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Lettre envoyée le 25/07/2022



 

 

Lundi 25 juillet 2022                                                       La Lettre N°596

 

 L’invention française récompensée... par l’Europe !

 

C’est la Française Claude Grison qui remporte cette année le prix de l’inventeur européen 2022 dans la catégorie « Recherche ».

Une cérémonie diffusée en direct a en effet permis à l'Office européen des brevets de dévoiler, le 21 juin dernier, les lauréats des prix de l’inventeur

européens 2022. C'est donc Claude Grison, directrice de recherche au CNRS, directrice du laboratoire ChimEco et lauréate de la médaille de

l'innovation du CNRS en 2014, qui a été consacrée.

Notre chercheuse est récompensée pour les méthodes d'utilisation de plantes qu'elle a développées afin d’extraire les éléments métalliques d'un sol

pollué et utiliser ces « écocatalyseurs » pour créer de nouvelles molécules à destinatin de l'industrie.

Claude Grison a créé quatre start-up dont Bio Inspir' et a collaboré avec des sociétés chimiques, pharmaceutiques et cosmétiques dont Belgarena,

Colas, Klorane et Chimex. 

Agée de 53 ans, la chimiste est à l’origine de douze brevets CNRS qui permettent non seulement d’utiliser des plantes pour dépolluer progressivement

les sites miniers, mais aussi d’exploiter les métaux que ces plantes ont absorbés.

De l’anticancéreux dérivé du monastrol aux produits cosmétiques, les applications sont nombreuses.

Des collaborations industrielles sont d’ailleurs développées avec Chimex, filiale de L’Oréal, et la société japonaise Takasago, tandis que Stratoz, jeune

entreprise innovante, développera toute la filière. 

Au début de sa carrière, Claude Grison avait pourtant opté pour une autre voie, la chimie du vivant, interface entre la chimie et la biologie. En 2005,

elle découvre le fonctionnement d’une enzyme importante dans la résistance des bactéries aux antibiotiques.

Son virage vers l’écologie, un « pari risqué » qu’elle fait en 2008, est inspiré par quatre de ses étudiantes venues lui demander de l’aide pour préparer

un sujet sur la dépollution par les plantes. La nature curieuse de cette scientifique hors pair, soucieuse d’environnement, fera le reste.

Grâce à ces plantes, on a inventé une nouvelle chimie qui transforme des déchets en métaux, une matière première justement en voie d’épuisement.

C’est le cas du palladium, indispensable pour synthétiser de nombreux médicaments.

Rappelons que si l’un des défis majeurs de la crise environnementale actuelle est bien évidemment de parvenir à diminuer les émissions de dioxyde de

carbone (CO2), on oublie de préciser que la reforestation constituerait une autre piste. En juillet 2019 – juste avant les incendies en Amazonie, en

Sibérie et en Afrique  – une étude publiée par Science indiquait qu’en reboisant environ 0,9 milliard d’hectares de terres dans le monde, on pourrait à

terme absorber les deux tiers des émissions de carbone d’origine humaine.

D’autres pistes semblent plus aléatoires, voire dangereuses. Régulièrement, les journaux font état de projets de géo-ingénierie destinés à modifier le

pouvoir réfléchissant des nuages ou à saupoudrer les océans avec du calcaire pour diminuer son acidité. Malheureusement, la mise en pratique d’une

telle mesure serait couteuse et aléatoire puisque 3 000 bateaux seraient nécessaires pour ajouter 4 milliards de tonnes de calcaire à l’océan chaque

année. 

Cela nécessiterait des investissements élevés et produirait d’importantes émissions de gaz à effet de serre, pour n’absorber “que” 600 millions de

tonnes de CO2 par année en cinquante ans, soit 1,5 % des 40 milliards de tonnes rejetées tous les ans par les activités humaines.

En fait, seules deux solutions sur les treize évaluées semblent réalistes : le déploiement à grande échelle des énergies marines renouvelables et la

restauration de la végétation côtière. Il est urgent d’agir car pas moins d’un million d’espèces sont menacées d’extinction dans les prochaines années.

Et même si la situation est désespérée, rien ne sera jamais perdu tant qu’il y ara des chercheurs  comme Claude Grison !

 

 

LE CLIN D'OEIL DE VALERIE !

Le Japon me surprendra toujours par son ingéniosité : Miki Matsuura met les petits plats dans les grands pour nous en coller plein la vue aux...

marches du palais !

Le Japon est un pays fascinant grâce à son histoire, ses magnifiques paysages et sa culture sans oublier sa gastronomie. L’un des plats japonais les

plus célèbres du pays du Soleil-levant est le bento, qui est un repas complet traditionnel où l’on retrouve plusieurs aliments cuisinés déjà prêts à

manger.

Et certains artistes en herbe y voient une belle occasion d’exprimer leur créativité, à l’image de Miki Matsuura qui crée des portraits incroyablement

détaillés dans les bentos qu’elle prépare pour son mari.

Cette spécialité japonaise se compose généralement de saumon, de sushi, de légumes, de crevettes mais surtout de riz blanc qui sert de base à Miki

de la même façon qu’un dessinateur utilise une feuille blanche. 

Elle commence d’ailleurs par dessiner sur un papier ce qu’elle désire représenter avant de le reproduire avec les aliments et du charbon de bois de

bambou pour les tracés en noir.

C’est dans la pop culture que Miki puise son inspiration pour créer ses bentos : On y retrouve notamment des personnalités publiques comme Albert

Einstein, Bob Marley ou John Lennon, des reproductions de tableaux dont “Autoportrait à l’oreille bandée” de Vincent van Gogh mais aussi des scènes

de films, de séries et de mangas célèbres. Et vous savez quoi ? Miki a même un compte sur Instagram : (https://www.instagram.com/nancychannel/)

afin de prolonger ce plaisir des yeux !

 

La langue française m’étonne tout autant, par, notamment, la richesse de ses expressions. En cette période estivale, voici quelques

expressions adaptées à notre époque :

 

  • Avoir le rideau qui colle aux fenêtres : Vous êtes en eau. Un peu gêné, vous vous éclipsez discrètement pour trouver un peu d’air. Vous avez, dans cette situation précise, «le rideau qui colle aux fenêtres». Cette formule peu châtiée signifie «transpirer excessivement», avoir les vêtements qui collent à la peau lorsque l’on a très chaud.

  • Suer comme un bœuf : Autrefois, les bœufs étaient harnachés pour tirer de lourdes cargaisons dans des charrettes. Les animaux fatigués soufflaient bruyamment (d’où l’expression «souffler comme un bœuf»), et transpiraient abondamment. Voilà pourquoi nous associons la bête au fait peu agréable de suer.

  • Cagnard : Originaire de Provence et du Languedoc, le «cagnard» tant redouté est un «emplacement ensoleillé à l’abri du vent». 

Par extension, c’est aussi un soleil brûlant. Jadis, ce terme désignait une «maison publique», et jusqu’au XIXème siècle, un «réduit, un abri misérable». Le «cagnard» était cet abri non fermé et plus ou moins chaud, où se rassemblaient des vagabonds. En tant qu’adjectif, il désigne aussi quelqu’un d’indolent, de nonchalant.

  • Se dorer la pilule : Ce sens s’explique par le fait que les pilules étaient supposées avoir un effet positif sur nombre de maux. Elles avaient toutefois un goût infâme, et pouvaient coller entre elles. Ce n’est qu’au XXème siècle que l’expression prend sa forme pronominale, avant de signifier, depuis une vingtaine d’années: «bronzer, se prélasser au soleil».

  • Il fait une chaleur (un soleil) de plomb : Il fait lourd, très lourd. Quelle meilleure image que celle du plomb, pour illustrer cette désagréable moiteur qui se faufile sournoisement sous nos vêtements? Le «soleil de plomb» est par métaphore «très pesant, ardent, accablant».Apparue au 19ème siècle, cette expression est notamment popularisée par Lamartine dans l’un de ses écrits.

 

 

 

UN PEU PLUS D'HUMOUR

 

Marie-Thérèse Porchet dans « La Truie est en moi » https://www.youtube.com/watch?v=BoV8hcRSSyo

 

 

 

SEQUENCE NOSTALGIE

La France des bas salaires ne date pas d’aujourd’hui. Le reportage diffusé en 1979 dans l’émission « Aujourd’hui Madame » est éloquent : "On peut

survivre mais pas vivre". En 1979, le SMIC horaire était de 12,93 Francs. Le reportage d’aujourd’hui porte sur trois familles françaises qui se

débrouillent comme elles peuvent. Tout d'abord, rencontre avec Madame Thébault qui vit près de Vitré en Ille-et-Vilaine. Elle est garde-barrière, mère

de 7 enfants, son mari est malade et son budget total est de 1600 francs par mois (244 €). Elle complète son activité en faisant des crêpes dans un

restaurant et en donnant des cours de machine à tricoter. Le reportage se poursuit avec le portrait de madame Rougeron qui vit près de La Châtre.

Après la faillite de l'entreprise créée par son mari, sa famille est sur-endettée et en proie à la justice.

En retirant les dettes qu'ils doivent aux créanciers, ils ne vivent plus qu'avec 970 francs par mois (148 €). Enfin la famille Piquet, 23 et 25 ans. La

femme ne parvient pas à trouver de travail, le mari est menuisier de son état. Ils vivent près de Vichy avec leur petit garçon David et 2400 F par mois

(366 €). Il explique que les métiers du bâtiment payaient mieux autrefois et que le travail d'ouvrier qualifié s'en est trouvé dévalorisé. Il aimerait

changer de métier mais ses demandes n'ont jamais abouties. La famille ne peut pas partir en vacances, ni s'offrir de voiture neuve. La père de famille

ne voit pas son avenir rose mais se bat avec sa femme pour offrir à leur fils une vie convenable. https://youtu.be/NLkd5Lhfggc

 

 

 

VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR…

 

 

 

 

QUOI DE NEUF EN CRYPTO ?

 

Le menu crypto du G20 : Les cryptomonnaies se retrouvent dans le collimateur du monde financier traditionnel. Quelques indices apparaissent déjà

pour comprendre à quelle sauce le Bitcoin sera dégusté. Les thèmes seront les suivants: Approches réglementaires et surveillance des cryptomonnaies

ainsi que des stablecoins. Cependant, le traitement de ces thématiques passe sous silence certains sujets. Ainsi, le potentiel de la technologie

blockchain est-il à peine évoqué en fin de déclaration. Les ministres des Finances et les gouverneurs des banques centrales des pays membres du G20

recevront un rapport au mois d’octobre 2022. Un second rapport de consultation publique sur les recommandations fournies par le FSB sera également

publié par la suite ;

 

L’axe principal de la déclaration reste tout de même – asseyez vous peut-être avant de continuer votre lecture – la nécessité d’une adaptation de la

finance décentralisée aux règles de la finance traditionnelle. En d’autres termes, d’après le FSB, les cryptomonnaies doivent s’adapter aux règles déjà

existantes :« Il peut y avoir des effets de contagion sur des parties importantes de la finance traditionnelle, comme les marchés de financement à

court terme. Un cadre réglementaire efficace doit garantir que les activités liées aux crypto-actifs présentant des risques similaires à ceux des activités

financières traditionnelles aient les mêmes résultats réglementaires (…). »

 

Le FSB pense aussi aux stablecoins. D’après lui, il devrait y avoir une réglementation mondiale unifiée. Quant aux cryptomonnaies,

leur instabilité pourrait représenter un risque pour l’ordre économique mondial. Le FSB souhaite donc promouvoir la cohérence globale des approches

réglementaires pour les cryptomonnaies :« Les crypto-actifs et les marchés doivent être soumis à une réglementation et à une surveillance efficaces à

la mesure des risques qu’ils présentent, tant au niveau national qu’international. (…) Les crypto-actifs et les marchés peuvent remplir une fonction

économique équivalente à celle des instruments et des intermédiaires du secteur financier traditionnel. »

 

 

 

LE PETIT MANUEL DU RESISTANT

 

Sanctions envers des médecins ayant pratiqué des traitements précoces : https://www.francesoir.fr/politique-france/des-medecins-ayant-prescrit-des-traitements-precoces-convoques-par-l-ordre

 

Des cyclistes  du Tour de France abandonnent à cause de "difficultés respiratoires" :https://www.francesoir.fr/societe-sante/tour-de-france-difficultes-respiratoires. Vous avez dit bizarre ?

 

Entretien avec Jean-Dominique Michel….. qui ne cesse de nous instruire et de nous donner des clés :https://odysee.com/@JeanDominiqueMichel:e/Ce%CC%81cile-Doctothon:9 (merci à Marie-Alice pour cette contribution)

 

CSI N°63 (Conseil Scientifique Indépendant) du jeudi 21 juillet 2022. Invité : Marc Girardot,"Un regard différent sur les contre-vérités COVID ". https://crowdbunker.com/v/JryLDeyF

 

 

 

ACTIVONS NOS NEURONES (spécial Costa Rica)

 

Cela fait déjà une semaine que je vis à San José, dans mon petit appartement.

Non, cette fois-ci je n’ai pas spécialement prévu de faire du tourisme. La saison des pluies actuelle (qui sévit ici de mai à novembre) se prête mal à

cette activité car les précipitations sont souvent imprévisibles, aléatoires mais toujours assez fortes.

J’aurais mauvaise grâce à me plaindre de la pluie qui tombe ici alors que la France subit une vague de chaleur sans précédent.

Mais alors, que viens-je donc faire ici ? Ma retraite approchant à grands pas, j’éprouve à nouveau l’appel du large, après deux années hexagonales de

pandémie faites de confinements, de discriminations et d’absence de qualité de vie. Une France qui geint mais qui conserve ses mêmes élites

dirigeantes, une France qui régresse à vue d’oeil sous les yeux du monde entier tandis que d’autres (dont je fais partie) se sont toujours battus pour

s’en sortir. Et il est vrai qu’à ce rythme, poser mes valises au Costa Rica ne me déplairait pas.

 

Ayant sillonné ce pays un mois durant en 2014, j’ai gardé un excellent souvenir de cette nation d’un peu plus de cinq millions d’habitants : les Ticos (et

Ticas) sont réputés pour leur tradition d’accueil et ont fait de cette terre un endroit où il fait bon vivre. D’où le surnom de « Pura Vida » donné au

Costa Rica, pays coincé entre le Nicaragua (au nord) et le Panama (au sud) et bordé par la mer des Caraïbes d’une part et l’océan Pacifique d’autre

part. 

Connu pour sa stabilité, le Costa Rica est aussi un concentré impressionnant de nature avec ses quinze parcs nationaux qui abritent une faune et une

flore exceptionnelles. Le pays n’abrite pas moins de 6 % de la biodiversité mondiale. 

Situé le long de la ceinture de feu, ce pays accueille plus de 110 volcans (dont six toujours en activité) et se trouve sur 150 failles identifiées

susceptibles de produire de temps à autre des tremblements de terre. Les bâtiments sont d’ailleurs érigés selon des normes anti-sismiques.

Luis et Marvin, mes deux contacts sur place m’ont pris en charge avec une gentillesse sans égal, qui confirme l’excellente qualité d’accueil des

« Ticos ».

Ensemble nous avons effectué une visite au volcan Irazu, avec sa végétation particulière, mais aussi ses promeneurs du dimanche qui s’arrêtent en

bord de route pour pique-niquer et communier avec la nature en admirant le paysage. Ici, point de pass sanitaire ou de Certificat de voyage. On fiche

la paix aux gens en les laissant vivre à leur guise et tout se passe bien.

C’est donc en observateur que j’ai débarqué ici pour trois semaines afin de me renseigner sur les démarches à suivre et les conditions à remplir pour

une éventuelle expatriation. Je suis loin d’être le seul à envisager l’exode car les Français de ma trempe, éveillés un minimum sur la situation de notre

pauvre nation qui s’enfonce dans la guerre civile sans oser se l’avouer (les meurtres à l’arme blanche, au nombre d’une centaine par jour, ne vous

rappellent-ils rien ?) souffrent de ce naufrage et envisagent aussi d’aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte.

Agir plutôt que de subir, telle est la marque de fabrique de ces compatriotes battants qui aiment leur pays sans pour autant vouloir sombrer avec lui.

 

 

 

DU COTE DE CHEZ NOUS

Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à

écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix. L'homme, qui a manifestement de la

conversation, possède sa  chaine Campagnol Tvl (https://odysee.com/@campagnoltvl:2) sur laquelle il diffuse ses vidéos : Leur monnaie ne vaut plus

rien, leur parole non plus, mais ils veulent qu’on leur obéisse !  https://odysee.com/@campagnoltvl:2/pompei:8

 

 

 

LES TROUVAILLES DE

 

Valérie :

 

Le dernier méga projet démesuré de Dubaï : https://fb.watch/e33nzcvVS4/

L’éducation des enfants en Islande : https://fb.watch/ecSn1P2ht0/

Les voitures du futur : https://fb.watch/easEW-p1CG/

Le papy du selfie, en Inde : https://fb.watch/e9bU-aMW1i/

Comment dépolluer les cours d’eau en utilisant la force du courant ? https://fb.watch/e89B9FDbVQ/

Avantages et inconvénients de l’APU : https://fb.watch/e814yv2vnl/

 

 

 

36ème édition du Tour du Finistère à la voile, du 25 au 30 juillet 2022, à Roscoff (29)

Co-organisé par Finistère 360° et le Comité Départemental de Voile, Le Tour du Finistère à la voile,

le « Tourduf » comme le surnomment les habitués, célèbre en 2022 sa 36ème édition !

Un évènement qui réunit chaque année une centaine de bateaux de 7 à 16 mètres pour régater pendant une semaine autour du Finistère dans un

esprit compétitif mais convivial. Cette nouvelle édition se déroulera du 25 au 30 juillet 2022.

Les marins sont les premiers à le dire, le Tourduf ne serait pas ce qu’il est sans les paysages à couper le souffle qui se dévoilent au fil des étapes.

Pour sa 36ème édition, le Tour du Finistère propose un parcours fidèle à ce qui fait son succès. Les participants sont invités à avaler plus de 200 milles

en course du Nord au Sud de la pointe bretonne. Ils prendront le départ de cinq étapes de jour, un de nuit et d’un parcours technique.

Après un départ donné le 25 juillet de Roscoff, les concurrents rejoindront l’Aber-Wrac’h. Le 26, après quelques zigzags dans les courants du Four, les

bateaux feront étape sur l’île Molène. Après avoir profité de la quiétude et la beauté de l’île, la flotte fera route le 27 vers Douarnenez. L’étape suivante

nous conduira à Loctudy mais elle se jouera cette fois-ci de nuit ! Les régatiers joueront leurs dernières cartes au classement lors de la dernière qui les

mènera à Port-La-Forêt.

 

 

 

Exposition « Poésies enneigées », du 28 juillet au 8 août 2022, à Paris (75)

Exposition collective de photographies, entrée libre.

A l’Orangerie du Sénat, Jardin du Luxembourg, à Paris (6ème)

 

 

Portes ouvertes le 27 juillet 2022 à la Ferme des P’tits Bergers, à Chaussy (45)

Terre d’agriculteurs, la Beauce est aussi appelée le « grenier à blé » de la France. Elle englobe cinq départements, dont le Loiret, au sein duquel

Sandrine Durgeau a lancé en 2019 son activité d’élevage de chèvres angoras et de moutons Shetland.

A trente-cinq minutes au nord d’Orléans, la « Ferme des p’tits Bergers » abrite une soixantaine de bêtes uniquement élevés pour leur laine, le précieux

mohair, une fibre légère, douce et résistante.

Grâce à la quantité de laine récoltée chaque année, la Ferme des P’tits Bergers crée et produit ses propres collections de pelotes de laine, chaussettes,

bonnets, écharpes ou encore décoration d’intérieur (coussins et couvertures), disponibles sur place à la boutique de la ferme ou en ligne sur le site

officiel. Chaque produit est fabriqué dans le plus strict respect du bien être animal, tout comme la coloration de la laine labellisée oeko-tex. Depuis

deux ans, Sandrine Durgeau développe également une collection plus personnelle teintée en 100% végétale grâce aux plantes issues de ses propres

cultures.

Organisée en collaboration avec la Maison du Tourisme Cœur de Beauce, la Ferme des P’tits Bergers propose le mercredi 27 juillet de 10h à 12h une

visite guidée de l’exploitation familiale. Une occasion pour petits et grands de découvrir la vie de cet élevage avec ses animaux et ses différentes

techniques de transformation de la laine. Ce moment hors du temps permettra aux curieux de profiter de la douceur de vivre qui règne dans les

pâtures et les bergeries et de mieux comprendre les  tous les aspects de cette transformation précieuse et délicate.

Au 10, rue du canal Atraps, à Chaussy (45). Entrée : 4€. https://www.fermedesptitsbergers.fr

 

 

La Route du Champagne en fête les 30 & 31 juillet 2022, dans l’Aube (10)

Cette année, l’association CAP’C met en avant les villages d’Argançon, Baroville, Bligny, Champignol-lez-Mondeville, Meurville et Urville qui s’ouvriront

aux visiteurs venant des quatre coins de la France et du monde le dernier week-end de juillet lors de l’événement phare de l’été dans l’Aube, « la

Route du Champagne en Fête ».

Les 18 vignerons de Champagne participants ouvriront leurs 15 caves et offriront aux 30 000 visiteurs attendus quelques 25 000 bouteilles de

Champagne en dégustation tout au long du week-end.

Au menu des réjouissances, des dégustations commentées, du breakdance et de l’initiation au breakdance avec la compagnie Guetapens, du Live

painting avec l’artiste Rise Up, de la musique guinguette, un défilé vintage, un escape game, une exposition de Ian Philip, artiste peintre et plasticien

Aubois, des excursions en trottinette électrique dans le vignoble, des bourses aux capsules, des expositions artisanales, une démonstration de

tonnellerie, des randonnées pédestres, une exposition de Harley-Davidson et son baptême en moto des promenades en calèche, un barbecue géant en

soirée et des dîners dansants.

Pour se rendre de cave en cave et profiter de ce week-end pétillant, rien de plus simple : Achetez le passeport à 30€ à l’entrée des villages ou à l’Office

de Tourisme de Bar-sur-Aube ou Bar-sur-Seine (réservable sur le site https://www.cap-c.fr/boutique-en-ligne/) comprenant 1 flûte à Champagne et

son porte-flûte, un carnet de 15 tickets pour déguster chaque cuvée présentée et 1 éthylotest.

https://www.routeduchampagne.com

 

 

Evénement « A Cheval en Montagne » du 31 juillet au 5 août 2022, à Valfréjus (73)

L’événement « A cheval en montagne » revient pour une 3ème édition du 31 juillet au 5 août 2022 dans la station de Valfréjus, en Haute Maurienne

Vanoise.

L’occasion de plonger dans l’ambiance far-west au cœur des Alpes, d’initier le public à l’équitation et aux nouvelles disciplines sportives, et d’en savoir

plus sur le cheval avec de nouvelles approches « éthologiques » autour du bien-être animal et de la relation homme-cheval. 

Une semaine 100% dédiée à la découverte du cheval et à l’initiation aux activités équestres de pleine nature, pour les cavaliers confirmés ou en herbe,

amoureux des chevaux, et passionnés de western.

Parmi les activités :  Tous les jours, des balades à cheval orchestrées par le centre équestre Equitation Haute Maurienne Vanoise, des initiations

gratuites de tir à l’arc à cheval, des démonstrations de maréchalerie et d’équitation éthologique, ainsi que des courses et des spectacles seront

proposées.

 

 

Exposition «Libération 1944 : Leclerc à Alençon », jusqu’au 28 août 2022 à Alençon (61)

En avril 1944, la 2ème Division Blindée au complet (4 200 véhicules) embarque pour l’Angleterre, où elle est affectée à la 3ème armée américaine du

général Patton. Envoyée en Normandie, elle débarque le 1er août 1944 dans la Manche avant de faire route sur Argentan puis Alençon. Le 12 août

1944, la division de Leclerc, dite "Croix de Lorraine", libère Alençon de quatre années d’occupation, puis se dirige vers Paris.

En complément des trois cérémonies patriotiques récemment organisées pour commémorer cet événement, la Ville d’Alençon propose, jusqu’au

dimanche 28 août au parc urbain de la Providence, l’exposition “Libération 1944 : Leclerc à Alençon”.

Conçue par les archives municipales en 2014, à l’occasion du 70ème anniversaire de la Libération, elle présente une trentaine de photographies

d’époque, reproduites en très grand format. Celles-ci offrent une plongée saisissante dans l’Histoire, des dégâts causés par les bombardements à la

réorganisation de la ville, en passant par le stationnement des troupes de la 2ème DB, des troupes américaines et le retour en 1945 et 1947 du

général Leclerc pour les premières commémorations.

Au Parc urbain de la Providence, à Alençon (61), tous les jours de 7h30 à 19h30 (entrée gratuite)

 

 

Exposition « Pharaons superstars », jusqu’au 17 octobre 2022, à Marseille (13)

Dans cette exposition, le Mucem raconte comment certains rois et reines de l'Egypte Ancienne sont devenus des icônes alors que d'autres, glorieux

dans l'Antiquité, sont tombés dans l'oubli. 

300 œuvres et documents variés, des hiéroglyphes à la musique pop, pour illustrer la nature et les voies de la célébrité, et rappeler que la renommée

est éphémère et n'a pas toujours à voir avec le mérite historique.

Au MUCEM (Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée), 1 Esplanade J4, à Marseille (13).https://www.mucem.org/

 

 

Exposition « Ernest Pignon-Ernest », jusqu’au 15 janvier 2023, à Landerneau (29)

Ernest Pignon-Ernest installe ses dessins dans les rues du monde depuis plus de cinquante ans, de Naples à Soweto, de Lyon à Paris, d'Alger à

Ramallah. Des dessins qui semblent naître des murs mêmes et célèbrent écrivains, poètes et résistants.

Le Fonds Hélène et Edouard Leclerc, à Landerneau (Finistère) expose plus de 300 installations, dessins, photographies de l'artiste qui racontent

l'envers du décor et révèlent son processus de création et ses réflexions.

Au Fonds Hélène et Edouard Leclerc pour la Culture, Aux Capucins, à Landerneau (29).

https://www.fonds-culturel-leclerc.fr/actualités-exposition-ernest-pignon-ernest-893-274-0-0.html

 

 

Exposition « Plumes des Amériques » jusqu’au 25 septembre 2022, à Auch (32)

Le musée des Amériques–Auch expose cet été un tableau mexicain de mosaïque de plumes du XVIème siècle.  

En 2019, le musée du quai Branly – Jacques Chirac a pu acquérir, lors d’une vente à Drouot, un très exceptionnel tableau de plumes représentant « le

Christ bon pasteur et deux scènes de la vie de Saint Jean-Baptiste ». 

Probablement réalisée pour une commande princière à la fin du XVIème siècle au Mexique, cette œuvre est unique par son iconographie, sa finesse

d’exécution et son exceptionnelle conservation. 

Il s’agit incontestablement d’un chef-d’œuvre de l’art plumassier colonial mexicain. Pour la première fois, cette pièce magistrale est présentée au

musée des Amériques-Auch. Elle rejoint les sept autres plumasseries de la collection auscitaine pour former, le temps d’un été, l’un des plus beaux

ensembles mondiaux jamais constitué.

Au Musée des Amériques, 9 rue Gilbert Brégail, à Auch (32)

https://www.ameriques-auch.fr/post/pendant-tout-l-été-auch-capitale-mondiale-de-la-plume-aztèque

 

 

Il était une fois le Japon : la Préfecture d’Aichi

La ville d’Inuyama est située dans la partie Nord-ouest de la préfecture d’Aichi, où la rivière Kiso se jette dans la plaine de Nobi.

Centre de transport logistique et politique, elle prospère depuis les temps anciens. A l’époque Sengoku1467-1568), elle est devenue le théâtre de

nombreuses batailles et a survécu aux bourrasques de l’histoire. Devenue une cité fortifiée durant la période Edo :1603-1867, diverses parties de la

ville retracent encore le théâtre de cet héritage.

L’Hotel Indigo Inuyama Urakuen Garden a ouvert en mars 2022, sur le site de l’ancien hôtel Meitetsu Inuyama, fermé en 2019.

Il s’agit du troisième établissement Hotel Indigo du Japon, et de la première incursion dans la région du Chubu. Il ne s’agit pas seulement d’un hôtel,

mais d’un établissement dont le design intérieur et extérieur s’inscrit dans la culture et l’histoire d’Inuyama afin de se fondre dans le quartier.

Certaines lampes des chambres s’inspirent de la forme des paniers utilisés dans la pêche aux cormorans de la rivière Kiso. Les lanternes du bar

Yoyama sont inspirées de celles des chars du festival d’Inuyama. Les murs du bar en forme de calendrier ont un design similaire à celui du salon de thé

de Jo-an, classé trésor national. Lorsqu’un client visitait l’établissement, Oda Urakusai (1548-1622, maître de thé et frère cadet du célèbre

commandant militaire Oda Nobunaga), notait son nom et la date de sa venue sur le mur.


À l'origine, la ville de Inuyama était appelée « la ville aux trésors nationaux ». Le château et Jo-an se trouvant à proximité immédiate, l’hôtel est

entouré de trésors nationaux. Il s’agit de la zone la plus attractive de la ville et les clients de l’hôtel peuvent se plonger dans cet environnement dès

leur sortie de l’hôtel.

Le château d’Inuyama, classé trésor national, est un héritage historique important. Il est situé sur la rive sud de la rivière Kiso, perché sur une falaise

de 85m de hauteur. Derrière, un mur montagneux protège son dos, ce qui en fait une forteresse naturelle. Un château comme celui d’Inuyama est

extrêmement précieux car il possède le plus ancien donjon en bois du Japon.


Sur les douze châteaux du Japon qui conservent encore leur donjon, seulement cinq, dont celui d'Inuyama, sont désignés trésors nationaux. La vue

panoramique à 360° depuis le donjon est si spectaculaire qu’il parait que le célèbre commandant militaire Oda Nobunaga a aussi été impressionné.

A l’intérieur de l’Hotel Indigo Inuyama Urakuen Garden survivent une culture et une histoire, transmises par la ville fortifiée du château d’Inuyama.

L’artisanat et la décoration intérieure réalisée par des artisans locaux contribuent à l’héritage de la ville.

Et le salon de thé Jo-an, trésor national, d’être lui aussi un précieux vestige de la culture de la cérémonie du thé. C’est le lieu idéal pour retrouver la

sérénité et oublier l’agitation de la vie quotidienne. C’est dans le même esprit que l’hôtel permet de découvrir et de vivre l’histoire de la ville

d’Inuyama.

Située au centre du Japon, entre Tokyo et Osaka, la préfecture d’Aichi est très facile d’accès. Nagoya, la capitale de la préfecture, est à 100 minutes de

Tokyo en Shinkansen, à 50 minutes d’Osaka et à 35 minutes de Kyoto. En avion, l’aéroport international Chubu Centrair est accessible depuis l’Europe

via Helsinki et Francfort.

 

 

Exposition « Théodule Ribot » jusqu’au 2 octobre 2022, à Caen (14)

Constituée de près de 90 tableaux issus de collections françaises, britanniques, espagnoles, italiennes, canadiennes et américaines, l’exposition offre

une rétrospective de l’œuvre de Ribot et éclaire l’influence du peintre sur son époque. 

Les toiles de l’artiste se mêlent à celles d’Eugène Boudin, Jean-François Millet, Gustave Courbet ou François Bonvin.

Tous partagent un goût pour les traditions populaires, une attention portée aux petites gens et à la simplicité austère des objets et des lieux

représentés. Leurs toiles ténébristes au puissant clair-obscur explorent les genres de la peinture religieuse, du portrait et de la nature morte.

Elles s’inspirent de sources communes, mises en lumière à travers quelques œuvres emblématiques des XVIIème et XVIIIème siècles signées Chardin,

Mattia Preti ou Jusepe de Ribera.

Au Musée des Beaux-Arts de Caen (14). https://mba.caen.fr/exposition/theodule-ribot

 

 

Exposition «Chagall, Modigliani, Soutine & Cie-L’Ecole de Paris », jusqu’au 13 novembre 2022, à Céret (66)

Le musée de Céret accueille pour sa nouvelle exposition estivale les artistes de l'Ecole de Paris (1900-1939), qui examine l'apport des artistes d'origine

étrangère à la scène artistique parisienne dans la première partie du XXème siècle. Elle raconte comment Marc Chagall, Juan Gris, Frantisek Kupka,

Pablo Picasso, Kees Van Dongen, Amadeo Modigliani, Kisling, Julius Pascin, Chaïm Soutine ont contribué au développement du cubisme, du fauvisme et

autres mouvements d'avant-garde. Sans oublier la "nouvelle photographie" de Brassaï, de Germaine Krull ou de François Kollar.

Au Musée d’art moderne, 8 Boulevard Maréchal Foch, à Céret (66). https://www.musee-ceret.com/expositions/expositions-a-venir/

 

 

Exposition « Tisser la nature », jusqu’au 18 septembre 2022, à Aubusson (23)

Cette exposition de la Cité internationale de la tapisserie à Aubusson ne propose pas un parcours chronologique mais une déambulation à travers

différentes questions et thématiques mettant en résonance des tapisseries de différentes périodes


Elle explore la place qu’a occupé la représentation du végétal dans l’histoire de la tapisserie d’Aubusson et ce que cette place raconte des rapports

entre l’humain et son environnement.

Des jardins divins du moine Dom Robert, rendant grâce à une création transcendante, à la joyeuse verdure des artistes argentins Leo Chiachio et

Daniel Giannone, en passant par les décors bucoliques des tapisseries à scènes mythologiques du XVIIème siècle, chaque période et culture

témoignent ainsi à travers le tissage d’un certain rapport à ce que les cultures occidentales ont l’habitude de désigner sous le terme de «Nature».

A la Cité internationale de la tapisserie, Rue des Arts, à Aubusson (23). https://www.cite-tapisserie.fr/expositions/tisser-la-nature

 

 

Exposition « Van Dongen "Deauville me va comme un gant", jusqu’au 25 septembre 2022, à Deauville (14)

C’est en 1913 que Kees Van Dongen découvre Deauville. Il y retrouve ses sujets favoris : scènes de plage, bains de mer, femmes élégantes, courses

de chevaux, jeux de tables, folles nuits… 

On le salue sur les Planches, on le croise au Casino, entouré de personnalités amies, dont il réalise le portrait, comme Suzy Solidor, Lucien ou Sacha

Guitry. À l’hippodrome, il peint sur les joues et les épaules des femmes ou sur leurs ombrelles. Sur la plage, il dessine sur le sable avec son fils, Jean-

Marie.

En témoin privilégié, le peintre n’a de cesse, chaque été, de se placer en éternel observateur de la société de son époque.

Pour Van Dongen, Deauville représente un observatoire, un théâtre du monde...

Organisé en 7 sections thématiques - la Normandie, Deauville : bains de mer et portraits de personnalités, le Cheval, les fêtes et les danses, l’Orient,

le monde du Spectacle et la femme des années folles - le parcours présente également une galerie périphérique associant dessins, photographies,

documents et films.

Enfin, un carré central présente le portfolio Deauville (1931) écrit par Paul Poiret et illustré par Van Dongen.

Aux Franciscaines, 145 Avenue de la République, à Deauville (14). https://lesfranciscaines.fr/fr/programmation/van-dongen-deauville-me-va-comme-un-gant

 

 

Visages de France, jusqu’au 18 septembre 2022, à Paris (75)

Fin 2021, dans le cadre d'un projet imaginé par Yann Arthus-Bertrand, les facteurs étaient invités à prendre en photo leurs clients lors de leur

tournée... 

Tous les week-ends jusqu'au 18 septembre, le 7ème étage du musée vous est ouvert gratuitement pour y découvrir une sélection de ces

photographies.

4000 photos mettant à l'honneur les Français, jeunes et moins jeunes, citadins et ruraux, particuliers et professionnels... s'étendront devant vous,

chacune d'elles révélant une expression, un regard, un sourire, une posture, qui témoigne du lien de proximité qu'ils ont avec leur facteur.

Un film revenant sur la genèse du projet, et sur sa mise en œuvre par les factrices et facteurs, sera projeté dans le cadre de cette installation. 

Et pour mieux savourer l'instant, un café éphémère vous sera proposé durant juillet-août, vous permettant de profiter d'une vue imprenable sur les

toits de Paris, la Tour Eiffel, les Invalides et le Sacré-Cœur.

Au Musée de La Poste, 34 Boulevard de Vaugirard, à Paris (15ème)

 

 

 

Exposition «Au coeur de l’abstraction-Collection de la Fondation Gandur pour l’art » jusqu’au 20 novembre 2022, à Saint-Paul-de-Vence (06)

La Fondation Maeght expose 120 œuvres de près de 60 artistes prêtées par la Fondation Gandur pour l'art de Genève, riche en art abstrait de l'après-

guerre, période de grand renouvellement. 

De Hans Hartung, Martin Barré ou Simon Hantaï à l’abstraction lyrique et gestuelle de Georges Mathieu, l’expressionnisme abstrait de Sam Francis ou

Joan Mitchell, l’abstraction géométrique de Victor Vasarely, les œuvres cinétiques d’Alexander Calder et de Jean Tinguely, la remise en question de la

peinture par le groupe Supports/Surfaces et les expérimentations des années 1980.

A la Fondation Maeght, 623 Chemin des Gardettes, à Saint-Paul-de-Vence (06).

https://www.fondation-maeght.com/au-coeur-de-labstraction-collection-de-la-fondation-gandur-pour-lart/?lang=fr

 

 

Exposition »Claude Monet » jusqu’au 18 septembre 2022, à Fontevraud-L’Abbaye (49)

Organisée en partenariat avec le Musée Marmottan Monet et grâce au soutien de la Région Pays de la Loire, l’exposition présente plus d’une trentaine

de chefs-d’œuvre. Parmi ceux-ci, figurent Les Tuileries (1875), Le Pont de l’Europe, gare Saint-Lazare (1877) et Bras de Seine près de Giverny, soleil

levant (1897) ainsi qu’un exceptionnel ensemble deNymphéas et autres fleurs du bassin peints entre 1903 et 1926.

Le parcours se déploie en quatre sections qui décrivent les objectifs esthétiques poursuivis par Monet : capter l’instant fugace, rendre les variations de

la lumière par la couleur, plonger dans le motif et enfin, saisir l’intangible. C’est ce que le terme de « métamorphoses »  induit, dans une peinture au

développement continu, qui enregistre les mutations du solide au fluide, la mobilité des formes dans la lumière, les changements progressifs de

l’atmosphère.

D’une manière originale et synthétique, chaque cimaise portant les peintures est ponctuée d’un verbe d’action – brouiller, sérier, focaliser, immerger…

 qui illustre l’éventail des moyens picturaux mis en œuvre par celui qui fut le chef de file du mouvement impressionniste avant de poursuivre sa quête

inlassable de l’instant.

En parallèle de l’exposition, un parcours documentaire permet de suivre l’histoire de la réception de l’œuvre de Monet, aujourd’hui perçue comme un

jalon essentiel de l’art moderne au XXème siècle.

Moments particuliers de cette exposition, différentes performances musicales offriront une expérience renouvelée des œuvres de Claude Monet.

Une majorité des œuvres présentées provient de la collection personnelle de Claude Monet et ont été léguées par le fils du peintre au musée

Marmottan. Ce musée, devenu depuis le musée Marmottan Monet, est partenaire de cette exposition.

A l’Abbaye Royale de Fontevraud, à Fontevraud-L’Abbaye(49).

https://www.fontevraud.fr/event/metamorphoses-dans-lart-de-claude-monet/

 

 

Il y a tant à voir en France...

Nul besoin de franchir les mers pour voir de belles choses. Il suffit de se pencher sur notre hexagone pour y découvrir des destinations

uniques :

  • La Maison natale de Colette à Saint-Sauveur-en-Puisaye (89) :

Véritable personnage à part entière, Colette est une célèbre femme de lettres française née à Saint-Sauveur-en-Puisaye. Son œuvre, sa maison de Saint-Sauveur dans laquelle elle vécut une enfance heureuse et libre a été reconstituée d’après ses écrits et est ouverte au public. Quand la famille de Colette, ruinée, est contrainte à quitter Saint-Sauveur, le déchirement est absolu. Toute sa vie, elle n’aura de cesse de chanter cette Puisaye, récit d’un paradis perdu. C’est le cas, notamment dans la série des « Claudine », le plus grand succès d’édition du début du XXème siècle. Tour à tour écrivain, mime, comédienne, journaliste, elle laisse à la littérature française sa manière exceptionnelle d’évoquer son émerveillement de la nature et ses émotions de jeunesse.

  • Briançon, patrimoine mondial de l’UNESCO (05) : 

Si Briançon est la plus haute ville de l’Union Européenne, mais aussi la plus haute ville fortifiée d’Europe, elle n’en demeure pas moins la plus haute ville de France. Sa Cité Vauban se visite toute l’année avec le Service du Patrimoine. La fameuse Gargouille qui avait pour vocation de servir en cas d’incendie (les quatre cinquièmes de la ville furent détruits par un incendie en 1624), la Place d’Armes et ses terrasses animées. 

Le Musée Centre d’Art Contemporain installé dans les anciennes prisons du palais de justice classées Monument Historique est aussi incontournable tout comme la Collégiale tricentenaire et sa mystérieuse horloge au plafond...la “vieille ville” et ses remparts regorgent décidément de secrets à découvrir.
Labellisée Ville d’Art et d’Histoire, Briançon figure sur la liste du Patrimoine mondial de l'UNESCO au titre de ses fortifications de Vauban, témoins uniques en Europe de l’architecture militaire de montagne. Ces fortifications se visitent en vélo électrique, avec un guide du Patrimoine.

  • La vache Villard-de-Lans (38) :

La race bovine “Villard de Lans” tire son nom du village de Villard-de-Lans, dans le massif du Vercors, dont elle est originaire. Les villages d’Autrans-Méaudre en Vercors, Lans-en-Vercors, St-Nizier, Engins, et Corrençon-en-Vercors en constituent aussi le berceau.

La “Villarde” est aujourd’hui la vache emblématique du Vercors. Son lait riche est adapté à la fabrication des fromages à pâte molle ou à pâte persillée, et il est notamment indispensable à la fabrication du fromage AOP Bleu du Vercors-Sassenage (3% de lait de Villarde obligatoire).

  • 100ème concours mulassier à Seyne-les-Alpes (04) :

Seyne-les-Alpes perpétue une tradition française ancestrale : l’élevage du mulet. Animal fort et robuste, celui-ci est issu d’un croisement entre une jument et un âne. 

Son élevage a fortement marqué l’économie locale tout au long du XXème siècle, plus particulièrement entre les deux guerres où pas moins de 800 mules naissaient chaque année ici. L’élevage mulassier s’est adapté avec la modernisation de l’agriculture, trouvant notamment des débouchés dans l’exportation : on vient de toute l’Europe pour acheter les mules de Seyne-les-Alpes !

Le concours mulassier de Seyne-les-Alpes est le dernier événement du genre et se tient dans le village le deuxième samedi d’août, depuis 100 ans. Plus d'infos : https://lamaisondumulet.fr/

  • Voyage à bord du train de La Mure (38) :

Embarquez à bord du Petit Train au départ de La Mure pour un voyage historique entre lacs et montagnes. Cette ligne ferroviaire de plus de 130 ans, retrace l’épopée des mines d’anthracite, les prémices de l’hydroélectricité et l’essor du tourisme.

Un temps fermée à la suite d’un éboulement, elle est repartie en juillet 2021 sous l’impulsion du département de l’Isère et grâce au soutien de partenaires institutionnels. Sur le parcours, découvrez les eaux tumultueuses de la vallée du Drac, les beautés du vallon des Mottes et l’histoire minière qui a façonné la Matheysine.

À l’arrivée, on peut accéder au belvédère de Monteynard qui surplombe les eaux turquoise de l’un des plus grands barrages de France  puis déjeuner au restaurant panoramique. Au retour, une halte s’impose à La Motte-d’Aveillans pour explorer les galeries de la Mine Image (un billet duo Petit Train + Mine Image est prévu). Un voyage spectaculaire, pour petits et grands. Départ à la gare de La Mure. Plus d'infos : www.lepetittraindelamure.com  

  • Renaissance de l’hôtel historique Lou Calen à Cotignac (83) :

L’aventure de Lou Calen est intimement liée à celle du village de Cotignac. Ses terres s’étendent sur ce qui représentait, au début du XVIIème siècle, la propriété du monastère des pénitents blancs et hébergent toujours aujourd’hui de somptueux édifices.

C’est au début des années 1800 que le famille Templier acheta un terrain au Duc de Condé, à l’entrée de Cotignac, et y fit construire sa demeure avec les pierres de la Chapelle Notre Dame de Grâce, détruite pendant la révolution. C’est en 1971 qu’Huguette Caren, enfant du pays, fit l’acquisition de Lou Calen, qu’elle décida de transformer en un magnifique hôtel-restaurant de 16 chambres dont la notoriété va rapidement dépasser les frontières de la Provence. https://www.loucalen.com/

  • La Basilique Notre-Dame de la Fin des Terres de Soulac-sur-Mer (33) :

Inscrite au Patrimoine Mondial par l'UNESCO dans le cadre des chemins de Saint Jacques de Compostelle, la basilique est une pureté de l’art roman du XIIème siècle. 

Au premier siècle de notre ère, après la mort de la Vierge, Sainte Véronique, Saint Amadour et Saint Martial venus de Palestine, abordent à Soulac. Véronique élève alors un modeste oratoire à la mémoire de la Vierge, après avoir évangélisé le Médoc et le Bazadais. Elle meurt à Soulac et est inhumée en l’an 70. C'est probablement au XIème siècle, une époque où les pèlerins de Saint-Jacques en provenance des terres anglaises débarquaient à Soulac, que fut bâtie cette abbaye bénédictine, classée Monument Historique. La construction de l'église romane ne s'est pas achevée avant le début du XIIème siècle.

 

 

 

Livre «Carnets de voyage : les Chines » de Jean Quentel (Editions Les Trois Colonnes)

Ce livre n’est pas seulement un carnet de voyage. Il regroupe un ensemble de réflexions sur les voyages réalisés en partant de Singapour en 1988, en

passant par Hong Kong ou encore par la Chine des Hans, la Chine tibétaine en 1995, jusqu’en 2010 dans la Chine des minorités ethniques du Yunnan,

du Guizhou et du Guangxi.

Chaque jour, vous serez amenés à découvrir de nouvelles villes, villages et de nouveaux paysages. C’est l’occasion d’admirer des temples, des

monuments, des costumes traditionnels et d’observer des habitudes de vie originales. L’auteur en profite pour faire des comparaisons entre la façon de

faire la moisson au Guizhou et dans la Bretagne de 1950 par exemple en abordant également l’histoire des régions et des villes ainsi que celle des

religions pratiquées : le confucianisme, le taoïsme et le bouddhisme.

Il se pose enfin des questions sur les relations de l’ethnie majoritaire des Hans avec les Tibétains, les Miao et autres minorités ethniques du sud-ouest

du pays.
Le récit est accompagné de nombreuses photos illustrant les paysages, les monuments comme les magnifiques costumes des paysannes du Guizhou.

216 pages. 18,50€.

 

 

 

40ème Festival du Périgord Noir, du 28 juillet au 19 août 2022

Pour le bonheur de tous, le festival est de retour cet été, à travers un programme alléchant dont voici quelques temps forts :

  • « Le Pari des bretelles » (le 28 juillet à 21h30) : 7ème soirée originale et festive montée en partenariat avec le Festival « Cultures aux cœurs » de Montignac-Lascaux avec Félicien Brut, accordéon, le Quatuor Hermès et Edouard Macarez, à la contrebasse.

  • « Total Schubert » (le 4 août à 21h00) : concert anniversaire des 40 ans du festival, conçu par Mathieu Herzog. L’invité d’honneur, Gérard Caussé, un fidèle du festival sera là avec de belles surprises musicales à déguster sans modération de Mozart à Mahler en passant par Gounod et Gersschwin

  • « La musique de Michel Legrand » (le 9 août à  20h00) : Soirée en hommage à Michel Legrand, cher à notre cœur de festivalier, avec la présence de Macha Méril-Legrand et de quelques amis proches de Michel tout au long de sa carrière : le violoncelliste Henri Demarquette et Hervé Sellin, le pianiste. Un savant dosage d’arrangements de Michel Legrand avec des musiques de films et des pièces classiques, correspondant au contenu de l’album « Dédication, hommage à Michel Legrand ».

Du 8 au 19 août, l’évènement marquant du 40ème anniversaire du festival sera la 20ème académie baroque internationale.

Place Bertran de Born, à Montignac-Lascaux (24). https://festivalperigordnoir.maplace.fr/spectacles 

 

 

Les dix palais les plus luxueux, éblouissants et beaux du monde

La demeure de la royauté se distingue toujours par sa somptuosité, son élégance et son opulence. Civitatis a dressé une liste des 10 palais les plus

impressionnants de la planète :

 

  • Le Château de Versailles (France)

À une demi-heure à peine de Paris se trouve le Château de Versailles, symbole du pouvoir absolutiste et l'une des plus grandes réalisations de l'art

français du XVIIème siècle, qui figure sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1979. L'ancien pavillon de chasse de Louis XIII a été

réaménagé par son fils Louis XIV en 1682 pour accueillir la cour et le gouvernement. Dès lors, les rois successeurs ont continué à embellir la sublime

bâtisse jusqu'à la Révolution française. De nos jours, le château accueille plus de 7 millions de visiteurs par an.

 

  • Le Palais de Topkapi (Turquie)

Construit peu après la prise de Constantinople par Mehmet II au XVᵉ siècle, le Palais de Topkapi a été modifié par les différents souverains qui sont

passés par Istanbul. Aujourd'hui, ce majestueux complexe palatial situé sur les rives du Bosphore abrite quatre cours et de nombreux bâtiments à

l'intérieur qui présentent une merveilleuse architecture à l’art islamique. On y distingue tout particulièrement le Harem, le Trésor, la Monnaie impériale

et le Kiosque de Bagdad

 

  • Le Palais royal de Madrid (Espagne)

C’est le plus grand d'Europe occidentale et l'un des plus grands du monde. Il dispose de plus de 135 000 mètres carrés et de 3 418 chambres. Il se

distingue non seulement par sa taille, mais aussi par sa beauté. Si vous optez pour une visite guidée de l'intérieur, vous pourrez admirer les pièces

préférées du roi Carlos III, apprécier les détails de la chambre Gasparini (celle du roi) et de la salle des porcelaines, contempler la luxueuse salle à

manger de Gala ou encore la célèbre salle du trône.

 

  • Le Palais national de Pena (Portugal)

Le Palais de Pena n'est pas seulement le château le plus emblématique du Portugal, c'est aussi l'un des plus beaux palais du monde. Peut-être est-ce

dû à ses couleurs vives, à sa silhouette hypnotique ou à son style éclectique, mais le fait est que le palais national de Pena possède un charme qui le

rend incomparable.

Construit au XVIIIᵉ siècle à l'initiative du roi consort Ferdinand II, il attire chaque année près de 2 millions de visiteurs à Sintra. À l’intérieur, il y

combine des carreaux de faïence portugaise classiques avec des éléments typiques du romantisme et des sculptures d'un grand symbolisme religieux.

Ce condensé d'architecture néo-gothique, néo-mudéjar et néo-manueline a permis au palais de Pena d'être déclaré patrimoine mondial par l'UNESCO

en 1995 et d’être classé monument national depuis 1910.

 

  • Buckingham Palace (Royaume-Uni)

Le palais de Buckingham, icône de la couronne britannique à Londres, est également l'un des plus beaux palais du monde. Aujourd'hui, vous pouvez

visiter son intérieur pour y voir certains des appartements royaux utilisés par la reine Elizabeth II. Dans ces différentes pièces, vous pourrez découvrir

une grande variété de peintures et un mobilier d'époque raffiné aux styles anglais et français.

 

  • Le Palais royal de Caserte (Italie)

Connu sous le nom de Reggia di Caserta, le palais royal de Caserte est l'un des plus beaux palais du monde, mais aussi l'un des plus méconnus du

tourisme de masse. Situé au nord de Naples, il s’agit d’un chef-d'œuvre baroque du Royaume des Deux-Siciles et du Royaume des Bourbons, avec une

magnifique collection d'art en son sein composée de tableaux, porcelaines, meubles, dessins et nombreux livres.

 

  • Le Palais du Potala (Tibet)

Perché au sommet de la colline rouge, au cœur de la vallée de Lhassa, le Palais du Potala est depuis longtemps l'un des monuments les plus

importants et les plus impressionnants de tout le Tibet. Le complexe, qui comprend le Palais blanc, le Palais rouge et ses dépendances, était autrefois

la résidence d'hiver des dalaï-lamas. La beauté de son architecture, la richesse de son ornementation et l'harmonie qu'il dégage avec son paysage

environnant l’ont conduit à figurer sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO dès 1994.

 

  • Le Château de Schönbrunn (Autriche)

Construit au XVIIᵉ siècle pour être la résidence d'été des Habsbourg, le Château de Schönbrunn à Vienne est également connu comme le "Versailles

viennois" pour son élégance et sa beauté. En plus d'être l'un des édifices historiques et culturels les plus importants d'Autriche, la magnificence même

du bâtiment et de ses pièces en fait l'un des plus beaux palais du monde. Pour preuve, plus de 2 millions de personnes le visitent chaque année.

 

  • Le Palais d’été de Pékin (Chine)

Des pagodes au beau milieu du brouillard, un bateau en marbre, une nature luxuriante et des espaces au décor coloré. Ce ne sont là que quelques-

unes des surprises qui vous attendent au Palais d'été de Pékin, l'un des plus beaux complexes palatiaux au monde. Du long couloir, avec ses fenêtres

figuratives encadrant le paysage, aux nuances caractéristiques de vert et de rouge, cette petite ville impériale ravit tout visiteur qui se respecte.

 

  • Le Palais royal de Bangkok (Thaïlande)

Cet immense complexe de bâtiments est devenu le centre administratif de la monarchie thaïlandaise et la résidence officielle du roi de la fin du

XVIIIᵉ siècle jusqu'au milieu du XXème siècle. Le site le plus important du palais royal de Bangkok est le temple Wat Phra Kaew, qui abrite le Bouddha

d'émeraude, sculpté dans le jade au XVᵉ siècle et qui mesure à peine 45 centimètres de haut. Néanmoins, détrompez-vous, il s’agit du Bouddha le plus

précieux et le plus vénéré de Thaïlande.

 


 

 

Suite du retour sur mon tour du Costa Rica de 2014, avec aujourd’hui une petite école située sur le bord de la route, à San Miguel (Province

d’Alajuela). Nous mous mettrons en route en direction de ce petit village d'une trentaine de maisons éparpillées aux alentours, et atteindrons bientôt

cette école qui n'accueillait alors que six élèves puisqu’elle ne possédait qu'une classe primaire.

Les enfants portaient tous l'uniforme (c'est la règle à l'école primaire) dans un souci d'effacer les différences sociales entre les élèves. Sarah,

l'institutrice nous expliquera aussi que l'école ouvrit ses portes pour la première fois en 1966. L'éducation est une chose extrêmement importante au

Costa Rica. Selon un classement de 2013/14, ce pays se classait à l’époque au 20ème rang mondial pour son alphabétisation (qui atteignait un taux de

96%, le taux d'alphabétisation le plus élevé d'Amérique centrale). Pour les Costaricains, l'éducation est la fierté et la richesse de la nation.

 

Yves

 

 


 

La Petite école de San Miguel (Province d'Alajuela, Costa Rica)


J'ai merveilleusement dormi cette nuit, au son de la rivière coulant en contrebas. Les bruits de la jungle commencent à se faire entendre vers les cinq heures du matin et une nouvelle journée débute. Notre petit déjeuner nous sera servi à notre convenance, mais l'équipe du lodge s'active déjà à ses tâches quotidiennes. Ma préoccupation majeure est de décider ce que nous allons faire aujourd'hui, car nous sommes dans un endroit reculé et il n'y a pas grand chose à faire autour de notre point d'hébergement. Nous commencerons donc par une promenade dans l'immense propriété. Alejandro nous conduit au début du sentier que nous devrons suivre ensuite grâce à des flèches jaunes savamment disposées sur les troncs d'arbres. Une heure trente sera nécessaire pour parcourir ce sentier tout en profitant d'un superbe soleil. Nous traverserons tour à tour des paysages très différents (...)



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