Lundi 5 octobre 2020                                                                                   La Lettre N°502

 

La fin d'une époque...mais pas la fin du monde !

 

Il y a bientôt soixante ans, je débarquais sur cette Terre, moi qui n'avais rien demandé à personne. On ne choisit pas de naitre, on nait tout simplement. J'ai personnellement eu la chance de prendre vie en France, dans cette nation forgée par le siècle des Lumières, ce mouvement philosophique, littéraire et culturel apparu en Europe entre 1715 et 1789 pour mettre fin à l'obscurantisme et développer les connaissances. Ce 18è siècle « éclairé » (d'où son nom) par l'existence de personnalités comme Voltaire, Rousseau, Franklin, Montesquieu, Diderot...pour n'en citer que quelques-unes. Des personnalités (excusez du peu!) bien supérieures aux « Illuminés » qui nous gouvernent aujourd'hui et qui n'ont pas (toujours) l'électricité à tous les étages.

Avant cette date, l'obscurantisme régnait chez nous et s'opposait à la diffusion du savoir : jadis, la bonne parole était délivrée aux peuples lors des prêches religieux et les êtres humains, ignorants, ne pouvaient qu'acquiescer sous peine de blasphème (et d'être envoyé Ad Patres). L'homme (et la femme) nait pour être libre, et non esclave de quelque façon que ce soit. Or, cet obscurantisme européen, jadis disparu (mais qu'on tente de nous imposer à nouveau) est toujours de mise pour certaines religions qui n'ont pas su (ou voulu évoluer) au fil des siècles, au nom de préceptes faisant force de loi (divine), préceptes que des communautés étrangères tentent de nous imposer de force en Europe et contre la volonté des peuples autochtones, à l'exemple de ce qui survint en Espagne, de 711 à 1492 (https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_d%27al-Andalus) En Europe, les livres apparurent grâce à l'invention de l'imprimerie par l'Allemand Gutemberg, vers 1454. Événement majeur dans l'époque de la Renaissance, cette invention marquera un tournant pour l'humanité en permettant à tout un chacun de pouvoir s'instruire soi-même par la lecture, pour peu qu'on ait appris à lire. Trois cents ans plus tard, Voltaire ne disait-il pas que « La lecture agrandit l'âme, et un ami éclairé la console » (L'ingénu – 1767)? Ce siècle des Lumières, qui permettra l'accès aux connaissances et à la liberté, en encourageant la science par l'échange intellectuel et en combattant la superstition et l'intolérance, marquera une vision renouvelée et élargie du monde. On se pose alors des questions, on développe l'esprit critique, on développe la recherche scientifique tout en désacralisant monarchie et religion. La tolérance se fait jour.

Comme j'aurais aimé être témoin de cette époque. Le début de cette période correspond à la fin du règne de Louis XIV, le roi Soleil (qui mourut en 1715), et son déclin, au moment de la (sanglante) Révolution française (1789) : loin de faire l'affaire de tous, les philosophes souffriront de la censure (Montesquieu), seront emprisonnés (comme Diderot ou Voltaire) ou contraints à l'exil (Voltaire). Et la simple idée selon laquelle seule la connaissance permettait de juger en adulte d'une situation sans obéir aveuglément aux tutelles du roi, de la religion ou de l'armée, était déjà une désobéissance en soi.

Aujourd'hui, le parallèle est pour moi évident : nous voici replongé à l'époque de l'obscurantisme (cathodique), tandis que les tutelles (le gouvernement, à la place du roi, les médias élevés au rang de religion et les forces de police) au service de la seule gouvernance mondialiste, tentent de confiner les peuples chez eux au nom d'une pandémie COVID qui a bon dos, de laisser s'instaurer le chaos en tolérant la diffusion d'une idéologie obscurantiste utilisée afin de permettre à une oligarchie financière planétaire de nous réduire demain en esclavage (cela existe déjà en Chine: https://www.lepoint.fr/monde/bons-ou-mauvais-citoyens-la-chine-compte-les-points-02-09-2019-2332904_24.php) une fois l'économie réelle mise à sac. Et quelle mise à sac, véritable guerre déclarée à tous les habitants de notre planète par une poignée d’égoïstes uniquement occupés à se remplir un peu plus les poches d'un argent qu'ils n'auront même pas le temps de tout dépenser de leur vivant. Le COVID? Une affaire prévue de longue date et très fructueuse: sans même attendre la manne d'argent devant découler de la vente de 7 milliards de doses de vaccins, je lisais il y a quelques jours que même les tests PCR font l'objet de la convoitise des laboratoires d'analyse, et pour cause: un test PCR effectué dans un laboratoire est facturé 74€ à la Sécurité sociale. Vous comprendrez donc aisément les pressions exercées de longs mois durant, et au plus haut niveau, pour conserver un pactole qu'ils ne souhaitaient pas partager avec les collègues vétérinaires qui avaient proposé leur aide pour un prix de revient jusqu'à quatre fois inférieur. A l'issue de longues tractations (que de temps perdu!), les « vétos » ont été autorisés à pratiquer les tests PCR, mais sous contrôle: ils ont certes le droit de pratiquer prélèvements et analyses mais ne sont pas habilités à ...interpréter les résultats. Bienvenue au serment d'Hypocrite! Et du chacun pour soi, car pendant ce temps, des pans entiers de l'industrie du tourisme s'effondrent, le test PCR était devenu indissociable du passeport et du billet d'avion. Vous avez dit obscurantisme? En voilà un bel exemple.

Alors que faire ? Devant l'indécision des autorités gouvernementales françaises depuis le début du COVID (tri sélectif des malades en laissant mourir les plus de 70 ans, masque ou pas masque?...), je me suis associé à une action collective en justice via MySMARTcab AVOCATS (https://mysmartcab.fr/christophe-leguevaques/) afin de faire entendre ma voix. Certains diront que la cause est perdue d'avance, je n'en suis pas persuadé. D'autres me traiteront de complotiste, je répondrai alors qu'un être humain n'est pas un "veau" et que son premier devoir est de se battre. Vous trouverez ci-dessous un lien pour consulter les premières avancées d'un dossier brûlant. D'autres actions collectives suivent, dont la 5G (https://g5raisons.fr/). Bienvenue à tous les résistants! https://www.canva.com/design/DAEHwmF1oL0/4zpnNqDS9115zUyHTaq6dg/view?utm_content=DAEHwmF1oL0&utm_campaign=designshare&utm_medium=link&utm_source=viewer

Pour nous, Européens, la récréation (de 1715 à nos jours) aura été de courte durée mais à celles et ceux qui, sans être philosophes, n'en sont pas moins curieux et avides de connaissances et de liberté, il est encore temps d'ouvrir les yeux sur ce qu'on ne vous dit pas en effectuant vos propres recherches à partir de ces quelques pistes : Laurent Alexandre (https://youtu.be/kyLysKUMyyU) (https://youtu.be/Z9cls8ZQBgk), Valérie Bugaud (https://youtu.be/HKXTbTzzi9M), Ronald Bernard (https://youtu.be/n2ip52oDUbA) , la démocratie vue par une responsable politique française (https://youtu.be/TrpbBRBHqGk) et Bill Gates (https://charliehebdo.fr/2020/05/economie/bill-gates%E2%80%AF-faux-robin-des-bois-mais-vrai-requin/). Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir...

 

LE CLIN D'OEIL DE VALERIE !

Il est urgent, pour se protéger du COVID19 d'éteindre sa télé, sa radio, à quelques exceptions près (ma sélection TV quotidienne vous suggère des programmes à la fois instructifs et dépaysants, pensez-!), de ne surtout pas croire tout ce qui se dit et d'observer la plus grande méfiance envers les médias en général. Il est impératif de réveiller ses neurones (nous en sommes tous dotés mais ne les utilisons pas tous avec la même vigueur) et de se poser les bonnes questions en utilisant son bon sens, son instinct de conservation et son esprit de discernement, de se rapprocher de ses « semblables », de redécouvrir ainsi les joies du voisinage, voire de s'organiser pour la suite à travers une solidarité de groupe dont la famille constitue le premier noyau. Utilisons enfin les chemins de traverse plutôt que les grands axes, et les circuits alternatifs plutôt que la grande distribution. Et mettons-nous en mode survie.

 

SEQUENCE NOSTALGIE :

Qui ne se souvient-il pas d'Arsène Lupin (https://youtu.be/lfByOe2IPeE et https://youtu.be/xjZ634S-MNg) , ce personnage créé par Maurice Leblanc en 1874 ? Ce gentleman cambrioleur qui dupait admirablement son monde et fit les beaux jours de la deuxième chaine de télévision française (https://dai.ly/x6swxq) resurgit cette semaine. Notre homme, assisté de son célèbre Grognard, donna du fil à retordre aussi bien à la comtesse de Cagliostro, à l'inspecteur Ganimard ou au détective Herlock Sholmès. Je me souviens de m'être bien souvent installé confortablement devant la lucarne pour savourer l'un de ces 26 épisodes (https://youtu.be/VqXWEy_qHvQ?list=PLQVhT6gWFDmIhy_42ujTNp8SRXxU3pRgi) croustillants de cambriolage, sans effusion de sang, sans violence, mais avec cette élégance qui caractérisait cette France de la Belle Epoque et des Années Folles.

 

HISTOIRE DE RIRE ENCORE...

L'histoire du confinement marseillais avec fermeture totale des hôtels, restaurants, bars, cafés et brasseries, traiteurs et discothèques a des relents de vengeance des élites parisiennes vis à vis d'une cité antique. Et le football n'est pas le seul sujet de rivalité entre Paris et Marseille, pas plus que la théorie du Professeur Didier Raoult concernant le COVID et qui ne plait pas en haut-lieu. Jadis pillée par les Francs (qui conquirent la Provence en 740), puis occupée en 1252 par Charles d'Anjou, la cité phocéenne, celle « qui refuse d'être mise au pas », n'appréciera guère l'uniformisation du territoire français décrétée par la Révolution française. Et la Convention de débaptiser alors temporairement Marseille pour l'appeler « ville sans nom » du 6 janvier au 12 février 1794, en punition de son implication dans un mouvement fédéraliste. C'est dire si, à l'image de sa voisine corse, Marseille, l'ancestrale et indépendante cité n'est pas du genre à s'en laisser conter : ainsi, face à l'intransigeance d'un pouvoir central, l'UMIH demande à tous les professionnels et leurs salariés de ‘faire du bruit’ devant leur établissement depuis vendredi dernier à 11h45 et chaque vendredi ‘aussi longtemps que nécessaire’. Les Marseillais ne manquant ni d'humour ni de courage ont mis au point pour l'occasion un hashtag (#laisseznoustravailler) et une chanson (https://youtu.be/BP-WeOtNgL0). Et pourquoi pas mettre à table celles et ceux qui sont à l'origine de cette fermeture généralisée, pour une bonne soupe à la grimace? (https://youtu.be/cE_hHaIoB4g) ?

Thalys et son offre Corporate : Dans le but de soutenir entreprises et agences de voyages, Thalys lance pendant tout le mois d’octobre une offre « Corporate » accessible à toutes les entreprises.Désormais accessible sans seuil d’entrée et sans engagement, le programme Thalys Corporate Fares propose des réductions de tarifs sur trois routes au choix dans son réseau : 10% de réduction sur le prix de référence en Premium, 8% de réduction sur le prix de référence en Comfort et 5% de réduction sur le prix de référence en Standard. Le programme permet aux entreprises de bénéficier de plusieurs services d'après-vente notamment l'accès à des billets 100% remboursables jusqu’au lendemain du voyage, des billets échangeables sans limite avant le départ ou encore l'accès aux salons de Bruxelles-Midi et Paris-Nord.

En cette rentrée, et après avoir fêté son premier anniversaire au mois de juillet, Citéco présente sa programmation culturelle d'automne. Cette nouvelle saison intitulée « Bulles », est l'occasion de prendre part aux nocturnes, conférences et événements proposées au sein de l'hôtel Gaillard, magnifique hôtel particulier de style néo-renaissance classé Monument historique. Le 10 octobre prochain, CITECO vous convie à 15h00 à une conférence : Déglobalisation , nouvelle mondialisation : la pandémie peut-elle bouleverser l'ordre économique international ? La pandémie de Covid 19 a bouleversé le monde entier et il est entendu, dans la bouche des gouvernants, spécialistes et journalistes, qu’en parallèle de la crise sanitaire généralisée, nous courrons vers une crise économique et sociale grave. Alors y aura-t-il un avant et un après Covid-19? De quelle façon l’épidémie a-t-elle déstabilisé la marche des pays et des citoyens ? Pour certains, il devient indispensable de changer les règles du jeu de la mondialisation, de démarrer une nouvelle ère de coopération européenne et mondiale. Pour d’autres, cela est impossible ou beaucoup trop difficile. Explications et éclairages avec le regard de deux économistes. Entrée gratuite mais réservation conseillée (www.citeco.fr)

Week-end événement au Jardin des Plantes du Muséum national d'Histoire naturelle de Paris (5è) les 10 & 11 octobre : le samedi, on se posera la question de savoir comment interagissent santé environnementale, santé humaine et santé animale? Quels enjeux à l’échelle individuelle ou collective ? Par le biais d’un format interactif, alternant mises en situation et discussions, les experts apporteront en direct des réponses à ces questions relatives à la santé. Une Tribune junior sera proposée le matin. https://www.mnhn.fr/fr/visitez/agenda/evenement/tribune-junior-mission-sante

IATA demande la mise en place systématique de tests de dépistage au départ pour tous les voyageurs internationaux. L'objectif pour les compagnies aériennes serait de faire sauter les restrictions de voyages et les mesures de quarantaine mises en place par les pays. Les voyages internationaux sont en baisse de 92 % par rapport à 2019 rappelle l'association.

« La clef d’une restauration de la liberté de mouvement aux frontières réside dans le dépistage systématique de la COVID-19 chez tous les voyageurs au moment du départ. Cela redonnera aux gouvernements la confiance nécessaire à l’ouverture de leurs frontières sans recours à des modèles de risque complexes qui entraînent des changements constants dans les règles applicables aux voyages. Tester tous les passagers rendra aux gens leur liberté de voyager en toute confiance. Et cela ramènera des millions de personnes au travail », précise Alexandre de Juniac, directeur général et chef de la direction de l’IATA

L’IATA demande "le développement d’un test satisfaisant les critères de vitesse, d’exactitude, d’abordabilité et de facilité d’utilisation qui pourrait être administré systématiquement sous l’autorité des gouvernements selon des normes internationales agréées".

« Cosquer: la grotte, l'homme, les animaux » à suivre sur YouTube, en direct, le 7 octobre 2020, de 8h30 à 17h00: En attendant l’ouverture de la réplique de la Grotte Cosquer prévue en juin 2022 à Marseille, la société Kléber Rossillon et la Région Sud, en collaboration avec le comité scientifique État-Région et le Ministère de la culture, réunissent de nombreux scientifiques internationaux et acteurs du projet pour une journée de partage des connaissances intitulée : « Cosquer : La grotte, l’homme, les animaux ».Cette première "Rencontre Cosquer" permettra de faire un point sur la recherche en cours par une approche interdisciplinaire (archéologique, éthologique, écologique et paléontologique), pour mieux appréhender le comportement des humains et projeter notre regard sur la biodiversité de la Méditerranée du Paléolithique disparu. Ouvert à tous - scientifiques, étudiants, professionnels, amateurs passionnés de préhistoire, d’histoire naturelle et de questions environnementales - ce rendez-vous initialement prévu à Marseille se déroulera, en raison des conditions sanitaires actuelles, à distance et sera accessible en direct sur la page Youtube de la Grotte Cosquer :  https://bit.ly/youtube-cosquer

Limitation, peine d'isolement,réclusion, emprisonnement, détention, restriction, garde à vue...tant de mots pour la même peine : le confinement. Les Suisses, qui sont comme nous épris de liberté ont aussi reçu l'ordre de restreindre leurs déplacements. Durant le semi-confinement, Marko Stevic a arpenté les rues de Lausanne pour en photographier les personnages aux fenêtres et éditer le livre « Be my quarantine ».

L’addition de tous ces portraits par les deux auteurs de cet ouvrage, à savoir Marko raconte avec un peu de légèreté l’universalité de la situation : de Bangkok à Berlin, en passant par Niamey ou Cudrefin, riches, pauvres, jeunes, vieux, femmes, enfants et hommes ont été obligés d’arrêter de gesticuler. Leur rôle s’est réduit à des apparitions au balcon. Balcony time, en anglais, signifie faire une pause et prendre du recul. C’est ce que propose la série de photos du jeune photographe suisse. Réalisée d’en bas, elle offre un peu de hauteur sur cette période hors norme. Les drames sanitaires ou économiques sont suggérés à l’aide de banderoles accrochées aux fenêtres. Pour le reste, la vie continue en s’arrêtant. Cet inventaire raconte aussi la diversité humaine, architecturale. Les images défilent et vous remarquez les différences entre elles. Votre œil gambade et votre cerveau compare, tisse des liens, imagine des histoires. Marko Stevic et Caroline Stevan sont ainsi parvenus à témoigner de cette période inédite que fut le confinement, tout en illustrant leurs textes à l'aide de photos très graphiques, esthétiques, originales et symboliques dévoilant une autre facette de ce confinement, des clichés avec des personnages souriants. 208 pages, 29€. Editions Helvetiq https://www.helvetiq.com

Bientôt une Micro-folie à Nice (06) : les Niçois pourront dans le futur accéder numériquement à tout ce que la culture française a fait de plus beau et sublime. Installé au cœur du vieux Nice, l'endroit offrira sur 300 m2 une multitude d'équipements innovants, dont un musée numérique (donnant accès à des milliers de trésors culturels numérisés en très haute définition), un FabLab (atelier de fabrication numérique) et un espace dédié à la réalité virtuelle (contenus immersifs à 360°...). A suivre...

Prolongation de l'opération « Chartres en lumières », jusqu'au 3 janvier 2021.

Le Centre des monuments nationaux est heureux de vous présenter le salon de Madame restauré dans le parc du château de Champs-sur-Marne (77) : Afin de mettre en lumière cette structure représentative de l’art du treillage remis à l’honneur au tournant du 20è siècle par les derniers propriétaires du château, la famille Cahen d’Anvers, le Centre des monuments nationaux a établi un travail de restauration du portique et du mobilier du salon de Madame dans le parc du château de Champs-sur-Marne en se basant sur les archives des années 1930.La restitution du salon permettra aux visiteurs de découvrir cet espace méconnu du parc et d’apprécier cette architecture à la mode dans les jardins du 18è siècle.

Conçus dans la première décennie du 18è siècle –en même temps que l’édification du château –par Claude Desgots, petit neveu d’André Le Nôtre, les jardins du Domaine de Champs-sur-Marne ont été plusieurs fois remaniés au cours de leur histoire, et en particulier au 19è siècle. Entièrement restaurés et recomposés entre 1895 et 1910 à l’initiative de Louis Cahen d’Anvers et sous la direction d’Henri et Achille Duchêne, ils ont retrouvé un dessin et une composition fidèles à l’esprit de leur conception d’origine. Ils sont aujourd’hui un précieux témoignage de l’art des jardins à la fin du règne de Louis XIV, époque où les ouvrages de treillage connaissent un regain de mode. Développé jusqu’à la fin du 18è siècle, l’art du treillage s’est raréfié au siècle suivant. Au tournant du 20è siècle, les ouvrages de treillage sont remis à l’honneur avec la restauration de nombreux parcs et jardins de l’époque classique. Les Duchêne père et fils en sont les principaux (re)créateurs et le salon de Madame, l’un des premiers du genre. Constatant l’état très préoccupant du portique et sa dégradation évolutive, le Centre des monuments nationaux a engagé en 2018 une étude de diagnostic préalable à la restauration du salon de Madame.Pour ce faire, l’ensemble de l’ouvrage a été démonté et le mobilier emporté, la restauration ayant eu lieu intégralement en atelier. La globalité de l’opération aura coûté près de 710 000 euros. Après un peu plus d’un an de travail, la restauration est désormais achevée.

Le salon de Madame est orné d’un ensemble composé de quatre bustes représentant les Quatre Saisons, en marbre blanc sur gaines de marbre rose, devant le treillage, et de deux sculptures en pied, Apollon, citharède, et Antinoüs ou Mercure, de part et d’autre du parterre. Depuis 2011, une campagne de constats d’état des sculptures de jardin a été lancée, permettant l’entretien courant et la programmation des restaurations. Sur ces œuvres, on remarque les dégradations fréquentes des sculptures en plein air, colonisation biologique, salissures et dépôts sulfatés, fissurations et parfois ruptures structurelles.L’intervention a consisté en un traitement biocide, à un nettoyage, et aux consolidations et traitement des éléments métalliques d’assemblage. L’éclat et la polychromie des marbres ont retrouvé le contraste d’origine avec la végétation et les parterres, si important dans ce jardin conçu pour les Cahen d’Anvers. Château et parc de Champs-sur-Marne, 31 rue de Paris à Champs-sur-Marne (77) Tél. 01 64 62 74 42. https://www.chateau-champs-sur-marne.fr/

Le nouveau livre de Ania Pamula et Dorothée Saada, « Mamans du Monde », s'attarde tout à la fois sur la maternité, l'éducation et l'expatriation : grossesse, accouchement, et premiers apprentissages de la vie, autant de sujets au travers des témoignages de 90 mères de toutes origines qui partagent pour vous conseils et expériences. Vous découvrirez ainsi ces coutumes du monde entier (Europe, Afrique, Moyen-Orient, Asie...) qui sont autant de sources d'inspiration pour changer l'habituel regard porté sur la condition des femmes et l'éducation des enfants. Au menu : remèdes insolites, témoignages, conseils pour agir, anecdotes sur les modes de vie singuliers de ces mamans et des rites ancestraux. « Mamans du Monde » de Ania Pamula et Dorothée Saada (F1rst Editions)- 14,95€ https://www.lisez.com/first-editions/livres/28

La ville de Paris (75) présente l'exposition « Le Rire de Cabu » du 9 octobre 2020 au 9 janvier 2021, à l'Hôtel de Ville de Paris, Salle Saint-Jean : par sa liberté d'esprit, par son humanisme et par les convictions qu'il a portées à travers ses dessins, Cabu a été un observateur amusé mais aussi un chroniqueur sévère et visionnaire de notre société et de nous tous ! Faire rire, faire réfléchir, telle est la mission de Cabu et des dessinateurs de presse qui sont les garants courageux de la liberté d'expression et contribuent à préserver la santé de nos démocraties lorsqu'elle est menacée.Il existe un lien profond et enchanté entre Paris et Cabu, et même au-delà, entre la France et Cabu. Avec cette première grande rétrospective autour de l'œuvre de Cabu depuis son assassinat dans les locaux de Charlie Hebdo le 7 janvier 2015, les Français pourront retrouver l'œuvre de celui qui a su si bien croquer notre époque. À travers 350 dessins originaux, les visiteurs pourront prendre la mesure d'un esprit et d'un talent exceptionnels. Ces œuvres ont accompagné pendant plus de 60 ans des générations de lecteurs et de téléspectateurs. Un catalogue de l'exposition est disponible (Éditions Michel Lafon, 192 pages - 20 €). https://quefaire.paris.fr/leriredecabu

Cette semaine, L'Irlande vous invite à découvrir ses producteurs locaux : https://www.ireland.com/fr-fr/activit%c3%a9s/boire-et-manger/articles/taste-the-island/

La Thaïlande au féminin : Voyager seule peut parfois dissuader de partir à l'autre bout du monde. Pour remédier à cela, et inviter les voyageuses à venir en nombre, l'Office National du Tourisme de Thaïlande ne manque pas de conseils et d'idées d'activités destinées plus particulièrement aux femmes. Des opportunités comme la conquête des montagnes, avec des expéditions possibles jusqu'aux sommets du Doi Chiang Dao, dans le parc national Pha Daeng, ou encore du Khao San Nok Wua, dans la province de Kanchanaburi ne se refusent pas. Ou encore, Plus reposant, des séances de méditation sont également possibles, aussi bien au Dhamma Simanta, à Lamphun, qu'au vieux temple bouddhiste Wat Yannawa de Bangkok. Relaxation toujours, avec de nombreux sites permettant de s'initier au yoga, comme le Kamalaya Wellness Sanctuary And Holistic Spa Resort de Koh Samui ou le Thanyapura Health & Sports Resort de Phuket. Bien des activités emblématiques de la Thaïlande peuvent donner envie aux plus baroudeuses de s'immerger encore un peu plus dans la vie locale. Cap sur les différents villages du pays, où les habitants partagent avec plaisir leur amour de la culture, de l'agriculture ou de la pêche, à l'instar du district de Pathio (province de Chumphon) ou de la communauté de Sila Petch, au cœur de la province de Nan. Pour en savoir plus, les guides réalisés à destination des voyageuses ne manquent pas. Du « Me, myself and Thaïland » au « Rhythm of Lady Traveller », les voyageuses pourront trouver des centaines d'idées pour bien préparer leur séjour, qu'il s'agisse d'itinéraires, de bonnes adresses ou tout simplement de lieux à ne pas manquer. https://tourismproduct.tourismthailand.org/lists?types=8

Archives numérisées en libre accès en Finistère (29) : Le Conseil départemental met à disposition du public, via le site internet des Archives, un espace dédié comprenant les 400 numéros de la revue de Bodadeg ar Sonerion Ar Soner et plus de 1000 heures d’écoute d’enregistrements de concours de musique bretonne. Le travail de numérisation des collections effectué par les Archives départementales constitue une véritable banque de données et contribue à la mise en valeur du patrimoine oral et écrit de la culture bretonne. Une heureuse initiative... https://www.archives-finistere.fr

Le tourisme 2020 en huit chiffres : -65% d'arrivées de touristes internationaux au cours du premier semestre (données OMT), -66% de baisse des arrivées de touristes durant le premier semestre en Europe, deuxième région du monde la plus touchée par le COVID, 460 milliards de dollars, montant des pertes de recettes (exportations du tourisme international)sur la période janvier-juin 2020, 53% seulement des destinations ont assoupli leurs restrictions sur les voyages début septembre, 2,5 à 4 ans, est le temps qui devrait s'écouler avant de revenir aux niveaux de 2019 en termes d'arrivées de touristes dans la monde, 50 à 60 milliards d'euros représentent les pertes potentielles de recettes touristiques globales estimées en France sur 2020 d'après Atout France, -90% est le recul des opérateurs de voyages et de séjours (source : Atout France) et 70%, temps de travail actuellement chômé par les salariés du secteur du tourisme.

A la découverte de la Bohême centrale : capitale de la République tchèque, Prague est le lieu idéal pour des vacances en famille, en couple et même en solitaire. La vieille ville de Prague figure parmi les plus beaux centres historiques d’Europe et offre au visiteur ébahi le panel de tous les styles d’architectures possibles (baroque, gothique, art nouveau et même cubisme) dans une ambiance toujours aussi pleine de charme et de magie. Le pont Charles, tout comme le château de Prague ou encore la Place Venceslas ont vu défiler toutes les grandes époques de l’histoire européenne. S’ils en portent les couleurs jusqu’à nos jours, ces lieux chers aux touristes ont aussi été pour les tchèques les épicentres d’événements marquants de l’histoire récente.

Prague, située en plein coeur de l’Europe, est devenue une cité moderne, avec ses quartiers excentrés en plein essor où foisonnent lieux culturels, boutiques en tout genre, galeries d’art, restaurants et cafés contemporains, pour un subtil mélange entre culture locale et ouverture sur le reste du monde… Des marchés bio, des cuisines du monde entier ou bien encore la douceur des terrasses et des étendues des nombreux parcs de la ville, tout vous subjugue instantanément, tant c’est beau et simple.

La Bohême centrale entoure la ville de Prague qu’il nous faut bien quitter pour découvrir cette région connue pour ses châteaux - forts, sa douceur de vivre et le charme de ses campagnes. Le train est en République tchèque un moyen de transport très commun, encore largement utilisé aujourd’hui par la population. Traverser les campagnes tchèques c’est comme traverser un immense jardin disait l’auteur Karel Capek, un jardin qui serait entretenu par ses habitants. L’idéal étant d’arpenter au petit matin les rues du village de Kartstejn qui conduisent jusqu’au célèbre château édifié par l’empereur germanique et roi tchèque Charles IV (sous qui fût construit le pont qui porte son nom), de pénétrer dans les salles grandioses de la couronne puis de méditer dans l’exquise chapelle où le temps s’arrête...
Pour les aventuriers et les curieux qui souhaitent pousser plus à fond l’expérience, les environs du château de Karlstejn, bien connus des tchèques et absolument méconnus des étrangers ont aussi leurs attraits comme cette ancienne carrière convertie en plan d’eau surnommée en toute modestie la “Grande Amérique” (lom Velka Amerika) , laquelle rejoint, à travers les bois, l’église de Svaty Jan pod Srbskou, lieu de pèlerinage très bien connu des pragois. https://www.visitczechrepublic.com/en-US

 

Goyav : Le premier carnet de voyage collaboratif "nouvelle génération" qui permet aussi de réaliser des économies : Émeline, Gabriel, Claude, Adeline... et toute la communauté Goyav, qui compte déjà plus de 1 500 membres, partagent avec les lecteurs leurs témoignages, leurs bons plans, leurs photos, les adresses à ne pas manquer... et tout ce qui fait le sel des excursions réussies. Tous profitent d'une visibilité optimale puisque chaque contenu est épinglé sur la destination correspondante dans le blog collaboratif. De plus, selon la volonté de l'auteur, chaque publication peut aussi être partagée sur les réseaux sociaux (Facebook & Instagram). Pour participer et devenir à son tour contributeur, rien de plus simple : il suffit de s'inscrire gratuitement ! Trois types de publications sont proposés : le Carnet de voyage (un voyage détaillé étape par étape), la Randonnée et le Lieu coup de cœur (adresse, activité, incontournable, insolite...)

Raconter ses excursions, des plus petites aux plus grandes, enrichit la communauté Goyav : grâce aux contributeurs, celle-ci profite d'une porte ouverte sur le monde, de retours d'expériences et de conseils qui ne se trouvent nulle part ailleurs. Ainsi, pour remercier les voyageurs de leur générosité, Goyav leur propose de réaliser des économies sur leurs achats liés au voyage. Le concept fonctionne selon le mécanisme du "cashback": pour chaque achat réalisé via les liens présentés sur le site, les membres obtiennent un remboursement partiel. Et dès 10€ cumulés, ils peuvent récupérer l'argent contenu dans leur cagnotte. Pour aller encore plus loin et augmenter le montant des remboursements, il y a une astuce : publier du contenu sur le site. Chaque blogueur peut ainsi cumuler des Goyavs qui seront ensuite échangés contre des commissions plus importantes sur les offres de cashback (jusqu'à 70%). Et en guide de bienvenue, trois euros sont offerts à l'inscription.

Thibault Lefebvre, fondateur du site Goyav, adore partir seul à l'aventure. Thibault a d'ailleurs vécu un an aux USA, dans l'Ohio, lorsqu'il avait 17 ans, avant de passer le bac. Mais son grand amour, c'est avant tout la Corse : depuis son plus jeune âge, il s'y rend chaque été à la recherche des plus belles randonnées. C'est d'ailleurs lors d' un séjour dans l'Ile de Beauté que lui est venue l'idée de donner naissance au concept Goyav . https://guide-goyav.com/

 

Les professionnels lotois satisfaits de leur saison estivale

Une météo au beau fixe, des touristes français qui sont restés dans l'hexagone, une crise sanitaire qui a visiblement favorisé les destinations de tourisme rural, etc... Les professionnels lotois dressent un tableau positif de leur saison estivale. En témoignent les principaux retours de l'enquête de Lot Tourisme pour le mois d'août :Le niveau d'activité a été jugé supérieur ou égal à août 2019 par 83% des personnes interrogées. La moitié des répondants hôteliers et près des deux tiers des chambres d'hôtes considèrent que ce mois d'août a été supérieur à l'an dernier. Pour 62% des sites de visites ou prestataires d'activités, le mois d'août a été meilleur que 2019. Les propriétaires de gîtes et locations, eux, considèrent à hauteur de 74% que le mois d'août fut équivalent à 2019. Le relais des gites de France du Lot a d'ailleurs enregistré un taux d'occupation record de 86% en août (+5 points). La clientèle parisienne (et plus largement francilienne) fut bien présente en août. Enfin, le Lot a sans doute accueilli des clientèles nouvelles, plutôt adeptes de vacances à l'étranger ou sur le littoral, qui ont fait le choix de vacances moins loin et plus « sécurisées », qui ont découvert le Lot pour la première fois et pourraient, pour une partie d'entre eux, garder l'idée de revenir. Pour le mois de juillet, cette même étude dressait également un bilan positif malgré le peu de touristes étrangers, en insistant sur un retour des touristes franciliens dans le Lot, de vacanciers de proximité nombreux dans l'hôtellerie de plein air, et d'une clientèle familiale bien présente en hôtellerie. https://oh-my-lot.fr

Ce 7 octobre, Patrick Baud publie « Etranges Escales » (Editions Dunod) : Londres, Rome, New York, Tokyo, Paris, Prague, Berlin... peut-être avez-vous déjà eu la chance de visiter ces grandes villes. Mais peut-être pas comme l'a fait Patrick Baud, créateur de la communauté Axolot et dénicheur passionné de lieux insolites. Insatiable curieux, Patrick Baud vous emmène à la découverte de plus de quatre-vingts lieux à explorer à travers le monde.Peut-être pensez-vous que l'on a déjà tout dit de ces villes magnifiques ? Cet original carnet de voyage, enrichi d'un précieux carnet d'adresses et de photos inédites vous révèlera pourtant quelques secrets bien gardés! Auteur, animateur et vidéaste depuis plus de dix ans, Patrick Baud partage sa passion pour les histoires extraordinaires, les merveilles et les curiosités du monde à travers divers supports : radio, blog, livres, bandes dessinées, conférences, vidéos...Sa chaîne Youtube « Axolot », créée en 2013, compte aujourd'hui plus de 600 000 abonnés. Il est l'auteur de Lieux secrets, de Terre Secrète et de Nature secrète. « Etranges Escales », 144 pages – 19,90€.

Des visites guidées à distance, comme si vous y étiez, c’est enfin possible avec My Tour Live : Aujourd’hui, de plus en plus de contenus culturels et touristiques, sont consommés via des outils digitaux. Les Français aiment la culture et adorent faire des découvertes ! Pendant le confinement, nombreux sont ceux qui ont éprouvé un sentiment de manque lié à l’absence de sorties culturelles et touristiques. Alors pour compenser cette absence de loisirs, ils ont eu recours aux ressources en ligne (médias, contenus culturels & de divertissement en ligne). C’est pour permettre à tous les Français de visiter des lieux culturels et touristiques que My Tour Live innove en proposant un catalogue de visites guidées à distance, comme si on y était ! Visite de la Tour Eiffel, du quartier du Panier à Marseille, d’un élevage de lamas dans le Var, du centre historique de Tachkent... My Tour Live propose une grande variété de visites et compte développer son offre dans les mois à venir. Il existe deux possibilités pour assister aux visites guidées : • Soit une visite en “replay” ; • Soit une visite immersive et interactive avec un guide-conférencier en direct. Côté technique, c’est très facile : il suffit de se connecter à un lien, qui donne accès au visionnage, ainsi qu’aux échanges avec un guide-conférencier. Le prix est lui-même très attractif : certains « replays » sont gratuits, et pour les autres, il faut généralement compter entre 3€ et 13€ (pour une visite immersive en direct). Qui n’a jamais rêvé de se “téléporter” ailleurs d’un simple claquement de doigts? Visiter une plage paradisiaque et des îles de sable blanc, découvrir des chefs d’œuvre dans un musée parisien, s’émerveiller au cœur de monuments mythiques en France ou à l’étranger?... Malheureusement, voyager n’est pas à la portée de tous : éloignement, coût, santé... de nombreuses raisons empêchent les Français d’aller visiter tous les sites qu’ils aimeraient connaître. C’était vrai avant, et cela l’est encore plus depuis la pandémie de Covid-19. D’où l'intérêt de l’innovation My Tour Live ! Pour se faire plaisir toute l’année, apprendre, s’inspirer, élargir son horizon et oser sortir des sentiers battus: https://mytourlive.co/

Avions de ligne et ...oies sauvages : Le vol d’avions de ligne en formation en s’inspirant des oies sauvages pourrait permettre d’économiser 5 à 10% de carburant, selon Airbus qui a annoncé mercredi la signature d’un accord avec des compagnies aériennes et des organismes de trafic aérien pour en démontrer la faisabilité opérationnelle. Chaque moteur d’avion produit dans son sillage un vortex contenant un courant d’air ascendant dont pourrait bénéficier un avion suiveur pour réduire la poussée de ses moteurs et donc réduire sa consommation. En 2016, un vol d’essai avec un A350 volant trois kilomètres derrière un A380 a "démontré une économie instantanée de plus de 10% sur la consommation de carburant" précise Jean-Brice Dumont, directeur de l’ingénierie chez Airbus, en rajoutant que "Les oiseaux comme les oies sauvages volent en formation en forme de V afin de préserver leur énergie, il y a une sorte de portance offerte par l’oiseau de tête à ceux qui suivent". Astucieux !

Escapade corrèzienne (19) : Brive-la Gaillarde est connue pour son célèbre marché sous la halle Georges Brassens, qui se tient trois fois par semaine, le mardi, le jeudi et surtout le samedi. Au détour des allées, on découvre la nature profonde du marché, cher au cœur des Brivistes. Depuis toujours, Brive se trouve au cœur d’un tissu rural constitué de petites vallées irriguées où l’on produit fruits et légumes. C’est aussi un nœud ferroviaire, au carrefour des axes Paris-Toulouse et Bordeaux-Lyon. De quoi drainer vers la cité tous ces pétarous (paysans-jardiniers) de proximité. Ici, on trouve les myrtilles de Vignols vendues par Ginette, les pommes tardives Sainte-Germaine et les concombres tordus de Paul, un papy de Mansac, sans oublier les haricots mangetout.

En saison, on achète fraises gariguettes, noix, châtaignes, cèpes… Sans parler des truffes du Causse corrézien, du cabécou de Rocamadour et des volailles. Cinq fois par an, entre novembre et mars, se tiennent ici les foires grasses : foies de canards, d’oies et bêtes entières s'échangent alors. Parmi les autres spécialités locales, figurent la crème fraiche de la Fromagerie Varsoise, fabriquée par la laiterie de Vars-sur-Roseix, à 20 km de Brive. Le bœuf limousin des sœurs Bach a aussi sa place sur les tables corrèziennes. Une visite s'impose également à la distillerie Denoix, spécialiste de la liqueur de noix depuis 180 ans, et autre pilier du savoir-faire briviste du vieux Brives : la cité est formée d'un noyau urbain inséré dans un boulevard circulaire tracé sur d’anciennes fortifications du 14e siècle. Au centre, les rues principales convergent vers la collégiale Saint-Martin, vaste édifice maintes fois remanié. De-ci, de-là, se dressent quelques hôtels particuliers en grès avec leurs tours de noblesse, comme les maisons Treilhard et Maillard-Quinhart. Outre l’hôtel de ville, installé dans l’ancien collège des Doctrinaires (17e s.), les deux plus beaux édifices sont le musée Labenche et la Maison Cavaignac. Le premier occupe une splendide demeure Renaissance tandis que le second est l’ancien logis du couvent des Clarisses. Et si vous alliez passer un weekend en Corrèze...https://www.brive-tourisme.com/

Parmi mes souvenirs de mes dernières vacances bretonnes, voici Saint-Renan, cité médiévale finistérienne classée parmi les 100 plus beaux détours de France. L'endroit offre un joli petit musée recelant bien des trésors historiques.

Yves

Classement des dix premiers pays qui ont visité ce site la semaine dernière : 1) France 2) Etats-Unis 3) Belgique 4) Canada 5) Allemagne 6) Royaume-Uni 7) Argentine 8) Suisse 9) Chine 10) Portugal

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Saint-Renan (Finistère, France)

Sachez-le, Saint-Renan, cité médiévale située dans le Finistère et classée parmi les 100 plus beaux détours de France, vaut en effet la peine qu'on s'y arrête. Marie et moi faisons une halte au Musée du Ponant, lequel permet aux visiteurs d'en apprendre davantage sur l'histoire de ce petit village dont on suppose que la première implantation humaine aurait eu lieu grâce à l'exploitation de gisements d'étain dès l'Age du Bronze ancien (...)


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