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Lettre envoyée le 02/08/2021
Lundi 2 août 2021 La Lettre N°545
Les complotistes...face aux collaborationistes !
La vérité finit toujours par ressortir et je ne doute pas que les prochaines semaines révéleront leur lot de surprises. Je reste optimiste pour la suite et ce, pour plusieurs raisons : d'abord, le peuple français s'éveille de plus en plus et il est de notre devoir, à nous citoyens éveillés de la première heure, de diffuser au maximum tout ce qui sort jour après jour et peut enrichir la réflexion de nos compatriotes tout en occupant le terrain. Ensuite, parce que la toile et les réseaux sociaux font de plus en plus d'audience à travers le monde, aux dépens des médias contrôlés par les Etats, et çà, c'est une ressource que nous devons utiliser au maximum. Faites suivre aux non-convertis, diffusez auprès du plus grand nombre et nous rassemblerons ainsi de plus en plus de citoyens de tous âges qui doivent eux aussi pouvoir se faire une opinion objective sur le futur qu'une minorité tyrannique est en train de nous préparer (photo ci-dessous). Je suis en faveur de la protection des animaux et n'ai jamais compris cette hargne médiatique envers ces pauvres bestioles, à savoir la chauve-souris et le pangolin. Depuis le départ de cette crise sanitaire montée de toutes pièces (les documents ci-dessous le prouvent), on voudrait nous faire croire que ces créatures sont les seules responsables de la pandémie (un terme dont la définition varie d'ailleurs. Pour le dictionnaire Larousse, on parle d' « Épidémie étendue à toute la population d'un continent, voire au monde entier ». tandis que l'OMS «parle de pandémie en cas de propagation mondiale d'une nouvelle maladie ». Comprenne qui pourra!). On nous a longuement parlé du laboratoire P4 vendu par la France aux Chinois, d'où serait sorti le virus, puis plus rien. Souvenez-vous qu'il y a quelques mois, le simple fait de (se) poser des questions nous valait d'être traité de « complotiste » (« Se dit de quelqu'un qui récuse la version communément admise d'un événement et cherche à démontrer que celui-ci résulte d'un complot fomenté par une minorité active » – dictionnaire Larousse). Et alors ? J'assume complètement cette qualification. Mieux vaut à mes yeux être complotiste, et user de son intelligence pour réfléchir sur le monde qui nous entoure, et dans l'intérêt général, plutôt que d'être collabo(rationniste) et de fermer les yeux sur ce qui est en train de nous être imposé comme par exemple la restriction des libertés individuelles. Il se trouve que la majorité est très souvent silencieuse et passive par facilité, par peur et par confort. Nos aïeux ont connu la même situation lors des trois invasions allemandes de nos territoires en 1870, 1914 et 1939. A côté de cela, il s'est toujours trouvé des « complotistes » pour résister à la menace extérieure et organiser la contre-attaque. Notre génération se retrouve aujourd'hui dans cette situation que je qualifierai d'enviable et non de honteuse. Quoi de plus beau que de guider ses semblables loin du précipice qui nous menace ? En choisissant ce camp (minoritaire), on s'expose au risque d'être discrédité (c'est déjà fait), menacé, voire supprimé ou banni (nous n'en sommes pas encore là, mais cette option ne doit pas être négligée). L'homme a cela de magnifique qu'il pense (ça en dérange beaucoup mais c'est comme cela), réagit et est doté de bon sens et d'un libre-arbitre. De quoi déranger ces dictateurs et autres esprits sataniques, qui exultent à asservir leurs semblables, à leurs seuls profits. Le monde est ainsi fait, avec, d'un côté, les forces du Bien (que les esprits mauvais prétendent représenter) et de l'autre, les forces du Mal (qui avancent toujours masquées et avec les meilleures intentions du monde).
Revenons à ce qu'on nous vend depuis 2020 : la pandémie de la COVID-19. N'avez-vous pas remarqué que tout a été fait depuis le départ pour déstabiliser et apeurer les citoyens que nous sommes ? Loin d'être idiots, nos dirigeants n'ont jusqu'à présent eu de cesse de dire tout et son contraire (pas de masque, puis port du masque, avant de nous confiner, puis nous déconfiner, tout en gouvernant par décret, au mépris de l'application des lois démocratiques existantes) ? Ceci ne relève pas tant de l'incompétence mais de la préméditation! Une fois déboussolés, les Français (qui craignent légitimement pour leur santé), tout du moins une partie de notre peuple, filèrent docilement se faire « piquer » comme le troupeau à l'abattoir. Anesthésiés, contaminés par la propagande médiatique, nos compatriotes trouvèrent naturel de se faire « vacciner » (alors qu'on doit parler d'une thérapie génique en cours d'expérimentation et non d'un vaccin) plutôt que de se faire traiter contre la maladie (cette pratique pourtant ancestrale et qui tombe sous le sens ayant été interdite très tôt par l'Ordre des médecins). Etrange ! Qui s'est alors ému de l'interdiction faite à nos élus de pouvoir prendre connaissance des contrats signés entre les instances européennes (clientes) et les laboratoires pharmaceutiques (fournisseurs) ? Pas grand monde. Et pourtant, une majorité de compatriotes se résignèrent, quoi qu'il en coûte, à recevoir leurs « doses » pour ...pouvoir préserver leur existence habituelle. Restent 25 millions de Français encore réfractaires au « vaccin » que notre président a décidé, dans un dernier élan démocratique, de menacer lors d'une récente allocution télévisée : faites-vous piquer sinon ...je fais un malheur (à savoir je vous interdis de voyager, d'aller travailler, bref de vivre...). Un conseiller du président ne déclarait-il pas « vouloir mener une vie de m.... aux non-vaccinés » ? (La Belle équipe du 24 juillet 2021 sur Cnews). Quelle finesse ! Cela dit, la résistance des Français qui sentent l'entourloupe n'est pas faite pour calmer les autocrates qui nous gouvernent, d'où cette défiance grandissante vis à vis d'un peuple qu'on souhaiterait plus servile. Seulement voilà, nous ne sommes pas (encore) en Chine, ce grand pays qui impose depuis quelques années à ses ressortissants le flicage permanent via le QR code et l'application d'un « crédit social » (vous faites ce qu'on vout dit et l'on vous récompense, ou vous désobéissez, et l'on vous punit) que je décris ci-dessous. Vous l'aurez compris, l'histoire du coronavirus n'est pas prête de se clore, et ce, pour plusieurs raisons :
Si vous avez un bon score de points, vous serez prioritaire pour des admissions scolaires ou professionnelles, aurez un accès facilité aux emprunts bancaires ou à des crédits, à des locations de voitures, aux salles de sport, à des transports en commun moins chers, à moins d'attente à l'hôpital, à une promotion accélérée dans votre travail, à passer devant les autres pour obtenir un logement social et à des taxes réduites. Si vous avez un mauvais score, vous vous verrez refuser : certains services sociaux, les vols en avion, les TGV, les crédits, les emplois auprès du gouvernement et l'accès aux écoles privées. Mais il y a pire : la liste noire. Si votre score descend trop bas, le gouvernement vous humiliera volontairement auprès du public en affichant votre nom, votre numéro d'identité et votre photo à la télévision et autres espaces publics. Ceux qui vous appelleront au téléphone sauront que vous figurez sur une liste noire et, de votre côté, le simple fait d'entrer sciemment en contact avec une telle personne vous fera perdre des points. Voilà ce que vivent actuellement nos amis chinois. Le voudriez-vous pour vous et vos enfants ?
Revenons, pour terminer, sur la loi du pass sanitaire qui doit être examinée dans quelques jours par le Conseil constitutionnel. Je vous avoue que je suis effaré par la manière dont nos représentants ont jusque-là refilé la « patate chaude » à leurs camarades, jusqu'à aboutir au conseil constitutionnel. Même si je ne me fais guère d'illusions sur l'issue de ce recours, voici tout de même, exprimées par dix juristes (source: Le Figaro du 1er août 2021) les raisons pour lesquelles cette loi ne devrait pas être validée dans un Etat de droit comme le notre :
LE CLIN D'OEIL DE VALERIE ! Vous avez sans doute remarqué que le mouton se décline sous plusieurs formes : le mouton pré-embobiné qui devient vite zombie après avoir regardé les chaines infos, le pré-vacciné qui concourt (presque), volontiers au tournoi de fléchettes (https://youtu.be/wMqW4b819Ko) anti-Covid en ignorant même qu'il sert de cobaye à ce qui risque de devenir le plus grand scandale sanitaire de la planète, et le mouton pré-timbré qui ne cesse d'angoisser de crainte qu'on l'envoie « paitre » faute de passeport sanitaire et qu'on lui interdise de se rendre dans la « Bêêêê » du Mont-Saint-Michel. Qu'à cela ne tienne ! Fidèle à sa réputation, l'animal, jamais lassé de se laisser tondre la laine sur le dos, se résolvera finalement à jouer un temps le « piqué de grève » histoire de prendre un dernier « bol d'air » (polder) avant de finir en gigot! Il est un autre agneau qui, lui, se perd, l'agneau de Prés-Salés, qui patûre maintenant depuis un millénaire dans les prés salés de la baie de Mont-Saint-Michel, ce qui lui donne une chair tendre et gouteuse révélatrice de cette rencontre entre la terre et la mer. Dotée d'une AOP depuis 2009, l'espèce est élevée dans le respect strict d'un cahier des charges qui font de cet agneau un animal unique mais en voie de disparition (comme nous, les Gaulois que nous sommes). Et d'apprendre il y a quelques jours que la boucherie de la Baie (à l'intérieur des Halles centrales de Concarneau) était désormais la seule boucherie de l'Ouest breton à vendre le fameux agneau de Prés Salés. Un agneau (trop gentil!) qui pourrait bien être le dernier de sa race,...comme nous. Qu'on se le dise !
SEQUENCE NOSTALGIE Série télévisée d'animation franco-polonaise de 53 épisodes, « Les Aventures de Colargol » fut créée par Albert Barillé et diffusée de 1970 à 1974 sur la deuxième chaine de l'ORTF. L'histoire retrace les joyeuses et chantantes aventures d'un ourson dont le seul désir est de chanter. Dommage pour lui, il n'a aucun talent pour cela.... Générique (https://youtu.be/I5qv3J7Swd8), chansons (https://youtu.be/ZCsFN5U-uik), dessins animés https://www.youtube.com/channel/UCXoALtBTUFjwsSyNVg9uJMQ/videos?view=0&sort=dd&shelf_id=0)
VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR...
QUOI DE NEUF EN CRYPTO ?
ACTIVONS NOS NEURONES Il est salvateur de sortir quelquefois d'un quotidien toxique qui vous épuise plus qu'il ne vous enrichit. Et de se rappeler qu'à l'échelle de l'Histoire, nous ne sommes guère plus qu'un instant, que dis-je, une seconde dans l'humanité. Noyés dans les faits divers, nous oublions qu'il existe des chercheurs et des scientifiques qui cherchent (et trouvent!) les origines du monde, et c'est justement ce qui vient d'arriver à Korinos (Grèce). Des archéologies, qui procédaient à des fouilles, eurent la bonne surprise de dénicher la tombe d'Olympias, mère d'Alexandre le Grand. Née vers 375 avant J.C, Olympias est une princesse d'Epire de la dynastie des Eacides. Son père, Néoptolème 1er, est alors roi d'Epire de la tribu des Molosses (pour le meilleur et pour...l'Epire!). Olympias, elle, est l'épouse de Philippe II, roi de Macédoine. Le couple donnera naissance à deux enfants : Alexandre le Grand et Cléopâtre de Macédoine. Cette histoire, vieille d'un peu moins de 2500 ans, nous rappelle qu'il existait déjà à cette époque une société organisée au sein de laquelle existaient des rivalités. La trahison d'Olympias par Cassandre en témoigne ici : au terme d'un siège de sept mois à Pydna, la mère d'Alexandre le Grand se rendra à Cassandre, qui la jugera comme ennemie de la patrie sans même lui donner le droit de se défendre. Trahissant alors sa promesse de lui laisser la vie sauve si elle se rendait (les promesses n'engagent-elles pas que ceux qui y croient?), Cassandre aurait livré Olympias à ses parents qui l'auraient faite assassiner par lapidation avant d'être enterrée loin de Pydna. Les chercheurs ont lors de leur découverte mis la main sur des preuves irréfutables : l'ossuaire en marbre et la position de la tête, orientée vers l'est, montrent qu'il s'agit bien de la tombe d'une femme de haut rang (les femmes de lignée royale comme Olympias étaient effectivement enterrées selon ce même procédé).(article rédigé avec le concours de Muriel)
DU COTE DE CHEZ NOUS Jean-Marie, un français de l'étranger et lecteur assidu du site m'a fait hier découvrir Christian Combaz, romancier et essayiste élevé au sérail parisien, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, qui, réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix. L'homme, qui a manifestement de la conversation, possède sa chaine Campagnol Tvl (https://www.youtube.com/channel/UCBIyR71Yvq7rWHSF2p-uH4Q) sur laquelle il diffuse ses vidéos. Séduit par le concept (et le talent de l'artiste!), je vous propose de retrouver désormais la vidéo de la semaine sur cette nouvelle rubrique. (Merci à Jean-Marie pour cette sugestion) : https://youtu.be/qAld7903QtU
50è anniversaire du Festival Interceltique de Lorient (56) L'incertitude plane encore mais les organisateurs travaillent sur deux options : une version minimaliste et une version plus étoffée. La première prévoit trois zones étanches (L’Espace Marine en soirée, une scène consacrée à la Bretagne sur la Place Glotin et un premier week-end dédié à la Bretagne au Stade du Moustoir : une carte blanche aux bagadoù le samedi, l’arrivée de la Grande Parade le dimanche matin, et des animations par les cercles celtiques le dimanche après- midi). Quant à la seconde, intègre une programmation sur les scènes du Théâtre de Lorient, du Palais des Congrès et la tenue du Marché Interceltique avec des bars et une restauration légère. Pour des raisons à la fois sanitaires et logistiques (contraintes de voyage, d’accueil et d’hébergement des artistes), il sera impossible d’accueillir cette année de grandes formations des autres nations celtes : pipe bands, bandas de gaïtas, groupes de danse...Les Nuits Interceltiques au Stade du Moustoir n’auront donc pas lieu. >La programmation artistique et l’implantation définitives des différents sites du FIL seront communiquées dès que possible, en fonction des contraintes sanitaires, susceptibles d’évoluer dans les prochaines semaines. Mais on peut déjà citer « Finisterres Celtiques », Denez Prigent, Alan Stivell, Dan Ar Braz, Carlos Núñez, ...https://www.festival-interceltique.bzh/actualites/
Spectacle nocturne « Valloires, l'Abbaye Lumière » jusqu'au 19 août 2021 à Argoules (80) sur une scénographie signée Bruno Seillier, créateur de génie déjà à l’origine des spectacles de la Tour Eiffel, le Mont Saint Michel, les Invalides et tant d’autres, le spectacle familial présenté met en lumière l’Abbaye sous ses plus beaux atours. Dernière abbaye cistercienne du 18ème siècle complète en France, l'endroit est situé dans un écrin de verdure, au cœur de la campagne picarde et au bord du fleuve de l’Authie, à quelques kilomètres seulement de la Baie de Somme. Et reste un rare et étonnant témoin de l’architecture baroque du 18ème siècle. Durant plus de 45 minutes, vous déambulez ainsi en petits groupes sur ce parcours aménagé pour être effectué en visite libre, et découvrez l’abbaye de nuit, en suivant un itinéraire qui traverse de nombreuses salles sur plusieurs niveaux, à votre rythme, et dans le strict respect des gestes barrière. Une occasion unique de traverser de nombreuses pièces emblématiques de l’Abbaye lors de cette promenade de près de 500 mètres de long. Ce sont plus de cinq tableaux de sons et lumières, plus époustouflants les uns que les autres, qui sont proposés en ces lieux symboliques. Revivez l’incroyable héritage que cette dame de pierres nous a laissé et plongez au cœur du lieu grâce à un déploiement technologique inédit pour une expérience immersive hors du commun (son multi-canal créant un effet enveloppant et projecteurs laser 4K dernière génération sur des surfaces de pierre multiséculaires pour un spectacle hors du commun). Réservation fortement conseillée. https://www.valloires.fr/index.php/decouvrir-le-spectacle/
1500 visites guidées offertes aux Franciliens jusqu'au 12 septembre 2021 Compte tenu de l'effondrement de la fréquentation touristique à Paris Île-de-France depuis le premier confinement, les guides-conférenciers ont été parmi les acteurs du tourisme les plus impactés par la quasi-absence de touristes étrangers. Afin de soutenir cette profession en difficulté, la Région Île-de-France avec le Comité régional du Tourisme propose 1 500 visites guidées ( Visite de groupe, Point parole, Croisière guidée...) offertes aux Franciliens chaque week-end de la période estivale. En pratique, le visiteur pourra consulter la programmation en ligne d'un des sites qui participent à ce dispositif et dans lequel il souhaite se rendre comme par exemple : Provins Tourisme, Cité de l'Architecture et du Patrimoine, Centre des Monuments Nationaux, Office de Tourisme de Rueil-Malmaison, Office de Tourisme de Plaine Commune Grand Paris, Office de Tourisme de Vincennes... Il pourra ensuite faire sa réservation directement sur l'espace de réservation du site choisi. Toutes les informations sont disponibles sur visitparisregion.com.
Nouveautés aux Editions de l'Homme Voici ci-dessous ma sélection des prochains livres à paraitre ces prochains mois aux Editions de l'Homme :
Hors-série « La Gironde en 101 sites et monuments » En cette période estivale, le département de la Gironde et la revue Le Festin lancent un hors-série entièrement consacré au patrimoine architectural et naturel de la Gironde, auquel a activement participé Gironde Tourisme. Véritable guide de voyage, le magazine présente cent-un monuments et sites en images et descriptifs avec une réelle exigence. Outre les stars comme La Dune du Pilat ou les incontournables châteaux médocains, la part belle est faite à des sites moins connus du grand public comme, par exemple :
Infos pratiques : 15 euros – 144 pages – 22 x 28 cm
Comment relancer le commerce local ? Dans les années 70, l’arrivée de la grande distribution a menacé l’existence des commerces de proximité. Suivirent l’explosion du e-commerce, et les manifestations des « gilets jaunes » qui n'arrangèrent pas la situation. L'application FlipNpik, une plateforme communautaire connectée, bâtie par les utilisateurs, offre désormais une solution novatrice pour mettre en avant et soutenir les commerçants locaux. Son objectif : attirer les nouvelles générations et les convertir en consommateurs responsables. Entreprise engagée, dont l’activité consiste à soutenir les petits commerçants et les créateurs indépendants, FlipNpik permet aujourd’hui de minimiser l’impact de la crise sur le commerce physique en proposant un système de récompenses (avec promotions et cadeaux à la clef!). Ainsi, dès qu’un consommateur fait la promotion d’un commerçant via l’application FlipNpik ou qu’il achète des produits en ligne sur la boutique FlipNpik, il se voit attribuer des points dit « mérites », ou « Flip Social ». Et FlipNpik de miser alors sur sa plateforme communautaire (composée d'un site internet, d'une boutique en ligne et d'une application mobile) pour offrir une visibilité aux petits commerçants et faire découvrir aux utilisateurs des pépites locales des villes et régions grâce à un astucieux système de géolocalisation des consommateurs auxquels FlipNpik fait découvrir les commerces locaux les plus proches. https://flipnpik.eu/
« Nul besoin de quitter la France pour voyager », d'après Le Pèlerin (Juillet 2021) Joli programme que celui du magazine Le Pèlerin du mois de juillet dont je vous recommande la lecture tant il est évident qu'il n'estt pas nécessaire de courir la planète en ces temps troublés par la crise sanitaire pour vivre le dépaysement : et Catherine Lalanne, la rédactrice en chef de la revue de mettre en avant ces merveilleux musées français de Paris à Vif-sur-Isère, où l'on traite encore de l'histoire chrétienne. Les amateurs de patrimoine sacré n'ont pas été oubliés puisqu'il suffit de pousser la porte de petites églises pour faire une cure de silence. Quant à ceux qui sont curieux des cultures d'ailleurs, ils pourront découvrir les communautés étrangères présentes dans l'hexagone :les Russes de la Baie des Anges, les Anglais de Dordogne, les Arméniens de Vienne ou les Grecs de Camargue...un tour du monde sans quitter notre beau pays !
La "Porte aux Etoiles", un mapping exceptionnel au Palais des Festivals de Cannes (06) Jusqu'au 21 août 2021, tous les soirs de 22h à 23h30, la façade et les marches du Palais des Festivals et des Congrès de Cannes seront mises en lumière et accompagnées d’une création musicale. Cette année, ce show son et lumière de dix minutes sera pour la première fois diffusé sur l’intégralité de la façade du Palais et s’inscrit dans le thème de la programmation culturelle estivale: le cinéma. La scénographie de ce « mapping » géant, signée par Les Ateliers Athem met en scène l’histoire du cinéma et du Festival avec une réinterprétation de films cultes. Elle constitue une porte vers un voyage surréaliste menant des marches iconiques vers différents horizons cinématographiques. Les tableaux visuels avec leurs jeux de perspectives et d’illusion mettront en avant des films qui ont marqué Cannes et le cinéma. De plus, pour la première fois un trompe-l’œil « tapis rouge » prendra place en haut des marches pour mettre en scène le Palais de jour. Avec un parti pris créatif rétro, minimaliste, illustratif, un mélange 2D-3D, dans lequel sont intégrés des effets de collage vidéo et de textures, les tableaux réalisés autour de films et scènes cultes s'enchaînent :
Domfront (61) et ses secrets L’histoire de Domfront commence presqu’exactement il y a 1000 ans avec l'érection d'un premier château en bois sur un promontoire rocheux. Le même château sera reconstruit en pierre à la fin du 11è siècle. C’est d’ailleurs lui qui se dresse encore aujourd’hui fièrement sur la vallée de la Varenne. Entre temps, la cité médiévale, séparée du site castral, se développe autour des ruelles étroites, des rues pavées, des cours privées, des passages secrets, des maisons à pans de bois et des tours de remparts.
Le Canal du Midi, éloge de la lenteur La navigation sur les canaux de la Robine et du Midi est l’un des parcours fluviaux les plus recherchés par les touristes. Du printemps à l’automne, Français et étrangers s’y pressent pour partager le plaisir… de prendre son temps. Découverte des vignobles, des villages rustiques et plaisirs gourmands promettent un séjour détox salvateur entre la capitale de l’Aude et Homps. L’objectif consiste à se couper du monde pendant trois à quatre jours en embarquant sur un bateau de plaisance pour naviguer, sans stress, sur le canal de la Robine et celui du Midi, à bord d'un « yacht » de 13,25 m de long, soit légèrement en-dessous de la jauge maximale autorisée pour piloter sur les canaux sans permis… et sans expérience aucune de la navigation. En dépit de la courte formation dispensée par le loueur de bateaux, il faut digérer rapidement plusieurs notions qui vous condamnent à avoir l’œil rivé sur la proue pendant un certain temps. Et le canal dans tout cela ? Achevé en 1776, il permet de relier Narbonne et Port-la-Nouvelle au canal du Midi. C’est en quelque sorte son bras sud. L’autre, creusé par Pierre Paul Riquet au siècle précédent, file plein est vers Béziers et Agde. Deux heures de croisière plus tard, mieux habitué au pilotage du « méga-yacht », Sallèles d’Aude s’annonce avec ses sept écluses (Gailhousty, Sallèles, Saint-Cyr, d’Argeliers…). Le passage des premières est poussif. Il n’est pas rare d’heurter un quai en pierre et de peiner à enrouler les cordes autour des bites d’amarrage, malgré l’aide des éclusiers des VNF (Voies Navigables de France), la plupart du temps des saisonniers expérimentés, qui n’hésitent pas à « secourir » les marins d’infortune… Pour franchir les écluses non automatisées, on doit respecter des heures de passage. Celles-ci courent généralement de 9h à 19h, sauf entre 12h et 13h, moment de la pause-déjeuner des éclusiers. Du coup, en comptant les temps d’attente (les manœuvres, l’eau qui monte ou descend entre les portes…), l’heure tourne et il faut parfois « jeter l’ancre » en fin de journée plus rapidement que prévu, en arrimant solidement le bateau à des pieux en bois. Et pouvoir enfin apprécier ce sentiment exquis d’être seuls au monde, en pleine nature, avec pour unique voisin la fraîcheur de l’eau. C’est le moment de savourer le confort du bateau : chambre parentale à la proue, salon-cuisine central, deux chambres d’amis à la poupe, salle de bains, cabinets de toilette… Tout y est. Le poste de pilotage situé en bas est rarement utilisé - l’été, on vit et on pilote sur le pont - mais c’est de là qu’il faut lancer le moteur lorsque l’on repart. Des générateurs sont à enclencher le soir pour profiter du frigo, du four, de la climatisation... Un cocon douillet pour une première nuit extra. Le lendemain, cap sur Le Somail, plus célèbre village du parcours. Désormais à l’aise à la barre, le franchissement des dernières écluses du canal de la Robine (d’Empare, Truilhas, Cesse) est plus facile. Victime de son succès, le canal du Midi étant extrêmement fréquenté l’été, mieux vaut privilégier l'avant ou arrière saison. Une fois traversé le pont-canal de la Cesse - la rivière coule en dessous, ce genre d’ouvrages existe tout au long du canal -, voici donc ce village-escale du Somail, le plus charmant qui soit. Il faut profiter d’arriver tôt pour trouver une place et accoster, histoire de baguenauder le long des quais et de s’imprégner de l’animation fluviale. Le pont en pierre qui franchit le canal en dos d’âne date du 17è siècle. Une chapelle, également du 17ème, le jouxte. Jadis, elle accueillait et bénissait les mariniers. Non loin de là, il ne faut pas rater la péniche-épicerie Tamata, ni la fabuleuse librairie tenue par Nelly Gourgues et ses plusieurs dizaines (centaines ?) de milliers de livres, rangés dans un ancien hangar à marchandises. Le soir, plutôt que de dîner à bord, on choisira plutôt l’un des restaurants-terrasses, comme l’accueillant Comptoir Nature. La seconde nuit ayant permis de récupérer, cap au matin vers l’ouest et Argens. Sur cette portion, comme d’ailleurs dans le village du Somail, l’absence d’arbres sur les rives laisse songeur. Où sont passés les milliers de platanes qui bordaient autrefois le canal du Midi ? Les pauvres arbres ont été décimés par un parasite, le chancre coloré. Malgré les efforts déployés pour tenter de limiter les dégâts, la propagation continue en direction de la Haute-Garonne. Des opérations de replantage sont menées par VNF mais il faudra du temps avant de retrouver l’ombre bienfaisante. Seuls passages à peu près préservés sur ce secteur, la portion avant Ventenac-en-Minervois et celle entre Paraza et Roubia. Penchons-nous quelques instants sur Paraza : passé Ventenac et son château (c’est une cave viticole coopérative en bord de canal, dont l’arrêt est recommandé), voilà cet autre village vigneron. A ce stade, le canal du Midi glisse entre les terres du Minervois (à droite) et des Corbières (à gauche). De longs paysages de plaines viticoles sont limités de part et d’autre par des pentes de garrigue. Difficile ici d’échapper à la vigne, comme en témoigne le domaine du Château de Paraza surplombant le village et pourtant, la balade à pied dans les ruelles du bourg est très agréable.
L'oeuvre monumentale de Georges Rousse exposée à Montauban (82) Le musée Ingres Bourdelle de Montauban nous invite dès cet été à une magnifique rencontre avec l’œuvre monumentale de l’artiste contemporain Georges Rousse qui a investi les sous-sols médiévaux de cette institution classée aux Monuments Historiques...et ce, jusqu'en juin 2022. La salle du Prince Noir située dans les sous-sols accueille aini l'exposition consacrée à Georges Rousse qui investit les lieux pour offrir une œuvre inédite aux visiteurs. Chaque visiteur, en se déplaçant dans la salle, recherchera cette focale et placera alors, le temps d’une vision, son regard dans celui de l’artiste. Afin de rendre compréhensible le cheminement créatif de Georges Rousse, plusieurs croquis préparatoires seront également présentés autour du grand tirage photographique réalisé par Georges Rousse qui remet à plat la vision tridimensionnelle de l’espace. www.museeingresbourdelle.com
Musée des Soieries Bonnet à Jujurieux (01) Profitez de votre séjour dans cette belle vallée pour découvrir le magnifique "Musée des Soieries Bonnet". Une expérience inoubliable au cours de laquelle vous assisterez à des démonstrations de métiers à tisser, vous échangerez avec d'anciens ouvriers, vous admirerez des étoffes uniques imaginées pour les plus grandes maisons (Dior, Chanel...), vous vous immergerez dans le fonctionnement d'une usine qui a employé jusqu'à 1 200 personnes. Le patrimoine des Soieries Bonnet à Jujurieux constitue un exemple rare de préservation, dans son intégralité, d'un ensemble complet de l'industrie textile permettant de saisir en un même lieu toutes les composantes du patrimoine industriel, dans leur dimension matérielle et immatérielle. Les Soieries Bonnet, c'est la mémoire d'une des plus grandes maisons de soierie lyonnaise et de son usine-pensionnat. Un fonds exceptionnel de 300 000 objets et documents labellisées collections Musée de France dans des bâtiments protégés au titre des Monuments Historiques. Liées aux plus illustres noms de la haute couture, telles la maison Dior, Chanel, Yves Saint-Laurent, Lanvin ou encore Lacroix et Valentino, les collections du Musée des Soieries Bonnet témoignent d'une histoire singulière, que ce soit à travers ses métiers ou ses ouvriers. Chapelle, économat, cités ouvrières, école... Ville dans la ville, le site a accueilli plus de 13 000 ouvrières-pensionnaires sur 10 ans, et a même exporté son organisation paternaliste au Japon. Un parcours immersif vous attend avec la visite des anciens ateliers de tissage, rencontre avec d'anciens ouvriers, démonstrations, événements culturels et artistiques... Vous découvrirez les différentes étapes de création des tissus et des accessoires de mode, ainsi que le patrimoine industriel unique du site. Du cocon à l'étoffe, la découverte des anciens ateliers de production révèle le processus de fabrication, la grandeur des savoir-faire, le tout sur fond de mémoire ouvrière. L'usine préservée, c'est 74 métiers à tisser, des ourdissoirs, bobinoirs, pieds de lisage, piqueuses, visiteuses, tables de peint-main, l'échantillonnage, l'expédition, des milliers de dessins textiles, de mises en carte, de tissus : unis, étoffes façonnées, velours...Visites des anciens ateliers de tissage, rencontre avec d'anciens ouvriers, démonstrations, événements culturels et artistiques...https://www.cerdonvalleedelain.fr/musee-soieries-bonnet
Découvrir la planète en s'amusant Plusieurs jeux sont disponibles sur internet qui invitent à jouer en ligne en testant ses connaisances géographiques et en découvrant bien des endroits insolites :
Observation des baleines à Tetiaroa (Polynésie française) La saison des baleines est arrivée, les premières ont déjà été observées... Beaucoup de choses se passent pendant la saison des baleines à Tetiaroa, l’atoll du resort The Brando : il faut savoir que les excursions d'observation des baleines sont organisées entre août et octobre, qu'à l'école Lagoon du Brando, les enfants de 6 à 12 ans peuvent participer au programme « À LA RENCONTRE DES CÉTACÉS » de juin à octobre, et que Tetiaroa Society organise une conférence sur les baleines tous les mercredis et samedis sur des thèmes différents (les différentes espèces de cétacés vivant dans les eaux polynésiennes, les mammifères marins comme les dauphins et les baleines ou encore le voyage d'une baleine à bosse, sa vie et ses menaces). L’atoll accueille cette année des chercheurs sur les baleines qui travaillent sur l'identification individuelle des baleines à travers la Polynésie française. Ils seront à l'Eco-station du Brando du 6 au 8 août tout en travaillant autour de Tetiaroa. Des séances d'observation des cétacés (Whale Watching) sont organisées pour le public de 9h à 12h et de 13h à 16h jusqu'à octobre. Avis aux amateurs ! Cette sortie en bateau se fait à l’extérieur du lagon uniquement pendant la saison des baleines entre début août et fin octobre-début novembre. On s’équipe sur le quai Motu de Onetahi et on embarque sur le bateau de Top Dive. Après avoir repéré les mammifères, on s’approche en respectant les limitations de vitesse et de distance. Si les conditions météorologiques le permettent et si le ou les animaux sont calmes, une mise à l’eau ne sera autorisée que sous la surveillance du guide de Tetiaroa Society. Il vous accompagnera afin de donner des informations sur ces cétacés, mais aussi pour veiller à la tranquillité des animaux. Au bout d’une trentaine de minutes maximum, nous laissons les mammifères, pour revenir au bateau. Une expérience inoubliable !
Exposition « Jeff Koons, Oeuvres de la collection Pinault » au Mucem de Marseille (13) jusqu'au 18 octobre 2021 L’exposition « Jeff Koons Mucem. Œuvres de la Collection Pinault », conçue en étroite collaboration avec l’artiste américain, présentera à Marseille certaines de ses œuvres les plus célèbres, et explorera la relation entre ces œuvres et les objets du quotidien, photographies et documents de l’immense collection du Mucem, référence dans le domaine des arts populaires. Grâce au prêt exceptionnel de 19 œuvres issues de la Collection Pinault, c’est une véritable plongée dans le travail de l’artiste, jalonnée par ses œuvres phares, sculptures (comme Balloon Dog, 1994-2000, ou Lobster, 2007-2012), et peintures (comme Backyard, 2002, ou Dutch Couple, 2007) qui est proposée. Depuis les premières œuvres de la série The New, aux pièces devenues iconiques de la série Celebration en passant par les créations les plus récentes comme les séries Gazing Ball et Antiquity, l’exposition retrace la carrière de l’artiste sur les 40 dernières années, de manière chronologique, et revient sur les thèmes iconographiques, les associations visuelles et les modes d’expression qui lui sont chers. Pinault Collection se réjouit de contribuer, par ce prêt important, à la réalisation d’une exposition d’un grand musée national et cela la même année où elle ouvre au public son musée parisien de la Bourse de Commerce et présente à Venise, à Punta della Dogana, une exposition de référence consacrée à Bruce Nauman. https://www.mucem.org/programme/exposition-et-temps-forts/jeff-koons-mucem
On me trouve aujourd'hui une meilleure tête depuis que je me suis installé à la campagne. Cela suggère t-il que j'avais auparavant une sale gueule ? A Paris, je me sentais effectivement plus stressé car plus agressé par le bruit, la pollution et le manque d'air et de verdure. L'article de cette semaine retrace mon installation dans une maison familiale en Bretagne, entre cloches d'église et petits oiseaux, entre courtoisie humaine et respect de l'autre. Bonne lecture ! Yves Classement des dix premiers pays qui ont visité ce site la semaine dernière : 1 ) Etats-Unis 2) France 3) Chine 4) Canada 5) Royaume-Uni 6) Colombie 7) Allemagne 8) Espagne 9) Suisse 10) Costa Rica Ode à la ruralité (Ille-et-Vilaine, France)Il m'aura fallu saturer face au bruit et à l'insécurité de la capitale pour filer en Bretagne et rouvrir la maison familiale en juin dernier. Oh, l'endroit n'a rien d'un palace mais la petite maison de bourg a l'avantage de se trouver au cœur d'un charmant village de Haute-Bretagne, à seulement vingt kilomètres de Saint-Malo, la Cité corsaire. Ici, on respire et on écoute le silence. On déstresse entre chants d'oiseaux et le tintement régulier des cloches de l'église située à cent mètres de là. Du coup j'ai rangé ma montre... (...)  Lire la suite Leglobeflyer |
