à Paris (75)

Le Libro de Disegni fait son apparition dans la seconde édition des Vies des plus excellents peintres, sculpteurs et architectes (Florence - 1568). Il représente probablement la première collection de dessins fondée sur une logique historisante.

Elle a été réunie par Giorgio Vasari. Le 29 juin 1574, deux jours après la mort de ce dernier, le Libro est remis par ses héritiers au grand-duc de Toscane, Francesco Ier. Avant de disparaître... Retour sur la destinée d'une collection mythique.

Les grands collectionneurs et connaisseurs des XVIIème et XVIIIème siècles ont tous rêvé d’acquérir, et cru qu’ils possédaient, des dessins du Libro

En 1950, deux grands savants remarquent sur un « montage Vasari » la présence d’un mystérieux emblème. Ces conséquences inattendues sont au cœur du parcours d'exposition organisé par le Louvre et le National museum de Stockholm.

Au Musée du Louvre, Pyramide (cours Napoléon à Paris (1er). https://www.louvre.fr/en-ce-moment/expositions/giorgio-vasari

 

 

 

L’UNIVERSITÉ POPULAIRE 2022 : « Transmettre » en mai, à Paris (75)

De janvier à juin 2022, l'Université populaire du musée du quai Branly - Jacques Chirac propose un nouveau cycle de conférence conçu par Anne Lafont, historienne de l'art, et Anne-Christine Taylor, anthropologue. Dans le cadre de cette nouvelle programmation, elles questionnent le thème de la transmission autour de trois sujets : L'école, Le corps et La guerre.

Durant ce premier semestre, anthropologues, sociologues, historiens, conservateurs et éthologues expliquent comment s'entend le concept de transmission dans leurs disciplines et dans les mondes d'hier et d'aujourd'hui :

  • Vengeance et temporalité dans les mondes amérindiens. Avec Manuela Carneiro da Cunha,anthropologue, Professeur émérite à l’Université de Sao Paulo et à l’Université de Chicago, et Emmanuel Désveaux, Directeur
    d’Etudes à l’EHESS, Adjunct Professor, University of Indiana, Bloomington/ Modéré par Anne-Christine Taylor/ Mercredi 18 mai 2022, 18h30

Musée du quai Branly – Jacques Chirac - 37, quai Branly ou 218, rue de l’Université, Théâtre Claude Lévi-Strauss – niveau JB. Accès libre dans la limite des places disponibles. Retrouvez aussi les conférences de l’UniversitéPopulaire du quai Branly – Jacques Chirac en ligne, sur la chaîne Youtube du musée et sur le site : www.quaibranly.fr. Réservations : 01 56 61 71 72.

 


Exposition « En rêvant la Méditerranée », du 8 mai au 18 septembre 2022, à Beaulieu-sur-Mer (06)

Objet emblématique de l’Antiquité, l’amphore était un vase de terre cuite à deux anses, très répandu dans tout le bassin méditerranéen. Récipient utilitaire principalement destiné au transport du vin et de l’huile d’olive, elle faisait partie de la vie quotidienne des Grecs et des Romains ainsi que des sociétés qui commerçaient avec eux.

Aujourd’hui, le maître verrier Antoine Pierini, inspiré de la Grèce antique et de la Méditerranée d’Albert Camus, réinvente cet objet antique en le détournant de ses fonctions utilitaires pour créer des œuvres uniques, dont certaines ont été exclusivement conçues pour la Villa Kérylos, et qui seront présentées dans une ambiance visuelle et sonore originale.

A la Villa Kérylos, Impasse Gustave Eiffel, à Beaulieu-sur-Mer (06). https://www.villakerylos.fr/Actualites/Exposition-En-revant-la-Mediterranee


Ouverture de la Cité internationale de la Gastronomie et du Vin le vendredi 6 mai 2022, à Dijon (21)

Nouvelle destination phare pour célébrer l’art de vivre à la française, la Cité internationale de la gastronomie et du vin a l’ambition de raconter et faire vivre les valeurs reconnues par l’Unesco du Repas gastronomique des Français et des Climats du vignoble de Bourgogne.

La Cité internationale de la gastronomie et du vin se déploie autour de 1 750 mètres carrés d’espaces d’exposition donnant les clés pour comprendre le « Repas gastronomique des Français » qui, en 2010, entrait sur la Liste du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.

Loin d’un label qui figerait les savoir- faire uniques du pays de la « bonne chère », l’Unesco reconnaissait ainsi la valeur exceptionnelle d’une tradition millénaire qui contribue au renforcement des liens sociaux : l’art de mettre les petits plats dans les grands, de sélectionner les bons produits, de les accompagner du vin idéal, mais aussi la convivialité qui caractérise le repas festif, les rituels attachés à celui-ci et aux moments importants de la vie...

Avec l’appui de la Mission française pour le patrimoine et les cultures alimentaires, présidée par Jean-Robert Pitte, la France s’était engagée alors à valoriser ce repas en lançant la création d’un réseau d’équipements pluridisciplinaires dédiés à la gastronomie, afin de permettre aux touristes de découvrir cette richesse, mais aussi aux Français de s’approprier cette dimension essentielle de leur culture. C’est à ce titre que Dijon, saisissant l’opportunité d’une candidature nourrie de son identité historique, a été choisie en 2013 avec pour spécificité la promotion de la culture de la vigne et du vin.

Au cœur de la ville, à deux pas de la gare à laquelle elle est reliée par un parcours pédestre ampélographique, la Cité devient réalité. 

Sur un vaste espace de 6,5 hectares témoin de la longue histoire d’un site depuis 1204 tout entier dédié aux soins et à l’hospitalité - et dont l’hôpital général de Dijon a progressivement puis définitivement quitté les lieux en 2015 – s’élabore ainsi une expérience hors du commun : scénographies des expositions temporaires ou permanentes, école de cuisine Ferrandi Paris, école des vins de Bourgogne du Bureau Interprofessionnel des Vins de Bourgogne, commerces de bouche, Librairie gourmande, cuisine événementielle du Village gastronomique, la Cave et les restaurants du groupe Epicure, 9 salles de cinéma Pathé, start-up du Village by CA et ses locomotives Vitagora et la Foodtech Bourgogne-Franche-Comté...

Indissociable de la gastronomie française, le vin est célébré par la Cité internationale de la gastronomie et du vin dans ses dimensions culturelle, scientifique, historique et patrimoniale à travers l’ensemble des expositions, ateliers et commerces. Espace monumental de plus de 600 m2 sur 3 niveaux, La Cave de la Cité proposera aux visiteurs une expérience unique de dégustation personnalisée avec une offre quotidienne de 250 vins au verre parmi plus de 3000 références de crus du monde entier, dont une place de choix évidemment donnée aux bourgognes. https://www.citedelagastronomie-dijon.fr/

Au 3, rue du Faubourg-Raines, à Dijon (21)



Vintage Day le 7 mai 2022 à Fort-Mahon-Plage (80)

Ce jour-là, plusieurs dizaines d'exposants particuliers et professionnels seront présents de 8h00 à 19h00 pour exposer gratuitement de la brocante et objets vintage, de la mode rétro, avec en attraction un rassemblement de véhicules anciens, un show et un concert d'époque.

Place Claude Baillet et 521 Place Tassigny, à Fort-Mahon-Plage (80)



Exposition « Artextures 2022 », jusqu’au 15 mai 2022, à Jouy-en-Josas (78)

Concours international de l'art textile contemporain, Artextures présente le savoir-faire d'artistes à travers 36 œuvres. Le parcours met en lumière des créations qui associent couleurs et matières pour créer un univers unique à l'image de chaque artiste.

Au Musée de la Toile de Jouy, 54 rue Charles-de-Gaulle, Gare Petit Jouy-les-Loges, Château de l’Eglantine, à Jouy-en-Josas (78)

https://www.museedelatoiledejouy.fr



Exposition « Entre tes yeux et les images que j’y vois », jusqu’au 11 juin 2022, à Paris (75)

Huit peintres s'interrogent sur la manière dont les formes se produisent aujourd’hui, tant dans la solitude de l’atelier qu'à travers les regards, les mots ou les affinités. Ces artistes ont en commun une pratique de la peinture où les images ont leur place. Ils assument leurs émotions et leurs plaisirs, leurs désirs et leurs revendications ; portés par une humanité dépourvue de cynisme. 

Les uns avec les autres, les uns à côté des autres : leurs œuvres sont d’abord diverses.

A la Fondation Pernod Ricard, 1 cours Paul Ricard à Paris (8ème).

https://www.fondation-pernod-ricard.com



Saison France-Portugal 2022 : Ata Pressao, du 6 au 25 mai 2022, à Brest (29)

Deux artistes partagent et explorent les côtes d’Oceanum nostrum, de l’Île de Terceira et de celle d’Ouessant, en interrogeant les scientifiques qui y travaillent et en partant à la rencontre des jeunes résidents pour donner naissance à une œuvre hybride qui prendra la forme d’une projection musicale.

L’univers de François Joncour mêlant sons captés par les océanographes, musique électronique, voix humaines, instruments à cordes et à vent rencontrera l’écriture visuelle onirique, diaphane et ensorceleuse de Sandra Rocha pour donner naissance à une œuvre originale. Il s’agira au travers de cette installation sonorisée en quatre tableaux de mettre en lumière et en sons la vision du monde de ces adolescents d’aujourd’hui, leur façon de voir, de sentir et de ressentir, de sonder leurs rapports complexes au climat et aux enjeux écologiques majeurs.

Aux Ateliers des Capucins, 25 rue de Pontaniou à Brest (29). https://www.ateliersdescapucins.fr/fr


Spectacle « Hadrien, la guerre des Pictes » les 6, 7 & 8 mai 2022, à Nimes (30)

Il y a 1900 ans exactement, l’empereur Hadrien était de passage à Nîmes. C’était en l’an 122. Quoi de plus mémorable, à l’occasion des Journées Romaines de Nîmes, de faire revivre au sein des majestueuses arènes et à plus de 12 000 spectateurs, une reconstitution historique exceptionnelle à travers un grand spectacle sur l’antiquité. 

Rendez-vous les 6, 7 & 8 mai 2022 à la découverte du tout nouveau spectacle : «Hadrien, la guerre des Pictes» avec plus de 500 acteurs venus de toute l’Europe pour faire revivre avec passion cet épisode de l’histoire de Rome.

Aux Arènes de Nîmes, Boulevard des Arènes, à Nîmes (30)


Journées romaines de Nîmes (30) du 4 au 8 mai 2022

Du 4 au 8 mai se tiennent les Journées romaines de Nîmes, aussi surnommée « la Rome française ». Pendant cinq jours, marchés, conférences, visites nocturnes des arènes, animations, spectacles et défilés se dérouleront à travers toute la ville. Petits et grands seront transportés dans l’Antiquité romaine pendant cet événement festif considéré comme la plus grande reconstitution historique de l’Antiquité en Europe. Fenêtre sur le passé florissant de l’Antiquité romaine, le Musée de la Romanité participe à cet événement et propose une programmation entièrement gratuite d’animations variées pour un week-end ludique et familial :

  • Samedi 7 et dimanche 8 mai – De 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h : l’entreprise SELE, spécialiste de la restauration de monuments anciens et historiques comme la Maison Carrée, les Arènes ou le fronton des Propylées, proposera une démonstration de taille de la pierre avec la possibilité, pour le public, de s’initier à cette technique. 

  • Samedi 7 et dimanche 8 mai – À 14h30 et 16h30 : récit de la campagne de Trajan en Dacie. Luernos est un survivant. Il faisait partie d’une expédition au nord du Danube, en territoire Dace, mais les choses ne se sont pas passées comme prévu et la retraite a tourné au désastre. 15 ans plus tard, il est de retour en Dacie. Il est membre des equites singulares, la garde du corps de l’Empereur et de son état-major. Il y rencontre alors Hadrien, celui qui sera un jour le fils adoptif et successeur de l’empereur Trajan.

  • Samedi 7 et dimanche 8 mai – En continu : insatiable voyageur, l’empereur Hadrien a eu la chance de vivre à l’époque où l’Empire romain était stable et à son apogée. Cet empereur curieux, amoureux des arts, de la philosophie et de la littérature grecs était aussi un grand voyageur qui a passé presque dix ans à sillonner les contrées occidentales mais aussi les plus lointaines provinces de son empire pour mieux l’administrer. Cette animation est une invitation à la découverte des sciences et connaissances antiques en matière de géographie, de navigation, de cartographie et d’astronomie. 

  • Samedi 7 et dimanche 8 mai – 15h30 : d’une conversation entendue dans un café est née l’idée d’un spectacle sur nos ancêtres les « Barbares ». Des tranches de vie de personnages issus des temps anciens, mêlant vérités historiques et décalages humoristiques. Un spectacle qui certainement vous en apprendra beaucoup sur nos (vrais) ancêtres, les barbares


Symbole de la pleine nature, le département de la Lozère s'affiche avec des paysages parfois inattendus :

canyons, vallées, monts, lacs et rivières sauvages aux scènes exceptionnelles.

Son ensoleillement n'en est pas moins étonnant puisqu'avec 2025 heures de soleil par an, il y fait aussi beau qu'à Toulouse. On y croise également quelques 300 burons, ces maisons basses en pierre recouvertes de lauzes ou d'ardoises qui servent de refuges aux bergers sur la plateau de l'Aubrac. D'autres pierres, verticales celles-ci, et qu'on appelle menhirs pointent vers le ciel sur l'unique site de la Cham des Bondons, faisant ainsi de la Lozère la deuxième concentration mégalithique de l'hexagone derrière Carnac. Amateurs de grands espaces, vous voici arrivés à destination.

 

Yves

 

Classement des dix premiers pays qui ont visité ce site la semaine dernière : 1) Etats-Unis 2) France 3) Chine 4) Royaume-Uni 5) Canada 6) Allemagne 7) Japon 8) Italie 9) Pays-Bas 10) Belgique




La Lozère, à la fois branchée et déconnectée (France)


Symbole de la pleine nature, le département de la Lozère s'affiche avec des paysages parfois inattendus : canyons, vallées, monts, lacs et rivières sauvages aux scènes exceptionnelles. Son ensoleillement n'en est pas moins étonnant puisqu'avec 2025 heures de soleil par an, il y fait aussi beau qu'à Toulouse. On y croise également quelques 300 burons, ces maisons basses en pierre recouvertes de lauzes ou d'ardoises qui servent de refuges aux bergers sur la plateau de l'Aubrac. D'autres pierres, verticales celles-ci, et qu'on appelle menhirs pointent vers le ciel sur l'unique site de la Cham des Bondons, faisant ainsi de la Lozère la deuxième concentration mégalithique de l'hexagone derrière Carnac. Amateurs de grands espaces, vous voici arrivés à destination ! (...)


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