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Lettre envoyée le 07/02/2022
Lundi 7 février 2022 La Lettre N°572
Oui à la science au profit de tous...Non au crime organisé de quelques-uns!
La Nature (et mes parents!) m'a donné cette curiosité insatiable qui m'incite à découvrir, apprendre et partager autour de moi les connaissances accumulées au fil des jours. Animal social par excellence, nous ne sommes pas faits pour être muselés (par un masque), confinés (chez soi), trompés (par des propagandistes), utilisés comme cobayes (pour tester par exemple un nouveau « vaccin »), traités d'emmerdeurs (parce ce qu'on ose contester la parole du Prince) ou culpabilisés (parce que quelques psychopathes ayant décidé d'asservir l'humanité et de confisquer les libertés pour leur seul bien-être, assènent uns constante propagande destinée à nous rendre coupables de tout). Bien que certains médecins d'opérette (entendez de bureau!) officiant davantage sur les plateaux TV que dans leurs cabinets aient ébranlé en moi la confiance que j'avais jusqu'ici en la médecine, je retrouve mon enthousiasme lorsque je parcoure des revues scientifiques et que j'y découvre par exemple un article sur ces futurs vaccins, comme celui qui devrait demain permettre à un patient de se battre contre les récidives d'un cancer (Science&Vie-Février 2022). Et ma joie est totale lorsque j'apprends que ce vaccin en devenir est mis au point par Transgène, une entreprise de biotechnologie alsacienne, en coopération avec NEC Corporation, un groupe japonais. Et la science de nous conduire ainsi vers le vaccin personnalisé à l'instar de ce sérum baptisé TG4050. Je reste tout autant emballé face à ce nouvel espoir de combattre enfin le VIH en surpassant la réponse immunitaire naturelle de l'organisme, un espoir boosté par les découvertes révélées durant la pandémie de Covid-19. Sept vaccins sont pour l'instant en compétition. Autant je fuis les beaux parleurs et bonimenteurs de tous poils, souvent payés (donc corrompus à plus ou moins grande échelle) pour ne traiter que d'une doctrine (celle qui rapporte le plus d'argent), autant je suis admiratif des chercheurs qui trouvent (le général de Gaulle ne déclara t-il pas un jour, lors d'une visite au CNRS : « Des chercheurs qui cherchent, on en trouve, mais des chercheurs qui trouvent, on en cherche »). La science implique le débat contradictoire entre esprits curieux et généreux. Se poser des questions, émettre (librement) des hypothèses, sans contraintes est sans doute la meilleure façon de finir par trouver quelque chose, même si ce n'est pas ce à quoi on aspirait au départ. Comment ne pas reprendre confiance en l'avenir lorsqu’on nous annonce que des neurones perdus ont la capacité de se régénérer ? Et qu'il s'agit, là encore, d'une découverte française effectuée à l'université Claude-Bernard de Lyon (69) ? En effet, ce que le cerveau n'est pas capable de faire, à savoir réparer un neurone endommagé par une maladie neurodégénérative, un AVC ou certaines formes d'épilepsie, l'homme pourrait bien avoir trouvé le moyen de régénérer ces pauvres neurones, en partant du principe édicté par Antoine Laurent de Lavoisier : « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ». Je fais partie de ceux qui regrettent que la santé et ses enjeux soient désormais un produit commercial comme un autre, et donc, une question d'argent. La faute à qui ? A nous, innocents les mains pleines qui avons cédé, depuis les temps immémoriaux à l'idolâtrie et à l'argent, symbolisés par le veau d'or décrit dans la Bible (dont les adorateurs sont admirablement représentés par le tableau de Nicolas Poussin, « Les adorateurs du veau d'or », ci-dessous). A ce matérialisme qui consiste à acheter pour acheter et non par réel nécessité, et à se complaire constamment dans le confort et la jouissance du moment sans garder en éveil cet instinct de survie que nous possédons tous et ce bon sens qui consiste à écouter sa petite voix intérieure qui nous incite (ou pas) à faire confiance. Puissent les peuples tirer au moins la leçon de ce que nous vivons depuis deux ans et profiter de cette occasion pour réfléchir sur notre façon de vivre et sur le système de société que nous voulons pour les années à venir. Quant aux multimilliardaires, relayés sur le terrain par des valets politiques (dont certains sont corrompus et achetés), ces adorateurs du veau d'or (https://fr.wikipedia.org/wiki/Veau_d'or), ceux-là mêmes qui ont doublé leurs fortunes durant cette crise sanitaire, ils ne doivent leur enrichissement qu'à notre asservissement consenti à cette société de consommation qu'il faut troquer contre une autre qui reste à inventer. Après ce que nous venons de vivre, les peuples peuvent (et doivent) peser pour faire pencher leur destin en faveur d'une société plus juste car il est maintenant clair que notre santé est en passe de devenir une marchandise comme une autre et un objet de spéculation de plus pour les milieux financiers. Cette planète Terre est celle de tous les êtres humains, espèces animales végétales...qui s'y épanouissent et non la propriété de quelques-uns. N'en étant que les dépositaires et non les propriétaires, nous devons la préserver pour les générations futures, tout en en utilisant ce qu'elle nous a transmis à la naissance, à commencer par ce cerveau qui ouvre aux chercheurs et scientifiques des champs illimités de découvertes vertueuses au bénéfice de tous. Une matière grise qui reste l'une des plus belles inventions en matière de générosité et d'humanité !
LE CLIN D'OEIL DE VALERIE ! Et si la voiture électrique était un attrape-nigaud ? Evidemment, au début, c'est tout nouveau, donc tout beau mais ensuite... Vous avez certainement entendu parler de l'affaiblissement de notre parc nucléaire français. Ne nous a t-on pas annoncé des risques de coupures cet hiver en cas de grand froid ? Pensez-vous vraiment que le tableau idyllique annoncé aujourd'hui à nos compatriotes concernant cette fameuse voiture électrique va perdurer ? Prenons le coût actuel de la recharge de votre batterie sur les bornes installées dans les stations-service et imaginez une hausse de ces coûts de recharge une fois que les réseaux existants se seront partagés le marché de manière monopolistique, comme on le voit avec les autoroutes aujourd'hui. Compte tenu de l'explosion actuelle du prix de l'électricité, nous avons du souci à nous faire en ce qui concerne le coût (réel) futur des recharges. Car enfin, comment croyez-vous que l'Etat compensera la baisse de taxes TIPP (Taxe intérieure sur les produits pétroliers, évaluée à 37 à 40 milliards d'euros par an) ? Après la disparition des voitures équipés de moteurs à explosion en 2035, si ce n'est en augmentant d'autant cette même taxe (d'ailleurs déjà rebaptisée TICPE ou Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques) ? Le fameux compteur Linky qui nous a été imposé comme un boitier pratique, capable de relever notre consommation à distance, certes, mais aussi... de contrôler et d'identifier notre consommation électrique. Son « indice inactif 5 » (inactif pour l'instant) pourrait très bien demain servir à identifier clairement le type d'objet connecté au réseau (repérable à sa prise spécifique) et à la durée de recharge de la batterie sur une prise standard, pour tarifer d'autant la consommation électrique. Ne rêvez pas trop longtemps au plein électrique à 2 €, et imaginez plutôt qu'en rechargeant votre batterie (douze heures durant) sur une prise classique 240v/16A, le compteur Linky détectera sûrement votre charge et vous taxera en conséquence. Il semblerait d'ailleurs que les tarifs soient d'ores et déjà prévues : sur l'index 5 actuellement inactif, le kWh ne couterait pas 0,79€ (comme le kWh des bornes publiques à l'heure actuelle!) mais...1,35€.(https://www.automobile-propre.com/rouler-moins-cher-en-electrique-ne-sera-bientot-plus-quun-bon-souvenir) D'où un coût de 27€/100 km (ou l'équivalent de 18 litres d'essence sur la même distance) du carburant pour une Renault Zoé (qui consomme environ 20kWh/100 km). Dans le même temps, une Clio essence (qui consomme 5 à 6 litres/100 km) parcourt ...300 km à coût identique ! Autre option possible : l'application, par le compteur Linky, d'un tarif différent (et un kWh plus onéreux) pour un véhicule hybride rechargeable, car nettement moins écologique. Ne parlons pas du coût supérieur d'un véhicule électrique (ne serait-ce qu'à cause du prix des batteries!) ou autres contraintes (trouver une borne de recharge libre au bon moment, laisser refroidir la batterie avant de la recharger, devoir s'abonner à un réseau donné, etc...). S'il y a des amoureux de la Nature parmi vous (je n'ose plus dire écologiste, un terme si galvaudé par le monde politique que l'on n'ose plus en faire usage), sachez que :
Au moment où les J.O de Pékin se déroulent sur une neige 100% artificielle, que la Coupe du monde de football se jouera au Qatar dans huit stades climatisés, que la compagnie aérienne allemande avoue effectuer 18 000 vols « à vide » uniquement pour conserver ses droits de vol, qu'un paquebot consomme l'équivalent de 80 000 voitures diesel entre la Chine et l'Europe, que des milliardaires se paient des voyages dans l'espace et qu'on culpabilise les Français en tant que pollueurs, avez-vous encore l'impression que le monde tourne rond ? Toujours partant pour une voiture électrique ?
UN PEU PLUS D'HUMOUR On rigole bien sur la radio Rires & Chansons : https://fb.watch/aGchPrGnhl/
SEQUENCE NOSTALGIE Série télévisée en six épisodes de 52 minutes , «L'île aux trente cercueils » fut adaptée librement du roman du même nom, œuvre de Maurice Leblanc. Elle fut diffusée pour la première fois à la télévision sur Antenne 2 de septembre à octobre 1979. L'action se déroule en 1917 : Véronique D'Hergemont (interprétée par Claude Jade) est devenue infirmière à l’hôpital militaire de Besançon dans l'espoir d'oublier un passé qui la hante depuis quatorze ans. En effet, celle-ci ne peut se pardonner la mort de son père et de son fils François disparus en mer. Cette mort signifie pour elle le châtiment pour avoir épousé le comte Vorski, contre la volonté de son père. Après avoir compris que son propre père avait enlevé l'enfant pour le protéger, Véronique avait fui Vorski, qui s'était entre temps révélé être un dangereux mythomane, persuadé d'être appelé à un destin grandiose... Générique : https://youtu.be/Jooyle5dVfs Episodes : https://youtu.be/mXVIB68Fxt0, https://youtu.be/XmzOO_ybBT8, https://youtu.be/ZxVCFuvlSZc, https://youtu.be/LEQjEvzuenY?list=PLlbwnSVgu99uulh8S5IKQkGllPCfJnl9Q, https://youtu.be/gYCmTpOWvek?list=PLlbwnSVgu99uulh8S5IKQkGllPCfJnl9Q et https://youtu.be/mlMJbceCx_k?list=PLlbwnSVgu99uulh8S5IKQkGllPCfJnl9Q.
VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR...
QUOI DE NEUF EN CRYPTO ?
LE PETIT MANUEL DU RESISTANT
ACTIVONS NOS NEURONES Il y a quelques mois, je demandais à Muriel, angevine d'adoption, de m'en dire plus sur le patois de cette région réputée pour sa « douceur ». Aussitôt dit, aussitôt fait. Avec le franc-parler qui la caractérise, Muriel m'adressait quelques notes sur les expressions locales de ce parler angevin toujours en usage aujourd'hui dans les conversations. Géographiquement, ce parler est pratiqué dans le Maine-et-Loire, la Mayenne et la Sarthe (ancienne province d'Anjou). Mais assez parlé, passons aux travaux pratiques :
A la revoyure !
DU COTE DE CHEZ NOUS Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix. L'homme, qui a manifestement de la conversation, possède sa chaine Campagnol Tvl (https://odysee.com/@campagnoltvl:2) sur laquelle il diffuse ses vidéos : Les gens qui ne peuvent plus gober la vérité officielle risquent de la vomir d'un coup (https://youtu.be/pqXj2t3eyBM)
LES TROUVAILLES DE...
Culture et sports asiatiques en Alpes-Maritimes (06) jusqu'au 20 février 2022 Jusqu'au dimanche 20 février 2022, le Département des Alpes-Maritimes réunit le musée des arts asiatiques et le Musée National du Sport pour faire découvrir les disciplines sportives et artistiques d’origine asiatique : Entre mini-stages, visites guidées ou sportives, initiations, ou encore ateliers créatifs, c’est une multitude d’animations à vivre seul, entre amis ou en famille, pour découvrir la culture et les sports d’origine asiatiques à l'occasion des Jeux de Pékin. Au musée des Arts asiatiques de Nice (https://maa.departement06.fr/musee-des-arts-asiatiques-13422.html) et au Musée national du Sport (https://www.museedusport.fr/). Programmation complète ici : https://maa.departement06.fr/pour-tous/vacances-scolaires-43505.html
Visites commentées à Saint-Gervais (74) Pendant les vacances de février, faîtes le plein de culture à Saint-Gervais Mont-Blanc avec ces visites guidées :
Réservations au 04 50 47 76 08.
Exposition «Mary Sibande » du 11 février au 10 juillet 2022, à Lyon (69) S’appuyant sur différents personnages et codes de couleurs, elle développe depuis plusieurs années un art de la sculpture et de l’installation qui témoigne de la vie des femmes de sa famille et, à travers elles, des conditions de vie des femmes noires sud-africaines et de leur place dans l'histoire complexe d'un pays construit sur la ségrégation raciale. Au Musée d'art contemporain de Lyon, Cité internationale, 81 quai Charles de Gaulle, à Lyon (6ème). https://www.mac-lyon.com/fr/programmation/mary-sibande
Bientôt une Cité internationale de la langue française à Villers-Cotterêts (02) L’ancien château royal de Villers-Cotterêts s’apprête en effet à vivre une nouvelle renaissance avec l’ouverture en son sein, au printemps prochain, de la Cité internationale de la Langue Française, gérée par le Centre des Monuments Nationaux. Sa programmation est entièrement dédiée à la langue française à travers des espaces pluridisciplinaires accessibles au plus grand nombre : parcours de visite, expositions temporaires, spectacles, ateliers de résidences pour des artistes, chercheurs et entrepreneurs, activités pédagogiques et de formation à la langue française... qui vont se déployer sur : L’idée de la Cité est de permettre aux visiteurs d’effectuer un « voyage à travers la langue » en passant de salle en salle, après avoir découvert l'histoire du monument jusqu'aux années très récentes.
Australia Now : exposition « Piinpi, mode aborigène contemporaine », jusqu'au 19 avril 2022, à Paris (75) L’exposition "Piinpi : mode Aborigène contemporaine" met en lumière une sélection de créateurs majeurs des Premières nations d’Australie ainsi qu’un nouveau courant en train de devenir un phénomène de mode national. Piinpi est une expression que les Kanichi Thampanyu (peuple des Premières nations de la péninsule de York à l’est du Cap) utilisent pour décrire les changements du paysage dans le temps et l’espace. Pour les peuples autochtones d’Australie, la connaissance de la terre et des saisons détient une importance culturelle majeure. Bien que leur nombre puisse varier d’une communauté à l’autre, l’exposition s’articule autour de quatre saisons largement reconnues : la saison du feu, la saison des pluies, la saison des fleurs et la saison des vents A l'ambassade d'Australie, 4 rue Jean Rey, à Paris (15ème).
Australia Now : exposition « Couleurs Australie : un voyage chromatique », jusqu'au 27 février 2022, à Paris (75) Au cœur de l’un des quartiers les plus dynamiques de Paris, le BHV-Marais organisera en février 2022, dans le cadre du programme Australia now France, un voyage chromatique aux couleurs de l’Australie. Des eaux turquoise au sable rouge du désert en passant par le vert profond des forêts tropicales primaires, l’immensité et la diversité du territoire australien en font un pays de contrastes. La nature et les paysages australiens sont uniques et le mimosa, fleur native présente sur toute l’ile-continent et emblème national, en est une excellente représentation. Grâce aux vidéos de Tourism Australia présentées dans les vitrines du magasin, le public est transporté au cœur des paysages les plus époustouflants d’Australie. En complément, l’œuvre de Leila Jeffreys Nature Is Not A Place To Visit. It Is Home, hommage poétique aux oiseaux australiens, dévoile aux passants la multiplicité de leurs plumages sur un écran géant et offre une expérience immersive dans la nature de l’ile-continent. L’Australie s’installe donc pendant un mois au cœur du grand magasin, permettant aux visiteurs de voyager aux antipodes et de découvrir le mode de vie d’un autre hémisphère ainsi que les couleurs qui le caractérisent. Le café éphémère Fitzroy au rez-de-chaussée du BHV-Marais invite le public à prendre une pause à l’heure australienne et à découvrir la culture du café emblématique de Melbourne et Sydney. La créativité, le design et la mode australiennes sont également à l’honneur à travers une sélection de marques incontournables et de jeunes créateurs, avec en exclusivité un tote-bag dessiné pour l’occasion par le styliste australien Martin Grant. Dans l’observatoire et en marge de la présentation de l’exposition Piinpi : mode Aborigène contemporaine à l’Ambassade, une sélection d’objets issus de cette dernière permettra au public français de découvrir le dynamisme des créateurs autochtones australiens d’aujourd’hui. Tout au long du mois de février, une programmation d’ateliers et de rencontres accompagnera l’opération et présentera la gastronomie, la littérature, et la culture australienne. Au BHV Marais, 52 rue de Rivoli, à Paris (4ème)
L’artiste australien, Jonathan Jones, très attaché à l’histoire de son pays, s’est penché sur l’expédition française menée par le Capitaine Nicolas Baudin aux Terres Australes entre 1800 et 1804. Commanditée par Napoléon Bonaparte, c’est l’une des plus grandes expéditions scientifiques de l’histoire. Celle-ci permet de rapporter en France de nombreuses espèces végétales et animales. Suivant les instructions données avant le départ, à leur arrivée en France, les kangourous, les cygnes noirs, les émeus, les mimosas, et les eucalyptus sont partagés entre le Muséum d’histoire naturelle de Paris et le parc de Malmaison. L’acclimatation de ces espèces et les recherches menées par les scientifiques de l’époque ont inspiré à Jonathan Jones plusieurs œuvres exposées en France cet hiver. Une installation immersive au Palais de Tokyo (du 26 novembre 2021 au 20 février 2022) permet de découvrir les planches de l’herbier national de Paris reproduites en broderies. Elles sont accompagnées, entre autres, d’une œuvre sonore et d’un film expliquant la démarche et la réalisation des œuvres. Au château de Malmaison (du 12 janvier au 18 avril 2022), l’artiste présente des œufs d’émeus sur lesquels sont gravées les plantes du livre d’Étienne-Pierre Ventenat Jardin de La Malmaison. Ces œuvres évoquent le jardin de Joséphine agrémenté de plantes des quatre coins du monde. Elles rappellent aussi l’émeu noir, envoyé par Baudin, qui a vécu dans les jardins de Malmaison, et dont le corps naturalisé et conservé au Muséum d’histoire naturelle, est l’unique représentant de cette espèce disparue. Le travail de Jonathan Jones sera présenté dans une scénographie évoquant le contexte historique de l’expédition Baudin et le rôle de Malmaison dans l’acclimatation des espèces australiennes en France. Les œuvres de l’artiste seront ensuite visibles à Artspace Sydney à l’automne 2022. Au Château de Malmaison, Avenue du Château de la Malmaison, à Rueil-Malmaison (92). https://musees-nationaux-malmaison.fr/chateau-malmaison/domaine-et-collections
Exposition « Le chant des ondes, des sirènes à Mélusine », du 5 février au 12 juin 2022, à La Rochelle (17) L'exposition invite à plonger dans l'élément aquatique à la rencontre de ces créatures légendaires. Des sirènes à Mélusine, rencontre avec des figures féminines emblématiques, aux formes multiples, qui ont traversé le temps et hanté les esprits. Rendez-vous à la tour de la lanterne, sur les murs de la Rochelle, jusqu'au 12 juin. https://www.tours-la-rochelle.fr/# Exposition « Wampum », du 8 février au 15 mai 2022, à Paris (75) Le wampum, perle de coquillage de la côte Atlantique d’Amérique du nord, revêt une importance centrale dans le fonctionnement des sociétés amérindiennes du nord-est de cette région. Utilisé à l'origine comme ornement ou symbole de prestige, échangé en cadeau, les usages de ce matériau se diversifient aux 17ème et 18ème siècles dans le cadre des relations entre les nations autochtones et les colonies européennes établies sur ce vaste territoire qui s’étend du sud du Québec à l’État de Caroline de Sud actuels. Par ses valeurs, le wampum témoigne d’un chapitre de l’Histoire amérindienne, nord-américaine et européenne. Il constitue également une entrée privilégiée pour comprendre les sociétés qui se mettent en place à l’époque de la Nouvelle-France (1600-1763), au gré des échanges, des alliances et des affrontements entre Amérindiens, Français et Anglais. À travers une cinquantaine de pièces, l’exposition met en lumière toutes les facettes du wampum : de la matière première convoitée, transformée en perles et en objets à l’instar des colliers diplomatiques, support de parole, bien d’échange, insigne de pouvoir et de prestige, objet religieux… Sans négliger le rôle fondamental qu’il occupe encore aujourd’hui parmi les nations amérindiennes, notamment chez les Haudenosaunee (Iroquois), les Hurons-Wendats et les Abénakis. Au Musée du Quai Branly, 37 quai Branly, à Paris (7ème). https://www.quaibranly.fr/fr/expositions-evenements/au-musee/expositions/details-de-levenement/e/wampum-39129/
La startup française Ulysse, spécialiste de la réservation de billets d’avion, a annoncé le lancement d'une nouvelle plateforme, baptisée Travelnews, pour permettre aux voyageurs de s'informer et suivre quotidiennement les dernières restrictions et conditions de voyage pour toutes les destinations du monde. Une fois sur la plateforme Travelnews, les internautes peuvent découvrir toutes les dernières annonces par date, avec un résumé de l'information et un lien vers la source (presse pro, sites d'informations, annonces gouvernementales...). Pour rechercher une information précise, il est également possible de sélectionner directement le pays choisi ou de cliquer sur les tags proposés. https://ulysse.com/travelnews
Ouverture de la Saison France-Portugal 2022 les 12 & 13 février à Paris (75) Cette ouverture se déroulera en trois temps :
Fête de Notre-Dame de Lourdes, le 11 février 2022, à Lourdes (65) Le Sanctuaire Notre-Dame de Lourdes fête depuis plus de 160 ans la première apparition du 11 février 1858. Le 11 Février est le jour anniversaire de la première apparition de la Vierge à Bernadette Soubirous à la Grotte Massabielle. Depuis 164 ans, de nombreux pèlerins et visiteurs se recueillent chaque année dans le Sanctuaire Notre-Dame de Lourdes autour de célébrations. Ce lieu cosmopolite empli d'espoir et de spiritualité fête également ce jour-là la Journée Mondiale du Malade. Les catholiques du monde entier prient à l'unisson de Lourdes. https://www.lourdes-infotourisme.com/
Retour du Carnaval de Nice, du 11 au 27 février 2022 Après 18 mois de crise sans précédent pour notre pays, le moment est enfin venu de se rassembler de nouveau autour d’une des plus belles fêtes du monde et de célébrer l’un des plus beaux événements du patrimoine niçois, à travers un carnaval renouvelé, plus accessible, qui se prépare avec des nouveautés, un programme inédit, encore plus de spectacles, de musique, de troupes, de fêtes et de surprises . Le Carnaval sera notamment composé :
Pour profiter davantage de la fête et rendre le programme plus dynamique, les corsos illuminés débuteront à 20h au lieu de 21h pour une durée de 90 minutes. Concernant les batailles de fleurs, une grande promenade verte et fleurie sera installée au milieu de la Place Masséna (le NissaDrome). En effet, les fleurs seront les reines du Carnaval 2022 ! Symbole du patrimoine niçois, les fleurs reprennent une place essentielle dans le Carnaval de Nice. Pour la première fois, tous les chars fleuris participeront au Grand Corso le samedi 12 février au soir. Et parce que le Carnaval de Nice attire chaque année 200 000 visiteurs dont 18% de touristes étrangers, Nice accueille pour la première fois un Carnaval étranger, le Carnaval belge « Les Gilles de la Louvière » invité d’honneur de l’édition 2022. Une grande troupe des « Gilles de la Louvière » se produira à Nice avec ses immenses chapeaux, ses costumes colorés, sa musique, ses sabots et grelots. Et ce Carnaval de Nice « Roi des Animaux » d'être définitivement le Carnaval des retrouvailles et des nouveautés.
Saison France-Portugal 2022 : « Neuf mois avec le Portugal » au Théâtre de la Ville, du 13 février au 31 octobre 2022, à Paris (75) Depuis plus d’une décennie, le Théâtre de la Ville a établi des liens forts avec les artistes portugais. Dès février, le Théâtre fêtera l’ouverture de la Saison en invitant près de 40 musiciens de la nouvelle scène musicale portugaise, connue pour sa diversité et son ouverture sur le monde. Après ce concert inaugural, un focus consacré à la chorégraphe Tânia Carvalho, qui a su créer une nouvelle danse expressionniste, présentera quatre spectacles et deux concerts. Seront aussi au rendez-vous : Marco da Silva Ferreira, la Compagnie nationale de Ballet et le duo Sofia Dias & Vitor Roriz. Côté jeunesse, le metteur en scène Miguel Fragata et l’autrice Inês Barahona captiveront de nouveau les classes et les familles avec un spectacle sur l’environnement, tandis que Ainhoal Vidal fera voyager les tout-petits à travers des aventures marines. En théâtre ? Tout d’abord, un évènement unique : la venue en France du Tchiloli de São Tomé e Príncipe. Un théâtre des colons portugais de plus de quatre siècles, réinventé par la population locale. La compagnie Hotel Europa sera accueillie avec le dernier volet de sa série de spectacles documentaires éclairants sur la colonisation portugaise. Pedro Penim, qui vient de prendre ses fonctions à la tête du Théâtre national D. Maria II, revient avec une pièce inspirée de Tourgueniev sur l’éternel conflit des générations. Lors de cette saison, le Théâtre de la Ville créera le parcours des consultations poétiques, musicales et dansées franco-portugaises (en partenariat avec le Théâtre national de Lisbonne) et le forum de la jeunesse Europe France-Portugal en partenariat avec la Cité internationale des Arts. A l'Espace Cardin, 1 avenue Gabriel à Paris (8ème) (https://www.theatredelaville-paris.com/fr/lieux/espace-cardin), et au Théâtre des Abbesses, 31 rue des Abbesses à Paris (18ème) (https://www.theatredelaville-paris.com/fr)
Exposition « Les diplomates face à la Shoah », du 8 février au 8 mai 2022, à Paris (75) Avec cette exposition le Mémorial de la Shoah met en lumière l'action des diplomates face à la persécution des juifs, de l'arrivée au pouvoir d'Hitler à l'après-guerre. Et cet événement de poser des questions sur ce que savaient les diplomates ?Quels furent leurs sources ? Lesquels ont agi pour écouter les juifs? Comment, Pourquoi, dans quel contexte? À l'inverse, qui n'a pas compris, qui n'a pas agi et pourquoi? À travers les documents diplomatiques et quelques rares témoignages, le visiteur découvre un monde d'observateurs attentifs expérimentés, alors que la guerre bouleverse l'Europe. L'exposition insiste sur l'articulation entre ce que les diplomates savaient et ce qu'eux- mêmes ou leur gouvernement pouvaient faire, ont fait, ou ont choisi de ne pas faire. Une invitation à s'interroger sur le rôle actuel des diplomates, sur celui d'une instance internationale comme l'ONU, ou encore sur la délicate question du droit d'ingérence. Un riche cycle de conférences, en prolongement de l'exposition, permettra d'approfondir ces différentes thématiques. Au Mémorial de la Shoah, 17, rue Geoffroy l'Asnier, à Paris (4ème). www.memorialdelashoah.org
Cabinet de Curiosités, du 12 février au 21 août 2022, à Sars-Poteries (59) Cette revisite d’un thème familier et passionnant propose au public de découvrir les différentes facettes du cabinet de curiosités, réinterprétées par le verre contemporain : du monde microscopique aux ménageries surdimensionnées, en passant par une incursion sous l’océan ou au milieu d’une flore exubérante où grouillent les insectes... jusqu’aux Vanités rappelant l’implacable finitude. Au MusVerre, https://musverre.lenord.fr/fr/Accueil.aspx
Exposition « Révolutions Xenakis » du 10 février au 26 juin 2022, à Paris (75) L’œuvre de Iannis Xenakis rend compte de la pluralité du talent de ce dernier. À l’occasion du centenaire de sa naissance, la Philharmonie - Musée de la Musique consacre une exposition à cet artiste singulier. D’origine grecque, exilé en France au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, Iannis Xenakis est ingénieur, compositeur et architecte. Comment s’opère cette création ? Quelles formes prend-elle ? Comment la conception de l’architecte s’articule t-elle au travail du compositeur ? Comment élabore-t-il, à partir d’équations mathématiques, des partitions graphiques puis musicales ? Au Musée de la Musique, 221 Avenue Jean-Jaurès à Paris (75)
Exposition « From Fauvism to Surrealism : Masterpieces from the Musée d'Art Moderne de Paris », du 11 février au 22 mai 2022, à Bilbao (Espagne) Pour l'exposition Du Fauvisme au Surréalisme : chefs-d’œuvre du Musée d’Art Moderne de Paris ,le Musée d’Art Moderne de Paris présente une sélection de plus de 80 chefs-d’œuvre témoignant de l’histoire de sa collection, constituée en regard des mouvements d’avant-garde artistiques nés à Paris pendant les premières décennies du 20ème siècle. Le musée, édifié à l’occasion de l’Exposition Internationale de 1937 pour abriter les collections d’art moderne de la Ville de Paris, est alors en pleine expansion et procède à des achats majeurs, épaulé par des mécènes. Des œuvres de Fernand Léger, Henri Matisse, Amedeo Modigliani et Suzanne Valadon forment le noyau de la collection, qui reflète également l’importance accordée par le musée et ses premiers bienfaiteurs aux artistes femmes. Organisée en trois étapes qui se succèdent et se répondent chronologiquement du tout début du 20ème siècle à l’après seconde guerre mondiale, la sélection offre un regard sur les principaux représentants du fauvisme, du cubisme, de l’Ecole de Paris et du surréalisme, dont Paris fut le berceau historique. https://www.guggenheim-bilbao.eus
Exposition « Graciela Iturbide » du 12 février au 29 mai 2022, à Paris (75) Tous ces chefs-d'œuvre sont là : Nuestra Senora de las iguanas, Mujer Angel, Cholas...et partout des oiseaux pour nous transporter dans l'inconscient et les rêves de cette immense photographe née en 1942 à Mexico. D'abord étudiante en cinéma durant les années 1970, Graciela Iturbide se tournera vers la photographie sur les conseils d'un de ses professeurs. A la suite d'un premier travail sur les bébés défunts, Iturbide mènera des recherches pour l'Institut national indigéniste et produira ses plus célèbres séries, dont des portraits de femmes zapotèques ou juchitan. Circulant entre les vivants et les morts, l'animal et l'inanimé, la photographe saisit au vol ce que le réel offre de plus insaisissable. A la Fondation Cartier, 261 boulevard Raspail à Paris 14ème). https://www.fondationcartier.com
Exposition « trésors de Venise » jusqu'au 27 mars 2022, à Aix-en-Provence (13) Les 70 peintures, sculptures, dessins et objets précieux présentés font partie de l’un des plus prestigieux ensembles d’art italien, du XIVème au XVIIIème siècle, réuni par l’entrepreneur et philanthrope Vittorio Cini (Ferrare 1885 – Venise 1977). Sa curiosité insatiable et les conseils avisés d’historiens de l’art prestigieux lui ont permis, en l’espace de 50 ans environ, de former une collection exceptionnelle tant par sa qualité que par la variété de techniques et de typologies d’objets. On y trouve des sculptures, gravures, dessins, objets de mobilier et des peintures sur bois ainsi que des porcelaines vénitiennes et des ivoires français, des miniatures et des volumes finement décorés. Aux côtés des grands noms de la peinture toscane - comme Fra Angelico, Filippo Lippi, Piero di Cosimo, Jacopo da Pontormo - et vénitienne, comme Lorenzo et Giandomenico Tiepolo, l’exposition présente des pièces maîtresses de la Renaissance ferraraise. Complétée par une sélection de sculptures, émaux et ivoires, ainsi que par un choix de dessins et enluminures, l’exposition rend compte de toute la variété stylistique de l’art italien. L’exposition présente également des créations contemporaines en dialogue avec les œuvres de la collection. Ces créations des artistes Ettore Spalletti ou encore Vik Muniz, réalisées à l’origine pour être exposées dans la Galerie du Palazzo Cini, témoignent du fait que la collection Cini est une source d’inspiration inépuisable pour les artistes d’aujourd’hui. A l'Hôtel Caumont , 3 rue Joseph Cabassol à Aix-en-Provence (13). https://www.caumont-centredart.com/fr/tresors-venise Lancement des premiers podcasts sur le patrimoine par les Editions VMF Le magazine VMF inaugure deux séries de podcasts : « Le patrimoine, demain » et « Histoires de patrimoine ». Au programme de la première série : Le 11 janvier 2022 – Les enjeux pour la connaissance, la conservation et la transmission du patrimoine, par Etienne Anheim, historien et directeur d'études à l'EHESS, Le 8 février 2022 - Quel devenir pour les paysages de nos campagnes ? par Jean-Pierre Thibault, inspecteur général au CGEDD Le 8 mars 2022 - Les effets du changement climatique sur le patrimoine par Beatriz Menendez, maitre de conférences à Cergy Paris Université, spécialiste de la dégradation des pierres du patrimoine. La seconde série « Histoires du patrimoine » vous invite à écouter les podcasts suivants : Le 25 janvier 2022 – Le Paris du Baron Haussmann, le 23 février 2022 – Le château de Tanlay, le 22 mars 2022 – Le Val-de-Grâce. Ces podcasts sont accessibles sur https://www.paj-mag.fr/
La start-up Avekapeti, qui a réussi à s’imposer dans l’univers FoodTech en faisant appel à des chefs cuisiniers talentueux en reconversion a toujours su se positionner comme une solution originale de restauration en livraison à l’opposé d’une offre industrielle, et ce, depuis ses débuts en 2016 et malgré l’impact de la crise.
Le constat de départ: les salariés mangent trop souvent sur le pouce à la pause déjeuner. D'où l'idée d'Avekapeti de remplacer leur sandwich triangle du midi par un bon petit plat maison préparé par des chefs du coin en reconversion, coachés par l’ancien chef étoilé Christian Conticini. Ce concept prometteur est stoppé net par la crise du Covid et l’entreprise est touchée de plein fouet : elle perd brutalement 97 % de son chiffre d’affaires. Qu’à cela ne tienne : la start-up rebondit immédiatement, et saisit cette opportunité pour investir le créneau du BtoC et tout particulièrement le segment des télétravailleurs, avec une offre de repas maison livrés pour la semaine. Nouveau défi : pousser jusqu’au bout sa logique zéro déchet et éco-responsable en utilisant des contenants en verre réutilisables, une première en France. Vous l'avez compris, Avekapeti est une cantine 2.0 qui permet aux entreprises comme aux particuliers de commander leurs repas maison pour la semaine à partir de 5,90 €. Le concept : du fait maison uniquement, avec des produits frais, sans additifs ni conservateurs, préparés par des chefs passionnés. https://www.avekapeti.com
Exposition « Un éclat de soleil », jusqu'au 13 mars 2022, à Paris (75) Janvier est l’un des mois pendant lesquels les îles Féroé reçoivent le moins de lumière. En de nombreux endroits de l’archipel, on n’aperçoit pas du tout le soleil pendant les mois d’hiver. Avec l’arrivée du printemps, en revanche, la lumière est présente en permanence. Rien d’étonnant, par conséquent, à ce que la lumière soit au cœur de l’art des îles Féroé et que l’exposition soit consacrée à la lumière, à son importance et à son évolution dans l’art féroïen des 20ème et 21ème siècles à travers des œuvres figuratives et abstraites : Ingálvur av Reyni (1920-2005), Zacharias Heinesen (né en 1936), Hansina Iversen (née en 1966) et Rannvá Kunoy (née en 1975). Le titre de cette exposition fait écho au cantique Comme l’éclat du soleil au point du jour écrit par le poète baroque danois Thomas Kingo, évoquant le soleil perçant les ténèbres. Le recueil de cantiques de Kingo a une histoire et une importance toutes particulières aux îles Féroé, où il a prédominé pendant de nombreuses années. Ses hymnes étaient chantés non seulement dans les églises et lors de cérémonies, mais aussi pendant la pêche et les autres activités du quotidien. Avec des œuvres de quatre peintres féroïens, l’exposition Un éclat de soleil présente l’art féroïen sous l’angle du traitement de la lumière dans la peinture contemporaine et les courants plus classiques, allant des interprétations postimpressionnistes de la lumière dans la nature aux aplats de couleurs pures de l’art abstrait ainsi qu’à des tableaux qui semblent en soi saisir et réfléchir la lumière. A la Maison du Danemark, 142, avenue des Champs-Elysées, à Paris (8ème). Entrée libre. https://lebicolore.dk/un-éclat-de-soleil
Exposition « La beauté en partage » jusqu'au 6 mars 2022, à Montpellier (34) Se déployant dans les salles d’exposition temporaire du musée, le parcours propose un vaste voyage dans l’histoire de l’art, du XVII ème siècle jusqu’à l’art contemporain, donnant à voir des œuvres d’artistes internationaux aussi bien que des figures majeures de la scène montpelliéraine, des maîtres du passé tout autant que des artistes vivants, des peintres célèbres comme des artistes en pleine redécouverte. Peinture, sculpture, dessin et arts décoratifs, tous les médiums et toutes les techniques se conjuguent pour offrir une visite riche et stimulante, à l’exemple des collections du musée Fabre dans son ensemble. Riche de plus d’une centaine d’œuvres, l’exposition révèle les grands axes d’acquisitions développés par le musée Fabre ces quinze dernières années : des collections italiennes à l’univers singulier de Jean Hugo, du Grand Siècle français autour de la figure de Sébastien Bourdon aux paysages méridionaux, source d’inspiration toujours renouvelée depuis le 19ème siècle, cet événement mettra également à l’honneur les artistes mécènes du musée, de son fondateur François-Xavier Fabre, jusqu’aux artistes contemporains, auxquels sera dédiée la dernière salle du parcours. Un cycle de conférences viendra approfondir ces différents sujets. Toues les acquisitions du musée Fabre ayant vocation à rejoindre le parcours permanent, vous êtes invité(e) à découvrir d'autres œuvres acquises ces quinze dernières années au sein des 52 salles des collections permanentes. Cette visite sera une occasion idéale pour découvrir de nombreuses œuvres inédites et récemment acquises qui trouvent harmonieusement leur place au sein du parcours. Au Musée Fabre, 39 boulevard Bonne Nouvelle, à Montpellier (34). https://museefabre.montpellier3m.fr/EXPOSITIONS/La_Beaute_en_partage_-_15_ans_d_acquisitions_au_musee_Fabre
Exposition «Vers la Lune, et au-delà » jusqu'au 29 mai 2022, au Bourget (93) Le musée de l’Air et de l’Espace met l’histoire de la conquête aéronautique et spatiale à l’honneur avec l’exposition Vers la Lune et au-delà !, qui en retrace les moments clés sous forme… de briques LEGO! Réalisée en collaboration avec l’agence Epicure Studio, elle offre aux visiteurs une nouvelle approche de l’aérospatiale, aussi originale qu’innovante. Au Musée de l'air et de l'espace, Aéroport de Paris-Le Bourget, au Bourget (93). https://www.museeairespace.fr
Exposition «Tout contre la Terre », jusqu'au 6 novembre 2022, à Genève (Suisse) Cette exposition aborde le dérèglement climatique et l'érosion de la biodiversité sous l'angle des émotions. Où en sommes-nous dans notre relation avec la Terre, alors que bien des limites planétaires sont dépassées par l'action de l'Homme. Cet état nouveau commence à se manifester de plus en plus clairement, et plutôt pour le pire : vagues de chaleur, sécheresses ou inondations hors normes, méga-feux, famines... Au Musée d'histoire naturelle, 1 route de Malagnou, à Genève (Suisse). https://institutions.ville-geneve.ch/fr/mhn/votre-visite/agenda/tout-contre-la-terre/
Exposition « Dinh Q Lê » du 8 février au 20 novembre 2022, à Paris (75) L’artiste vietnamien Dinh Q Lê a construit depuis les années 1990 une œuvre riche et complexe, en utilisant diverses techniques où la photographie tient une place importante. Pour autant, Dinh Q Lê n'est pas véritablement photographe. L'image est pour lui un matériau à interroger, à découper, à transformer. Dinh Q. Lê conçoit des installations en utilisant des photographies vernaculaires et produit des images hybrides en mêlant divers registres de photographies. Il utilise une technique de tissage d’images inspirée des gestes de sa tante nattant des tapis. Tressant à son tour des images, Dinh Q. Lê associe deux registres de représentation et produit une image nouvelle, qui est une combinaison des deux premières, dont il trouble irrémédiablement la vision. La parole joue un rôle important dans les préoccupations de l’artiste. La rendre possible, audible, et restituer la complexité de l’Histoire par ceux qui l’ont vécue, est une ligne récurrente de son travail. Si plusieurs de ses œuvres visent à proposer d’autres images et récits du Vietnam (Light and Belief), d’autres ont, depuis quelques années, contribué à interroger l’histoire du Cambodge et la représentation du génocide mené par le régime khmer rouge. La série Splendor and Darkness mêle ainsi par le tissage des portraits de victimes avec les bas-reliefs d’Angkor Vat. Des œuvres plus récentes (Adrift in Darkness) utilisent des images de migrants et évoquent les drames de la traversée de la Méditerranée. Au Musée du Quai Branly, 37 quai Branly, à Paris (7ème). https://www.quaibranly.fr/fr/expositions-evenements/au-musee/expositions/details-de-levenement/e/dinh-q-le-39279/
Exposition « Jean Dubuffet » jusqu'au 6 juin 2022, à Martigny (Suisse) La magnifique rétrospective Jean Dubuffet présentée ici avec la collaboration du Centre Georges-Pompidou (Paris) propose une relecture du travail du grand défenseur de « l'art brut ». De par sa diversité, l'exposition témoigne de l'inépuisable créativité de cet artiste prolifique qui sut faire évoluer son style tout au long de sa vie. Erigeant le non-savoir en principe pour créer une oeuvre singulière, Jean Dubuffet ne cessa de développer de nouvelles recherches aux « tonalités » audacieuses et toujours déconcertantes. Pour lui, le vrai art est là où on ne l'attend pas. A la Fondation Pierre Gianadda, Rue du Forum 59, à Martigny (Suisse). https://www.gianadda.ch/210_expositions/jean-dubuffet-2021/
Durant 45 minutes, immergez-vous dans l'art byzantin et les mosaïques dorées de la basilique Saint-Marc, dans les chefs-d'œuvre du Tintoret, de Bellini ou de Canaletto ou encore dans la fameuse Mostra del Cinéma avec des photographies d'actrices et acteurs du néoréalisme italien. Aux Bassins des Lumières, Base sous-marine, Impasse Brown de Colstoun, à Bordeaux (33). https://www.bassins-lumieres.com/fr/home
La Frick Collection, ouverte au public en 1935 dans la « mansion » new-yorkaise du magnat de l’industrie et grand collectionneur Henry Clay Frick (1849-1919), est l’un des plus importants musées d’art européen des États-Unis. À la faveur de la fermeture de l’institution pour travaux et de la présentation temporaire des collections au « Frick Madison » entre 2021 et 2023, un important ensemble d’œuvres du peintre américain James Abbott McNeill Whistler (1834-1903) quitte New York pour la première fois depuis plus d’un siècle pour être présenté au musée d’Orsay au début de l’année 2022. Cette présentation exceptionnelle rassemble 22 œuvres dont quatre peintures, trois pastels et douze eaux-fortes de la Frick Collection ainsi que trois peintures des collections du musée d’Orsay. Au Musée d'Orsay, 1 rue de la Légion d'Honneur, à Paris (7ème). https://www.musee-orsay.fr/fr/expositions/james-mcneill-whistler-1834-1903-chefs-doeuvre-de-la-frick-collection-new-york-200934
Yves
Classement des dix premiers pays qui ont visité ce site la semaine dernière : 1) Etats-Unis 2) France 3) Chine 4) Canada 5) Belgique 6) Suisse 7) Royaume-Uni 8) Allemagne 9) Pays-Bas 10) Brésil
Le Haut-Doubs, un terroir de savoir-faire (France)
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