Vainqueurs d’hier, nous sommes les perdants de demain.
Il est loin le temps où les Grecs sillonnaient les mers et partaient à la conquête de l’Asie Mineure, l’Egypte, la Sicile et les rivages de la Gaule.
Les Romains leur succèderont en bâtissant un empire européen, en s’installant au Moyen-Orient et en imposant leur loi en Afrique du Nord.
De ces civilisations-là nous sommes les descendants.
Dès le Moyen-Âge, l’homme occidental fut un explorateur, un conquérant et un découvreur.
Marco Polo, Vasco de Gama, Magellan ou Christophe Colomb étaient des Occidentaux.
ils conquirent les Amériques, une grande partie de l’Asie, l’Afrique noire et le monde arabe ; débarquant à chaque fois avec le pire (les épées) et le meilleur (les livres).
Massacrant et humiliant sans retenue, l’homme occidental apporta à ces contrées lointaines des choses nouvelles (électricité, téléphone, radio, routes et médicaments).
Sans oublier la lecture et l’écriture en Afrique noire.
Un jour, survinrent les deux guerres (mondiales) de trop, conflits fratricides qui épuisèrent ces êtres conquérants.
Fatigué, l’homme occidental se posa enfin sans pour autant arrêter d’inventer (télévision, informatique, énergie nucléaire, armes perfectionnées, avions et fusées…) encore et encore des technologies sans âme dont la seule plus-value doit rester financière.
Or, les populations jadis conquises par nous, fortes d’un esprit de progrès et d’une soif de revanche ont appris comment s’approprier ce que l’Occident leur a donné dans un excès de générosité droit-de-l’hommiste (ou par réflexe d’auto-suicide).
Quoi de plus naturel pour un élève que de vouloir dépasser le maitre ?
D’autant plus lorsque le conquérant d’hier éprouve états d’âme et culpabilité.
Et puis, il y a le problème de cette « supériorité » occidentale, laquelle impose au reste du monde (pourtant largement majoritaire numériquement par sa population) son néo-libéralisme alors que la population mondiale, dans sa grande majorité aspire à une organisation multipolaire d’Etats-nations territoriaux, régulée par le droit international.
Voilà le petit homme blanc à la croisée des chemins : autrefois supérieur en nombre, il est désormais minoritaire numériquement.
Ensuqué par le matérialisme, il n’a même plus l’envie de se battre pour quoi que ce soit et s’est laissé intoxiquer par la propagande médiatique au service d’une poignée de multimilliardaires qui entendent prendre le contrôle de l’humanité toute entière.
Pire, nous nous sommes laissés confisquer notre culture profonde, notre glorieuse histoire et notre religion judéo-chrétienne par une meute de loups malfaisants qui s’enrichissent sur le dos des peuples.
Malheur aux naïfs qui croient un peu trop facilement à la bonne parole et au précepte « Faites ce que je dis et ne faites pas ce que je fais » : au palmarès des aberrations, nos élites qui nous conseillent d’économiser l’énergie alors que les J.O d’hiver se déroulèrent à Pékin sur de la neige artificielle, que la compagnie aérienne allemande Lufthansa effectue 8000 vols « à vide » pour conserver ses créneaux de décollage/atterrissage, que les huit immenses stades du Qatar seront climatisés en plein désert lors de la coupe du monde, qu’environ 3500 porte-conteneurs sillonnent les mers du globe, en brûlant chacun 28 000 litres de fuel pour mille kilomètres et que des milliardaires s’offrent des voyages dans l’espace à la recherche de sensations nouvelles...
Alors oui, je préfère l’envie de réussite et la soif de vivre et d’entreprendre des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), embryon du nouveau monde, à l’arrogance des vieilles puissances occidentales dirigées par des broques dont la seule ambition n’est désormais d’imposer uniquement un «nouvel ordre mondial » à coup d’injections létales et de nouvelles formes d’esclavages.
Que voulez-vous, c’est maladif : lorsque vous avez le pouvoir, tôt ou tard il vous prend l’envie de taxer tout ce qui passe sous vos yeux et les voitures électriques ne feront pas exception puisque la Suisse ouvre le bal en étudiant la taxation de ces nouveaux véhicules.
Le gouvernement fédéral envisage en effet ce moyen pour compenser le manque à gagner que va engendrer la transition vers l’électrique.
Les Helvètes sont comme les Français à la fois taxés sur leur utilisation de la voiture mais également sur leur consommation de carburant. Trois sources d’imposition sont en effet prévues :
- Les impôts et les surtaxes sur les huiles minérales
- Les impôts automobiles (selon la puissance du véhicule et le canton où l’on vit)
- La vignette obligatoire.
De quoi générer environ deux milliards d’euros chaque année. Logiquement, le Conseil Fédéral Suisse a donc demandé à ce qu’évolue la fiscalité automobile à travers une évaluation complète de la fiscalité actuelle assortie de propositions concrètes dès l’année prochaine pour passer à un nouveau système.
Et il est d’ores et déjà établi que la voiture électrique sera taxée en Suisse d’ici à 2030.
Et même d’envisager la méthode appliquée, c’est à dire l’indice kilométrique (plus vous roulerez et plus vous paierez).
Bien sûr, une réflexion équivalente existe aussi en France et il faut s’attendre à terme à une évolution du financement de la transition énergétique au fur et à mesure de la montée en puissance des voitures électriques !
 
 
MURIEL SE MET AU... VERRE
Connaissez-vous les limonades La Beauceronne ?
Il s’agit de boissons fraîches à emporter, pour se désaltérer et profiter pleinement des belles journées ensoleillées.
La limonade La Beauceronne est produite par la Maison Savouré, implantée à Janville, au cœur de la Beauce, depuis 130 ans.
Elle est composée d’eau puisée dans la nappe de Beauce, de sucre de betterave provenant de la sucrerie d’Artenay et d’arômes naturels d’agrumes.
La plus ancienne limonade de la région Centre n'est élaborée qu'avec des produits naturels. Secret bien gardé, la recette de cette limonade artisanale est propre à la Maison Savouré, ce qui lui confère ce goût unique.
Depuis 1888, le breuvage est conditionné dans les traditionnelles bouteilles en verre afin de garder leur saveur unique et elles arborent des étiquettes à l’effigie de la cathédrale de Chartres.
Ses fines bulles feront pétiller vos goûters, apéros ou repas et en plus de la recette traditionnelle, la gamme est élargie avec des parfums comme l’orange, le citron glacé et le safran.
Pour vos soirées en terrasse, vous pouvez télécharger une fiche recette pour réaliser un délicieux cocktail à base de limonade. https://limonades-la-beauceronne.fr
 
 
UN PEU PLUS D'HUMOUR
Connaissez-vous Elisabeth Buffet ? Non seulement elle a du coffre mais elle fait de la résistance : https://fb.watch/ehmvufSDrL/
 
 
SEQUENCE NOSTALGIE
L'Argoat, la Bretagne intérieure des bois et des bocages, est évoquée à travers les récits croisés de ces personnages natifs de la région, parmi lesquels le fameux conteur Yves Pichon.
Les souvenirs personnels et la tradition orale locale se mêlent pour dessiner un portrait de l'Argoat au temps passé. Au cours de cette veillée, les participants se révèlent être les précieux détenteurs d'une culture de tradition orale ancrée dans le terroir de l'Argoat.
Au cours des interventions, sont évoqués les métiers du monde rural, tels que celui de meunier. Le reportage débute sur un « kan ha diskan », chant à répons, entonné en breton par l'ensemble du groupe, qui reprend les paroles du meneur ; puis ce dernier reprend les paroles du chant, lequel raconte l'histoire d'amour impossible d'un jeune meunier.
La tradition orale maintient la mémoire de nombreux autres petits métiers : le récit de la femme rappelle celui des chiffonniers, connus sous le nom de « pilhaouerien » en breton.
Leur activité fut importante en Basse-Bretagne jusqu'à la Seconde guerre mondiale. Tous ces personnages de chants, de complaintes et de contes populaires furent le symbole de la misère du pays, engendrée par la rudesse du climat, la pauvreté des terres, conjuguées aux effets de la croissance démographique.
Au cours du XIXème siècle, les paysans bretons les plus pauvres durent se convertir en marchands itinérants, et parcourir les chemins pour échanger de la vaisselle en faïence contre des chiffons, destinés aux moulins à papier de la région.
France Connect : Arnaques et multiplication de vols d’identifiants.
Des petits malins ont décidé de voler des identifiants France Connect en prétextant de mener une enquête sur le Covid-19. Par téléphone ou par mail, ils se font passer pour des fonctionnaires en demandant le statut vaccinal de leur victime, ou bien en promettant des indemnités. Leur objectif : vos données personnelles.
Metamask, qui est aujourd’hui l’un des porte-monnaie web les plus connus, et certainement le plus utilisé, ne peut pas bloquer les transactions pour vous. Mais il peut vous alerter sur le fait que ce que vous allez approuver peut, potentiellement, représenter un très gros risque.
Metamask, qui est majoritairement utilisé pour valider ces transactions, a donc décidé. C’est pourquoi maintenant les transactions de type « Set Approval for all », que l’on peut traduire par « Donner l’approbation pour tous » sont signalées en gras afin que l’information fasse « tilt » dans la tête de l’utilisateur de miser sur la prévention, dans le but d’aider les utilisateurs à ne pas valider ce qui pourrait être dangereux. En effet avec ce type d’approbation, vous autorisez le smart contract qui vous demande l’accès, à venir se servir dans votre wallet (porte-monnaie). Soit immédiatement, soit quand il en aura envie, car la majorité des utilisateurs ne révoquent pas les autorisations données.
Alors certes, cette mise à jour n’empêchera pas votre wallet de se faire siphonner, mais le fait que votre attention soit attirée, et surtout que vous puissiez comprendre ce que vous allez attribuer comme droits est un vrai pas en avant vers la sécurité. Metamask initie la démarche, espérons que d’autres suivrons, et que les wallets et les plateformes continueront d’évoluer dans ce sens afin que vous, nous, soyons sensibilisés sur ce que l’on risque en acceptant une transaction.
 
 
LE PETIT MANUEL DU RESISTANT
Livre « Ne touchez pas à nos enfants » d’Emmanuelle Darles :
Depuis janvier 2022, pas moins de 48 protocoles sanitaires scolaires se sont succédés provoquant mal-être et souffrance chez les enfants et les adolescents.
Les effets secondaires de la vaccination massive des adolescents ont également engendré des drames humains totalement ignorés de façon déloyale par les médias ou les journalistes.
Issu de plus de 18 mois de recherches en science des données, cet ouvrage délivre des indicateurs statistiques sur l'impact physiologique et psychologique des protocoles sanitaires en milieu scolaire et dresse un état des lieux chiffré et argumenté des risques concernant la vaccination anti-Covid chez les enfants et les adolescents.
Ce livre est dédié à chaque parent qui s'interroge sur les bénéfices - risques des mesures sanitaires imposées à nos enfants et à nos adolescents et propose un éclairage sur les conséquences de ces mesures sur leur santé. Prix : 15,99€
CSI (Conseil Scientifique Indépendant) N°65 du jeudi 4 août 2022 : l’invité de la semaine est Laurent Mucchielli, qui traite du sujet suivant : « Les libertés et les contre-pouvoirs qui fondent la démocratie sont-ils solubles dans la lutte contre une épidémie ? » https://crowdbunker.com/v/UFrMGQuF
 
 
ACTIVONS NOS NEURONES
En juin dernier, les Archives nationales du monde du travail publiaient un article sur les marques roubaisiennes (La Redoute, les 3 Suisses, Damart et Phildar) dans le cadre d’une récente programmation de la ville de Roubaix autour de la thématique « Textiles du monde ».
Si l’industrie textile a aujourd’hui laissé son empreinte sur ses grandes cités françaises, elle a aussi marqué la vie de ses travailleurs et travailleuses, fait prospérer des dynasties familiales ou encore permis l’émergence de marques de vêtements restées célèbres.
Aux 19ème et 20ème siècles, la ville de Roubaix et son industrie textile connaissent une prospérité retentissante. Le contexte est propice au succès d’entreprises dont les noms sont restés célèbres : La Redoute, Phildar, Damart ou les 3 Suisses. Devenues des marques iconiques de la vente par correspondance et/ou du prêt-à-porter, elles habillent encore les Françaises et les Français et s’exportent au-delà des frontières.
Les aventures commerciales de ces quatre marques sont indissociables des familles qui les ont créées et longtemps gérées.
Si dès 1837, la famille Pollet crée la première filature de ce qui deviendra l’entreprise La Redoute, les autres marques ne naissent que dans la première moitié du XXème siècle.
Xavier Toulemonde fonde Les 3 Suisses en 1932. Phildar est créée en 1943 par Gérard Mulliez. Et en 1947, les frères Despature reprennent une entreprise qu’ils renomment Damart.
Au tournant du XXIème siècle, les modèles familiaux de La Redoute et des 3 Suisses ne résisteront pas à la mondialisation.
Ainsi en 1994, La Redoute intègre le groupe Pinault-Printemps-Redoute (qui deviendra Kering puis Galeries Lafayette en 2017).
La marque Les 3 Suisses quant à elle est reprise par le groupe allemand Otto, puis par Domoti et enfin par le groupe de commerce en ligne Shopinvest en 2018.
De son côté, Damart reste détenue par les descendants des Despature. Et l’association familiale Mulliez est toujours actionnaire de l’entreprise Phildar.
Le dénominateur commun entre La Redoute, Damart et les 3 Suisses ? Leur ancrage roubaisien.
Toutes ont débuté leur activité dans la ville et c’est sa toponymie qui a inspiré leurs noms : l’ancienne rue de la redoute pour l’entreprise du même nom et celle de Dammartin raccourcie en Damart.
De nos jours, le groupe Damartex qui rassemble une dizaine de marques (dont Damart) siège toujours à Roubaix, à quelques pas de la rue Dammartin.
Quant aux 3 Suisses, la légende veut que son fondateur ait nommé son entreprise en l’honneur de trois jeunes roubaisiennes, filles d’un certain M. Suis.
Phildar, pour sa part, est née à Poitiers mais est délocalisée à Roubaix dans les années 1960 lorsque les Mulliez y créent Auchan.
La Redoute, Phildar ou les 3 Suisses sont à l’origine des entreprises à mono-produit (la laine à tricoter) et mono-cible (les femmes au foyer tricoteuses).
Damart de son côté se démarque avec le Thermolactyl, une fibre protégeant contre le froid et l'humidité. Cette invention, popularisée par le fameux slogan « Froid, moi ? Jamais ! » tombe à pic au milieu des redoubles hivers des années 1950.
Les ventes se portent si bien que l’entreprise lance son premier catalogue de vente par correspondance en 1954, imitant son concurrent La Redoute qui avait lancé le siens dès 1928.
Phildar pour sa part croit plutôt en la vente physique et développe son réseau de magasin jusqu’à devenir leader européen du fil à tricoter dans les années 1970.
Les années 1960 bouleversent en profondeur la société française : les femmes accèdent massivement à l’emploi et la grande distribution modifie les habitudes de consommation. Il convient donc de se diversifier, tant en terme d’offres que de cibles.
La laine à tricoter cède le pas devant le prêt-à-porter. D’abord uniquement féminin mais, dès 1965, Phildar ajoute des pages « Hommes » et « Enfants » dans ses catalogues.
La Redoute élargit sa gamme de produits aux bas, chaussettes et même linge de maison. Les 3 Suisses proposent même des services de table. Et Damart cherche à séduire une clientèle sportive.
Les succès des années 1960 laissent entrevoir un avenir radieux et les quatre entreprises cherchent à investir à l’étranger.
La Redoute s’implante en Belgique avec l’objectif d’atteindre à terme le marché des Pays-Bas. Phildar opte pour la même stratégie avec quelques 400 franchises en Belgique dans les années 1970.
Damart effectue également des ventes par correspondance en Belgique et au Luxembourg, et mène quelques expériences en Allemagne et en Espagne. Enfin, les 3 Suisses lancent des antennes en Belgique, en Allemagne et en Autriche.
La crise du secteur textile n’épargne aucune marque de prêt-à-porter. Amorcée lors du premier choc pétrolier de 1973, c’est une crise qui dure.
Pour ne pas disparaître, les entreprises engagent des processus de réduction des coûts : licenciements massifs, fermetures de magasins, cessation des activités peu rentables, réduction des collections, etc…
Phildar ferme son usine roubaisienne en 1990, puis recentre son activité sur l’offre de fil à tricoter et de laine au détriment du prêt-à-porter.
En 2020, elle est de nouveau amenée à fermer 85 magasins et est placée sous procédure de sauvegarde judiciaire.
De même, en 2006, Damart ferme sa dernière unité de production roubaisienne pour la délocaliser en Tunisie.
Du côté des 3 Suisses, on chercher à percer sur le marché asiatique. Pour ne pas disparaître, il faut continuer à répondre aux attentes évolutives de la société.
Longtemps, les marques surinvestissent en logistique : La Redoute prépare ses commandes en deux heures tandis que Les 3 Suisses les expédient le jour-même. Les conséquences sur le personnel en sont délétères. A titre d’exemple, les différentes sections syndicales de La Redoute dénoncent des méthodes managériales de quête de flexibilité précarisant les employés et une culture d’entreprise basée sur la performance à tout prix.
Dès 2000, la révolution numérique se fait sentir. Damart investit internet et y réalise 13% de ses ventes. En 2014, les 3 Suisses annoncent se recentrer sur leurs activités de commerce en ligne.
En 2016, La Redoute observe que 30 % de ses ventes sont effectuées via les smartphones de ses clients.
Depuis quelques années, on observe chez ces marques une tendance aux pratiques plus responsables : produire en France, de manière réduite et plus durable.
Ainsi La Redoute innova-t-elle en 2021 avec un projet de revente de seconde main. L’effet pandémie (covid-19) et l’essor de la vente par correspondance expliquent probablement aussi en grande partie les chiffres florissants affichés par les marques d’origine roubaisienne : Damart a vu son résultat net bondir de 75 % sur son exercice 2020-2021 et Phildar a connu de nouveau des bénéfices en 2021 et anticipe un chiffre d’affaires de 50 millions d’euros en 2025 contre 30 millions en 2021.
Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix. L'homme, qui a manifestement de la conversation, possède sa chaine Campagnol Tvl (https://odysee.com/@campagnoltvl:2) sur laquelle il diffuse ses vidéos : Abstraire les gens avant de les soustraire, c’est toute la philosophie du grand Reset (https://odysee.com/@campagnoltvl:2/physique:8)
Danube, Rhin et Guadalquivir... Trois fleuves emblématiques de l'Europe à découvrir autour des thématiques de l'art ou de la musique aux côtés d'experts conférenciers que propose Voyages d'exception avec des réductions exclusives :
Au fil du Rhin, dans le sillage de Schubert, croisière musicale
Du 04 au 10 septembre 2022, embarquez sur le Rhin romantique sur les eaux ondoyantes de la musique. De Strasbourg à Coblence, un riche programme de concerts accompagnera votre voyage à la découverte de la richesse du patrimoine.
-50% de réduction par personne
Tarif à partir de 1245 euros / personne (au lieu de 2490 euros) au départ de Strasbourg.
Au Fil de l'Art sur le Danube
Du 5 au 12 septembre 2022, naviguez sur le Danube au cœur du romantisme ! Vous plongerez au beau milieu de l’exubérance du Baroque et du Rococo et revivrez l’époque avant-gardiste de la sécession viennoise.
-30% de réduction par personne
Tarif à partir de 1883 euros / personne (au lieu de 2690 euros) au départ Paris.
Au Fil de l’art sur le Guadalquivir Andalousie, Portugal
Du 22 au 29 septembre 2022, plongez au cœur du patrimoine andalous et portugais ! Vous découvrirez les maîtres de la peinture espagnole, l'école sévillane mais également l'architecture arabo-andalouse.
-30% de réduction par personne
Tarif à partir de 1953 euros par personne (au lieu de 2790 euros) au départ de Paris.
Nouveautés culturelles du côté de Saint-Gervais-les-Bains (74)
De nouvelles expositions s'installent à Saint-Gervais à commencer par l’exposition «Plein Air, parcours d'art à ciel ouvert » au parc thermal du Fayet depuis le 20 juillet (et jusqu’au 25 septembre prochain), « Mariages en Savoie » (jusqu’au 7 mai 2023) au Musée d'art sacré de Saint-Nicolas de Véroce et l'exposition « Femmes au Pays du Mont-Blanc », salle Géo Dorival.
Inscrit à l'entrée de la commune, dans le quartier du Fayet, ce projet s'insère dans un cheminement artistique mettant à l'honneur la création d'aujourd'hui, allant jusqu'à Pile Pont Expo surplombant le Bonnant et jusqu'à la Maison forte de Hautetour dans le centre du village. Les installations réalisées prennent en compte la nature du lieu (végétal, minéral, en milieu montagnard), son histoire et sa situation géographique.
Après une première édition en 2021, « Plein Air, parcours d'art à ciel ouvert » présente au parc thermal du Fayet les œuvres des artistes Donovan Le Coadou, Tom Castinel, Lyse Fournier, Julie Kieffer et MaximeLamarche. Autour de la thématique de l'eau, de ses formes et de ses usages, elles investissent différents lieux du parc et créent un parcours : des usages industriels de l'eau aux activités de loisirs, en passant par l'utilisation de celle-ci dans les matériaux ou dans l'atmosphère. Entrée libre.
La course des guépards, Les mercredis, samedis et dimanches en août, à Plaisance-du-Touch (31)
African Safari a pour préoccupation principale la conservation et le bien-être des espèces menacées.
C’est dans cette optique que ce nouveau rendez-vous a été réfléchi. A la fois pédagogique et bénéfique pour l’animal, cet entraînement est un moyen d’échanger et de sensibiliser les visiteurs tout en proposant une activité bénéfique pour la santé de l’animal et le maintien de son instinct naturel.
En effet, utiliser le leurre permet aux guépards d’être stimulés et de reproduire des comportements naturels.
Pour African Safari, c’est également un moyen de présenter les guépards et de sensibiliser les visiteurs aux menaces qui pèsent sur cette espèce, et plus largement, sur la biodiversité. Il ne resterait aujourd’hui que 6700 guépards dans leur milieu naturel d’origine.
Le principe de la course des guépards est le suivant :
Traversant l’enclos d’une extrémité à l’autre avec un leurre, le système robotisé incitera le guépard à se mettre en position de chasse. Il essaiera d’attraper sa proie, en toute sécurité, et parcourra l’enclos, conçu tout en longueur, jusqu’à atteindre sa vitesse de pointe.
Situé à Plaisance du Touch, à 20 minutes de Toulouse, le zoo African Safari vous invite à découvrir 600 animaux exotiques issus de 80 espèces différentes :
Ouvert tous les jours, toute l’année, le parc est composé de deux parties à visiter :
la réserve africaine, qui vous offre une superbe balade à bord de votre véhicule, au milieu d’animaux africains en semi-liberté,
le parc à pied, arboré et ombragé, qui abrite des animaux issus du monde entier.
En 2021, deux nouvelles espèces sont arrivées : les guépards et les loutres qui profitent d’un grand espace dans le parc à pied. Cette année, deux nouvelles espèces ont rejoint African safari : les binturongs et les capybaras.
Voici quelques conseils de bon sens qu’il faut avoir en tête avant de partir en vacances :
Quelques jours avant vos vacances: En amont de votre voyage, quand vous préparez votre valise, commencez par quelques gestes simples. Pour ne pas les perdre, sauvegardez vos données importantes sur deux supports fiables : disque dur, cloud ou clefs USB…
Définissez un mot de passe fort et activez la mise en veille automatique sur tous vos appareils, qu'il s'agisse de votre ordinateur portable, de votre tablette ou de votre téléphone. Si vous le pouvez, activez l’identification biométrique.
La veille du départ: Activez la fonction antivol de vos appareils afin de repérer les appareils volés ou perdus et, si nécessaire, d'en effacer le contenu à distance et testez-la.
Assurez-vous que tous vos appareils sont entièrement mis à jour avec le dernier système d'exploitation et les derniers logiciels et qu'ils disposent d'une solution de sécurité fiable, aussi bien pour votre ordinateur que pour vos appareils mobiles.
A votre arrivée: À l'hôtel ou dans votre location, n'utilisez que des accès internet de confiance. Confirmez le nom du réseau Wi-Fi et utilisez exactement le même nom.
Faites toujours attention aux arnaques qui tentent de faire croire à un Wi-Fi public en ajoutant le mot "gratuit" au nom de la connexion Wi-Fi. Si possible, préférez les données mobiles ou utilisez un VPN.
Durant le séjour: Profitez des moments en famille pour sensibiliser vos enfants à la cybersécurité. Il n’est jamais trop tôt pour évoquer les opportunités d’internet, comme ses dangers.
Soyez réaliste sans être alarmiste, rappelez les bons usages et la nécessité de paramétrer la confidentialité de leurs comptes et applications (messageries instantanées, réseaux sociaux…). Limitez la géolocalisation au cercle familial.
A votre retour: Si vous n'utilisez pas encore un antivirus de confiance et que vous soupçonnez que votre ordinateur portable est infecté, vous pouvez sans attendre utiliser un outil d’analyse gratuit pour détecter et supprimer les logiciels malveillants.
 
 
TOURISME
Les cahiers du Pèlerin : Cinq randonnées dans les alpages
Les passionné(e)s de randonnées se procureront les Cahiers de la revue Le Pèlerin. Ceux-ci proposent cinq randonnées dans les alpages de quoi prendre un bon bol d’air en pleine nature :
Le Chablais est une terre généreuse qui offre tout à la fois un bel accueil, une table généreuse et un superbe panorama (difficulté faible, durée 4h45, point culminant : 1866 mètres)
Durant la Seconde Guerre mondiale, les alpages bucoliques de Manigod ont abrité un maquis. Une belle occasion de conjuguer balade et histoire lors de cette randonnée dans la pointe de l’Orsière (Difficulté faible, durée 4 heures, point culminant : 1750 mètres)
Au fil des crêtes de Maurienne, les aiguilles d’Arves, qui se dressent au loin entre Maurienne et Hautes-Alpes, vous accompagnent tout au long de cette marche où vous jouez à « saute-crey ». Et d’admirer les trois sommets de ces aiguilles, qui symbolisent la Maurienne, avec leur forme déchiquetée (Difficulté élevée, durée 5 h00 pour effectuer la boucle, point culminant : 2576 mètres)
Entre les lacs du Queyras, le plateau de Clapeyto présente des faux airs de toundra avec sa myriade de plans d’eau. Ce tour, via trois cols, permet d’en découvrir toutes les facettes (difficulté moyenne, durée 5 heures, point culminant : 2576 mètres)
L’ascension du plus haut sommet du Vercors se mérite car c’est une longue randonnée éprouvante, d’autant plus qu’il faut transporter ses 4 litres d’eau soi-même faute de pouvoir rencontrer de quoi s’abreuver sur ce parcours (difficulté élevée, durée 8 heures, point culminant : 2341 mètres)
A la découverte du vignoble de Fronton (31)
La nouvelle édition du livret « Un chef, Un vigneron » vise à célébrer la pluralité de talents des deux territoires couverts par le vignoble de Fronton : la Haute-Garonne et le Tarn-et-Garonne.
De l'entrée au dessert, en passant par la dégustation de fromages régionaux, ce guide vous réserve de nouvelles découvertes gastronomiques locales avec ses 22 recettes ‘‘accords mets/vins’’ proposées en partenariat avec Tables & Auberges de France.
Ce livret est disponible à la Maison des Vins et du Tourisme de Fronton
Dix criques et plages secrètes en Europe où se détendre cet été (Civitatis)
Pour vous aider à trouver un peu plus de tranquillité cet été, Civitatis a dressé une liste des meilleures plages et criques (presque) secrètes où vous pourrez vous retirer du monde et vous éloigner du stress quotidien pendant quelques jours :
Praia de Rodas, Galice (Espagne) : Ce joyau des îles Cíes se devait de figurer parmi les dix meilleures plages européennes si vous cherchez à échapper aux foules estivales. Praia das Rodas est sans doute la meilleure de ces îles préservées. Elle est située à l'écart de la péninsule, mais offre un paysage absolument unique : sable blanc, lagunes et récifs qui donnent sur l'Atlantique, où tout voyageur pourra oublier le reste du monde.
San Giovanni di Sinis, Sardaigne (Italie) : Il est vrai que toutes les plages du nord de la Sardaigne sont spectaculaires. Mais il faut avouer qu'elles ont tendance à être bondées de touristes, surtout pendant les mois les plus chauds.
Si vous souhaitez en profiter sans sacrifier votre tranquillité, vous devez vous tourner vers la côte ouest de l'île, où la péninsule de Sinis, à une demi-heure d'Oristano, offre certaines des meilleures plages d'Europe, avec ses dunes et ses eaux cristallines à côté de la citadelle en ruines de Tharros.
Guéthary, France : Pour les voyageurs passionnés de surf, cette plage située dans la région de Nouvelle-Aquitaine deviendra sans doute l'une de leurs destinations préférées.
Bien que de plus en plus de personnes recherchent chaque jour les eaux de cette petite commune française, la tranquillité reste l'un des points forts de ce lieu qui était autrefois un grand port de pêche à la baleine et dont on trouve aujourd'hui des milliers de photos avec ses impressionnants couchers de soleil.
Psili Ammos, Patmos (Grèce) : Cette plage a une histoire, et pas des moindres. On dit que c’est là, sur l'île sacrée du Dodécanèse, que Saint Jean aurait écrit le livre de l'Apocalypse, caché dans une grotte.
Ses eaux peu profondes vous permettront de nager sans crainte et vous offriront des paysages spectaculaires qui se terminent, de l’autre côté, sur un espace nudiste. Il s’agit certainement de l'une des plages les plus paisibles de la liste, où il est très facile d’oublier le reste.
Plage de Saleccia, Corse (France) : L'incroyable plage de Saleccia est l'un des coins de la Corse les plus inaccessibles aux touristes. En effet, elle est coupée du monde grâce au désert des Agriates, au nord-ouest de la Corse. Si vous parvenez à franchir cette barrière naturelle, ce qui vous attend de l'autre côté est un véritable spectacle : 1,5 kilomètre de sable blanc et des eaux turquoise qui vous laisseront bouche bée
Alaçati, Turquie : Voilà une autre plage qui a marqué l'histoire du monde du surf et du kitesurf, non seulement grâce à ses vagues, mais aussi à la tranquillité qu'elle offre aux amateurs de ces sports. Située dans la province d'Izmir, sa vue imprenable sur la mer Égée se mêle à la célèbre architecture de ses maisons de vigne et même à des moulins à vent chargés d'histoire (qui datent presque de 200 ans). Alaçati plaira aussi bien aux surfeurs qu’à ceux qui souhaitent simplement se détendre dans un coin magique de la Turquie.
Dhërmi, Vlora (Albanie) : Cet endroit est tellement incroyable qu'il est impossible de le garder "secret". Il deviendra sûrement bientôt une destination touristique majeure, mais pour l'instant, Dhërmi se maintient stoïquement, conservant sa tranquillité caractéristique.
Ce qui a peut-être freiné la surpopulation, c'est la difficulté de s'y rendre, en franchissant un col à 1 200 mètres d'altitude. Mais le paysage, entouré de montagnes, de bunkers de l'ère soviétique (quel contraste) et des meilleures plages d'Albanie... Cet endroit fera le bonheur de tout voyageur en quête de tranquillité.
Praia da Ilha de Tavira, Algarve (Portugal) : Il est vrai que l'Algarve attire des millions de visiteurs chaque année, surtout en été, mais il est possible de trouver des endroits isolés où vous pourrez vous détendre sans avoir à vous battre pour une place sur le sable.
Si vous vous dirigez plus à l'est, vous trouverez ce havre de paix. Praia de Ilha, une île magnifique au large de Tavira, en est un bon exemple. Ses eaux presque calmes qui clapotent sur son long littoral, en font une destination idéale pour s'évader.
Plage de Perpitch, Angleterre : Au large de la côte sud-ouest de l'Angleterre se trouve l'archipel subtropical des îles Scilly (ou Sorlingues), un endroit incroyable lorsque l'on cherche une plage où se détendre. Il faut dire, qu’il y en a tellement, qu'il est difficile de choisir. Objectivement, la plus remarquable pourrait être la plage de Perpitch sur l'île de St. Martin’s. La façon la plus simple de s'y rendre est de prendre un bateau depuis St. Mary's, l'île principale, et d'y passer une journée entière jusqu'à ce que le bateau parte pour le voyage de retour.
Cala Macarella, Minorque (Espagne) : Et la liste se termine avec l'une des criques les plus impressionnantes du monde : Cala Macarella.
Tout voyageur sait que Minorque possède des milliers de recoins cachés où l'on peut facilement se couper du monde. Il y en a tellement que cela mériterait une liste à part entière. Cependant, Cala Macarella semble être le meilleur endroit pour se reposer entre falaises et pins. Si cette crique vous laisse bouche bée en photo, vous serez sans voix une fois sur place.
Cités médiévales de la Vienne (86)
Forte de son passé, La Vienne se distingue par son patrimoine historique et naturel unique et ses cités médiévales pittoresques où le temps semble s'être arrêté. De Montmorillon à Chauvigny en passant par Angles-sur-l'Anglin, Lusignan ou Château-Larcher, le département regorge de destinations de charme, idéales pour se ressourcer et profiter d'une parenthèse loin de l'agitation estivale :
Chauvigny séduit par ces cinq forteresses médiévales dressées sur leur éperon rocheux surplombant les vallées de la Vienne et du Talbat. Parmi les incontournables à découvrir, dans l'enceinte même du Château des Evêques, se déroule l'impressionnant et pittoresque spectacle « Les Géants du ciel » dans lequel aigles, faucons et autres rapaces animent un ballet aérien somptueux pour le plus grand bonheur des petits et des grands.
Angles-sur-l'Anglin est classé « plus beaux villages de France ». Construit sur deux niveaux, le village offre des panoramas remarquables mais aussi ses ateliers d'artisans, ses ruelles pavées escarpées et ses rives ombragées, qui promettent un séjour paisible au rythme de l'Anglin.
Montmorillon et sa Cité de l'Ecrit et des métiers du livre est ouverte tout au long de l'année en accès libre. Ce véritable village dans la ville accueille libraires, enlumineurs, papetiers et artistes spécialistes de livres anciens ou modernes pour un voyage dans le temps à la découverte de ces métiers oubliés.
Lusignan, berceau de la fée Mélusine : Petite cité de caractère, Mélusine est aussi la fée bâtisseuse à l'origine de la construction de maintes forteresses et églises médiévales dans le Poitou, dont on raconte qu'elle reviendrait chaque samedi hanter Lusignan, théâtre de sa destinée.
Château-Larcher, joyau du patrimoine poitevin, ne se trouve qu'à quelques kilomètres au sud de Poitiers. Dressée sur un promontoire rocheux, la cité et son château fort offrent un panorama exceptionnel sur la campagne environnante où se côtoient étangs, cours d'eau, falaises abruptes et vestiges celtiques.
Flâneries nocturnes les 12 & 13 août 2022 à Amboise (37)
Les Flâneries nocturnes 2022 mettent à l’honneur la nature si chère à Léonard.
Elles accueillent les 12 et 13 août la performance « Wald » (forêt) de la compagnie de cirque RightWayDown ainsi que « Léonard au naturel », un spectacle du pianiste Patrick Scheyder dédié à cet amoureux fou de la nature et de la vie sous toutes ses formes, à la fois artiste, ingénieur, botaniste.
Le spectacle vivant et la nature sont particulièrement mis à l’honneur dans l’édition 2022 des Flâneries nocturnes. Léonard de Vinci est fasciné par la nature ; elle est son maître absolu.
Élevé dans la campagne toscane jusqu’à l’âge de 14 ans, Léonard apprend à connaître les végétaux, à communiquer avec les animaux comme le cheval. Il y admire aussi la force des éléments naturels. Dans des textes d’une rare beauté, Léonard de Vinci assimile « corps humain » et « corps terrestre ». Il pense que la mer est le sang de la Terre, que les rivières et les fleuves sont ses veines.
Au Château du Clos Lucé, 2 rue du Clos Lucé, à Amboise (37)
Le Festival des Estivales d'Arnaga, du 11 au 13 août 2022, à Cambo-les-Bains (64)
Cet été, les jardins d'Arnaga résonneront de musique et de théâtre, avec :
Le 11 août, la pièce de théâtre Cyrano de Bergerac, par la Ben Compagnie.
Le 12 août : la pièce de théâtre La Cantatrice Chauve, par Le Théâtre de la Huchette
Le 13 août : Concert de Jazz - Swingin' Bayonne Trio invite Dany Doriz et Jeff Hoffman du Caveau de la Huchette.
100ème fête de Seyne et du concours Mulassier, du 12 au 14 août 2022, à Seyne-les-Alpes (04)
Au programme du concours Mulassier : le13 août à partir de 10h, présentation des animaux au jury : jeunes animaux, jeunes mules, juments reproductrices... avec la remise des prix du 100ème concours Mulassier.
Dans la matinée, parade des mules et chevaux !
Pour continuer la journée, profitez de votre après-midi pour participer à la démonstration de chevaux menés, pour visiter des expositions et découvrir la mini-ferme.
Quant à la 100ème traditionnelle fête de Seyne,participez :
- le vendredi soir à un concours de pétanque et à une soirée concert sur la Place d'Armes.
- le samedi, prenez votre matinée pour assister au concours Mulassier à la Maison du Mulet.
- le dimanche, profitez de l'après-midi pour participer à un concours de pétanque en triplette mixte, puis pour la finale du Jeun Provençal.
Pour clôturer ce week-end fort en tradition, venez assister au feu d'artifice "Spectacle son et lumières",tiré du Fort Vauban, puis à une soirée musicale sur la Place d'Armes.
À l'occasion des 100 ans, bien d'autres surprises viendront compléter ce programme : défilé de chars, grand repas dans la rue, animations inédites pour petits et grands...
 
 
EXPOS
« Décorations présidentielles et Diplomatie », jusqu'au 14 juillet 2023, à Paris (75)
Depuis le 14 juillet, le musée de la Légion d’Honneur et des ordres de chevalerie présente une exposition sur le thème des décorations étrangères reçues à titre diplomatique par les Présidents depuis la IIIème République jusqu’à nos jours.
Dans un premier temps, l’exposition fait dialoguer deux Présidents de la IIIème et de la Vème République : d’une part, Adolphe Thiers et Nicolas Sarkozy, tous deux distingués tout au long de leur carrière politique ; d’autre part, Sadi Carnot et François Hollande, exclusivement décorés durant leur mandat présidentiel.
Ce voyage géopolitique se poursuit ensuite à travers les collections permanentes du musée mettant en exergue, dans chaque salle, quelques insignes présidentiels.
Étapes essentielles de ce parcours, sont présentées l’ensemble des décorations d’Emmanuel Macron dans la salle de la Légion d’honneur, et celles de Valéry Giscard d’Estaing dans celle des ordres étrangers.
Les échanges diplomatiques de décorations entre chefs d’État remontent à la création des ordres de chevalerie. Très rapidement et largement utilisés par Napoléon Ier, ils devinrent au cours du XIXème siècle une étape incontournable d’une visite d’État. La tradition se perpétue sous la IIIème République et court encore de nos jours .
Au Musée de la Légion d’honneur et des ordres de la chevalerie, 2 rue de la Légion d’honneur, à Paris (7ème)
« Toucher le feu. Femmes céramistes au Japon » jusqu'au 3 octobre 2022, à Paris (75)
Pendant des siècles au Japon, la pratique de la céramique fut réservée aux hommes, interdite aux femmes. Il faut attendre l’après Seconde Guerre mondiale pour que de profondes mutations sociales leur ouvrent l’accès à des formations qui leur permettent de « toucher le feu ».
Depuis, les artistes japonaises occupent une place prépondérante dans le domaine de la céramique contemporaine, l’une des plus créatives au monde.
La première génération des femmes japonaises qui se consacrent à la céramique combine souvent une formation artistique universitaire à un apprentissage plus traditionnel auprès d’un maître.
Celle des années 1940-1960 renouvelle profondément le rapport à la matière ; la nature et ses formes sculpturales sont les traits dominants de cette génération qui fait le choix d’une matière rude, texturée, organique, délaissant le lisse et le doux. Particulière, la génération la plus jeune, née dans les années 1970-1980, opère sans hésiter un retour à la porcelaine.
Au Musée Guimet, 6 Place d’Iéna à Paris (16ème).
«Monfreid sous le soleil de Gauguin » jusqu'au 6 novembre 2022, à Perpignan (66)
George Daniel de Monfreid est un peintre marquant du monde de l’art de la fin du XIXème siècle et du début du XXème siècle, qui partagea sa vie entre Paris et sa résidence familiale de Corneilla-de-Conflent, dans les Pyrénées-Orientales.
Inconditionnel ami et promoteur de l’œuvre de Paul Gauguin (1848-1903), dont il sera le dépositaire durant ses séjours en Polynésie, George Daniel de Monfreid est aussi l’un des artistes qui président à la naissance d’une modernité stimulée par le primitivisme de Gauguin.
Son rapport à Gauguin entre au cœur de sa vie et de ses créations dès leur rencontre, en 1887.
Leurs affinités se manifestent d’emblée à l’occasion de l’exposition Volpini, organisée par Gauguin en 1889 pour l’Exposition Universelle de Paris, où Monfreid expose un autoportrait dit « à la veste blanche » récemment acquis par la ville de Perpignan.
Le parcours aborde l’œuvre de l’artiste dans sa dimension monographique et rétrospective, au rythme de quatre sections qui dévoileront : son attachement au paysage ; le dialogue subtil qu’il entretint avec Gauguin, au travers de leurs œuvres réciproques ; son entourage familial et artistique autour de sa pratique du portrait.
Au Musée d’Art Hyacinthe Rigaud, à Perpignan (66)
« Momies, les chemins de l'éternité », jusqu'au 25 septembre 2022, à Draguignan (83)
Symboles de la vie éternelle et sources de vénération depuis des millénaires dans de nombreuses régions du monde, les momies fascinent depuis toujours le grand public mais aussi la science, démontrant ainsi leur caractère universel.
Sources majeures de grande valeur historique, scientifique et anthropologique, elles sont devenues de véritables objets d’études dédiés à la connaissance du vivant.
Grâce au soutien du musée du Quai Branly-Jacques Chirac, et de plusieurs autres grands musées français et étrangers et de collectionneurs, l’exposition qui leur est consacrée s’annonce inédite en faisant découvrir par le biais d’une approche multidisciplinaire et dans un esprit pédagogique et de vulgarisation les diverses représentations des momies, leurs usages et en quoi elles sont utiles aux vivants.
A découvrir :
Une scénographie élaborée dans un cadre strictement déontologique et replacé dans leur contexte culturel respectif.
Un rassemblement exceptionnel de momies humaines et animales très différentes d’Europe et de continents éloignés (Afrique, Amérique latine, Asie, Océanie…).
Des “reliques” de célèbres personnages historiques, de très nombreux objets associés aux techniques de la momification, aux pratiques funéraires, à des utilisations inattendues dans le domaine médical ou artistique.
Des documents iconographiques, photographies et ouvrages à caractère scientifique etc...
Une table d’embaumement a également été reconstituée et complète le dispositif.
Enfin, l’exposition ne manquera pas d’évoquer la momie, source d’inspiration de la littérature d’épouvante dès le XIXème siècle puis de la culture cinématographique au XXème siècle, en proposant divers ouvrages et extraits de films à un public amateur de sensations fortes.
A l’Hotel départemental des Expositions du Var, à Draguignan (83)
« L'Horizon de Khéops », jusqu'au 2 octobre 2022, à Paris (75)
Venez explorer de fond en comble les entrailles de la pyramide de Khéops et ses chambres et passages les plus secrets.
Expédition immersive à travers l’espace, «L’horizon de Khéops » vous fera aussi voyager dans le temps : la magie de la technologie vous transportera quelque 2600 ans avant notre ère, au temps des funérailles du roi Khéops lui-même.
Une incursion pleine d’émotion au cœur de l’ancienne Égypte…
A l’Institut du Monde Arabe, 1 rue des Fossés Saint-Bernard, à Paris (5ème)
« Toucher terre, l'art de la sculpture céramique » jusqu'au 1er novembre 2022, à L'Isle-sur-la-Sorgue (84)
Jusqu’au 1er novembre 2022, la Fondation explore l’art de la sculpture céramique en réunissant plus de 130 œuvres réalisées par 100 artistes historiques, contemporains et émergents, français et internationaux.
En s’emparant avec créativité et originalité de la terre, cette matière dont le travail est depuis quelques années revenu sur le devant de la scène contemporaine, la Fondation Villa Datris souhaitent transmettre au public une approche pleine d’humour et de surprise de l’art céramique.
A la Fondation Villa Datris, 7 avenue des Quatre Otages, à l’Isle-sur-la-Sorgue (84)
« Lego, 90 ans de créativité » jusqu'au 25 septembre 2022, à Paris (75)
Pour célébrer son 90ème anniversaire, le groupe LEGO dévoile une exposition en plein centre de Paris, dans la Galerie Joseph.
Le public découvre ainsi les coulisses et l’histoire de la marque lors de cet événement participatif et ludique.
Des animations, pour enfants et adultes, sont proposées tout au long de la visite, tandis que cinq artistes (Lenz, Jan Vormann, M’Brick, LEGO to the party et Nicolas Bianco) se sont prêtés au jeu de laisser libre cours à leur créativité et exposent, dans un espace dédié, leurs créations librement inspirées des briques LEGO.
Lors de cette exposition incontournable, les visiteurs peuvent découvrir des pièces d’archives rares, remontant à la création de la marque, ainsi que des sets de construction emblématiques, des nouveautés et des réalisations géantes en briques LEGO créées pour l’occasion…
« Il y a 90 ans, Ole Kirk Kristiansen, un charpentier danois créait une gamme de petits jouets en bois dans son atelier de Billund, au Danemark.
Ce qu'il ignorait, c'est que le groupe LEGO deviendrait l'une des plus grandes entreprises de jouets au monde et inspirerait des millions d'enfants à jouer chaque année. »
A la Galerie Joseph, 116 rue de Turenne, à Paris (3ème)
« L'appel du Large », jusqu'au 3 septembre 2022, à Paris (75)
De la mer du Nord à la Méditerranée, la galerie expose une série inédite de photographies panoramiques et stéréoscopiques coloriées.
Ces images, prises à partir de 1860 jusqu’au début des années 1900, dépeignent une perception bien différente de la mer que l’on soit estivant à Nice ou pêcheur de crevettes à Calais.
À cette époque, dans l’esprit du plus grand nombre, les côtes françaises semblaient plutôt dédiées à l’économie d’un labeur local qu’aux loisirs naissants.
Vingt ans après l’invention de la photographie, les opérateurs des studios parisiens Léon & Lévy parcourent le littoral, capturant les peuples de la mer, les régates et les premiers bains en maillots une pièce pour les femmes comme pour les hommes.
Les studios Léon & Lévy précurseurs de l’image stéréoscopique sur plaques de verre (8,4 x 17,2 cm), des vues panoramiques (16 x 42 cm) et du très grand format (24 x 30 cm), marquent le début d’une industrie destinée à un grand public qui choisit ces photographies sur catalogue. Les ingénieurs inventent un procédé permettant de colorier les photos sur une deuxième plaque de verre disposée entre l’image positive et un dépoli. Les images stéréoscopiques en relief en deviennent alors encore plus réalistes lorsqu’elles sont visualisées à l’aide d’un stéréoscope.
A la Galerie Roger-Viollet, 6 rue de Seine à Paris (6ème)
« Fête des lanternes à Yeondeunghoe en Corée », jusqu'au 16 septembre 2022, à Paris (75)
Inscrite depuis 2020 sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l’UNESCO, la Fête des lanternes Yeondeunghoe se déroule chaque année dans toute la Corée.
Elle célèbre la naissance du bouddha Shakyamuni le 8ème jour du 4ème mois lunaire et fait l’objet à travers tout le pays de nombreux défilés.
C’est à l’approche de cette date qu’une multitude de lanternes en papier traditionnel coloré, porteuses des souhaits de ceux qui les ont fabriquées, ornent toute la péninsule sud-coréenne. Revêtant traditionnellement la forme de fleurs de lotus, ces milliers de lanternes sont fabriquées à la main chaque année par des élèves, des membres d’associations et les familles.
L’origine de cette fête remonte à l’époque du royaume de Silla (57 av. J.-C. – 935 ap. J.-C.). Il s'agissait au départ d'un rite religieux commémorant la naissance de Bouddha.
Fort d’une symbolique puissante, l’embrasement de toutes ces lanternes représente l’éveil de ce dernier, et l’explosion de lumière en résultant vise à chasser les ténèbres qui oppressent l’humanité, répandant paix et sagesse sur le monde.
Bien que d’origine bouddhique, ces festivités attirent chaque année bon nombre de participants de toutes confessions, et sont l’occasion de grands rassemblements chamarrés et de défilés qui réunissent des milliers de personnes tenant des lanternes à la main.
L'exposition propose de faire découvrir au public français une grande variété de lanternes réalisées à partir du papier traditionnel coréen hanji, et dont la forme sort des habituels motifs du lotus pour embrasser celle d’autres symboles : animaux, végétaux, figures liées au bouddhisme, pagodes...
Le Centre Culturel Coréen invite également les visiteurs à vivre une expérience de réalité virtuelle permettant de prolonger l’expérience.
Au Centre culturel coréen, 20 rue de la Boétie à Paris (8ème)
« Faut-il voyager pour être heureux ? », jusqu'au 29 janvier 2023, à Paris (75)
Paradoxe : c’est en plein confinement que cette idée d’exposition sur le voyage est apparue.
Tandis qu’émergeait chez les plus gâtés de nos sociétés occidentales cette plainte : « Si je ne peux plus bouger, je vais craquer ».
Et que surgissait parallèlement son versant contraire : et si cette immobilité contrainte s’offrait comme une chance pour la préservation de la planète ?
« Faut-il voyager pour être heureux ? » est une question qui ne se trouvera pas résolue par une réponse binaire.
Nos désirs comme nos pratiques révèlent nos contradictions.
D’un côté, la nécessaire transition écologique, les impacts de la « mise en tourisme » de la planète. De nouveaux freins aussi, géopolitiques ou sanitaires, qui contredisent l’image d’un monde ouvert à tous les voyageurs.
De l’autre, ce désir anthropologique irrépressible de franchir la colline.
Le voyage révèle nos paradoxes individuels : le voyageur est objet de l’industrie touristique, mais le voyageur est aussi sujet de ses désirs de découvertes et d’expériences.
Il révèle aussi l’inégalité de nos conditions : le voyage d’agrément des classes moyennes et supérieures des pays développés certes, mais aussi les migrations subies du Sud, de plus en plus motivées demain par des raisons climatiques.
Invitant les visiteurs à se questionner sur le voyage aujourd’hui, l’exposition aborde des sujets d’actualité, comme la mobilité repensée à la suite de la crise sanitaire, les enjeux environnementaux de la préservation des écosystèmes et du changement climatique, ou encore les migrations contraintes et l’exil.
C’est aussi une invitation au plaisir et à l’émotion pour découvrir d’un autre œil l’univers du voyage. Près d’une cinquantaine d’œuvres – installations, peintures, vidéos ou encore photographies – évoquent ces questions majeures.
Du Cap d'Erquy à la baie de Saint-Brieuc (Côtes d'Armor, France) Mars 2022 : un beau soleil brille depuis quelques jours sur la Bretagne et l'appel du large ne tarde pas à ma gagner. Je prends ma voiture et mets le cap sur Erquy et la baie de Saint-Brieuc. Prendre l'air, enfin, après des mois de grisaille et de pluie
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