Désormais, la République française se divise en deux camps : ceux qui payent et ceux qui touchent (source :Contribuables Associés). Nos élites, non contentes de donner des (mauvais) conseils, coutent une fortune à notre pays, et ce depuis bien longtemps. Alors que la crise sanitaire a fait disparaître les maigres revenus que certains Français avaient du mal à gagner avant la Covid, la crise économique à venir pourrait bien « être terrifiante » (de l'aveu de Pierre Jovanovic - https://www.youtube.com/watch?v=-mT6wGXkOvk) et achever d'abattre notre pauvre nation après les élections présidentielles.
Cela n'empêche nullement notre gouvernement d'annoncer vouloir reprendre la réforme des retraites en repoussant l'âge de départ et en supprimant tous les régimes spéciaux. Cette réforme n'intéressera que certains car, contrairement au discours convenu, nous ne sommes pas tous égaux dans un pays dont la devise est encore pour l'instant « Liberté, Egalité, Fraternité ». Crise ou pas, nos rentiers continuent de traire la bête et ceci, sans scrupules et sans faire acte de la moindre solidarité envers leurs concitoyens. Nous le savons, nos élus n'ont par exemple aucun intérêt à ce que les lignes bougent puisqu'ils profitent de l'argent des contribuables. Mais ils ne sont pas les seuls, puisqu'un grand nombre de (hauts) fonctionnaires vit également sur la bête. Je ne parle pas ici du fonctionnaire modeste (l'agent administratif de la Sécurité Sociale, de Pôle Emploi ou de toute autre administration...) mais de serviteurs de l'Etat occupant des postes à responsabilité. Saviez-vous par exemple :
qu'un préfet sans affectation (sur 257 membres du corps préfectorale, la moitié est aujourd'hui sans affectation) est payé entre 5000 et...12000€ nets. Rajoutons qu'il suffit à un préfet d'avoir exercé en tant que tel pendant seulement cinq années pour toucher une retraite de ...4500€/ mois. A noter que ce salaire est en quelque sorte de l'argent de poche car ce serviteur de l'Etat est nourri, logé, et blanchi. Et n'a donc aucune charge à payer.
Que les 26 agences administratives indépendantes (AAI) offrent des rémunérations royales à leurs collaborateurs : le président de l'Autorité de sûreté nucléaire gagne ainsi 18618€/mois, celui de la Haute autorité de santé, 17516€/mois, et celui de l'autorité des marchés financiers, 20000€/mois.
Que les 175 membres du CESE (Conseil Economique, Social et Environnemental) reçoivent 4000€ nets/mois pour une efficacité qui reste encore à démontrer.
Qu'il existe quelque 200 comités « Théodule » servant lobbies et relations de pouvoir pour lesquels l'Etat avait dépensé quelques 23,2 millions d'euros en 2017.
Que le président des musées nationaux et du Grand Palais reçoit 120000€/mois, plus un complément personnel de 42000€ et une part variable de 30000€ maximum par an.
Que la présidente de Radio France perçoit un salaire de 18500€ bruts par mois
Que le directeur de la Société du Grand Paris perçoit 25000€ bruts par mois et une part variable pouvant atteindre 60000€ annuels.
Les rentiers ne sont pas qu'élus ou fonctionnaires. On y trouve aussi :
Les syndicats gavés de subventions publiques (180 millions chaque année) et à qui l'Etat fournit 50000 agents publics, le tout payé par les contribuables que nous sommes.
Les entreprises privées qui vivent des commandes publiques, comme, par exemple, les bâtisseurs de ronds-points. Saviez-vous que la moitié des ronds-points de la planète se trouve en France ? Une manne intarissable qui semble profiter à quelques « entreprises privilégiées » mais également à des artistes comme celui qui a conçu la soucoupe volante de Bordeaux. Un tas de ferraille payé ...750000€ !
Certains intermittents du spectacle, qui bénéficient du très juteux régime d'indemnisation chômage des intermittents du spectacle (régime financé par les cotisations chômage des salariés du privé).
Les associations, lesquelles se partagent chaque année un pactole de 27 milliards d'euros, distribués selon le bon vouloir des élus.
Le comité d'entreprise de la SNCF qui dispose annuellement de 100 millions d'euros
le comité d'entreprise d'EDF qui pèse un demi-milliard d'euros, et touche 1% de chaque facture EDF !
L'audiovisuel public qui reçoit 3,8 milliards d 'euros par an (un budget qui dépasse celui des 330 radios privées françaises réunies!)
La presse écrite qui touche chaque année près d'un milliard d'aides publiques (+ deux milliards supplémentaires offerts par le gouvernement au seul secteur des médias pour cause de Covid).
Les repêchés et les copains recasés : Mme S.G ancien membre du gouvernement qui a quitté ses fonctions suite à une affaire judiciaire fut aussitôt recasée à la Banque de France avec un salaire mensuel de 18640€ + indemnité de logement de 5712€ mensuels. Un ancien membre de gouvernement fut aussi recasé à la Monnaie de Paris (salaire fixe de 210000€ par an et juqu'à 47000€ de primes annuelles!). Et il y a des centaines de recasages de ce type dans notre pays.
Les technocrates européens : 340 hauts fonctionnaires partent cette année à la retraite anticipée à 50 ans, avec une pension de 9000€ par mois (soit 70% de leur dernier salaire et après 15,5 années de carrière complète).
Quoi qu'il arrive et quoi qu'il en coûte, nos rentiers de la République sont payés toute leur vie et jusqu'à leur dernier souffle :
Chaque ancien président de la République française touche une retraite de 6000€ par mois au seul titre du quinquennat + deux policiers mis à sa disposition pour assurer sa protection rapprochée + sept collaborateurs permanents + un appartement de fonction meublé tous frais payés avec personnel de maison + voiture de fonction avec chauffeur + voyages gratuits sur Air France et à la SNCF.
Les Premier Ministres disposent aussi de privilèges (le coût total de la protection rapprochée des Premiers ministre français a atteint 2,8 millions d'euros en 2019)
Non contents de cumuler les indemnités d'élu et de fonctionnaire tout au long de leur vie (en se faisant élire maire, membre exécutif départemental/régional...), 21600 hauts fonctionnaires cumuleront aussi les retraites (retraite d'élu local + retraite d'élu régional + retraite de fonctionnaire...) alors que dans le même temps, les salariés du privé se voient imposer un écrêtement des pensions pour limiter le montant total de leur retraite. Alors que des millions de salariés du secteur privé mis en chômage partiel, ont vu leur salaire amputé de 16%, et que de grands patrons français ont, par solidarité, réduit leur salaire de 25%, aucun geste n'a été fait du côté des hauts fonctionnaires par ces temps de crise. L'association « Contribuables Associés » demande à ce qu'une contribution exceptionnelle de solidarité de 16% soit imposée à ces agents publics aux revenus supérieurs à 5497 €/mois, une contribution qui serait reversée au Fonds de Solidarité venant en aide aux TPE, commerçants, indépendants, artisans en détresse...www.touscontribubles.org
LE CLIN D'OEIL DE VALERIE !
A ceux qui en doutaient encore, je vous le confirme, nos représentant élus nous prennent pour des billes. Non contents de vivre comme des princes, sans rendre compte de leurs missions aux électeurs qui les ont mis aux postes où ils se trouvent, voici qu'ils complotent contre nos libertés ! Feignant de découvrir les choses, on découvre jour après jour le coup monté du Covid, mais également celui des passeports vaccinaux dont le concept a en réalité pris forme vingt mois avant la pandémie.
Selon France Soir (daté du 5 août 2021), ce passeport ne limiterait pas seulement vos entrées ou vos déplacements dans certains endroits mais fliquerait votre vie toute entière à l'image de ce qui se passe en Chine depuis plusieurs années maintenant, dixit le Crédit social. La commission européenne publia pour la première fois la proposition de « passeport vaccinal » le 26 avril 2018. A l'époque, l'information avait été discrètement diffusée (https://greatgameindia.com/vaccine-passports-planned-before-pandemic/ ) par les médias complices sous l'intitulé «renforcement de la coopération contre les maladies inévitables par la vaccination ». Malin le lynx !
La planification de la pandémie a été clairement mise en évidence lors de la réunion au sommet tenue à Bruxelles le 12 septembre 2019, qui avait pour thèmes : la planification de la préparation à une pandémie de grippe, un exercice de pandémie de grippe pour l’Union européenne, la planification de la préparation à la grippe aviaire et à la pandémie de grippe, la planification de la préparation et de l’intervention en cas de pandémie de grippe, vers la suffisance des vaccins contre la grippe pandémique dans l’UE et un « partenariat public-privé » sur les vaccins européens contre la grippe pandémique. Vous avez dit complot ?
Et selon vous, qui profitera pleinement des « passeports vaccinaux » ? L'industrie pharmaceutique bien sûr (qui vise un chiffre d'affaires estimé à 1 500 milliards de dollars pour la seule année 2021) alors que les gens ordinaires devront partager leurs dossiers médicaux pour prouver qu’ils sont aptes à voyager à l’étranger ou même à regarder un film. Quant au flicage à venir, l'homme et la science débordent d'imagination. Lisez plutôt ce qui nous attend : injection d'une micropuce dans notre organisme pour détecter le coronavirus, avec un filtre pour extraire le virus du sang, des sceaux de santé Covid-19 spécial entreprises (à 12000 dollars pièce) pour justifier que vous êtes parfaitement sain(e), la diffusion de vidéos de propagande vaccinale, élevage de moustiques génétiquement modifiés (appelés seringues volantes) utilisés pour injecter des vaccins aux êtres humains. L'Etat indien du Jharkhand avait même proposé de conditionner le versement du salaire ...à la vaccination. Une proposition finalement rejetée ...pour l'instant ! La Grande-Bretagne, elle, a proposé l'instauration d'un « passeport de la liberté » basé sur le coronavirus QR Code. D'ores et déjà, les fondations Rockefeller et Clinton ont mis au point plusieurs applications post-Covid afin de contrôler nos vies dans le futur : collecte, stockage et surveillance de nos données de santé détermineront si nous avons le droit de voyager, d'aller au bureau, d'étudier...ou pas ! Bill Gates a même conçu un tatouage quantique invisible dissimulé dans le vaccin anti-Covid, qui archivera notre historique vaccinal. La tatouage serait lu à l'aide d'un simple smartphone. Le gouvernement indien, lui, prévoit le lancement d'une carte de santé obligatoire sur le même modèle. Quant à Singapour, ils ont développé des étiquettes électroniques Covid-19 pour suivre l'activité comportementale des individus. Au Mexique, on cultive des tomates génétiquement modifiées comme vaccin comestible contre le coronavirus. Autre programme : Trust Stamp (financé par Bill Gates) pour relier notre identité numérique biométrique à notre carnet de vaccination dans le but de supprimer l'argent liquide. Enfin les Britanniques (encore eux!) sont sur le point de développer le COVI-PASS, un passeport de santé numérique biométrique basé sur la RFID afin de surveiller tous nos faits et gestes. Bienvenue sur la planète des esclaves !
Tous les jours Richard Boutry, ancien présentateur sur France Tv et TV5 Monde, vous propose une chronique d‘une minute sur des faits d‘actualité ou des sujets plus intemporels, qu‘il traite avec une patte à la fois journalistique et personnelle : https://www.laminutedericardo.com
Entre 1968 et 1969, la première chaine de l'ORTF diffusa « Thibaud ou les Croisades », une série télévisée française de 26 épisodes qui retrace les aventures de Thibaud, fils d'un baron chrétien et d'une mère chrétienne d'Orient, surnommé le chevalier blanc. La scène se déroule en Palestine au 12è siècle, à l'époque des Croisades.
Le désir de la jeunesse et la représentation du corps adolescent : un documentaire « L'enfance mise à nu », diffusé le mardi 17 août à 23h00 sur France 2 interpelle sur la question des relations que les artistes et les écrivains entretiennent avec le désir de la jeunesse et la représentation du corps adolescent. De Balthus à la Lolita de Nabokov, de l'Antiquité grecque à André Gide, de Gainsbourg à Gabriel Matzneff, l'art peut-il tout se permettre ? L'imagerie du corps adolescent doit-elle être réglementée ?
La perception extrasensorielle : cette chose qu'on appelle également un échange d'information entre un sujet et son environnement selon des principes inconnus des sciences actuelles me subjugue. Je vous conseille de regarder la vidéo « Cosmic Secret » (https://odysee.com/$/search?q=the%20cosmic%20secret ) qui nous fait plonger dans le monde des êtres stellaires. Une autre civilisation qui semble bien plus avancée que notre médiocre société humaine.
Le côté temporaire du Pass sanitaire : comment expliquer que des annonces de Pôle Emploi proposent des CDD de 10 mois pour des emplois d'agents de contrôle de QR code alors qu'on nous affirme que l'ausweis est applicable jusqu'au 15 novembre ? Que penser lorsque la région PACA décide de commander des machines de contrôle automatique du pass sanitaire ?
Le prix du bitcoin se situe dans une tendance haussière de long terme, ponctuée par des cycles de marché qui durent environ quatre ans, soit la période de halving de la création monétaire. Les circonstances économiques actuelles du monde amènent certaines personnes à penser qu'on pourrait se trouver dans un supercycle, c'est-à-dire un cycle potentiellement beaucoup plus puissant que les précédents. La théorie du supercycle est l'idée que le cycle de prix du bitcoin dans lequel nous nous trouvons actuellement serait différent des cycles qui l'ont précédé et devrait les surpasser en puissance en raison de la situation macroéconomique particulière du monde. Le terme a été créé en octobre 2019 par Dan Held, le directeur du développement commercial de Kraken, qui l'a par la suite expliqué plus en détails en décembre 2020, puis en avril 2021. Dans ce potentiel supercycle, le prix du bitcoin pourrait ne pas se contenter de rester sous les 64 000 $ ou de toucher « seulement » les 300 000 $, mais aurait la possibilité d'atteindre le million voire les deux millions de dollars.
Le vice-ministre ukrainien de la Transformation Numérique souhaite favoriser les paiements en cryptomonnaies. L'objectif est d'autoriser des règlements en crypto-actifs, au même titre que les paiements dérivés en dollar américain. Après l'Uruguay, un autre pays souhaite autoriser les paiements en cryptomonnaies : l'Ukraine. Toutefois, bien que le gouvernement ukrainien soit pro-cryptomonnaies, il ne souhaite pas encore copier le Salvador. Si ce dernier est aujourd'hui le seul pays au monde ayant fait du Bitcoin (BTC) une monnaie ayant cours légal, l'Ukraine a seulement pour objectif d'autoriser les paiements en actifs numériques. Pour l'instant, la seule monnaie officielle de l'Ukraine est la hryvnia (UAH).
Possible mise à mort de l'industrie des cryptos par les Etats-Unis : En terme d’activité de réseaux blockchains, de cas d’utilisation, de nombres d’utilisateurs, d’adoption (et accessoirement, de cours de marché), jamais le secteur des crypto-actifs ne s’est porté aussi bien. Oui, mais cette incroyable success story de Bitcoin et ses semblables agacent au plus haut point politiciens et banquiers centraux. C’est ainsi qu’aux États-Unis, en pleine période de pause estivale, une proposition de loi incroyablement dangereuse pourrait totalement remettre en cause la liberté d’innovation dans le secteur. Sournoisement dissimulée dans une très importante loi globale sur l'infrastructure – le « infrastructure bill », qui porte sur plus de 1 000 milliards de dollars de financement – se trouve une proposition de règles encore plus strictes sur la façon dont les cryptomonnaies seront taxées. La disposition obligerait ainsi les services d’actifs numériques à déclarer leurs gains (pour taxation) dans un formulaire type 1099, en plus de la déclaration déjà obligatoire des transactions de plus de 10 000 dollars à l'Internal Revenue Service (IRS/le fisc américain).
Le Vénézuela retire six zéros à sa monnaie, en pleine hyperinflation : face à une dévaluation de -99,999% de sa monnaie, le petro, le gouvernement du Venezuela et sa banque centrale ont officiellement annoncé qu’ils allaient lancer une nouvelle cryptomonnaie le 1er octobre prochain : le « Bolívar Digital ».
L'avenir du pays reposerait-il désormais sur l'utilisation du Bitcoin ?
ACTIVONS NOS NEURONES
Sous le prétexte que nous sommes en « démocratie », nous votons pour élire un représentant, local, régional, national ou européen en lui laissant les pleins pouvoirs (en fait, un chèque en blanc) sans que l'élu en question ne rende des comptes. Et nos représentants d'être finalement devenus nos pires ennemis en prenant (ou en validant) des prérogatives anti-constitutionnelles (réduction des libertés individuelles depuis le Covid...), autoritaires (couvre-feu, état d'urgence...) et impopulaires (on n'éduque pas mais on taxe un max!) au point d'asservir les Français dont les élus sont pourtant les employés (ou du moins devraient l'être). Prenons la sécurité routière, idée vertueuse à l'origine qui a depuis été transformée en univers cauchemardesque pour les automobilistes. « Pour votre bien » (c'est toujours pour votre bien!), on a imposé le port de la ceinture, puis les limitations de vitesse, puis...les radars. Tiens, justement, parlons un peu du dernier-né de ces traqueurs : le dernier radar est petit, donc dissimulable dans un mobilier urbain, a un flash invisible, et peut, en même temps contrôler la vitesse mais aussi surveiller l’utilisation du téléphone portable, le respect des feux rouges ou des distances de sécurité. Du flicage, on passe au bracage et à l'extorsion de fonds. Cette nouvelle « cash machine », génératrice de recettes supplémentaires pour l'Etat dépensier est déjà expérimentée dans le Doubs (sur les communes Pont-de-Roide, Valentigney et Bondeval et l’agglomération du Pays de Montbéliard) avant d'être généralisé dans le pays dès 2022.
A l'heure où nos représentants en font à leur tête et, pour certains, soignent davantage leurs propres intérêts (que ceux du peuple français) sans nous rendre des comptes à l'issue de leur mandat, je propose la remise à plat totale du système, en imposant que l'élu obtienne au minimum plus de 50% des suffrages et réponde de ses prises de décisions devant le peuple : il serait alors créé des comités locaux de reconquête citoyenne, apolitiques, qui demanderaient des comptes aux élus sur la pertinence des décisions prises, les dépenses engagées (présentation des documents comptables) et la justification des tâches effectuées (trop de députés sont par exemple absents de l'Assemblée nationale (ou si peu concentrés sur les débats lors des séances!). Ces mêmes comités délibéreraient aussi aux côtés des juges... L'élu devra disposer d'un casier judiciaire vierge, et devra régulièrement convier ses administrés à s'exprimer lors de référendums locaux, régionaux ou nationaux sous peine d'annulation pure et simple des décisions qu'il aura prises avec son équipe. Un moindre mal pour les élus (qui seraient enfin redevables sur leurs propres deniers des gabegies éventuelles imposées au peuple), pour les juges (qui devront payer aux citoyens victimes le prix de leurs erreurs – par exemple relâcher un prisonnier qui récidive dans la foulée-, y compris sur leurs biens personnels!) et pour les administrés (qui seraient tenus de voter lors des élections et participer aux référendums, sous peine d'amende). Les comités de reconquête citoyenne seraient formés d'un panel le plus représentatif possible de membres tirés au sort, un peu comme pour les jurys populaires. Et chaque citoyen sélectionné devra assurer sa tache. Ainsi, le flicage ne fonctionnerait-il plus que dans un sens mais également du bas vers le haut, de manière plus équilibrée. Ne sommes-nous pas en république et l'équité ne s'applique t-elle pas à tous ? Quant au peuple, sa souveraineté passera avant tout autre intérêt catégoriel (lobbys, cercles d'influence...) faisant systématiquement primer les décisions nationales sur les lois internationales. Notre devise pourrait ainsi pleinement retrouver (et justifier!) ses lettres de noblesse : « Liberté, Egalité, Fraternité ».
DU COTE DE CHEZ NOUS
Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix. L'homme, qui a manifestement de la conversation, possède sa chaine Campagnol Tvl (https://odysee.com/@campagnoltvl:2) sur laquelle il diffuse ses vidéos : https://odysee.com/@campagnoltvl:2/dans-l'histoire-il-y-a-ceux-qui:f
Applications littéraires
Deux applications littéraires peuvent contribuer à vous procurer détente et confort de lecture lors de vos voyages : Rocambole (https://www.rocambole.io/) propose ainsi des séries littéraires qui reprennent les codes du roman-feuilleton (un épisode équivaut à cinq minutes de lecture sur smartphone). Ce format permet un usage plus flexible de la lecture, n'importe où et à n'importe quel moment lors d'un voyage. L'application mobile compte déjà 60 000 lecteurs.
Gleeph (https://gleeph.net/), elle, est un nouveau réseau social qui rassemble les amoureux de la lecture, permet d'échanger ses coups de coeur, de découvrir les bibliothèques d'autres lecteurs et de recevoir des suggestions de lecture personnalisées. Ce réseau social compte déjà 340 000 utilisateurs en France.
Week-end en Pays de Caux
Entre Seine et mer, ce vaste pays calcaire qui s’étend jusqu’à la boutonnière du Pays de Bray est unique en France. Parsemé de petits fleuves côtiers tels la Durdent, la Veules ou bien encore la Saâne, et de rivières se jetant dans la Seine comme l’Austreberthe, le Pays de Caux tire son nom d’une tribu celte : les Calètes.
L’habitat typique du Pays de Caux, le Clos Masure, fait pleinement partie du paysage. Ces ensembles composés d’une maison de maître, de bâtiments agricoles et d’une cour plantée d’arbres fruitiers, pour la production du cidre ou de l’eau de vie, tirent leur originalité des talus plantés de hêtres qui les entourent. Ces talus, appelés plus communément fossés, donnent au Pays de Caux cette architecture si pittoresque datant, selon la légende, des Vikings. Les colombiers font également partie du paysage cauchois. Ces édifices, symboles de la fortune de leurs propriétaires et souvent situés sur des exploitations agricoles, servaient autrefois à élever les pigeons. L’architecture très riche du Pays de Caux se caractérise par de très beaux calepinages de briques, de grès et de silex.
Le premier jour, je vous suggère de visiter l'église Saint Pierre d’Yvetot (76), avec son immense vitrail, l’un des plus grands d’Europe, créé par le peintre verrier Max Ingrand. Puis, rendez-vous au Musée des Ivoires , où 200 pièces d’ivoires finement sculptées, ainsi qu’une collection originale de poteries et de terres cuites vous seront présentées. Après un copieux déjeuner, découvrez le Chêne d'Allouville-Bellefosse (76), situé au centre du village. Ce chêne pédonculé semble être âgé de plus de 800 ans et abrite à l’intérieur du tronc une petite chapelle. Visitez enfin la Maison des Traditions Normandes à Saint-Maclou-la-Brière)(76) où vous revivrez le passé : entre l’habitat normand, les meubles, la vaisselle … et les vieux métiers normands, c’est une collection remarquable qui s’offre à vous. Visite nostalgique pour certains et mémorable pour d’autres.
Le lendemain, explorez Lillebonne (76) et ses nombreux vestiges archéologiques qui y ont été découverts et qui témoignent de l’histoire prestigieuse de cette ancienne citée gallo-romaine. C’est ce passé qui va vous être conté à travers le musée Juliobona. Puis vous pénétrerez dans les vestiges du plus grand théâtre-amphithéâtre antique du nord de la Loire. Préparez-vous pour une visite étonnante et enrichissante et faites une promenade digestive au parc de l'Abbaye du Valasse, à Gruchet-la-Valasse (76). Site d’exception, l’Abbaye du Valasse a traversé neuf siècles et a connu des moines cisterciens, la guerre de Cent Ans, la Révolution française, la vie de château, l’industrie du textile, l’industrie laitière…
Consacrez votre dernière visite à l’Atelier-Musée du Textile, à Bolbec (76) : au fil de la visite commentée et des démonstrations des bénévoles, une ouvrière de filature 1900 égrène les anecdotes, les extraits de récits de vies, et les gags avec humour et tendresse. Ce personnage haut en couleur et volubile fait revivre avec humanité et un humour décalé la vie ouvrière, et notamment celle des femmes, dans l’industrie textile du 19ème à aujourd’hui.
Les meilleurs endroits où vivre en cas d'effondrement de notre société
D'après les auteurs de l'étude publiée le 21 juillet 2021 dans la revue scientifique Sustainability, un effondrement de nos sociétés pourrait s'illustrer de différentes manières dans les années à venir: une pandémie plus importante que celle du Covid-19, une crise climatique liée à la destruction accrue de la nature ou une crise financière. Ces prédictions alarmistes, rappellent tristement les conclusions du GIEC - Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat - qui révélaient la semaine dernière que certaines régions du globe (l'Asie du Sud et du Sud-Est, le golfe Persique, le golfe du Mexique, ou des parties du continent africain ou de l'Inde) étaient en train de devenir inhabitables pour les êtres humains compte tenu des menaces climatiques.
Certains pays sont en revanche mieux préparés que d'autres pour l'avenir, en tenant compte des critères suivants : la capacité à produire de la nourriture pour la population, la capacité à maintenir un réseau électrique et la capacité de production globale. Ainsi, les endroits les mieux adaptés au monde pour survivre à un éventuel effondrement de la société selon le rapport de Sustainability sont la Nouvelle-Zélande, l'Islande, la Tasmanie et l'Irlande. Des résultats qui s'expliquent notamment par des terres agricoles fertiles, une faible consommation d'énergie, des climats tempérés et une densité de population faible. La persistance de l'agriculture dans ces pays-là est déterminante dans le choix de ces pays.
Balade sensorielle à vélo à l'Eguille-sur-Seudre (17)
La balade sensorielle à vélo a lieu tous les mardis à 10h depuis l'office de tourisme de L'Eguille (du lundi au vendredi de 10h à 12h30 et de 14h30 à 18h00. Tél:05 46 08 17 59) en août.
Cette balade nature en bord de Seudre et près des marais, d'une durée de deux heures (5 km), vous offre de traverser à vélo le paysage ostréicole façonné par les Eguillais, de vivre une expérience sensorielle au cœur des claires et des marais tout en réapprenant à voir…, à écouter……, à sentir…, à toucher…. en goutant au passage une fine de claire ou spéciale de claires ou pousse en claires, sur le port de L’Eguille. Le prix de cette promenade (11€ par adulte ou enfant à partir de 8 ans) comprend la visite guidée et la dégustation, mais pas la location du vélo (prévoir son propre vélo ou en louer un sur la commune). Nombre minimum de participants : 4 personnes (maximum : 10 à 15 personnes). Réservation obligatoire dans les Offices de Tourisme Destination Royan Atlantique. Vente au comptoir et en ligne. Renseignements : 05 46 08 21 00 - https://www.royanatlantique.fr/visites-guidees/
Visite de Laon (02) (en large!) de haut en bas
Surnommée la montagne couronnée, Laon qui domine la vaste plaine champenoise, offre notamment sa cathédrale, véritable joyau, et l'une des plus belles de Picardie et de France. Il faut monter au sommet de la tour, faire une halte dans les tribunes pour découvrir les mystères de ce chef-d’œuvre de l’art gothique. Quant aux secrets de la ville, ils sont dévoilés par la visite des souterrains.
Une fois au pied de l’escalier, nous trouvons le vaste parvis de Notre-Dame, un édifice construit en une cinquantaine d’années, à partir de 1155. La cathédrale est un modèle pour beaucoup d’autres - et pas des moindres. Ses arcades inspirent celles de Notre-Dame de Paris, ses porches aux galbes triangulaires préfigurent ceux de Chartres, ses tours servent de modèle à Reims. A l’intérieur, l’immense nef (118 mètres du chevet au portail et 24 mètres de haut) est éclairée par deux roses symétriques et par les hautes verrières latérales. Les deux tours de la façade sont parées de grands bœufs de pierre qui sortent de l'ordinaire. Le moine Guilbert de Nogent rapporte cette légende : un attelage ne pouvant gravir la colline de Laon pour amener les matériaux à pied d’œuvre, un bœuf mystérieux vint en renfort et disparut quand le chariot eut achevé l’ascension. C’est en souvenir de ce miracle que les bœufs ornent les tours. Au pied de l’édifice, l’hôtel Dieu, construit vers 1170, est le plus ancien gardé en France, et abrite aujourd’hui l’Office de tourisme. Non loin de là, dans la vieille ville, les ruelles ont conservé clochetons et fenêtres à meneaux tandis que les remparts mènent, porte après porte, à l’église Saint Martin, une ancienne abbatiale, très dépouillée, et maintes fois remaniée.
Nous descendons des remparts pour une immersion dans les souterrains. "Secrets sous la ville" est un long voyage temporel de 40 millions d’années qui débute, dans une lumière bleue, à l’époque où le territoire était plongé sous les eaux. Les décors s’enchainent pour remonter à la surface de l’Histoire, jusqu’au Moyen Age, au cœur d’un chantier d’extraction de pierres. Scénarisées par l’image et le son, les diverses activités souterraines sont transcrites : extractions de la roche, stockage et camouflage des céréales, poudrières, réunions secrètes, égouts… pour s’achever avec une projection des grandes batailles de l’Histoire de France vécues à Laon. Une galerie du temps met en avant les « Grands hommes de France » qui sont passés dans l’histoire de Laon : Charlemagne, Paul Doumer, Edouard Herriot… https://www.aisne-tourisme-pro.com/
Sortie du livre « Le Plaisir de faire plaisir » de Michel Troisgros, le 19 août 2021
Michel Troisgros est un chef multi-célébré (trois macarons au Michelin), qui incarne la troisième génération d’une famille iconique de cuisiniers. Dans ce dialogue, il expose comment le ciment familial, la beauté créatrice, le plaisir de donner du plaisir, forment la plus sûre parade aux tourments qu’impose l’épreuve pandémique.
« Le plaisir, notion cardinale chez Michel Troisgros, est le fil conducteur de ce dialogue. Le plaisir de recevoir et de partager, celui de créer et de manager, celui d'oser et de décider, celui de caresser un ingrédient puis celui de lui faire honneur dans l'assiette. Un plaisir multiforme duquel il rend indissociables l'adverbe ensemble et la préposition avec. Tout simplement, le plaisir de partager le plaisir. Car le plaisir de Michel n'est jamais solitaire, il est conditionné à l'autre, il se nourrit de l'autre. L'autre est un collaborateur, une plante, un client, un arbre, il est un artiste, un légume, un vigneron, un confrère, un jardinier, il est un parent, une volaille, un son, un agriculteur… Chaque autre est celui sans lequel, déclare-t-il, “Je ne suis rien”. Sans lequel “rien” de ce qu'il invente et entreprend “n'a de sens”. Sans lequel sa raison d'être, celle de partager, serait vaine. Voilà pourquoi, si bien sûr elle “dit” beaucoup de l'intéressé, cette rencontre fournit aussi des clés de lecture de l'époque – et du moment de civilisation que provoque l'épreuve pandémique du Covid-19. » (Denis Lafay). En librairie le 19 août. 90 pages. 12€
Visites patrimoniales « Coup de Coeur » du Val de l'Eyre (33)
En août, l'Office de Tourisme Intercommunal du Val de l’Eyre poursuit son programme estival de visites et animations patrimoniales. Des activités thématiques, ludiques et pédagogiques pour toute la famille mettant en avant les atouts naturels ou historiques du territoire, en accord avec le projet d’éco-destination chère à la Communauté de Communes du Val de l’Eyre :
Les « INSTANTS COUTUMES ET PATRIMOINE » avec, notamment, la visite patrimoniale de l’église de Mons à Belin-Beliet le 27/08 à 10h). Pendant deux heures, touristes et locaux pourront découvrir ou redécouvrir la riche histoire de ce monument emblématique de l'art roman et patrimoine du 11ème, sur l’itinéraire du pèlerinage vers Saint-Jacques de Compostelle. Une animation gratuite destinée à un public de plus de 10 ans.
Une « balade nature à cheval dans la forêt des Landes de Gascogne » est proposée à Belin-Beliet le 29/08 à 9h30. Au cœur de la forêt, au calme et au grand air, on pourra ainsi conjuguer plaisir et complicité au rythme de sa monture. Une aventure équestre de trois heures en toute sécurité pour adultes et enfants de plus de 8 ans. Une participation de 40 € par personne sera demandée pour cette initiation et cette randonnée réalisées dans une ambiance conviviale et familiale.
Toujours dans le cadre de cette thématique, on pourra s’inscrire à « la nature au fil des pas : les secrets de la Leyre » à Salles le 24/08 à 10h. Du slow tourisme par excellence ! Une balade à pied au bord de la Leyre guidée par Alexandre. Ludique, scientifique, sensible, les approches seront nombreuses et variées pour découvrir la faune et la flore et éveiller la curiosité de tous. L’occasion de partir à la rencontre de cette nature généreuse gratuitement pendant deux heures. On accueillera volontiers les enfants de plus de 10 ans. Il faudra être vêtu(e) d'un pantalon, de chaussures confortables et prévoir une lotion anti-moustiques.
une « balade naturaliste des Lagunes du Gât Mort », véritable « pouponnière » de la biodiversité sera proposée en partenariat avec la Direction de l’Environnement le 20/08 de 11h à 15h. Jouxtant les trois communes de Saint Magne, Hostens et Louchats, cette zone humide exceptionnellement conservée aux alentours du petit ruisseau du Gât Mort fait partie des éléments forts du patrimoine naturel du Val de l’Eyre. Passé la pinède, cette vaste étendue de marais et de lagunes, vestiges de la lande originelle dont la formation remonterait à l’âge glaciaire, constitue un milieu secret et magique…
Inscriptions et point de départ des visites : Office de Tourisme du Val de l’Eyre 4 Allée du Champ de Foire, 33770 Salles Tél. 05 56 88 30 11 Mail : tourisme@valdeleyre.fr et www.rtourisme.com
L'application Weward adore vous faire marcher !
Moteur dans la lutte contre la sédentarité, la startup WeWard (www.weward.fr) s'est associée à Booking.com, l'un des leaders mondiaux du voyage en ligne, afin d'encourager la marche comme un excellent moyen de rester en forme, de revitaliser les centres-villes et de découvrir le patrimoine culturel français. Les utilisateurs de WeWard cumulent des points grâce à la marche et plus l'utilisateur obtient de points, plus il débloque de réductions. Les utilisateurs de WeWard peuvent désormais récupérer une partie de leurs frais de voyage lorsqu'ils réservent un hébergement sur une version spéciale co-brandée de Booking.com via l'application WeWard.
Non seulement voyager, c'est bon pour le bien-être physique et mental, mais cela permet de s'enrichir en pratiquant le tourisme culturel. Si la marche passe pour être le meilleur (et le plus abordable) des sports, la création d'itinéraires stimule une personne, et contribue aussi à son bien-être. Les générations Y et Z téléchargent régulièrement des applications mobiles sur leurs smartphones pour créer leurs itinéraires de voyage ou suivre les tendances de vacances sur les réseaux sociaux, tels que les groupes Facebook ou les comptes Instagram. WeWard est une application mobile qui permet à ses trois millions d’utilisateurs d'augmenter leur temps de marche, de découvrir les joyaux de la France, de s'initier à la culture française et de visiter des lieux insolites via un système de récompense ludique. Ces lieux (monuments, parcs, musées, etc.) sont référencés sur la carte de l'application. Quant à Booking.com, elle propose à des millions de voyageurs des expériences inoubliables, des options de transport optimales et des hébergements incroyables (maisons, hôtels, et bien plus encore). Booking.com est ainsi l’une des plus grandes plateformes de voyage au monde et sert aussi bien les grands groupes que les particuliers.
Le mariage de Weward.fr et de Booking.com est maintenant en ordre de « marche » et devrait désormais nous permettre d'élargir notre horizon touristique et culturel afin de garder un esprit sain dans un corps sain pour une vie encore plus belle !
Le berceau de l’automobile à Stuttgart (Bade-Wurtemberg)
Le musée Mercedes-Benz (https://www.stuttgart-tourist.de/fr/a-musee-mercedes-benz) et le musée Porsche (https://www.stuttgart-tourist.de/fr/a-le-musee-porsche) ont fait de Stuttgart, la Mecque pour les amateurs d'automobiles du monde entier. Si vous passez dans le Bade-Wurtemberg, arrêtez-vous à ce musée qui présente 130 ans d’histoire de l’automobile à travers environ 160 véhicules et plus de 1 500 autres objets, sur une surface d'exposition de 16 500 m², répartie sur neuf niveaux différents. L'exposition est conçue comme deux circuits circulaires traversant le musée de haut en bas. Elle se compose des salles "Légende" et "Collection", qui documentent l'histoire de la marque Mercedes-Benz par thèmes et époques, et illustrent la diversité des véhicules produits au fil des ans.
Stuttgart-Zuffenhausen n'est pas seulement le siège de la société Porsche AG. Près de celui-ci se trouve le musée Porsche. Un lieu impressionnant, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur. Depuis 2009, le musée se concentre non seulement sur l'histoire de l'entreprise et des produits Porsche, mais aussi sur celle de la course automobile en général. Plus de 80 véhicules et d'innombrables objets sont exposés. Parmi eux, des icônes de l'automobile telles que les modèles 356, 911 ou 917, ainsi que des réalisations techniques exceptionnelles du début du XXe siècle.
Nouveautés à l'abbaye de Cluny (71)
L’abbaye de Cluny fut l’expression monumentale de la puissance de l’ordre clunisien qui, à son apogée, dirigea près de 1400 dépendances en Europe. Il subsiste aujourd’hui de spectaculaires témoignages de cette église, qui fut la plus grande de toute la Chrétienté entre le XIIe siècle et le XVIe siècle, avant d'être largement détruite après la Révolution, tout comme les bâtiments monastiques qui l’accompagnaient. Pour que les visiteurs puissent mieux saisir la complexité de ce site millénaire, de nouveaux dispositifs ont été installés sur place :
L'espace d'introduction à la visite a été repensé avec une projection spectaculaire sur mur courbe de sept mètres de longueur, qui présente l'histoire architecturale de l'abbaye.
La salle du petit cloitre présente également un film de 13 minutes, « Maior Ecclesia » à l'aide de projecteurs de nouvelle génération, en 3D.
Quatre stations de réalité augmentée, interactives et en trois langues ont été installées en fin du parcours de la visite (fenêtres sur le temps).
Enfin, un vidéo-mapping de trois minutes présente des images inédites de la première église de l'an mille.
L'article de cette semaine adresse encore une fois un clin d'oeil à l'Histoire, puisqu'il traite de La Route du Poisson, entre Boulogne-sur-Mer et Paris. Une route dont l'existence remonte au Moyen Âge et qui était parcourue par des attelages pesant jusqu'à 3,5 tonnes. Disparue après l'avènement du chemin de fer dans notre pays, cette route mémorable refera son retour du 21 au 26 septembre prochain. Très belle semaine !
Yves
Classement des dix premiers pays qui ont visité ce site la semaine dernière : 1) Etats-Unis 2) France 3) Chine 4) Canada 5) Belgique 6) Allemagne 7) Portugal 8) Autriche 9) Australie 10) Suisse
La Route du Poisson (Pas-de-Calais, France)
Avant de devenir, en 1991, une manifestation sportive et populaire d'attelage équestre, La Route du poisson fut depuis le Moyen-Âge le moyen de transport permettant d'acheminer le poisson frais des côtes vers les grandes villes et Paris, tout particulièrement. Et Boulogne-sur-Mer de fournir la capitale grâce à ces braves et puissants chevaux de trait qui pouvaient tirer à quatre des attelages pesant jusqu'à 3,5 tonnes. Les temps ont changé et le poisson emprunte désormais des circuits de distribution plus rapides mais il est bon que des compatriotes aient à cœur de contribuer à la sauvegarde des races de chevaux de trait et organisent depuis trente ans déjà La Route du poisson, une aventure humaine d'exception et une épopée historique et culturelle inédite qui prend tout son sens aujourd'hui alors qu'au plus haut niveau de l'Etat, certains souhaitent déconstruire notre passé (...)