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Lettre envoyée le 15/03/2021
Lundi 15 mars 2021 La Lettre N°525
En vert...et contre tout !
En agissant comme ils ont fait récemment sur le tarmac de l'aéroport Roissy CDG (Paris) en bariolant de peinture verte un Boeing 777 d'Air France, Greenpeace ne s'est pas grandi. En s'en prenant à l'outil de travail de milliers de salariés de la compagnie française, ils ont affiché là leur bêtise habituelle, leur jusqu'au-boutisme et leur côté dictatorial. D'autant plus que si la totalité de leurs actions n'est pas condamnable, ils se sont attaqués là à un groupe aérien qui n'a de cesse d'intégrer le combat contre la pollution en développant, entre autres et depuis plusieurs années, un carburant « vert » et le tri des déchets,...alors Messieurs les donneurs de leçons, rentrez au placard ! Les citoyens du monde, eux ne supputent pas mais sont chaque jour confrontés à la vie réelle, existence dans laquelle le transport aérien a toute sa place : sans 8000 Boeing 747 pour transporter les doses vaccinales contre la Covid 19 (données IATA), quid du combat contre la crise sanitaire ? Que proposez-vous à la place ? Il ne suffit pas d'avoir « la main verte » sur les carlingues d'avions pour faire avancer le schimblick. A part « déféquer dans la sciure », réclamer la fermeture des centrales nucléaires, ou utiliser une pauvre gamine suédoise souffrant d'autisme (qui fait tourner ses parents en bourrique pour manger végé) au service de votre idéologie écologique teintée de misérabilisme, que faites-vous ? Vert de rage, je le suis, c'est vrai: il est temps de dire au monde ce qui se cache en réalité derrière l'écologie car l'Histoire est souvent très instructive. L'écologie n'est pas cette jolie théorie qu'on veut bien nous faire croire mais a pour origine l'écofascisme (ou écototalitarisme), une théorie qui vit le jour durant la première moitié du 19è siècle en Allemagne par Ernst Moritz Ardnt et Wilhelm Heinrich Riehl. Le plus hargneux des deux est sans doute le premier, écrivain prussien, patriote pour les uns, nationaliste et antisémite pour les autres, mais aussi anti Napoléon et... anti-français. Pas vraiment enfant de choeur, cet individu sera d'abord enthousiaste quant aux idées de la Révolution française pour s'en détourner lors de la Terreur (sans doute gêné par la couleur rouge du flot de sang des massacres perpétrés à l'époque par la Révolution «purificatrice ») et partir « se mettre au vert ». Et de décrire alors les Français que nous sommes comme « affaiblis, efféminés et dépravés » face au peuple allemand qui lui, aura toutes les vertus (nos aïeux le constateront lors des guerres de 1870, 1914 et 1939). Morceau choisi :« Les Allemands ne sont pas abâtardis par les nations étrangères, ils ne sont pas devenus des métis, ils sont restés, plus que beaucoup d'autres peuples, dans leur pureté innée et ont pu développer, à partir de cette pureté, leur art et leur nature, lentement et silencieusement (…) »(source:Wikipédia). Et Ernst Moritz Arndt de développer une théorie mélangeant l’amour de la terre et un nationalisme xénophobe. Quant au second, Wilhelm Heinrich Riehl, il se construit sur l’héritage de Arndt en mettant un accent particulier sur le romantisme agraire et la haine des villes. Les théories d’Arndt et Riehl trouvent un écho favorable dans la deuxième moitié du XIXè grâce au développement du mouvement völkisch, que l’auteur définit comme un « populisme ethnocentrique avec un mysticisme de la nature ». Concrètement, le mouvement prône un retour à la terre et à la vie simple et s’attaque au rationalisme, au cosmopolitisme et la civilisation urbaine. Puisque l'occasion fait le larron, rappelons les actes « utiles, constructifs et légaux » de notre compagnie aérienne nationale qui n'a de cesse de relier les humains entre eux depuis toujours (contrairement aux écolos « terre à terre », éternels lanceurs de polémiques et pourfendeurs de coups d'éclat !) Pour ne parler que de l'année 2020 (je le sais, j'y étais), Air France a assuré un pont aérien entre notre pays et la Chine pour acheminer du matériel médical en urgence, a rapatrié 120000 ressortissants français bloqués à l'étranger en pleine pandémie, a envoyé une logistique d'urgence à nos amis libanais après l'explosion d'août 2020 à Beyrouth, et a transporté des millions de doses de vaccin. Je ne parle pas de l'engagement des navigants par le biais d'Aviation sans frontières (ASF) aux côtés d'APHP et des EPAHD durant la crise sanitaire. En ce bas-monde, il y a ceux qui sont dans l'action et qui construisent la société dans laquelle on vit (oh, je ne prétends pas que celle-ci soit parfaite mais la perfection existe t-elle?) et Greenpeace qui fonde son existence sur des actions directes très médiatisées d'une part, et sur la sensibilisation des citoyens pour faire prendre conscience au plus grand nombre des dangers menaçant notre planète d'autre part. Ce qui est plutôt vertueux. Mais que penser des combats passés de Greenpeace contre les barrages hydro-électriques (qui produisent pourtant une énergie non polluante et renouvelable), contre l'utilisation pure et simple du chlore au niveau mondial (ce qui est une hérésie scientifique) et finalement contre l'espèce humaine elle-même ? Vinrent les OGM, et le riz doré (dont les plants expérimentaux seront arrachés) qui aurait pu sauver des milliers de vie chaque année...et l'opposition à l'énergie nucléaire (qui ne produit pas de CO2) ? Aveuglé par son instinct partisan et destructeur, l'organisation en question ne représente pas l'idée que je me fais personnellement d'un écologiste, à savoir quelqu'un qui base ses raisonnements sur la science et la logique et non sur sur le sensationnalisme, la désinformation et la peur. Quelqu'un qui se préoccupe des besoins en nourriture, en énergie et en ressources naturelles d'une population de plus de sept milliards d'individus. En se penchant sur les origines de Greenpeace, on découvre David Mc Taggart, un environnementaliste canadien qui joua un rôle central dans la fondation et le développement international d'une organisation à la structure dirigeante autoritaire. L'homme ruiné par ses affaires trouvera là une occasion de se refaire, usant d'un marketing efficace pour attirer vers lui les dons. Une masse d'argent qui, loin s'en faut, ne sera pas dépensée uniquement pour préserver l'environnement. Les dirigeants de Greenpeace ne voyagent en effet qu'en classe Affaires (tiens, je croyais que l'avion polluait !...), mangent dans les meilleurs restaurants (pas dans les cantines lyonnaises!) et mènent une vie de jet-set écologiste. A chacun son monde, et ses magouilles : les révélations de l’ancien comptable de Greenpeace Hollande, Frans Kotte, dans un documentaire intitulé The Rainbow Man (1993) et réalisé par le journaliste Magnus Gudmundsson sont reès instructives. Kotte explique que Greenpeace avait plusieurs comptes secrets de quelques dizaines de millions de dollars, alimentés par les différentes campagnes. Selon lui, ces comptes étaient ouverts au nom de sociétés écrans et n’étaient accessibles qu’aux plus hauts responsables de Greenpeace, dont David McTaggart. Or, toujours selon Klotte, cet argent était joué dans diverses opérations de spéculation sur les marchés internationaux. De plus, Kotte révèlera que les 20 millions de dollars versés par la France à Greenpeace, suite à l’affaire du Rainbow Warrior, se sont retrouvés sur le compte d’un mystérieux Ecological Challenge Fund, dont le gérant était David... McTaggart. C'et ce qui s'appelle « employer le vert et le sec » (employer tous les moyens) pour arriver à ses fins. En dépit de ses défauts, la croissance économique a quand même du bon, n'est-ce pas ? En fait, je me suis toujours méfier des grandes causes pleines de bons sentiments, certaines d'entre elles servant à dissimuler des causes bien moins louables. Et je ne suis pas dupe des idéologies dissimulées derrière l'étiquette verte, que certains surnomment « pastèque » (pour ma part, ce qui me gêne dans ce fruit, ce n'est pas la couleur mais...les pépins!). D'autre part, l'illogisme écologique conduisant à condamner l'énergie nucléaire au profit de l'éolien (ces moulins à vent géants qui enlaidissent tant le paysage), à préférer les voitures électriques (dont les batteries sont loin d'être « propres »), à imposer aux gens des décisions unilatérales (comme à Lyon où le maire décide de n'offrir que des repas végétariens) ou à faire la leçon aux citoyens ne me dit rien qui vaille, car, au final, tous ces gens, « c'est chou vert et vert chou » (Bonnet blanc et blanc bonnet) comme on dit en Belgique.
Sources & références :
LE CLIN D'OEIL DE VALERIE ! Rien n'est plus doux qu'avoir un chez-soi confortable qui reflète un endroit où l'on passe, depuis un an, encore plus de temps que d'accoutumée entre confinements et couvre-feux. Etre enfermé(e) entre quatre murs peut très vite devenir pesant à moins d'orner ces espaces d'images de rêve. Autrefois,on enduisait les parois de plâtre, puis vint le temps de la peinture puis du papier-peint (dont la pose s'avérait délicate lorsqu'on oubliait de mettre les « fleurs » dans le bon sens ou si l'on négligeait les joints entre deux lés). Désormais, il existe des photos géantes qui peuvent être collées au mur et vous donner l'impression de faire partie d'un décor en trompe-l'oeil. L'entreprise française Koziel (https://www.koziel.fr/fr/) propose depuis presque quinze ans des décors exclusifs, où les détails sont représentés avec force. Pour 330€, vous obtenez par exemple un papier-peint panoramique de 2,50m X 2,65m, colle incluse. Quant aux trompe l'oeil, vous êtes livrés immédiatement si l'on commande des panneaux existants alors que quelques jours supplémentaires sont nécessaires pour créer votre panneau personnalisé (par exemple, à partir d'une photo). Cerise sur le gâteau, Koziel propose tapis et coussins assortis au panneau mural. Il existe également des décors à accrocher, en trois ou cinq panneaux, et à des prix défiant toute concurrence. Ces décors sont vendus par Jiaorlei (https://www.amazon.fr/JIAORLEI-Impression-Intissee-Decoration-Artistique-Without/dp/B08KP4ST1G), First Wall Art (https://www.amazon.com/stores/FirstWallArt/Homepage/page/51E4B425-E25D-49F7-A0D0-262EE3557CD1) ou DekoArte (https://www.amazon.fr/stores/DEKOARTE/DEKOARTE/page/953CCF58-DE8D-4CA7-B99A-78AC279D2ABA). Dernière solution : Orner votre mur d'une planisphère en relief 2D et 3D. C'est plus cher mais l'achat en vaut la peine. L'oeuvre, réalisée en bois, offre un décor de qualité et est le fruit d'un travail de longue haleine (https://youtu.be/RmjnCsmhmFA). Pour plus de détails, rendez-vous sur le site de Yourworldmap (https://yourworldmap.eu/).
SEQUENCE NOSTALGIE : Créée par Jacques Martin et Bernard Lion, « Le Petit Rapporteur » fit les beaux jours de la première chaine de télévision française, chaque dimanche à 13h20 et de 1975 à 1976. Véritable journal télévisé, avec de vrais journalistes, ce programme, avec Jacques Martin pour présentateur (https://youtu.be/kLe5y1KKjB8, https://youtu.be/tFJlHR9BfpA , https://youtu.be/Sn5znSBasTc ) et rédacteur en chef, traitait de l'actualité sous un angle satirique (https://youtu.be/G0IvhaeBCpU, ) en la prenant par le petit bout de la lorgnette.. L'équipe avait pour protagonistes Pierre Bonte, (qui parlait de personnages attachants de la France profonde)(https://youtu.be/LOm58Sm3GvA , https://youtu.be/tmpa5IFrAJo, https://youtu.be/m_R1e-Qi474, https://youtu.be/DQHaJYpkDo8), Piem (qui abordait l'actualité hebdomadaire par le dessin) (https://youtu.be/0Qkg2s_atdA), Stéphane Collaro (https://youtu.be/FAIGbvA9ej4, https://youtu.be/xwmgGoOv6-o), Robert Lassus et Philippe Couderc. Ces deux derniers seront bientôt remplacés par Pierre Desproges et Daniel Prévost (https://youtu.be/EUqCM3Kb-wU, https://youtu.be/ot3IZVZWmNc). L'accroche satirique du Petit Rapporteur (dont la devise était « Sans la liberté de flatter, il n'est pas d'éloge flatteur ») dérangera la direction de la chaine, et l'émission poursuivra sa diffusion sur Antenne 2 de 1977 à 1978 sous le nom de « La Lorgnette » avec une équipe reconstituée (dont Alain Scoff, Laurent Cabrol et le dessinateur Dadzu, en remplacement de Piem). Côté générique, on se souvient encore des chansons « A la pêche aux moules » (https://youtu.be/pMYd-Ax3xZc), « Mam'zelle Angèle » (https://youtu.be/QscKIjah2GY ) et de « la Grande Ritournelle » composée par Erik Satie en 1920 (https://youtu.be/Y_0ht2xTHZY).
UN PEU PLUS D'HUMOUR : Port du masque ou pas port du masque ? Les autorités elles-mêmes se contredirent avant de se raviser sur les conseils du Professeur « Défraichi ». En voilà un par contre qui pose le problème de cette incohérence sans se voiler la face en Absurdie ! https://www.youtube.com/watch?v=mWQ3rJXUS48
ACTIVONS NOS NEURONES : Ceux qui souhaitent acquérir un véhicule d'occasion prochainement devront être vigilants car, au pays des taxes, impôts et lourdeurs administratives, se profilent huit nouvelles contraintes qui pourraient bien vous faire perdre votre argent en vous interdisant d'utiliser votre bien. En effet, en 2022, tout nouveau modèle devra obligatoirement être équipé de huit équipements encore parfois optionnels. Et ces équipements de risquer de s'avérer également obligatoires sur les véhicules d'occasion. Les huit équipements sont le freinage automatique d'urgence (détection automatique du piéton qui débouche de nulle part), l'avertisseur de perte d'attention (cette caméra qui scrute votre regard et détecte chez vous les risques de somnolence et de distraction), l'alerte d'excès de vitesse (un bip est émis en cas d'allure excessive, mais système imparfait), la détection en marche arrière (caméra de recul, plus efficace que le simple radar de recul, car elle permet de visualiser l'espace derrière votre véhicule), le signal de freinage d'urgence (qui consiste à faire clignoter les feux stop pour prévenir les autres d'un freinage brutal), le correcteur de trajectoire (qui tourne le volant à la place du conducteur si le conducteur sort de sa voie. Le système fonctionne sur les routes équipées de bandes blanches propres!), la boite noire (qui enregistre les paramètres de conduite dans les minutes précédant une collision afin de permettre d'analyser les causes de l'accident) et la prise d'installation d'un éthylomètre antidémarrage (de plus en plus prescrit pour les récidivistes de la conduite sous alcoolémie). Roulez jeunesse !
BONUS : Regardez jusqu'au bout cet entretien du Professeur Dolores Cahill concernant la Covid19 : https://infovf.com/video/les-mondialistes-gagneront-pas--7961.html
La forêt de Fontainebleau (77)soutient la Journée internationale des forêts Les forêts abritent 80% de la biodiversité terrestre, essentielle pour garantir la santé humaine et animale. Et si vous profitiez des premiers rayons de soleil du printemps pour en apprendre plus sur la forêt, sa beauté et tous les services inestimables qu'elle nous rend au quotidien ? Dans le cadre de la 8ème saison de la Journée internationale des forêts, l'Office de Tourisme de Fontainebleau organise ces 19 et 20 mars deux visites exclusives en forêt de Fontainebleau, espace classé Réserve Mondiale de Biosphère par l'UNESCO. L'occasion pour les familles de (re)découvrir l'incroyable biodiversité et la richesse des écosystèmes de ce site naturel aux paysages variés avec 1200 espèces animales et végétales... Et de donner à tous l'envie de mieux connaître la Nature pour mieux la protéger. C'est la première année que Fontainebleau Tourisme, l'office de tourisme du Pays de Fontainebleau, participe à cet évènement national au travers d'une balade guidée qui permettra de découvrir les curiosités de la forêt et d'en explorer toutes les richesses naturelles. Avec, en prime, un passage par la Tour Denecourt, point d'observation offrant une vue unique à 360° sur le massif de la forêt de Fontainebleau. La visite démarrera de la gare de Fontainebleau-Avon et aura lieu le 19 mars 2021 à 14H00 (durée 2 heures) - Rendez-vous sur le parvis de la gare SNCF de Fontainebleau-Avon. Gratuite sur réservation préalable obligatoire, nombre de places limité :info@fontainebleau-tourisme.com, 01 60 74 99 99. Plus d'infos sur www.fontainebleau-tourisme.com et sur https://www.journee-internationale-des-forets.fr/recherche/activite/?event_id=3192
2021, année du 150e anniversaire de la Commune de Paris La Ville de Paris souhaite commémorer cet événement en organisant une large programmation mémorielle et culturelle du 18 mars au 28 mai 2021. Dans le respect des gestes barrières, cette programmation, prévoit des temps forts organisés par la Ville, les arrondissements et les associations, des initiatives culturelles et ludiques, moments festifs et participatifs, et des hommages dans l'espace public. Ce 18 mars, la programmation débutera par une présentation de l'exposition « Nous la Commune ! », avec le déploiement de silhouettes de communards créées par l'artiste Dugudus, dans le square Louise Michel (18e). L'exposition circulera ensuite des grilles de l'Hôtel de Ville à celles des Buttes Chaumont puis celles de la Gare de l'Est. Une autre exposition, créée par le Comité d'Histoire de la Ville de Paris voyagera également sur différentes grilles pour rappeler les grandes séquences de ce moment essentiel de l'histoire de Paris. Par la suite, au fil des 72 jours qu'a duré la Commune de Paris, on pourra découvrir dans les arrondissements des pièces de théâtre, pour certaines immersives et en plein air, évoquant des épisodes essentiels de la Commune, tel Le Pari de la Commune, rue de la Fontaine au roi (11e), sur le site même de la dernière barricade. Des conférences et débats réuniront historiens et universitaires, à l'image du colloque organisé au Petit Palais par le Comité d'Histoire de la Ville de Paris, des temps forts d'éducation populaire notamment au Pavillon Carré de Baudoin ou encore des promenades guidées sur les traces de la Commune, ainsi que la projection du documentaire « Les damnés de la Commune » sur le Parvis de la mairie de Paris centre, seront proposés aux Parisiens. Les bibliothèques de la Ville de Paris s'associent également à cette programmation en proposant des conférences et des expositions, à noter, par exemple, celle consacrée aux Femmes de la Commune initiée par la bibliothèque Marguerite Durand. À l'Hôtel de Ville en particulier, si la situation sanitaire le permet, le 2 avril, des lectures et des chants de la période seront donnés sur le Parvis. À la suite de cet événement, une évocation du procès de Louise Michel se tiendra dans la Salle des Fêtes. Deux fresques éphémères seront également réalisées et plusieurs hommages seront rendus notamment à certaines femmes de la Commune oubliées (inaugurations du jardin Paule Minck dans le 20e, de la rue Anna Jaclard et de la passerelle André Léo dans le 12e). Pour les 150 ans de la commune, la Ville de Paris veut rendre hommage, aux communards militants, mais aussi aux anonymes du peuple parisien, qui se sont mobilisés pour la création de la Commune de Paris. Et ce faisant, donner l'occasion aux Parisiens, et particulièrement aux plus jeunes, de mieux connaître ou de découvrir cette histoire du peuple de Paris. Plus de détails sur https://quefaire.paris.fr/115113/150-ans-de-la-commune-de-paris A la tienne Etienne ! Avec le retour des beaux jours, l'oenotourisme compte bien reprendre ses droits en accueillant les visiteurs assoiffés de découverte de paysages et de dégustation de cépages. Intéressons-nous ici à la mythique Vallée du Rhône, à Cognac pour les amateurs de spiritueux, en passant par la Provence, au cœur des plus beaux vignobles de France.
La Saint Patrick en Irlande L'île d'Irlande est le meilleur endroit au monde pour célébrer la Saint-Patrick. Mais dans la mesure où l’on ne peut malheureusement pas voyager sur l'île d'Émeraude en ce moment, Tourism Ireland a décidé d’apporter la Saint-Patrick dans les foyers.« St Patrick's Day at Home with Tourism Ireland » est un spectacle unique de 90 minutes qui sera diffusé en direct le 17 mars depuis trois pubs très populaires de Dublin, Belfast et de la jolie ville côtière de Dingle dans le comté de Kerry. Au programme, tous les éléments d'une soirée de Saint-Patrick : la légendaire convivialité irlandaise, de la musique et de la danse irlandaises traditionnelles et modernes ainsi que de nombreuses surprises. Cette soirée sera retransmise en direct sur les chaînes Facebook et YouTube de Tourism Ireland, et mettra également à l’honneur quelques-uns des monuments du monde qui s’illumineront en vert à travers le monde pour marquer ce grand jour. L’émission débutera au Johnnie Fox’s, le plus haut pub d’Irlande, niché dans les montagnes de Dublin. Ce bar traditionnel date de 1798 et est célèbre pour son excellente table et ses soirées « Hooley Show » de musique et de danse irlandaises très animées. Un groupe de percussions, The Celtic Drummers, connu pour sa fusion de rythmes modernes et tribaux, y ouvrira les festivités. Rendez-vous ensuite au Duke of York à Belfast, un pub riche de plus de 200 ans d'histoire au cœur du quartier pavé de la Cathédrale. Là, les Shamrock Tenors, un nouveau groupe d'harmonie basé en Irlande du Nord, mixera des mélodies celtiques traditionnelles et des chants modernes. À Dingle, l’émission sera diffusée depuis un pub légendaire, le Dick Mack’s. Incontournable de la ville depuis 1899, cette auberge à double fonction, pittoresque et originale, est typique du Wild Atlantic Way, la côte sauvage de l’Irlande. Dick Mack's propose de la bière et une belle sélection de whiskeys d'un côté du bar, une maroquinerie de l'autre, ainsi que d’authentiques alcôves en bois, le tout dans une ambiance très conviviale. La célèbre Guinness Storehouse à Dublin participera aussi à l’événement, grâce à un maître brasseur qui montrera comment se verser une pinte parfaite avec une canette. Enfin, Riverdance-The Academy proposera un cours de danse avec deux danseurs de la troupe, et pour que vous puissiez participer activement aux airs qui seront diffusés, une mini-académie de musique vous apprendra à jouer des cuillères.
Application gratuite CITYGEM CityGem, l'application des flâneries urbaines, inédite et gratuite, est téléchargeable depuis ce mois-ci sur iOS et Androïd. Elle vous propose à travers des parcours audioguidés de découvrir ou redécouvrir les merveilles urbaines qui nous entourent. À pied, à trottinette, à vélo, à scooter, en voiture quel que soit le mode de transport choisi, avec Citygem, les amateurs de balades urbaines peuvent désormais aller à la découverte des merveilles qui les entourent. Simple d’utilisation et gratuite, Citygem est une application mobile qui agrège toutes les fonctionnalités permettant de flaner librement et sans effort : géolocalisation, filtres (thématiques, modes de transport, durée et distance), audioguidage GPS, contenu audio, textuel et photographique avec déclenchement automatique. Pour son lancement l’application propose près de soixante parcours, entièrement imaginés et testés par une équipe créative, dans neuf villes françaises. L’application comptabilise déjà à ce jour 730 lieux d’intérêt remarquables. Et les parcours d'être classés par thèmes : architecture, art, histoire, insolite, green, charmant, incontournable ou multi thématiques appelés « flânerie ». https://www.citygem.app/
Nouveau Musée des Emaux à Longwy (54) en 2023 L’ancien siège de la banque de France situé dans la ville basse, qui a été racheté par la municipalité au milieu des années 2000 abritera ce nouveau musée. Ce Musée des arts céramiques de Longwy, en préparation depuis quatre ans pour mettre en avant un « art du feu », est attaché à la Lorraine et à la ville depuis plus de deux siècles et sa collection permanente, déjà riche de plus de 1 400 pièces exceptionnelles. https://museedesemaux.wordpress.com
2021, année Napoléon : Exposition « Autour des collections de porcelaines de Joséphine, regards de Setsuko » , du 17 mars au 3 mai 2021, à Rueil-Malmaison (92) >Ou comment la personnalité de l’impératrice Joséphine et son goût pour la porcelaine ont inspiré l’artiste Setsuko. Symbole d’un art de vivre raffiné, la céramique reprend la place d’honneur qu’elle avait perdue avec la Révolution et pare somptueusement la table de l’Empereur et de l’Impératrice. Au-delà du soutien économique à l’industrie française voulu par Napoléon, les nombreuses commandes que Joséphine passa, tant à la manufacture impériale de Sèvres que dans les manufactures privées parisiennes ou étrangères, démontrent son réel intérêt pour cette branche des arts décoratifs. Le goût pour la nature et la botanique qui l’anime inspirent également les céramistes qui lui fournissent ses services. Setsuko Klossowska de Rola partage ces deux mêmes passions et ses œuvres, qui puisent leur inspiration dans le monde végétal et animal, passions qui sont comme un écho aux collections de l’Impératrice. A noter : une conférence avec Setsuko Klossowska de Rola - Isabelle Tamisier-Vétois à la Médiathèque de Rueil le mercredi 14 avril, à 20 h 30. https://musees-nationaux-malmaison.fr/chateau-malmaison/
Exposition « La Forêt des Autres » de Christian Lapie Eyrignac & ses Jardins et le château du Domaine départemental de Campagne accueilleront à partir du mois d’avril 2021 les œuvres du sculpteur et peintre Christian Lapie. Une exposition articulée sur deux sites, qui proposera aux visiteurs une relecture de ces deux lieux culturels induite par la présence des œuvres de Christian Lapie. Œuvres au noir, les sculptures et peintures de Christian Lapie, semblent être hors du temps. Nées dans l’instantanéité du geste créatif, faites de matériaux primaires - craies, oxydes, cendres, ciment, bois, goudron -, ses figures chtoniennes, arbres et hommes ou hommes et arbres, puisent leur puissance évocatrice dans leur ancrage dans la terre, dans la nuit des temps. Elles sont notre mémoire, questionnent notre présent et entrevoient notre futur. Eyrignac et ses Jardins, joyau de Nature sublimée préservé dans un écrin végétal, impressionne le visiteur par son style sophistiqué. Absorbé par le jardin, le regard du visiteur délaisse d’ordinaire le cadre qui concourt pourtant à la beauté du lieu. La présence de dix sculptures monumentales de Christian Lapie, disposées, en lisière du jardin, dans des trouées, est une invite au regard, à un décentrage, puis à un recentrage puisque ces œuvres souvent en chêne posées la tête au ciel comme dans les forêts du Périgord où ces arbres sont considérés comme les rois. Le Château de Campagne accueille aussi dans ses murs trois sculptures à taille humaine et douze peintures de Christian Lapie. A Eyrignac (24) et ses jardins (https://www.eyrignac.com/) et au Château du Domaine départemental de Campagne (24) (https://www.dordogne.fr/que-faire-en-dordogne/les-incontournables/domaine-departemental-de-campagne) du 1er avril au 31 octobre 2021.
2021, année européenne du rail Aujourd’hui, en 2021, alors que l’on célèbre l’Année Européenne du Rail et que l’Europe souhaite pousser 70% des financements européens en matière de transport sur le train et non sur l’automobile ou l’avion, la France traîne un peu des pieds sur ce sujet d'après les décideurs européens. Que ce soit pour le développement des trains de nuit en France et en Europe ou encore la mise en place d’une véritable ambition et un investissement massif en faveur de la mobilité ferroviaire, la France ne présente pas des actions fortes. D’ailleurs, le rapport Spinetta, présenté en 2018, encourageait davantage la fermeture massive de lignes non rentables plutôt que la mise en place d'un réinvestissement massif pour permettre un report modal de la voiture et de l’avion sur le train… et donner aussi envie aux gens d’utiliser le transport ferroviaire. Pourtant, l’enjeu est crucial face aux enjeux du changement climatique. La mobilité est la composante du voyage qui impacte le plus sur l’empreinte carbone que cela concerne la destination ou le voyageur. Et le train (surtout en France où l’électricité est largement propre) est une vraie solution alternative… pour peu qu' on se donne vraiment les moyens de changer. Car, on a beau faire tous les tests pour comparer l’impact carbone du train et de celui de l’avion… tout penche en faveur du train. L'idée de développer plus de trains et de services est séduisant mais il reste encore de nombreux obstacles à lever pour atteindre cet objectif. C’est à nous tous de nous bouger pour construire les solutions à l'exemple de Railcoop qui a décidé de monter une coopérative pour relancer des lignes de train abandonnées par le SNCF comme le Bordeaux – Lyon. Parmi les obstacles existants, on trouve :
Née de la collaboration entre le Musée d’Art Contemporain Africain Al Maaden (MACAAL) de Marrakech et le Musée national de l’histoire de l’immigration à Paris, l’exposition explore la notion de transmission à travers les œuvres de dix-huit artistes du continent africain et de ses diasporas. A l’heure du règne de la communication, de l’information en continu, des réseaux sociaux mais aussi de l’individualisme, qu’en est-il de la transmission ? Qu’en est-il de ce geste destiné à confier à une autre génération une mémoire, collecte de souvenirs personnels, de tranches de vie construites ici et ailleurs ?Au-delà des traditions et rituels, de la passation intergénérationnelle de savoirs et savoir-faire, quelles sont les modes de diffusion linguistiques, politiques, spirituelles et sociales qui façonnent notre vision du monde et qui nous construisent ? Des récits intimes à une perspective historique large, Ce qui s’oublie et ce qui reste associe héritages et circulations et aborde les questions de frontières et de migrations, de liens entre générations, d’histoire et de mémoire de part et d’autre de la Méditerranée et au sein du continent africain. Peintures, tissages, sculptures, vidéos, installations, performances, parmi lesquelles des commandes réalisées auprès d’artistes représentatifs de la vitalité de l’art africain, s’attachent autant aux échanges qu’aux ruptures, à ce qui est oublié, omis, rendu invisible. À rebours des représentations colorées d’une supposée production artistique africaine, Ce qui s’oublie et ce qui reste, oscillant entre continuité et points de rupture, souhaite tordre les clichés d’une identité visuelle associée au continent. Loin de construire un ensemble uniforme, les récits visuels des artistes se révèlent dans toutes leurs spécificités, facettes et complexité. https://www.histoire-immigration.fr/
Mise à jour en temps réel, grâce notamment aux données de l'IATA, la carte interactive Skyscanner recense ainsi les conditions d'entrée de chaque destination, les documents à fournir pour voyager, les mesures qui peuvent être en vigueur sur place, le nombre de nouveaux cas de Covid-19 enregistré par le pays chaque semaine et l'évolution du taux de contaminations. Ainsi, à la date du 4 mars 2021, on découvrait par exemple que 123 destinations connaissaient des restrictions modérées, contre 83 imposant des mesures importantes. Au contraire, 14 destinations seulement permettaient de voyager plutôt « librement ». La plateforme permet également de recevoir des alertes en cas de changement des mesures instaurées par une destination. Il suffit pour cela de sélectionner le pays souhaité, puis de cliquer sur « Recevoir des alertes de voyage ». Cette plateforme n'offrant toutefois qu'une information évolutive, Skyscanner rappelle évidemment qu'il est essentiel de consulter aussi les sites officiels d'information avant de réserver. https://www.skyscanner.fr/restrictions-voyage
Les départements du sud de la France démultiplient les initiatives en matière de promotion artistique:
Nouveautés à la Saline royale d'Arc-et-Senans (25) A partir du 23 mars, le musée Nicolas Ledoux, seul musée d'Europe consacré à l'œuvre du créateur de la Saline Royale, sera doté d’une grande table tactile pour préparer sa visite et s’orienter. Un nouvel espace immersif va aussi être aménagé dans la Berne, l’un des deux grands pavillons qui encadrent le bâtiment central. Par ailleurs, la grande Halle Antoine dispose désormais d’un nouvel espace consacré à l’histoire de la saline après 1895. Plus tard, du 14 au 16 mai, le « Festival des liens » va proposer trois jours de tables rondes, de méditation et de concerts autour de la thématique du « lien » aux autres et envers soi-même.Un autre festival reprend du service à compter du 5 juin, celui des Jardins, qui présente un autre visage fleuri de la saline, à travers la mise en œuvre d'un projet baptisé, « le cercle immense » qui doit compléter l’arc initial de Claude-Nicolas Ledoux par une architecture végétal plus éphémère. A l’été, c’est le son et lumière multimédia, Lux Salina, qui retrouve ses droits avec des animations nocturnes très colorées et lumineuses, entrecoupées du jeu des acteurs bénévoles. Enfin, comme les représentations du Cirque Plume n’ont pu se dérouler comme prévu, Arc-et-Senans consacre ses salles à deux expositions autour de l’art circacien. L’une est consacrée à l’histoire du Cirque Plume, l’autre « Destin de cirque » présente une exceptionnelle collection autour de l’histoire du cirque. https://www.salineroyale.com/accueil/ Le premier dictionnaire du patrimoine créé par P.A.J., le magazine digital du patrimoine P.A.J, le premier magazine digital exclusivement dédié au patrimoine a lancé son dictionnaire du patrimoine, de l’architecture et des jardins. Ce dictionnaire illustré, gratuit, en ligne, permet à tous et partout d’accéder facilement à nombre de connaissances en ces domaines. Déjà doté de plus de 300 mots, il sera enrichi chaque semaine. Chaque mot propose une définition et une illustration de grande qualité (la photothèque de PAJ contient plus 60 000 photos). Ces définitions seront développées au fur et à mesure des recherches et des contributions. https://www.paj-mag.fr/dictionnaire-du-patrimoine/ L'article de cette semaine est consacré à une idée de génie, celle d'inventer un label récompensant les villes et villages fleuris de France. Si l'embellissement de nos communes débuta en 1959, notre pays n'a depuis eu de cesse d'encourager cette pratique qui améliore à la fois la qualité de vie des habitants et l'attractivité touristique des lieux. La lecture de ce reportage pourrait bien vous donner des idées d'escapades à venir. Yves
Classement des dix premiers pays qui ont visité ce site la semaine dernière : 1) France 2) Chine 3) Canada 4) Etats-Unis 5) Brésil 6) Suisse 7) Ile de La Réunion 8) Belgique 9) Allemagne 10) Royaume-Uni Le label, une idée florissante (France)De nos jours, tout le monde a entendu parler des Villes et Villages Fleuris dont les édiles ont souvent bataillé ferme pour obtenir le précieux label créé en 1959. D'abord concours de fleurissement, cette heureuse initiative apparue alors que notre pays souhaitait promouvoir espaces verts et cadre de vie, prit par la suite le nom de « Villes et Villages Fleuris » et devint un label lourd de sens et extrêmement valorisant pour les 4863 communes françaises qui l'ont obtenu en 2020 : cette distinction des villes et villages oeuvrant à la mise en valeur du cadre de vie et participant au bien-être des habitants et des visiteurs, est récompensée de une à quatre fleurs sous la forme de trophées et de prix nationaux (...)  Lire la suite Leglobeflyer |
