Y a t-il sur Terre quelque chose de plus beau que le don de la vie ? C'est naturel et gratuit. Puis l'homme (la pire création de Dieu, ou de la Nature, selon les croyances de chacun) fait de ce nouveau-né une entité économique que l'on va éduquer, former et soigner afin qu'il produise à l'âge adulte. Jusqu'alors, l'espèce humaine prenait soin de ses « vieux » devenus improductifs. La morale c'est bien beau mais ça coûte de l'argent et des monstres (je n'appelle pas cela des élites) considérèrent que les soins de santé devenant trop coûteux, il fallait détruire le système actuel pour le remplacer par celui de la e-santé (entendez la santé connectée), qui, au lieu de couter, générerait une manne financière extraordinaire. Et la vie humaine dans tout cela ? Elle passe pour quantité négligeable, nous le voyons ici en France depuis l'élection (et la reconduction) de machin-chose.
Car, quoi d'autre que le profit pourrait-il motiver nos décideurs politiques ? Nous le savons maintenant, le »vaccin » anti-Covid n'en était pas un et a condamné à la souffrance (voire à la mort) d'innocents citoyens qui croyaient un peu trop naïvement à la déontologie médicale. En fait, tout esprit éclairé sait désormais pourquoi qui vous savez a été élu. Il n'en fait d'ailleurs pas mystère, puisque depuis son arrivée, il n'a eu de cesse de supprimer des lits d'hôpitaux, de supprimer des personnels, d'aboutir à la fermeture des services d'urgence, de désorganiser l'approvisionnement en médicaments, d'étendre les déserts médicaux, bref d'instaurer le chaos généralisé afin de rendre demain la mariée (notre système de santé) plus belle aux yeux des investisseurs (qui rachèteront le tout pour un ? symbolique).
Et après ?
Qui vous savez et ses complices ont déjà la solution : la création de cabines médicales connectées et l'instauration de la téléconsultation avec suivi de données à distance au bénéfice sanitaire incertain...de toute façon, ces gens-là rêvent de décimer les populations et de réduire le reste à l'esclavage sous contrôle électronique.
Il y a un an, presque jour pour jour, la création d'une start-up, Zoï, passait inaperçue, et pourtant, nombreux sont les investisseurs français à se bousculer au portillon pour entrer dans son capital. C'est que l'enjeu financier est colossal et que le projet est taillé sur mesure pour attirer les entreprises (en se servant par exemple des fonds publics de la BPI pour assumer les risques sur le marché tout en cédant le rendement obtenu (autour de 30%) aux capitaux privés, qui bénéficieraient également de la prise en charge par la Sécurité sociale de tout ou partie des équipements médicaux délivrés aux patients). C'est que les marchands du temple sont nombreux à proposer montres connectées pour surveiller votre rythme cardiaque, balances,?
Mais revenons sur Zoï, cette jeune pousse qui entend fournir à ses abonnés un « mode d'emploi pour son corps » à 2000? l'abonnement annuel. L'application enverra des conseils personnalisés en fonction de la situation de chaque patient (données biologiques -sang, urine, microbiote...prélevés dans l'un des centres de bien-être disponibles. Au serment d'Hippocrate succèdent les investissements d'hypocrites.
A l'heure d'un nouveau recensement, on note une redistribution des cartes de l'aménagement du territoire en matière d'exode urbain, de dispersion de l'habitat, d'attractivité des littoraux et d'adoption du télétravail, en Bretagne... et ailleurs. La « Ruée vers l'Ouest » a encore pris de l'ampleur à la suite du Covid et de ses confinements.
Les chiffres surprennent : puisqu'avec 1,4 million d'habitants en 1990, le Pas-de-Calais était le cinquième département le plus peuplé de France et qu'il se retrouvait l'année dernière à la onzième place. Résultat inverse pour la Gironde : 11ème département en 1990, il est passé en 2022 à la 6ème place avec presque 1,7 million d'âmes, soit 450 000 habitants de plus qu'en 1990.
Deuxième remarque : ce ne sont pas les plus grandes villes qui croissent le plus. Le Morbihan a par exemple gagné 60000 habitants de 2008 à 2022 alors que Vannes, sa préfecture, gardait peu ou prou la même population, et que Lorient, la plus grande ville, avait tendance à en perdre. En revanche, l'augmentation de la population est à chercher dans des communes situées dans la première couronne de Vannes. Il s'agit là de transferts vers les zones résidentielles où la très grande majorité des déplacements sont motorisés, annulant ainsi tous les efforts des municipalités urbaines pour limiter les nuisances de la voiture individuelle.
Conséquence logique : les prix de l'immobilier augmentent dans lez zones littorales, reléguant les « travailleurs essentiels » loin de leur travail et bouleversant les mobilités. A l'heure où, d'après l'INSEE, la croissance démographique a connu un ralentissement en France entre 2014 et 2020, les régions les plus dynamiques sur le plan démographique sont la Guyane (+2,1 % par an en moyenne) , l'Occitanie (+0,7 %), les Pays de la Loire (+0,6%) et la Bretagne (+0,5%).
 
 
MURIEL SE MET A L'ACTE LE PLUS BEAU DU MONDE
Non, les bébés ne naissent ni dans les choux, ni dans les roses et encore moins en supermarché !
Cette vidéo (https://youtu.be/LaA6hvEbfmA) se suffit à elle-même et, à défaut d’émouvoir les apprentis sorciers de tout poil, gageons que le plus bel acte du monde décrit ici réveille les peuples face à l’idéologie mortifère actuelle.
 
 
UN PEU PLUS D'HUMOUR
Rions (jaune!) aujourd 'hui avec Sébastien Recchia dans « Message aux collabos » (https://youtu.be/F-f_IjLVtlE) .
L’humour est un remède naturel extrêmement bénéfique pour la santé. Il peut notamment faire des miracles contre le mensonge et la stupidité. Il faut donc en abuser.
 
 
SEQUENCE NOSTALGIE
L'histoire des retraites, des régimes pionniers au régime général, a commencé en France il y a plus de 300 ans. Ce sont alors les premiers régimes "spéciaux" qui apparaissent, puis pointent les notions d'assistance, au temps de la révolution française, puis se développent les pensions dans les mines ou dans les compagnies de chemins de fer, au temps des révolutions industrielles. Les notions de cotisations, de répartition, de capitalisation pointent aussi.
Parallèlement à l'Etat, au patronat, ou à l'Eglise, apparaissent de nouveaux acteurs, sociétés de secours mutuels, syndicats, sociétés d'assurance... Des lois se succèdent, 1853, 1905, 1910, 1930... jusqu'aux ordonnances de 1945. Ce fut une longue histoire, sur des périodes somme toute assez brèves. Appréhender cette histoire, c'est aussi mieux comprendre les enjeux qui se posent aujourd'hui.
Partons cette fois à la découverte d’une remarquable boulangerie artisanale, spécialiste de la pissaladière et du pain en forme de main. Boulangerie Veziano, 2 rue de la Pompe à Antibes (06)
Dimanche 22 janvier : Triste journée, celle de ma mise en pension canine par mon maitre. Je me doutais qu’il se passait quelque chose, en le voyant charger ses bagages dans la voiture. Sur le coup, j’ai du mal à comprendre pourquoi il fait cela. Il m’a bien dit en partant qu’il reviendrait…
Lundi 23, mardi 24 et mercredi 25 janvier : le responsable de la pension, que mon maitre appelle chaque jour pour prendre de mes nouvelles assure que je vais bien, que je joue avec mes jouets, que je sors en promenade deux fois par jour et que je mange à ma faim.
Jeudi 26 janvier : Cet après-midi, c’est la fête car mon maitre est rentré de voyage et me retrouve à la pension canine. Il me laisse courir dans les champs environnants et sans laisse une bonne vingtaine de minutes avant que nous rentrions à la maison.
Vendredi 27 janvier : Troisième leçon de dressage où Christine, la dresseuse, n’a pas lésiné sur le tranches de saucisson pour m’inciter à lâcher le jouet que j’avais dans la gueule. Elle m’a trouvé très intelligent et réactif. On a ensuite tenter la technique des « cannettes » pour me conditionner afin que je ne bondisse plus à chaque fois que je croise un chat.
Après ma leçon, mon maître et moi sommes allés dans la baie du Mont Saint-Michel. Il m’a retiré la laisse et j’ai pu courir libre, comme hier. Bien sûr, lorsque j’entends le signal de rappel (voix ou sifflet), je rapplique illico.
Samedi 28 janvier : La promenade de l’après-midi avait bien commencé dans la baie du Mont Saint-Michel, où, sans laisse, j’ai pu à nouveau donner toute la mesure de ma performance en matière de course et d’endurance.Malheureusement, lors du retour à la voiture, nous rencontrâmes une maman avec ses deux enfants (6 à 8 ans) et je suis parti en vrille une nouvelle fois : tirage sur la laisse que mon maitre m’avait remise, puis aboiements nourris et mon maitre dut finalement me ramener rapidement dans ma caisse de transport pour que je me calme.
 
 
VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR...
Pierre de Gaulle : « Ils ont détruit la France de mon grand-père » avec Pierre de Gaulle, petit-fils du général de Gaulle et André Bercoff. https://youtu.be/oaubV-mYNhQ. Un témoignage digne d’un homme honnête. A méditer à l’heure de la chienlit (merci à Thierry pour cette contribution).
Dénouement heureux pour le journal en ligne France Soir :
André Bercoff reçoit Driss Ghali, auteur de « Français ouvrez les yeux » :
La première révolution française, celle de 1789, a remplacé Dieu par les lumières.
La deuxième, celle de 1968, a remplacé le Devoir par le principe de plaisir et l’individualisme.
La troisième, celle que nous vivons en ce moment, accouche d’un Français nouveau qui est un étranger chez lui. Il est soit musulman ou africain et refuse de couper le lien avec sa civilisation d’origine, soit un Français de souche déraciné et acculturé.
Quelle que soit sa couleur de peau, ce Français nouveau accepte tout pourvu que son confort ne soit pas remis en cause. Il renonce à l’héritage moral légué par les générations précédentes, à la grandeur et à la puissance, désormais mal vues. Il vote, scrutins après scrutins, pour des dirigeants qui souhaitent ouvertement faire de la France un territoire administré par Bruxelles. Ce Français nouveau refuse la France ou abdique.
Coup de force de la justice américaine contre les cryptos :
Alors qu’en Europe, Eurojust et Europol viennent de faire tomber un réseau criminel organiséexploitant l’enthousiasme pour les cryptomonnaies, le Département de la Justice américain semble fier de ce qui vient d’être accompli : saisir la plateforme d’échange « Bitzlato »aux volumes insignifiants, impliquée dans des activités illégales sur le marché noir Hydra Market.
Energie : retour au Moyen-Âge avec des petits commerçants qui travaillent la nuit car ça coute moins cher. Entretien avec Christophe Chirat, restaurateur et membre du collectif Les Pendus.
Loi d’exception en faveur des éoliennes en France, contre tout entendement : https://crowdbunker.com/v/AJbjMME1P6 (merci à Christian pour cette information)
Liens potentiels entre les doses injectées “anti-Covid-19" et la surmortalité en Europe (source:FranceSoir)
Peut-on évoquer un lien entre l’injection des doses dites “anti-Covid-19" et la surmortalité en Europe ? Comment estimer cette dernière ? À l’aide d’une application dédiée, une analyse peut être menée pour les années 2021 et 2022, pour toutes les tranches d’âge. Des corrélations apparaissent.
CSI (Conseil scientifique indépendante) N°88 du jeudi 26 janvier 2023 : Sont invités Hélène Banoun, pharmacienne et ancienne Chargée de recherches INSERM, et Patrick Provost, professeur au Département de microbiologie-infectiologie et d’immunologie de l’Université Laval, spécialiste de l’ARN. Sujet : à quel moment surviennent les complications de santé liées à la vaccination anti-Covid ? (https://crowdbunker.com/v/n6dddKwz)
 
 
ACTIVONS NOS NEURONES
Je joue les Cassandre, et alors ?
Quoiqu’on en dise, la hausse des prix à la consommation en France s’est élevée en 2022 à 5,2 % en moyenne (contre 1,6 % en 2021). La hausse de l’inflation est ainsi due à une hausse des prix de l’énergie (+23,1 %, contre 10,5 % l’année précédente), de l’alimentation (+6,8%) et des produits manufacturés et services (+3%) (source : Institut national de la Statistique).
J’ai bien peur que notre pays soit en train de connaître un effondrement systémique : le système scolaire n’est plus que l’ombre de lui-même (démission des enseignants, des parents, et lobotomisation des jeunes), le système sécuritaire français ne garantit plus la sécurité de nos compatriotes qui sont chaque jour pris à parti à coups de couteaux par des ennemis de la France (qu’on a délibérément laissé entrer sur notre territoire).
Ne parlons pas du système judiciaire, du système énergétique, du système des transports, du système de santé...
Peut-on encore croire un instant que nous pourrons sauver la France sans nous dégager du carcan européen qui détricote tout ce que nous construisons, que nous retrouverons notre souveraineté un jour en subissant l’emprise de pays étrangers (comme les Etats-Unis) ?
Croyez-vous que la France se redressera sans relever nos manches ? Ou en faisant fuir les riches et les milliardaires ?
Il faudra que le peuple ouvre enfin les yeux en se souvenant que l’argent ne pousse pas sur les arbres et est le fruit d’un dur labeur. Et rien ne pourra se résoudre sans efforts individuels et collectifs.
 
 
DU COTE DE CHEZ NOUS
Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France dont certains ont peur qu’elle finisse par élever la voix:N-ième tentative de l’ordre terrestre pour s’affranchir de l’ordre céleste (https://odysee.com/@campagnoltvl:2/arna:6)
 
 
EXPOSITIONS
« Histoire(s) de sorcellerie » jusqu'au 19 février 2023, à Evreux (27)
Plongez au cœur de l’histoire de la sorcellerie, de ses représentations et de ses interprétations, depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours, dans un lien soutenu avec l’histoire du territoire normand.
Transversale et chronologique, l’exposition vous invite à découvrir au sein du parcours permanent des collections du musée une diversité d’objets suivant un fil à la fois chronologique et thématique : peintures, sculptures, arts graphiques, objets archéologiques, ethnographiques, livres, revues, vidéogrammes et installations, provenant de collections publiques et privées du territoire national.
Par cette traversée de notre histoire collective, l’exposition interroge la manière dont se sont construites et déconstruites la figure du sorcier et de la sorcière et l’accusation de sorcellerie. Incarnant une forme de pouvoir et de contrôle sur l’invisible, l’indicible et l’incompréhensible, l’archétype de la sorcière ressurgit à des moments-clés de notre histoire, constituant une forme de réponse à l’inexplicable. Pourquoi est-elle toujours si présente aujourd’hui dans nos imaginaires et nos récits ? L’exposition propose quelques pistes pour y répondre et continuer de s’interroger sur nos croyances.
Au Musée d’art, Histoire et Archéologie, 2 Esplanade Anne Baudot, à Evreux (27)
« Océan & Climat, des échanges pour la vie », du 1er février au 26 mars 2023 à Eze (06)
Le climat conditionne la vie des hommes, leurs ressources, leur développement et leur santé. L’océan joue un rôle essentiel dans les mécanismes complexes qui régissent le climat. En stockant la chaleur reçue par le soleil pour la transporter des Tropiques vers les régions tempérées, l’océan interagit avec l’atmosphère, contribuant à rendre notre planète habitable. Dans le contexte du réchauffement climatique, l’étude des relations entre l’océan et le climat est devenue plus que jamais un enjeu scientifique majeur.
Cette exposition, réalisée par l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD), vise à faire connaître, en particulier aux jeunes, le rôle que joue l’océan dans le climat planétaire et l’actuel changement climatique, un rôle essentiel mais encore méconnu du grand public.
A la Maison de la Nature, Parc de la Grande Corniche, à Eze (06)
«André Brasilier. Moment éternel » jusqu'au 9 avril 2023, à Séoul (Corée du Sud)
Le Seoul Arts Center (SAC) en Corée présente jusqu’au 9 avril prochain « Moment éternel », une exposition personnelle du peintre français André Brasilier. Cet événement constitue une occasion rare de parcourir les soixante-dix ans de carrière de Brasilier à travers quelque 120 œuvres sélectionnées par l’artiste lui-même.
André Brasilier est connu pour ses compositions délicates et sa manière de peindre, simple et épurée. La récurrence des thématiques et l’utilisation de couleurs vives sur des fonds minimalistes définissent son travail, dont le style est reconnaissable entre tous. Il a fait sienne cette phrase de Gauguin, qui est pour lui un père spirituel : « Il ne faut pas peindre vrai, il faut peindre vraisemblable ».
Les compositions d’André Brasilier ne peuvent laisser le public indifférent par la grâce et l’harmonie qui s’en dégagent. Le peintre capte l’essentiel d’un mouvement, la douceur des courbes afin de retranscrire avec brio sur la toile la beauté et la fragilité de la nature. Avec toute l’humilité qui le caractérise, il nous invite et nous incite à prendre le temps, à nous laisser aller à la contemplation sans a priori et surtout à prendre en considération un art, son art, qu’il qualifie de « peinture transfigurative », laquelle n’obéit à aucune école, qui ne se range dans aucune catégorie, sauf celle peut-être de l’émotion et de la poésie – dès sa prime jeunesse, n’admirait-il pas le poète allemand Friedrich Hölderlin ?
Au Hangaram Design Museum, Seoul Arts Center, 2406 Nambusunhwan-ro, Seocho-gu, à Séoul (Corée du Sud)
« Inde, Reflets de mondes sacrés », jusqu'au 23 avril 2023, à Nantes (44)
Créée en collaboration avec le Museo delle Civiltà de Rome, l’exposition présente environ 200 objets originaux du célèbre musée italien, couvrant plus de 1 300 ans d’art indien.
De l’art classique des temples aux traditions folkloriques et tribales des villages, les fils de la trame religieuse de l’Inde s’entremêlent en une riche tapisserie visuelle illustrant un fait essentiel dans l’évolution de la civilisation et de la culture indiennes.
L’exposition, abordant les trois religions natives de l’immense sous-continent, est illustrée par la danse gracieuse et puissante des sculptures en pierre de dieux et de déesses indiens, par les expressions artistiques sereines de Bouddha et des Jina ou des Tirthankaras, par des miniatures et des peintures colorées délicatement rendues, par les bijoux et les arts populaires décrivant les mythes et légendes de l’hindouisme, du bouddhisme et du jaïnisme.
L’hindouisme, le jaïnisme et le bouddhisme sont apparus successivement en Inde entre le XVème et le IVème siècle avant notre ère.
Ces trois religions partagent des traits communs, dont le principal réside dans la quête spirituelle qui permet aux êtres humains de sortir du cycle des réincarnations, le samsara, pour atteindre un état de délivrance et de libération des souffrances liées à l’existence.
La section consacrée à l’hindouisme est l’occasion de découvrir la complexité d’un panthéon organisé autour des figures dominantes de Shiva (le Bienveillant), imprévisible et ambivalent, de la divinité féminine Devi, l’énergie créatrice et la puissance du Dieu, souvent identifiable sous la forme de Durga, (l’Inaccessible), et de Vishnu, préservateur de l’ordre cosmique et sauveur du genre humain, dont les avatars sont innombrables. L’évocation d’un temple hindou permet de mesurer l’importance des rites sacrés qui s’y déroulent.
Le jaïnisme, religion de l’ascèse, de la non-violence et de la tolérance, initié par Vardhamana Mahavira, pratiqué dans des grottes, des temples rupestres et des stupas parfois somptueux, fait également l’objet d’une section qui est l’occasion d’évoquer les formes les plus exigeantes de la spiritualité du renoncement.
Le bouddhisme, enfin, philosophie dont la figure emblématique de Siddhartha Gautama, devenu Bouddha (l’Illuminé), demeure incontournable, est également présenté, ainsi que le rôle des bodhisattvas, qui, par compassion, choisissent de ne pas atteindre le nirvana afin de guider les êtres sur le chemin de l’illumination. Dessins, peintures, bronzes, sculptures, grès, parures, masques, autels, manuscrits enluminés et textiles peints témoignent d’une créativité sans équivalent.
Au Château des ducs de Bretagne, Musée d’Histoire de Nantes, 4, Place Marc Elder, à Nantes (44)
« Cyrille Moulins, 100 commentaires », du 30 janvier au 10 mars 2023, à Trouville sur Mer (14)
Avec humour et poésie, l'illustrateur, inspiré par Sempé, porte sur le monde un regard sur le monde particulier et en souligne l'absurdité au travers de 100 illustrations exprimant sa vision de l'actualité.
Du lundi au vendredi, de 9h30 à 12h et de 13h30 à 17h. Entrée libre.
A la Mairie, 164 Bd Fernand Moureaux à Trouville-sur-Mer (14)
« Merveilles du Toit du Monde, la donation François Pannier », jusqu'au 23 mai 2023, à Cannes (06)
François Pannier est galeriste mais aussi explorateur et chercheur. Dans les années 1970, il parcourt l’Inde et le Népal, et s’intéresse tout particulièrement à l’art de l’Himalaya encore méconnu. Masques, accessoires chamaniques, effigies votives, guides de baratte... il acquiert une foule d’objets et partage ses découvertes dans ses Lettres du toit du monde. Aujourd’hui, le musée de Cannes expose 54 œuvres et objets ethnographiques sur les 80 de la donation qu’il a faite au musée en 2020.
Au Musée de Cannes, Place de la Castre, Le Suquet, à Cannes (06)
« Formes vivantes » jusqu'au 7 mai 2023, à Sèvres (92)
L’exposition Formes vivantes met en lumière les liens qui unissent le monde minéral, issu de la terre et le monde du vivant, de l’organique, animal et végétal. Avec près de 350 oeuvres, des céramiques de la Renaissance à nos jours, en regard de peintures, de pièces d’orfèvrerie ou d’objets scientifiques avec lesquels elles sont mises en perspective, l’exposition nous interroge sur notre propre rapport au vivant. On y (re)découvre ainsi un médium résolument ancré dans son temps et qui inspire, aujourd’hui plus que jamais, les artistes contemporains tels que Giuseppe Penone, Johan Creten ou encore Nadège Mouyssinat. Conçue par le musée national Adrien Dubouché à Limoges en 2019, l’exposition connaît un second souffle en poursuivant sa mutation au musée de Sèvres.
Manufacture et Musées nationaux, Cité de la Céramique, 2 Place de la Manufacture, à Sèvres (92)
« Nature humaine, humaine nature » jusqu'au 10 avril 2023, à Arles (13)
Alors que se multiplient les signaux invitant à repenser l’opposition entre nature et culture et que l’influence néfaste de l’être humain sur la planète devient toujours plus évidente, l’exposition « Nature humaine – Humaine nature » propose d’explorer la complexité des interactions entre l’humain et la nature.
Artiste éveillé et avant-gardiste à une époque d’intense industrialisation, Vincent van Gogh a souvent évoqué dans son travail la nature et la possibilité d’une union avec elle. Sa vision panthéiste peut dès lors devenir un filtre à travers lequel considérer les œuvres contemporaines, afin d’appréhender les multiples contrastes ou affinités que les artistes d’aujourd’hui entretiennent vis-à-vis de l’héritage de Van Gogh.
A la Fondation Vincent van Gogh, 35ter, rue du Docteur-Fanton, à Arles (13)
« Prendre soin, restaurer, réparer, de la Renaissance à nos jours » jusqu'au 12 mars 2023, à Dole (39)
L’exposition Prendre soin prend acte de notre situation post-pandemique a partir de ces interrogations qui construisent cinq poles interpretatifs pour raconter une histoire - critique, et lacunaire sans aucun doute - des rapports complexes entre mythes, sciences, symbolisations et representations du soin.
La premiere section « Figures de soin » presente des portraits d’hommes et de femmes qui ont incarne le soin a travers les epoques : moines et moniales, clercs, sorciers, guerisseuses, medecins laics, chirurgiens, scientifiques, etc. Elle fait cohabiter les figures « institutionnelles » et les roles caches, notamment devolus aux femmes, les figures anciennes et nouvelles, comme celles liees a une pensee ecologique globale qui prend soin du monde et du vivant. Enfin, elle presente ces figures dans les lieux de leur exercice : pharmacie, medecine a domicile, hospices.
La deuxieme section interroge la norme qui discrimine le sain et le malade : la medecine et l’art, les images medicales et artistiques epousent, construisent et deconstruisent les notions de maladie et de malade de leur temps. La maladie ou la guerison ne recouvrent pas les memes experiences au Moyen-Age, a l’epoque moderne ou aujourd’hui. Nos representations du bien-etre, du corps ideal ou de l’insupportable changent. Certaines categories perturbent sans cesse les cadres : comment penser et mettre en image la maladie mentale ? Comment les experiences de la folie, du malheur, ou de la dereliction sont-elles progressivement internalisees a la medecine et a l’art ?
La troisieme section se focalise sur le geste : toucher, etre touche. Le tact et le contact nouent des relations. Guerisseurs, « toucheux », sorciers, rois thaumaturges, medecins, infirmiers, sages-femmes, kinesitherapeutes, osteopathes, masseurs, auxiliaires de vie ou puericulteurs touchent, massent, pressent, caressent, appuient. Le musee accueille aussi des œuvres a toucher ou relationnelles, qui ont pour vocation de permettre aux visiteurs d’eprouver cette dimension tactile du soin, de se laisser toucher au sens propre et figure, et accepter de toucher a son tour.
La quatrieme section explore l’œil, qui navigue entre le visible et l’invisible. Le medecin dechiffre les symptomes ; l’anatomiste disseque et penetre l’invisible interiorite du corps ; le chimiste decouvre le microbe infra-visible ; le geneticien accede au cœur de notre identite moleculaire. La vie micro-organique bouillonne et informe notre vie macroscopique. La photographie participe a cette quete du visible : l’imagerie medicale ou les images artistiques developpent un nouvel imaginaire visuel qui amene a la surface du visible la question de l’invisible.
La cinquieme section inverse le paradigme du rapport entre image et soin pour s’interroger sur ce que peut l’art : peut-il prendre soin de nous, pouvons-nous prendre soin de l’art ? Que veut dire restaurer et conserver ? Quelle hospitalite propose le musee ? Des ex-voto, des objets, installations ou performances apotropaiques, mais aussi des œuvres travaillant a prendre soin d’autres œuvres autant qu’a reparer les maux du monde, explorent les formes de l’art soignant.
Au Musée des Beaux-Arts, 85, rue des Arènes, à Dole (39)
Expositions immersives « Dali, l'énigme sans fin » et « Gaudi, architecte de l'imaginaire », du 3 février 2023 à janvier 2024, à Bordeaux (33)
A travers ces deux expositions numériques, découvrez les oeuvres incomparables de Salvador Dali et l’oeuvre de Gaudi, le génie de l’architecture.
Au Bassin des Lumières, Impasse Brown de Colstoun, à Bordeaux (33)
« Willy Ronis : se retrouver » du 4 février au 29 mai 2023, à Pont-Aven (29)
Heurtée de plein fouet par la crise sanitaire en 2020, la société française a lentement reconquis les espaces de liberté et renoué avec un lien social fragilisé mais toujours présent et nécessaire. Ce n’est pas la première fois dans son histoire que le lien social tangue, vacille, se délite parfois mais une fois l’acmé de la crise dépassé, l’envie reprend de se rassembler entre amis, en familles, lors de fêtes, dans les bistrots et autres lieux de sociabilité… Partant de ce postulat, le fil rouge des retrouvailles a naturellement conduit le Musée de Pont-Aven à organiser une exposition du grand photographe humaniste Willy Ronis. Une sélection de quelque 120 photographies ainsi que des documents d’archives, mêle ainsi instantanés du quotidien et grands événements, comme autant de témoignages des secousses vécues par la société du XXème siècle et des retrouvailles tant espérées par chacun.
Au Musée de Pont-Aven, Place Julia, à Pont-Aven (29)
« Madeleine Riffaud, Résistante », du 2 février au 4 juin 2023, à Lyon (69)
Le CHRD poursuit cette année encore le cycle de ses expositions BD. Après Spirou, après Les enfants de la Résistance qui, chacune avait attiré un public dédié, attaché à la figure de ces personnages de fiction qui disent tant de l’intérêt porté par tous, et notamment les plus jeunes d’entre nous, à la période de la Seconde Guerre mondiale, un partenariat avec les éditions Dupuis nous invite à croiser le parcours, le visage et la voix d’un personnage réel au destin hors du commun, Madeleine Riffaud.
Reprenant le vieil adage qui veut que les histoires n’arrivent qu’à ceux qui sont capables de les raconter, l’écrivain américain Paul Auster ajoutait « de même, les expériences ne se présentent qu’à ceux qui peuvent les vivre ». Madeleine Riffaud a tout vécu et a beaucoup raconté.
Petite fille et résistante, poète et combattante, femme et monument, infatigable raconteuse d’histoires, Madeleine Riffaud a récemment croisé la route d’auteurs attentifs et amoureux qui se sont assignés comme mission de faire le récit de ses 1000 vies. La bande dessinée de Jean-David Morvan et Dominique Bertail, dont le deuxième tome est attendu avec la plus grande impatience, nous offre l’occasion d’une rencontre inoubliable. Ses lecteurs, ses découvreurs, tous ceux attentifs à l’engagement et à la détermination sans faille de Madeleine Riffaud, trouveront également dans l’exposition des planches originales, ainsi que des collections appartenant à quelques grands musées de la Résistance, ayant consenti à des prêts exceptionnels pour saluer, à leur tour, Madeleine.
Au CHRD, 14 avenue Berthelot, à Lyon (69007)
 
 
FESTIVALS, FÊTES, EVENEMENTS & SALONS
Fête de la Bretagne, les 3 & 4 février 2023, à Ondreville-sur-Essonne (45)
Située à Ondreville-sur-Essonne, la Ferme des Plaines est une exploitation maraîchère biologique qui met la Bretagne à l'honneur, à l'occasion de la Chandeleur.
Au programme des festivités du vendredi 3 février (de 16h30 à 19h00) et du samedi 4 février (de 9h00 à 12h30) :
- « Série de Bretonnes façon Mucha », uneexposition de Sylvia Rouffet. L'artiste réalise des peintures textiles sur drap de lin.
- Présentation des créations en bois d'Al-Wood sur le thème de la Bretagne.
L'animation musicale sera assurée par les musiciens de Buthiers. Ils seront accompagnés, le samedi matin, par les Tribardeurs de Yèvre-la-Ville.
Enfin, grâce à l'association Plus de sourires vous pourrez déguster de délicieuses crêpes sucrées.
A La ferme des Plaines, 4 rue du soleil levant à Ondreville-sur-Essonne (45)
Salon Rétromobile, du 1er au 5 février 2023, à Paris (75)
Depuis plus de 40 ans, le salon Rétromobile est un rendez-vous très attendu des amateurs, curieux et passionnés d'automobile. En effet, chaque année, le salon accueille près de 100 000 visiteurs venus découvrir des véhicules exceptionnels, anciens ou contemporains. Au total, se sont plus de 450 exposants qui présentent quelque 500 voitures sur 46 000m².
Lors de la visite, le public peut rencontrer des artistes, des constructeurs, des clubs ou fédérations, sans oublier des vendeurs de pièces détachées et de miniatures, des restaurateurs carrossiers et des galeries d’art automobile.
A Paris Expo, 1, place de la Porte de Versailles, à Paris (15ème)
Festival des Lanternes, du 5 au 19 février 2023, à Taïwan
Pour la première fois depuis 2001, le festival des lanternes de Taïwan sera un véritable "festival urbain des lanternes", prévu dans des zones densément peuplées de la ville de Taipei, où les œuvres seront exposées parmi les gratte-ciel et où les lumières illumineront les rues et les ruelles de la ville. Il s’articulera autour de quatre zones d'exposition, une installation centrale et six autres installations majeures parmi les 300 lanternes exposées sur un total de 168 hectares. L'intégration innovante et révolutionnaire de l'art traditionnel des lanternes avec les dernières technologies d'éclairage crée une expérience visuelle ultime pour les visiteurs.
Taipei est une ville sans limites, qui ose innover et apporte de l'espoir à ses habitants. En suivant la lumière pour découvrir une Taipei resplendissante, en accueillant l'année du lapin avec le festival des lanternes, et en suivant le pas du lapin de la lune dans les zones d'exposition, vous pourrez voir diverses œuvres d'illumination qui symbolisent l'espoir, assister à des spectacles spéciaux passionnants et vivre la magie des chefs-d'œuvre artistiques.
Salon Aux Vignobles, du 3 au 6 février 2023, à Biarritz (64)
Ce salon (anciennement Salon Vins & Gastronomie) fait étape à Biarritz, où il s’ouvre, à nouveau, sur le monde de l’artisanat gastronomique et viticole. Pour cet événement, artisans et producteurs venus de toute la France donnent rendez-vous aux gourmands, gourmets ou simples curieux.
A la Halle d’Iraty, rue de Pitchot, à Biarritz (64)
 
 
CINEMA
Film « Vaincre ou mourir » de Vincent Mottez et Paul Mignot
1793. Voilà trois ans que Charette, ancien officier de la Marine Royale, s’est retiré chez lui en Vendée. Dans le pays, la colère des paysans gronde : ils font appel au jeune retraité pour prendre le commandement de la rébellion. En quelques mois, le marin désœuvré devient un chef charismatique et un fin stratège, entraînant à sa suite paysans, déserteurs, femmes, vieillards et enfants, dont il fait une armée redoutable car insaisissable. Le combat pour la liberté ne fait que commencer...
 
 
TOURISME
La Dalle aux Ammonites de Digne-les-Bains (04) parmi les 100 premiers sites géologiques remarquables au monde
La Dalle aux Ammonites est le site emblématique de l'UNESCO Géoparc de Haute Provence. Avec plus de 1.500 fossiles d'ammonites, nautiles ou pentacrines répartis sur 320m2, c'est un site unique au monde. Envié des japonais, un moulage est aujourd'hui exposé dans la ville de Kamaïshi.
L'UNESCO Géoparc de Haute-Provence fut le 1er Géoparc au monde reconnu par l'UNESCO en 2000 et demeure un territoire unique et authentique situé au coeur des Alpes de Haute-Provence.
Il rassemble 67 communes du département des Alpes de Haute-Provence et couvre un espace de 1989 km2. Autour de son patrimoine géologique exceptionnel de plus de 300 millions d'années s'articulent de nombreux sites valorisant le patrimoine naturel, culturel, matériel et immatériel... Tous ces patrimoines, rassemblés sur un même territoire, ont permis à l'UNESCO, en 2000, d'établir des "normes" et de définir un label "UNESCO Géoparc". C'est donc l'UNESCO Géoparc de Haute-Provence qui a servi de modèle aux 169 autres Géoparcs répartis dans le monde.
Les différents types de roches, hérités du passé géologique de la région, donnent des couleurs caractéristiques aux paysages de la Haute-Provence : des marnes noires crées par l'érosion que l'on appelle robines, les Clues creusées dans les roches calcaires du Jurassique, les traces blanches laissées par des dépôts de gypse... Le Géoparc recense de nombreux sites géologiques, ce qui en fait un territoire unique entre passé et présent.
La dalle appartient à la séquence marno-calcaire du Jurassique inférieur du bassin subalpin et fait partie de la Nappe de Digne, une unité allochtone déplacée du nord vers le sud. Les strates du Jurassique inférieur, eux, témoignent de l'histoire précoce du bassin du sud-est dans l'océan Téthys alpin pendant son rifting.
La dalle, d'environ 320m2, porte plus de 1 550 céphalopodes (quelques nautiles et de nombreuses ammonites), jusqu'à 70cm de diamètre, et une faune benthique composée de bivalves et de crinoïdes. L'une des particularités est que les ammonites sont représentées à 99% par une seule espèce : Coroniceras multicostatum. Celle-ci caractérise un biohorizon stratigraphique bien connu en Europe occidentale, mais la dalle de Digne est le seul affleurement bien exposé présentant une telle concentration de fossiles et constitue une référence internationale pour ce niveau stratigraphique. De plus, l'absence d'orientation préférentielle indique qu'aucun courant dominant n'a guidé le dépôt des coquilles.
Les prospections de terrain, complétées par un sondage, ont confirmé l'extension du niveau fossilifère sous la surface, sur plusieurs milliers de mètres carrés. Le site est inscrit à l'Inventaire Géo-patrimonial Français, à la Réserve Naturelle Géologique Nationale de Haute-Provence et au Géoparc Mondial de l'UNESCO de Haute-Provence.
Cinq bonnes raisons de faire du « saké tourisme » à Harima (Japon)
La province de Harima se situe dans la préfecture de Hyogo, juste à côté de la ville d’Himeji, célèbre grâce à son château surnommé « le héron blanc ». Les archives de la province, datant de la période Nara (710-784), comporte la première mention dans les textes de la fabrication du saké à l’aide de koji. Cette méthode encore utilisée aujourd’hui est considérée comme la plus ancienne méthode de fabrication du saké au Japon. C'est pour cette raison que Harima est connu comme le lieu de naissance du saké.
De nos jours, il existe encore sur place 21 brasseries de saké, principalement concentrées autour du bassin de la rivière Harima Gosen, qui continuent à protéger et à perpétuer la tradition de la fabrication du saké. Si Harima est une région si populaire pour la dégustation du saké, c’est aussi grâce à ses vastes plaines fertiles utilisées pour la culture du riz Yamada Nishiki, une variété à gros grains utilisée pour le brassage du saké considérée comme « le roi des riz » au Japon. Certains sakés de la région portent même le label GI Harima, l’équivalent d’une appellation d'origine contrôlée qui garantit l'utilisation d'une eau de source locale, du riz Yamada Nishiki cultivé localement, ainsi que le brassage du saké sur place par les maîtres-brasseurs de Harima.
Sur les quelques 1500 brasseries de saké que compte le Japon, moins de 50 sont dirigées par des femmes toji (maître-brasseur et personne en charge de l'ensemble du processus de brassage du saké, une tache historiquement réservée aux hommes, les femmes étant considérées comme impures pour effectuer cette tâche).
Situé non loin du château d’Himeji, il existe un bar à l’allure moderne qui abrite pas moins de 400 sakés proposés à la dégustation. Ils proviennent de toute la préfecture de Hyogo et au-delà. 95% de la production de sakés de la préfecture y est représenté. C’est une des manières les plus simples de découvrir toute la palette de goûts des sakés de la région environnante d’Harima sans avoir à se déplacer d’une brasserie à l’autre. Chaque verre est servi avec une fiche d’explication pour rendre l’expérience plus enrichissante. Il est également possible d’y acheter une bouteille de chaque saké proposé en dégustation.
Le district de Harima est en plein cœur d’une région offrant de nombreux sites touristiques à explorer entre deux visites de brasserie : le château médiéval d’Himeji est probablement l’un des plus connus du pays et sa visite permet d’effectuer un véritable voyage dans le temps. Non loin se trouve aussi le temple Engyo-ji avec sa vingtaine de bâtiments perdus dans la forêt en haut du mont sacré Shosa. Accessible à pied ou en téléphérique, c’est un vrai havre de sérénité qui a servi de décor au tournage de nombreux films, comme Le Dernier Samouraï, avec Tom Cruise. A Himeji même, on peut aussi se balader dans les allées du jardin Koko-en, un jardin japonais traditionnel datant de la période Edo. Enfin la région s’ouvre sur les magnifiques panoramas offerts par la mer intérieure de Seto, ponctués par de multiples petites îles au charme traditionnel.
A seulement une vingtaine de minutes de bateau du port d’Himeji se trouve l’île d’Ieshima, qui abrite un sanctuaire vieux de plus de 1000 ans dédié aux marins. Le rythme de vie de l’île, calme et serein, invite à la lenteur et à la détente, avec, au programme balade à pied dans son dédale de ruelles, tour de l’île à vélo, excursion en kayak de mer et sortie nocturne en été pour admirer les lucioles.
Le Kappo Ryokan Shimizu, installé face à la mer, est l’hôtel traditionnel japonais idéal pour se plonger dans la culture locale, avec, en plus, une cuisine gastronomique basée sur les produits de la région, et notamment sur la qualité de sa pêche. Les deux frères qui tiennent ce ryokan se targuent aussi de pouvoir proposer à leurs clients une très vaste sélection de saké de la région de Harima.
13 curieuses superstitions à travers le monde, selon Civitatis
Les personnes superstitieuses sont prévenues : en parcourant le monde à travers ces croyances surprenantes, elles risquent bien de voir la vie quotidienne d’un autre œil, et de rajouter des superstitions à leur liste :
Sri Lanka
Au Sri Lanka, un reptile connu sous le nom de gecko pourrait s’avérer être maître de votre destin. Ce petit animal serait associé aux esprits. Selon la légende, s’il émet un petit gazouillement au moment où vous devez prendre une décision importante, alors celui-ci l’approuve. Si le bruit est plus fort, cela pourrait bien être signe de mauvais présage. Certains Sri-Lankais vous conseilleraient donc de changer d’avis ! Mais ce n’est pas tout… Si le cri vient de derrière, alors cela signifie que les problèmes à venir sont liés à une personne qui vous jalouse. S’il vient de gauche, cela présage de la chance et de la bonne fortune.
Danemark
La présence du sel dans plusieurs textes sacrés ont donné lieu à de nombreuses croyances populaires depuis des siècles. Dans bien des pays, renverser du sel à table est un présage de malheur, tandis que jeter du sel par-dessus son épaule gauche porterait bonheur. Au Danemark, renverser du sel porterait chance s’il est sec, mais malheur s’il est humide. De quoi être un peu dérouté. En Scandinavie, il est d’ailleurs courant de se protéger des mauvais esprits et des démons en jetant une pincée de sel à des endroits choisis.
Etats-Unis
On pourrait imaginer que seuls les enfants croient aux sorcières, mais pendant bien longtemps, celles-ci ont aussi effrayé les peuples. Aujourd’hui, l’existence de fenêtres à la forme toute particulière sur certaines maisons situées dans l’État du Vermont, baptisées “witch windows” (comprenez fenêtres de sorcière), et inclinées de façon à empêcher les sorcières de rentrer dans les maisons avec leurs balais, reflète une croyance particulière.
Maroc
Au Maroc, de nombreuses superstitions sont liées au Diable et à la religion. Le fait de bâiller en mettant sa main devant la bouche est bien plus significatif que l’expression d’une bonne éducation et de politesse. Lorsque l’on bâille, la main gauche doit être placée le dos contre la bouche, la paume tournée en avant, car c’est une manière de repousser le mauvais œil ou le Diable qui pourrait cracher dans la bouche de la personne qui bâille. Le geste doit également être accompagné d’une formule arabe : « astaghfar allah ! » (je demande pardon à Dieu).
Finlande
Envie de profiter du beau temps lors de votre séjour en Finlande ? Alors mieux vaut ne pas tuer d’araignées. Car, selon la croyance locale, il pourrait bien pleuvoir le lendemain?! En effet, cet animal redouté de la plupart des êtres humains pourrait vous gâcher votre journée de vacances si vous décidez de l’écraser…
Inde
En Inde, plusieurs méthodes permettent d’éloigner le mauvais œil (mauvais karma) et la malchance. Dans certaines régions du pays, des habitants ont pour superstition de devoir jeter du piment rouge et du sel à l’entrée des foyers. Après cela, les personnes vivant sous ce même toit ne peuvent en sortir que le lendemain. Si vous voyagez en Inde, vous aurez aussi l’occasion de voir de grosses citrouilles blanches éclatées devant des maisons ou des boutiques pour protéger l’habitat ou les affaires contre le mauvais œil des gens.
Chine
En Chine, le chiffre 4 se prononce presque comme le mot « mort » et porte donc malheur. Il est si redouté que certains immeubles passent directement du 3ème au 5ème étage. Il est donc courant de voir affichés des prix comme « 39 + 1 yuans » pour éviter à tout prix d’écrire le chiffre 4. Mais ce n’est pas l’unique superstition là-bas puisque le chiffre 8 est au contraire synonyme de chance et de bonheur. Cette croyance est aussi liée à sa prononciation. Le 8 se rapprocherait du terme “fortune” en chinois.
Japon
Les baguettes sont tout un symbole dans certains pays asiatiques comme le Japon, mais saviez-vous que de nombreuses superstitions existent à leur sujet? Si vous vous rendez au pays du Soleil Levant, ne plantez jamais vos baguettes dans le riz, car cela évoque une personne décédée. En effet, le bol de riz est associé aux bols d’encens utilisés lors des cérémonies funéraires. De plus, croiser ou casser ses baguettes est signe de malchance et avoir deux baguettes de taille différente présage que vous raterez un transport. Renseignez-vous bien sur la façon de tenir vos baguettes avant de vous rendre au Japon.
Espagne
Contrairement aux Français qui redoutent le vendredi 13, pour les Espagnols, c’est le mardi 13 qui vaut jour de malchance pour les voyages ou les mariages. Cette croyance remonterait à Marte, nom du dieu de la guerre en espagnol. En effet, mardi se dit “martes” en castillan. Mais cette superstition remonterait aussi à l’épisode biblique de la Tour de Babel : le châtiment divin provoquant la confusion des langues serait apparemment tombé un mardi 13…
France
La France aussi a son lot de superstitions populaires très répandues, comme le fait de trinquer dans les yeux. Trinquer est un acte d’engagement et de confiance dont la tradition remonte au Moyen-Age. À cette époque, trinquer consistait à échanger un peu de son breuvage avec une autre personne. Si quelqu’un souhaitait vous empoisonner, cette personne devait alors baisser les yeux sur son verre pour vérifier si du poison n’était pas tombé dans son verre. Trinquer était donc aussi un moyen de dissuader quiconque de vous empoisonner.
Italie
En Italie, c’est le nombre 17 qui porte malheur et non le nombre 13, bien que la superstition du nombre 13 vienne de la Bible et du dernier repas de Jésus qui comptait 13 convives (d’où la coutume de ne pas avoir 13 invités à table, ou de ne pas avoir de chambre 13 dans les hôtels). Mais alors d’où vient cette superstition sur le nombre 17 ? L’explication vient de son écriture en chiffres romains : XVII. Il s’agit de l’anagramme de VIXI qui signifie en latin « j’ai vécu », et donc par extension « je suis mort ». Vous ne vous retrouverez donc pas à 17 convives à table lors d’un diner en Italie, ni n’aurez de chambre 17 dans un hôtel, ou de place numéro 17 sur un vol d’une compagnie aérienne.
Côte d’Ivoire
Alors qu’en France, on dit que l’on a « les oreilles qui sifflent » quand quelqu’un parle mal de nous, si vous avez le hoquet en Côte d’Ivoire, c’est que vous êtes probablement la cible de commérages. En revanche, si la paume de main vous démange, c’est plutôt bon signe car une somme d’argent inattendue pourrait bien vous parvenir.
Brésil
Bien que le carnaval de Rio soit réputé pour ses costumes extravagants, les Brésiliens ont pour coutume de porter des vêtements blancs, en particulier pour célébrer la nouvelle année, car le blanc est symbole de bonheur et de succès. L’équipe nationale de football a ainsi longtemps joué en blanc jusqu’à la date fatidique de 1950 où elle s’est inclinée face à l’Uruguay. À compter de cette date, le blanc fut associé à la défaite dans l’univers du football brésilien et le maillot blanc a été remplacé par celui aux couleurs du drapeau brésilien que nous connaissons aujourd’hui.
 
 
SAVOIRS
Programme de l'Université Populaire « Transmettre », en février 2023, à Paris (75)
Cette nouvelle saison, l’Université Populaire poursuit son exploration des transmissions avec l’historienne de l’art Anne Lafont et l’anthropologue Anne-Christine Taylor, durant douze séances pour aborder toutes les facettes de la transmission. Voici le programme des conférences prévues en novembre 2022 :
- Mercredi 1er février, 18h30 (date sous réserve) Comment transmettre une culture orale ? Entre les langues : oralité et traduction, avec Jean-Godefroy Bidima, philosophe, en discussion avec Tiphaine Samoyault, essayiste et critique littéraire, Modéré par Anne Lafont.
Les mercredis soirs de 18h30 à 20h. En accès libre au théâtre Claude Lévi-Strauss dans la limite des places disponibles et sur la chaine YouTube du musée (en direct et en différé)
Au Musée du quai Branly – Jacques Chirac, Théâtre Claude Levi-Strauss, 37 quai Branly, 206 et 218 rue de l’Université, à Paris (7ème). Www.quaibranly.fr
Les Paris de l'Art, les 2 & 3 février 2023, à Paris (75)
Du 29 septembre 2022 au 23 juin 2023, un cycle de 28 séances thématiques dresse un panorama de l’histoire des arts, de l'Antiquité à nos jours, en s’appuyant notamment sur les expositions temporaires et les collections des 14 musées de la Ville de Paris.
Cours : Balzac et l'illustration
Auditorium : Jeudi 2 février à 15h30 ou vendredi 3 février 2023 à 18h30
Disponible en ligne : Mardi 7 février 2023
Séance animée par Yves Gagneux, Conservateur général du patrimoine -Directeur de la Maison de Balzac
Les visioconférences BeauxArts, c’est une heure avec un conférencier passionné pour contempler, comprendre et voyager autrement dans le monde de l’art.
Le programme payant est à 14€ (prix public) ou 10€ pour les abonnés.
Le programme gratuit est réservé aux abonnés des formules papier + numérique et papier+ numérique + Hors séries du magazine. Les conférences durent environ 1h15 et ont lieu sur la plateforme ZOOM. En fin de conférence, il vous est possible de poser des questions au conférencier.
Le musée rouvrira entièrement à l’été 2022, après seize mois de travaux de consolidation du bâtiment le plus ancien au cœur du musée – une campagne engagée par la Ville de Paris et Paris Musées afin de préserver la poésie singulière de ce lieu de mémoire. Les visiteurs pourront retrouver l’atmosphère des ateliers d’Antoine Bourdelle, redécouvrir les œuvres majeures du sculpteur, au fil d’un parcours de visite repensé pour souligner la modernité de celui qui fut le praticien de Rodin, le maître de Germaine Richier et d’Alberto Giacometti. Dans l’atelier adjacent – dit « atelier Eugène Carrière » – dédié à la découverte des matériaux et techniques de la sculpture, de nouveaux dispositifs scénographiques proposeront trois niveaux de consultation et d’apprentissage.
Un nouveau dispositif de médiation permettra aux enfants de 8 à 12 ans de faire le parcours en famille.
À l’étage, un café-restaurant s’installera dans les murs de l’ancien appartement de Rhodia Dufet-Bourdelle, la fille du sculpteur. Transformé par Michel Dufet, grand nom de l’Art Déco, en 1947, les hautes verrières de cet appartement offriront un point de vue inattendu sur le jardin intérieur. Quelques tables permettront de profiter de la terrasse côté sud.
Réouverture du Musée de Notre-Dame de la Garde à Marseille (13)
Inauguré en 2013, l’endroit, qui retrace sur 300m2 plus de 800 ans d’histoire fermait ses portes en 2019. Pour finalement rouvrir en décembre dernier à l’occasion d’une exposition sur Noël en Provence.
Outre les superbes collections d’ex-voto et d’objets de culte présentés sur place, plusieurs thématiques réparties en séquences successives emmènent le visiteur dans un cheminement de pèlerinage et d’élévation à l’image de nos anciens.
Le musée invite le public à découvrir le pèlerinage de Notre-Dame de la Garde au fil des siècles, puis les origines du sanctuaire et sa reconstruction au milieu du 19ème siècle.
Par ailleurs, deux expositions temporaires par an sont annoncées, l’une durant la saison estivale et la seconde en fin d’année. Ainsi la prochaine exposition estivale s’intéressera au Saint-Suaire de Turin (Italie) complétée par des œuvres sur le thème de la Passion du Christ et de la Mater Dolorosa.
Le musée et l’atelier des découvertes sont accessibles tous les jours de 10h00 à 17h00 (sauf le lundi). Tarif : 2€ (gratuit pour les moins de 12 ans). Visites guidées sur demande.
A la Basilique Notre-Dame de la Garde, Rue Fort du Sanctuaire, à Marseille (6ème)
 
 
INFOS PRATIQUES
Enedis confirme que le compteur Linky n'est pas obligatoire
En décembre 2022, une dépêche précisait que les foyers qui refusent le compteur Linky devront payer 5 euros par mois (soit 61€ par an) mais... qu’il sera possible d'éviter de passer à la caisse, du moins jusqu'en 2025, en réalisant soi-même le relevé de sa consommation électrique directement sur le site web d'Enedis ou bien par téléphone. De cette manière, vous ne nécessitez pas la venue d'un technicien pour procéder à la mesure, et par extension, vous ne participez pas aux surcoûts mentionnés plus haut par Enedis.
Et à partir de 2025 ? Contrairement à ce qu'Enedis laisse à penser, rien ne vous obligera à passer au Linky. Enedis reconnaît donc que l'on peut légalement garder son ancien compteur, à condition de faire son auto-relève et de payer une facture modeste de 5 euros par mois, à partir de cette date. Par extension donc, Enedis confirme enfin que le Linky n'est pas obligatoire, une position défendue par de nombreuses associations et médias depuis des années maintenant.
Pour rappel, et depuis 2022, les foyers déjà équipés d'un compteur LInky doivent payer 130€ supplémentaires,répartis de manière progressive sur leurs factures annuelles (+ 10 € par an en moyenne). Cela correspond en réalité au prix du boitier à l'unité, fabrication et pose incluses. D'après la Cour des comptes, Enedis a effectivement investi 5,7 milliards d'euros pour équiper 90% des foyers français.
 
 
LIVRES
Guide ViaGarona à nouveau disponible !
ViaGarona est un chemin de Grande Randonnée (GR861) qui donne accès à la contemplation et à la visite de quelques six monuments inscrits au Patrimoine mondial de l’UNESCO des Chemins de Saint-Jacques : la Basilique Saint-Sernin, et l’hôtel-Dieu Saint-Jacques à Toulouse, la cathédrale Notre-Dame, la Basilique paléochrétienne et la Chapelle Saint-Julien à Saint-Bertrand de Comminges, et la Basilique Saint-Just de Valcabrère.
Livre « Mondes pyrénéens » (Privat Editions)
Patrice Teisseire-Dufour vous amène à la découverte des Pyrénées,notamment en Haute-Garonne avec de magnifiques photos d’Arnaud Späni : vallée du Lys, montée au port de Vénasque, berger au-dessus du Mourtis, vue depuis le port de Balès et les 3000 du Luchonnais...
Livre « Les Apaches de Paris », de Jérémy Tessier (City Edition)
Paris, début des années 1900. Des bandes de jeunes pullulent dans la capitale et font trembler la population. Larçins, cambriolages, agressions, rien ne les arrête. On les surnomme les « Apaches », c'est le premier phénomène de bandes de l'histoire parisienne. Ces jeunes des quartiers défavorisés sont exclus de la société. Livrés à eux-mêmes, ils doivent se débrouiller pour survivre. Les Apaches forment une micro-société avec leur propre géographie, leurs codes, leur hiérarchie et leur langage. Des bandes comme Les Loups de la Butte et Les Marlous de Belleville vont semer la terreur dans les rues de Paris pendant des années, humiliant les brigades du préfet Lépine.
Cet ouvrage retrace l’histoire passionnante de ces gangs en quête de liberté et d’émancipation.
304 pages, 18,90€.
 
REPORTAGE DE LA SEMAINE
Les Héros de la France éternelle - Charles IX (28) (France) Le 5 décembre 1560, François II décède après seulement dix-sept mois de règne. Sans descendance, c'est son frère Charles IX qui monte sur le trône de France, alors qu'il n'est âgé que de 10 ans. Fils d'Henri II et de Catherine de Médicis, le quatrième roi de la famille des Valois-Angoulême devra gérer un pays déchiré par les guerres de Religion. Faute de parvenir à empêcher ces guerres et après plusieurs tentatives de réconciliation, la situation débouche sur le massacre de la Saint-Barthélémy
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