Les moulins au vent mauvais...qui rendent les Français verts de rage !
Je ne sais pas si vous êtes au courant mais les éoliennes sont préjudiciables à la santé des populations alentours. Loin de vouloir amener de l'eau à votre moulin, je me contente de surfer sur l'opinion générale qui s'interroge sur le bien-fondé écologique d'éoliennes géantes qui se font la plupart du temps porter « pâle » au lieu de produire l'électricité tant attendue. Un rapport du Sénat datant de 2012 (https://www.senat.fr/questions/base/2012/qSEQ12070016S.html) se préoccupait déjà du forcing opéré par les investisseurs pour décrocher les permis de construire de leurs moulins à vent malgré l'avis défavorable des communes concernées. Et de faire peu de cas de la santé des riverains qui subissent les nuisances sonores et physiques, sans parler des aléas financiers (perte de valeur du patrimoine immobilier) et visuels (sabotage définitif des paysages) que ces grands mats blancs occasionnent. Tout çà pour quoi ? La commune ne perçoit que 20% de l'imposition forfaitaire sur les entreprises de réseau (contre 50% pour les établissements publics inter-communaux et 30% pour les départements). Autre problème : l'absence de distance minimum d'implantation des éoliennes par rapport aux habitations (de 500 mètres chez nous...à 1500 mètres en Allemagne!)
En fait, il s'agirait d'une affaire de gros sous puisque ces contrats juteux feraient tout pour décrocher le pompon (plus de 80 milliards d'euros offerts en France pour cette seule énergie!), soit 1000€ (par ménage et par an), de surcroit accordées à des constructeurs étrangers. Rappelons que si notre pays compte actuellement moins de 8000 éoliennes, 10000 autres sont toujours en projet...
Au chapitre sanitaire, les plus sensibles souffrent du syndrome éolien (insomnies, acouphènes et maux de tête) provoqué par les sons à basse fréquence émis par les éoliennes. Des sons, certes inaudibles mais bel et bien nocifs (car ressentis par l'organisme tout entier), sont émis jusqu'à plusieurs kilomètres à la ronde. Et l'Académie de médecine ainsi que l'ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaIre de l'alimentation, de l'environnement Et du travail) de considérer que la défiguration du paysage par ces engins pouvait aussi être considérée comme une nuisance sanitaire. Dans le même village de Rouans (44), ce sont 22 cas de cancer pédiatrique qui sont signalés en cinq années, depuis le raccordement des éoliennes à proximité de lignes à haute tension. Depuis 2015, cinq enfants sont décédés à Sainte-Pazanne (44) et dans les alentours à la suite de tumeurs au cerveau. Malgré cela, l'enquête publique sur le projet de construction d'un parc éolien dans ce même village a débouché, en juillet dernier, sur un avis favorable à condition toutefois de lever trois réserves dont une sur...les risques pour la santé des riverains. Divulgation tardive des résultats de l'enquête par les autorités (données cartographiques sur les cancers dans cette région) et création d'une commission d'enquête sur la santé environnementale laissent penser qu'il y a un réel problème. A l'échelle nationale, des milliers de plaintes font état de plus de 200 traumatismes référencés (dont de nombreux problèmes endocriniens et cardio-vasculaires occasionnant tachycardie, crises de panique et état anxio-dépressif (https://www.mezencexceptionnel.fr/pour-une-gestion-responsable/lenergie/leolien/eoliensante/)
Mortalité animale en (très) forte hausse, avec 18 millions d'oiseaux tués chaque année par les 18000 éoliennes espagnoles (https://www.seo.org/2012/01/12/seobirdlife-presenta-una-nueva-guia-para-la-evaluacion-del-impacto-de-parques-eolicos-en-aves-y-murcielagos/).Chez nous, une éolienne sur vingt est installée dans une réserve classée Natura 2000 et l'on relève une mortalité des oiseaux deux fois plus importante qu'ailleurs. Ne parlons pas des oiseaux estropiés, parmi lesquels des espèces protégées de rapaces (aigles, milans, faucons...) qui sont déchiquetés par les pales des éoliennes. Ni du stress accru provoqué par ces engins sur les troupeaux de bovins, un stress affectant la qualité du lait...ou tuant carrément les pauvres bêtes.
Littoral saccagé par « les moulins à vent » : les implantations éoliennes en mer et les projets français actuels confisqueront à terme près de 500 km2 de zones de pêche à nos marins-pêcheurs. Rien qu'au Tréport, le rendement de certains marins-pêcheurs a baissé de moitié (https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/somme/eolien-offshore-dieppe-treport-plateforme-forage-fait-fuir-poisson-1569992.html), menaçant pas moins de mille emplois sur cette seule commune. Sans parler des paysages gâchés à jamais par cette forêt de mats blancs au-dessus de l'eau.
Productivité plus qu'erratique : le développement des éoliennes est, dit-on, profitable pour tous et écologique car le vent est une ressource gratuite et renouvelable. Oui, mais, ce vent ne souffle pas en continu et des études ont montré que des éoliennes ne peuvent en réalité fonctionner à plus de 20% de leur capacité de production (https://bilan-electrique-2018.rte-france.com/wp-content/uploads/2019/02/BE-PDF-2018v3.pdf). Dans ces conditions, quid du bilan carbone de ces moulins à vent ? Si l'on considère qu'EDF doit installer des unités électriques près des éoliennes pour les dépanner, que l'énergie produite au cours d'une vie d'éolienne ne compense même pas l'énergie dépensée pour la construire, que le développement de ces éoliennes est entièrement dépendant d'usines fonctionnant aux énergies fossiles (donc polluantes!) (L'Allemagne qui compte sept fois plus d'éoliennes qu'en France émet en réalité dix fois plus de carbone pour son électricité!), que les hélices installées sur les turbines ne sont pas recyclables et génèrent de l'amiante si elles sont détruites, que les socles des éoliennes (qui comptent plusieurs milliers de tonnes de béton non recyclables) ne valorisent pas les sols, et que le démantèlement et le recyclage de ces engins relèvent de la responsabilité des communes (413000€ pour le seul démontage d'une éolienne!), ça fait cher le kilowatt-heure... !
LE CLIN D'OEIL DE VALERIE !
Le respect de la fonction commence par l'exemplarité. Nous avions déjà signalé un manque de respect de la part d'une patrouille de gendarmes l'été dernier à Locronan (29), l'un de ses membres m'ayant suggéré « de changer de lunettes si je n'y voyais pas clair », cette fois une autre patrouille oeuvrant du côté de Roissy-en-France (95) s'est hasardé à tutoyer un proche lors d'un contrôle de papiers. Que les choses soient claires ! Tout policier ou gendarme est soumis au Code de déontologie de la police nationale et de la gendarmerie nationale codifié au livre IV, titre 3, chapitre 4 de la partie réglementaire du code de la sécurité intérieure (https://mobile.interieur.gouv.fr/Le-ministere/Deontologie).
En l'occurrence, l'article R.434-14 (relation avec la population, évoquée au Chapitre 1er du Titre II) précise que : «Le policier ou le gendarme est au service de la population. Sa relation avec celle-ci est empreinte de courtoisie et requiert l’usage du vouvoiement. Respectueux de la dignité des personnes, il veille à se comporter en toute circonstance d’une manière exemplaire, propre à inspirer en retour respect et considération. ». Pour valoir ce que de droit.
SEQUENCE NOSTALGIE:
Vous souvenez-vous de « Heidi » ? Ce nom est celui de deux romans de Johanna Spyri, auteur suisse alémanique qui publia en 1880 et 1881. L'histoire est celle de Heidi, orpheline, qui va habiter chez son grand-père sur un alpage au dessus de Maienfeld dans le canton des Grisons, en Suisse, où elle devrait passer sa vie. Sa tante la laisse au grand-père avec soulagement, car la garde de l'enfant lui apparaît comme un fardeau. Elle s'empresse de repartir, laissant l'enfant et le vieillard ensemble. Bien que d'allure renfermé et rustre, le vieil homme finit par s'attacher à Heidi. Alors que la fillette a fini par apprivoiser son grand-père et qu'elle s'est acclimatée et a trouvé de nouveaux amis (le petit chevrier Peter et sa grand-mère), sa tante qui doit légalement l'élever revient la chercher pour vivre à Francfort-sur-le-Main en Allemagne, où elle doit tenir compagnie à Clara Sesemann, une parente des patrons de la tante de Heidi, paralysée. Mais Heidi est nostalgique de son alpage et tombe malade. Elle pourra finalement retourner chez son grand-père.
Cette jolie histoire fut déclinée sous la forme de films, séries TV,spectacle et bandes dessinée. Les nostalgiques regarderont le film « Heidi » (https://youtu.be/aLQO_C4c8nk) tournée en 1952, le premier épisode du feuilleton (https://youtu.be/sSj2cZsBOBs) et aussi la chanson de Heidi (https://youtu.be/FC7pDCDWhWM) entonnée par les Petits Chanteurs d'Ursy.
UN PEU PLUS D'HUMOUR :
J'ai retrouvé cette semaine la trace des jours heureux du couple royal formés jadis par Lady Diana et le Prince Charles : https://youtu.be/X0rjFk9A0KU ou https://youtu.be/4idD5Qa5Ig4 . Vous aurez bien sûr reconnu l'équipe de l'émission Nulle Part ailleurs, avec De Caunes/ Garcia de Canal+.
ACCELERONS NOS NEURONES :
Certes, la vie n'est pas un long fleuve tranquille et il faut souvent se battre pour faire avancer les choses. Mais voyez-vous, lorsqu'on prend le parti d'attaquer collectivement sur des thèmes pourtant sensibles, on arrive malgré tout à remporter des victoires : après avoir rejoint l'action collective contre le développement de la 5G (https://g5raisons.fr/) sans aucune concertation, le cabinet d'avocats MySmartcab (https://mysmartcab.fr/christophe-leguevaques/) en charge du dossier vient de nous faire connaître l'avancée encourageante de ce dossier (https://youtu.be/50hhDkUCQ0Y). Celles et ceux qui le souhaitent peuvent encore me rejoindre avec les autres plaignants. Plus nous serons nombreux et plus nous serons entendus, l'objectif étant de donner du poids à l'offensive contre la 5G qui sera renforcée avec notamment l'adresse d'une assignation, devant le juge judiciaire, d'Orange et Free, ainsi que de Bouygues et SFR dès que le groupe g5raisons.fr aura atteint les 7.500 citoyens.
Autre action en cours, celle de l'installation des compteurs Linky par ENEDIS. Et MySmartCab de rappeler que « Chaque consommateur, même non-victime des ondes, voit sa position renforcée contre ENEDIS, puisque la Cour écrit, noir sur blanc, qu'aucun texte réglementaire ou légal, national ou européen, ne lui impose l'installation de compteurs de type Linky. » La Cour d'appel de Bordeaux, en date du 17 novembre 2020, reconnaît dans une ordonnance le dommage imminent de treize personnes exposées aux rayonnements causés par LINKY et condamne la société ENEDIS à les protéger sous une forte astreinte. Une victoire pour les victimes d'électrohypersensibilité – défendues par MySMARTcab. Double victoire puisque cette cour reconnaît en plus, dans cette même décision, l'absence d’obligation à l'installation du Linky et épingle Enedis sur une fonctionnalité espionne introduite dans le Linky. Et de condamner Enedis à protéger les victimes, sous un délai de trois mois, sous peine d'une astreinte de 500 euros par jour et par point de livraison. Les plaignants avaient ainsi démontré « par la production de certificats médicaux précis et détaillés le dommage imminent constitué par les troubles auxquels elles sont exposées en raison des champs provoqués par le courant porteur en ligne (CPL), par lequel le compteur communique les données qu’il a collectées ». La Cour condamne ainsi la société commerciale Enedis à poser « des dispositifs de filtre destinés à protéger ces personnes des champs électromagnétiques générés par la bande CPL associée au compteur Linky », en raison du dommage imminent reconnu par la Cour pour les victimes des ondes ajoutées par Linky dans le foyer.
Une annonce présidentielle ...qui jette un froid chez les montagnards !
Le Syndicat National des Moniteurs du Ski Français demande une révision des mesures annoncées au vu des efforts déployés depuis plus de 3 mois les moniteurs de ski ainsi que tous les acteurs de la Montagne, qui travaillent à la mise en place d’un protocole strict sous la supervision du Préfet de Savoie. Réunis lundi dernier par le Premier Ministre et plusieurs membres du Gouvernement, ils avaient obtenu de Matignon un délai supplémentaire de 10 jours pour une prise de décision concernant l’ouverture des stations de ski. Et pourtant, les annonces faites il y a une semaine par le Président de la République plongent tout le milieu de la montagne dans l’incompréhension la plus totale. La montagne et ses grands espaces naturels qu’offrent pourtant la montagne favorisent « spontanément » l’air pur, la mise en place des indispensables gestes barrières et la distanciation sociale mais il n'est pas permis d'aller à la montagne. Quid des nombreuses personnes qui se rendront en Montagne et voudront pouvoir profiter de l’air pur pour des sorties en randonnée, en ski nordique ... ? Et des 17 000 moniteurs, tous avec le statut de travailleurs indépendants qui se retrouvent de plus en plus fragilisés et sans ressources, mais aussi plus de 2 000 autres salariés dont l’emploi est menacé ?
...et un premier ministre qui invente ...le ski sans remontée mécanique !
Les sports d'hiver auront connu des (petits) hauts et des bas (plus nombreux). L'intention est là, qui est de sauver cette saison touristique limitée dans le temps.La situation sanitaire ne «permet pas d'envisager» de pratiquer le ski comme d'habitudel, a déclaré Jean Castex. Il sera donc possible de «se rendre» dans les stations pendant les vacances, mais «toutes les remontées mécaniques et équipements collectifs seront fermés». L'exécutif prépare la réouverture à partir de janvier et accompagnera les professionnels lésés. A savoir que, pour l'heure, certains pays comme l'Italie et l'Allemagne penchent pour que les stations de sports d'hiver restent fermées, tandis que d'autres comme l'Autriche hésitent. En Savoie, Un protocole sanitaire est peaufiné depuis des semaines sous l'égide du préfet en cas de réouverture des stations, un enjeu crucial pour le secteur de l'or blanc - 350 stations en France, 10 milliards de retombées économiques, 120.000 emplois saisonniers - qui réalise 13,5% de sa fréquentation lors de l'avant-saison et 13% environ à Noël.
13è édition de Beirut Chants du 1er au 23 décembre 2020
Avec un courage et une témérité indéfectible, Micheline Abi Samra fondatrice de cet événement et toute l’équipe de Beirut Chants à ses côtés, a décidé de lancer l’édition de décembre 2020. Avec, à la clef, un programme somptueux : https://www.beirutchants.com/
La 11ebiennale du Carrousel des Métiers d'Art et de Création, qui devait avoir lieu du 3 au 6 décembre au sein du Carrousel du Louvre, à Paris, a du être annulée à cause du coronavirus . Cette 11e édition avait pour ambition de réunir plus de 200 artisans d'art dans les domaines de la mode, de la décoration d'intérieur et du design, et de mettre en avant 10 jeunes créateurs lauréats du Prix Jeunes Talents 2020. Au sein des 6 000 m2 qui lui étaient dédiés, le salon prévoyait d'accueillir, à l'instar des années précédentes, plus de 20 000 visiteurs dans des conditions de respect des mesures sanitaires en vigueur. Dans un monde où la nécessité du local et du fait-main a été réaffirmée, le Carrousel aurait permis au public l'occasion de venir acheter des pièces uniques, ou en petites séries, de soutenir par l'acte d'achat des petites entreprises françaises qui ont souffert pendant la crise et de se faire plaisir de manière raisonnée et responsable, en accord avec des considérations sociales et environnementales toujours plus marquées. Faute de mieux, c'est une édition digitale qui est proposée: https://www.crma-idf.com/fr/
Vignerons Ardéchois : un don de 1000 bouteilles d’exception pour préserver le patrimoine sera effectué à travers une première vente aux enchères le 12 décembre 2020, dès 14h00, dans la salle des fêtes du village d’Orgnac l’Aven (07). Dès 9h30, une grande chaîne humaine de plus de 200 personnes sera formée, depuis la surface jusqu’au bas des 220 marches qui rejoignent les profondeurs de l’Aven d’Orgnac, dans le but de faire passer de main en main les bouteilles de « Grand Aven 2017 », AOP Côtes du Vivarais, stockées depuis 1 an à 50 mètres sous terre, dans la vinothèque des Vignerons Ardéchois. Les bouteilles rejoindront ensuite leur nouvel écrin, un coffret de bois numéroté, preuve de la rareté de ces flacons et seront proposés à la vente dès 14h sur place et dans les caveaux des Vignerons Ardéchois : 150 Magnums Terra Helvorum 2017, prix de départ de 30 € TTC, 350 bouteilles 75 cl Terra Helvorum 2015, prix de départ de 15 € TTC et 500 bouteilles 75cl Grand Aven 2016, prix de départ de 10 € TTC https://www.vignerons-ardechois.com/fr/
« Est-ce que tu crois aux fées ? » est le dernier conte musical pour petits et grands (conseillé de 7 à 777 ans, c'est dire...) conçu par Hélène et Fancy, deux bonnes âmes qui nous invitent à pénétrer dans un monde merveilleux plein de surprises et de rêves, de quoi nous sortir de la torpeur dans laquelle notre société est plongée depuis des mois. Ce conte vous invite à traverser le voile invisible qui nous sépare du monde des fées et à faire ainsi un surprenant voyage...à offrir ou à s'offrir. CD digipack - 18€ (frais d'envoi offerts) - https://www.editions-plumedemouette.com
La Routo, nouvel itinéraire transfrontalier.
Ce parcours mis en place par la Maison de la Transhumance du Pays d'Arles et l'Ecomuseo della Pastorizia de la vallée de la Stura (Italie) s'adresse aux randonneurs, aux bergers, aux artisans et aux professions du tourisme. Les deux régions voisines de Provence-Alpes-Côte-d'Azur et du Piémont ont entrepris de collaborer sur un projet original, baptisé La Routo, qui emprunte un chemin de randonnée transfrontalier utilisé par les bergers des deux côtés pour faire transhumer les troupeaux de moutons. L’agro-tourisme devrait y trouver son compte puisque le projet a pour objectif d’associer plusieurs filières complémentaires, qui n’ont pas toujours fait bon ménage : l’agriculture, l’élevage, la gastronomie, l’environnement et le tourisme.
>La Routo est un nouvel itinéraire homologué par la Fédération française de randonnée (GR69) qui traverse des paysages alpins entre le pays d’Arles et la vallée Tout en suivant cet itinéraire de transhumance, le projet est de faire partager ou au moins apprécier le patrimoine rural, les savoir-faire des artisans locaux, les produits de l’agriculture… de la Stura, soit 350 km en traversant les parcs naturels du Lubéron et du Mercantour. Le long du parcours, les instigateurs du projet ont prévu des animations, des journées en alpage, des festivals, et la mise en vente de produits locaux, notamment issus de la laine des moutons qui ont transhumé. https://www.transhumance.org/
La Guyane (973) n'attend plus que les touristes.
Le territoire est désormais "sécurisé" et les restrictions levées les unes après les autres, hormis l'obligation de respecter les gestes-barrières. Cette situation va à contre-courant de celle de la métropole ou de certains DOM-TOM. Alors, en attendant le retour des touristes, le Comité du Tourisme de la Guyane prépare la reprise et peut compter, en partie, sur la fréquentation locale. Le port du masque et le respect des gestes barrières sont toujours de mise, mais la population n'est plus soumise au confinement, le couvre-feu ne concerne que certaines zones de minuit à 5h du matin et, si les frontières avec les états voisins restent fermées, le trafic aérien avec la métropole a repris, avec un vol quotidien assuré par Air France et cinq vols hebdomadaires pour Air Caraïbes.
Durant cette période et jusqu'à la fin de l'état d'urgence fin septembre et la levée des motifs impérieux, la Guyane n'a reçu que très peu de visiteurs et c'est le tourisme local qui a pris le relais. Les Guyanais, confinés depuis des semaines ont eu envie de redécouvrir leur territoire. Pour les encourager, le Comité du Tourisme de Guyane a relancé une opération de chèque tourisme d'une valeur de 35€, déjà mise en place en 2018 pour un public jeune. Cette fois-ci, les 2 500 bons de réductions édités, appelés "Bon Vakans an Gwiyann" s'adressent à tous et peuvent être gagnés en participant à des jeux à la radio et sur les réseaux sociaux, depuis le 19 octobre dernier.
la Guyane, qui ne connait pas de haute ou de basse saison, enregistre un tourisme linéaire sur l'année, et espère bien revoir prochainement les voyageurs en provenance de la métropole et des Antilles. Pour l'heure, ces derniers doivent être en possession d'un test RT-PCR négatif de moins de 72 heures et d'une déclaration sur l'honneur selon laquelle ils n'ont pas de symptômes et ne sont pas des cas contact au Covid-19 (voir tableau ci-dessous) pour venir en Guyane. https://www.guyane-amazonie.fr
À l’occasion du 250e anniversaire de la mort de François Boucher (1703 - 1770), le musée Cognacq-Jay explore le thème de l’Amour dans sa forme la plus licencieuse, au prisme des créations de Boucher et de ses contemporains - maître, rivaux ou élèves - tels que Watteau, Greuze et Fragonard. Ce dialogue révèle comment Boucher, le peintre de Louis XV, s’impose comme une figure centrale du développement de l’art érotique au XVIIIe siècle. Malheureusement, compte tenu du confinement, l'exposition « L'Empire des sens, de François Boucher à Jean-Baptiste Greuze », qui devait ouvrir ses portes le 2 décembre prochain, est reportée à une date ultérieure. Attardons-nous tout de même sur cet événement qui présentera le moment venu une centaine de peintures, dessins et estampes, qui traitent du désir autant qu’ils le suscitent, qui seront exceptionnellement réunis pour l'occasion. Provenant de prestigieuses collections internationales publiques et privées, ces chefs-d’œuvre seront souvent présentés pour la première fois en France. Et le parcours de l’exposition de prendre une nouvelle ampleur en se déployant exceptionnellement dans huit salles du musée.
Le XVIIIe siècle signe l’avènement du plaisir des sens. Plus qu’à toute autre époque, l’Amour y occupe une place dominante dans les arts. Philosophes, hommes de théâtre, romanciers et artistes, tous investissent le thème des passions amoureuses et des désirs charnels. On ne compte plus, sous le pinceau des meilleurs peintres, les scènes bucoliques où badinent bergers et bergères, les boudoirs où s’échangent les soupirs langoureux, les alcôves où s’égarent « le cœur et l’esprit ». Pourtant, dans cet océan d’images consacrées à l’Amour, on a jusqu’ici peu insisté sur l’audace et l’originalité de certaines inventions.« Peintre des Grâces », François Boucher est également l’auteur de compositions secrètes, à la charge érotique saisissante. Ses œuvres célèbrent le corps nu de la femme qui s’abandonne, hypnotise les regards et éveille les sens. Au sommet de sa gloire, sa notoriété s’accompagne d’une réputation sulfureuse, habilement alimentée par ses détracteurs. Ses très lascives Odalisques - représentées nues, alanguies sur un sofa, le fessier comme offert au spectateur - ont largement contribué à nourrir les rumeurs.
Au travers de trois grandes sections, l’exposition décline les temps du plaisir et les gestes amoureux, depuis la naissance du désir jusqu’à l’assouvissement des passions. Ce parcours déploie une polysémie amoureuse, de Watteau à Greuze, ponctuée par les créations de Boucher. Resserrée sur les œuvres les plus audacieuses, l’exposition propose de regarder ces inventions à l’aune des échanges entre artistes, en suivant les phénomènes d’émulation et de rivalité, jusque dans le dialogue particulièrement fécond avec la littérature libertine de l’époque. Elle s’achève sur de rares chefs-d’œuvre qui invitent à réfléchir sur la violence des pulsions charnelles et sur leurs conséquences parfois tragiques. Musée Cognacq-Jay, 8 rue Elzévir à Paris (3è). Tél : 01 40 27 07 21. https://www.museecognacqjay.paris.fr
La Braderie de l'art , qui devait se tenir les 5 & 6 décembre 2020 à Roubaix (59), a été reportée aux 15 et 16 mai 2021 : Depuis 30 ans maintenant, Roubaix devient le temps d’un week-end le lieu d’une braderie de l’art pas comme les autres où l’art se crée devant le public et à partir de matériaux bien spécifiques de récupération en provenance des entreprises locales. Le concept ? Pendant vingt-quatre heures non-stop, 150 créateurs internationaux sélectionnés par un jury y recyclent 2000m3 d’objets et matériaux de récupération pour en faire des pièces originales vendues entre 1 et 300 euros aux 20.000 visiteurs que ce rendez-vous réunit chaque année. De la récup’, des circuits courts, de l’économie circulaire, tout ça 30 ans avant que ça ne devienne à la mode. Le concept s’est même exporté à Liège, Nantes, Barcelone, Berlin et même Rio de Janeiro. Ebénisterie, design, pochoir, illustration ou sculpture, ces 15 et 16 mai 2021 La Condition Publique de Roubaix se transformera, une nouvelle fois, en vaste atelier de création dédié au re-design, à l’écodesign, à la customisation en tout genre, aux détournements des objets et des matières. A l'occasion des 30 ans de la Braderie, une exposition rétrospective sera à l'honneur avec une sélection de 30 oeuvres symbolisant chacune des éditions. Celle-ci se tiendra à la Piscine de Roubaix. Quant à l’oeuvre représentant l’année 2021, elle sera sélectionnée lors de la trentième édition par un jury. La condition publique – Tél : 03 28 33 48 33. https://laconditionpublique.com
Annulation du festival « Noël au pays du jouet » quidevait avoir lieu les 18, 19 et 20 décembre prochain, à Moirans-en-Montagne (39), la capitale française du jouet.Trop de contraintes sanitaires s'imposaient en effet aux organisateurs qui ont jeté le tablier, mettant ainsi fin à une (très) longue tradition. Quel lieu plus magique que cette cité du Jouet pour venir passer un weekend et s'imprégner pleinement de l'esprit de Noel. C'est ici, dans cette petite ville de la moyenne montagne jurassienne que, depuis toujours, le Père Noel vient s'approvisionner. Dans ce coin-ci du jura très boisé, à la nature sauvage et remarquable, c'est là que les artisans du jouet ont trouvé depuis toujours à la fois la matière première, et l'inspiration pour leurs créations. C'est le Pays du Jouet par excellence, mais qui devient une fois de plus le pays de l'enfant. Traditionnellement, à la mi-décembre, on pouvait y croiser des marionnettes, des rennes, des personnages délurés, des bonhommes de neige, des lutins plus rigolos les uns que les autres, et tout ce monde magique au son de fanfares joyeuses. Un marché de Noel regroupait des artisans créateurs qui proposaient des idées de cadeaux très originaux ou traditionnels. Les enfants, eux, profitaient d'espaces avec des jeux géants en bois, des ateliers créatifs et balades contées. Et l'on ne manquait pas de visiter le musée du Jouet, situé à proximité ou plus de 2000 jouets étaient exposés, dont certains vieux de plus de 5 000 ans. www.jurasud.net . Office du Tourisme : Tel 03.84.42.31.57
Pour dormir de manière insolite...
L'agence Links a sélectionné pour nous des hébergements sortant de l'ordinaire :
La Chartreuse (https://www.ivressedesmontagnes.com/sortie-trappeurcabane-bois) est petite cabane douillette cachée au milieu de la forêt dans le secteur du Plateau des Petites Roches... sans électricité mais munie d’un poêle à bois et d’eau de source permet d’assurer un certain confort. Selon une formule flexible, un guide emmène durant la journée les participants pour une randonnée sur les sentiers forestiers de moyenne altitude, avant de les déposer à la cabane où les attendent un repas montagnard et un bain nordique. Après une soirée pour se ressourcer, contempler, se reposer, une nuit dans ce lieu original, le guide est de retour après le petit déjeuner pour une nouvelle découverte des merveilles naturelles des alentours en raquettes ou à pieds, pourquoi pas avec les ânes, lorsque les sentiers ne sont pas enneigés.
>En hiver aussi, les cabanes Mont-Fort (https://www.youtube.com/watch?v=mkp2G41o1dg ) et Brunet (https://www.youtube.com/watch?v=y-wjgoKc--s) accueillent les visiteurs pour une nuit en altitude et en pleine nature. Perchées à flancs de montagnes et se faisant presque face en surplombant la vallée de Bagnes, elles proposent deux approches différentes. Facilement accessible puisque située en bord de piste, la cabane Mont-Fort est réputée pour la vue magnifique qu’elle offre au coucher de soleil et l’accueil sans faille réservé par Daniel Bruchez, gardien des lieux depuis 40 ans. Sur le versant d’en face, la cabane Brunet se mérite un peu plus. Accessible à pied, en raquettes ou en ski de randonnée, récemment agrandie, elle accueillera les aventuriers pour une nuit salvatrice avant l’ascension du mythique Mont Rogneux culminant à 3084m.
>A Orcières, les trappeurs pourront passer la nuit dans igloo au cœur du village d’Igloos de Williwaw (https://www.alpi-traineau.com/). Ambiance frisson sous le ciel étoilé ! La soirée comprend une balade encadrée sur le plateau au coucher du soleil, le repas montagnard au sein du kota, le petit-déjeuner et un sac de couchage – Accès en Télémix. Activité proposée tous les mardis, jeudis et samedi. Sur réservation. Rdv à 16h.
A Morzine, pourquoi ne pas dormir dans un cottage de plus de 150 ans ? The Farmhouse, Mas de la Couttetaz (https://www.thefarmhouse.co.uk/) est en effet la plus ancienne bâtisse de Morzine. Dans une ambiance so british , tout droit sortie dans roman d’Agatha Christie, Dorrien, Di, et James reçoivent des clients dans cette bâtisse sur les hauteurs de Morzine à la vue incroyable, le Mas de la Couttetaz, aussi connu sous le nom de Farmhouse. Construit en 1771, ce bâtiment est le plus vieux de Morzine et a conservé son charme d’autrefois. Les 11 chambres ont toutes des inspirations bien à elles. « L’Atelier », ancien atelier de charpentier possède des poutres apparentes, «L’India Room », est décorée avec des objets et tissus rapportés d’Inde. Quelle que soit l’ambiance choisie, les hôtes pourront profiter de jolis balcons donnant sur le village de Morzine. Apres un tea time autour de la grande cheminée et du piano, les convives dineront à la lueur des chandeliers dans la salle à manger faite de pierres et poutres apparentes.
>Située au sommet des pistes du Mont d’Arbois, surplombant la vallée de Megève, face au Mont Blanc, la splendide Suite Idéal (https://www.montdarbois.edmondderothschildheritage.com/) de 100 mètres carrés offre une expérience unique, en famille ou lors d’un séjour à deux. La magie d’un coucher comme d’un lever de soleil qui baigne de lumières colorées ce sublime espace aux multiples fenêtres (y compris la salle de bains et sa baignoire) est à couper le souffle. Et pour les lève-tôt, la première descente avant la montée des skieurs est aussi un moment inoubliable.
>Situé à 1 900 m d’altitude, le Refuge de La Boire (https://refugedelaboire.fr/) est un chalet d'alpage exposé plein sud dominant une vallée sauvage. Accessible en ski de randonnée ou en raquettes, cette bâtisse a été entièrement rénovée de manière écologique : bois local, isolation en matériaux écologiques toilettes sèches, panneaux solaires… Résultat : le refuge se fond dans un décor remarquable en respectant la nature. Adapté aux personnes électrosensibles, ce refuge du bout du monde est hors réseau et n’utilise pas d’énergies fossiles. Une aire de jeu naturelleest mise à disposition et l'endroit sert de point de départ pour plusieurs randonnées magiques.
>Complètement insolite et 100% nature, « L’Insolite de Pierre Rouge »(https://gitelesreaux.ohmyloc.com/) propose aux aventuriers de passer une nuit sous tipi dans un cadre somptueux, au pied du mythique Galibier. En famille, entre amis ou en amoureux, cette aventure est la promesse d’un retour aux choses simples de la vie… dans un hameau où le nom semble être inventé : Bonnenuit. Equipé de six couchages, d’un poêle à bois pour des soirées cocooning et de toilettes sèches à l’extérieur, la nuit sous tipi deviendra l’aventure inoubliable des vacances
>Dans les Bauges, le Village Tipi (https://www.village-tipi.com/) est un havre de paix situé dans une clairière enneigée où cinq grands tipis indiens s’élèvent vers le ciel pour dormir la tête vers les étoiles. Pour les hôtes mais aussi pour les visiteurs extérieurs, les jeudis et samedis sont réservés à des activités encadrées par des professionnels, réservation obligatoire. Chaque activité se pratique séparément mais les plus sportifs peuvent tout enchainer si cela les tente.
Le matin, une super sortie de pleine nature est organisée avec descente en luge et quelques passages “marchés“ pour rejoindre une pente. Compter 2 h d’activité au départ du Village Tipi en luge avec une arrivée à l’Alpage de la Clusaz. L’après-midi est réservé à l’air board et ses trois heures de descente. Si certains sont tentés par le Fatbike, ll est possible de prévoir 1h30 de pédalage sur neige en fin d’après-midi.
>A Saint-Lary, arriver en ski et dormir dans un refuge est une expérience originale et inoubliable. Accessible à ski, le refuge de l’Oule (https://www.saintlary.com/) est situé à 1820 mètres d’altitude sur les bords du lac de l’Oule aux portes de la réserve naturelle du Néouvielle : dépaysement assuré au bout du monde pour partager entre amis ou en famille une nuit hors du commun. Le lendemain, on profite de la nature sauvage et du calme avant de rejoindre les pistes.
Sélection de quelques grandes expositions ...à venir en 2021 !
« Magritte en plein soleil. La période Renoir 1940-1947 », c'est le nom d'une grande exposition co-organisée par les musées d’Orsay et de l’Orangerie et accueillie par ce dernier site, du 10 février 2021 au 21 juin 2021. Il s'agit de la première expo à montrer de façon complète un chapitre de l’œuvre de Magritte encore largement méconnu, qui confronte ses œuvres à celles d’Auguste Renoir, qui l’ont inspiré.
A la Cinémathèque française, il ne faudra pas rater « Mode et cinéma », au printemps 2021. Mais aussi l'expo consacrée à Louis de Funès, prolongée jusqu'au 31 mai 2021.
La collection Ivan Morozov (Cézanne, Gauguin, Van Gogh, Renoir, Monet, Picasso...) sera montrée à la Fondation Louis Vuitton, du 24 février au 25 juillet 2021
L'exposition « Paris vu par Henri Cartier Bresson, prévue cette année au musée Carnavalet, a été reportée à une date ultérieure, puisque le musée n'a pas encore rouvert ses portes.
Le Museum d'Histoire naturelle accueille, dans la grande galerie de l'Évolution, jusqu'en juin 2021, l'expo « Pierres précieuses ». Celle-ci embrasse l’histoire plurimillénaire des minéraux tout en révélant l’adresse que l’Homme déploie, depuis des siècles, pour servir leur éclat. Une approche scientifique et esthétique, qui plonge aux origines de la Terre et s’appuie sur les récentes découvertes minéralogiques.
L'exposition « Révolutions », prévue initialement à la Grande Halle de la Villette du d'avril à août 2020, a été reportée à une date ultérieure. Elle explorera cinq années clefs dans la culture de la jeunesse et de l’innovation : 1966 - 1970. Pendant cette période, la nouvelle génération a remis en cause la société et changé le monde
Le château des ducs de Bretagne, à Nantes (44), espère pouvoir accueillir une grande exposition sur Genghis Khan au premier semestre 2021.
« Botticelli, un laboratoire de la Renaissance », c'est le nom d'une expo prévue au musée Jacquemart André (Paris) pour l'automne 2021
La Fondation Cartier, à Paris, invite l’artiste britannique Damien Hirst à dévoiler sa dernière série de peintures Cherry Blossoms [Cerisiers en fleurs] au printemps 2021.
« Boire avec les dieux », c'est l'expo organisée à la Cité du vin de Bordeaux (33), qui aura finalement lieu 9 avril au 29 août 2021.
Au musée de Cluny, à Paris, on attend « Les arts à Toulouse au XIVe siècle » pour l'hiver 2021.
Initialement prévue à l'été 2020, l'exposition « L’Empereur romain, un mortel parmi les dieux » se tiendra au Musée de la Romanité, à Nîmes (30), du 13 mai au 19 septembre 2021. Coproduite avec le musée du Louvre, c'est la première exposition française entièrement consacrée au culte impérial, pratique instaurée par le premier empereur de Rome, Auguste, au Ier siècle av. J.-C. et qui conférait à l’empereur romain l’étrange statut d’un mortel parmi les dieux.
Françoise Pétrovitch sera exposée à la Bibliothèque nationale de France à Paris du 30 mars au 11 juillet 2021.
Le Musée du Quai Branly (Paris) présentera l'exposition « Les Olmèques et les cultures du Golfe du Mexique », du 9 octobre 2020 au 25 juillet 2022.
Le Musée des Arts décoratifs (Paris) propose une expo intitulée « Luxes », jusqu'au 2 mai 2021, un voyage à travers le temps et la géographie.
L'Institut du monde arabe (Paris) consacre une exposition aux divas arabes, du 27 janvier au 25 juillet 2021.
"Hippolyte, Paul et Auguste Flandrin", voilà le nom d'un travail montré au Musée des Beaux-arts de Lyon (69) au printemps 2021. Peintures, gravures, dessins et documents d’archives retracent l’histoire de cette fratrie d’artistes lyonnais actifs au XIXe siècle, dont le musée possède plus de 200 œuvres.
Les parcs animaliers de La Tanière (28) et d'Ecozonia (66) vous convient à des moments heureux, tout en cultivant leurs différences : La Tanière (https://www.lataniere-zoorefuge.fr/) se consacre entièrement à la cause animale, sur un site de 20 hectares, unique sur le continent européen, et finalement ouvert le 14 octobre. C'est un vrai refuge pour les animaux maltraités, détenus illégalement ou utilisés en laboratoire. Certains animaux accueillis n’avaient même jamais vu la lumière du jour.
L'Ecozonia (https://www.ecozonia.fr/) , concept novateur, devrait ouvrir ses portes en fin de cette année. Ce parc situé au coeur de la forêt méditerranéenne, près de Perpignan, emmène le visiteur à la découverte du monde fascinant des prédateurs, sur un espace de 26 ha. Les animaux les plus redoutables de notre planète y sont accueillis : le tigre de Sibérie, le dhole, l’ours brun ou encore la panthère de l’Amour.
Le tourisme mémoriel de la Première guerre mondiale représente, par la variété de ses sites, une manne économique. Répartis le long des 750 km de front, de la Mer du Nord à la frontière suisse, tandis que les nombreux sites et mémoriaux de 14-18 constituent, à eux seuls, une destination touristique à part entière. L’importance du champs de l’étude se mesure à ces quelques chiffres :
153 sites de tourisme de mémoire 14-18, champs de batailles, musées, fortifications, monuments ou nécropoles, ont été identifiés (sur plus de 1000 référencés) par les partenaires de l’étude comme étant des sites de mémoire importants, que ce soit en matière de notoriété ou de fréquentation.
En 2018, dernière année du cycle commémoratif du Centenaire de la Grand Guerre, ces sites ont enregistré 3,9 millions de visites, réalisées à 63% par des touristes individuels, à 21% par des publics scolaires et à 16% par des groupes.
1,5 million de visiteurs qui ont dépensé près de 270 millions d’euros. 40 % de ces visiteurs sont des habitants de la région même, 25% des Français venus d’autres régions et 36 % des clients internationaux (Britanniques, Belges et Allemands notamment).
87,7 millions d’euros de retombées économiques pour les deux régions du Front de l’Ouest (Hauts-de-France et Grand Est).
Les 150 millions d'euros investis sur la période 2013-2018 par les Etats concernés afin de permettre l'ouverture (ou la réouverture) de 33 sites, ont permis d'augmenter de 38% la fréquentation annuelle moyenne. Les sites mémoriels de la Grande Guerre ont ainsi accueilli 930 000 visites supplémentaires par an durant la période des commémorations du Centenaire (plus de 500 000 dans les Hauts-de-France et plus de 400 000 dans le Grand Est). Et une étude de poser la question : comment maintenir à l'avenir l'intérêt mémoriel, notamment auprès des générations plus jeunes ? Il est déjà envisagé de mettre en œuvre des parcours-client personnalisés, avec intégration de ceux-ci dans des parcours d’itinérance, une présence accrue sur le web ou encore une plus forte capitalisation sur l’attractivité des sites pour les clientèles internationales…
Connaissez-vous Motif ? Motif (https://www.motifphotos.com/en-us) est une application pour iOS et macOS qui aide les utilisateurs Apple aux quatre coins des États-Unis, du Canada, du Mexique et d'Europe à créer de superbes livres photo. Motif lance Motif 2.0 pour iOS avec des fonctionnalités mises à niveau pour aider à créer de superbes livres photo personnalisés, en toute transparence. Et les utilisateurs d'iPhone et d'iPad de bénéficier d'une expérience d'édition de projet entièrement repensée, d'un processus de sélection d'image amélioré, d'une navigation simplifiée et beaucoup plus. Les principales caractéristiques comprennent: une sélection et navigation d'image améliorées (amélioration du processus de sélection d'images), la création de projet express (créer votre livre photos en quatre clics), une navigation simplifiée (vue d'édition sur une seule page) et une sélection de couleurs améliorée (création de couleurs personnalisée).
Les derniers (aéroports) seront les premiers
La crise de la COVID a même chamboulé le classement des aéroports européens : suite à un trafic en chute de 81% sur l'année dans les aéroports européens, le classement des dix premiers aéroports (en nombre de passagers accueillis) a été profondément modifié, selon un communiqué de l’Airports council international (ACI). Et Londres-Heathrow, habituellement en tête du classement, de n'arriver qu'en dixième position, derrière les aéroports de Paris-CDG (8e) et Amsterdam-Schiphol (9e). Ces importantes plateformes de connexion ont été devancées notamment par l'aéroport turc d'Antalya avec 2,25 millions de passagers (-53,5%), suivi par Moscou-Cheremetievo (-53,5%), Moscou-Domodedovo (-26,2%) et Istanbul (-71%). Les hubs de Francfort et Munich sont quant à eux sortis du classement des dix premiers. Les aéroports de l’Union européenne, de Suisse, du Royaume-Uni, de l'Islande, du Liechtenstein et de Norvège enregistrent en effet un chute de 86% de leur trafic par rapport à l'an dernier et les professionnels comptent désormais sur la mise en place à grande échelle de tests de dépistage de la Covid-19 pour faire redémarrer le trafic en attendant un vaccin.
Retour dans le Calvados cette semaine avec le récit d'une promenade à Honfleur par une belle journée d'été. Bonheur garanti ! Bon déconfinement à tous !
Avertissement : compte tenu du confinement général imposé par les autorités, il est probable que certaines manifestations annoncées dans cette lettre soient annulées ou reportées. Renseignez-vous au préalable !
Yves
Classement des dix premiers pays qui ont visité ce site la semaine dernière : 1) France 2) Argentine 3) Belgique 4) Canada 5) Suisse 6) Portugal 7) Ile de La Réunion 8) Cameroun 9) Espagne 10) Guadeloupe
Honfleur, terre d'estuaire (Calvados, France)
De passage l'été dernier dans le Calvados, Soraya et moi fîmes une incursion à Honfleur le temps d'une journée. Il est en effet très aisé de s'y rendre en autocar pour quelques euros seulement au départ de la gare de Deauville (14). La petite ville, aussi surnommée « Terre d'estuaire » n'a rien perdu de son charme légendaire avec son vieux bassin, et ses ruelles aux maisons à colombage.Ses façades recouvertes d'ardoises ont aussi, et à maintes reprises, attiré l'oeil d'artistes comme Gustave Courbet, Eugène Boudin ou Claude Monet...qui furent à l'origine de l'Ecole de Honfleur, laquelle donnera plus tard naissance au mouvement impressionniste (...)