La politique de la santé suicidaire menée depuis maintenant plusieurs années par les élus français conduit aujourd'hui à l'abandon du peuple de notre pays dans la souffrance et à sa condamnation à mort à plus ou moins brève échéance, avec ou sans Rivotril.
Qui croira un instant qu'il ne s'agit pas là d'un acte prémédité alors que les médecins alertent depuis maintenant plusieurs décennies les politiques sur le nombre insuffisant de jeunes docteurs destinés à prendre demain le relais des ainés, surtout à l'heure où les Français vieillissent ? De longue date, le numerus clausus appliqué ne suffit plus à fournir un nombre suffisant de praticiens eu égard aux besoins croissants des Français.
Qui peut encore croire en une politique de santé qui consiste à supprimer chaque année plusieurs milliers de lits en milieu hospitalier, à vouloir généraliser la téléconsultation et à encourager nos compatriotes à se faire piquouzer avec un pseudo vaccin anti-Covid qui entraine des milliers d'effets secondaires ? On peut d'ores et déjà mesurer les conséquences de la crise en milieu hospitalier avec des délais d'attente aux urgences pouvant atteindre...20 heures ! Etonnez-vous ensuite que 150 patients aient récemment rendu l'âme sur leurs brancards faute d'avoir pu être pris en charge à temps. Et nul doute que demain, on nous laissera crever, puis nous décomposer sans sépulture, à l'image de ce qui se passe ces jours-ci en Chine.
Qui serait encore assez naïf pour croire encore à l'avenir d'une médecine jadis grandiose après sa mise à sac par nos dirigeants politiques au nom de la rentabilité ? Sinon, pourquoi l'Etat délèguerait-il un nombre croissant de tâches à des infirmières ou à des pharmaciens ?
En réalité, nous assistons à un grand bon en arrière de deux siècles : souvenez-vous des officiers de santé mis en place à partir du 10 mars 1803, suite logique des décrets des 28 juin et 8 juillet 1793 (année de sinistre mémoire!) relatifs « à l'organisation des secours à accorder annuellement aux enfants, aux vieillards et aux indigents » et destinés à la création d'un corps d'officiers de santé, c'est à dire des personnes qui exerçaient la profession médicale sans pour autant posséder de titre de docteur en médecine. Le texte de l'époque précise également : « qu'il sera établi près de chaque agence un officier de santé chargé du soin de visiter à domicile et gratuitement tous les individus secourus par la nation, d'après la liste qui lui sera remise annuellement par l'agence ». Cette mesure « moderne » induira une confusion au sein de la population française, avec, pour effet, la désertification médicale des campagnes et le charlatanisme.
La loi du 19 ventôse an XI (10 mars 1803) créera deux niveaux dans les professions de santé : les médecins et chirurgiens diplômés de la Faculté et celui des officiers de santé, appelés « second ordre ». Cet officiat de santé durera tout de même presque un siècle et sera exercé par les personnes les plus diverses dont voici quelques noms : Toussaint Bravard, Jean-Baptiste Lelièvre et Pierre Durand, députés, Marius Cazeneuve, aventurier et magicien-prestidigitateur, Louis Dugès, mari d'une sage-femme et père d'une célèbre sage-femme, ou encore François-Michel Lantrac, médecin, révolutionnaire, refusé comme médecin mais accepté comme officier de santé.
Est-ce vraiment ce genre de médecine que nos « élites » veulent offrir au peuple français en ce 21ème siècle ? J'en ai bien peur...
Lorsque l’homme ne s’entretue pas ou ne pratique pas la dictature à l’encontre de son prochain, il peut faire d’immenses découvertes comme par exemple dans le domaine de l’énergie, sans pour autant tomber (que) dans le panneau (solaire) !
A condition de mettre le paquet sur la recherche, comme le M.I.T (Massachusetts Institute of Technology) l’a fait récemment en matière d’énergie solaire, on peut transformer n’importe quelle surface en source d’énergie : les chercheurs du célèbre centre de recherches sont parvenus à développer des cellules photovoltaïques aussi fines que...du papier. L’étape suivante sera sans doute de rendre ces cellules résistantes aux intempéries.
A la fois flexibles, ultra-fines (moins épaisses qu’un cheveu humain) et attachées à un tissu ultra-léger, très résistantes (un tel panneau solaire fonctionne même après avoir été plié plus de 500 fois) celles-ci sont aussi collables sur tous types de surfaces. Malgré leur poids plume (un centième de celui des panneaux solaires classiques) ces panneaux innovants génèrent 18 fois plus d’énergie par kg (370W/Kg), une performance rendue possible grâce aux nanotechnologies, à savoir l’ensemble des techniques permettant de fabriquer, de manipuler et de caractériser à l’échelle nanométrique (milliardième de mètre).
Pendant ce temps, l’empire du Milieu poursuit ses tests pour mettre au point une centrale solaire dans l’espace d’ici à 2028,afin de convertir la lumière du soleil pour ensuite en transmettre l’énergie vers la Terre. Il fallait y penser.
Le fabricant chinois CAST (China Academy of Space Technology) mobilise une équipe d’une centaine de personnes pour travailler sur ce projet qui consiste à convertir les rayons du soleil en une énergie solaire restituée sous la forme de micro-ondes. Cette énergie des micro-ondes étant ensuite transmise puis réceptionnée par une antenne placée dans l’espace ou à la surface de la Terre, les micro-ondes offrant une énergie propre et renouvelable). Pour en arriver là, encore faudra t-il trouver le moyen de minimiser les pertes énergétiques lors des changements de diverses formes d’énergie, en utilisant par exemple une lentille spéciale pour collecter la lumière. A l’heure où j’écris ces lignes, les chercheurs sont déjà parvenus à réaliser des premiers tests concluants.
Une excellente nouvelle pour CAST qui estime qu’une transmission de haute tension dans l’espace et de transmission d’énergie sans fil pourrait être possible en orbite terrestre dès 2028 . Le satellite utilisé serait capable de produire 10 kilowatts tout en transportant un quart des réseaux de cellules solaires. Certains pensent à une production d’énergie qui pourrait atteindre 100 kilowatt à l’horizon 2030, puis 2 gigawatts en 2050 ! Pour atteindre de tels résultats, les chercheurs doivent en connaître un rayon...
 
 
MURIEL SE MET A L'HYGIENE DES ROIS DE FRANCE
Qui n’a déjà pas entendu dire que le roi Louis XIV n’aurait pris que deux bains dans sa vie : s’il est vrai qu’on ne prenait pas beaucoup de bains a Versailles sous le regne de Louis XIV, c’est moins par manque d’hygiene que par mefiance vis-a-vis de l’eau (au Moyen Age, on pensait qu’elle pouvait vehiculer les epidemies). Les bains restent rares et le plus souvent limites a des prescriptions medicales. On sait en revanche que depuis son enfance, Louis XIV a le gout des bains de rivieres. https://youtu.be/9pqk70eRBRw
Les escaliers de Versailles auraient servi de latrines : Des Louis XIII, il existe pourtant des latrines publiques (signalees par des devis d’entrepreneurs) qui se situaient au rez-de- chaussee de l’extremite est de l’aile sud du chateau. Sous Louis XIV, le château ne comptait que deux toilettes publiques (insuffisantes pour ces milliers de personnes qui accouraient à Versailles, et dont certaines pouvaient sans doute « s’oublier » ici ou là).
A Versailles, on se parfumait beaucoup : Depuis le XVIème siecle, le fard donne aux chairs la blancheur et la distinction visible sur les portraits. Les cheveux sont poudrés d’une poudre parfumée (d’essences séchées et pilées)qui desseche les cheveux et permet d’eviter leur lavage tant redoute tout en entretenant leur souplesse.https://youtu.be/5zSQo5FZSS8
On parle même de puanteurs et de maladies de peau : il est avéré qu’à cette époque, on commence à critiquer les cosmétiques pour leurs effets néfastes à la santé (excès de fard ou de pommade bouchant les pores de la peau et donnant des migraines).
Vivre dans le 20ème arrondissement de Paris en 1976 :
Si près, si loin, place de la réunion | TF1 | 05/12/1976. Ce documentaire de 1976 nous fait découvrir à travers le regard d'une jeune femme qui s'y installe avec sa petite fille un quartier en pleine mutation ou diverses couches sociales cohabitent. Ce quartier se situe dans un rayon de 200m autour de la place de la Réunion qui en est le point focal où se retrouvent les habitants : travailleurs immigres, artisans, retraités...
La caméra suit la jeune femme dans son travail de recensement à travers les petites rues, les impasses, les immeubles en démolition, les petites cours et jardinets préservés et nous dévoilent les problèmes d'une population touchée par les mutations du quartier, surtout des vieillards menacés d'expulsion ou des jeunes qui ont de la peine à trouver du travail qualifié.
Aujourd’hui, je vous propose de découvrir un bistrot-charcuterie de montagne (La Table du petit randonneur à Plampinet (05). https://www.facebook.com/aubergelaclaree). Un vrai bonheur !
Dimanche 15 janvier : Aujourd’hui, j ‘effectue ma promenade sur une grève de la baie du Mont Saint Michel. Jamais je n’ai été aussi heureux de courir sur le sable, même en laisse. Je rêve toujours et encore du jour où je pourrai attraper une mouette en vol...
Lundi 16 janvier : Après la tempête de la nuit dernière, l’accalmie. France, une amie de mon maitre, nous rend visite avec Sissi, son petit chien. Elle appréhende notre rencontre car elle est craintive face aux gros chiens. Arriverai-je à l’apprivoiser ? Je suis sûr qu’avec une ou deux madeleines du Mont Saint Michel, on peut s’entendre...
Mardi 17 janvier : Je suis un malinois et pas un chien à la noix, une de ces saucisses sur pattes qui s’égosillait derrière le grillage d’un jardin lors de notre balade cet après-midi. Je laisse ces bestioles-là à leurs revendications, moi je n’ai rien à dire !
Vendredi 20 janvier : C’est aujourd’hui, à 11h00, ma deuxième leçon de dressage avec Stéphanie qui m’accueille au Parc de la Briantais (Saint-Malo) pour apprendre à mon maitre l’ordre de rappel, l’ordre de s’asseoir... et l’importance du jeu dans ma « chienne de vie ».
Ce matin, au saut du lit, nous sommes partis tous les deux pour notre promenade matinale malgré le froid « mordant » qui sévissait en Bretagne. Il y avait du verglas ici et là et j’ai mis un point d’honneur à ne pas tirer sur ma laisse pour ne pas faire chuter mon nouveau compagnon.
Samedi 21 janvier : Superbe journée d’hiver, froide mais ensoleillée. Mon maitre m’emmène découvrir la plage de Lancieux (22). J’y ferai des rencontres, celle d’un autre malinois et aussi d’autres chiens de plus petite taille, après avoir couru sur le sable et tremper mes pattes dans l’eau de mer. Vive la thalasso !
 
 
VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR...
L’avenir des formats UGC (User Generated Content, ou Contenu généré par l’utilisateur)(source : FranceSoir)
Les influenceurs bénéficient d'une large audience sur les réseaux sociaux et génèrent des gains très importants, et cela, les entreprises l'ont bien compris. Impliquer ses clients est une véritable mine d'or pour améliorer leur visibilité en ligne et promouvoir efficacement leur image, leurs produits, leur marque.
Loi d’exception sur les éoliennes, exportation d’électricité française à 0€ et lessivage du réacteur 1 de Fessenheim: Avec Fabien Bouglé, expert en politique énergétique, auteur de « Nucléaires les vérités cachées et Eoliennes, la face noire de la transition écologique, 2022 » (Editions du Rocher), Pierre Marie Sève, directeur de l’institut pour la Justice, Bernard Germain, porte-parole du Comité d’Organisation contre le projet Horizon à Callac et Paul Antoine Martin, auteur de "Le clan des seigneurs" aux éditions Max Millo.
On y apprend notamment la convocation en Conseil de discipline d’un brillant élève de 13 ans (avec 17,5/20 de moyenne générale) renvoyé de l’établissement pour avoir confié dans des messages sa détestation d’un de ses professeurs. Dans cette affaire, Maitre Di Vizio est l’avocat de l’enfant.
 
 
QUOI DE NEUF EN CRYPTO ?
Bitcoin : Destruction de valeur et de fortunes et 75000 millionnaires en moins !
« Les baleines sont sous l’eau – alors que les prédictions de prix de Bitcoin (BTC) – et les prévisions sur son futur bull run – fleurissent en ce début d’année 2023, il reste néanmoins que l’année 2022 a été particulièrement difficile. Comme tous les crypto-investisseurs, les plus riches – les « baleines » – ont vu la valeur de leurs cryptomonnaies fondre comme neige au soleil. Beaucoup sont même rétrogradés au rang de « baleineaux » ou, plus clairement dit, moins que millionnaires en dollar US.
Sale temps pour les investisseurs enthousiastes dans le Bitcoin et les crypto-actifs. Avec une baisse de 75 % du cours du BTC par rapport à son ATH (plus haut historique) de novembre 2021, cela a forcément des effets dévastateurs.
Il n’y a désormais plus que 24 624 adresses Bitcoin qui détiennent pour plus d’un million de dollars en cryptomonnaie (contre près de 100 000 adresses comportant une somme équivalente en janvier 2022).
 
 
PRENDRAIT-ON LES FRANCAIS POUR DES BENETS* ?
Comment l’école fabrique des crétins, avec Jean-Paul Brighelli :
Covid-19: les cas de myocardites après la troisième dose de vaccin ont été multipliés par 800 (source : FranceSoir)
Depuis le lancement de la vaccination en population générale, de nombreuses études scientifiques confirment un risque de myocardite survenue après la vaccination anti-Covid. L'inflammation du myocarde toucherait majoritairement des hommes jeunes, des adolescents ou des enfants.
SIBO : une "nouvelle" pathologie liée aux multiples symptômes invalidants du Covid-19 et du Covid long ou induits par les vaccins (source : FranceSoir)
Le Small Intestinal Bacterial Overgrowth (SIBO), soit la pullulation bactérienne de l’intestin grêle, est l'une des très nombreuses pathologies du Covid-19. Elle est liée au dysfonctionnement du système rénine-angiotensine qui peut être induit par une infection au virus Sars-CoV-2 ou apparaître suite à la vaccination anti-Covid-19. Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS et docteur en biologie cellulaire et microbiologie à Marseille, revient pour FranceSoir sur les aspects physiopathologiques du SIBO pour en expliquer les mécanismes biologiques.
CSI (Conseil Scientifique Indépendant) N°87 du jeudi 19 janvier 2023 : l’invité est Michel CUCCHI, médecin biologiste et docteur en sociologie qui nous parle de l’influence et des pandémies, à propos de son livre « Influence et pandémies » (Editions Marco Pietteur) https://crowdbunker.com/v/VnVeZS9f
 
 
ACTIVONS NOS NEURONES
Jamais les Français, ménages comme entreprises, n’ont payé autant d’impôts depuis 30 ans. En effet, les prélèvements obligatoires ont atteint 45,2 % en 2022, soit 0,9 % point de plus par rapport à 2021. Il en résulte une augmentation de 86,4 milliards d’euros (soit au total 1194 milliards d’impôts en 2022 contre 1107,7 milliards d’euros en 2021) d’après les derniers chiffres publiés dans le rapport économique, social et financier le 4 octobre 2022.
Il y a un an, le gouvernement tablait pourtant sur une baisse du taux de prélèvements obligatoires pour 2022, à 43,5 % du PIB. Les promesses n’engagent que ceux qui y croient....
Selon le rapport annuel sur les recettes fiscales de l’OCDE, notre pays est le deuxième des 36 pays étudiés où la pression fiscale était la plus élevée en 2021 (avec un ratio impôts/PIB de 45,1%), juste derrière le Danemark (46,9%).
Payer des impôts est une chose mais savoir où passe le « pognon » en est une autre : les augmentations les plus imposante concernent l’impôt sur les sociétés (+ 12,7 milliards de recettes supplémentaires), la TVA (+ 18 milliards) et l’IRG (+ 8 milliards). Et c’est la Sécurité sociale qui encaisse la plus grande partie de ces recettes (45 milliards d’euros sur 86,4), suivie par l’Etat (34 milliards) puis les collectivités locales (8 milliards).
Pourquoi une telle contre-performance ? Charles Gave disait en 2021 « Pourquoi, aujourd’hui, la police ne marche pas, la justice ne marche pas, l’armée ne marche pas, la diplomatie ne marche pas, la santé ne marche pas (...) et on a jamais eu des prélèvements sociaux aussi incroyables”.Pour Agnès Verdier-Molinié, directrice générale de la Fondation IFRAP, «“la situation est d’autant plus désolante que le gouvernement aurait pu limiter, cette année, la surtaxation des Français et de leurs entreprises. Il était possible et juste de revoir le barème de l’impôt sur le revenu en se fondant sur l’inflation réelle (autour de 7 % à l'indice des prix à la consommation harmonisé de novembre à novembre) et non de 1,5 % comme il a été décidé”. Et de regretter que le gouvernement encaisse toujours plus d’argent pour le redistribuer sous la forme de chèques (chèque énergie, chèque de rentrée scolaire...) plutôt que de baisser l’impôt. Pessimiste, on peut l’être car Agnès Verdier-Molinié nous annonce que, dans le budget 2023, figure une revalorisation des bases cadastrales et donc les taxes foncières des ménages et des entreprises, de 7 % tout en plafonnant les loyers à 3,5 %. Conclusion : les factures d’impôts continueront à s’envoler... Quant à la retraite, il suffit d’écouter André Bercoff.
Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix: Nous sommes suivis par tous ceux qui nous ont précédés (https://odysee.com/@campagnoltvl:2/fantomes:6)
 
 
INFOS PRATIQUES
Comment protéger ses données à caractère personnel sur son smartphone
Le samedi 28 janvier prochain aura lieu la 16ème édition de la Journée Européenne de la Protection des Données, ou « Data Privacy Day ». A l’initiative du Conseil de l’Europe, cette journée vise à sensibiliser le public sur le droit à la protection des données. Malheureusement, beaucoup d’entre nous ont encore souvent le reflex de protéger leurs données sur leur ordinateur mais trop rarement celles de leurs appareils mobiles. Or ces appareils comportent aujourd’hui tout autant de données sensibles, si ce n’est plus.
Voici quelques astuces pour vous aider à sécuriser rapidement votre téléphone et protéger toutes vos données :
1. Définir un mot de passe ou code PIN fort. La première étape pour accéder à un mobile est l’insertion du mot de passe. Créez un mot de passe fort (jamais « 0000 » ou « 1234 ») et activez le verrouillage automatique de l’écran.
2. Être intelligent sur le Wi-Fi public. Les réseaux Wi-Fi publics ne sont pas protégés. Si vous devez utiliser un Wi-Fi public, il est recommandé de limiter l’utilisation des réseaux sociaux et d’éviter d’envoyer des emails ou de faire des achats en ligne à moins que le site web soit chiffré.
3. Ne pas cliquer sur des liens suspects dans les emails ou sur des sites web. Si votre banque, par exemple, vous envoie un email pour vous demander de mettre à jour votre mot de passe, et que vous n’êtes pas sûr si l’email provient vraiment de votre banque, ne cliquez sur aucun lien dans l’email. A la place, allez sur votre navigateur mobile et rendez-vous sur le site de la banque.
4. Se méfier des applications. Avant de télécharger une application, prenez le temps de vérifier les évaluations de l’application, les commentaires, et les déclarations de confidentialité ou de permissions. Et surtout tenez-vous en aux magasins d’applications officiels comme l’Apple App Store et Google Play.
5. Mettre à jour votre terminal et vos applications : Les attaques mobiles les plus efficaces passent toujours par l'exploitation d'une vulnérabilité logicielle ou matérielle. Vérifiez-donc très régulièrement que la dernière version du système d’exploitation soit bien installée sur votre terminal et que vos applications soient toutes à jour. Vous pouvez également désinstaller les applications que vous n'utilisez plus afin de limiter les risques, vous gagnerez aussi de l'espace de stockage supplémentaire sur votre terminal.
6. Ne pas jailbreaker (déverrouiller) votre appareil à moins de savoir réellement ce que vous faites. Car les appareils jailbreakés sont par définition moins protégés, ils sont plus vulnérables aux attaques lorsque les mesures de protection de la sécurité ne sont pas correctement activées.
 
 
SAVOIRS
Les Paris de l'Art, les 26 & 27 janvier 2023, à Paris (75)
Du 29 septembre 2022 au 23 juin 2023, un cycle de 28 séances thématiquesdresse un panorama de l’histoire des arts, de l'Antiquité à nos jours, en s’appuyant notamment sur les expositions temporaires et les collections des 14 musées de la Ville de Paris.
Cours : Ary Scheffer et Paris
Auditorium : Jeudi 26 janvier à 15h30 ou vendredi 27 janvier 2023 à 18h30
Disponible en ligne : Mardi 31 janvier 2023
Séance animée par Gaëlle Rio, Conservatrice en chef du patrimoine -
Directrice du musée de la Vie romantique
Derniers jours de l'exposition « Phénomènes, l'inexpliqué face à la science », jusqu'au 28 janvier 2023, à Paris (75)
Le public est invité à découvrir d’incroyables curiosités, comme les enregistrements sonores d’un gendarme s’adressant à un mur qui parle ou une jeune fille possédée s’exprimant avec la voix rauque d’un homme décédé... électrographies lumineuses et Polaroïd dingues, cuillers déformées par la seule force de l’esprit, et accessoires d’un détective privé qui résolvait des affaires criminelles par télépathie.
Au Musée d’histoire de la médecine, 12 rue de l’Ecole de Médecine, à Paris (6ème)
Prolongation de l'exposition «Faut-il voyager pour être heureux ? », jusqu'au 2 avril 2023 à Paris (75)
La Fondation groupe EDF annonce laprolongation jusqu’au 2 avril 2023de « Faut-il voyager pour être heureux ? », une exposition inédite en France sur la thématique du voyage, illustrée par les oeuvres de 32 artistes contemporains, français et internationaux.
Invitant les visiteurs à se questionner sur le voyage aujourd’hui, l’exposition aborde des sujets d’actualité, comme la mobilité repensée à la suite de la crise sanitaire, les enjeux environnementaux de la préservation des écosystèmes et du changement climatique, ou encore les migrations contraintes et l’exil. C’est aussi une invitation au plaisir et à l’émotion pour découvrir d’un autre oeil l’univers du voyage. Près d’une cinquantaine d’oeuvres – installations, peintures, vidéos ou encore photographies – évoquent ces questions majeures.
A la Fondation Groupe EDF 6, rue Récamier à Paris (7ème)
« David Hockney , collection de la Tate », du 28 janvier au 28 mai 2023, à Aix-en-Provence (13)
Le musée Granet, institution phare de la ville d’Aix-en-Provence, présente en partenariat avec la Tate Gallery, du 28 janvier au 28 mai 2023, et sur plus de 700 m2, une exposition – rétrospective du grand artiste britannique David Hockney.
Cet artiste est l’un des plus influents et populaires au monde. Né à Bradford au Royaume-Uni en 1937, il a étudié au sein de la Bradford School of Art et du Royal College of Art de Londres, avant de réaliser certaines des œuvres les plus célèbres de ces 60 dernières années dans le domaine de l’art contemporain.
Avec près de 9 sections retraçant sa carrière du milieu des années 1950 à aujourd’hui, les œuvres présentées dans cette exposition proviennent principalement de la collection de la Tate au Royaume-Uni mais aussi de collections particulières. Celles- ci illustrent le parcours unique de David Hockney grâce aux nombreuses façons dont il a interrogé la nature, ce qui nous entoure et la représentation de ses créations d’étudiant prometteur, jusqu’à ses chefs-d’œuvre reconnus comme ceux d’un des plus grands artistes vivant.
Au Musée Granet, Place Saint Jean de Malte, à Aix-en-Provence (13)
« 1, 2, 3...Couleur ! L'autochrome exposée », jusqu'au 28 mai 2023, à Tours (37)
En juin 1907, la Société Lumière commercialise le premier procédé industriel de photographie couleur : l’Autochrome. Attendu depuis l’invention de la photographie en 1839, ce progrès provoque une révolution.
Le grand photographe américain Edward Steichen (1879-1973) écrivait à son propos qu’il s’agissait du « plus beau procédé que la photographie nous ait jamais donné pour traduire la nature ». L’engouement pour la nouvelle technique fut en effet à la fois intense et relativement bref : il dura un peu plus de deux décennies, le procédé tombant progressivement en désuétude dans les années 1920 et 1930. L’autochrome traversa par la suite une longue période d’oubli. Trop fragile, trop difficile à exposer, non reproductible, elle fut pendant longtemps l’un des grands délaissés de la photographie, telle une branche morte qui semblait n’avoir donné que de trop rares fruits.
De cet abandon, l’autochrome a été tirée depuis deux décennies par quelques historiens et collectionneurs qui, à contre-courant, ont su en apprécier la finesse, la sensualité, l’étrangeté.
L’exposition 1,2,3 Couleur ! L’autochrome exposée rassemble 176 œuvres issues de deux collections, dont une quarantaine de plaques originales. La diversité des autochromes présentées illustre la très large utilisation de ce support au sein de la société, des photographes anonymes ou de renom au service photographique des armées.
Au Château de Tours, 25 avenue André Malraux, à Tours (37)
Véritable personnage local, Colette est une célèbre femme de lettres française née à Saint-Sauveur-en-Puisaye dans l'Yonne, le 28 janvier 1873. Tour à tour écrivain, mime, comédienne, journaliste, elle laisse à la littérature française sa manière exceptionnelle d'évoquer son émerveillement de la nature et ses émotions de jeunesse. Colette fait partie de ces personnalités ayant inévitablement marqué et inspiré l'Yonne, où deux sites incontournables portent son nom : le Musée Colette et la Maison Natale de Colette, là où elle vécut une enfance heureuse et libre. On s’attardera aussi sur le sentier Colette et sur la faune et la flore de Puisaye raconté par elle :
Ouvert en 1995 et agréé musée de France, le musée Colette ouvre les portes de la vie et l'œuvre de l'écrivain Colette née à Saint-Sauveur-en-Puisaye en 1873 et décédée à Paris en 1954.
À deux pas de sa maison, sous le formidable donjon du XIe s. dit Tour sarrazine, le château de Saint-Sauveur-en-Puisaye abrite le Musée Colette. Au fil d'une muséographie inventive et subtile, qui met en scène portraits, meubles et objets usuels, Colette accompagne le visiteur par la voix et par ses regards : la visite du Musée vient compléter celle de la Maison de Colette, où l'on découvre la personnalité résolument libre et contemporaine de l'écrivain et de la femme.
La maison natale de Colette, située à Saint-Sauveur, est ouverte au public et offre un véritable voyage dans le temps. Restituée à l'identique, de la bibliothèque aux bibelots, du jardin potager à sa petite chambre, on entre littéralement dans le quotidien de l'écrivain et dans l'ambiance d'une maison bourgeoise à la fin du XIXème siècle. Grâce à l'engagement de la Société des Amis de Colette et du Centre d'études Colette, la "maison de Claudine" renaît pour transmettre aux visiteurs l'histoire de comment cet univers familial est devenu sa plus belle source d'inspiration.
Le sentier Colette est un chemin dédié à l’écrivain, qui a été ouvert en 1993 par les élèves du collège Colette de Saint-Sauveur-en-Puisaye. Le long de ce sentier, tout rappelle les récits de l'auteur originaire de Saint-Sauveur-en-Puisaye. La romancière a si bien décrit son pays natal que chaque recoin, sent bon sa littérature. On s'y croirait, au cœur de l'un de ses ouvrages, vivant pas à pas chacun de ses écrits.
Lors de ses longues promenades, Colette apprend à connaître le nom de chaque arbre, fleur, oiseau et petit mammifère qui habitent les bois de Saint-Sauveur et Moutiers. A partir de la lecture de divers textes et au cours d'une balade de 5,7km, les enfants découvriront la faune et la flore locale. A partir de 9 ans. Prestation privée, réservation indispensable. Proposée par Salomé Brugnaux, guide et animatrice en Puisaye.
En 2023, Colette aurait eu 150 ans. Pour célébrer son nom et son travail, de nombreux événements auront lieu tout au long de l'année dans l'Yonne mais aussi dans le monde entier. Cet anniversaire sera l'occasion de commémorer cette romancière française de renommée mondiale et de faire perdurer son nom et ses écrits aux futures générations :
- Ce 28 janvier 2023, un buste en bronze, réalisé par Nacera KAINOU, sera inauguré le matin du jour de l'anniversaire, et permettra ainsi d'ouvrir la saison 2023. Ce buste sera installé dans le jardin qui fait face à la Maison natale de Colette à Saint-Sauveur-en-Puisaye, un lieu qui fait sens. Aussi, le peintre Jean-Loup Othenin-Girard, reconnu pour ses portraits d'artistes et de célébrités, remettra au Musée Colette une série d'œuvres consacrées à Colette. L'anniversaire de cette célèbre romancière sera placé sous le patronat de la ministre de la Culture. L'après-midi, un hommage sera rendu par l'institut de France, quai Comti à Paris, avec des conférences de grands spécialistes de Colette, des lectures et un salon du livre.
2023 Année Napoléon III : Conférence le 28 janvier 2023, à Vichy(03)
Samedi 28 janvier 2023 : Stéphane Merucci, antiquaire spécialisé sur le Second Empire, donnera la conférence « Napoléon III : un modèle de modernité, 150 ans après sa mort », à 15 h 30 au Centre Culturel de Vichy, 15 rue Foch.
« Un après-midi avec Colette » le 28 janvier 2023, à Paris (75)
Femme libre, poète et romancière, Colette aura su exprimer, à travers une œuvre riche de plus de cinquante titres, la merveilleuse sensibilité d’un regard ouvert sur la beauté du monde, l’amour de la vie, et toute la subtile alchimie de l’intime. Elle sera la première Française à bénéficier de funérailles nationales.
150 ans après sa naissance, jour pour jour, France Mémoire, la mission des commémorations nationales, confiée à l’Institut de France, lui rend hommage par un après-midi de lectures, de rencontres et de dédicaces, le 28 janvier 2023.
Au cours d’une déambulation libre sous la Coupole et dans les salons de la cour d’honneur du palais de l’Institut, les visiteurs pourront ainsi entendre quelques-unes des plus belles pages de Colette lues par une comédienne, assister à des rencontres avec des académiciens, spécialistes et grands lecteurs de Colette, participer à un « marathon de lecture » ou encore accéder à une large sélection de livres dans une librairie éphémère.
Cet événement est ouvert à tous. Il est organisé avec le soutien de la Société des amis de Colette.
Sous la Coupole de l’Institut de France, 23 quai de Conti, 75006, Paris
12 idées de voyage différentes pour 2023, selon Civitatis
Civitatis a en effet sélectionné 12 endroits et expériences à découvrir autour du globe en 2023. Préparez votre tout nouvel agenda et annotez ces idées de voyage qui sortent des sentiers battus !
Busan, Corée du Sud
La ville portuaire de Busan est célèbre pour ses plages, ses montagnes et ses temples. Elle a également été choisie pour son "énergie créative", afin d’accueillir le premier festival de cinéma d'Asie : le Festival international du film de Busan ! En plus d'assister aux projections de films, les touristes ne doivent pas passer à côté de la bière artisanale de la ville, la deuxième plus importante du pays.
Voie Appienne, Italie
Vous voulez remonter le temps sans quitter le présent des yeux ? Une excellente manière de le faire est de parcourir la Voie Appienne en Italie, autrefois connue comme la "super autoroute" de l'Europe. Ce tronçon recèle d’innombrables faits intéressants et importants de la Rome antique. Un pèlerinage chargé d'histoire incontournable.
Açores, Portugal
Si vous aimez les animaux marins, les neuf îles volcaniques des Açores sont à visiter absolument ! Cette région du Portugal est une véritable oasis pour 28 espèces de baleines et de dauphins, selon National Geographic. Outre ses merveilles naturelles, plusieurs initiatives sont prises par la communauté locale pour préserver cet archipel volcanique. L'endroit est également connu pour ses sources d'eau chaude. Idéal si vous êtes à la recherche de paysages à couper le souffle.
Highlands, Écosse
Bien que les Highlands écossais offrent toujours des paysages épiques, avec des vallées, des lochs et des rivières sinueuses, ses paysages ont beaucoup changé. Autrefois, les vallées et les collines étaient couvertes de forêts et d'animaux sauvages. Cependant, au fil des siècles, l'exploitation forestière et le surpâturage ont modifié le paysage local. Actuellement, la région des Highlands connaît un mouvement de renaturation, qui vise à restaurer le paysage bucolique d'origine avec une faune et une flore indigènes. Si vous visitez cette région écossaise, la réserve naturelle d'Alladale est vivement recommandée.
Karpathos, Grèce (Îles du Dodécanèse)
La deuxième plus grande île du Dodécanèse, appelée Karpathos, est un archipel grec de la mer Égée. Hormis les magnifiques plages de la destination, le lieu a été mis en avant dans cette liste, car plusieurs femmes sont à la tête d'entreprises militant pour un tourisme durable. Voilà une île qui se distingue des 227 îles grecques habitées.
San Francisco, Californie
À San Francisco, en Californie, il est possible de faire une grande balade sur un sentier qui traverse la ville. Le Crosstown Trail propose près de 27 kilomètres de découvertes urbaines, des vues imprenables sur la côte Pacifique aux cafés de quartier. Les visiteurs peuvent également s’assoir autour de feux de camp au Presidio Tunnel Tops pour profiter de la vue sur le Golden Gate Bridge.
Parc national de Big Bend, Texas, États-Unis
Le sublime Parc national de Big Bend, littéralement grande courbure, doit son nom au cours du Río Grande, qui constitue la frontière naturelle entre le Mexique et les États-Unis sur plus de 1 600 km. Connu pour ses vastes ciels étoilés et ses magnifiques canyons, le parc est l'un des plus isolés de l'État et aussi le plus grand : il s'étend sur plus de 324 000 hectares. De quoi s’évader loin de l’agitation des villes.
Manchester, Angleterre
À Manchester, en Angleterre, il est suggéré aux touristes de s'amuser et de profiter de l'atmosphère de cette ville britannique sportive et artistique. Pour cela, rien de tel que de visiter les terrains de football de la célèbre équipe de Manchester United et de se laisser inspirer par la scène artistique de la ville. Une ville à explorer sans hésitation si vous avez déjà fait le tour de Londres.
Choquequirao, Pérou
Situées dans les Andes péruviennes, les ruines incas de Choquequirao ne sont accessibles qu'à pied, du moins pour l'instant. En raison d'un accès limité, le site est encore hors du radar touristique du Pérou, mais il vaut vraiment la peine d'être visité. Si vous souhaitez éviter les hordes de touristes, Choquequirao est idéale. De plus, elle présente des similitudes frappantes avec le Machu Picchu, elle est d’ailleurs connue comme sa “sœur”.
Utah, États-Unis
Les paysages de l'État de l'Utah se prêtent aux aventures en plein air, comme la pratique du paddle sur le fleuve Colorado à Moab. La destination compte cinq parcs nationaux à couper le souffle et huit monuments nationaux, et fait donc partie des rêves de nombreux voyageurs aventureux.
Alpes autrichiennes
Le Land de Carinthie, en Autriche, est une destination de choix pour les amateurs de sports d'hiver. Les Alpes autrichiennes offrent des possibilités d'aventure infinies au sein du réseau Bergsteigerdörfer de 29 villages d'alpinisme. De quoi profiter pleinement des paysages alpins qui n’auront pas fini de vous surprendre.
Tolède, Espagne
Si vous faites une escapade dans la capitale espagnole, pensez à faire une excursion à Tolède depuis Madrid. Déclarée au Patrimoine mondial de l’UNESCO en 1986, cette charmante petite ville renferme les empreintes laissées par les juifs, musulmans et chrétiens qui y ont vécu. Les passionnés d’histoire seront plus que ravis, puisque Tolède a ouvert récemment son propre parc Puy du Fou, avec des spectacles somptueux qui retracent 1 500 ans de l’histoire d’Espagne.
Où partir en 2023 pour des vacances écoresponsables en France ?
La plateforme Hortense.green, qui propose à la réservation depuis septembre 2022 des hébergements écoresponsables, à interrogé le territoire français pour proposer dix destinations touristiques qui s’engagent pour la préservation de l’environnement et de la planète.
A la première place se trouve Angers (49) : première ville verte de France, Angers est la ville qui consacre le plus d’argent aux espaces verts. On retrouve ainsi Terra Botanica, premier parc européen consacré au monde végétal. La ville travaille aussi sur la certification ISO 20121 pour être labellisée « Destination internationale responsable ».
A la 2ème place, la Corse : sur l’île, 35 communes composent le réseau « Ecotourisme Corse orientale » qui valorise le tourisme écoresponsable. Eco-hébergement, production alimentaire responsable ou encore activités en plein air, tout est mis en place pour encourager le slow tourisme. Non loin de Porto-Vacchio, le Pinarello est un hébergement proposé chez Hortense.green(https://www.hortense.green/reservation-hotel/le-pinarello)
La troisième place est tenue par Nantes, capitale verte de l’Europe en 2013. La ville s’était alors engagée à réduire de 50 % les émissions de CO2 par habitant d’ici 2030. Plus de 3,5 % de son budget est consacré aux espaces verts, soit deux fois plus que la moyenne nationale.
Quatrième place : le Parc National des Calanques, créé en 2012. Tous les acteurs du tourisme participent à la protection de cette destination éco-responsable qui propose de nombreuses activités en plein air.
5ème place : Strasbourg, capitale française du vélo avec le plus grand nombre de pistes cyclables de France. La ville est aussi capitale de la biodiversité et se classe en troisième position des Villes Vertes de l’Hexagone derrière Angers et Nantes.
A la 6ème place, on trouve le Parc naturel régional du Lubéron créé en 1977, à cheval sur deux départements. Classé réserve de biosphère par l’UNESCO depuis, on peut y pratiquer le vélo, l’oenotourisme et le géotourisme.
En 7ème position, Lyon, deuxième plus grande ville du pays se place à la 4ème place des villes vertes françaises grâce entre autres à sa politique de développement des espaces verts : Chaque Lyonnais peut ainsi accéder à 32m2 d’espace vert à moins de 300 mètres de son domicile.
La 8ème place est occupée par Caen, dont 25 % de la surface est occupée par les espaces verts.
La 9ème place revient à la Camargue, qui propose de découvrir ses rizières, ses troupeaux de chevaux et de taureaux et l’observation des oiseaux. Ici, c’est le tourisme vert qui domine.
La 10ème place est occupée par Toulouse et sa région : la région a décidé d’instituer le Pacte Vert, une liste d’actions concrètes combinant transition écologique, solidarité et opportunité économique pour son territoire.
 
 
FESTIVALS, FETES, EVENEMENTS & SALONS
BRAFA Art Fair, du 29 janvier au 5 février 2023, à Bruxelles (Belgique)
La BRAFA sera la 1ere foire d’art europeenne majeure a visiter en 2023, la positionnant, comme de tradition, en veritable barometre du marche de l’art. La 68eme edition de la BRAFA se tiendra, en effet, du dimanche 29 janvier au dimanche 5 fevrier a Brussels Expo au Heysel dans les Palais 3 et 4 ou 130 exposants investiront tout l’espace. Ce nouveau lieu accueillant la BRAFA depuis juin dernier a ete tres apprecie par ses visiteurs tant pour ses allees aerees que pour l’atmosphere tres agreable qui s’en degageait.
Pour cette edition 2023, un theme a ete choisi, en correlation avec l’initiative de la Region Bruxelles- Capitale qui fera de 2023 une annee consacree a l’Art nouveau. La BRAFA mettra ce mouvement en avant a travers plusieurs axes.
La Fondation Roi Baudouin ainsi que quelques galeries specialisees dans ce domaine presenteront des pieces exceptionnelles Art nouveau. La creation du tapis de la BRAFA 2023 sera basee sur des dessins originaux de Victor Horta, et les amateurs d’art pourront suivre deux confe?rences « BRAFA Art talks » consacrees a l’Art nouveau.
Au Brussels Expo au Heysel (Palais 3 et 4) (Belgique)
Food'Angers 2023, du 3 au 12 février 2023, à Angers (49)
Le festival Food’Angers offre l’occasion de mettre en lumière les artisans et producteurs engagés dans une cuisine passionnée de ses produits et savoir-faire, une cuisine gourmande, mais aussi durable. Pour sa 7ème édition, le festival vous propose une ébullition culinaire !
110 partenaires ont répondu présent pour vous proposer, sur 55 lieux du territoire, 10 jours intenses d'animations, de découvertes, de rencontres, de dégustations, d’astuces responsables et de moments de partage autour de l’alimentation locale.
Salon d'Art contemporain Art3f, du 27 au 29 janvier 2023, à Paris (75)
A Paris Expo, Porte de Versailles, à Paris (15ème)
A Paris Expo, Porte de Versailles, à Paris (15ème)
Le plus grand salon consacré au mariage en France
A Paris Expo, Porte de Versailles, à Paris (15ème)
« Saint-Vincent Tournante 2023», les 28 & 29 janvier 2023, à Couchey (21)
Il y a près de 40 ans, Couchey, village de la Côte de Nuits, accueillait sa première Saint-Vincent Tournante de Bourgogne. En 2023, le village se prépare à célébrer la 79ème édition, les 28 et 29 janvier.
Durant plusieurs mois, vignerons et habitants de Couchey s’unissent en associant savoir-faire, créativité et bonne humeur pour préparer cette fête, recevoir au mieux les visiteurs et faire de cette tradition un moment festif et convivial...
Le village de Couchey fait partie des 3 communes produisant du Marsannay. Son terroir bénéficie d’un climat océanique à influence semi-continentale et de sols calcaires et marneux. Seule appellation Village pouvant s’exprimer sous les trois couleurs, en rouge, blanc et rosé, sa typicité est celle des Côtes de Nuits. Cette appellation sera au cœur des festivités !
Le kit de dégustation est d’ores et déjà en prévente à 20 € (sur le site). Il sera également possible de l’acheter sur place le Jour J au même prix. Des points de retrait et achat des kits seront à disposition à tous les accès d’entrée à la fête. Le kit est valable pour le samedi et le dimanche. https://svt2023.fr
Atelier : Quelle durabilité pour nos musées : inclure, participer, réparer, les 26 & 27 janvier 2023, à Lille (59)
Après un premier atelier en 2021 traitant du volet « écologique » de la durabilité dans les musées, le Palais des Beaux-Arts de Lille souhaite continuer à jouer le rôle de polarisateur du débat sur cette question en l’abordant cette fois ci sous l’angle du public : comment concrètement agir pour rendre le musée plus accueillant et inclusif ? Sur quelles connaissances fonder nos actions en matière d’art thérapie et de développement du bien être par l’expérience muséale ? Quels sont nos outils pour diversifier réellement les publics et discriminer moins ?
Une quarantaine d’invités plancheront deux jours durant sur ces questions, en privilégiant comme à l’accoutumée les approches pratiques, les exemples concrets et les points de vue transversaux, au-delà du seul cercle des musées français.
Au Palais des Beaux-Arts, 20B rue de Valmy, à Lille (59)
 
 
SPECIALE BD ANGOULEME
Festival international de la Bande Dessinée, du 26 au 29 janvier 2023, à Angoulême (16)
Que de chemin parcouru en l’espace de quelques décennies depuis 50 ans que ce festival existe. L’évènement a muri au fil du temps, par son basculement du monde de l’enfance à l’âge adulte, la déstructuration de ses formats attenants à de nouvelles formes de création, par l’émergence d’un discours critique, par sa progressive reconnaissance par le monde institutionnel, la valorisation de ses œuvres originales, sa féminisation en matière de création et de lectorat et son internationalisation avec entre autres la montée en puissance du manga.
Cette 50ème édition a été imaginée comme une préfiguration du futur du Festival. Ce dernier a pour ambition d’offrir aux fans et amoureux de la bande dessinée la possibilité de bénéficier de sites offrant une densité de propositions attractives se rapportant aux genres qu’ils affectionnent. Et bien sûr, rester une manifestation accessible (à pied), et à visage humain.
Cette année, le festival propose aux visiteurs un quartier manga, dans un espace piéton situé à proximité de la gare LGV d’Angoulême. Une exposition-évènement, « L’Attaque des Titans », les y attend. La jeunesse a aussi son propre quartier (sur près de 500m2) dans les Chais Magelis (en bord de Charente) avec expositions, animations, ateliers et librairie.
La Place du 9ème art, rassemble quant à elle des galeristes, maisons de vente et revues spécialisées, avec pour objectif de mettre en avant les productions originales des auteurs. Un premier espace est consacré à la vente aux enchères, un autre abrite des galeries éphémères et un troisième espace accueille une boutique des inédits (vente de livres rares et d’objets de collection).
Le Festival de la BD est aussi placé sous le signe du numérique : création de diverses réalisations inédites (Twitch, chaine de l’évènement, compte Tik Tok du festival), nouveaux formats audiovisuels et podcasts, création d’une nouvelle version de l’application du Festival...
Plusieurs expositions attendent les visiteurs et sont à retrouver dans cette même lettre (rubrique Expositions Spéciale BD Angoulême) : 50 ans, 50 regards, L’attaque des Titans, de l’ombre à la lumière, Julie Doucet, L’esthétique du noir et blanc dans la bande dessinée, Les 6 voyages de Philippe Druillet, Ryoichi Ikegami, à corps perdus, Junji Ito, Elle résiste, elles résistent. De quoi en coller plein la vue à un public indéfectible et toujours plus nombreux.
Exposition « Elle résiste, elles résistent », du 26 janvier au 12 mars 2023, à Angoulême (16)
Le Prix René Goscinny – Prix du meilleur scénario 2022 est revenu à Jean-David Morvan et Madeleine Riffaud pour Madeleine, Résistante : la rose dégoupillée, premier tome d’une série dessinée par Dominique Bertail. L’exposition qui s’inscrit dans le cadre de ce prix revient sur la genèse de l’album, et présente le parcours et les engagements de Madeleine Riffaud et d’autres figures de résistantes.
Au Festival, Vaisseau Moebius.
Exposition « Les 6 voyages de Philippe Druillet », du 26 au 29 janvier 2023, à Angoulême (16)
35 ans après l’avoir décoré de son Grand Prix, le Festival célèbre Philippe Druillet et son œuvre, dans une exposition, en six voyages, qui sont autant de voies d’accès aux mondes à la fois colossaux et abyssaux de ce géant du 9ème art.
Au Musée d’Angoulême, Square Girard II, rue Corneille, Angoulême (16)
Exposition «Esthétique du noir et blanc dans la bande dessinée », du 26 au 29 janvier 2023, à Angoulême (16)
Placée à côté de celle de la bande dessinée en noir et blanc, l’histoire de la bande dessinée en couleur est raisonnablement “longue”. Que l’on pense à l’apparition aux États-Unis en 1896 du Yellow kid de Richard F. Outcault dans les cahiers dominicaux du New York World, qui a contribué à une propagation assez fulgurante de la quadrichromie, ou encore, bien avant cela, en 1854, au rouge sang dont Gustave Doré s’est servi pour tacher deux pages de son Histoire pittoresque, dramatique et caricaturale de la Sainte Russie
Exposition « Julie Doucet, toujours de grande classe », du 26 au 29 janvier 2023, à Angoulême (16)
Après l’obtention du Grand Prix en 2022, la canadienne Julie Doucet, figure tout aussi singulière qu’essentielle du paysage de la bande dessinée, est à l’honneur. Le Festival a confectionné une rétrospective de son œuvre subversive, voire transgressive, qui a toujours été le signe d’une spontanéité sans fard.
A l’Hôtel Saint-Simon, 15 rue de la Cloche verte, à Angoulême (16)
Exposition « L'Attaque des Titans, de l'ombre à la lumière » du 26 au 29 janvier 2023, à Angoulême (16)
Un recit exalte, des partis pris graphiques audacieux, un caractere inclassable manifeste... Le phenomene L’Attaque des Titans, fruit de l’imagination debordante du jeune mangaka Hajime Isayama, s’expose dans le cadre de la 50ème edition du Festival.
A l’Alpha-Médiathèque, 1 rue Coulomb à Angoulême (16)
Exposition « Ryoichi Ikegami, à corps perdus », du 26 janvier au 12 mars 2023, à Angoulême (16)
Le Festival d’Angoulême consacre une vaste exposition au mangaka internationalement reconnu, Ryoichi Ikegami. Toujours en activité à presque 80 ans, lauréat il y a une vingtaine d’années du prestigieux prix Shogakukan, il se distingue par une volonté quasi exclusive de mettre son dessin au service de scénarios écrits par d’autres.
Au Musée d’Angoulême, Square Girard II, rue Corneille, à Angoulême (16)
Exposition « Junji Ito, dans l'antre du désir », du 26 au 29 janvier 2023, à Angoulême (16)
En consacrant pour la première fois une exposition à Junji Ito, le Festival d’Angoulême propose de pénétrer dans l’œuvre du mangaka que d’aucuns considèrent comme l’un des grands maîtres de l’horreur au Japon, digne héritier de Shigeru Mizuki et du père fondateur du genre, Kazuo Umezu.
A l’Espace Franquin,1 Boulevard Berthelot à Angoulême (16)
Exposition « Marguerite Abouet, La vie comme elle va », du 26 au 29 janvier 2023, à Angoulême (16)
En mettant a l’honneur l’œuvre de la scenariste Marguerite Abouet, creatrice entre autres de l’opiniatre Aya et de l'espiegle Akissi, le Festival d’Angouleme pare cette annee son Quartier Jeunesse des couleurs, des parfums et des sons de la Cote d’Ivoire.
Au Quartier Jeunesse du Festival international de BD d’Angoulême (16)
 
REPORTAGE DE LA SEMAINE
Exposition "Circulez!" (Musée de la Préfecture de Police, Paris, France) Paris, ville lumière, et lieu de multiples activités, d'attraction et de rayonnement a toujours été une capitale en perpétuel mouvement. C'est ce que tente de nous montrer l'actuelle exposition « Circulez ! » présentée jusqu'au 4 mars 2023, au musée de la Préfecture de police de Paris.
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