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Lettre envoyée le 06/07/2020
Lundi 6 juillet 2020 La Lettre N°489
En vert et contre tout,... ou l'art de la récupération ! On dirait que le monde a récemment découvert l'écologie, alors que c'est en 1866 que le biologiste allemand Ernst Haeckel inventa ce terme. En revanche, l'un des premiers écolo(gistes) fut sans doute Aristote ou peut être Théophraste, l'un de ses élèves, dès le 4è siècle avant J.C. Les idées écologistes puisent leurs sources dans les grands voyages d'exploration des navigateurs européens à l'époque de la Renaissance, cette époque synonyme de découverte de nombreuses ressources naturelles, des sciences de la nature et des premiers inventaires. Les Français Pierre Belon (1546 à 1549) et André Thevet (1555-1556) auront pris leur part dans les domaines de l'histoire naturelle pour le premier, et la connaissance de la forêt brésilienne pour le second.Dès le milieu du 17è siècle, la déforestation, l'essor de l'agriculture, l'exploitation des mines et l'extermination des animaux ont déjà fait des fléaux sur l'Île Maurice. Les Français qui y débarqueront en 1715 ne pourront que constater la disparition de (presque) toutes les forêts sur la côte de l’île. Et c'est sous l'impulsion d'hommes comme Phillibert Commerson (botaniste), Pierre Poivre (gouverneur de l'île) et Bernardin de Saint-Pierre qu'un premier appareil législatif verra le jour, tandis que le 20e siècle verra naitre l'expansion d'une pensée écologique accompagnée de théorie écologique, puis son cortège de composantes tournant autour de cette science et de métiers nouveaux (ou pas) : anthropologues, urbanistes, ergonomes, biologistes et... écologistes. L'homme politique y trouvera son intérêt avec l'apparition de l'écologie politique au cour des années 1920. Viendront ensuite les milieux associatifs instrumentalisés par les politiques, puis les mondialistes, plus récemment. Et certains responsables publics de faire la leçon aux peuples, en votant des lois et des textes qui nous aident tous à culpabiliser, des textes d'ailleurs de plus en plus contraignants et ...rémunérateurs ! Il va de soi qu'en France tout commence et finit par le pognon !. Le tri des ordures est ainsi entré dans les mœurs (même si tous les déchets sont ensuite mélangés avant d'être à nouveau triés), la limitation de vitesse à outrance (on a évité de peu la limitation à 110 sur...autoroute), la pollution des nappes phréatiques aux phosphates, la remise en cause de l'énergie nucléaire (une énergie pourtant si rentable! Mais qui donc pédalera pour produire l'énergie nécessaire aux TGV ?) et même la destruction d'emplois de navigants aériens suite à la suppression des lignes aériennes intérieures au profit du rail (qui déraille!). Comme pour le Covid, on risque fort de mourir guéri (sans pollution) dans la mesure où on arrête l'économie nationale pour faire plaisir aux « écolos », aux Verts (amicalement comparés à un fruit dont je ne raffole pas à cause des « pépins »), défenseurs de l'environnement et autre ayatollahs de la pensée unique. Personnellement, je pratique l'écologie depuis ma plus tendre enfance, en ne jetant jamais aucun détritus au sol, en éteignant la lumière lorsque je quitte une pièce et en évitant le gaspillage. L'écologie, selon moi, signifie le respect de dame nature en fichant la paix aux vaches qui lâchent des vents, en veillant à ne pas défigurer nos paysages avec des éoliennes sous-productives mais hautement nuisibles pour les oiseaux et les être humains qui vivent à proximité ou en se montrant compréhensif envers Xavier Marmier dont l'existence pourrait se résumer à « Sur un arbre perché » : ayant acquis une parcelle de forêt en 2008 dans le Doubs, celui-ci entreprend de construire son logis au sommet d'un arbre avec l'accord tacite du maire de l'époque. Coincé en 2014 par l'édile suivant, maire de Cléron qui a décidé de sortir « la grosse caisse », notre homme va depuis de procédure en procédure (https://youtu.be/wQyE08LoQGU), alors qu'il vit sainement et écologiquement.. ..en cabane, ce qui est tout de même mieux que de finir en taule ! D'après moi, et en pleine crise du logement, voilà un combat écologique qui mérite d'être soutenu. Une pétition en ligne (https://www.change.org/p/sauvons-la-cabane-de-xavier) est disponible sur la toile, encore un geste écolo que je n'ai pas hésité à accomplir en y apposant ma signature. Qui m'aime me suive! Retour sur terre avec le réveil pénible du dernier scrutin pour les Bordelais, à qui, le (nouveau) maire écolo promet déjà, après la suppression des avions, la disparition prochaine...de la voiture. A l'heure qu'il est, ce sont les automobilistes de cette ville qui doivent être « vert » de rage. Le nouvel édile prévoit non seulement de maintenir les actuelles pistes cyclables, mais d'en augmenter sensiblement le nombre. De quoi en faire voir des vertes et des pas mûres à ses administrés qu'on s'apprête aussi à priver d'avion, précisément au nom de...l'écologie ! On rêve. Si seulement on pouvait envoyer tous ces petits « hommes verts » au diable vert (s'en débarrasser, loin, loin...) ou les convaincre de se mettre au vert....Quant à moi, j'aurais tendance, selon mon humeur, à voir le « vert » à moitié vide ou à moitié plein ! Ça doit être l'âge...
LE CLIN D'OEIL DE VALERIE ! Parfois, mieux vaut ne pas entamer une conversation avec quelqu'un que l'on ressent fermé à l'échange. Comme le montre ce petit dessin, il y en a qui ne vous juge que sur votre apparence. Et une conversation entre gens d'origine différente (ou vive-versa) peut très vite vous en faire voir de toutes les couleurs quand la mauvaise fois s'en mêle.
La première édition du Val d'Aran by UTMB, prévue initialement du 3 au 5 juillet 2020, est reportée à 2021. Conformément aux directives du gouvernement et des autorités sanitaires et en coordination avec l'UTMB® Group, l'organisation a décidé de reporter la course à l’année prochaine, s’adaptant ainsi à la situation exceptionnelle que connaît le monde entier face à la pandémie de Covid-19.Val d'Aran by UTMB® se tiendra donc les 9, 10 et 11 juillet 2021, en conservera les trois distances prévues : Torn dera Val d'Aran (162 km), Camins de Hèr (105 km) et Peades dera Aigua (55 km), ainsi que les festivités Trail Festival Baqueira Beret et le SKY Baqueira Beret (15 km). Les inscriptions 2020 sont maintenues pour 2021. https://www.aranbyutmb.com/
Les dix parcs nationaux de France : la Vanoise, Port-Cros, les Cévennes, le Mercantour, les Écrins, les Pyrénées, la Guadeloupe, la Réunion, la Guyane et les Calanques, sont des espaces naturels d’exception, riches de paysages uniques, qui abritent une faune et une flore remarquables. Ils sont aussi des espaces de vie et de ressourcement pour l’homme. Si depuis 55 ans, la protection de la biodiversité constitue leur mission prioritaire afin de pouvoir transmettre ce précieux patrimoine aux générations futures, ils ont aussi pour vocation de l’ouvrir au public afin de lui faire découvrir cet environnement fragile et le sensibiliser à la nécessité de le protéger. Animés par cette volonté d’ouverture et de partage, les parcs nationaux sont ainsi acteurs de la sauvegarde du patrimoine culturel et contribuent à la valorisation d’activités compatibles avec le respect de la nature. Créée en 2015, la marque Esprit parc national (https://www.espritparcnational.com/) met en avant des produits et services conçus par des femmes et des hommes qui s’engagent dans la préservation et la promotion des territoires d’exception des parcs nationaux. En échange, ces prestataires bénéficient de l’image des parcs qui, en assurant leur promotion, offre une visibilité accrue et positive à leurs produits et services. La marque se concrétise par une offre d’hébergements, une restauration, des produits locaux, mais aussi des activités de découverte et des séjours créés et proposés dans les dix parcs nationaux de France. Cette offre est mise à la disposition du public sous forme de guides répertoriant par territoire tous les prestataires et activités « marqués » dans le périmètre du parc. La marque Esprit national, Port Cros (83), elle, se décline en 25 sorties de découverte et visites de sites, deux sorties en bateau (https://www.espacemer.fr), neuf hébergements, un restaurant et deux séjours éducatifs. Une idée d'évasion estivale de plus !
11ème édition du Festival International de jardins Hortillonnages d'Amiens (80), du 14 juillet au 18 octobre 2020 : Le festival, organisé par art & jardins et les Hauts-de-France est aujourd’hui un parcours ponctué d’une cinquantaine de jardins et d’installations imaginés et produits par de jeunes artistes - paysagistes, architectes et plasticiens, qui se laisse découvrir à pied pour l’île aux fagots ou en barque électrique pour l’étang de Clermont. Une échappée belle esthétique et poétique, une balade artistique, un voyage paysager hors-du-temps au cœur d’îlots flottants réinvestis dans les Hortillonnages amiénois…29 jardins, 23 installations et une architecture flottante, mais aussi créations paysagères et installations artistiques seront à découvrir au fil de l'eau. Vous pourrez louer une barque au Port à fumier et naviguer 2h30 durant vers les différentes parcelles autour de l'étang de Clermont. Réouverture du Musée de l'Armée (Paris 7è) avec une nouvelle programmation culturelle : Le site des Invalides, la cour d’honneur, le Dôme abritant le tombeau de Napoléon Ier et le parcours permanent présentant les collections du XIIIe siècle à la Libération de Paris en 1944 seront de nouveau accessibles au public. De même, l’exposition Comme en 40… a été reportée du 17 septembre 2020 au 10 janvier 2021, tandis que Photographies en guerre sera présentée au public au printemps 2022. La célébration des 350 ans de la fondation des Invalides reprend avec notamment le spectacle La Nuit aux Invalides (du 18 juillet au 29 août 2020), l’un des rares grands événements culturels à Paris durant l’été grâce à sa configuration en plein air dans la cour d’honneur, les Journées européennes du Patrimoine (19 et 20 septembre) et l'exposition Invalides : mémoires de guerre qui présente près de 75 photographies extraites d'un reportage photographique réalisé par le photojournaliste Philippe de Poulpiquet à l’Institution nationale des Invalides (du 19 septembre 2020 au 3 janvier 2021). https://www.musee-armee.fr/accueil.html Un nouveau guide numérique gratuit du Petit Futé, « Un été en Europe » vient de paraître. Gratuit, il est consacré à l'Europe. Albanie, Andorre, Autriche, Tyrol ou bien encore Croatie, Minorque, Pays Basque espagnol, Grèce, Islande, Pouilles, Gênes et sa région à moins que vous ne préfériez Malte, la Norvège, l’Alentejo ou Madère au Portugal ou bien encore Prague en République Tchèque, le Petit Futé vous propose,à travers ce nouveau titre gratuit, exclusivement disponible en version numérique au format epub, de vous accompagner pour votre "premier voyage à l’étranger" post Covid !
La saison estivale reprend ses quartiers dans le jardin du musée du quai Branly– Jacques Chirac ! Jardin d’été, le rendez-vous annuel des amateurs de flâneries créatives, propose jusqu'au 31 août des animations de plein air adaptées à tous. Ateliers pour construire une mini-ruche et en apprendre plus sur le rôle essentiel des abeilles dans l’écosystème, contes, balades vertes, quizz sonores sur les berceuses et ambiances sonore du monde. Une programmation ludique et gratuite destinée aux petits et grands visiteurs... Le Jardin des contes, l'atelier mini-ruche, la balade verte, et autres quizz vous attendent sur https://www.quaibranly.fr
Aux côtés de ses 105 hôteliers partenaires, SOLIKEND lance l'opération « Du soleil pour nos soignants ». Et offre 50 000€ de séjours à l'hôtel à destination du personnel de santé. L'opération présente deux intérêts principaux : SOLIKEND distribue 10 000€ de séjours par l'intermédiaire d'un formulaire d'inscription, sur lequel il est possible de s'inscrire en tant que soignant OU de parrainer un ou des soignants parmi ses proches et l'opération a vocation à se répéter chaque année, grâce au dispositif de "nuits solidaires" développé par SOLIKEND. Après consultation de plusieurs acteurs du monde médical (ARS, FHF, médecins, infirmiers, aides-soignants), la distribution sera organisée ainsi : 10 000 € de cartes cadeaux via le site web de SOLIKEND, afin que des soignants de toute la France puissent en bénéficier, sur simple inscription (il est aussi possible de parrainer un soignant), 20 000 € de cartes cadeaux à l'hôpital Bichat à Paris, premier hôpital à avoir accueilli des patients atteints du coronavirus en Ile-de-France, région la plus touchée par l'épidémie, 10 000 € de cartes cadeaux à l'ARS Nouvelle-Aquitaine. Les cartes seront destinées en priorité aux équipes de soignants envoyées en renfort sur le Grand Est et l’Ile-de-France et 10 000 € de cartes cadeaux à la FHF Bretagne, qui assurera une distribution similaire. https://www.solikend.com/fr/pages/du-soleil-pour-nos-soignants
Deux nouvelles croisières aux Vedettes de Paris sur la Seine : la croisière guidée (https://www.vedettesdeparis.fr/produits/croisiere-guidee/) qui se décompose en une série de croisières commentées par un guide conférencier, une expérience vivante et participative, à vivre en famille pour redécouvrir la ville Lumière, et la croisière apéritive (https://www.vedettesdeparis.fr/produits/croisiere-aperitive/) qui se veut conviviale, détendue et informelle et durant laquelle les monuments et les berges servent de décors, avec une musique d’ambiance. Ces croisières sont annoncées, d’abord en week-end, depuis le 20 juin, et tous les jours à partir du 11 juillet. Le camping-car, loin de plaire à tout le monde et notamment aux automobilistes qui sont condamnés à les suivre faute de pouvoir les doubler, continue cependant de séduire pour la liberté qu'il procure et l'esprit d'indépendance qu'il offre. La facilité de déplacement reste l'atout majeur davantage dans certaines régions ou certains pays que dans d'autres il est vrai, mais tracter une caravane reste plus compliqué. Quant aux hôtels, il faut réserver à l'avance, à des dates définies alors qu'en camping-car, on fait ce qu'on veut quand on veut. C'est peut-être ce qui attire les seniors, même si les adeptes de ce mode de vie appartiennent à toutes les tranches d'âge : des moins de 30 ans (3%) aux 30-45 ans (15%), 45-60 ans (34%) et 60-75 ans (44%), on rencontre des camping-caristes de plus de 75 ans (4%). 48% d'entre eux sont retraités, 27% possèdent un animal de compagnie, 67% voyagent en couple et 88% sont propriétaires de leur véhicule. Leurs régions favorites? La Bretagne (24%), à égalité avec la Provence, puis les plages du débarquement (23%), le Mont Saint Michel (21%) et les Alpes (20%). Dans le contexte actuel, ce moyen de transport est adapté au Covid19 puisqu'on dispose de ses propres sanitaires. Par contre, il faut s'efforcer de respecter la distanciation sur des emplacements déjà bien délimités par les communes. Heureusement, on observe un certain engouement pour les petits camping-cars, des vans ou des fourgons.
La Grande Vignolle, site unique pour une version sensorielle de l’œnotourisme en Maine & Loire (49) : rendez-vous à Turquant, près de Saumur, qui allie caves et logis seigneurial creusés dans le tuffeau. Cette pépite, trouvée par hasard par la famille Filliatreau, est nichée sous les vignes, à flanc de coteaux et surplombe la levée de la Loire. Sur place, une nouvelle expérience à découvrir : une visite ludique qui fait appel à des effets visuels et sonores, particulièrement étonnants dans un contexte troglodytique. Il a fallu quelques années de recherche et deux ans de conception pour scénariser une expérience sur-mesure pour marquer les esprits d'un public familial large. Paul Filliatreau se décrit comme un « ambassadeur du bon » et traduit ses convictions en réalités concrètes. Il a fait évoluer la production familiale vers la qualité, a été la locomotive et l’ambassadeur des appellations Saumur et Saumur Champigny. C’est notamment lui qui fait figurer ces vins en bonne place sur les cartes des brasseries parisiennes. Il s’est également engagé dans la transition en culture biologique des 45 hectares du domaine. Pendant une demi-heure, le public est guidé par les sons, les images sur la roche et les effets sensoriels. Cette nouvelle expérience troglodyte fait appel à des effets visuels et sonores pour raconter la grande et la petite histoire du lieu. Le parcours se poursuit par le logis seigneurial, lieu d’une grande authenticité qui offre une belle vue sur la levée de la Loire. Le nouveau lieu de dégustation invite au partage, à l’échange, et offre aux enfants un espace de jeu qui permet à tous de profiter du moment. https://www.domaine-filliatreau.com/ Faire son baluchon, beaucoup en rêvent mais peu franchissent le pas. Le navigateur briochin (de Saint-Brieuc) Yann Quénet, lui, l'a fait en passant 400 heures à construire sa coquille de noix, « Baluchon », sur laquelle il traversera deux océans pour se retrouver à présent...aux Îles Marquises ! Le défi de cet homme était de construire une embarcation avec un budget de 4000€ tout compris (bateau, équipements) mais il aura fallu 1500€ supplémentaires pour boucler l'opération. A ce prix-là, pas de moyen de communiquer avec la terre ni de disposer de météo. Une cartographie gratuite fera l'affaire. Et en l'absence d'un dessalinisateur, le marin cinquantenaire se limitera à deux litres d'eau par jour. L'enthousiasme est entier, même s'il part à minima car pour lui, un petit bateau signifie voyager en liberté, avec moins de contraintes technologiques et technique que sur une embarcation plus grande. « Baluchon » offre ainsi l'avantage de revenir sur sa quille automatiquement en cas de retournement, sans parler du côté écolo de l'aventure. Parti à l'automne dernier des Canaries, Yann Quénet s'est arrêté quelques temps en Guadeloupe, avant d'emprunter le canal de Panama et d'affronter le Pacifique, en 44 jours de mer (dont un mois sans nouvelles des proches). Il faudra qu'il atteigne Hiva Oa (Marquises) pour qu'il donne signe de vie. Bonne nouvelle, la coquille de noix a jusqu'ici parfaitement fonctionné et notre navigateur est comblé, même enfermé dans un si petit bateau aussi longtemps. L'heure est venue du déconfinement, avant de poursuivre son tour du monde via l'Australie et le Cap de Bonne Espérance. Retour en Bretagne en 20228 Bon vent moussaillon ! https://www.facebook.com/yann.quenet.5
La France et la Suisse ont la chance de posséder un extraordinaire patrimoine paysager que l’on se doit de préserver et moderniser. La Fondation Etrillard a donc choisi de créer le « Prix du Patrimoine paysager et écologique » pour soutenir les projets -publics ou privés- qui souhaitent donner un nouvel élan à un domaine en mêlant démarche environnementale et respect de leur héritage historique. Une démarche qui devra se doubler d’une dimension pédagogique avec l’ouverture des lieux au public et un travail de sensibilisation à l’écologie, notamment auprès des jeunes générations. Pour la création de cette récompense -inédite à ce jour-, la Fondation Etrillard s’est appuyée sur l’expertise de l’association Terre & Humanisme, pionnière de la transmission de l’agroécologie en France depuis 25 ans. Les projets seront sélectionnés par un jury expert et pluridisciplinaire qui récompensera, chaque année, l’initiative la plus ambitieuse et la plus pertinente. Avec ce prix, la Fondation témoigne, à sa façon, de son engagement pour l’écologie. En réconciliant l’histoire et la modernité. Qui peut devenir candidat? Tout propriétaire -public ou privé- d’un domaine historique situé sur les territoires français et suisse peut faire acte de candidature. Par domaine historique, la Fondation entend l’ensemble des éléments bâtis ou naturels qui forment un jardin, un parc, une forêt ou des terres agricoles ; le tout devant présenter un intérêt historique, botanique, paysager, artistique ou architectural sans obligation de protection publique. Dans une volonté de transmission, ce domaine devra être ouvert au public, de façon régulière ou ponctuelle et -dans tous les cas- durant les Journées européennes du patrimoine. Les projets devront, en outre, répondre à trois critères : 1/ Les travaux seront entrepris dans une démarche écologique, visant à préserver l’unicité et l’équilibre de l’écosystème. 2/ Ils seront en projet ou en phase de réalisation. 3/ Ils attesteront d’une réelle pérennité du nouvel équilibre écologique. Comment, et quand, faire acte de candidature ? Les dossiers sont à retrouver sur le site internet de la Fondation (www.fondationetrillard.ch) en cliquant sur « Prix du Patrimoine paysager et écologique -Fondation Etrillard ». Ils seront remplis par les candidats et déposés au plus tard le lundi 21 septembre 2020 à minuit sur le site de la Fondation. Quels critères de sélection seront mis en œuvre ? Les projets seront évalués sur leur capacité à engager de nouvelles pratiques dans le cadre d’une transition en termes de permaculture et d’agroécologie. Seront notamment salués : l’insertion du projet dans l’esprit du lieu, la qualité artistique et paysagère de la composition, la gestion durable et écologique du site et l’ajustement du projet aux moyens financiers et humains envisagés. Le jury établira une présélection de huit projets avant d’élire le lauréat. Les résultats seront annoncés le mercredi 28 octobre 2020. La remise du prix se tiendra le même jour dans un lieu qui reste à définir. Le lauréat recevra une dotation de 30 000 euros et signera une convention avec la Fondation régissant les modalités d’attribution de la dotation. Un Tour de France de la bière ? Randonnée en Auvergne, visite des châteaux de la Loire, sports nautiques en Bretagne ou sur la côte d’Opale, les différentes régions de France devraient attirer cet été des millions de Français autour d’activités culturelles et sportives. Et pourquoi ne pas visiter une brasserie et soutenir en même temps les brasseurs pendant cette période estivale? Avec plus de 2 000 brasseries sur l’ensemble du territoire, il y a toujours une brasserie à moins de 30 km de son lieu de résidence ou de son lieu de vacances, ouverte à la visite du public pour faire découvrir les différentes étapes de fabrication de la bière. Des matières premières (eau, orge, malte, houblon, etc.) levure, naissent des milliers de recettes qui contribuent à la richesse et à la diversité du paysage brassicole français. C’est ce patrimoine et ce savoir-faire que proposent de partager les brasseurs en accompagnant le public sur leur site de production : découvrir les différentes variétés de houblon, les couleurs du malt, les techniques de fermentation, les meilleurs accords de leurs bières avec les produits de leur terroir. Le site biere-tourisme.fr indique par région les différentes brasseries ouvertes au public, leurs coordonnées, leurs horaires d’ouverture, les animations et dégustations proposées dans le cadre de la visite. Il mentionne également les boutiques attenantes aux brasseries où il est possible de s’approvisionner en produits gastronomiques régionaux. La géolocalisation permet d’accéder aux sites les plus proches de son itinéraire de balade ou de son lieu de villégiature. En 2019, près d’un million de visiteurs ont franchi les portes d’une brasserie et ont ainsi pu se familiariser avec les techniques de fabrication de la bière ainsi que du vocabulaire pour en parler : pétillance, amertume, astringence, douceur… déjà par les mots, tout un voyage ! Cette année, les brasseurs se sont organisés pour accueillir le public en toute sécurité : respect de distanciation, port de masque, mise à disposition de gel hydroalcoolique à l’attention des visiteurs… L’ensemble du circuit des visites a été repensé pour respecter les nouvelles normes sanitaires. Que diriez-vous de vous faire plaquer pour la bonne cause ? La V-LOPLAK interpelle cyclistes et autres usagers de la route avec son message engagé et amusant. Un moyen original d'éveiller les consciences et de marquer les esprits. Le message est inscrit sur une plaque résistante, colorée et réfléchissante (ou fluo). Existe en version sur porte-bagages arrière ou sous la selle. Un produit fabriqué en France ! Dès 19,99€ https://www.lecyclo.com/ Le 13 juillet 2020, La Poste émet un timbre « Gastronomie traditionnelle méditerranéenne », dans le cadre d’EUROMED POSTAL. Tout Marseillais qui se respecte vous dira que la seule, la vraie bouillabaisse est tout simplement... la sienne ! Car l’art et la manière de la préparer n’est pas donné à tout le monde : il faut se méfier des pâles imitations. À l’origine, ce plat modeste consistait à faire bouillir, au retour de la pêche, dans un chaudron rempli d’eau de mer, les poissons trop abîmés pour être vendus ou qui n’avaient pas trouvé preneurs. La première mention de ce plat culte remonte à la fin du XVIIIe siècle, mais il s’agit alors plutôt d’un mode de cuisson à feu fort, que l’on baisse aux premiers bouillons, avec cette recommandation : « quand ça bout, baisse le feu » ou « bouille et baisse », « bouiabaisso » en provençal, qui donnera le mot « bouillabaisse ». Les poissons de roche lui apportent son goût iodé et corsé. On y ajoute en général des petits rougets, de la lotte, du merlan, de la rascasse, du saint-pierre, quelques étrilles, des tomates, oignons, poireaux, du céleri, de l’ail et de l’huile d’olive, sans oublier l’indispensable pincée de safran. On sert le bouillon d’abord, les poissons ensuite, accompagnés de rouille et de croûtons. La bouillabaisse est l’un des fleurons de la cuisine méditerranéenne qui, autour d’une nature pourvoyeuse de richesses et d’échanges, a su explorer les traditions culinaires de cette «mer du milieu» entre Europe, Afrique et Proche-Orient. À partir des produits de la mer, des légumes du soleil, des fruits de la vigne et du verger et, bien sûr, de l’emblématique huile d’olive sont nées des spécialités qui, sur fond de parfums de garrigue, égrènent leur nom gorgé de soleil : tapenade, anchoïade, pissaladière, petits farcis, ratatouille, tians... Un patrimoine gastronomique qui parle d’art de recevoir, de générosité et rend hommage au soleil et à la mer. Présentation : 42 timbres à la feuille. Valeur faciale : 1,40 €. Lettre Internationale Tirage : 500 010 exemplaires Pour fêter son deuxième anniversaire, le Musée SACEM lance « Accordéon, la boite à frissons », une nouvelle exposition qui met en lumière un instrument trop méconnu et injustement ringardisé : l’Accordéon. Instrument fascinant, le piano à bretelles traverse les âges et les esthétiques avec une aisance rare. Écrite par le journaliste Philippe Krümm, l’exposition retrace 190 ans d’histoire musicale : adulé jusque dans les années 1960 puis tourné en dérision par le rock, il fait l’objet d’un renouveau dans les années 80 avant de s’imposer dans tous les genres jusqu’à aujourd’hui. À découvrir : les photographies d’archives d’Émile Vacher qui, dans les années 20, inventa le genre musette, la partition inédite de Richard Galliano, compositeur et instrumentiste aux influences éclectiques, mais aussi une interview restaurée de l’immense Yvette Horner. Du Tango argentin à la Comédie française, des musiques traditionnelles tziganes aux chansons de Barbara, Maxime le Forestier, et même dans le rap et le rock dont les archives vidéo ne manquent pas, l’exposition propose de redécouvrir un instrument qui a bien plus d’une touche à son soufflet. https://musee.sacem.fr/index.php/ExhibitionCMS/ExhibitionCMS/ComplexExhibitions?id=2351 Depuis le 1er juillet, est ouverte au public Nature Urbaine, la plus vaste ferme urbaine en toiture d'Europe, véritable toit maraicher en plein 15è arrondissement de Paris (75). Située sur le toit du pavillon 6 de Paris Expo Porte de Versailles, NATURE URBAINE est une création de Agripolis et Cultures en Ville et sera, à terme, la plus grande ferme urbaine en toiture d’Europe.Le toit maraîcher occupera alors une surface de 14 000 m2 sur laquelle plus d’une vingtaine de maraîchers produiront, en saison, plus de mille fruits et légumes chaque jour, issus d’une vingtaine d’espèces différentes. Avec une eau et des nutriments qui circulent en boucle totalement fermée, la technique utilisée permet de ne pas capter la pollution urbaine et de proposer des produits extrêmement sains. Les choix de variétés et de nutriments permettent de produire des fruits et des légumes, de qualité, savoureux, cultivés sans pesticides, dans le respect des cycles de la nature, et en plein Paris. Pour aller plus loin, NATURE URBAINE offre de nombreux services : Les Carrés Parisiens, espaces potagers en location pour les riverains, des ateliers découverte et des visites pédagogiques autour de l’agriculture urbaine.Pour les entreprises, deux lieux sont privatisables pour organiser un séminaire, une réception, une conférence. La Serre, espace luxuriant et La Pergola, située au cœur des cultures maraîchères. L’ambition de NATURE URBAINE est de faire de cette ferme urbaine un modèle à l’échelle mondiale en matière de production responsable. Il s’agit d’installer une végétalisation productive pour organiser une forme de résilience environnementale et économique de la ville de demain. Sur la terrasse panoramique, un restaurant et un bar au concept unique sont conçus par Le Perchoir. Leurs cartes seront confectionnées à partir des produits cultivés sur place. Depuis le 1er juillet, accueil du grand public pour les visites-découvertes de NATURE URBAINE et de l’agriculture urbaine (avec ou sans dégustation), séances de yoga (le samedi de 17h30 à 18h30 et le dimanche de 11h00 à 12h00) et atelier Aromates & cocktail, le potager au cœur de l’apéritif (en partenariat avec MAGIMIX). Réservation en ligne : nu-paris.com, rubrique Activités – Particuliers. A partir du 1er septembre . Ouverture des espaces événementiels La Serre et La Pergola. NATURE URBAINE Toit du Pavillon 6, Paris Expo Porte de Versailles, 4 avenue de la Porte de la Plaine Paris 15. www.nu-paris.com Pour terminer, voici quelques données sur l'agriculture urbaine française : 600 sites de production (en hausse de 50% par rapport à l'année dernière) appartenant à 80 sociétés, qui représentent 575 emplois (+22% en un an). En Ile-de-France, on compte 76 hectares cultivés en zone urbaine ou périurbaine (+77% en un an). L' APUR (atelier parisien d'urbanisme) estime que 320 hectares seraient végétalisables à Paris intra-muros, à raison de 5 kg de légumes produits au m2, soit 32000 tonnes par an, de quoi alimenter 230000 Parisiens ! Réouverture de PortAventura (Espagne) le 8 juillet : PortAventura World Resort a pris toutes les mesures de sécurité, de distanciation physique et d’hygiène stipulées par les autorités et certifiées « Safe Tourism Certified » par des cabinets de conseil externes. Les visiteurs peuvent s’y rendre pour une journée, y organiser un long week-end ou une semaine de vacances complète pour profiter de ses parcs à thèmes emblématiques, de ses hôtels thématiques avec piscines, des plages situées à proximité, de la cuisine méditerranéenne et de la pratique du golf dans un cadre exceptionnel. Un nouveau système de vente des entrées, où le client doit réserver la date de sa visite, a été créé afin de garantir la capacité d’accueil limitée. https://www.portaventuraworld.com/fr
24 PAGES 100% SAONE-ET-LOIRE EN KIOSQUE TOUT L’ETE Cet été, un condensé de l’offre touristique de la Saône-et-Loire est à retrouver dans un supplément encarté dans le hors-série Autour de Lyon, numéro estival issu du magazine mensuel Mag2Lyon, placé sous le signe de la découverte des environs de la région lyonnaise. C’est le long d’une balade itinérante de 24 pages à travers les 6 micro-territoires du département que le lecteur est invité à découvrir les incontournables et les pépites du territoire : Une carte du département, localisant les points d’intérêt touristique, un carnet dédié au vélo, balayant les grands itinéraires qui traversent le département, un volet gastronomie, mettant en valeur les produits du terroir et les vins de Bourgogne du Sud, un focus sur le Made in Bourgogne, les bonnes adresses de la Bresse bourguignonne, une double page rafraîchissante détaillant les points de baignade et une page nature, au frais dans les accrobranches. Autour de Lyon est publiée à 20 000 exemplaires et diffusée dans les kiosques de la région Auvergne-Rhône-Alpes de juin à septembre.
C’est la reprise à la Grotte du Lazaret ! Tout au long de l’été, le Département des Alpes-Maritimes propose, sur le site préhistorique du Lazaret, des animations à l’attention du jeune public (7-14ans) : initiation à la fouille archéologique (04 89 04 36 00 et lazaret@departement06.fr) , enquête « Un vol au Lazaret » et immersion préhistorique dans la grotte du Lazaret (gratuit dans la limite des places disponibles).
Nomadine propose un guide des loisirs et du tourisme en montagne accessible à tous, qui prend en compte le handicap :Le Guide des Loisirs et Tourisme Sportifs en Montagne, publié récemment, est le guide incontournable de l'accord loisirs de pleine nature et vacances en France. Que ce soit à vélo, à pied, sur terre, dans les airs, sur les roches, tout est réuni au sein des 544 pages en trois chapitres pour répondre aux questions suivantes : L'offre touristique française se porte bien ! Si la situation reste contrastée selon les secteurs, le curseur de l’offre touristique française remonte vers la normale. Aux deux extrémités, l’hôtellerie de plein-air s’étonne presque du nombre de sites ouverts et du volume quotidien record des réservations, alors que le monde de l’événementiel et du tourisme d’affaires montre toujours un encéphalogramme plat. L’hôtellerie connaît les mêmes écarts entre une hôtellerie économique, vivant du marché domestique, plutôt en forme, et une hôtellerie haut de gamme qui souffre nettement de l’absence des touristes étrangers CSP Plus. Pour une majorité des prestataires, la course est engagée pour sauver ne serait-ce que la haute saison et éviter le choc de trésorerie quand la bise sera venue. Une lueur d’espoir se profile du côté des clientèles européennes, essentiellement du Benelux, fidèle à la destination France et qui aurait accumulée une frustration salutaire pour leurs régions de prédilection. C’est sans doute ce qui explique les bons résultats du camping sous toutes ses formes. Il n’en reste pas moins que les dernières mesures sanitaires en vigueur limitent sérieusement la possibilité de voyager et d’accueillir des groupes. Si la saison estivale n’est pas le pic d’activité, il est à se demander si le marché va se réveiller à l’automne avec des groupes de séniors plutôt frileux et des destinations encore réticentes à les accueillir. On voit ainsi de plus en plus de spécialistes des groupes qui font évoluer leur offre vers les « tribus » et même des packages individuels.
Un été au Havre (76), du 11 juillet au 4 octobre 2020, est cette année une invitation à regarder la mer avec quatre parcours artistiques : « littoral », « suspendu », « historique » et « escaliers » , onze œuvres et installations dans l’espace public à redécouvrir , sept nouvelles œuvres et installations éphémères, trois grandes expositions temporaires , trois millions d'euros de budget et un lieu d'information et de médiation pour le public (la Maison de l’Été, place Perret, 125 rue Victor Hugo) . Compagnon de route d'un été au Havre, Le Pass Musée de la Ville du Havre, vendu 20 euros, est valable un an à compter de la date d’achat. Il donne un accès illimité à toute l’offre muséale en ouvrant les portes de sept lieux : Maison du Patrimoine/Appartement Perret, MuMa, Muséum et Musées d’art et d’histoire (Maison de l’Armateur, Hôtel Dubocage de Bléville, Abbaye de Graville) et serres des Jardins suspendus . Véritable sésame, il offre à son détenteur un tour des musées en 365 jours . Il est aussi adapté aux visiteurs qui souhaitent consacrer un court séjour à la découverte de l’offre muséale havraise . https://www.uneteauhavre.fr/fr
Sortie du livre « Etes-vous plutôt crêpe ou galette ? » (Coop Breizh). Les Bretons ont-ils toujours mangé des crêpes ? Et pourquoi l’image de ce plat est-elle autant associée à la région? Pour le voyageur en Bretagne, la crêpe est une évidence. Mais précisément parce qu’elle est quotidienne et « banale », profondément ancrée dans l’histoire et la vie des Bretons, la crêpe est un sujet dont les limites s’étendent au-delà du cadre étroit des disciplines. La crêpologie, si une telle science existait, associerait certainement la biophysique et l’histoire aux sciences de l’ingénieur et de l’anthropologie.Dans le cadre de la préparation d’un ensemble d’expositions temporaires en 2020, cinq musées bretons ont interrogé archéologues, historiens et ethnologues qui nous dévoilent des aspects totalement méconnus d’un plat qui nous semble si familier. L’ouvrage d’une centaine de pages fait appel à une iconographie inédite, des objets et des œuvres graphiques présentés pour la première fois dans le cadre des expositions organisées par les musées de Dinan, Landévennec, Pont l’abbé, l’écomusée des monts d’Arrée et le musée départemental breton de Quimper. Avec les contributions de : Annie Bardel (Université de Rennes 1), Alain-Gilles Chaussat (Université de Caen), Patrick Harismendy (Université de Rennes 2), Patrick Hervé, Françoise Labaune-Jean (Inrap), Julie Léonard (Bretagne Culture Diversité), Ronan Pérennec (Mission archéologie, Département du Finistère), Martine Ségalen (Paris X-Nanterre), Jean-François Simon (Université de Bretagne Occidentale)…Sortie le 9 juillet du premier ouvrage documenté sur l’histoire des crêpes et des galettes. 2 éditions : en français et en breton.
Il règne cette semaine comme un parfum mystérieux dans l'Ardenne, cette région naturelle qui s'étend sur les territoires belge, français, luxembourgeois et allemand et, pour inaugurer ce mois de juillet, je vous invite à découvrir cette belle région de France, à travers les légendes ardennaises que nous raconte si bien Hervé Gourdet. Très belle semaine ! Yves Classement des dix premiers pays qui ont visité ce site la semaine dernière : 1) France 2) Canada 3) Belgique 4) Mexique 5) Espagne 6) Portugal 7) Brésil 8) Pays-Bas 9) Etats-Unis 10) Emirats Arabes Unis Les Ardennes, Terre de combats et de légendes (France)Le poète Arthur Rimbaud y naquit, tout comme le vicomte de Turenne, maréchal de France sous Louis XIII et le roi Soleil, Robert de Sorbon (fondateur de la Sorbonne au 13e siècle), Jean-Nicolas Corvisard (médecin de Napoléon), Robert Debré (fondateur de la pédiatrie moderne) ou l'abbé de La Caille (astronome et cartographe du 18e siècle). Elles ont pour chef-lieu Charleville-Mézières, abritent la frontière entre la Belgique et la France et sont depuis très longtemps une terre de légendes. Aviez-vous reconnu les Ardennes? (...)  Lire la suite Leglobeflyer |
