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Sabordage : Comment la France détruit sa puissance, de Christian Harbulot (Editions François Bourin)
Il attaque preuves à l'appui. Dans un style vigoureux et d'une grande clarté, Christian Harbulot documente sur ce qui ronge peu à peu la position économique et politique de la France. Il raconte les coulisses et les logiques des nations qui n'ont rien à voir avec une assemblée de bisounours. Il dénonce l'ambiguïté historique des élites françaises par rapport aux Etats-Unis. Il faut une posture de combat pour faire face aux effets des coups de billards à trois bandes des "amis" américains et allemands, de la longue marche chinoise et de la paralysie européenne, tout un théâtre d'ombres insoupçonné. Non, la mondialisation n'est ni joyeuse ni heureuse. Oui, la France peut se réinventer. Mais pour cela, il faut que ce pays redescende sur terre et fasse son deuil des illusions économiques d'un marché faussement ouvert.
Les Yezidis, Ceux Qu'on Appelait les Adorateurs du Diable, de Gilles Munier (Erick Bonnier)
Les Yézidis n’ont cessé d’intéresser les historiens des religions. Leur singularité, et surtout leur appellation « Adorateurs du Diable », a fait couler beaucoup d’encre. Ils sont les descendants d’un soufi orthodoxe musulman, Sheikh Ali, né vers 1075, qui a fondé une communauté mystique en milieu kurde. Cette secte s’écarta des devoirs des musulmans pour concentrer son activité autour des tombeaux des « saints » de la communauté. Les Yézidis vénèrent un dieu unique, infiniment bon, mais ils s’adressent de préférence à ses anges, parmi lesquels Mélek-Taus. Le principal des anges du culte yézidi a été identifié à Satan. Dès l’instant que Satan avait refusé de se prosterner devant Adam, c’est qu’il ne voulait rendre un tel hommage qu’à Dieu seul et, dès lors, loin de le maudire, les mystiques le proposaient à l’admiration des fidèles.
L'innocence du carbone, de François Gervais (Albin Michel)
Sauver le climat pour mieux sauver la planète. Belle ambition dont la réalisation semble encore empêchée par un coupable unique, responsable de l’effet de serre et du réchauffement climatique : le gaz carbonique. En effet, que ce soit dans le débat actuel sur la « transition écologique » et dans l’ensemble des projets soumis par les autorités européennes ou dans les propositions de l’acte III de la décentralisation, il est le grand coupable désigné à la vindicte et condamné par une taxation aveugle. Et si ce coupable était indispensable à la vie sur terre ? Et si la taxation systématique du « carbone » » était une erreur funeste et que d’autres approches étaient possibles? Et si nous avions besoin de plus de science pour approfondir la question sur des bases véritablement solides ? À partir d’un point de vue strictement scientifique qui n’esquive pourtant pas le débat, François Gervais s’oppose à la conception univoque et réductrice qui fait du gaz carbonique le responsable de tous les maux et interdit finalement de repenser à la fois les bases d’une solidarité Nord-Sud plus juste et une politique énergétique ambitieuse.
Les géants et l'Atlantide : Révélations de l'archéologie interdite, de Laurent Glauzy (La Maison du Salat)
La mythologie grecque et les légendes des Indiens de la Cordillère des Andes retracent les prouesses de géants détenant un savoir supérieur à notre technologie. La tradition orale des habitants de l'île de Pâques mentionne des hommes, à la taille peu commune, comme étant les constructeurs des statues moaï. Laurent Glauzy apporte ici la preuve incontestable de l'existence d'êtres exceptionnels ayant mesuré jusqu'à plus de quatre mètres. Cités à dix-sept reprises dans la Bible et décrits par saint Augustin au Ve siècle, par le père jésuite Athanase Kircher au XVIIe siècle, archéologue et linguiste de l'Église, ces ancêtres de l'humanité proviendraient de l'Atlantide, royaume mystérieux englouti en 1226 av. J.-C. Par ailleurs, dans le Critias, Platon affirme que cette île, grande comme un continent, « n'est pas une fable, mais une histoire vraie ». Bien que d'innombrables documents lui soient consacrés par Fernand Crombette, égyptologue et spécialiste de copte ancien, par l'éminent géographe Étienne Félix Berlioux ou encore par le pasteur Jürgen Spanuth, un tel sujet n'occupe qu'une place mineure dans le champ scientifique. À l'aide d'une bibliographie particulièrement dense, l'auteur expose pourquoi ces réalités, pourtant connues d'une élite occulte et maçonnique, ne sont pas divulguées au grand public, condamné à se rabattre sur des interprétations ésotériques ou fallacieuses, comme celle du darwinisme. Ces pages, riches en découvertes archéologiques, confirment l'inerrance des Saintes Écritures et s'attaquent aux mensonges de la préhistoire et au mythe de « l'homme des cavernes ». Le présent ouvrage dévoile aussi le trésor incroyable du père missionnaire Carlos Crespi, qui recèle des plaques en or datant de plus de 2 000 ans, représentant des modèles réduits d'avions et encore bien d'autres mystères de l'archéologie interdite.
Poutine, l'itinéraire secret, de Vladimir Fédorovski (Editions du Rocher)
Qui est Vladimir Poutine ? Un tsar autoritaire ? Un James Bond manipulateur formé au sein des services secrets, qui met en danger la paix internationale ? Ou bien au contraire un dirigeant clairvoyant, antithèse du politiquement correct, qui défend les intérêts de son propre pays et l'équilibre dans le monde ? Quelle est sa véritable ambition autour de l'Ukraine ? Ce portrait de Poutine apporte de nombreuses réponses à ces interrogations. Fidèle à ses vieilles méthodes des services secrets, Poutine excelle dans l'art de brouiller les pistes. D'abord agent du KGB dans les années 1970-1980, puis adjoint au maire démocrate de Saint-Pétersbourg, il devient chef des services secrets, choisi pour défendre les intérêts d'Eltsine et de sa famille. Il est ensuite nommé Premier ministre lors de la guerre en Tchétchénie, dans un climat crépusculaire de fin de règne. Habile manoeuvrier et jouant adroitement des clans politiques, il s'impose enfin comme successeur inattendu de Boris Eltsine, et affronte les défis majeurs de la Russie du XXIe siècle. Eclairant les zones d'ombre de ce personnage complexe, Vladimir Fédorovski présente ici cinq visages du maître incontesté de la Russie depuis près de quinze ans, personnalité incontournable de l'échiquier international.
Les racines chrétiennes de l'Europe, de Michel Laroche (Editions Erick Bonnier)
Mgr Michel Laroche, est un spécialiste reconnu des Pères de l'Eglise byzantine et de la géopolitique du christianisme. Il est l'auteur d'une dizaine d'ouvrages qui traitent du monde byzantin, tant sur le plan théologique qu'historique. Ses ouvrages, "Une seule chair" (1986) et "La voie du silence" (2010), sont devenus des références dans le domaine de la pensée byzantine. Il collabore régulièrement à la revue de géopolitique "Diplomatie". Mgr Michel Laroche est métropolite dans l'Eglise Orthodoxe (patriarcat de Kiev) et habite dans la région parisienne. Les racines chrétiennes de l'Europe remontent à la naissance juridique et légale de l'Eglise en 313, grâce à l'édit de Milan voulu par Constantin le Grand. L'auteur retrace 740 ans (313-1054) d'une véritable guerre que se livrèrent, par monarques interposés, les trois principales Eglises, à savoir : l'Eglise romaine pour son propre compte, si ce n'est pour une dynastie européenne ; le patriarcat de Constantinople pour l'empereur byzantin, et enfin l'Eglise germano-carolingienne pour l'empereur carolingien ou ottonien. Derrière les grandes querelles théologiques qui occupaient les pensées du premier millénaire, l'auteur montre qu'il y avait toujours, en perspective, des enjeux géopolitiques de conquêtes territoriales, telle la question bulgare ou la conversion des Slaves aux VIIIe et IXe siècles. De fait, le facteur religieux a déterminé les frontières de nos anciennes nations et leur appartenance soit au monde latin, soit au monde byzantin. Voici 1700 ans que l'édit de Milan a été publié. Mgr Michel Laroche rappelle à cette occasion ce que l'Europe et notre nation lui doivent. Ce livre nous invite à revisiter notre propre histoire faite de foi et de fureur, de ferveur et de clameurs. Il ne sert à rien de nier les racines chrétiennes de l'Europe. L'Histoire est là, qui témoigne du contraire.
La tentation de Kyôto, de Jean Sarzana (Arléa Editions)
Jean Sarzana définit au plus près ce travail d’écriture qui s’est comme imposé à lui après quelques voyages au Japon dont il est revenu profondément troublé. La découverte de ce monde dont il ne connait rien mais qu’il tentera de comprendre mieux, mêlant impressions personnelles et travail de recherche approfondie dans nombre d’ouvrages faisant référence sur le sujet, sera l’occasion pour lui de mettre au jour ce que tout un chacun ressent lorsqu’il débarque pour la première fois dans le pays du soleil levant. À partir de promenades du quotidien dans Tôkyô et Kyôto, il nous livre avec beaucoup de délicatesse et de précision érudite un regard original sur le Japon à travers l’architecture, l’habitat, la cuisine, la Voie du thé, l’art des jardins, la religion, l’Histoire. Le ton de ce livre, très personnel, sait nous rendre le Japon beaucoup plus proche et profondément attachant.
Ferveur des pierres chrétiennes de Syrie, par Andrée Claire (Editions Michel de Maule)
Dans le patrimoine de l'humanité, l'une des merveilles sans doute les moins connues se trouve en Syrie. Sur cette terre qui vit naître l'alphabet et fut le lieu d'élection du Dieu unique, on appelle villes mortes les centaines d'églises et de couvents qui furent bâtis dans les premiers siècles du christianisme dans les métropoles de la nouvelle foi, Antioche, Damas et Apamée, mais aussi dans les plus petits villages. Les monastères et les lieux de pèlerinage ont laissé des vestiges imposants, dont l'immense cité de Dieu de Qalaat Samaan, où passa sa vie, perché sur une colonne, le célèbre stylite Siméon . Les bouleversements démographiques et les séismes ont créé un fabuleux et poétique décor, témoignage du premier art chrétien.
Le Grand échiquier, de Zbigniew Brzezinski (Editions Fayard/Pluriel)
Les Etats-Unis se sont élevés à une position hégémonique qu'aucune nation n'a connue par le passé. L'auteur se demande si le pays va rester encore longtemps le maître de l'échiquier mondial, et comment. Présente quelques clés pour comprendre le monde contemporain et prend en compte les zones géopolitiques à même de remettre en cause la puissance américaine : l'Europe et l'Asie orientale.
Chine, l'empire de la barbarie : Superstitions funéraires, pédophilie, cannibalisme, par Laurent Glauzy (Editions des Cimes)
Ce livre dévoile une réalité qui n'est guère abordée dans les colonnes de la grande presse et encore moins sous la plume des sinologues. Loin des clichés consensuels évoquant le miracle de l'économie chinoise, le lecteur découvrira, à son plus grand étonnement, d'autres facettes de la Chine. Plus puissant que jamais, cet Etat totalitaire défie le monde entier. Mais ce qui est révélé au fil de ces pages est malheureusement bien pire. L'auteur ne mâche pas ses mots. Il nous conduit au centre d'un « empire de la barbarie » où le suicide, l'immolation par le feu, la pédérastie et le cannibalisme font partie intégrante de l'histoire et de l'actualité.
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