Des hommes qui se sont battus pour assurer la paix au nom de la France ont pris l'initiative de rédiger récemment une tribune « Lettre ouverte à nos gouvernants » qui a profondément choqué la classe politique, enfin disons une partie de cette classe. Et pour cause, puisque cette lettre renvoie à nos dirigeants le constat d'échec de leur propre politique à travers ce qui est un fait, le délitement de notre pays. Plutôt que de s'interroger sur ce constat, il fut décidé de sanctionner aussitôt les signataires de cet alerte sur l'état de partition de notre pays. La meilleure défense n'est-elle pas l'attaque ? Ce précepte a fait ses preuves, malheureusement. Nous eûmes droit à tout : aux rodomontades du ministre de la défense (le rôle d'un chef n'est-il pas de se tenir aux côtés de ses troupes et si besoin d'écouter plutôt que de jouer à l'institutrice!), mais aussi aux pitreries verbales du ministre de l'Industrie (celle que je surnomme depuis Madame « Jour pour jour ») et (gardons le meilleur pour la fin) au commentaire de celui qui prétend incarner la république à lui seul (il se reconnaitra) et qui appela à châtier les militaires pour crime d'insurrection (ce même personnage ayant appelé nos concitoyens à « l'insurrection citoyenne contre la monarchie républicaine », sans parler du reste). On rêve...
Ma génération a eu cette chance de naitre il y a soixante ans et de ne pas avoir connu de conflit armé sur notre sol. Arrivé sur la planète Terre en 1961, je découvrais une France qui était à l'époque placée sous l'autorité du général de Gaulle (tiens, un militaire!) qui hissa alors notre pays parmi les premières puissances mondiales. Comme Napoléon (un autre militaire!), le général redressa admirablement la nation, faisant fi de ce que l'on pouvait penser de lui tout en ne se tenant qu'à sa feuille de route. Sous son mandat, la France fut une nation conquérante, fière d'elle-même et à la hauteur de ce que le monde attendait d'une patrie de la paix. Or, en l'espace de presque cinquante ans, l'affairisme et la finance (avec l'arrivée de Georges Pompidou, puis de VGE) mirent à bas l'économie nationale au profit d'une économie mondialisée qui n'enrichit que les plus gros poissons et certains lobbys, ceux-là mêmes qui s'apprêtent aujourd'hui à imposer une gouvernance planétaire. De la France conquérante, nous sommes passés à la France repentante, celle qui culpabilise au quotidien sur ce que nous sommes et avons toujours été, une nation millénaire, audacieuse, inventive et constructive (sous le règne de Napoléon, notre peuple souffrait même d'un complexe de supériorité, c'est dire!). Une nation désormais ensauvagée (une attaque gratuite toutes les 44 secondes, 120 attaques au couteau par jour, 400 viols quotidiens, 13000 cambriolages chaque jour...) qui ne saurait recevoir de leçons de quiconque.... surtout pas d'ennemis de la France !
Diviser pour mieux régner, instaurer la « chienlit » est bien l'objectif affiché de nos politiques, largement rétribués d'une façon ou une autre pour services rendus aux donneurs d'ordres. Et c'est tout naturellement que l'ennemi entre dans la place pour nous coloniser à notre tour. Pourquoi lui en voudrais-je ? Lui a au moins compris que le plus faible doit disparaître face au plus fort. Et de tenter sa chance chez nous, après que notre nation ait été rendue exsangue par des traites plusieurs décennies durant (souvenez-vous des porteurs de valises). Le message est pourtant clair lorsque Klaus Schwab déclare que la maladie du Covid est une opportunité à saisir pour poursuivre le process de déconstruction de nos vieilles nations européennes pour mieux entrer dans une ère mondialiste dont on ne se remettra pas. Cette nouvelle gouvernance prévoit notamment de s'attaquer aux libertés fondamentales comme en Allemagne, où, le premier mai dernier, le renseignement allemand a annoncé la création d'un Département spécial, chargé de la surveillance des personnes remettant en cause les mesures liberticides adoptées au nom du coronavirus et critiquant la globalisation, car ils mettraient ainsi en danger la sécurité nationale. Ainsi la très démocratique, progressiste et tolérante Allemagne va t-elle mettre sous surveillance les personnes qui ne partagent pas la ligne officielle sur le Covid. Quid de la tolérance envers l'autre, de la pluralité des opinions dans une société libérale, du pouvoir de la volonté populaire dans une société démocratique? Ajoutez à cela la légalisation probable du cannabis (une de ces drogues dont on voit les effets sur certains délinquants ou criminels, qui deviennent « irresponsables » légalement des crimes qu'ils commettent) et la société qu'on nous prépare aura tout d'un Enfer.
Je demande tout particulièrement aux jeunes générations d'ouvrir les yeux, de se réveiller, de s'informer et de s'entourer de personnes sûres :
Ouvrir les yeux car, NON, la vie n'est pas un monde de bisounours, avec pour principal appendice son téléphone portable. Vous devez dès aujourd'hui défendre votre espace car celui-ci diminue à vue d'oeil et menacera demain votre survie (les grands de ce monde l'ont écrit, il n'y aura de travail que pour les « élites » , les autres (les « inutiles ») devant se contenter de maigres subsides (comme, par exemple, un revenu universel).
Se réveiller car le monde d'aujourd'hui n'est que dématérialisation, virtualisation et donc« poudre aux yeux ». Le chaos peut subvenir à tout instant (une seule coupure d'électricité durable et notre existence est en danger). Le fait de nous rendre la vie si facile , sans intervention de notre part, ne vous interpelle t-il pas ? Notre (dangereux) quotidien ne se résume t-il pas à notre téléphone portable (à la merci d'une coupure d 'énergie ou de réseau!), à notre carte bancaire (menacée par une possible pénurie de billets dans les distributeurs, ou à une coupure des réseaux informatiques nous permettant d'accéder à nos comptes bancaires) et à notre capacité de résilience (notre aptitude à survivre demain sans approvisionnement, eau ou électricité, téléphone, internet, transports...saurions-nous survivre dans de telles conditions ?) ? Y avez-vous déjà songé ne serait-ce qu'un instant ?
S'informer, en lisant l'histoire de France, celle de l'Europe et celle de la planète. De nombreux auteurs nous alertent chaque jour sur ce qui nous pend au nez. Ne négligez pas ces alertes (pas plus que celle de nos militaires!) qui nous sont adressées car notre survie peut en dépendre. Découvrir que nos « amis » d'aujourd'hui (Allemagne, Angleterre...) furent hier nos pires geôliers. Se souvenir en revanche que ceux qu'on nous décrit comme nos pires ennemis (Russie...) furent jadis des alliés de la France. S'informer à travers des sources d'information variées, confronter ses sources, ses opinions avec d'autres, et garder sans cesse le sens des réalités. Eviter de croire qu'en cas de coup dur, quelqu'un pourvoira à vos besoins et se préparer à l'improbable car nous serons livrés à nous-mêmes ni plus ni moins.
S'entourer de personnes sûres : souvenez-vous, les traites se trouvent souvent autour de nous. Il suffit de regarder ce qu'ont fait nos représentants politiques depuis des décennies pour le comprendre : destruction de l'industrie française, disparition des emplois, de la souveraineté de notre pays, non-respect du résultat du référendum sur Maastricht, démission des gouvernants dans leur mission de protection de notre peuple et des territoires...La coupe est pleine, et je comprends tout à fait l'inquiétude de nos militaires pour l'avenir. Aussi faut-il savoir choisir ses représentants, sans naïveté aucune et sans se faire d'illusions. Si notre pays en est arrivé là aujourd'hui, c'est à cause de la compromission de nos élites (d'où l'importance de s'informer sur l'histoire de notre pays et de se tenir au courant des faits historiques les plus marquants) attirées par l'appât du gain et une place au soleil.
Pour achever cet article, j'évoquerai une chose plus importante que le reste : nous sommes tous le fruit d'une terre, d'une culture, d'une civilisation. Nos gènes contiennent notre identité, entité unique ancrée au plus profond de nous-mêmes. De tous temps, le pouvoir et l'argent ont rendu fou les hommes et des dictateurs ont asservi les êtres humains qui dépendaient d'eux dans certains pays. Aujourd'hui, les peuples sont confrontés à une offensive mondiale consistant, depuis plusieurs années déjà, à nous rendre dépendants de la technologie, des médias et de la bien-pensance. Cette première manche, nous l'avons déjà perdu en nous abandonnant naïvement à la vie facile, sans nous douter que ces « bienfaits » modernes et gratuits deviendraient demain des pièges. Car, en ce monde, rien n'est gratuit et il est urgent que nous nous posions des questions sur la place que les citoyens français (et du monde) occuperont demain et quel sera le prix à payer pour vivre libre (https://youtu.be/VMeClbpgEbk). Echangeons les uns les autres, confrontons nos opinions, agissons comme nos ancêtres les gaulois, à force d'esprit rebelle, d'ingéniosité, d'instinct, de sens critique et de méfiance. Le combat pour la liberté est une lutte quotidienne.
LE CLIN D'OEIL DE VALERIE !
Penchons-nous cette semaine sur des communes au nom ...peu commun. Prenez par exemple le village d'Andouillé (53) (https://www.ville-andouille.fr) où les habitants, loin d'être des « Andouilles » se prénomment Andolléens, des individus jugés rebelles par l'évêché de l'époque, lorsqu'en 1767, les villageois se refusèrent à « voiturer les bois de marine » malgré les injonctions reçues. Dans quel traquenard suis-je encore tombé ? Avant de juger trop vite regardez le prix du timbre dans ce petit village d'Arnac-la-Poste (https://mairie-arnaclaposte.com), commune de Haute-Vienne (87), dont les habitants sont les Arnacois (et pas des arnaqueurs!). L'endroit, jadis siège d'un relais de poste jusqu'en 1748, possède encore un bureau de poste où il est conseillé d'affranchir comme il se doit son courrier. Ça ne fait pas un pli ! Retour en Mayenne (53), à Ballots (https://www.ballots.fr) qui tire son nom du terrain qu'il occupe et qui servait autrefois à stocker des ballots de marchandises pour le champ de foire. Pas si ballots que cela les Balloçais.
Rendons-nous en Côte d'Or (21), à Bèze en Côte d'Or (https://www.beze.fr/index.php) qui ne saurait donné lieu à une sexualité débridée, bien au contraire. Ce village (l'un des plus beaux de France) est parfait pour une halte touristique avec son lac souterrain et sa grotte illuminée. Et ne vous méprenez pas en voyant le panneau d'accueil mentionnant « Bèze, le plaisir authentique... ». Cette commune ardéchoise, Bidon (07) (https://www.bidon.fr), ne l'est pas tant que cela car elle est bien réelle et son nom provient du provençal « Bidoune » (au cœur du plateau des ...Gras, ça ne s'invente pas) signifiant « endroit où l'on trouve de l'eau ». Les habitants de ce charmant village ne sont pas des Bidochons, mais des Bidonais (ou Bidoniers). En dépit des apparence, Corps-Nuds (35) (https://ville-de-corps-nuds.fr) ne saurait être un lieu de naturisme. Le village a d'ailleurs invité la Fédération française de naturisme à aller se rhabiller, elle qui voulait y organiser une randonnée. Cela n'empêche pas certains hurluberlus de se faire photographier devant le panneau du village et dans le plus simple appareil ! La Bénisson Dieu (42) (https://www.facebook.com/labenissondieu) tire quant à elle son nom de l'abbaye cistercienne de Notre-Dame-de-la-Bénédiction-de-Dieu, à une époque où la France ressemblait encore à quelque chose. Ce village a le cul entre deux chaises : il y a Latronche (https://www.latronche19.fr), en Corrèze (19) avec les Tronchois pour habitants, et La Tronche (https://www.ville-latronche.fr) en Isère (38) divisée en Petite Tronche et Grande Tronche. Un conseil, les Tronchois sont dans les deux cas des gens charmants. Evitez de leur faire la gueule...Daniel Prévost l'a en son temps popularisé (https://www.youtube.com/watch?v=DdVr62lrG74&t=31s) à tel point que Montcuq (46) porte depuis 2016 le nom de Montcuq-en-Quercy-Blanc (https://www.mairie-montcuq-en-quercy-blanc.fr/fr): les Montcuquois ont gardé leur donjon du 12è siècle et ont même depuis hérité d'un raid « Parla-Montcuq », grâce à l'initiative d'un cycliste amateur français qui a eu l'idée de relier la ville de Parla (Espagne) à Montcuq (France), soit un périple de mille kilomètres. Vivre à Poil (Nièvre) (https://www.poil-morvan.fr) n'implique pas pour autant que ses habitants sont des Poilus (mais plutôt des Pictiens ou Pixiens). Et c'est lors de la fête de la Treuffe (patate) qui a lieu fin août que l'on dit qu'il fait bon de vivre à Poil, même tout habillé ! Malgré son nom, Vatan (36) (https://www.vatan.fr) a le sens de l'accueil :ses habitants, les Vatanais (et non pas les Va-t-en guerre!) vous montreront leur Musée du Cirque et vous convieront à participer à la Fête de la Lentille verte du Berry (mi-septembre). Produire un premier cru des Côtes-du-Rhône et s'appeler Vinsobres (26) (https://www.vinsobres-mairie.fr) relève de l'oxymore. Ce nom provient de « vin » et de « travail », qui définit ce village situé face au Mont Ventoux, où l'on trouve la croquette de Vinsobres (un biscuit croquant aux amandes). L'histoire ne dit pas si l'on abuse de l'alcool...au point de finir à Bourré (Loir-et-Cher) (https://www.montrichardvaldecher.fr/index.php/bulletin-municipal-bourre) où, en dépit de l'allusion, on ne trouve pas un seul vin mais une ville souterraine créée dans une des gigantesques carrières de tuffeau locales qui servirent autrefois à la construction des châteaux de la Loire. D'où le nom de Bourré, (Bourg du roi). On pourrait continuer ainsi à égrener des communes au noms inattendus comme Saint-Barbant (l'ennui nous guette!), Anus-Fouronnes (mais pas forcément Horribilis?), Bibiche, Bougon, Bouzillé (sans dégâts collatéraux), Casanova, Chatte, Chilleurs aux Bois (et nulle part ailleurs!), Condom (où l'on sort couvert), Folles, Glandage (où l'on fait passer le temps), La Queue-en-Brie (pas pire que la queue aux caisses!), Les Lèches (pour les carriéristes!), Lorgies (mais pas débridée pour autant), Mariol (mais pas forcément rigolo), Monteton (pas touche!), Pisse-en-l'Air (prouesse technique!), Pleure et Rye (deux communes jurassiennes, tantôt le cœur joyeux, tantôt l'humeur chagrine), Saint-Arnac (où la méfiance prévaut!), Saint-Pompon (celui du marin?), Sainte Verge (où l'on tient le bon bout!) et Trécon (çà reste à prouver). Tant qu'il y aura de l'humour...
SEQUENCE NOSTALGIE
Le facteur fait partie du quotidien des Français et ce métier a évolué depuis mon enfance. A l'époque, je vivais en province et La Poste effectuait deux tournées de courrier chaque jour. Les chiens aboyaient déjà sur le pauvre préposé (je crois que ces bêtes n'ont jamais aimé les facteur!)(https://youtu.be/RTOmRLRoZJE) qui ne s'attardait guère une fois le courrier distribué. Aujourd'hui, à Paris, je m'estime heureux lorsqu'on ne me perd pas mes lettres recommandées (d'autant plus que s'adresser ensuite au service des réclamations ne sert strictement à rien) et j'ai préféré depuis dématérialisé ces envois (via internet) et réglé mes factures par virement automatique (plutôt que par chèque). Il faut bien vivre avec son temps (https://youtu.be/P4XTABsU4pY).
Jean-Yves Lafesse a immortalisé le personnage à travers son canular téléphonique « le facteur bourré » (https://youtu.be/l22f0NAt8Qs) bien que tous ne le soient pas. Et Bourvil de pousser la chansonnette avec « Tiens voilà l'facteur » (https://youtu.be/_fVknr8gedI) sur les images d'un facteur...québécois !
Le préposé de Saverne, lui, nous raconte sa tournée (https://youtu.be/hpMXHEWEUwY) en 1970, au volant de sa 2CV fourgonnette. Terminons ce retour nostalgique avec le film « Le facteur de Fontcabrette » (joué par Henri Genès en 1978), dans un petit village de Haute-Provence (https://youtu.be/5z5wIIDFCVI).
Un article récent de Zeina Saleh Kayali (Agenda culturel dU Liban) nous rappelle fort opportunément que contrairement à ce qui se dit , Napoléon aimait la musique : Durant ses deux campagnes d’Italie – la première en tant que général en chef de l’armée d’Italie et la seconde en tant que Premier Consul – Napoléon fréquente La Scala et découvre l’opéra italien, qu’il admire particulièrement. En 1801, une troupe italienne s’installe de manière permanente à Paris et y joue des opéras exclusivement en italien. C’est l’un des théâtres lyriques parisiens qu’affectionne le plus Napoléon, lui qui voue un culte à l’opéra italien. C’est à cette troupe italienne que revient l’honneur d’avoir fait entendre pour la première fois à Paris les trois grands chefs-d’œuvre de Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) dans leur version originale.
Durant la période du Consulat, l’aura de Napoléon brille dans toute l’Europe. Il devient pour beaucoup l’incarnation des idéaux de la Révolution. Un certain Ludwig van Beethoven (1770-1827) lui dédiera d'ailleurs sa troisième Symphonie, intitulée Eroïca. Une dédicace que le compositeur reniera lorsque le Premier Consul s’auto-proclamera empereur. Le 2 décembre 1804, Napoléon, accompagné de son épouse Joséphine, est sacré Empereur des Français devant le pape Pie VII, dans une cathédrale de Notre-Dame de Paris retentissante du Te Deum de Giovanni Paisiello (1740-1816), un compositeur qu’il affectionnait mais qui n’eut pas l’honneur de plaire au public parisien.
En tant qu’Empereur, Napoléon réorganise l’ensemble des institutions musicales parisiennes puis françaises. Celles-ci prospèrent alors sous l’Empire. Le tout nouveau Conservatoire, qui jouit de l’appui de l’Empereur, forme des instrumentistes de très haut niveau. Les concerts réguliers qu’il organise sous le titre modeste d’Exercices publics d’élèves, sont le rendez-vous de l’élite des amateurs parisiens. Il contrôle personnellement la programmation de l’Académie impériale de Musique, qui a le monopole des œuvres jouées en français, et qui privilégiait les sujets antiques et historiques, qui permettaient de louer la gloire de l’Empereur. Par ailleurs, Bonaparte, imitant en cela les souverains de l’Ancien régime, ouvre une chapelle aux Tuileries, chapelle qui va vite devenir le centre d’un renouveau de la musique religieuse en France à l'heure du renouveau du culte. Messes, motets, oratorios latins s’y succèdent alors, tandis que la France assiste au retour en grâce de l’orgue, notamment des œuvres de François Couperin (1668-1733), qui avait été complètement délaissé pendant la Révolution.
Les compositeurs, sous Napoléon, ne se regroupent pas en école : chacun tente sa voie de son côté, sans manifeste bruyant, sans déclaration intempestive. Etienne Nicolas Méhul (1763-1817), Luigi Cherubini (1760-1842), Jean-François Le Sueur (1760-1837), qui sont les figures de proue du temps, sont les précurseurs évidents du romantisme. Entre leurs mains, l’orchestre classique se transforme insensiblement. L'Empire est une période de renaissance des arts, de la musique et des plaisirs, après la tourmente révolutionnaire. Dans ce paysage, un italien, Gaspare Spontini, (1774-1851) s'impose comme le grand créateur d'opéras du règne et devient le "compositeur de la Chambre de l'Impératrice". Après sa formation et les premiers succès dans son pays natal, c'est dans le Paris de Napoléon que Spontini partira chercher la gloire qui vint avec le succès de La Vestale, une œuvre qui occupa rapidement une place centrale dans le répertoire français. Il es vrai que la France napoléonienne attirait plus qu'aujourd'hui.
Sortie du roman « Napoléon, l'exil en Amérique » de Ginette Major, le 12 mai
Juin 1815. Napoléon, vaincu à Waterloo, choisit les Etats-Unis comme terre d'asile. A sa demande, le gouvernement provisoire met à sa disposition deux frégates à Rochefort pour le conduire à New York. Prévenue, une escadre anglaise l'attend... Qu'eût été la vie américaine de l'ex-Empereur s'il avait pu atteindre New York ? Tourner la page, vivre sous un nom d'emprunt, quelque part entre New York et Philadelphie, écrire ses mémoires, voyager, parcourir les Amériques, tel était son souhait...
jusqu'au jour où peut-être il reparaîtrait sur la scène du monde. A quarante-cinq ans, une nouvelle " carrière " n'était pas exclue. Une uchronie plausible parce que richement documentée. 728 pages. 34,90€. Editions du Panthéon.
« Chartres en Lumières » jusqu'au 31 décembre 2021 (28)
Tous les soirs jusqu'au mois de décembre, de la tombée de la nuit à 1h, les illuminations plongent la ville dans une ambiance unique, et le patrimoine chartrain prend vie autrement. Dans le cadre de la 18è édition de »Chartres en Lumières « et comme chaque année, une partie du parcours précédent est ainsi renouvelé. En 2021, c'est toute la basse ville, sur les bords de l'Eure, qui offre au public une nouvelle atmosphère. Elle devient la demeure d’animaux et d’arbres venus d’ailleurs, voire d’un autre temps... Que se passe-t-il la nuit dans cette partie de la ville ?
>La ville rend également un hommage à Jean Moulin qui fut préfet d’Eure-et-Loir de février 1939 à novembre 1940, grâce à une nouvelle scénographie sur la façade d'honneur de son musée des Beaux-Arts. Le nouveau spectacle en lumière aborde les temps forts de sa vie à travers ses écrits et ses dessins (images, tableaux, récits épistolaires, affiches historiques...). Vous serez témoin de son parcours, son premier acte de Résistance à Chartres, son combat et le message qu’il laissa à la France. https://www.chartresenlumieres.com/fr/
Opération « Les Landissimes thermales », du 9 juin au 28 août 2021
Le Conseil Départemental des Landes et les acteurs du thermalisme lancent l’opération « Les Landissimes thermales » : 1000 bons « spécial cure » d’une valeur de 100 € sont offerts pour la réservation d’un séjour thermal dans les Landes. Cette offre est valable pour tout séjour thermal comprenant à minima une cure thermale conventionnée et un hébergement marchand de la même durée, réservé après le 30 avril 2021 et se déroulant entre le 9 juin et le 28 août 2021. Pour profiter de cette offre spéciale et retrouver forme, vitalité, santé, il suffit de se rendre sur le site https://www.tourismelandes.com/landissimes-thermales/ et de compléter la demande de bon. C’est aussi simple que de profiter d’un soin !
Le musée Archéa fête ses dix ans à Louvres (95)
>Archéa, qui assure les fonctions de centre de conservation, d'exposition et d'animation de l'archéologie en Pays de France s'étend sur trois niveaux soit près de 1500 m2. Il propose au public dix évènements en 2021 et 2022 organisés autour des valeurs fondamentales de l'établissement. Vous pouvez accéder au programme détaillé ici : https://archea.roissypaysdefrance.fr/a-la-une/une/10-projets-pour-les-10-ans-darchea-389
4è Festival Jardins du monde en mouvement, jusqu'au 4 novembre 2021
Suite au concours lancé en 2019, ouvert aux jeunes paysagistes, architectes et urbanistes, le jury du Festival a sélectionné cinq lauréats parmi les 14 propositions retenues en pré-sélection. Un budget de 8 000€ est attribué à la réalisation de chaque projet dans le parc de la Cité internationale universitaire de Paris pour une durée d’exposition de sept mois pouvant ouvrir à une installation pérenne dans le parc de 34 hectares de la Cité. Ce festival offre aux professionnels et aux jeunes talents l’opportunité de sortir du format habituel de la maîtrise d’œuvre pour s’approprier un espace paysager et le doter d’un projet créatif et engagé.
Ces créations ont pour mission de dialoguer avec le patrimoine architectural de la Cité internationale composé de 43 maisons et de s’intégrer harmonieusement dans les jardins et/ou le parc. Elles doivent proposer une identité forte en lien avec l’influence stylistique de la maison choisie et comporter une dimension de développement durable : matériaux biosourcés, récupération des eaux pluviales, niches écologiques, partage des ressources, comportements écoresponsables, etc... Elément déterminant du projet de la Cité internationale universitaire de Paris, fidèle aux ambitions de ses fondateurs, il est conçu dès l’origine comme un lieu d’hygiène de vie et de sociabilité multiculturelle. Il bénéficie à l’heure actuelle d’une gestion écologique et constitue un terrain privilégié d’expérimentation de techniques de jardinage en faveur de l’épanouissement d’une biodiversité plus riche. Le parc de la Cité internationale accueille sur ses 34 hectares une centaine d’essences d’arbres et d’arbustes originaires de différents continents. Leurs feuillages caducs et persistants assurent une couverture végétale constante. Plantés en alignement, en bouquet ou isolés, ils ménagent d’agréables espaces découverts.
Dans la démarche de composer à terme une «collection» de jardins contemporains faisant écho à la collection architecturale composée des 43 maisons, certaines oeuvres sont conservées. Les critères retenus sont la cohérence avec l’architecture, l’inscription dans le paysage du parc, la pertinence du concept, le rôle social et l’évolution botanique du jardin. Cité Internationale Universitaire de Paris, 17 Boulevard Jourdan à Paris (14è) https://www.ciup.fr/
Exposition « L'Empereur romain, un mortel parmi les dieux » du 13 mai au 19 septembre 2021, à Nîme(30)
Cette exposition, qui se tiendra au Musée de la Romanité, présentera au grand public les nombreuses facettes du culte impérial, pratique instaurée par le premier empereur de Rome, Auguste, au Ier siècle av. J.-C. et qui conférait à l’Empereur romain l’étrange statut d’un mortel parmi les dieux. le parcours s’articulera en deux parties — les origines du culte impérial et ses manifestations dans le sud de la France — dans une scénographie originale permettant de visualiser les œuvres sous toutes leurs facettes.
Pour la première fois en France, cette exposition vaut le déplacement car la thématique du culte impérial n'a jamais fait l'objet d'une exposition globale. Cet événement est aussi le premier du genre pour le musée depuis son ouverture en 2018. De nombreuses œuvres ont à cette occasion été restaurées et sont présentées pour la première fois au grand public (l'exposition présente près de 150 objets exposés dont 30 prêtés par le Musée du Louvre). Cet événement est de plus une opportunité de découvrir l'empereur Auguste, figure mythique et fascinante, et les rites publics, dans un ville qui présente régulièrement des vestiges du culte impérial. Des dispositifs numériques ludiques permettant de visiter la Rome d'Auguste, revivre son apothéose au rang de divus ou encore assister au rituel du sacrifice romain. https://museedelaromanite.fr/
« 60 idées rando pour découvrir la France avec ses enfants » (Editions Chamina)
Paru fin 2020, cet ouvrage est le guide indispensable pour les parents randonneurs : Partir à l’aventure avec ses enfants, c’est possible ! La preuve avec cet ouvrage qui, en plus de suggérer des idées de randos dans les plus beaux coins de France, propose une petite méthodologie à l’usage des parents qui souhaitent se lancer mais hésitent encore un peu.
Grand voyageur et randonneur aguerri, l’auteur a lui-même arpenté le pays avec sa compagne et ses deux filles. Il partage son expérience dans les pages de ce guide original et distille au fil des excursions de précieux conseils sur ce qui fonctionne bien (et parfois moins bien !) lorsque l’on part sur les chemins en famille. Un cocktail gagnant pour qui veut éveiller ses enfants aux joies de la marche tout en sortant des sentiers battus. Il s'agit là d'un guide original abordé de façon inédite avec des conseils pratiques pour aider les parents à se lancer, au prix de 18 euros.
Location de vélos électriques RED-WILL
Pour son lancement le service est disponible dans Paris Ouest et sa banlieue : 1er, 2ème, 6ème, 7ème, 8ème, 9ème, 15ème, 16ème et 17ème arrondissements, Neuilly-sur-Seine et Boulogne-Billancourt, Saint-Cloud, Sèvres, Meudon, Issy-Les-Moulineaux, Vanves et Malakoff. RED-WILL prévoit d’étendre son service sur d’autres arrondissements et villes françaises dans les prochains mois. Il s'agit là d'un service premium de vélos électriques par abonnement, avec un package de services clés en main et sans engagement. Avec RED-WILL, plus besoin de gérer les contraintes liées à la location en libre-service ou à l’entretien de son vélo. L’abonnement mensuel permet d’avoir son propre vélo électrique haut de gamme, d’une valeur de 2500€, assemblé en France, au cœur de la Vendée, toujours en parfait état. Son puissant moteur central 80 Nm permet de monter les côtes sans effort. La batterie de 522 Wh offre une longue autonomie jusqu’à 120 km et se recharge à 80% en trois heures.
L’abonnement au service RED-WILL est très simple et se fait exclusivement sur RED-WILL.COM. L’offre RED-WILL est la suivante : fourniture d'un vélo à assistance électrique, assurance vol, et entretien et réparations. La location mensuelle est à 79€/mois sans engagement (soit 37,40€ avec le forfait mobilités durables). RED-WILL propose également une offre à 75€/mois pour un engagement de 6 mois (soit 33,40€ avec le forfait mobilités durables). L’offre 6 mois inclut un gilet de sécurité et un support pour téléphone mobile à accrocher au guidon du vélo. Quant au forfait mobilités durables, il permet un remboursement des frais de mobilités douces jusqu’à 500€/an par l'employeur. Une fois l’abonnement validé, RED-WILL prend contact avec l’utilisateur pour organiser la livraison de son vélo gratuitement sous 48 heures, à domicile, sur son lieu de travail ou à tout autre endroit dans la zone de couverture du service. Le vélo est livré avec tous les équipements nécessaires : double antivol, panier avant, béquille et pompe à vélo. Des accessoires supplémentaires comme un siège bébé, une sacoche ou un chargeur supplémentaire sont également proposés à la location. En cas de besoin de réparation, RED-WILL s’occupe de tout, le vélo est remplacé ou réparé dans les 24h. https://www.red-will.com/
En route sur la Vélodyssée !
Inauguré en 2012, cet itinéraire cycliste entièrement balisé déploie 72% de son trajet sur des voies sans voiture. Il s’agit en réalité de la partie française de l’Euro Vélo 1 (EV1), un parcours de… 11 150 km reliant le Cap Nord, en Norvège, à Sagres, à l’extrême sud du Portugal. L’EV1 traverse six pays, dont la Grande-Bretagne, l’Irlande, la France et l’Espagne. Sur la partie française, plus de 700 établissements y sont marqués « Accueil Vélo ». Parmi eux, on trouve 493 hébergements et 75 loueurs-réparateurs.
Depuis Roscoff, dans le Finistère, la Vélodyssée déroule donc son fil hexagonal jusqu’à Hendaye, au Pays basque, à la frontière espagnole. Le parcours égrène des cités françaises dont le charme touristique n’est plus à démontrer : Carhaix, Pontivy, Redon, Nantes, Pornic, Les Sables-d’Olonne, La Rochelle, Royan, Lacanau, Arcachon, Biarritz…Entre ces villes-étapes s’intercalent des terroirs, les Monts d’Arrée, la Brière, le Marais Poitevin, le bassin ostréicole de Marennes, l’estuaire de la Gironde, la forêt landaise, le Pays basque, la Vendée… dont chacun vaut bien une visite.
De la Bretagne à la Nouvelle Aquitaine en passant par les Pays de la Loire, elle est scandée par 38 étapes de 14 à 50 km. De Roscoff à Nantes, comptez pas moins de 11 étapes. La plus longue fait 48 km, pas de quoi rebuter même le moins entrainé des cyclistes. Ce sera l’occasion de pédaler sur une ancienne voie ferrée devenue voie verte (entre Morlaix et Carhaix), de longer le canal de Nantes à Brest (notamment entre Carhaix et Rostrenen), de contourner le lac de Guerlédan (entre Rostrenen et Mur-de-Bretagne), de traverser le Pays de Rohan (entre Pontivy et Josselin), d’observer les pins et les pitons rocheux de l’Île-aux-Pies (entre Peillac et Redon) et de s’attarder au bord de l’eau à Sucé-sur-Erdre (entre Nort-sur-Erdre et Nantes). https://www.lavelodyssee.com/
Les Chemins de la Rose de Doué-la-Fontaine (49)
Situés à une quinzaine de kilomètres de Saumur (49), Les Chemins de la rose sont la plus grande roseraie des Pays de la Loire avec quelques 13 000 rosiers et plus d’un millier de variétés dont quelques-unes sont visibles uniquement dans ce jardin à l’anglaise de quatre hectares. Rosiers tiges, rosiers grimpants, rosiers liane, rosiers buissons : c’est au total une collection exceptionnelle qui comprend plus d’un millier de variétés dont certaines fleuriront jusqu’à la fin de la saison, au mois de novembre. En 2021, plusieurs temps forts rythmeront l’année à commencer par mai et juin, la période de floraison la plus importante de l’année. Les propriétaires, un jeune couple de rosiéristes de Doué la fontaine, capitale française des rosiers, travaillent par ailleurs chaque année à la création, la production et la commercialisation de nouvelles roses dont les plants s’exportent jusqu’en Russie ou au Japon.
Le 5 et 6 juin aura lieu la traditionnelle Fête des rosiers qui rassemble chaque année des centaines d’amateurs et collectionneurs, le temps d’un week-end. En juillet et août, Guillaume propose une expérience bucolique avec la visite en 2CV des champs de rosiers de la pépinière, une promenade qui se termine en beauté par la dégustation d’un cocktail à la rose en plein cœur du parc. Les Chemins de la Rose, avec son chapiteau installé dans la roseraie, sont également le cadre champêtre de mariages, séminaire et autres fêtes privés tout au long de l’année. La saison se termine enfin à l’automne avec une dernière fête des rosiers à l’occasion du 11 novembre, l’occasion de repartir avec des plants de rosiers en racines nues et d’embellir son propre jardin avec des variétés de roses phares ou plus confidentielles...https://www.petales-de-roses.com/fr/
Totemia, la nouvelle plateforme de réservation des séjours pour enfants et adolescents
Totemia s’engage à répondre aux exigences des familles en leur apportant une solution clé en main leur permettant de gagner du temps dans la recherche de séjour pour leur enfant, et ce, en toute confiance : colonie de vacances, stage sportif, séjour évasion et séjour linguistique. Détenteur du statut d’agent de voyage, et pour apporter une garantie de professionnalisme et de sérieux, Totemia met en place un programme spécial pour organiser le futur séjour de votre enfant en toute tranquillité, en sélectionnant et en vérifiant le sérieux et les homologations, labels et certifications des organismes.
Totemia a cette ambition de participer à l'épanouissement de cette nouvelle génération et transmettre des valeurs fortes comme l'esprit d'équipe, la cohésion, le partage, l'apprentissage et le dépassement de soi. https://totemia.com/
Visite en ligne de l'exposition « François Auguste Biard, peintre voyageur » sur Paris Musées
La Maison de Victor Hugo à Paris propose une visite en ligne inédite de la première rétrospective consacrée de François Auguste Biard au travers d’une sélection de vingt œuvres emblématiques. Pour rappel, François Auguste Biard (1799-1882), marié à Léonie d’Aunet avec laquelle Victor Hugo partagea une grande passion de 1844 à 1851 est avant tout un peintre autodidacte. Il se forme dans une fabrique de papiers peints, à Lyon, et expose au Salon depuis 1833, où il y remporte un grand succès populaire. Il n’a pas son pareil pour observer ses contemporains et excelle dans les portraits et les scènes de genre. Mais il se voit avant tout en peintre voyageur. Il part en expédition dans le grand Nord en 1839 et il en restitue avec force et poésie les paysages grandioses. Entre 1859 et 1860 il est au Brésil. En ethnographe et naturaliste, il collecte la faune et la flore et peint les tribus indiennes qu’il approche. Il s’intéressera également à des thématiques souvent ignorées par ses contemporains comme la réalité du commerce et de la traite des esclaves que Biard détaille dans la toile « Traite des Nègres » ou la représentation d’un hôpital psychiatrique. Sa peinture de facture classique n’en n’est pas moins surprenante par son éclectisme, son sens de la composition, du comique et son goût des physionomies et de la couleur. Tarif de la visite : 5€. https://www.parismusees.paris.fr/fr/visite-virtuelle-biard
Un podcast sur l’histoire de cet artiste injustement méconnu, sous la forme d’un abécédaire sur sa vie et son travail est à découvrir gratuitement sur https://soundcloud.com/paris-musees
Doit-on déclarer au fisc les gains des ventes ou services entre particuliers ?
Les utilisateurs occasionnels ou réguliers des plateformes de ventes ou d’échanges en ligne entre particuliers ont reçu par courriel, avant le 31 janvier dernier, un récapitulatif du montant des ventes ou des prestations de services effectuées en 2020. Elles peuvent d’ailleurs figurer dans le formulaire de déclaration pré-remplie.
En effet, l'obligation d’information pèse depuis l’an dernier sur toutes les entreprises de l’économie collaborative, type LeBonCoin, Airbnb, Abritel… Elles doivent aussi transmettre le total des transactions à l’administration fiscale, sauf quand les montants sur l’année sont inférieurs à 3 000 € ou si moins de vingt transactions ont été réalisées. Or, qui dit transmission de données ne dit pas forcément imposition ! L’administration fiscale distingue en effet deux situations. La première : ces activités sont occasionnelles ou réalisées dans le cadre de l’économie du partage, comme le covoiturage. La seconde : vos ventes revêtent un caractère professionnel ou sont soumises à l’impôt à partir de faibles montants, comme la location un logement meublé à la nuitée. À de rares exceptions près, c’est uniquement dans ce second cas que vous devrez déclarer les montants encaissés. https://www.impots.gouv.fr/portail/particulier/questions/comment-declarer-mes-revenus-dactivites-annexes-telles-que-le-co-voiturage-la
Les restaurateurs de Limoges (87) entrent chez vous
Grâce à l'application LETSEAT (https://specialconfinement.letseat.fr/), il est possible de se faire livrer son repas par les restaurants à Limoges. Parallèlement, d'autres restaurants indépendants font tout leur possible pour maintenir une offre la plus complète qui soit et livrable à domicile. Encourageons-les ! Office du tourisme intercommunal de Limoges au 05 55 34 46 87.
Ouverture du centre Terre vivante le 13 mai 2021
Le Centre Terre vivante rouvre ses portes aux visiteurs pour la saison 2021 le jeudi de l’Ascension. Ce domaine de 50 hectares, situé au cœur de la forêt, est un véritable lieu dédié au jardinage bio et à l’écologie : espaces de culture potagère, jardins ornementaux, vignes (avec 300 plants de onze variétés différentes), verger, mares et bassins, ruches... Chaque jour, les visiteurs peuvent découvrir des curiosités ou participer à des animations : L’Instant nature, les rencontres jardinières, visites guidées, expositions, cycle de rencontres, ateliers pour les enfants, parcours sensoriel…Espace « maison écologique », Secrets d'abeilles. A Mens (38) https://www.terrevivante.org/1008-visites-estivales.htm
Centre Historique Minier de Lewarde (59)
Ce musée propose un rendez-vous quotidien sur sa page Facebook autour de la culture minière, pour maintenir le lien et préparer à la visite dès que ce sera possible. Les réseaux sociaux permettent de maintenir une activité qui offre à chacun la possibilité de (re)découvrir différents aspects du monde de la mine à travers des présentations, des évocations d’écrivains comme Zola, bien-sûr, mais aussi Jules Vernes. Le centre d’archives dévoile ses trésors : les archives papier, la cinémathèque, la photothèque, la bibliothèque, les fonds publics, les fonds privés… Prochainement, des cartes postales anciennes seront valorisées à travers un jeu, avec des surprises à gagner ! Cette page Facebook relaie aussi l’actualité des services qui fonctionnent malgré la fermeture au public : les travaux réalisés pendant l’absence des visiteurs, le montage de la prochaine exposition temporaire consacrée à Lucien Jonas, le récolement des collections dans des lieux habituellement prisés du public… sans oublier les portraits des salariés qui œuvrent au fonctionnement du Centre. www.chm-lewarde.com
Quoi de mieux que de visiter le Var avec un guide-conférencier?
Pour tirer le meilleur parti d'une visite, il est fortement conseillé de faire appel à un guide-conférencier. Cette semaine, nous vous proposons de partir à la découverte du département du Var (83) :
St-Raphaël, aux architectures variées et élégantes fut l’une des premières stations balnéaires de la Côte-d’Azur. La ville doit son développement à Félix Martin, à partir de 1878, et les riches hivernants qui venaient y séjourner firent appel aux plus grands architectes de l’époque pour la construction de leurs résidences. Le circuit nous conduit du Casino en bord de mer jusqu'au plateau du Veillat. Durée : 2h au moins. Départ :Mairie de Saint-Raphaël. Tarif : 29 €/personne.
Saint-Tropez, mythe et histoire : le guide-conférencier vous montrera les trésors cachés de la vieille ville grâce à un parcours choisi qui vous conduira du musée de l’Annonciade (extérieur) à la Citadelle en passant par la place des Lices et l’église dédiée au martyr Saint Tropez. Durée : 1h30 à 2h. Départ : Saint Tropez Tarif : 200 € (forfait de 1 à 10 personnes)
Draguignan, de la période romaine aux Libérateurs de 1944 : au cours d’une balade dans le centre-ancien, votre guide-conférencier vous présentera les trésors architecturaux de la ville laquelle a conservé d’importants vestiges du Moyen-Age, notamment son église Saint-Michel qui conserve les reliques de Saint-Hermentaire. La ville abrite, aussi, le plus important cimetière américain du débarquement de Provence d’août 1944 et compte de nombreux domaines viticoles dont votre guide-conférencier vous parlera longuement. Durée : 2h. Départ : cimetière américain de Draguignan.Tarif : 29 €/personne
Fréjus, héritière de romanité et de chrétienté : cette balade vous permet de découvrir les vestiges romains de la ville, son site, ainsi que ce qui reste du puissant archevêché avec l’église Saint-Léonce et son cloître. Vous parcourrez les ruelles du centre ancien pour de belles découvertes qui vous conduiront jusqu’à notre époque. Les visites sont conseillées le Mardi et le Vendredi matin pour profiter du marché. Durée : 2h. Départ : Devant le Palais de Justice.Tarif : 29 €/personne.
Toulon : plus belle rade d'Europe d'après Vauban et premier port militaire de France, Toulon est une cité à l'histoire riche dont les origines remontent à l’époque romaine. La visite guidée du port et du centre-ville avec votre guide-conférencier vous permet de vous confronter à différents styles architecturaux. Le centre ancien s’ordonne autour de la cathédrale et de ses reconstructions de l’après-seconde guerre mondiale de Jean de Mailly, tandis que la Haute Ville, superbe, a su conserver son cachet de style haussmannien. Durée : 2h. Départ : Place Louis Blanc.Tarif : à partir de 29 €/personne
La Route 40 est l'une des plus longues du monde, ce qui permet d'en profiter non seulement de bout en bout, mais aussi à travers des itinéraires plus courts pour découvrir ses charmes touristiques. Pour un départ depuis le nord, on choisit la ville de Cafayate à Salta, au cœur des vallées Calchaquí, pour apprécier les paysages contrastés qui caractérisent cette région, et faire des excursions dans des lieux comme les Ruines des Quilmes, le plus grand établissement précolombien du pays, situé dans la Vallée de Yocavil, à Tucumán. Quant à la ville de Villa Unión (Province de La Rioja), elle peut servir de point de départ pour démarrer le circuit dans la région de Cuyo et visiter des villes comme Vinchinas avec ses énigmatiques étoiles multicolores. Bariloche peut, elle aussi, servir de point de départ pour apprécier la beauté naturelle de la Patagonie argentine dans des endroits comme la Vallée Encantada ou le Lac Nahuel Huapi (https://www.leglobeflyer.com/reportage-2-584-de-bariloche--paso-de-indios-patagonie-argentine.html et https://www.leglobeflyer.com/reportage-2-583-san-carlos-de-bariloche-et-le-parc-national-nahuel-huapi-patagonie-argentine.html).
Les motards emprunteront la « Via Argentina » de préférence entre septembre et décembre. On peut alors profiter de meilleures conditions météorologique et embarquer à bord du « Train des Nuages », l'un des trois chemins de fer les plus hauts du monde, qui part de la ville de Salta et se termine au Viaduc La Polvorilla, ou le train La Trochita, un ancien express patagonien qui relie les provinces de Río Negro à celle de Chubut.
Le plus difficile est de sélectionner les attractions touristiques, compte tenu de la longueur de la Route 40 (celle-ci traverse trois régions et onze provinces argentines) : on distinguera au nord des enclaves telles que les Salinas Grandes, un spectaculaire désert de sel de 212 km2 à 3 450 m du niveau de la mer, et dans la région de Cuyo, des endroits comme la Vallée d'Uco, à Mendoza, berceau du Malbec. Des visites incontournables dans la région de Patagonie sont celles du glacier Perito Moreno ou de la Route des Sept Lacs.
Comme dirait l'autre, mieux vaut finir dans l'Orne hier que dans le fossé ! En fait l'article de cette semaine marie le beau et le pratique d'où son titres: « L'Orne (mental), c'est bon pour le moral ». ce département possède bien des trésors et ne se trouve qu'à deux heures de Paris. Une idée de sortie très abordable. Passez une agréable semaine !
Yves
Classement des dix premiers pays qui ont visité ce site la semaine dernière : 1) France 2) Chine 3) Etats-Unis 4) Canada 5) Allemagne 6) Belgique 7) Suisse 8) Russie 9) Bénin 10) Colombie
L'Orne (mental), c'est bon pour le moral (Orne, France)
Pas si nostalgique que Frédéric Bérat qui interpréta la chanson «Ma Normandie » en 1836, j'avoue que cette région de France offre au Parisien d'adoption que je suis un dépaysement immédiat compte tenu de sa proximité avec la capitale. Et de vous emmener aujourd'hui dans l'Orne, majoritairement issue de l'ancienne province de Normandie et du Perche, avec, au nord, le pays d'Ouche, le pays d'Auge et le village de Camembert, puis la plaine céréalière de Normandie. Au sud, la campagne d'Alençon et les collines de Normandie, les Alpes mancelles, la Suisse normande et la région naturelle du Perche (...)