Du jugement à l'emporte-pièce à l'erreur profonde, il n'y a qu'un pas ! Le philosophe Michel Onfray attire notre attention sur la nécessité de se replonger dans l'Histoire pour ne pas se tromper de combat et ne pas perdre sa dignité.
Considérant que « Qui vous savez » a une fâcheuse tendance à se mettre en position de soumission dans des pays étrangers qui appartinrent autrefois à l'Empire français, l'auteur normand estime qu'adopter une telle attitude en Algérie revient à mettre de l'huile sur le feu et qu'il n'est pas besoin d'en rajouter, lors d'un passage en Côte d'Ivoire, en affirmant que la colonisation « était une erreur profonde, une faute de la République... »
Si l'on veut remettre en cause le passé (glorieux) de la France, affirmer que le colonialisme, ou que Vichy furent des erreurs ne suffira pas. : il faudra aussi remettre tous les compteurs à zéro et affirmer haut et fort que :
- l'assassinat de Louis XVI, de Marie-Antoinette et de leur enfant de dix ans, organisé par les Jacobins, a constitué « une erreur profonde, une faute de la République »
- la Terreur, avec ses 40000 morts fut « une erreur profonde »
- le génocide vendéen (dont on attend toujours la reconnaissance par l'Etat français) et ses 150000 morts a constitué « une erreur profonde »
- la guerre de 1914-18 et ses 18 millions de morts fut « une erreur profonde »
- les croisades avec leur trois millions de morts furent aussi « une erreur profonde »
- les guerres napoléoniennes et leurs trois millions de morts furent une erreur profonde, une faute de la République impériale... »
Nous ne sommes pas au bout de nos peines car l'Histoire (de France) est faite de bruit et de fureur, de sang et de larmes, de cadavres et de charniers. Elle est aussi faite de conquêtes et non de soumission, c'est ainsi...
Et puisque nous en sommes à remettre en cause l'Histoire, il faut le faire complètement.
Si les Français participèrent jadis à la traite négrière, il faut rappeler que celle-ci fut inventée par des musulmans.
Cette traite orientale a duré du VIIème siècle, sous Mahomet, à 1920. Soit treize siècles. Cette traite concerna 17 millions de Noirs et un grand nombre de Blancs.
Arrêtons de croire que seuls les peuples juifs et arméniens furent « génocidés » et remontons à l'époque de l'empereur mongol Gengis Khan qui extermina un cinquième de la population mondiale au XIIème siècle, soit 40 millions de morts.
Et que penser de Tamerlan, chef de guerre musulman (surnommé Timour le Boiteux) qui tua 20 millions de personnes ?
Ses troupes faisaient des pyramides avec les crânes pour terroriser l'ennemi : 70 000 à Ispahan, 90 000 à Bagdad, 100 000 à Delhi. Sur ses ordres, 400 Arméniens furent enterrés vivants en Anatolie.
Que dire de la conquête des Indes par les musulmans, qui aboutit au massacre de l'Hindou Kush (soit 80 millions de morts sur plusieurs siècles) ?
Affirmer que le colonialisme français fut sanglant en Algérie, pourquoi pas mais il faut également parler du camp d'en face : sur 150000 combattants musulmans décédés, 12000 furent tués par les musulmans eux-mêmes lors de luttes internes ; 25000 soldats français perdirent la vie, 70000 harkis disparurent, massacrés par leurs coreligionnaires et 6000 civils européens disparurent du jour au lendemain.
A comparer avec les 100 victimes de l'OAS?
Un demi-siècle plus tard, « Mr Je sais tout » fait les comptes de manière partisane. Au même titre d'ailleurs que les initiateurs du nouvel ordre mondial qui décrètent (sans honte aucune !) que la Terre ne devra à terme abriter que 500 millions d'habitants (au lieu des 8 milliards actuels).
Mais qui sont ces gens pour compter ainsi et décider de notre avenir, de notre moralité et de notre dignité ?
L'époque est à la repentance, cette maladie de l'ignorant qui méconnait souvent l'Histoire et ne pense qu'en termes de moraline (qui triomphe en fausse morale d'une époque sans morale).
Le rôle d'un chef est-il d'exciter la foule tout en opposant les Français ? Manifestement, certains ignorent tout du bon usage de la diplomatie et préfèrent juger à l'emporte-pièce !
 
LE CLIN D'OEIL DE VALERIE
Chat alors ! Il paraît que les chats noirs sont communément associés au diable, aux sorcières ou à la malédiction dans l'imaginaire collectif et cela ne date pas d'aujourd'hui.
Considéré comme un messager du Diable depuis le XIIème siècle, le chat noir est, depuis bien plus longtemps encore, associé de près ou de loin aux démons.
C'est le pape Grégoire IX qui serait à l'origine de leur mauvaise réputation en 1233. Ce dernier a émis la Vox in Rama, une bulle pontificale destinée à Henri III en juin 1233. Il s'agit du premier texte ecclésiastique officiel affirmant l'existence de cérémonies maléfiques secrètes organisées par des hérétiques... avec la complicité du Diable.
Et qui est accusé de participer à ces orgies d'hommes et d'animaux ? Un certain chat noir bien sûr, de grande taille, vénéré par les adeptes du Mal...
Nul besoin d'avoir lu la Vox in Rama de Grégoire IX pour le savoir, la position de l'Église sur les chats transmise au travers de sermons le dimanche et de conversations, suffit à ce que la croyance soit massivement assimilée. L'arrivée des hérésies chrétiennes et autres rites païens semble par ailleurs parfaitement coïncider avec une diabolisation des félins.
Ce petit félin pourtant pas plus démoniaque que ses congénères ? chanceux, eux, de porter une robe d'une toute autre couleur ? est de nos jours encore, souvent accusé de porter malheur par les hommes et les femmes en proie à quelques superstitions d'un autre âge.
Cette mauvaise réputation valut tout de même à des centaines de chats d'être décimés volontairement par le feu à l'époque de la chasse aux sorcières à laquelle se livraient les populations au cours du Moyen-Âge. Et cette phobie générale ne faisant pas toujours de distinction entre les chats noirs et les autres, à cette époque on brûlait n'importe quel chat au cours de ces chasses singulières.
Il suffisait de posséder un chat noir pour être accusé de sorcellerie ! C'est une accusation à laquelle tous les chats ont en revanche toujours échappé dans une grande partie du continent africain. Accusé de tous les maux, le chat noir était donc pris pour un animal maléfique, mais les satanistes l'aimaient puisqu'il était la réincarnation de leur Maître.
A l'inverse, certaines sectes pouvaient en faire offrande au diable après avoir sacrifié l'animal.
Toutefois, bien avant le Moyen-Âge, il en fut tout autre puisque les chats à la robe entièrement noire étaient vénérés dans l'Égypte antique, comme d'autres animaux d'ailleurs, chacun étant spécifiquement associé à certaines heures de la journée.
Mais tout n'est pas si simple puisque nombre d'égyptiens assimilait le chat noir au diable ou bien associait sa couleur à la mort.
De tout temps, le chat noir est soit associé à de mauvaises actions soit adulé comme le montrent les exemples suivants :
- La fille de Lucifer fut envoyée sur Terre avec son chat noir par son père.
- Au Japon, un chat noir tua la promise du Prince de l'Empire pour prendre son apparence.
- Le jour précédant la bataille de Waterloo, un chat noir a croisé Napoléon 1er.
- Animal diabolique à l'affût de l'âme d'un mourant, un chat noir aurait attaqué la colombe innocente qui veillait sur le moine agonisant.
- En Savoie, un chat noir égorgea tous les membres de la famille du pêcheur qui l'avait pourtant sauvé de l'eau en prenant l'animal dans son filet.
- Au XIIIème siècle, à Barcelone, un chat noir qui représentait le diable attaqua Saint Louis d'Anjou ? fils de Charles II - alors retenu prisonnier.
- Marguerite Hessein de la Sablière ou Dame de la Sablière (1640-1693) est une salonnière française qui accueillit Jean de la Fontaine pendant plus de 20 ans.
Dans le même temps, elle délaissa les chiens pour s'entourer de nombreux chats jusqu'à son dernier souffle? tous étaient noirs et elle leur était entièrement dévouée.
- Louis Marie Julien Viaud, plus connu sous le pseudonyme Pierre Loti ? écrivain français (1850-1923) -ne pouvait dormir dit-on dans un lieu où séjournait un chat noir.
Mais au cours d'un voyage, il tomba sous la fascination d'un angora couleur d'ébène qu'il rapporta de Turquie puis lui donna le nom de Pamouk.
Force est de constater que superstitions et croyances ont la vie dure puisqu'aujourd'hui encore, le chat noir est celui dont on souhaite ne pas croiser la route. Être un chat noir est l'expression consacrée pour désigner ? souvent dans le monde du sport ? une personne qui « porte la poisse » bien que certains sportifs préfèrent penser qu'il s'agit d'un porte-bonheur.
En Europe, le chat noir a bien du mal au 21ème siècle à être totalement réhabilité. En France, dans les refuges, il est toujours le dernier à être adopté la préférence allant systématiquement vers un chat d'une autre couleur.
Mais ne dit-on pas pourtant que celui qui détient l'unique poil blanc prélevé sur la robe d'un chat noir est voué à la chance éternelle ? Qu'il soit considéré comme un être sataniste ou au contraire comme un véritable talisman, détesté ou idolâtré, le chat noir fait parler de lui depuis la nuit des temps.
 
 
MURIEL SE MET AU TELEGRAPHE
Compte tenu de la crise énergétique actuelle, l’hiver risque d’être fort rude en cas d’offensive du froid cette année et les réseaux de téléphonie mobile risquent de ne pas tenir le coup.
Ils pourraient alors subir des coupures de réseau durant plusieurs heures (une durée maximale de deux heures est avancée, sous toute réserve) car les sites des opérateurs de téléphonie mobile ne sont pas considérés par le gouvernement contrairement aux hôpitaux ou à certaines industries à risque.
On sait cependant qu’en cas de coupure électrique, une antenne-relais dispose de 30 minutes d’autonomie énergétique grâce à une batterie intégrée. Les coupures électriques devant être tournantes, le réseau téléphonique ne sera pas forcément coupé en totalité mais pourrait être fortement dégradé.
Les autorités compétentes étudient le problème alors que l’Allemagne, elle, a déjà prévu de déployer des groupes électrogènes diesel pour alimenter les antennes de téléphonie en cas de coupure de réseau prolongée (à cela rien d’extraordinaire, car déjà en 1940, l’Allemagne était mieux organisée que les Français !).
Depuis la Seconde guerre mondiale, nos dirigeants n’ont pas changé de paradigme : ils discutent autour d’une table, négocient tel ou tel délestage d’antennes-relais avec les préfectures tout en déplorant le délai (trop court, selon les opérateurs de téléphonie mobile) de 24h entre l’annonce par Enedis de la coupure à venir et le début de celle-ci.
Heureusement, on est rassuré d’apprendre que le réseau fixe ne sera pas affecté. Ouf ! A quand le retour au bon vieux télégraphe ? (Allo Mirabelle ?..Ici Eglantine ! https://youtu.be/zBGX_b1P8zQ)
La grande puanteur de Londres en 1858 : Les chaleurs excessives de l’été sont la goutte d’eau qui fait déborder le vase : entre les mois de juin et août, les odeurs nauséabondes qui émanent de la Tamise sont insupportables.
Elles poussent les autorités britanniques à lancer de grands travaux publics qui mènent à la création d’un système d’égout et de traitement des eaux usées sans précédent. https://youtu.be/xPQtTaFMHNY
 
 
A TABLE!
Dans la magnifique Vallée de la Clarée, située dans le département des Hautes Alpes, Simon, le boulanger, cuit son pain bio et au levain dans un four à bois de plus de 300 ans.
A quelques pas, dans la montagne, Bertrand et Séverine ont repris l'Auberge de la Fruitière un chalet d'altitude (1860 m) où le même repas est servi depuis une quarantaine d'années, et c'est toujours un délice.
Nolwenn et Arthur viennent quant à eux de s'installer à la Ferme des Alberts. Ils y servent une belle cuisine mitonnée sur une cuisinière au feu de bois avec les produits de la ferme. On dit toujours que c'était mieux avant, dans la Vallée de la Clarée, c'est mieux maintenant.
Deux bonnes adresses dans les Hautes-Alpes : la Boulangerie du Cristol, Ville Haute, à Névache et l’Auberge de la Fruitière, Fontcouverte, à Névache.
« Nous avons retourné la citoyenneté contre les Français » par Idriss Aberkane
Idriss Aberkane, essayiste et vidéaste, revient sur la dernière vidéo publiée sur sa chaîne YouTube et dénonce l'article mensonger récemment publié dans un magazine. https://youtu.be/PEn8Z7pdvvc et la dissonance citoyenne (https://youtu.be/_vb4YghTin4)
Avec la fastfashion, ils détruisent notre planète : passionnant documentaire sur les tendances actuelles de la mode vestimentaire dans le monde, qui ne s’accordent guère avec le sauvetage de notre bonne vieille Terre
L’analyste économiste Olivier Delamarche donne des informations utiles aux épargnants dans cette vidéo (https://youtu.be/ir4w6ZH7iqU), la dernière de l’année 2022. (merci à Marie-Alice)
Pédopornographie et pédophilie : la marque Balenciaga et ses campagnes publicitaires controversées :
Lors de sa dernière campagne de publicité, la marque Balenciaga a dépassé les limites de l’acceptable en mettant en scène des enfants sous la symbolique sadomasochiste. Nous verrons comment des éléments dissimulés relèvent carrément de la pédophilie.
La culture dans tous ses états, avec André Bercoff, Céline Alonzo et Dimitri Casali : l’auteur présente son nouveau livre "100 dates de l'histoire de France qui ont fait le monde" aux éditions Plon. (https://youtu.be/yp5YzH9nIes)
De la construction de la basilique Saint-Denis, marquant l’invention de l’art français, à l’incendie de Notre-Dame de Paris, ce livre révèle ce que la France a apporté au monde.
Qui sait encore, aujourd’hui, que l’art gothique est né en France ?
que ce sont des Français qui ont fondé les villes qui allaient devenir Montréal, Detroit, Saint-Louis ou Brazzaville ?
que ce sont les Françaises qui furent les pionnières de l’égalité des sexes ?
que c’est un médecin français qui a découvert l’origine de la peste, ou que l’Inde a failli devenir française ?
De l’âge d’or des cathédrales à l’invention de la laïcité, de l’esprit des Lumières à l’abolition de l’esclavage en passant par l’invention de l’aviation et du cinéma, Dimitri Casali nous fait découvrir ou redécouvrir combien l’histoire de France a inspiré le monde.
#MaSanteNattendPas, alerte et mobilisation face à la carte de la fracture sanitaire :
Combinant les difficultés d’accès géographiques ET financiers aux soins, l’UFC-Que Choisir actualise la carte interactive de la fracture sanitaire dont sont victimes des millions de patients.
Etes-vous concerné(e) ?
Grâce à cet outil, découvrez si les médecins en accès direct (généralistes, ophtalmologues, gynécologues, pédiatres) accessibles depuis chez vous sont plus ou moins nombreux que la moyenne par rapport aux besoins médicaux de la population.
Vérifiez également l’ampleur des dépassements d’honoraires pratiqués par les médecins de votre zone.
CSI (Conseil Scientifique Indépendant) N°83 du jeudi 15 décembre 2022 à Paris (75) ? Invités : Emmanuelle Darle, Docteur en informatique et enseignante chercheuse, et Vincent Pavan, mathématicien et maitre de conférences https://crowdbunker.com/v/RZbEKv3y
 
 
ACTIVONS NOS NEURONES
Avec qui vous savez, le marketing Politique a encore de l’avenir pour longtemps.
Sans doute en mal d’idées, celui-ci a décidé de lancer des consultations populaires pour prendre l’avis d’un échantillonnage de la population française sur tel ou tel thème.
Moi qui croyais innocemment qu’un candidat à ce poste avait nécessairement un projet pour la France... Balivernes !
Comme pour le « Titanic », la capitaine pilote désormais à vue. Et faute de projet de fond, on se contentera de mesurettes type CNR (Alias Conseil National de la Refondation, à l’image du CHR du Général de Gaulle, que les moins de 30 ans n’ont pas connu !)
Petit rappel pour les plus jeunes : le CHR dont on parle fait référence à l’organisme qui dirigea les différents mouvements de la Résistance intérieure française durant la Seconde guerre mondiale, toutes tendances politiques comprises, à partir de la mi-1943.
Le Général de Gaulle, souhaitant prouver aux Alliés son rôle de chef incontestable des Français libres, demande à Jean Moulin de créer un organisme libre et pluraliste capable de construire une unité avec tous les acteurs de la Résistance, histoire d’avancer unis face à un occupant allemand qu’il s’agit alors de bouter hors de nos frontières.
La situation d’aujourd’hui est bien différente : le CNR (Conseil national de la Refondation) aurait tout aussi bien pu s’appeler le CND (Conseil National de la Déconstruction) puisque nos élites n’ont depuis lors de cesse de « déconstruire » ce pays millénaire qu’est notre nation, à coups de dénis de démocratie, d’utilisation du 49-3 et d’encouragement d’une immigration d’occupation (et non du travail).
La comparaison du CNR de qui vous savez avec le CHR initié par celui qui sauva la France du joug hitlérien en 1945 s’arrête là : du temps de l’Occupation, il n’y avait pas de parlement élu comme aujourd’hui. Et le gouvernement de Vichy collaborait avec l’envahisseur.
De nos jours, les Français ont encore l’accès aux élections mais le parlement, composé de députés godillots, n’est pas écouté car la matrone frappe aussitôt à coup de 49-3, après que qui vous savez ait déclaré que « nous sommes en guerre » afin de faire passer les décisions les plus liberticides au nom de l’état d’urgence.
L’idéal aurait voulu que nos élus démissionnent collectivement mais les fastes et émoluments de leurs fonctions sont si attrayants qu’ils n’en n’ont, ni le courage, ni la volonté.
Et maintenant, revirement avec l’instauration de consultations populaires pour s’enquérir de manière parcellaire, de l’avis d’un peuple dont on n’écoute plus les représentants.
A cela je réponds ceci : Pourquoi ne faites-vous pas un référendum ? Vous pensez bien que depuis le traficotage des résultats de la consultation nationale sur Maastricht, nos responsables politiques ont le fameux référendum en travers de la gorge. Mais, la faute à qui ?
Un peuple en souffrance a besoin qu’on l’écoute. Message reçu au plus haut niveau de l’Etat, car il faut reconnaître qu’il est très intelligent le bougre, et il ose tout. C’est là qu’est l’os !
 
 
DU COTE DE CHEZ NOUS
Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix : Un simple cristal de neige permet de comprendre pourquoi les charcutiers de la biogénétique ont perdu la partie (https://odysee.com/@campagnoltvl:2/mauda:c)
« Jouez ! Postez », jusqu'au 14 mai 2023, à Paris (75)
L'exposition JOUEZ, POSTEZ ! vous propose de traverser un siècle d'histoire à hauteur d'enfant, quand La Poste s'invitait à l'école et à la maison par le biais de planches pédagogiques, de jouets, de jeux de société, de livres de jeunesse ou d'émissions de télévision.
Les adultes découvriront près de 250 objets représentatifs de différentes époques exposés dans une scénographie originale et ludique les invitant au questionnement, à l'émotion, voire aux souvenirs.
Les enfants s'étonneront des jeux et jouets qu'affectionnaient leurs (arrière-) (grands-)parents, et ils s'amuseront à chaque étape du livret jeu qui leur sera remis à l'entrée, en n'oubliant pas de créer une carte personnalisée qu'ils posteront en fin d'exposition.
Au Musée de La Poste, Quartier Montparnasse, 34 Boulevard de Vaugirard, à Paris (15ème)
« Combattre l'oubli : Les objets en héritage », jusqu'au 20 février 2023, à Toulouse (31)
Riche d’une collection de plus 8000 objets et documents d’archives, le MDR&D met ses donateurs à l’honneur, ces anciens et nouveaux passeurs de mémoires qui ont confié depuis près de 30 ans leurs histoires intimes, parfois douloureuses, pour lutter contre l’oubli.
L’exposition permanente du musée, rénovée entre 2018 et 2020, présente moins de 1% de ces collections. Cette exposition temporaire est donc l’occasion d’exposer ces objets laissés en héritage, disparates, souvent considérés « sans valeurs » pécuniaires et de rappeler que leurs forces proviennent justement de leur caractère de preuves fragiles, intimes, et du lien qu’ils créent au sein d’une collection, permettant d’écrire l’Histoire.
Au Musée Départemental de la Résistance et de la Déportation, 52 Allée des Demoiselles, à Toulouse (31)
« Une Terre, des solutions » jusqu'au 29 janvier 2023, à Eze (06)
Les sols forment la couche superficielle des terres de notre planète. Visibles dans la nature, souvent invisibles dans nos villes, ils sont indispensables à toute vie. Ils existent et évoluent avec les continents depuis environ 2,5 milliards d’années.
Composée de 17 panneaux illustrés, cette exposition, en partenariat avec le Département des Alpes-Maritimes et l'Institut de Recherche pour le Développement, présente la grande diversité des sols et de leurs fonctions, des êtres qui y vivent à ceux qui en dépendent. Elle aborde également les dangers qui les menacent ainsi que les solutions de protection et de durabilité que tentent d'apporter à travers le monde de nombreux chercheurs.
A la Maison de la Nature, Parc de la Grande corniche, à Eze (06)
« Nikolina Petolas, Overgrown » jusqu'au 10 janvier 2023, à Paris (75)
Photographe et artiste plasticienne originaire de Zagreb (Croatie), Nikolina Petolas expose à nouveau ses oeuvres.
La singularité de celles-ci réside dans l’utilisation de plusieurs techniques associées : montage photographique, peinture à l’huile et à l’acrylique, jeux d’échelles et variations des proportions à l’envi, et ainsi faire apparaître des mondes féériques et mystérieux peuplés d’animaux au milieu d’une végétation luxuriante d’où l’homme s’est absenté en y laissant les vestiges de sa civilisation.
Ses œuvres ont reçu de nombreux prix et ont été exposées dans plusieurs pays : Asie, Amérique et Europe. Son travail fait partie de la plus importante exposition d’art du surréalisme contemporain au monde «International Surrealism Now» et figure également dans le prestigieux «Lexikon phantastischer Künstlerinnen » de Gerhard Habarta.
A la Galerie Boris, 3 rue Saint Philippe du Roule, à Paris (8ème).
« L'étoffe des Flamands, mode et peinture au XVIème siècle » jusqu'au 29 janvier 2023 au Mans (72)
Le parcours aborde, de manière très large, des questions sociales, commerciales, économiques et même philosophiques propres aux Pays-Bas de cette époque. Les vêtements et la mode ne sont pas considérés du seul point de vue de l'histoire des formes mais étudiés en tant qu'expression des problématiques propres à la société néerlandaise du XVIIème siècle.
L'exposition s'interroge sur la relation au vêtement entretenue non seulement par les élites mais aussi par les classes sociales plus modestes, en étudiant leurs modes de production, de commercialisation et de consommation dans la société néerlandaise du XVIIème siècle.
On insiste aussi tout particulièrement sur trois industries "locales" liées à la production textile, particulièrement florissantes pendant la période, et qui connurent à l’international un succès commercial considérable.
Au Musée de Tessé, 2 avenue de Paterborn, au Mans (72)
« Ascendance, carte blanche à Marlène Mocquet », jusqu'au 27 février 2023, à Roanne (42)
Le musee Dechelette presente jusqu’au 28 fevrier 2023, une exposition exceptionnelle autour de ses collections et du travail de l’artiste contemporaine, Marlene Mocquet.
Ce n’est pas la premiere fois que l’artiste prend possession d’un musee. En 2017, deja, elle est invitee par le Musee de la Chasse et de la Nature (Paris) a investir les lieux pour un dialogue entre sculptures, ceramiques, peintures et œuvres in-situ. En resulte, une cinquantaine de pieces issues de l’imaginaire fantastique de Marlene Mocquet, reparties dans les salles de l’eminent musee.
Invitée au Musée de Roanne, Marlene Mocquet a d’emblee ete seduite par l’immensite et la diversite des collections du musee : les reserves comptent, en effet, plus de 40 000 objets repartis entre les collections de Beaux-Arts, Ceramiques, Archeologie, Histoire Naturelle ou encore Egyptologie. Intriguee, l’artiste s’est longtemps questionnee sur la fac?on d’aborder ces collections seculaires et le lien qu’elle pouvait former entre son travail et les objets conserves. De là s’en est suivi un travail de création plastique, à l’origine de cette exposition.
Au Musée des Beaux-Arts et d’archéologie Joseph-Déchelette, 22, rue Anatole France, à Roanne (42)
« Saint Etienne, 1780 à 1856, R/évolutions », jusqu'au 11 juin 2023, à Saint Etienne (42)
Entre 1780 et 1856, la France vit dans un climat d’instabilité qui voit la fin de l’Ancien Régime, la Révolution française, le Premier Empire, la Restauration, la révolution de 1830, la révolution de 1848 et l’institution du Second Empire. Malgré cette instabilité constante, l’exposition montrera que la Nation va s’engager dans une série de mutations entre un « avant » (fin de l’Ancien Régime/Révolution/Empire) et un « après » (Restauration au tout début du Second Empire).
L’exposition mettra en évidence les permanences comme les nouveautés de cette période, moins comme une révolution que comme un ensemble de faits qui installent des r/évolutions.
Traitant chacun trois thématiques, les deux musées raconteront comment la ville de Saint-Étienne est alors le lieu de tous les possibles.
Véritable far West français, le territoire est le creuset de cette mutation qui va faire entrer la France dans la modernité grâce notamment au grand capital parisien venu investir dans la sidérurgie, la mine ou le chemin de fer.
Cette période fait place à un véritable tournant dans la société, sous plusieurs aspects traités dans l’exposition : de l’émergence de la figure de l’ouvrier en passant par la circulation des biens, ou encore le développement des équipements culturels dans une société embourgeoisée. C’est à ce moment que naissent également les grands concepts avec lesquels nous vivons encore et que la crise de l’anthropocène et l’évolution de la société déconstruisent peu à peu : l’idée d’un progrès positif, le capitalisme, les régulations de l’État, la conscience de l’individu et sa construction sociale...
En vous déplaçant sur les deux sites, vous pourrez appréhender la révolution industrielle grâce à des cartographies évolutives immersives ainsi qu’une chronologie/timeline à plusieurs échelles (mondiale, nationale, locale, individuelle), qui repositionneront dans l’histoire du territoire et de la nation les événements évoqués dans les textes et par les objets. Modèles réduits de machines à vapeur, tableaux de fleurs et portraits, médailles, échantillons techniques, maquettes de locomotives, objets du quotidien et énormes blocs de charbon sortiront des réserves pour la première fois pour vous être présentés. Aux collections des musées s’ajouteront également de nombreux prêts de particuliers et d’institutions pour vous plonger dans l’époque.
Au Musée d’art et d’industrie Couriot, Musée de la Mine, 3 Boulevard Maréchal Franchet d’Esperey, à Saint-Etienne (42)
« Kidorama, 200 ans de mode enfantine » jusqu'au 5 mars 2023, à Bruxelles (Belgique)
La mode pour enfants se porte mieux que jamais. Plus inclusive, plus écologique, privilégiant le fait-main, chaque année de nouveaux labels voient le jour. Mais habiller un enfant n’est pas toujours facile ! La mode reste avant tout un phénomène social et les enfants aussi attachent de l’importance à ce qu’ils portent.
À travers un parcours à la fois thématique et chronologique, cette nouvelle exposition pose un regard sur la mode actuelle à la lumière des tenues enfantines portées depuis 1820.
En puisant dans ses collections récemment enrichies de pièces belges mais aussi grâce à plusieurs prêts prestigieux, le musée questionne entre autres la construction des genres, le développement de la mode mixte ou unisexe, le mimétisme avec la mode adulte mais également l’intérêt grandissant de l’industrie du luxe pour les kids.
Plus qu’une exposition de mode, Kidorama raconte la place de l’enfant et le développement de sa personnalité au sein de notre société.
Au Musée Mode et Dentelle, Rue de la Violette 12, à Bruxelles (Belgique)
« Shin Hanga, les estampes modernes du Japon (1900 à 1960) » jusqu'au 15 janvier 2023, à Bruxelles (Belgique)
L’exposition Shin hanga présente pas moins de 220 estampes japonaises provenant de deux collections privées des Pays-Bas, ainsi que des croquis, épreuves et estampes provenant de la collection du petit-fils de l’éditeur Watanabe. Ces œuvres sont complétées par un choix d’estampes Shin hanga de la collection du Musée Art & Histoire.
Le mouvement Shin hanga (littéralement : « nouvelle estampe ») est un mouvement de renouveau de l’estampe traditionnelle (ukiyo-e) au début du 20ème siècle. L’éditeur Watanabe Shozaburo (1885-1962), constatant la diminution de la production xylographique due à la concurrence des nouvelles techniques importées telles que la photographie et la lithographie, sera le plus grand promoteur du mouvement.
Il rassemblera autour de lui des artistes dont il fit réaliser les dessins selon les techniques traditionnelles de l’impression sur bois.
Au Musée Art & Histoire, 10 Parc du Cinquantenaire, à Bruxelles (Belgique)
 
 
TOURISME
Quito, poumon vert de l'Equateur
Au cœur des Andes, la capitale équatorienne est un lieu privilégié pour partir à l’aventure, en pratiquant diverses activités :
Le trekking : Les forêts, immenses, et les montagnes, imposantes, proposent des alternatives allant des promenades courtes et faciles aux sentiers de randonnée pour des excursions de plusieurs jours.
Le Trek du Condor est l’une des randonnées les plus représentatives de l’Équateur où il est possible de traverser les volcans Antisana, Sincholagua et Cotopaxi.
La Yanacocha constitue une expérience unique grâce à la brume de la forêt d’arbrisseaux qui nous transporte et nous fait découvrir des sites aux allures de conte de fées. Enfin, le Pichincha offre un itinéraire de huit heures qui permet d’admirer les volcans Rucu et Guagua Pichincha, ainsi que des sommets tels que Cruz Loma, Cerro Ungüí et Cóndor Huachana.
Le camping : Quito met à la disposition du voyageur des circonscriptions rurales et des réserves où passer la nuit en pleine nature.
La circonscription Píntag est un lieu privilégié où camper et admirer les couchers de soleil, qui offre la possibilité de participer à des excursions à cheval ou à des randonnées en groupes.
La réserve géobotanique El Pululahua est le seul endroit protégé du pays ayant la catégorie de « Réserve géobotanique », un autre lieu de charme où camper et découvrir la variété inouïe de faune et de flore de la région.
L’observation des oiseaux et des ours : Quito est l’une des villes offrant le plus de diversité au monde et l’observation des oiseaux attire des milliers de touristes à Quito chaque année.
La réserve Maquipucuna et le parc national Cayambe-Coca sont l’habitat de l’un des animaux les plus emblématiques de l’Équateur, l’ours à lunettes. La visite de ces deux sites est incontournable pour admirer divers individus de cette espèce et réaliser une activité originale dans la nature.
La pêche sportive : c’est une activité idéale à réaliser en famille, pour expérimenter les performances de chacun et être en contact avec la nature.
La laguna de Secas, la Laguna Micacocha et la Laguna Loreto sont quelques exemples des lieux où il est possible de réaliser ce sport non loin de la ville.
Le vélo de montagne : Quito est une destination prisée pour le vélo de montagne. Ses nombreuses collines permettent l’ascension et la descente sur tout type de surfaces.
L’itinéraire El Chaquiñán offre une piste de 22 kilomètres spécialement pensée pour les cyclistes débutants. Et pour les amateurs de grands défis, les itinéraires Pacto-Santa Rosa et Pacto-Mashpi s’offrent au cycliste en constituant une épreuve pour tout sportif.
Passeport ludique pour découvrir la Loire à vélo
Depuis novembre 2022, l’itinéraire cyclo touristique de 620 km de La Loire à Vélo, à cheval sur les régions du Centre-Val de Loire et des Pays de la Loire, se dote d’un passeport façon carnet de voyage pour accompagner le cyclotouriste au fil de son parcours de Saint-Brevin-les-Pins (Loire-Atlantique) à Cuffy (Cher).
A l’exemple de ce qui se fait au Japon, le concept repose sur l’achat à moins de 10€ d’un petit carnet à tamponner, le passeport, et la mise à disposition de 24 tampons, au design unique, emblématiques des territoires traversés.
Disponibles le long des 620 km de parcours cyclables entre Saint-Brevin-les-Pins et Cuffy en passant par Nantes, Angers, Saumur, Tours, Blois, Orléans, Sancerre et bien d’autres villes, ces tampons sont autant de visuels à collectionner au sein des Offices de tourisme participant à l’opération.
La Loire est à elle seule une invitation à explorer les beautés de la nature et du patrimoine, c’est donc naturellement que ses rives, ses vignes, les Châteaux de la Loire, ses villages et ses ponts typiques, son lien avec l’océan Atlantique ont nourri l’inspiration pour la création des tampons.
Au nombre de 24, marquant à chaque fois l’identité d’un territoire sur l’itinéraire, ils éveilleront l’âme du collectionneur qui sommeille en chacun et lui permettront de garder un souvenir mémorable de son itinérance à vélo.
Petit carnet facile à transporter, à portée de guidon, il sera à personnaliser avec ses anecdotes de voyage et bien sûr la fameuse estampille à chaque étape de son parcours.
Tout est prévu pour y inscrire et se remémorer chaque détail : nom de l’étape, date, kilomètres parcourus, durée, météo…
Il suffit de se rendre dans l’un des Offices de tourisme des 38 lieux étapes pour prendre possession de son passeport, vendu au prix de 9,95 € TTC, et commencer à le remplir dans les 43 lieux de tamponnage avec les tampons illustrés à disposition.
Au-delà de l’aspect ludique, ce passeport s’inscrit dans la volonté interrégionale de promouvoir l’itinérance douce à travers La Loire à Vélo. Prendre le temps de ponctuer son parcours par des haltes dans des sites caractéristiques qui participent à la reconnaissance de cette vélo route.
Les 10 meilleures visites pour les amateurs de vin, selon Civitatis
Voici quelques-unes des meilleures visites œnotouristiques à faire à travers le monde, pour le plus grand bonheur des œnophiles :
Les vignobles et caves de Porto (Portugal)
La région du Douro, parfois surnommée la « vallée enchantée », offre des paysages à couper le souffle, de sublimes vignobles et de grandes bâtisses appelées « quintas », où il est possible de goûter de délicieux vins et plats, tout en apprenant davantage sur la région.
Pour être incollable sur l’histoire du vin de Porto et ses vignobles de la Vallée du Douro, rien de tel que de visiter les vignobles et les caves de Porto, naviguer dans la région vinicole du Douro avec une balade en bateau, découvrir le processus d’élaboration du célèbre vin de Porto et réaliser des dégustations dans les principaux domaines de la zone, tout en goûtant aux plats traditionnels.
La route du vin dans la région de Bratislava (Slovaquie)
Pendant des siècles, le vin était au centre de l’activité économique de la capitale slovaque. La vieille ville et la château étaient à l’époque entourés de vignes. De nombreux vignerons vivaient dans des maisons où ils y fabriquaient leur vin. C’est pourquoi on trouve à Bratislava de nombreuses cours isolées et des caves très anciennes. Bratislava et Trnava étaient deux des régions productrices de vin les plus célèbres au temps de l’Empire Romain.
Vous pourrez vous rendre dans les vignobles de la zone de Modra et visiter une ancienne cave à vin, où vous dégusterez les meilleurs crus de la région. Cette route du vin de Bratislava est incontournable pour les amateurs de vin qui voyagent dans la capitale slovaque.
L’enivrante région du Chianti (Italie)
Parcourez le cœur de la Toscane, non loin de Florence, et aventurez-vous dans deux de ses caves à vin les plus célèbres. Entourées de campagnes vertes et dorées, et situées dans d’anciennes bâtisses, les caves à vin du Chianti sont les plus spectaculaires d’Europe. Elles sont si réputées qu’elles accueillent chaque année des milliers de visiteurs qui souhaitent goûter leurs vins fantastiques.
Reims et son Champagne (France)
Notre cher Hexagone devait forcément apparaître sur la liste des meilleures visites œnotouristiques à faire à travers le monde. Et la ville de Reims n’est évidemment pas en reste. Une manière très originale de découvrir les vignes de la région champenoise est de réaliser une visite à vélo électrique à travers les vignobles. Vous découvrirez les terroirs de champagne et visiterez dans le village voisin d'Hautvillers, l'église où Dom Pérignon est enterré.
Saviez-vous que ce moine du XVIIème siècle est considéré comme l'inventeur du procédé d'élaboration du champagne ? Vous vous arrêterez aussi dans une cave familiale dont les membres vous feront déguster trois sortes de champagne artisanal.
Les vins mousseux catalans (Espagne)
Ce sont les amateurs de mousseux qui seront ravis. Même s’ils se ressemblent comme deux gouttes de vin… Le cava catalan et le champagne français ont bien évidemment leurs particularités.
On trouve dans la région du Penedés en Catalogne, trois de ses caves à vin les plus célèbres, où il est possible de déguster ce mousseux : Bodegas Jean Leon, Bodegas Torres et Cavas Freixenet. Bien que le cava souffre d’un complexe d’infériorité face au champagne, car souvent surnommé le “champagne des pauvres”, il mérite bien d’être dégusté pour en juger par soi-même.
Évora et ses caves à vin (Portugal)
C’est en partant d’Évora, l’une des plus anciennes villes d’Europe, pour vous rendre jusqu’à Reguengos de Monsaraz que vous visiterez l’une des caves à vin les plus célèbres du Portugal : Herdade do Esporão. Si vous voyagez à Lisbonne et que vous appréciez le vin, ne manquez surtout pas cette excursion à Evora et ses caves à vin.
Vous laisserez derrière vous la capitale pour vous rendre dans la région vinicole d’Alentejo. Vous traverserez les plaines de vignes, d’oliviers et de chênes pour arriver jusqu’à Évora, une ville-musée déclarée patrimoine mondial par l’UNESCO, réputée pour ses prestigieuses caves.
Napa Valley et Sonoma Valley en Californie (États-Unis)
La Californie est la région viticole la plus importante des États-Unis. Si vous vous rendez sur le continent américain, vous pourrez goûter les meilleurs vins de Californie en vous aventurant dans les vallées d’où ils proviennent.
Les vignes et les caves des vallées de Napa et de Sonoma sont les plus réputées et sont incontournables si vous êtes amateur de bon vin, et que vous voyagez à San Francisco. La Napa Valley peut s'enorgueillir de ses terres viticoles chères et de ses prestigieuses “wineries” qui font de la région, un haut lieu de l’œnotourisme. On y trouve d’exceptionnels vins élaborés à partir de Cabernet Sauvignon.
Les Caves Yllera et le Fil d’Ariane à Valladolid (Espagne)
Du vin, de l’art, de la mythologie, de l’histoire, de la culture et un circuit labyrinthique… Aventurez-vous dans une des caves à vin les plus surprenantes au monde pour découvrir l’histoire et l’origine de ce vin. Vous parcourrez un labyrinthe de plus d’un kilomètre à 20 mètres de profondeur, tout en vous aventurant dans une nouvelle expérience sensorielle basée sur le Mythe du Minotaure et le Fil d’Ariane, les vins des Caves Yllera et leur histoire. La visite des Caves Yllera, El Hilo de Ariadna, est une expérience unique et incontournable si vous visitez la région espagnole de Valladolid, à un peu plus de 2 heures de Madrid.
Les vins de Bordeaux (France)
Ce n’est un secret pour aucun Français. La région de Bordeaux figure parmi les meilleures visites oenotouristiques pour de nombreuses raisons. Cette ville à la tradition viticole ancestrale abrite la Cité du Vin, qui plonge ses visiteurs dans une aventure sensorielle unique. Vous pourrez y prendre un verre depuis un observatoire avec une vue spectaculaire sur la métropole à 360 degrés, et y découvrir l'évolution de ce breuvage historique grâce à 20 zones thématiques différentes. Voilà un musée surprenant à visiter, si vous êtes de passage à Bordeaux. Si vous en voulez encore, vous pourrez bien évidemment en profiter pour faire une excursion à Saint-émilion autour du vin.
Oenotourisme à La Mancha (Espagne)
La Mancha n’est pas seulement une province espagnole, c’est aussi le nom d’une dénomination d’origine de vins provenant de cette zone. Tolède, Albacete, Cuenca et Ciudad Real sont les principales villes productrices, avec des vignobles irrigués par trois rivières différentes. Ce n’est pas pour rien que cette région est connue sous le nom de « la Cave à vin d’Europe ». La cave à vin Mont Reaga à Cuenca est l’une des plus connues de la région. Située dans un cadre magnifique entre Belmonte et Mota del Cuervo, elle propose une large gamme de délicieux vins rouges et blancs. Les cépages utilisés pour élaborer ces vins sont le Tempranillo, le Cabernet Sauvignon, le Merlot, la Syrah, le Sauvignon Blanc, le Verdejo et le Moscatel.
 
 
ACTUALITES
Nouveautés à la Cité du Vin en 2023 à Bordeaux (33)
L'ensemble de l’offre culturelle et de l’expérience de visite a été revu pour offrir en 2023, aux visiteurs français et internationaux, une découverte de la Cité du Vin toujours plus agréable, originale et inoubliable :
Bordeaux 360°. Cette nouvelle formule de l’atelier immersif est à découvrir à partir des vacances de fin d’année. Elle propose un voyage original et inédit d’une heure à la découverte de Bordeaux et de son vignoble, et de la grande diversité de ses vins.
Au programme : dégustations de 4 vins de Bordeaux en totale immersion dans 4 paysages différents grâce à des images spectaculaires à 360°, dans une ambiance sonore et musicale travaillée ! Une expérience de dégustation unique, animée par un sommelier, où tous les sens seront en éveil.
Une Exposition permanente entièrement repensée. Véritable cœur de l’expérience de la Cité du Vin, l’Exposition permanente fait vivre sur 3 000 m² grâce à des technologies numériques et interactives, l'épopée de la culture du vin qui a inspiré les Hommes et façonné leur vie et leurs territoires depuis des millénaires. Histoire, géographie, arts, gastronomie, sciences, œnologie… le vin s’y découvre sous ses multiples facettes.
L’Exposition permanente version 2023 est désormais composée de 6 Univers, 18 espaces thématiques et 1 œuvre d’art monumentale, et le projet scientifique et culturel servi par cette nouvelle muséographie propose une large place à la nature, au vivant et aux femmes et hommes du monde du vin.
Parcours immersif de dégustations : Via Sensoria est une création artistique, numérique et immersive développée pour la Cité du Vin à découvrir du 7 avril au 5 novembre 2023. Cette nouvelle proposition s’adresse à tous y compris aux non-amateurs de vin et aux familles.
Dans un cadre unique au monde, elle vient enrichir l’offre de dégustations existante de la Cité du Vin. Les participants de Via Sensoria sont en effet invités à vivre un moment de dégustation inédit et accompagné, en déambulant à travers 4 espaces immersifs et oniriques, mêlant des créations visuelles, sonores et poétiques. Pour sa première édition, Via Sensoria fera voyager les visiteurs au rythme des saisons.
À l’entrée des 4 espaces (printemps, été, automne et hiver), une dégustation de vins du monde ou de boissons sans alcool sera orchestrée par un animateur-sommelier accompagnant le public. Une expérience qui conduira chacun à s’interroger sur ses sensations et émotions.
A la Cité du Vin de Bordeaux, Esplanade de Pontac, 134 quai de Bacalan, à Bordeaux (33)
Le bâtiment qui abrite le musée est inscrit au titre des Monuments historiques et labellise Musee de France. Il a ete pense comme un espace de vie, de decouverte, de partage, d’echange et de convivialite, ouvert sur le territoire, et accessible a tous.
Le Musée du Gévaudan s’inscrit dans le sillage d’une aventure muséale débutée en 1820 par la création d’un musée destiné à présenter les pièces issues des fouilles menées sur les sites gallo-romains du département par la Société des lettres, sciences et arts de la Lozère.
Le Musée du Gévaudan se déploie sur 1 200 m² répartis sur trois niveaux. L’exposition permanente occupe le premier étage. Riche, diversifiée et accessible à un public large, elle regroupe plus de 500 pièces sélectionnées parmi les 16 000 que compte le fonds.
Le parcours de visite se décompose en douze salles permettant de découvrir les collections par le prisme de deux thématiques : Nature et Culture. Les quatre premières salles sont dédiées à « la nature & ses usages » et abordent successivement les thèmes de la terre, de l’eau, de la flore et de la faune du territoire dans un entrelacement d’époques, de matériaux bruts et d’objets d’usage architecturaux, quotidiens, funéraires et artisanaux.
Les huit salles suivantes offrent un voyage chronologique autour de « la culture & ses témoignages » de la Préhistoire à l’époque contemporaine, à travers une sélection d’œuvres variées (peintures, sculptures, objets ethnographiques, pièces archéologiques, céramiques…).
Un espace Beaux-Arts met en lumière les artistes lozériens des 19ème et 20ème siècles, tels que Victorin Galière, tandis qu’un cabinet d’arts graphiques est consacré aux dessins et aux estampes.
Une salle présente des œuvres contemporaines inspirées de la figure de la Bête, telle que l’œuvre de l’artiste Lionel Sabatté.
La Bête du Gévaudan, histoire vraie du 18ème siècle, qui fit des centaines de victimes et marqua profondément le territoire, sera notamment au cœur d’un important dispositif participatif au sein d’une salle dédiée.
Ce musée inclusif est accessible gratuitement. Le public y pénètre depuis l’entrée historique de l’ancien Musée Ignon-Fabre, rue de l’Épine. Le rez-de-chaussée s’organise autour d’un patio central protégé par une grande verrière et est conçu comme un lieu de vie propice à la découverte, à la convivialité et à l’échange, où chacun peut circuler librement.
Au Musée du Gévaudan, 3 rue de l’Epine, à Mende (48)
Fêtes de fin d'année à l'Hôtel de la Marine, à Paris (75)
Petits et grands pourront s’émerveiller devant le grand sapin qui trônera dans la cour d’honneur et les décors de fête dans les Appartements des Intendants, mais aussi avec :
- Visite en famille de l’exposition « Ca’D’Oro, chefs-d’oeuvre de la Renaissance à Venise »,
- Rencontre-dédicace de « L’incroyable voyage de l’Obélisque de Louqsor à Paris ».
A l’Hôtel de la Marine, 2 Place de la Concorde, à Paris (8ème).
La Tour Eiffel LEGO, la plus grande maquette de la marque à ce jour
Cette imposante Tour Eiffel atteint une hauteur de 149 cm une fois construite, et illustre à merveille toute la splendeur de l’un des plus grands symboles de Paris et son architecture exceptionnelle, pour un hommage unique sous forme de briques.
Avec ses 100001 briques, ce produit est pensé pour reproduire la tour de fer forgé en toute authenticité, avec sa magnifique charpente, ses trois plates-formes d'observation, son aménagement paysager, ses ascenseurs, sans oublier le bureau du dernier étage, le mât de télédiffusion et le drapeau tricolore au sommet.
Le décor peut également être divisé en quatre parties, ce qui le rend facile à construire et à déplacer, pour des heures de jeu infinies. Un set remarquable pour tous les collectionneurs.
Allier l'utile à l'agréable avec les agendas-calendriers Hugo image
Connaissez-vous les agendas de bureau et les calendriers petit format de Hugo Image ?
Objets du quotidien, ces œuvres d’art thématiques (Arbres et forêts, Coins de paradis, Paysages de Bretagne, Incroyable nature, Patrimoine de France, Sentiers et randonnées...) vous accompagnent jour après jour avec de sublimes photos : posé sur votre bureau, l’agenda-calendrier 2023 notera vos rendez-vous, vous permettra de consulter la fête du jour et les jours fériés tout en admirant la photo de la semaine.
Une page pour vous organiser, une autre pour vous évader.
Livre « La vie en milieu extrême » de Juliette Ravaux & Sébastien Duperron (Editions Quae)
Evoquer les milieux extremes, c’est immanquablement ouvrir le champ de l’extraordinaire, nourris de recits historiques d’explorations au bout du monde et d’images contemporaines de banquise, de deserts ou de fonds abyssaux.
Longtemps depeints comme inaccessibles et hostiles pour l’homme, ils hebergent une immense diversite d’especes qui illustre comment la vie s’adapte et repousse sans cesse ses limites. Au fur et a mesure des decouvertes scientifiques, des milieux extremes insoupconnes se revelent, sur nos cotes, dans nos campagnes, nos villes, nos maisons et jusque dans notre corps. Et si, loin d’etre rares et exceptionnels, les environnements extremes etaient finalement les plus communs et les plus repandus sur notre planete ?
Cet ouvrage propose un voyage aux confins de la vie et met en lumiere ses adaptations remarquables, au fil d’un parcours qui offre une vision globale et surprenante des milieux extremes. Le texte richement illustre est accessible a un public large et curieux.
144 pages, 23,50€
Livre « Baie de Morlaix, Bains de mer et villégiatures de la Belle époque à nos jours, de Patrick Virion et Christian Millet (Skol Vreizh)
Au milieu du XIXème siècle, l’émergence du tourisme de bord de mer et de santé touche les sites remarquables de notre littoral. La France va compter jusqu’à 923 stations balnéaires recouvrant des réalités très diverses. La baie de Morlaix concourra à ce dynamisme avec la singularité que lui confèrent la particularité de son paysage et les personnalités qu’elle saura séduire.
Si la fonction curative, dans un premier temps, attire en ces lieux l’aristocratie et la haute bourgeoisie, celles-ci seront vite accompagnées par les artistes, écrivains, peintres, musiciens à la recherche de pittoresque et d’exotisme. Plusieurs d’entre eux y puiseront leur inspiration pour composer leurs œuvres. Plus tard, grâce à l’instauration des congés payés en 1936, toutes les couches de la population vont désormais participer à ce mouvement. Toutes ces fonctions et leurs équipements spécifiques vont perdurer avec plus ou moins de succès ; la perspective culturelle vient plus récemment s’y ajouter par la reconnaissance d’une dimension patrimoniale des lieux.
Ce livre raconte cette histoire et révèle combien la baie de Morlaix a accueilli d’écrivains, de peintres, de musiciens parmi les nombreux villégiateurs qui l’ont fréquenté.
De Roscoff à Locquirec, chaque commune a été le siège d’une vie intellectuelle souvent insoupçonnée.
En 1869, Alexandre Dumas fréquente Emile Littré à Roscoff ; Igor Stravinsky compose en 1920 son concerto pour quatuor à cordes à Carantec ; Nina Ricci trouve un havre de paix au bord de la rivière de Morlaix ; Maxime Maufra peint les falaises de Saint-Jean-du-Doigt et de Guimaëc ; Serge de Diaghilev conçoit l’aventure des ballets russes à Primel-Trégastel. Ces quelques exemples suffisent à montrer la richesse culturelle que la villégiature a fait naître dans les différents pôles d’attraction de la baie.
Le tourisme d’après-guerre et son évolution sont également décrits, ainsi que les questions que pose l’avenir de ces stations, alors que celles-ci doivent faire face aux difficultés induites par le nécessaire regard écologique et les variations du trait de côte.
En regard de cette histoire, ce livre propose une sélection d’exemples permettant d’apprécier la richesse de l’architecture balnéaire. Car ces demeures, bien qu’elles se soumettent à un programme commun, savent lier l’efficacité de leur distribution à l’expression de la fantaisie et de l’ambition de leurs habitants, pouvant aller du décor néogothique à l’expérimentation de la modernité la plus affirmée.
136 pages, 19€.
 
 
NOËL EN FRANCE ET AILLEURS
Opération « noël au château », jusqu'au 2 janvier 2023, en val de Loire (France)
En Touraine, sept châteaux (Amboise, Azay-le-Rideau, Chenonceau, Chinon, Langeais, Loches et Villandry) participent jusqu’au 2 janvier 2023, à l'opération "Noël au château" :
- Château de Chenonceau (37) : les plus extraordinaires de toutes les décorations proposées sont celles du château de Chenonceau qui, cette année, a choisi d'illustrer "l'art de recevoir" avec ses "Tables de rêves, tables de fête". Des visites inédites consacrées à la vie du château à la Renaissance sont proposées à plusieurs dates pendant les fêtes. Ainsi que des master class d'art floral dédiées à "la table du réveillon", des ateliers sur "l'art de recevoir à la française", des ateliers d'art floraux pour enfants, des dégustations et enfin des visites nocturnes...
- Château d’Azay-le-Rideau (37) : Pour cette nouvelle édition de "Noël au château", la gourmandise et les arts de la table sont les fils conducteurs de la mise en ambiance de ce monument dont l'Etat est propriétaire depuis 1905.
Des visites gourmandes permettront, au fil des salles du château, de découvrir l'évolution du goût et des gourmandises depuis la Renaissance et aussi les secrets de l'introduction du chocolat en France.
Enfin, le 20 décembre 2022, le château d'Azay-le-Rideau organise une soirée festive. Bien sûr, il faut réserver à l'avance et ce soir-là, le château ferme plus tôt que d'habitude pour les visites ordinaires.
- Château de Villandry (37) : Le thème de cette année est "la nature s'invite au château". Les décorations de Noël se sont imposées à Villandry, dans toutes les pièces, de la salle à manger aux chambres en passant par la cuisine où l'on se prépare à fêter Noël.
Les racines chrétiennes de Noël sont mises en valeur. Les décorations du sapin font une large place à une crèche avec Jésus, Marie et Joseph.
Sous les combles, une surprise extraordinaire attend également le visiteur : Henri Berthelot, le "Mr Bricolage" du château - ou son "Mac Gyver" comme l'on voudra - a constitué, avec trois camions de mousses, de branchages, de fougères, de troncs, de feuilles séchées et d'autres éléments végétaux collectés dans le parc du château et dans les bois environnants, une "forêt enchantée".
Le visiteur déambule dans un dédale de chambres de verdure et de recoins peuplés de mousse, de champignons et d'animaux des bois, bercé par les chants d'oiseaux et les lumières tamisées, avant de buter sur une source qui murmure.
- Château d’Amboise (37) : Noël est d'abord celle de l'attente d'un heureux événement, la venue du "Sauveur" pour les chrétiens, les retrouvailles en famille pour tous.
Nommée « Noël, rêves d’enfance - Il est minuit ! », la scénographie XXL mise en place dans les salles du château d'Amboise dit donc l'attente enfantine, les heures qui passent, la veillée qui s'étire, puis, enfin, l'arrivée des cadeaux et la joie des retrouvailles familiales.
Balade nocturne aux chandelles, spectacle de cirque pour les enfants, présentation de contes, visite guidées spéciales familles sont proposées en sus à Amboise.
- Château de Loches (37) : ce château a choisi de revisiter un conte de Noël populaire. Cette année, c'est le "Grinch", créature fictive imaginée par Theodor Seuss Geisel. Ce « Grincheux qui voulait gâcher Noël" a été mis en scène au fil des salles du château grâce à une compagnie spécialisée dans les arts de rue.
- Château de Langeais (37) : Le lieu a choisi de réinterpréter la tradition des lumières de Noël, en installant dans sa salle du banquet et dans ses chambres, des bougies, des lanternes et des guirlandes pour y créer une atmosphère intimiste.
Le visiteur est d'abord subjugué par la richesse de cette fastueuse demeure de la fin du Moyen-Age qui a vu Anne de Bretagne épouser Charles VIII en 1491, une union qui préludait au rattachement de la Bretagne au royaume de France : la collection de coffres et de tapisseries murales du château de Langeais est en effet remarquable.
- Château de Chinon (37) : La forteresse royale de Chinon a, elle aussi, choisi d'illustrer les mythes et légendes de Noël mais à partir d'une légende bretonne peu connue, "le château englouti".
Comme l'aventure se passe sous la mer, l'imposante bâtisse a été transformée en château englouti sous des eaux dorées.
Les 12 meilleurs marchés de Noël d'Europe en 2022, selon Civitatis
Les yeux n’ont pas fini de briller à la lueur des illuminations de Noël avec cette liste des 12 meilleurs marchés de Noël à visiter en Europe :
- Colmar (France) : Colmar est l'une des plus belles villes médiévales d'Alsace et de toute la France. Pendant la période de Noël, la ville est empreinte d’une magie féerique sans pareille. Les maisons à colombages qui caractérisent la ville se transforment en un décor de village enchanteur illuminé par des milliers de lumières, avec des sapins et des marchés de Noël chaleureux... Une excursion incontournable dans l’Hexagone, digne d’un film de Noël de Disney.
- Bâle (Suisse) : Le marché de Noël de Bâle a été élu à plusieurs reprises meilleur marché d'Europe. À l’approche de la fin d’année, les places de Barfüsserplatz et de Münsterplatz se parent de guirlandes et de sapins illuminés et accueillent des stands de nourriture et d'artisanat.
Outre les concerts et les activités pour enfants, le marché de Noël de Bâle propose des spécialités telles que du fromage suisse, du pain d'épice ou encore des saucisses grillées, ainsi que des gourmandises typiques comme le Basler Läckerli, des petits gâteaux proches du pain d’épices.
- Prague (République tchèque) : La capitale de la République tchèque se prépare à accueillir certains des plus beaux marchés de Noël d'Europe.
Les deux plus célèbres sont sans aucun doute celui de la place de la Vieille Ville de Prague, situé entre l'église Saint-Nicolas et l'hôtel de ville, et celui de la place du Château. Des centaines de chalets en bois s’installent dans la ville, créant une atmosphère de Noël qui fait de Prague l'une des destinations de Noël les plus visitées d'Europe.
- Budapest (Hongrie) : de novembre à début janvier, la place et les rues adjacentes à la basilique Saint-Étienne sont décorées de lumières et de décorations de Noël.
Le centre de la place est occupé par un immense sapin de Noël décoré de lumières colorées, qui surplombe des stands de nourriture et d'artisanat hongrois. Le large éventail et la qualité des produits proposés sur ses étals ont fait du marché de Noël de Budapest l'un des meilleurs d'Europe.
- Manchester (Royaume-Uni) : L'Albert Square de Manchester est l'endroit idéal pour y placer non seulement l'un des plus grands et impressionnants marchés de Noël de Manchester, mais aussi l’un des meilleurs d'Europe. Face au bâtiment néo-gothique de l'hôtel de ville de Manchester, cette belle place abrite des centaines de cabanes en bois où vous pourrez acheter de la nourriture, des boissons et des produits artisanaux. Passage obligé à noter : le bar emblématique Old Windmill House.
- Pozna? (Pologne) : Pozna? est une charmante ville située sur les rives de la rivière Warta, à l'ouest de la Pologne.
C’est entre la place du Vieux Marché et la place de la Liberté que s’installe l'un des meilleurs marchés de Noël d'Europe chaque année, où vous trouverez des cabanes en bois proposant de la gastronomie et de l'artisanat local.
Aussi, vous pourrez certainement voir un curieux festival de sculptures sur glace dans le vieux centre-ville. L'une des attractions les plus célèbres du marché de Noël de Pozna? est la grande roue située sur la place de la Liberté, d'où vous pourrez contempler la ville qui brille de mille feux avec ses illuminations de Noël.
- Vienne (Autriche) : La place de l'Hôtel de Ville de Vienne à Noël a quelque-chose de magique : son incroyable marché de Noël transforme le centre-ville en un lieu unique avec des ateliers de Noël, de la nourriture, du punch et du vin chaud.
Flâner au beau milieu de ses étals, profiter de son ambiance festive et des illuminations de la belle capitale autrichienne est une expérience inoubliable. De quoi retomber en enfance et s’émerveiller à nouveau.
- Bruxelles (Belgique)
Les meilleures attractions de Noël se trouvent sur la magnifique Grand Place et à d’autres endroits dans le centre de Bruxelles. Sur le marché de Noël de la capitale belge, les illuminations et la musique ne manquent pas, il y a d’ailleurs un spectacle de son et lumière organisé. On y trouve également une grande roue, des manèges, des expositions et une patinoire de glace. Une virée à Bruxelles pendant la période de Noël est donc vivement recommandée.
- Trèves (Allemagne) : À Noël, la place de la cathédrale de Trèves (Trier, en allemand se remplit d'étals et de stands de tous types : on y trouve aussi bien des saucisses, des crêpes, du vin chaud que des spectacles de marionnettes. En se promenant au milieu des cabanes du marché, on ne peut s'empêcher de lever les yeux pour admirer les bâtiments médiévaux de cette ville allemande. Vous tomberez amoureux de ses édifices aux toits d'ardoise éclairés par les illuminations de Noël!
- Dresde (Allemagne) : L'Allemagne n’est pas en reste sur cette liste des meilleurs marchés de Noël d'Europe. Si vous connaissez déjà Trèves (ou pouvez visiter plusieurs villes allemandes lors de votre séjour), Dresde mérite aussi une visite pendant la période de Noël, où l'on trouve l'un des plus anciens marchés du continent. Il s'agit du Striezelmarkt, qui a lieu sur la place Altmarkt depuis le XVème siècle et qui colore les rues de Dresde avec ses pièces de théâtre, ses expositions et bien d'autres attractions de Noël. En somme, un marché incontournable.
- Tallinn (Estonie) : Le marché de Noël de Tallinn a reçu le titre du plus beau marché d'Europe en 2019. La vieille ville médiévale de la capitale estonienne est le cadre idéal pour accueillir l'un des meilleurs marchés de Noël d'Europe. Se promener dans les rues pavées de la ville, c'est comme se catapulter dans un conte de fées, où il ne sera pas difficile de se retrouver nez-à-nez avec un elfe.
- Madère (Portugal) : "Unique" est l'adjectif qui décrit le mieux le marché de Noël de Madère, où l'on ne trouve pas de flocons ni de toits blancs, mais d’innombrables illuminations. Le marché de Madère est, en fait, le plus flamboyant d'Europe, selon un classement des meilleures destinations européennes. Sur ses étals, vous verrez des fleurs, de la nourriture et des objets artisanaux, ainsi que des spectacles de groupes folkloriques et de chanteurs. Un Noël différent au beau milieu de l'Atlantique.
Noël à New-York (Etats-Unis)
Passer Noël à NYC, c’est s’éblouir face à ses décorations gigantesques, c’est glisser sur ses patinoires en plein air et faire du lèche-vitrines, car elles sont orchestrées en véritables spectacles vivants. Un séjour qui sera également animé par de nombreux shows, des marchés de noël féeriques et des concerts dans les rues parées de leurs plus beaux atours :
Le Rockefeller Center illuminé : C’est le point de convergence de toutes les Ugg qui pressent le pas pour admirer le gigantesque sapin du Rockefeller Center. Il fut inauguré pour la première fois en 1933 et, chaque année, la cérémonie d’ouverture est suivie par des milliers de personnes.
Culminant entre de 20 et 27 mètres de hauteur, l’arbre est vêtu de 8 km de lampes qui s’illuminent tous les jours de 5h30 à 23h30. Tout autour de lui, les décorations s’en donnent à cœur joie, c’est un festival de lumières qui crépitent devant les regards éblouis, jusqu’au début du mois de janvier.
Les marchés de Noël : Des milliers d’exposants venus de toutes parts se réunissent en divers endroits, réjouissant les étals de leurs produits artisanaux.
Le plus beau des marchés de Noël est certainement celui de Bryant Park avec ses petits chalets en verre illuminés. Le marché de Columbus Circle est le plus imposant alors que celui d’Union Square serait le plus gourmand.
Pour les frileux, le marché de Grand Central Terminal est idéal : capitonné au chaud dans la gare, il s’anime toutes les 30 min au gré d’un fabuleux spectacle de lumière.
Les patinoires : C’est la grande attraction et tout le folklore new-yorkais de l’hiver ! Dès les grands froids, on chausse ses patins pour fendre la glace aux patinoires du Rockefeller Center et de Central Park, on dit d’ailleurs que cette dernière est la plus belle du monde !
Moins connue mais plus grande et gratuite, la patinoire de Bryant Park offre la possibilité de patiner de nuit dans un décor végétal surprenant. Sachez que la plupart des patinoires proposent des cours d’initiation pour les enfants et les novices, parfois même des ateliers de figures artistiques et des cours de hockey.
Les vitrines de Noël : Les vitrines de Noël font partie du show des festivités et chaque enseigne rivalise de créativité pour aimanter votre attention.
D’ailleurs, les New-yorkais aiment tout autant que les touristes flâner dans les rues et se laisser transporter par cette ambiance féerique.
Fifth Avenue concentre les grands magasins donc les plus belles vitrines parmi lesquelles celles de Bergdorf Goodman, Lord & Taylor et Tiffany se distinguent indaignablement. Les vitrines de Macy’s, le grand magasin du monde, sont évidemment éblouissantes et celles de Bloomingdales, dans l’Upper East Side, chaque année plus surprenantes.
Les décorations : C’est à grand renfort de décorations, d’illuminations et d’animations que s’égaye NYC à Noël !
Pour plonger dans la féerie de ses décors, rendez-vous à Midtown, sur la 6ème Avenue, où s’exposent les fameuses boules rouges ainsi que de nombreuses installations géantes et colorées.
Park Avenue vaut également le détour, puisque bordée d’une immense enfilade de sapins qui s’illuminent à la nuit tombée. Des sapins, on en retrouve partout dans la ville et, où que vous posiez votre regard, il y aura toujours un gros nœud rouge, une guirlande scintillante et des étoiles dorées pour fêter la nativité.
The Christmas Lights Tour à Dyker Heights : En matière de décorations, les Américains ne font pas dans la demi-mesure, alors quand ils s’attaquent à leurs maisons, mieux vaut mettre ses lunettes de soleil !
Des lumières qui scintillent, des pères Noël à tire-larigot et des figurines parfois improbables, voilà le spectacle qui vous attend à Dyker Heights, dans Brooklyn. Ce quartier a été élu le mieux décoré des États-Unis, c’est pourquoi aujourd’hui s’organisent des visites guidées spéciales (Brooklyn Christmas Lights Tour). Durant 3h30, vous sillonnez en bus le quartier, accompagné d’un guide qui dévoile d’étonnantes anecdotes…
Le spectacle Radio City Christmas : Le Radio City Christmas Spectacular est un spectacle emblématique de la fin de l’année et ce depuis près de 75 ans.
C’est un show surprenant qui réunit des danseuses de cabaret - les fameuses Rockettes -, une crèche vivante et le père Noël. Le thème des festivités est chaque année revisité avec des numéros phares telle la Parade of the Wooden Soldiers dans laquelle les Rockettes se convertissent en petits soldats de bois. Un moment inoubliable au Radio City Music-Hall, l’un des plus jolis théâtres de Broadway.
Prendre de la hauteur : Prendre de la hauteur et voir la ville dans son manteau de neige, illuminé de part et d’autre par les décorations de Noël… mode d’emploi !
En journée, on se rendra au Top of the Rock qui offre une vue panoramique sur Central Park où la verdure se tapit sous son duvet blanc. Et dès la nuit tombée, on préférera l’Observatoire du One World Trade Center et l’Observatoire Deck de l’Empire State Building : la ville est alors à vos pieds, scintillant de mille feux.
La Winter Solstice Celebration : La Winter Solstice Celebration célèbre le solstice d’hiver dans le cadre somptueux de la cathédrale Saint John The Divine.
L’acoustique exceptionnelle du lieu met en exergue les voix des chanteurs et les notes des musiciens tandis que les 25 danseurs disposent d’une scène hors du commun. Ensemble, ils revisitent les rites anciens autour du solstice du 21 décembre au gré d’étonnantes performances. Le spectacle ne se joue que sur trois dates et chaque année il fait carton plein, alors réservez au plus tôt.
Holiday Train Show : Vingt-sixième édition pour le Holiday Train Show qui a lieu au New York Botanical Garden jusqu’au 15 janvier.
Cette exposition met en scène de petits trains anciens dans plus de 150 décors miniatures de New York. Le Brooklyn Bridge, la Statue de la Liberté, l’Empire State Building, Grand Central Terminal... : vous reconnaîtrez les lieux emblématiques de la ville, avec des maquettes fabriquées à partir de matières naturelles.
 
REPORTAGE DE LA SEMAINE
Exposition "Anatomie comparée des Espèces imaginaires (Musée du Château des Ducs de Wurtemberg, Mont... Jusqu'au 12 mars 2023, le musée du château des ducs de Wurtemberg (à Montbéliard) présente l'exposition « Anatomie comparée des Espèces imaginaires ».
Les dragons sont-ils des dinosaures ?
Dans quel groupe de mammifères classer le Big-foot ? Ou comment Totoro fait-il pour voler ?
Apparemment saugrenues, ces questions sont pourtant cruciales pour quiconque veut se mettre à la place d'un biologiste, ou paléontologue afin de mieux comprendre l'évolution des espèces.
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