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Vendée, 1793-1794 : Crime de guerre ? Crime contre l'humanité ? Génocide ? Une étude juridique, de Jacques Villemain (Editions du Cerf)
Si les faits qui se sont produits en Vendée en 1793-1794 avaient lieu aujourd'hui, comment seraient-ils qualifiés au regard du droit pénal international : crimes de guerre ? crimes contre l'humanité ? crime de génocide ? et qui sont ceux dont la responsabilité pénale devrait être mise en cause ? Telles sont les questions auxquelles ce livre essaie de répondre. Une polémique est née aux alentours de la célébration du bicentenaire de la Révolution française à propos d'un "génocide franco-français" qui aurait été commis en Vendée. Ce n'est cependant que dans le courant de la décennie suivante que les crises de l'ex-Yougoslavie et du Rwanda et les violences qu'elles ont engendrées ont donné lieu à l'institution de tribunaux pénaux internationaux spécialisés en 1993 et 1994, puis d'une Cour pénale internationale en 1998 qui ont précisé les concepts de crime contre l'humanité et de crime de génocide et actualisé la jurisprudence sur les crimes de guerre. "Génocide" est le nom d'un crime. C'est donc par une analyse juridique au regard des normes du Droit précisées par les tragiques expériences du XXe siècle que doivent être complétées, voire révisées, les analyses historiennes sur cette controverse
Libéral mais non coupable, de Charles Gave (François Bourin Editeur)
" A l'origine de ce livre il y a un principe simple : pour régler les problèmes, il faut les comprendre et pour les comprendre, il faut d'abord les analyser. Toutes les situations de crise grave, comme celle dans laquelle nous nous trouvons, ont des causes à la fois lointaines et proches, difficiles à démêler ; surtout les causes réelles sont souvent cachées par des causes apparentes. Aujourd'hui, c'est le libéralisme qui tient lieu de leurre et de bouc émissaire. J'invite le lecteur à découvrir les vraies causes de la crise. Ce n'est pas le libéralisme qui est coupable. Les responsabilités résident dans le dévoiement des systèmes bancaires et financiers, dans l'incompétence de certains économistes, dans des erreurs politiques graves dictées par la déresponsabilisation et la démagogie d'instances dirigeantes. C'est pourquoi l'économiste et financier que je suis depuis quarante ans, qui sillonne la planète avec son bâton de pèlerin, non pas pour convertir mais pour rétablir la vérité, reste au fond de lui-même Libéral mais non coupable. "
Les véritables enjeux des migrations, de Jean-Paul Gourévitch (Editions du Rocher)
Immigration, émigration, quels sont les enjeux pour la France du XXIe siècle ? Un sujet d'une brûlante actualité qui pose des questions décisives : Quel avenir pour ceux qui arrivent en France ? Comment gérer le flux d'immigrants réguliers et irréguliers ? Comment convaincre ceux qui veulent partir de rester, et ceux qui sont partis de revenir ? Au-delà des statistiques, Jean-Paul Gourévitch dresse un état des lieux documenté de ces migrations et donne des clefs pour le futur, avec objectivité et courage. Un livre essentiel avec un seul but : celui de lutter contre les préjugés.
Il y a quelque chose de pourri au royaume de France, du Père Michel Viot (Via Romana)
Loin d’être de la catégorie des girouettes agitées par le vent, le Père Viot tient fermement sa boussole, dit de lui Mgr Di Falco. L’évêque luthérien et le dignitaire franc-maçon qu’il fut n’a jamais idolâtré les “Lumières” et, comme son maître Joseph de Maistre, il regarde plus que jamais la Révolution française comme la pire catastrophe arrivée à notre pays. Son cri d’alarme en cette année 2017 qui voit se succéder élection présidentielle et jubilé des apparitions de Fatima identifie clairement les maux qui tuent la France et que cristallise l’idéologie de François Hollande, dont l’apostasie lui apparaît comme beaucoup plus grave que celle du célèbre empereur Julien. À l’origine d’un pacte “républicain” de plus en plus exécrable parce que fondé contre le christianisme, la République poursuit à ses yeux une œuvre continue de destruction spirituelle et politique en substituant à l’âme catholique française un universalisme contre nature et étranger aux valeurs judéo-chrétiennes. Le Père Viot s’interroge aussi sur l’état de narcolepsie d’une Église prisonnière de son ouverture au monde et devenue de plus en plus étrangère à la Mission, regrettant son indigence de “traitement” de la mort et des fins dernières, son malaise face au politique, ses difficultés avec la pratique religieuse et son incessant déclin. Dénonçant les ambiguïtés du dialogue interreligieux, en particulier avec l’islam, son propos appelle à un sursaut de la Foi et à une refondation du pacte de Reims, celui de nos rois, de Jeanne d’Arc, qui fit et refera la France.
Mes chemins d'Afrique, carnets d'un agronome, de Clément Mathieu (Dacres éditions)
Dans MES CHEMINS D’AFRIQUE, carnet d’un agronome, Clément MATHIEU parle d’agronomie, d’étude et d’érosion des sols, d’irrigation, de développement rural, d’enseignement et de formation agricole en fonction des endroits où il est intervenu. Ces Mémoires sont le récit de l’itinéraire particulier d’un agronome-pédologue sur le continent africain, faisant part de ce qu’il a vu, de ce qu’il a fait et de ce qu’il croit. C’est le témoignage de la manière dont se sont réalisés les travaux et les études auxquels il a participé, en n’oubliant pas des anecdotes personnelles, historiques et géopolitiques ainsi que les nombreuses aides et collaborations qui ont permis toutes ces actions de développement et de formation qu’il continue encore à conduire dans l’espoir que celui qui se donne la peine de se courber ne se relève pas sans rien (proverbe mossi)
Plus loi, c'est encore l'horizon, de Régis de la Turmelière (Feuillage)
Et avec ça, monsieur, qu'est-ce que je vous sers ? De l'océan ma bonne dame, de l'eau à courir jusqu'à n'en plus pouvoir, de la mer longue, courte ou croisée, du vent, et un bateau s'il vous plaît. Cela suffit à une vie d'homme. La perspective du grand large et de l'arrivée au petit matin sur une île inconnue permet de tout supporter, de tout relativiser, d'aller bosser à l'usine quand il le faut, de mouiller parfois dans des baies aux senteurs d'égouts, d'endurer au-delà des limites la pesanteur terrestre, les lois tordues, la bêtise qui transforme les paradis en lieux sordides et dictatures. Avec ça vous dis-je ? La mer, rien que la mer, merci. Telle est l'histoire de ma vie. Quand je la relis, je me dis qu'elle est romanesque, presque impossible. Pourtant tout est vrai et s'est déroulé comme je le raconte. Je suis un pèlerin animé par un appel du large éternellement inassouvi. Je ne peux pas m'arrêter, jamais je ne le pourrai. Je me suis fait marin, parce que la mer n'est qu'horizon et que les vagues sont éphémères.
Les derniers jours, la fin de l'empire romain d'Occident, de Michel de Jaeghere (Tempus Perrin)
L'histoire et l'analyse du dernier siècle de l'Empire romain d'Occident (376-476). Un grand récit qui renouvelle en profondeur ce que l'on croyait savoir sur la chute de Rome et invite à méditer sur la fragilité des civilisations. Déjà un classique plébiscité par le public et la critique et qui a été couronné par le prix Du Guesclin.
Juger la reine: 14, 15, 16 octobre 1793, d'Emmanuel de Waresquiel (Editions Tallandier)
Le procès de Marie-Antoinette demeure l'une des énigmes les plus opaques de la Révolution. Avait-elle eu autrefois à prendre des décisions politiques dont le peuple français aurait eu à se plaindre ? En quoi, une fois la République proclamée (21 septembre 1792) et le roi exécuté (21 janvier 1793), menaçait-elle, du fond de sa prison du Temple puis de la Conciergerie, l'ordre nouveau ? Son procès fut-il exigé par une intense mobilisation populaire ? Cherchait-on à la faire évader ? Rien de tout cela. En examinant attentivement les minutes du procès éclair qui lui a été intenté par le Tribunal révolutionnaire les 14, 15 et 16 octobre 1793, en scrutant, ce qui n'avait jamais été fait avant lui, la biographie des jurés, en restituant le climat politique et la lutte de factions marquant la " mise à l'ordre du jour " de la Terreur (5 septembre), Emmanuel de Waresquiel raconte, avec émotion mais sans parti pris, trois journées pathétiques. Il révèle les questions humiliantes posées à l'accusée, il rapporte les réponses dignes apportées à d'infâmes calomnies, il montre l'absence de véritables droits de la défense d'une femme condamnée d'avance. Il est clair que Marie-Antoinette n'a été que la victime expiatoire de conflits politiques qui régnaient entre la Convention, la Commune de Paris et les Jacobins. Dans ce nouveau livre à l'érudition impeccable, l'auteur multiplie les révélations et donne avec subtilité son sens véritable au moindre des propos tenus. Décrivant le cadre, dépeignant les protagonistes, il restitue avec son talent habituel une atmosphère étouffante. Ne s'interdisant pas de dévoiler au lecteur les réflexions qu'éveillent chez l'historien des XVIIIe et XIXe siècles ce moment paroxystique du basculement révolutionnaire, Emmanuel de Waresquiel donne là le livre le plus dense, le plus littéraire et le plus personnel de sa carrière
Euthanasier la République pour sauver la France? de Jean-Noël Audibert (Dominique Martin Morin Editions)
Cet essai a pour but de montrer qu il existe encore une porte de sortie avant l effondrement d un système à bout de souffle. L état des lieux ? Depuis 2015, les politiques n ont plus que deux mots à la bouche « valeurs républicaines » comme si cette invocation allait tout résoudre. L analyse historique des cinq républiques est cruelle, elle montre qu il n y a pas de valeurs républicaines. Le seul fil conducteur du système est le mépris voire la haine de la chrétienté. Force est de constater qu en 50 ans, la République est devenue cosmopolite, aux ordres des USA et des pétromonarchies, elle prétend même fournir une religion : la laïcité, tout en organisant l installation de l Islam. Les politiques du système républicain ne s en cachent même plus, ils sont des liquidateurs. Quelle issue ? Les déclinologues ont beaucoup écrit sur les réformes nécessaires mais aucun n a osé aller au bout de son analyse. Le discrédit des politiques est tel que le succès d une candidature hors système aux présidentielles de 2017 est possible, le candidat s engagerait à réaffirmer l identité de la France dans une nouvelle constitution et renverrait la République rejoindre les poubelles de l histoire. Place à une démocratie identitaire et directe, les politiques étant étroitement contrôlés par le peuple.
France, ton fromage fout le camp! de Véronique Richez-Lerouge (Michel Lafon)
Dans le plus grand silence, le pays des fromages laisse filer son patrimoine. En 50 ans, 90 % de nos fromages ont basculé dans l industrialisation. Faisant fi des protestations des petits producteurs, les multinationales agroalimentaires, avec la complicité des pouvoirs publics, ont ainsi balayé 2 000 ans de savoir-faire. Résultat : les vrais fromages au lait cru et les produits fermiers sont en voie de disparition. Laxisme, uniformisation, normes sanitaires... À qui la faute ? Les conséquences de cette mort programmée sont plus graves qu on ne l imagine. La gastronomie y perd l un de ses plus beaux fleurons. La santé en pâtit : la standardisation du lait prive notre système immunitaire d une flore bénéfique, et notre organisme de nutriments précieux. L environnement, lui aussi, est menacé : les prairies naturelles disparaissent, au profit de la culture céréalière intensive qui n est pas sans danger. Dans cette enquête fouillée où elle brise l omerta qui entoure cette affaire, Véronique Richez-Lerouge lance un cri d alarme : Quel héritage voulons-nous laisser à nos enfants ?
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