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Lettre envoyée le 01/03/2021
Lundi 1er mars 2021 La Lettre N°523
Dormez braves gens? que nenni...Debout les braves !
Désormais en (pré) retraite et prisonnier dans mon propre pays à la suite d'une soi-disant pandémie, laquelle, à ce jour, n'a pas fait plus de victimes qu'une grosse grippe et est destinée à « domestiquer » les masses en les punissant pour tout, je me demande parfois si c'est un mauvais rêve. Oh, je ne me plains pas personnellement de mon existence au quotidien car il y a bien pire que moi. Je pense à ces étudiants qui ont perdu leurs petits boulots, et aux cafetiers, hôteliers et restaurateurs... qui ne peuvent toujours pas rouvrir leurs commerces au nom d'une dictature sanitaire qui ne dit pas son nom. Les voyages me manquent et je ne suis pas le seul. Les professionnels du tourisme qui souhaitent faire repartir l'activité le plus vite possible se heurtent à la fermeture des frontières en attendant que chaque pays ne décide des formalités à remplir pour les voyageurs, à savoir pour certains pays (Grèce et Israël), d'imposer aux visiteurs un vaccin fait à la va-vite et sur lequel il n'y a aucun recul (mais plutôt des effets indésirables comme pour ces aide-soignants des hôpitaux de Brest et de Morlaix il y a quelques semaines). Breton je suis breton je reste : ce genre de chantage au vaccin ne fonctionne pas avec moi, et je renoncerai donc à visiter Israël (j'irai faire la « Jaffa » ailleurs) et la Grèce (que je n'en(grèce)rai pas avec mon argent) jusqu'à ce que ces pays reviennent à la raison. Car, cette restriction de la liberté d'aller et venir va à l'encontre des droits de l'homme et cela risque fort de couter cher aux pro-vaccins (dont certains sont grassement rémunérés par les laboratoires pharmaceutiques). Nos dirigeants ont beau tenter de sauver les apparences en vue des prochains scrutins électoraux (ceux-ci expliquant cela - https://www.youtube.com/watch?v=sI44H4X7eZ0&feature=youtu.be), l'outrage et la punition qu'ils ont infligé à tout un peuple depuis le début de la Covid-19 se paiera un jour devant les tribunaux (souvenez-vous du scandale du sang contaminé), d'autant plus qu'après la crise sanitaire, nous risquons tous d'être ruiné car il faudra bien régler l'abyssale dette publique...avec nos économies. C'est ce qu'on appelle le deuxième effet kiss Cool. L'heure n'est pas à l’acquiescement mais à la mobilisation : Demandez donc aux Français de l'étranger ce qu'ils pensent des décrets gouvernementaux des 16 et 30 janvier dernier, qui interdisent ou mettent sous condition le droit de nos compatriotes de regagner leur pays. En substance, ces requêtes s’appuient sur deux types de considérations : Les dispositions attaquées constituent une violation des dispositions du Code de la Santé publique en ce qu’elles comportent une atteinte disproportionnée à la liberté d’aller et de venir ainsi qu’au droit de mener une vie familiale normale, garantis par la Constitution et par l’article 3 du Protocole n°4 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme. A ce titre, en effet, « nul ne peut être privé du droit d’entrer sur le territoire de l’Etat dont il est le ressortissant ». Ce droit est absolu et ne peut donc pas faire l’objet de restrictions pour des motifs liés à la protection de la santé, à la différence de l’article 2 du même Protocole. Ces décrets méconnaissent le principe d’égalité, car les discriminations flagrantes qu’ils introduisent ne sont pas justifiées par des différences objectives de situation ou par des raisons d’intérêt général. Les Français établis dans un pays situé hors de l’espace européen ne se trouvent pas dans une situation différente au regard de la situation sanitaire de ceux qui sont établis dans un pays de l’espace européen. L’incohérence générale du dispositif rend cette rupture d’égalité encore moins justifiable. Un sentiment d'impuissance a envahi les Français qui pour beaucoup renoncent à se battre. Que penser en effet de l'attaque systématique de l'identité française au profit d'autres groupes promouvant le repli sur soi ? Seuls, nous sommes (très) peu mais à plusieurs, nous sommes déjà plus forts, et tous ensemble, nous serions infaillibles. C'est pour cela que peur et catastrophisme sont quotidiennement distillés par les médias du système. En ce qui me concerne, j'ai renoncé à allumer ma télévision, sauf pour regarder de rares programmes intelligents (d'ailleurs, souvenez-vous que je publie chaque jour sur mon site une sélection d'émissions TV culturelles et enrichissantes dans la rubrique TV -la bulle verte- de la Médiathèque) en attendant des jours meilleurs. Mon site internet, que vous me faites le plaisir et l'honneur de visiter, occupe des journées d'hiver déjà bien courtes (mais les jours rallongeant à grands pas, je reste optimiste pour la suite) et j'avoue manquer de temps pour réaliser tout ce dont j'ai envie. Contre la déprime, j'ai un truc imparable : l'occupation (pas l'Occupation allemande de Papa Schultz, Achtung, Bitte, Ausweis, Konspirazion !...Nein) qui consiste à créer son propre cocon de survie (je me suis par exemple lancé dans le jardinage en m'aménageant un coin de nature près du bureau où je passe mon temps à écrire mes articles), à ne pas m'isoler (je communique beaucoup avec mes amis) à entretenir mon système immunitaire (en mangeant sainement) et à m'interroger. Avec toutes ces activités, il ne me reste plus assez de temps ni pour avoir peur, ni pour être en état de sidération, sachant trop bien que si la vie « n'est pas un long fleuve tranquille », notre existence ne sera que ce que nous en ferons. La nature nous a créé comme un tout, autonome en tout, avec un cerveau et un corps, une intelligence et du génie qu'il suffit de solliciter pour exister pleinement. Cela fait belle lurette que je ne prends plus pour agent comptant tout ce qu'on me dit. Et mon cerveau d'enclencher la première (mettre en alerte mon sens critique), puis d'embrayer sur la seconde (en analysant ce qui m'a été rapporté et me servant de mon bon sens) avant de passer la troisième (me faire ma propre opinion) pour rapidement trouver ma vitesse de croisière (si je suis capable de me forger une opinion, et de la défendre au besoin, c'est donc que j'existe de manière autonome). Pas le moins du monde dans le béni-oui-oui, je mets un point d'honneur à défendre mes idées tout en renonçant à vouloir persuader à tout prix mon interlocuteur car « Il n'est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre ». Et je le vérifie tous les jours. Certaines connaissances, m'ayant certainement pris pour Daddy « Gaga » ont pris leurs distances tandis que d'autres se sont rapprochées de moi, ce qui nous permet d'échanger sur des idées communes tout en nous enrichissant mutuellement. Il faut surtout ne rien forcer et laisser les choses se faire naturellement. L'heure n'est pas à la démission mais à la résistance : Maitre Di Vizio, qui défend le recours juridique collectif lancé par l'Association Victimes Coronavirus Covid-19 France (https://association-victimes-coronavirus-france.org/) explique ici (https://youtu.be/dOmslQf2Jv8) en quoi va consister cette démarche. Prenez connaissance de cette information et relayez-la. Informez-vous aussi en regardant ce film belge, « Ceci n'est pas un complot » (https://cdn.lbryplayer.xyz/api/v4/streams/free/Ceci-n'est-pas-un-complot---2021---VF/43cb2ed169607448f61edd732ce6273b9e211c4e/1bd8f6). Ou bien en lisant cet article abordant les questions délicates que le Parlement européen avait prévu de poser lors de l'audition des PDG de l'industrie pharmaceutique et du commissaire européen sur la campagne de vaccination de lutte contre le Covid-19 (https://fr.sott.net/article/36575-Questions-brulantes-que-le-Parlement-europeen-devrait-poser-lors-de-l-audition-des-PDG-de-l-industrie-pharmaceutique-et-du-commissaire-europeen-sur-la-campagne-de-vaccination-contre-le-Covid-19). A vous de vous faire votre propre opinion.
Autre chose importante : connaître les bons réseaux pour communiquer et échanger sur internet. A ce jour, 53% de la population mondiale utilisent les réseaux sociaux (dont 453 millions de nouveaux utilisateurs entre 2019 et 2020). Les médias institutionnels ne sont désormais plus les seuls à distribuer la « bonne parole » car nous sommes de plus en plus nombreux à chercher l'info sur les réseaux sociaux, et même à ce niveau, la censure actuelle nous contraint à fuir les principaux réseaux : Facebook, Twitter, Snapchat...pour trouver refuge chez Signal (https://www.signal.org/fr/download/), qui protège nos données échangées. Il y a aussi Parler (https://apkpure.com/fr/parler/com.parler.parler/download/2050171-APK) uniquement disponible sur Androïd pour l'instant. Gab (https://fr.freedownloadmanager.org/Windows-PC/Gab-GRATUIT.html) offre quant à lui une liberté d'expression totale d'après son slogan « Free speech for everyone », mais n'est pour l'instant disponible que pour Windows et Androïd. Comme disait Victor Hugo : « On résiste à l'invasion des armées, on ne résiste pas à l'invasion des idées ». La confiscation des libertés dans laquelle nous sommes plongés depuis le début de la crise sanitaire nous impose de redoubler d'efforts pour faire marcher notre cerveau et développer des idées neuves en vue des prochaines échéances : Pourquoi les opinions sont-elles aussi combattues en France ? Depuis quand notre pays n'a t-il pas connu un débat d'idées ? Et pourquoi notre société devient-elle si violente ? A qui cette situation profite t-elle ? Pourquoi avoir annihilé toute création artistique et culturelle en France depuis des mois si ce n'est pour tuer dans l'oeuf toute idée naissante qui mettrait en danger le Système ? Y avez-vous déjà pensé ? Se pose des questions n'a jamais été aussi vital qu'aujourd'hui.
LE CLIN D'OEIL DE VALERIE ! Tonneau des Danaïdes ? Assurément oui : alors que bagarres, incivilités, agressions, viols et meurtres ne cessent de se démultiplier sur notre territoire, que les forces de l'ordre, les pompiers et même le personnel médical ne peuvent plus mettre un pied dans certains territoires de la République, nous sommes en droit, nous la vache à lait, de nous interroger sur l'efficacité de la politique de la ville conduite par nos gouvernements successifs depuis maintenant 40 ans (à hauteur de 200 milliards d'euros) et pour quel résultat? En quelques chiffres, la politique de la ville ce sont : 60 quartiers concernés en France, plus d'un milliard d'euros consacré au maintien de l'ordre en 2020, 5 milliards d'euros de budget en 2020 (contre deux milliards d'euros de recettes fiscales et dotations en 2018 pour le seul département de Seine-Saint-Denis), 50 milliards d'investissements au titre de la rénovation urbaine de 2004 à 2020 avec en guise de remerciement 160000 logements sociaux détruits ...et 140000 logements sociaux construits, 14 plans banlieues, 110 millions d'euros pour le plan été dans les quartiers en 2020, plus de 3 milliards générés par l'économie parallèle de l'argent de la drogue. Pour rappel, en 2018, le « 93 » (Seine Saint-Denis) était officiellement le quartier le plus riche de France (avec 2026 millions d'euros de recettes fiscales et de dotations), devant les Hauts-de-Seine (1797 millions d'euros), la Loire-Atlantique (1185 millions d'euros) ou les Alpes-Maritimes (1209 millions d'euros) (sources : Contribuables Associés https://www.touscontribuables.org
SEQUENCE NOSTALGIE Ça fait des années que l'on vit dans le conformisme, y compris de manière inconsciente. Vous arrive-t-il de dire non ? Vous voyez bien, nous sommes conditionnés et peut-être que le personnage fictif de la romancière britannique Enid Blyton y est pour quelque chose, elle qui créa « Oui-Oui » en 1949. Ce personnage apparaitra pour la première fois en France en 1962 dans la collection Bibliothèque rose. Petit pantin de bois, à la tête articulée se balançant d'avant en arrière comme pour dire oui, Oui-Oui porte toujours un bonnet bleu surmonté d'un grelot et un éternel foulard jaune à pois rouges. Notre héros vit au pays des jouets, Miniville, dans lequel il a sa « maison-pour-lui-tout-seul » (il a bien de la chance de ne pas se l'être fait squatter!). Malgré qu'il ne soit qu'un enfant, Oui-Oui est chauffeur de taxi (bien avant Uber!) et livreur de la ville (Amazon n'existait pas encore!) et transporte ses amis dans sa voiture dotée d'une personnalité certaine (une Tesla avant l'heure?) Devant le succès du livre, les histoires de Oui-Oui et de son taxi seront adaptées en séries d'animation à partir de 1986, avant d'adopter le format 3D depuis mars 2016. Oui-Oui est entouré de Mirou, Nestor Bouboule, Zim, Potiron, Mélissa, Melle Ouistiti, Mlle Chatounette, Mr Culbuto, Mr Jumbo, Mr Souriceau, Mr La Pompe, Mr le Clown, Mr le Gendarme (qui fait encore autorité!) et les méchants lutins Sournois et Finaud. Derrière ces personnages d'un monde merveilleux idyllique qui n'existe malheureusement que dans les rêves, se cachent les voix de Brigitte Lecordier, d'Evelyne Grandjean et de Patrick Préjean. Commençons par l'ancien générique (https://youtu.be/ZVLnnd5dQGY) et une série originale (https://youtu.be/L31wJMKZiPo?list=PLFfP4sPc3a_XY_Xf0QKQgWK6dMBegXaFW), le nouveau générique (https://youtu.be/qjBwLhc5s7I), puis quelques compilations : https://youtu.be/puffsMh3iVU, https://youtu.be/KYo9LM3aahE, Zim et la Télécommande (https://youtu.be/YdylDFEpMow), Bon anniversaire Mirou (https://youtu.be/AbvQ9492488), A vous de jouer les Lutins (https://youtu.be/dCpWrAZhPcE), et Oui-Oui et la poudre magique (https://youtu.be/jIk0j4KgHWA)
UN PEU PLUS D'HUMOUR Allemand de naissance, Michel Leeb a depuis longtemps été adopté par notre pays : humoriste, acteur et chanteur, il est arrivé en France dès le plus jeune âge, où il fit très vite la joie de ses petits camarades lors des récréations grâce à ses gags, imitations et grimaces. Et d'effectuer ses premiers pas en scénographie aux côtés d'un professeur de français attentif à son talent. Au terme de brillantes études à la Sorbonne, il enseignera la philosophie au cours Florian avant d'entamer sa carrière d'humoriste. C'est à partir de ses cours de philosophie que Michel s'emploiera à imiter l'accent des différents philosophes étudiés. Ses caricatures comme « le Chinois », « le Suisse », « l'Africain » et des personnalités comme Jean Gabin, Edouard Balladur ou Julio Iglésias lui vaudront sa renommée dès les années 1980 (https://youtu.be/a8NxRY4bExE). Une de ses premières imitations sera « La machine à écrire » (https://youtu.be/QvyJdgjaFrg), ce qui lui vaudra d'être remarqué par Charles Aznavour qui l'aidera dans sa carrière. On le retrouvera aussi dans un spot publicitaire pour Baygon (https://youtu.be/JUrvsrOlao4) quelques années plus tard. Après son succès à l'Olympia en 1984, il fait son apparition à la télévision dans « Certain Leeb Show » (https://youtu.be/hHpRUfymt6s?list=PLrReCIk3l7neL40RZwyFkWFrt_gYsmdej) un an plus tard, battant ainsi des records d'audience sur Antenne 2. N'oublions pas ce spectacle « Hilarmonic Show » (https://youtu.be/g-I0UknBAkU), encore une autre facette d'un humoriste cher à notre cœur.
ACTIVONS NOS NEURONES S'il est à mon avis urgent d'attendre, j'observe le comportement des pays vis à vis des voyageurs qui souhaiteront demain parcourir à nouveau le monde. Plusieurs pays travaillent déjà à créer des accords de circulation de leurs ressortissants « vaccinés » et d'autres imaginent des systèmes de passeports vaccinaux pour voyager. Israël et la Grèce viennent ainsi de signer un accord le 8 février dernier permettant à leurs ressortissants vaccinés de se déplacer sans restriction entre les deux pays. L'Australie envisagerait d'imposer le vaccin aux futurs étrangers souhaitant venir sur son sol. L'Islande prend le même chemin en supprimant l'obligation de quarantaine pour les seuls voyageurs « vaccinés » (sachant qu'à l'heure actuelle, on ne dispose pas d'informations fiables sur le pouvoir immunisant des vaccins en question) et l'Estonie négocie déjà avec l'OMS pour développer un passeport vaccinal numérique international. De son côté, le syndicat Les entreprises du Voyage appelle lui aussi à déployer un certificat sanitaire digital (sous la forme d'un QR Code) qui permettrait de disposer d'informations à jour sur les « tests » et les vaccinations, sachant que chaque pays restera libre de décider des conditions d'accès à son territoire (tests ? Vaccin ? Mise en quarantaine ?...). Et certains pays, comme l'Espagne, de se livrer déjà à une restriction de libertés en mettant à l'amende les citoyens refusant de se faire vacciner (https://www.msn.com/fr-fr/finance/other/espagne-une-tr-c3-a8s-lourde-amende-pour-les-habitants-de-galice-qui-refusent-le-vaccin-contre-le-covid-19/ar-BB1e1mNz). Qu'il faille contrôler l'état de santé d'un voyageur ne me choque pas dès lors qu'il peut contaminer d'autres personnes. Cela semble être le cas pour la COVID. Je suis par contre plus réservé vis à vis de l'acceptation du seul vaccin (dont on ne connait d'ailleurs pas encore les effets à long terme) pour pouvoir accéder à tel ou tel pays car certaines personnes ne peuvent pas (ou ne veulent pas) se faire injecter un vaccin si récent ou tout simplement parce qu'elles comptent sur leur système immunitaire pour se protéger. Il sera très intéressant de voir le comportement des différents pays quant à leur volonté d'accueillir (en faisant preuve de tolérance) les touristes dans le respect de la Convention des droits de l'homme. Le projet de loi français qui envisageait de restreindre l'accès à certains lieux aux personnes non vaccinées avait il y a quelques mois suscité un tollé général, même si une majorité de compatriotes seraient favorables à l'obligation vaccinale pour prendre l'avion mais pas pour se rendre chez le boulanger du coin. C'est insensé ! Pendant ce temps les 27 pays membres de l'Europe discutent d'une éventuelle reconnaissance mutuelle de certificats vaccinaux, mais les avis sont pour l'instant partagés. Bref l'habituelle cacophonie. Pour l'heure, voici quelques liens relatant les effets indésirables des fichus vaccins : En Israël : https://odysee.com/@LiBERTY_VOICE:b/vacc:d Affaire à suivre !
Exposition « Peintres femmes, 1780-1830, Naissance d'un combat » du 3 mars au 4 juillet 2021 L’exposition Peintres femmes 1780-1830. Naissance d’un combat comprend environ 70 œuvres exposées provenant de collections publiques et privées françaises et internationales. L’exposition s’attache à porter à la connaissance du public une question peu ou mal connue : comment le phénomène alors inédit de la féminisation de l’espace des beaux-arts s’articule à cette époque avec la transformation de l’organisation de l’espace de production artistique (administration, formation, exposition, critique) et une mutation du goût comme des pratiques sociales relatives à l’art. L'évènement consiste à traiter une période d'un demi-siècle qui s’étend entre les années pré-révolutionnaires et la Restauration. Au Musée du Luxembourg, 19 rue Vaugirard, Paris (6è). https://museeduluxembourg.fr/fr
« Un été sous les murailles » à Belfort (90) En 2021, vivez « un été sous les murailles » à la Citadelle de Belfort… Le programme est composé d’une série d’événements musicaux (musiques anciennes, actuelles et musiques du monde), de théâtre, de danse, mais aussi de visites guidées ou théâtralisées, et activités sportives en plein air. >« Un été sous les murailles » 2021 débutera fin juin, avec le Rétro Vélo Tour (randonnée à vélo costumée), se poursuivra lors du week-end du 16 au 18 juillet avec un Festival d’Histoire Vivante multi-époques mettant à l’honneur des reconstitutions historiques dédiées au 150e anniversaire du siège de 1870 – 1871 et à la Seconde Guerre mondiale, et s’achèvera en août par une programmation musicale et dramatique et les Mercredis du Château (https://www.musees.belfort.fr/) D'autres attractions sont aussi disponibles : La Forge-Musée d’Etueffont qui conte le récit de la famille Petitjean, forgerons de père en fils au XVIIIIe et XXe siècle, ouvre à partir de 2021 pour la première fois la salle des soufflets à la visite. On plonge au cœur de la vie familiale d’antan et on découvre cette salle jusqu’à présent fermée au grand public (www.etueffont.fr). Le moulin de Courtelevant propose des visites thématiques sur la nature et le patrimoine. Une visite est consacrée à la biodiversité, et détaille le circuit hydraulique et la zone Natura 2000, tandis qu'une autre évoque le moulin au XVIIIIe siècle, les techniques de meunerie et la fabrication de farine et qu'une troisième aborde le thème de l’énergie, décrit la roue à augets de cinq mètres et présente des maquettes de moulins (www.belfort-tourisme.com). En 2021, Belfort Tourisme met en avant de nouveaux circuits découvertes thématiques, l’occasion de découvrir par soi-même la ville de Belfort ainsi que les villes de Giromagny, au pied du Ballon d’Alsace, et Delle, à la frontière de la Suisse. Grâce à ces circuits, Belfort révèle ses diverses facettes, à savoir le patrimoine, l’art dans la rue, les lions ou encore les incontournables du Monument préféré des Français 2020. Ces quatre circuits ainsi que ceux de Giromagny et Delle existeront également en version audio. On se laisse alors conter les histoires des villes avec l’application gratuite IZI Travel. Les Français et les vacances L’étude annuelle « Vacation Deprivation » révèle que 88% des Français accordent plus de valeur aux vacances après une année 2020 morose et comptent bien tirer profit de cette nouvelle année pour profiter pleinement de leurs congés. 70% des Français ont le sentiment de ne pas avoir assez de vacances, 2% de plus qu’en 2019 (68%), malgré une réserve confortable de 30 jours de congés en moyenne par an. La France se place ainsi dans le top 5 des pays les plus en mal de vacances derrière Singapour (#1), l’Italie (#2) et la Corée du Sud (#3) et devant la Malaisie (#5). Et pourtant, 81% des Français posent chaque année la totalité de leurs congés (contrairement aux autres pays) et disposent du plus grand nombre de jours par an parmi les 16 pays interrogés. Aujourd’hui, 40% des Français détiennent une liste de destinations vers lesquelles ils souhaiteraient pouvoir enfin s’envoler. Depuis le début de la pandémie, cette fameuse liste n’a cessé de s’allonger, 63% d’entre eux n’ont en effet pas fini de l’étoffer. Les nombreuses restrictions et les confinements n’ont donc pas eu d’effet sur l’inspiration des voyageurs. La pandémie reste certes un frein au voyage mais n’a pas balayé leurs rêves de s’évader dès qu’ils en auront la possibilité. L’étude révèle également qu’ils sont même prêts à consacrer plus de budget que prévu (54%) pour se rendre vers l’une de leurs destinations favorites. Aujourd’hui plus que jamais, les Français accordent une plus grande importance aux vacances passées en famille (66%) et entre amis (62%). Plus d’un Français sur deux est à la recherche de nouveautés et a un besoin accru d’échapper à sa routine. Mais les habitudes des Français ont encore la vie dure. Bien qu’ils souhaitent accorder plus d’importance à leurs vacances et profiter au maximum de chaque instant, seuls ou avec leur entourage, les Français ont encore des difficultés à se couper complètement de leur travail et à déconnecter par rapport aux autres pays interrogés. Quand il s’agit de technologie, 35% souhaitent ne pas avoir à consulter leurs courriels professionnels et privés, et seuls deux Français sur dix accepteraient de vivre sans technologie pendant leurs vacances.
Marseille (13) se met au vert l’Office Métropolitain de Tourisme et des Congrès de Marseille a prévu d’inclure, plus que jamais le développement durable au cœur de sa stratégie : Depuis le 1er février l’Office Métropolitain de Tourisme et des Congrès de Marseille s’est lancé dans un processus de certification ISO 20 121. Cette norme dédiée au secteur événementiel a un objectif d’éco-responsabilité et de limitation de notre empreinte carbone. La certification est prévue pour l’été 2021. Marseille prévoit aussi de rentrer dans le GDS Index (classement international de bonnes pratiques via un score exprimé en %) à la fin de cette année. N'oublions pas non plus que label clef verte (premier éco-label hôtelier reconnu dans le monde) vient d'être accordé à neuf hôtels marseillais :Nhow Palm beach, Carré Vieux-Port, le Ryad Boutique hôtel, la Résidence du Vieux-Port, Hôtel 96, Intercontinental, Best western plus la Joliette, Terminus saint Charles et le C2. Par ailleurs, il est prévu de construire des parcours touristiques raisonnés, différents, hors des quartiers déjà très fréquentés. Par exemple : « Balade buissonnière, la biodiversité en ville » ou « Mazargues dans tous les sens », … et bien sûr la mise en avant des prestataires ayant fait le choix du « green » sera renforcée (bateau électrique, ebike, twizy, restaurant solaire …). Le « verdissement » des activités touristiques sera sans aucun doute un facteur d’attractivité et de compétitivité de la filière en sortie de crise.
Et si vous visitiez le lot (46) Ce beau département offre depuis peu son lot de nouveautés pour l'année 2021 : une nouvelle exposition « l'Empreinte du coeur » prendra place au Musée Champollion de Figeac du 12 juin au 26 septembre (https://www.musee-champollion.fr/). Cette exposition s'intéressera à la Chine et plus particulièrement à la calligraphie. A travers la présentation de calligraphies de styles différents et d’époques anciennes ou récentes, l’exposition tentera de sensibiliser les visiteurs à la philosophie entourant cette pratique où le lien entre l’esprit et le corps est prégnant. Considérée comme la forme suprême de l’art, la calligraphie met en lumière la sensibilité du calligraphe, l’empreinte de son cœur. La présentation d’objets de lettrés, pierre à encre, pinceaux, godets mais aussi d’objets d’inspiration complétera la découverte de l’univers du calligraphe. Tandis que des œuvres plus récentes interrogeront sur l’évolution de cette pratique et son rapport à l’art contemporain. Le Château de Saignes (https://chateau-de-saignes.com/le-chateau-de-saignes/) plonge le visiteur dans la vie quotidienne du Moyen-Âge tardif (XIIIe – XVe) et du début de la Renaissance (XVe – XVIe). Cette demeure fut la propriété de la famille Lagarde au XIVe siècle, dont notamment celle de Pierre Lagarde de Saignes, qui fut l’un des ambassadeurs extraordinaires de François Ier et grand personnage pour le château de Saignes. La totalité du château n’étant pas encore restaurée, il a encore beaucoup de choses à nous dire...
Êtes-vous un « Revenge Traveler » ? D'après le cabinet Simon-Kucher & Partners, une courte majorité des sondés (53%) s’attend à pouvoir voyager à nouveau en 2021, pour la plupart lors du second semestre de l’année. Pour les autres, l'incertitude prévaut : un quart d’entre eux ne sait pas quand il voyagera à nouveau. Le manque de visibilité des foyers sur leurs revenus pèse sur le budget alloué au voyage, mais cette situation devrait être temporaire et est prometteuse quant au rebond du secteur L'étude montre que 61 % des voyageurs français entendent dépenser autant ou plus pour leurs voyages en 2021 qu'avant la pandémie. Le consommateur français est à cet égard plus conservateur que ses pairs, puisque 70% des sondés au niveau mondial sont dans ce cas de figure. Un revenge-traveler est un voyageur prêt à dépenser autant d'argent voire plus qu'avant la pandémie. Les Français indiquent favoriser des voyages domestiques, ce qui est un motif d’espoir pour les acteurs du tourisme et des loisirs en France. Ces « revenge travelers » prévoient de dépenser encore plus en voyages post-pandémie (la même tendance avait déjà été observée en Asie à l'automne 2020, où les restrictions liées au virus avaient commencé à être levées). Et la Chine de montrer l'exemple: selon Bloomberg, les voyages de loisirs ont atteint 80 % du niveau d'avant la Covid-19 lors de la Golden Week, une reprise prometteuse au vu de la situation actuelle. Sur l'ensemble des consommateurs interrogés, environ 10 % appartiennent actuellement à ce segment des "revenge travelers", et ce chiffre pourrait augmenter. Quant aux « revenge travelers » français, ils se disent prêts à dépenser plus pour l'hébergement et le transport lorsqu'ils recommenceront à voyager, ce qui ouvre des perspectives intéressantes pour l’écosystème du tourisme.
Orléans insolite (45) Voici six activités hors du commun à pratiquer lors de votre venue à Orléans (Loiret) :
A Dives-sur-Mer (14), un circuit qui ne manque pas de « selle » >Il y a plus de 950 ans, Guillaume le Bâtard vint armer sa flotte à l’abri de l’estuaire de la Dives, pour s’en aller conquérir le trône d’Angleterre. Après 3 mois de préparation, près de 1 000 navires et 15 000 hommes prirent le départ.Les références à cet ambitieux chantier et à la présence de l’illustre duc sont nombreuses à Dives, comme la liste des compagnons gravée sur un mur de l’église ou les blasons qui ornent les piliers des halles médiévales.La ville a également fait l’acquisition de neuf statues, créées par un artiste contemporain, à l’effigie de Guillaume et de ses plus fidèles seigneurs.Ces statues matérialisent un circuit de 5 km, accessible à tous. Chacune d’entre elles est accompagnée d’un panneau qui détaille les temps forts de cette aventure : du départ au couronnement de Guillaume, sans omettre la bataille d’Hastings.Plus communément appelé Port-Guillaume, le port de plaisance propose 900 places d’amarrage, dont 600 à flot. 35 places sont réservées aux visiteurs. Abrité des vents, confortable et bien équipé (accès sanitaires et wifi gratuits, aire technique avec élévateurs à bateaux jusqu’à 30 tonnes, station de carburant ouverte 24h/24), il est très apprécié des marins d’un jour ou de toujours.Depuis le port, Cabourg est accessible en quelques minutes grâce à une passerelle piétonne. Les centres-villes de Dives sur- Mer et de Houlgate sont également à proximité immédiate du port, à pied ou en vélo (possibilité de location sur place).Sur la Côte Fleurie, Port Guillaume est le seul port de plaisance à jouxter un port de pêche. La criée est ouverte tous les matins, de 8h30 à 12h30. https://www.dives-sur-mer.fr/tourisme
La Maurienne (73) à coups de pédale le massif de la Maurienne multiplie les circuits à vélo et en inaugure trois nouveaux en 2021
https://www.velo-maurienne.com/
Conférence « Les Vendanges du savoir », le 2 mars 2021 à 19h00, à la Cité du Vin (Bordeaux) Pour ce 3 ème rendez-vous de l’année, le mardi 2 mars à 19h, les Vendanges du Savoir s’intéresseront à la place du vin dans la littérature du XIX siècle avec Qui a lu…boira la fiction du vin au XIXème siècle. Des scènes de repas populaires aux repas d'affaires, en passant par les réceptions, le vin, véritable marqueur social, en dit long sur les habitudes, les goûts, les failles de la société. Il fournit en retour à la littérature un matériau narratif et un imaginaire particulier. En partenariat avec l’Institut des Sciences de la Vigne et du Vin, l’université de Bordeaux et l’université Bordeaux Montaigne et avec le soutien de la société Baron Philippe de Rothschild et de la fondation Bordeaux Université, cette conférence sera animée par Béatrice Laville, professeur de littérature à l'université Bordeaux Montaigne. Inscriptions sur : https://www.laciteduvin.com/fr/vivez-la-cite-du-vin/evenements-spectacles/qui-luboira-lafiction-du-vin-au-xixeme-siecle
Bienvenue à la revue « Pays » Un nouveau média vient de naître avec pour ambition de comprendre une destination en grattant derrière la carte postale et son premier numéro est consacré à Saint-Malo. La revue, conçue et imprimée en France, se consacre à chaque numéro à un seul et même territoire. Qu’il s’agisse d’une ville, d’une région ou d’un quartier, Pays ajuste la focale pour traiter des problématiques globales par l’angle du local. Enquêtes, reportages, portraits, cartes et infographies, Pays passe par un territoire pour mieux appréhender notre société. À tous les curieux et toutes les curieuses, amoureux et amoureuses d’un village, de leur région natale, à ceux qui gardent précieusement les souvenirs des étés chez leur grand-mère dans le Périgord, qui aiment les randonnées au bord de mer sur les sentiers de la Côte d’Émeraude… ou qui ont grandi aux portes de Paris, Pays veut donner le goût de comprendre et de prendre du recul sur les territoires qui nous entourent et que nous chérissons. Pays, revue de reportages, veut raconter et mettre en perspective le quotidien des habitants et habitantes de ces régions. Le premier numéro de la revue, à paraître le 25 mars 2021, est consacré à Saint-Malo et ses alentours. Le nom évoque les cartes postales des vacances d’été passées au bord de l’eau. Car oui, Saint-Malo est avant tout une destination touristique. Entre juillet et septembre 2019, près d’un million de personnes (pour 46000 habitants à l’année) ont foulé le sol de celle qui s’est targuée d’un surnom : la cité corsaire. Mais derrière la photographie, propre sur elle, d’une ville fortifiée et de ses environs chatoyants, se cache un portrait plus contrasté. https://www.pays-revue.com/ Précommande possible sur https://boutique.pays-revue.com/
Yves
Le Cathédraloscope, ou le mystère des cathédrales (Dol-de-Bretagne, Ille-et-Vilaine, France)Les Gaulois l'appelaient Dol (méandre) ou « lieu bas » pour les Bretons car l'endroit était en zone inondable. Bien que nous ne soyons qu'à une encablure de Saint-Malo et du Mont Saint-Michel, cette cité mystérieuse qui fut autrefois l'un des premiers évêchés de Bretagne recèle plus d'un trésor et révèle bien des secrets pour peu qu'on s'attarde un peu sur son histoire. Outre sa cathédrale, Dol-de-Bretagne abrite l'unique Cathédraloscope de France que tout un chacun est convié à découvrir s'il veut plonger dans le mystère des cathédrales. (...)  Lire la suite Leglobeflyer |
