Faillite des banques...ou comment démêler le vrai du faux !
Quand un ministre vous dit qu'il n' y a aucun risque de contagion suite à la faillite de la banque américaine SVB, méfiez-vous car, en réalité, lorsque le cours de bourse des banques dévisse, c'est que la contagion a déjà démarré.
Faire du Crédit Suisse le seul responsable de la crise est erroné car cette banque était en difficulté depuis déjà plusieurs années, et elle n'est pas la seule : la Deutsche Bank, elle aussi inquiète.
En France, on veut rassurer en annonçant que nos banques sont solides et ne pourraient pas subir ce qui vient d'arriver aux Etats-Unis : il est vrai que les banques françaises sont plus solides en raison de la régulation. Ce mécanisme exige de la part des organismes bancaires une gestion du risque des taux. En Europe, 450 banques appliquent en effet cette régulation (contre treize aux Etats-Unis).
Il n'empêche que, dans l'intervalle, l'indice des 600 banques s'effondre tout de même partout dans le monde. Une réaction naturelle qui alerte sur une perte de confiance, une incertitude et l'attente d'une décision en matière de politique monétaire des banques centrales.
Les médias, eux, cherchent à nous rassurer sur la crise financière mais nous ne sommes pas obligés de les croire et mieux vaut ne pas être dupe en pareille circonstance et ne pas s'étonner du krach obligataire ( lorsque les taux remontent, les obligations qui rapportent moins voient leur valeur baisser pour que leur rendement s'ajuste aux nouveaux taux, d'où ce krach) survenu récemment et des moins-values latentes en bourse (ce qu'on appelle les moins-values latentes correspond à des actifs dont la valeur a baissé mais qui n'ont pas encore été vendus).
En revanche, nous sommes tous sur le même bateau et si le pire se produit quelque part, l'embarcation tanguera malgré tout. Prenons l'exemple de Bank of America, qui détient actuellement 113 milliards de dollars de pertes non réalisées (moins-values latentes) dans son bilan, soit 60 % de la valeur de ses fonds propres. Elle a beau être la sixième grande banque du monde et la seconde banque américaine, les difficultés d'un tel organisme bancaire systémique ne seraient pas sans conséquences.
Bank of America n'est pas la seule à connaître des moins-values latentes : lorsque les banques centrales augmentent les taux d'intérêt, cela a pour effet de faire exploser les bulles spéculatives, obligataires, boursières, immobilières...Or, quand les bulles explosent, la valeur des actifs baisse. Et lorsque les actifs baissent, il y a accumulation de moins-values latentes dans les bilans des entreprises des Etats et des ...ménages !
Si la crise de 2008 fut une crise systémique (c'est la hausse des taux qui provoqua la chute de la valeur immobilière en entrainant l'insolvabilité des emprunteurs), celle de 2023 est une crise de fonds propres bancaires (ces fonds propres étant principalement investis dans des obligations dont la valeur chute actuellement). Au bout du bout, le système bancaire n'est pas immunisé et même en cas de couverture des taux, les banques européennes pourraient chuter si les banques américaines tombaient car nous sommes bel et bien dans un monde globalisé.
La suite ? Tout dépendra de la façon dont les autorités gèreront la situation : si celles-ci montrent que les épargnants sont ruinés, alors le mouvement de panique sera général et concernera jusqu'aux petites banques régionales. Autre problème : les réserves et les fonds propres des banques, qui doivent être investis en bons du Trésor (aux USA) et en obligations de la zone euro (en Europe), perdent en valeur à cause de la hausse des taux d'intérêt décidée par les banques centrales pour lutter contre l'inflation.
Pour l'instant, les autorités économiques et monétaires interviennent pour limiter la perte de contrôle.
Si les banques centrales limitent la hausse des taux, cela équivaudra à terme à les faire baisser. Or, une baisse des taux provoquera l'emballement de l'inflation, et une hausse des taux significative et durable conduira à l'effondrement systémique et global.
Dans ces conditions, mieux vaut :
- se souvenir que des risques d'explosion du système bancaire existent
- savoir que l'inquiétante faiblesse politique en Europe et l'impuissance potentielle de la BCE à agir rapidement en cas d'urgence ne plaident pas en notre faveur
- retenir que sauver les banques n'est pas un acte anodin en termes de conséquences macro-économiques même si cela s'avère indispensable
- optimiser la protection de ses avoirs avec le FGDR (Fonds de Garantie des dépôts et de résolution, chargé d'indemniser les clients en cas de défaillance bancaire à hauteur de 100000? par client et par établissement)
Passer d'un monde à un autre requiert des efforts. L'être humain est ainsi fait qu'il se complait dans ses habitudes et sa zone de confort.
Après l'ère de la vapeur, celle de l'électricité, nous vivons sous l'ère d'internet et du smartphone, deux notions qui ont déjà transformé nos vies. Et les IA (intelligence artificielle) de débarquer dans nos existences depuis maintenant quelques mois, avec leurs outils et leurs codes.
Le drame est qu'il existe dans notre pays une fracture numérique entre les utilisateurs familiers des outils informatiques et les autres auxquels on a simplement oublié d'expliquer comment cela fonctionnait et les innombrables services que cela peut offrir.
D'après le Baromètre du Numérique 2022 du ministère de l'économie, des Finances et de la Souveraineté (quelle souveraineté, depuis que la France a bradé la sienne sur l'autel européen!) Industrielle et Numérique, 48 % de la population française (de 12 ans et plus) auraient encore des difficultés à utiliser pleinement les outils informatiques. Ne serait-ce pas un moyen de diviser les populations entre ceux qui maitriseront les intelligences artificielles et les autres qui n'y auront pas été initiés ?
Tout dépendra aussi de ce qu'on fera avec ces IA. L'outil ChatGPT, qui fait fureur depuis quelques semaines dans les cours d'écoles, permet par exemple à un élève de tricher de plusieurs manières, en demandant par exemple à l'IA de rédiger une rédaction à la place de l'élève. Est-ce bien moral ?
On assiste en ce moment à l'apparition de plusieurs IA qui vont interférer dans notre vie quotidienne : Whisper permet ainsi de transcrire des fichiers audio en texte et de faire gagner un temps précieux à l'étudiant, tandis que ChatGPT génère du texte correct dans n'importe quelle langue et sur n'importe quel sujet. A ce rythme-là, il en est fini de la page blanche...Une majorité d'utilisateurs utilise cette application comme un moteur de recherche, et adoptent immédiatement l'IA qui, au lieu de répondre à votre recherche à l'aide de liens, vous apporte directement l'information demandée dans un français des plus corrects. ChatGPT est l'assistant parfait pour vous aider dans vos travaux d'écriture et la recherche d'informations. Selon votre profession, ce programme peut aisément faire de vous un écrivain en herbe. On n'arrête pas le progrès...
 
 
MURIEL SE MET AUX TEMPS OUBLIES DE LA CONJUGAISON
Vers l'apocalypse scolaire ?
Il semblerait que nous y soyons déjà.
La disparition progressive des temps (subjonctif, passé simple, imparfait, formes composées du futur, participe passé…) donne lieu à une pensée au présent, limitée à l’instant et incapable de projections dans le temps.
La généralisation du tutoiement, la disparition des majuscules et de la ponctuation sont autant de coups mortels portés à la subtilité de l’expression.
Supprimer le mot «mademoiselle» est non seulement renoncer à l’esthétique d’un mot, mais également promouvoir l’idée qu’entre une petite fille et une femme il n’y a rien.
Moins de mots et moins de verbes conjugués c’est moins de capacités à exprimer les émotions et moins de possibilités d’élaborer une pensée. Des études ont montré qu’une partie de la violence dans la sphère publique et privée provient directement de l’incapacité à mettre des mots sur les émotions.
Sans mot pour construire un raisonnement, la pensée complexe chère à Edgar Morin est entravée et rendue impossible. Plus le langage est pauvre, moins la pensée existe.
L’histoire est riche d’exemples et les écrits sont nombreux, de Georges Orwell dans 1984 à Ray Bradbury dans Fahrenheit 451, qui ont relaté comment les dictatures de toutes obédiences entravaient la pensée en réduisant et tordant le nombre et le sens des mots.
Il n’y a pas de pensée critique sans pensée. Et il n’y a pas de pensée sans mots.
Comment construire une pensée hypothético-déductive sans maîtrise du conditionnel ? Comment envisager l’avenir sans conjugaison au futur ? Comment appréhender une temporalité, une succession d’éléments dans le temps, qu’ils soient passés ou à venir, ainsi que leur durée relative, sans une langue qui fait la différence entre ce qui aurait pu être, ce qui a été, ce qui est, ce qui pourrait advenir, et ce qui sera après que ce qui pourrait advenir soit advenu ? Si un cri de ralliement devait se faire entendre aujourd’hui, ce serait celui, adressé aux parents et aux enseignants: faites parler, lire et écrire vos enfants, vos élèves, vos étudiants.
Enseignez et pratiquez la langue dans ses formes les plus variées, même si elle semble compliquée, surtout si elle est compliquée. Parce que dans cet effort se trouve la liberté.
Ceux qui expliquent à longueur de temps qu’il faut simplifier l’orthographe, purger la langue de ses «défauts», abolir les genres, les temps, les nuances, tout ce qui crée de la complexité sont les fossoyeurs de l’esprit humain. Il n’est pas de liberté sans exigences.
« Il n’est pas de beauté sans la pensée de la beauté.»
Aujourd’hui, nous vous emmenons dans le Cantal, au restaurant « Le Garage » (2, Route de Mauriac, à Trizac), un ancien garage qui a trouvé sa nouvelle vocation:Chou farci, bourriol et autres spécialités, chez Dominique et Kiki.
Dimanche 26 mars 2023 : En ce jour dominical, j’ai profité de ma promenade au Mont-Dol pour convoler avec des congénères, en prenant le (arrière) train en marche. Succès garanti !
Lundi 27 mars 2023 : A la mi-journée, mon maitre est tombé sur le trottoir en début de promenade, à cause de ses chaussures mal lacées.
Mardi 28 mars 2023 : Le harnais fixé à la taille de mon maitre a deux avantages : ma force de traction est répartie sur son dos et non plus sur un seul bras. Et moi je peux tirer plus spontanément, mieux me dépenser et...faire la sieste en rentrant
Mercredi 29 mars 2023 : Me voici parti pour une virée nantaise, confortablement installé sur la banquette arrière de la Kuga.
Jeudi 30 mars 2023 : cet après-midi, mon maitre et moi avons découvert une nouvelle promenade à l’entrée de Dol de Bretagne entre champs et étang.
Vendredi 31 mars 2023 : Aujourd’hui, il a plu à seaux sur Saint-Malo et tout l’art consistait à se balader entre deux averses.
Samedi 1er avril 2023 : Ce n’est pas un poisson (d’Avril!) mais un lapin qui m’est passé sous le nez, c’est du moins ce que mon maitre m’a dit. Moi, je n’ai rien vu, trop occupé à creuser un terrier.
 
 
VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR...
Livre « Climat, la part d’incertitude » de Steven Koonin (L’Artilleur)
On entend souvent qu’en matière de climat "la science a parlé" et que « le consensus est établi ». En réalité, de la recherche fondamentale aux médias, l’information est déformée, voire faussée. Le climat est en train de changer, mais le pourquoi et le comment ne sont pas aussi clairs qu’on veut nous le faire croire. D’abord parce que la climatologie est une science récente, née dans les années 1960, et qu’elle est extraordinairement complexe. Souvent incapables d’entrer dans les détails des travaux de recherche, les journalistes et politiques non scientifiques ont besoin de simplifier pour sensibiliser, au risque de mentir. La science, GIEC compris, ne dit pas ce que les médias écrivent. Steven Koonin montre que nos connaissances scientifiques ne sont pas suffisantes pour faire des projections utiles et fiables sur la façon le climat évoluera au cours des prochaines décennies et encore moins pour savoir quels effets auront nos actions sur lui.
Livre « Histoire du Sahel : des origines à nos jours» de Bernard Lugan (Editions du Rocher)
Vaste de plus de 3 millions de kilomètres carrés, le Sahel - « rivage » en arabe (al Sàhil) - est un couloir de 4 000 kilomètres de long s'étendant du Sénégal, à l'ouest, au Soudan, à l'est. Rift ethno-racial, le Sahel est également un espace de contact. Il met en effet en relation l'univers nomade de l'Afrique « blanche » (le Bilad el-Beidan) et les sociétés sédentaires de l'Afrique « noire » (le Bilad-el-Sudan). Au nord, il s'abîme insensiblement dans la désolation saharienne, cependant qu'au sud, il se fond par touches dans le monde des savanes. Domaine du temps long, le Sahel a vu se succéder royaumes et empires (Ghana, Mali, Songhay, Bornou, etc.) qui contrôlaient les voies méridionales du commerce transsaharien sur lesquelles s'articulent les trafics et le terrorisme d'aujourd'hui. Pas moins de 35 % de la cocaïne sud-américaine à destination de l'Europe transiterait ainsi par le Sahel, cependant que les modernes marchands d'esclaves y rassemblent les cargaisons humaines qu'ils déversent en Europe. Enfin, depuis les années 2000, les islamo-jihadistes chassés d'Algérie se sont immiscés avec opportunisme dans le jeu politique local, en y provoquant la surinfection de la plaie ethno-raciale séculaire, matrice des actuels conflits. Illustré de plusieurs dizaines de cartes, ce livre donne les clés de compréhension de la conflictualité et de ces défis sahéliens, dont les conséquences se font ressentir jusqu'en Europe. https://youtu.be/VVPww3GUT-A
 
 
QUOI DE NEUF EN CRYPTO ?
Bitcoin disponible dans plus de 1200 banques en Allemagne :
Dire que les banques traditionnelles commencent à basculer dans la cryptomonnaie serait légèrement exagéré. Cependant, semaine après semaine, on observe quelques signaux faibles qui laissent penser que l’idée fait son chemin parmi certains acteurs du secteur. L’Allemagneest notamment concernée avec des annonces régulières venant de banques ayant pignon sur rue qui décident de proposer de la cryptomonnaie à leurs clients. Aujourd’hui, il s’agit de la Deutsche WertpapierService Bank AG(dwpbank) dont l’actionnaire principal n’est autre que la DZ Bank.
La Dwpbank a donc annoncé via un communiqué de presse publié la semaine dernière qu’elle allait dorénavant proposer un service d’achat, de vente et de détention de cryptomonnaie pour ses clients. Or, cette institution n’est pas une petite banque régionale, il s’agit d’une institution qui gère plus de 5 millions de comptes-titres pour ses clients. Ces derniers sont les caisses d’épargne allemandes, les banques coopératives, mais aussi des banques privées et commerciales.
 
 
NOUS PRENDRAIT-ON POUR DES CONS* ?
Le mobilier du Château de Grignon, propriété de l’Etat, bradé :
La vente du château de Grignon, situé dans la commune de Thiverval-Grignon (Yvelines), une splendide bâtisse du XVIIème, a permis à la corporation de faire beaucoup mieux que la culbute. Et de s’enrichir aux dépens des contribuables puisque le mobilier bradé par le ministère de l’Agriculture appartenait au patrimoine national
Par exemple, en juin 2022, sur le site de vente en ligne géré par l’État, on pouvait trouver une commode d'époque Louis XVI à un prix de départ de 150 euros, un ensemble de 20 sièges signés Jean-Baptiste Séné, l'un des plus grands menuisiers du XVIIIème divisé en 4 lots, mis en vente pour 170 euros et adjugés pour 6 240 euros alors que ces sièges valaient entre 300 000 et 500 000 euros, etc.
Le lièvre a été levé par l'association Sites et Monuments qui en feuilletant le catalogue de la maison de vente Daguerre, a relevé que plusieurs lots, présentés comme des copies et ensuite revendus à Drouot, étaient des originaux.
Si les experts, la Direction nationale d'interventions domaniales (DNID), chargés d’estimer les biens, se sont lamentablement plantés, d’autres ont tiré profit de cette bévue : une console en bois de 1780 mise à prix 40 euros, adjugée en ligne à 2 250 euros a par exemple été revendue 13 000 euros quatre mois plus tard à Drouot, etc...
La bourde mobilière qui s’est produite lors du déménagement de l'école AgroParisTech, du château de Grignon au plateau de Saclay, a conduit le procureur général auprès de la Cour des comptes à solliciter une enquête afin de déterminer de quelle manière l’opération a été menée, si des règles ont été enfreintes et, le cas échéant, de définir les responsabilités.
Plusieurs erreurs auraient été commises par l’administration : les agents de la DNID n’auraient pas expertisé les meubles, qui se trouvaient dans un grenier, de visu mais sur la base d’une liste et de photos fournies par les responsables de l’établissement. Ils auraient alors identifiés comme de simples copies, certaines pièces d’époque. Par ailleurs, la vente aurait été préparée puis organisée sans que l'accord préalable du Mobilier national ait été sollicité par le ministère de l'Agriculture et les Domaines, et bien que cet avis soit requis.
Pataud, l’État fait aujourd’hui valoir que les biens du domaine public sont inaliénables et que la cession des fauteuils et canapés réalisés par l'ébéniste Jean-Baptiste Sené pourrait faire l’objet d’un recours en nullité. Le Mobilier national tente de récupérer les meubles, mais l’affaire va prendre du temps. D’autant qu'un des lots des fauteuils de Jean-Baptiste Sené se trouve aujourd'hui au Royaume-Uni, pays sorti de l'Union européenne.(source:Contribuables Associés)
Livre « Comprendre la relation Chine-Occident : La superpuissance réticente et l’hégémonie isolée » de Laurent Michelon (Editions Perspectives Libres) (https://youtu.be/Goc9KLtDcyk)
« Il est impossible de trouver dans les médias occidentaux une information qui présente la Chine sous un jour, à défaut de positif, du moins objectif. Pire encore, le public, pourtant dans sa majorité indifférent à la Chine, est dûment « informé », jusque dans ses médias régionaux, de tous les maux dont la Chine se trouve accusée régulièrement. Ce sont là les symptômes d'une propagande médiatique coordonnée dont la finalité est de ternir à tout prix l'image de la Chine.
Cet essai propose une série d'explications dépassionnées sur les questions géopolitiques soulevées dans les médias au sujet de la Chine, avant d'évaluer la nature de ses nouvelles relations avec la France, l'UE et l'Occident en général.
Loin des analyses partisanes, manichéennes et simplistes imposées par l'intelligentsia occidentale, l'auteur tente de rétablir un équilibre entre la désinformation systématique dont est victime la Chine dans les médias internationaux, et la réalité de la renaissance chinoise. Contrairement au clivage trivial « pour ou contre » qu'imposent les médias occidentaux sur les thèmes qu'ils choisissent de traiter, il ne s'agit d'être ni pro, ni anti-Chine, mais de saisir la complexité de la renaissance chinoise pour faire fructifier notre relation bilatérale, tant les opportunités de coprospérité sont nombreuses et ne se représenteront pas de sitôt.
Liberté d’expression à géométrie variable :
L'œuvre Fuck abstraction de Miriam Cahn est-elle à caractère pédopornographique ? «Ce n'est ni à une ministre, ni à une parlementaire de qualifier une infraction pénale», a défendu mardi la ministre de la Culture.
Exposée depuis le 17 février au Palais de Tokyo, cette œuvre de l'artiste suisse représente une personne aux mains liées, contrainte à une fellation. Pour certains, comme l'association Juristes pour l'enfance, il s'agit d'un enfant. La peinture fait l'objet d'une pétition en ligne demandant son retrait, qui a récolté à ce jour quelque 8500 signatures.
«Ce ne sont pas des enfants. Ce tableau traite de la façon dont la sexualité est utilisée comme arme de guerre, comme crime contre l'humanité», s'est défendue l'artiste citée dans un communiqué du musée parisien. La photo du tableau (ci-dessous) permettra à chacun de juger !
CSI (Conseil Scientifique Indépendant) N° 97 du jeudi 30 mars 2023 : l’invité est le mathématicien Vincent Pavan pour traiter du thème suivant : 12 fois plus contagieux, histoire d’un indicateur truqué. https://crowdbunker.com/v/wnR8ie9f
 
 
ACTIVONS NOS NEURONES
Toi, toi, mon toit...le statut de propriétaire qui trouvait encore son intérêt il y a quelques années devient trop galère pour poursuivre l’aventure. Entre les exigences grandissantes des DPE en matière d’isolation, la hausse des taux d’intérêt, les squatteurs ... et la chute amorcée du marché immobilier, il est temps de passer à autre chose.
Après Paris, c’est la province qui plonge dans le rouge depuis la fin de l’année dernière, tout particulièrement dans les villes qui avaient le plus augmenté ces dernières années : Lyon (-3,2 % sur un an), Lille (-2,4%) ou Nantes (-0.4%). Des agglomérations où le prix du m2 est devenu inaccessible aux petits budgets. La principale raison reste la remontée des taux d’intérêt, qui a fait perdre à nos compatriotes près de 20 % de capacité d’achat à crédit. Les emprunteurs (les jeunes primo-accédants et les investisseurs) dépassant un taux d’endettement de 35 % sont en effet exclus de facto s’ils ne peuvent s’endetter sur une durée plus longue ou mobiliser un apport supplémentaire.
Comme si cela ne suffisait pas, le législateur a introduit récemment des nouveautés réglementaires :
- Pression sur les bailleurs pour qu’il renforcent l’isolation de leurs biens, mesure qui touche les plus modestes d’entre eux
- Le marché de l’investissement locatif subit également un encadrement généralisé des loyers et un coup de rabot sur les niches fiscales.
A quoi bon se casser la nénette à rester propriétaire à ce tarif-là ?
La hantise reste le DPE, dont le mauvais classement expose déjà depuis 2022 au gel des loyers, bientôt suivi (en 2025) de l’interdiction de louer lorsqu’un logement atteint la note G, sans parler de l’obligation de réaliser, à compter du 1er avril 2023 (et ce n’est pas un poisson!) un audit énergétique, en plus du DPE, pour avoir le droit de vendre son bien à cette date.
Trois solutions s’offrent aux propriétaires concernés :
- Rénover : grâce au bouquet d’aides (MaPrime Rénov, certificats d’économie d’énergie et aides locales), des travaux de rénovation sont rentabilisés en 5 ans pour un foyer modeste et entre 10 et 15 ans pour un couple aisé. Avant de se lancer, il est fortement recommander d’évaluer le budget nécessaire et la faisabilité technique du chantier. Faire aussi réaliser un DPE afin de connaître les postes-clés sur lesquels agir pour optimiser l’isolation du bien. L’audit énergétique, lui, permet même de formuler des propositions de travaux pour faire, par exemple passer le logement classé F ou G, en classe C.
- Vendre peut être la solution, moyennant une décote constatée de 5 à 10 % pour une passoire dans une grande ville. Voire 20 % plus rarement lorsque le bien est à la fois une passoire énergétique et cumule d’autres défauts. Quoiqu’il en soit, il ne faut pas hésiter à rassurer les acheteurs en les informant largement (devis d’artisans, autorisations accordées par la copropriété...) si vous vendez un logement classé F ou G. (source : Mieux-vivre votre argent)
 
 
DU COTE DE CHEZ NOUS
Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix: C’est un peu comme si l’éditeur du Rouge et le Noir avait dit à Stendhal « tu m’appelles ça Féminicide à Grenoble » (https://odysee.com/@campagnoltvl:2/war:2b)
 
 
LE MUSEE DU MOIS
La ville de Denain est entrée dans l’Histoire suite à la victoire des troupes du Maréchal Villars en 1712 sur celle de l’alliance autro-hollandaise lors de la guerre de succession d’Espagne. Située au cœur du bassin industriel du Nord, la ville devient au XIXème siècle un centre majeur avec la découverte du charbon et l’installation des forges et aciéries.
Le musée d’Archéologie et d’Histoire Locale témoigne ainsi de cette riche histoire.
Dans l'ombre de Valenciennes, l’Athènes du Nord, et sa pléiade de Prix de Rome, Denain n'en est pas pour autant dénuée de vie artistique. La Mutuelle Artistique œuvre dès 1936 et organise des manifestations culturelles. Son action amène à la création du musée qui ouvre en 1947 avec des collections d’histoire locale centrées sur le poète et mineur de fond Jules Mousseron et son cercle artistique, et avec des œuvres issues de la mission ethnographique des peintres Boris Taslitzky et Jean Amblard mandatés par George-Henri Rivière pour dessiner la vie ouvrière au sortir de la guerre. À partir de 1960 et jusqu’en 1980, les découvertes archéologiques locales ont enrichi ces collections.
Ce premier versement sur Joconde, effectué avec le soutien de l’association Musenor, met en valeur une partie du cœur de la collection, à savoir le riche fonds Beaux-arts lié aux représentations de la Révolution Industrielle, de l’ouvrier au travail et des paysages du bassin minier et sidérurgique. D’autres versements suivront visant à valoriser ces thématiques qui sont au centre de ses préoccupations.
Musée d’archéologie et d’histoire locale de Denain, 9 Place Wilson, à Denain (59)
Le printemps est enfin de retour, avec l’éclatement des bourgeons et des boutons floraux. Il est temps de semer, planter...malgré la persistance toujours possible des journées fraiches et des pluies froides à cette époque :
Concernant la pelouse : si ce n’est déjà fait, appliquer un anti-mousse sur la pelouse si nécessaire, puis ratisser (scarifier) pour retirer la mousse et aérer le sol après une tonte... Eliminez aussi les mauvaises herbes à la main ou à l’aide d’un désherbant. Regarnir au besoin le gazon avec de semences de regarnissage. Fortifier avec un apport d’engrais, puis tondre la pelouse toutes les semaines.
Au jardin : planter les vivaces de fin de printemps (lupins, géraniums vivaces, oeillets mignardises), les plantes vivaces à fleurir cet été (anthémis des jardins, coréopsis, campanules, marguerites), les arbustes d’été (fuschia rustique, buddléia, hibiscus, hortensia), les bulbes d’été (dahlias, glaïeuls, montbrétias, bégonias, lys, hémérocalles, cannas, vallotas...) et les plantes grimpantes (clématites, chèvrefeuilles, passiflores).
Tailler les hortensias, les arbustes printaniers défleuris et retirer les fleurs fanées des jonquilles et des tulipes.
Eliminez les premières mauvaises herbes dans les allées et les parterres.
Inspecter les buis pour vérifier qu’ils ne soient pas attaqués par la pyrale du buis
Apporter de l’engrais aux pieds des plantes et des pieds
Installer des hôtels à insectes
Semez un massif de fleurs pour cet été.
Au potager : si ce n’est déjà fait, préparer le sol de votre potager pour accueillir plants et semis. Fertiliser éventuellement avec du fumier décomposé. Aérer le sol avec une fourche-bêche, ratisser pour casser les mottes de terre. Semez les premiers légumes en fin de mois.
Semez ou repiquer les premiers légumes (carottes, radis, betteraves, panais, navets,) ainsi que cerfeuil, épinards, choux-fleurs, brocoli, salades (laitues à couper, cresson et mesclun), et aromatiques (persil, thym, estragon, ciboulette)
Semez sous abri (tomates , courgettes, concombres, potiron et basilic)
Au verger : plantez fraisiers et framboisiers. Bien arroser les jeunes plantations, préservez les jeunes arbres des maladies, installer des pièges à phéromones pour protéger vos récoltes des ravageurs.
Au jardin intérieur : augmenter la fréquence d’arrosage des plantes et apporter de l’engrais une fois toutes les deux semaines. Rempoter les plantes trop à l’étroit avec du terreau (cela concerne aussi les orchidées). Reprendre l’arrosage des plantes grasses et des cactus, inspecter les plantes (absence de parasites, retirer les feuilles mortes), aérer les plantes dès que possible, et tailler le bougainvillier pour qu’il se ramifie.
 
 
FESTIVALS, FÊTES, EVENEMENTS & SALONS
Festival Namasté France, du 7 au 12 avril 2023, à Paris (75)
Pendant les six jours du festival, Namasté France mettra en valeur un mélange éclectique du meilleur des traditions culturelles vivantes et des arts contemporains de l’Inde. À travers un éventail d’arts du spectacle et visuels – de l’art classique au folk, du yoga aux ateliers de danse Bollywood, de la photographie à l’artisanat et la gastronomie, Namasté France promet d’offrir une expérience immersive dans le paysage culturel indien.
Convaincu du pouvoir important de la culture qui rapproche les peuples au-delà des frontières et des générations, Namasté France recherchera également à faire progresser les liens interpersonnels entre la population indienne et française. Les événements du festival ont été soigneusement choisis non seulement pour présenter le meilleur de cette culture millénaire, mais aussi pour refléter l’Inde d’aujourd’hui.
Le Marché de l’Artisanat Indien est une pépinière d’œuvres créatives et de talents inégalés. Il s’agit notamment d’un rassemblement de 22 maîtres artisans originaires de toute l’Inde, qui exposeront leurs plus belles œuvres d’art. Chaque art et artiste a été sélectionné par un expert en artisanat, afin de présenter la diversité et la richesse de l’artisanat indien. Chaque artiste a consacré sa vie à perfectionner son art et ses produits reflètent l’histoire de la persévérance, de la patience et du travail qui ont permis de créer chaque pièce.
Le festival Namasté France propose une série d’ateliers gratuits pour apprendre à nouer un saree et un turban à la manière indienne, s'exercer à la danse bollywoodienne, profiter de séances de yoga ou de méditation, ou encore découvrir les instruments de la musique classique et folklorique de l’Inde. Le festival propose également des discussions littéraires sur des thèmes aussi variés que l'art, l'histoire, la spiritualité, la culture et le patrimoine.
Le festival Namasté France sera également un voyage culinaire à travers l'Inde. Vous retrouverez des stands gastronomiques présentant la diversité proposée en Inde (du nord jusqu'au sud). Focus sur la street food et aux plats exotiques. Un chef indien de renommée internationale s'associera aux chefs de La Seine Musicale pour proposer une cuisine fusion inédite.
Nouveau spectacle du Puy du Fou : « Le Mime et l'Etoile »
A travers Le Mime et l’Étoile, le Puy du Fou celebre les debuts du 7ème art, celui d’un cinéma muet en noir et blanc pour lequel il fallait tout inventer, se débrouiller et faire appel à des acteurs plus proches du monde du cirque que du théâtre.
De fait, les grandes vedettes de théâtre n’existaient que par le verbe haut et clair, et on leur préférait les mimes pour leur incroyable expressivité.
Le Mime et l’Étoile raconte la rencontre d’un comédien du muet qui tombe amoureux d’une jeune première. On les suit dans leurs « aventures » filmées, une « fable amoureuse » qui est celle aussi des premiers pas du cinéma, inventé peu de temps avant par les frères Lumière.
« Semaine des Métiers du Tourisme » du 3 au 9 avril 2023, à Paris (75)
Du 3 au 9 avril 2023 se déroulera la première édition de la Semaine des métiers du tourisme, durant laquelle les professionnels comme les formateurs du secteur ouvriront leurs portes au grand public, notamment aux jeunes et aux demandeurs d’emploi. Au programme : visites d’entreprises, journées portes ouvertes au sein des écoles, forums de recrutement, ateliers, conférences, journées d’immersion en entreprises, etc.
Chasse aux oeufs géante, les 8, 9 & 10 avril 2023, à Merville (31)
Fidèle à la tradition, le Labyrinthe de Merville organise sa vingt-sixième chasse aux œufs dans le cadre enchanteur de son parc classé « Jardin remarquable ».
Cette année, la famille de Beaumont voit encore plus grand : son Lapin de Pâques, que les promeneurs croiseront assurément, arpentera les sous-bois pour dissimuler quelque 80 000 petits trésors chocolatés durant les trois jours du week-end pascal. A la sortie, la célèbre mascotte s’assurera que chacun reparte bien avec une douzaine d’œufs dans son panier.
De 10h à 18h, entrée adulte : 11,50€ et enfant (4 à 12 ans) : 9,50€.
Restauration légère à la Taverne du château et aire de pique-nique.Possibilité de réservation en ligne sur labyrinthedemerville.com
Au Labyrinthe de Merville, Chemin de Grand Borde, à Merville (31)
Évènement « 100 % l'Expo », du 5 au 23 avril 2023, à Paris (75)
Pour sa 5ème édition, 100% L’EXPO investit à nouveau La Villette, des folies à la Grande Halle, pour offrir un panorama exigeant des meilleurs talents de la jeune création artistique française et internationale récemment diplômés. Pensée comme un véritable tremplin professionnel, 100% L’EXPO invite des écoles françaises et internationales pour mettre en lumière une génération émergente d’artistes aux pratiques variées : arts plastiques, performance, arts numériques, cinéma, architecture, stylisme, design, photographie… Vitrine du savoir-faire et de la créativité de la nouvelle génération, 100% L'Expo se conçoit comme une plateforme interdisciplinaire de la jeune création ainsi qu’un parcours artistique ouvert.
A la Grand Halle et Parc de la Villette, à Paris (19ème)
Spi Ouest-France Banque Populaire Grand Ouest du 6 au 10 avril 2023, à La Trinité (56)
Course majeure de la voile française, le Spi Ouest-France Destination Morbihan se déroule chaque année, durant le week-end de Pâques en baie de Quiberon. Organisé par le journal Ouest-France et la Société Nautique de La Trinité-sur-Mer, le Spi Ouest-France Destination Morbihan est devenu au fil des 41 éditions disputées la plus grande régate de voiliers habitables d’Europe au printemps, mêlant amateurs et professionnels, monocoques et multicoques, monotypes et voiliers de série IRC et Osiris.
Au môle Eric Tabarly, à La Trinité (56)
Un demi million de tulipes au Château de Cheverny (41)
A l’occasion des dix ans du bandeau de tulipes, le célèbre ruban de tulipes du château de Cheverny a doublé de superficie.
"Fin mars, début avril, Cheverny est devenu le rendez-vous incontournable pour des amoureux de fleurs et de nature.", explique Constance de Vibraye, propriétaire du château de Cheverny. "Au fil des années, nous avons agrandi le ruban de tulipes pour arriver à 250 000 bulbes plantés depuis 2022. Nous devions marquer ce dixième anniversaire de manière spectaculaire. Cette année, un demi million bulbes formera donc deux gigantesques bandeaux de tulipes ! Cette déclinaison de fleurs rouges, roses, jaunes, orangés, mauves et blancs constitue une véritable œuvre d’art naturelle, qui se termine dans la pièce d’eau du parc du château."
Chacun des bandeaux mesure 250 mètres de long et 12 mètres de large. Les 500 000 bulbes de la variété Triumph qui composent ces deux rubans, ont été plantés à la main à l’automne durant dix jours.
Selon les conditions météorologiques, les deux rubans seront à admirer de fin mars à mi-avril. Chacun pourra suivre leur évolution sur les réseaux sociaux du Château avant de se rendre à Cheverny pour admirer ce Keukenhof à la française.
60ème anniversaire de la Mer de Sable à Ermenonville (60)
Trois temps forts vont marquer les 60 ans de ce parc : un week-end d’ouverture de Pâques les 8-9-10 avril particulièrement animé ; la célébration de l’ouverture le 8 juin autour du chiffre 60 (60 cavaliers pourraient débouler dans le désert mexicain) et un feu d’artifice remis au programme la nuit du 13 juillet.
La dernière grande attraction, Silver Mountain, a ouvert en 2021. La réflexion est en cours pour en financer une nouvelle avant 2025. L’année anniversaire des 60 ans est marquée par plusieurs nouveaux investissements autour du portail d’entrée, de la Place de la Gare et de l’hébergement des bureaux.
C’est aussi le retour de deux attractions qui avaient été suspendues : Le ranch et l’Attaque du train.
Un film rétrospectif de l’épopée de la Mer de Sable depuis son ouverture sera également projeté en continu dans La Pagode, transformée pour l’occasion en salle de cinéma.
Via Sensoria, parcours immersif de dégustations, du 7 avril au 5 novembre 2023, à Bordeaux (33)
Cette nouvelle création artistique, numérique et immersive s’adresse à tous y compris aux non-amateurs de vin et aux familles. Dans un cadre unique au monde, elle vient enrichir l’offre de dégustations existante de la Cité du Vin. Les participants de Via Sensoria sont en effet invités à vivre un moment de dégustation inédit et accompagné, en déambulant à travers 4 espaces immersifs et oniriques, mêlant des créations visuelles, sonores et poétiques. Pour sa première édition, Via Sensoria fera voyager les visiteurs Au rythme des saisons.
À l’entrée des 4 espaces (printemps, été, automne et hiver), une dégustation de vins du monde ou de boissons sans alcool sera orchestrée par un animateur-sommelier accompagnant le public. Une expérience qui conduira chacun à s’interroger sur ses sensations et émotions.
A la Cité du Vin, 1 Esplanade de Pontac à Bordeaux (33)
Fête des Arts de la Préhistoire les 8 & 9 avril 2023, à Paris (75)
Dans le cadre de la saison "Arts et Préhistoire", le Musée de l'Homme propose un programme festif pour explorer en famille les liens entre art contemporain et art préhistorique : démonstrations de street art pariétal, concert préhistorique, participation à une fresque collective, conte musical, performances, projection, ateliers, happening, rencontres...
Et pour Pâques, le lundi 10 avril, grande chasse aux os en chocolat dans le musée, pour toute la famille.
Au Muséum national d’Histoire naturelle, 57, rue Cuvier à Paris (5ème)
Le repas des grands félins, les 8 avril, 13 mai, 22 juillet, 12 août et 28 octobre 2023, à Lumigny-Nesles-Ormeaux (77)
Le 8 avril prochain, les parcs zoologiques de Lumigny inaugureront le premier Grand Morning de la saison.
Une occasion unique pour le public d’assister au festin des felins. Un regal pour les yeux des visiteurs et les babines des lions et des jaguars...
En effet, les parcs zoologiques de Lumigny invitent petits et grands a vivre un moment exceptionnel : le repas en exterieur des grands felins. De quoi faire saliver d’envie les amateurs de savane... Il s’agira du premier des cinq rendez-vous prevus tout au long de l’annee. Lors de chaque Grand Morning, vous assisterez a l’entree des animaux sur leur territoire et a leur recherche des surprises qui leur ont ete concoctees par les soigneurs. Rendez-vous a 10h15 et 10h45 face aux territoires concernes par l’evenement.
« Hyper sensible », du 7 avril au 3 septembre 2023, à Nantes (44)
Pour sa grande exposition 2023, le Musée d’arts de Nantes porte un regard sur la sculpture hyperréaliste. Cette forme artistique, peu exposée en France depuis sa naissance aux États-Unis dans les années 1960, connaît un regain d’intérêt depuis les années 1990.
Au Musée d’Arts de Nantes, 10 rue Georges Clémenceau, à Nantes (44)
« Une collection provençale », jusqu'au 18 juin 2023, à Grasse (06)
Le Musée d’Art et d’Histoire de Provence organise une exposition temporaire qui propose une immersion au coeur de la Provence orientale, du 18ème au 20ème siècle. Les oeuvres exposées, qui témoignent de la richesse et de la diversité des collections conservées au MAHP, permettent d’aborder de nombreux aspects de la vie grassoise comme autant de facettes composant son identité. Cette exposition propose de découvrir ses fêtes et traditions populaires, sa vie artistique mais aussi l’histoire de la constitution de ce musée à travers des collections de photographies, d’instruments de musique, de céramiques, de textiles ou de beaux-arts.
Au Musée d’art et d’histoire de Provence, 2 rue Mirabeau, à Grasse (06)
« En vadrouille avec Louis de Funès » du 5 avril au 5 novembre 2023, à Mulhouse (68)
La filmographie de Louis de Funes a tres souvent epouse les modes liees a un contexte social, culturel, économique ou politique. L’histoire de l’Automobile du XXeme siecle n’y echappe pas. La 2CV du Corniaud, la DS d’Hibernatus et de Rabbi Jacob, la Mehari des Gendarmes... Dans ces films, les voitures emblematiques des annees 60 et 70 sont des personnages a part entiere qui ont marque l’imaginaire de toute une generation de spectateurs !
Du 5 avril au 5 novembre 2023, le Musee national de l’Automobile invite donc le public a redecouvrir les vehicules phares de ces scenes devenues mythiques grace au genie comique de Louis de Funes.
L’exposition réunit des modèles de voitures vues dans les films, des affiches, des photos de tournage ou encore des accessoires de films.
Au Musée national de l’Automobile, 192 rue de Colmar, à Mulhouse (68)
« Métamorphoses » du 4 avril au 24 novembre 2024, à Paris (75)
Métamorphoses introduit aux prémices de la démarche scientifique, à l’émerveillement et aux questionnements, tout en stimulant l’imagination des petits et des grands.
L'exposition se décline en cinq espaces : La forêt merveilleuse, Mon beau miroir, Le monde des ombres, Mille et un regards et La fête foraine. La scénographie, volontairement évocatrice et non figurative, plonge les visiteurs dans des univers immersifs singuliers. Elle s’accompagne d’un discours incarné?: c’est la métamorphose, personnifiée, qui s’adresse aux enfants, et qui les interpelle. Le parcours lui est libre, intuitif, l’enfant passe d’un univers à l’autre en fonction de ses envies.
A la Cité des Sciences et de l’Industrie, 30 Avenue Corentin Cariou, à Paris (19ème)
« Les Balades photographiques de Daoulas #2023, du 5 avril au 3 décembre 2023, à Daoulas (29)
Cette année, les Balades photographiques de Daoulas réunissent deux grands noms de la photographie, Sophie Zénon et Benjamin Deroche, en proposant une déambulation photo poétique et sensible sur le thème de la mémoire.
A l’Abbaye de Daoulas, 21 rue de l’Eglise, à Daoulas (29)
Derniers jours de l'exposition « Godon Bio », jusqu'au 8 mai 2023, à Touquet Paris Plage (62)
Ce qui différencie les artistes ?....... C’est leur style !
Plus il est marqué unique plus il devient reconnaissable au premier regard.
Mais comment cette écriture si personnelle propre aux grands artistes se forge-t-elle ?
Cette exposition, intitulée « Bio », va vous le faire comprendre en suivant, année par année, les chemins pris par un artiste remarquable, Alain Godon, au gré de ses recherches, de ses détours et de ses découvertes.
Bon voyage…
Au Musée de Touquet-Paris-Plage, Villa Way Side, à l’angle des avenues du Golf et du Château, à Touquet-Paris-Plage (62)
« Tarz. Broder au Maroc, hier et aujourd'hui » jusqu'au 16 juillet 2023, à Tourcoing (59)
Cette exposition présente les collections exceptionnelles de broderies marocaines du Musée d’Angoulême – provenant pour l’essentiel de l’ancienne collection Prosper Ricard – mais aussi des créations contemporaines qui viennent dialoguer avec les œuvres traditionnelles.
Au Maroc, les broderies jouent un rôle majeur dans la culture visuelle. Elles séduisent par leurs nuances subtiles, leurs harmonies rythmées et la force qui se dégage de leurs compositions, spécifiques à chaque ville ou région : Tétouan, Chaouen, Rabat, Salé, Fès, Meknès, Azemmour, ou, plus au sud, les régions du Tafilalt et de l’Anti-Atlas.
Cette exposition vous propose un voyage enchanteur dans cet art délicat et exigeant, raffiné et intime, qui a connu influences et mutations diverses au cours du temps. Des créations originales imaginées par l’artiste Fatima Lévèque et réalisées à ses côtés par deux ateliers marocains, font de cette exposition un dialogue fécond entre collection patrimoniale et création contemporaine.
Peu connues du grand public, ces broderies sont les produits d’un art vivant, à la fois intimiste et spectaculaire, aux origines et influences variée.
A l’Institut du monde arabe, 9 rue Gabriel Péri, à Tourcoing (59)
«1997, Fashion Big Bang » jusqu'au 16 juillet 2023, à Paris (75)
À la fois consecration de la mode des annees 1990 et charniere vers le nouveau millenaire, l'annee 1997 voit l’enchainement effrene de collections, de defiles et d’evenements qui dessinent l’echiquier de la mode tel qu’on le connait aujourd’hui. Cet impact est tel que l'année 1997 pourrait etre consideree comme le lancement de la mode du XXIème siecle. Le parcours chronologique reunit plus de 50 silhouettes issues des collections du Palais Galliera, de prets de musees, de collectionneurs internationaux et de maisons de mode. Il est enrichi par autant de videos et de documents d’archive inedits.
Au Palais Galliera, 10, Avenue Pierre 1er de Serbie, à Paris (16ème)
« Ramsès, l'or des pharaons », du 7 avril au 6 septembre 2023 à Paris (75)
L'exposition en tournée mondiale, fait escale pour un temps dans la Grande Halle de la Villette. Ramsès II, pharaon des pharaons, symbolise toute la magnificence de l’Égypte ancienne. L'exposition raconte la splendeur inégalée du long règne du monarque bâtisseur dont le règne long de 66 ans est considéré comme l'apogée de la puissance et de la gloire de l'Égypte.
L’exposition présente une exceptionnelle collection de joyaux provenant des collections égyptiennes et dont la grande majorité est façonnée d’or. Sarcophages et momies, bijoux sublimes, masques royaux spectaculaires, amulettes exquises, statues et objets rendent hommage au délicat savoir-faire égyptien. De nombreux dispositifs aux technologies de pointe offrent une expérience immersive au cœur de la vie quotidienne de la XIXème dynastie, au XIIIème siècle avant notre ère.
A la Grande Halle de la Villette, 211 avenue Jean-Jaurès, à Paris (19ème)
« Juan de Pareja, Afro-hispanic painter », du 3 avril au 16 juillet 2023, à New-York (Etats-Unis)
Vélazquez, qui fit son portrait l’a rendu célèbre mais il aura fallu patienter quelques siècles avant que Juan de Pareja ne sorte de l’ombre. Le Met Museum, qui possède le tableau retrace la carrière et la vie de ce peintre afro-hispanique entré en qualité d’esclave dans l’atelier de Vélazquez. Lequel, une fois affranchi par son maitre deviendra artiste à son tour.
Pour la première fois, l’institution new-yorkaise réunit les tableaux connus de Pareja mais aussi des portraits et des scènes religieuses à la composition complexe. Le musée aborde par la même occasion le sort des populations noires et morisques (musulmans convertis au catholicisme) dans l’Espagne du Siècle d’Or.
Au Metropolitan Museum, 1000 5th Avenue, New York (Etats-Unis)
« Avant l'orage », jusqu'au 11 septembre 2023, à Paris (75)
L’exposition « Avant l’orage » invite à un cheminement à travers des installations et des œuvres de près d’une vingtaine d’artistes qui métamorphosent tous les espaces du musée.
Sur fond de dérèglement climatique, dans l’urgence du présent comme dans l’œil d’un cyclone, l’obscurité et la lumière, le printemps et l’hiver, la pluie et le soleil, le jour et la nuit, l’humain et le non-humain cohabitent au sein de cet accrochage inédit d’œuvres de la collection. Ces paysages instables, saisis dans une ronde désynchronisée du temps, figurent de nouveaux écosystèmes dans lesquels le visiteur est invité à s’immerger.
Articulée en deux temps, cette saison thématique s’ouvre avec une installation monumentale et inédite de Danh Vo, créée pour la Rotonde, avant d’être réactivée, à la fin du mois de mai, pour l’exposition consacrée à Tacita Dean, dans la Rotonde et la Galerie 2.
A la Bourse du Commerce, 2 rue de Viarmes, à Paris (1er)
« Mini voltigeurs », jusqu'au 14 mai 2023, à Paris (75)
Les insectes, champions de haute voltige ? Découvrez en images l’incroyable diversité des techniques de vol chez les insectes. Les insectesdisposent de techniques de vol très variées et particulièrement performantes. Leurs ailes sont un compromis parfait entre solidité, rigidité, flexion et poids.
Cette exposition de photographies présentée sur les grilles du Jardin des Plantes vous invite à voir l’invisible : l’insecte en vol, dans ses mouvements les plus fugaces.
Alors que les ingénieurs en aéronautique tentent de limiter les turbulences, les insectes en provoquent volontairement et les utilisent : ils créent une circulation d’air autour de leurs ailes qui produit une importante force ascensionnelle.
Les petites ailes qui battent s’apparentent davantage aux pales d’un rotor qu’à une aile d’avion. Mais, à la différence d’un rotor, les ailes des insectes travaillent dans les trois dimensions de l’espace : l’orientation des ailes change pendant le battement, permettant ainsi une variété d’ellipses.
Toutes proportions gardées, l’insecte ressemble à un hélicoptère qui disposerait d’un rotor dont chaque pale serait inclinable et déformable afin de faire varier l’angle d’attaque pendant chaque rotation.
Au Muséum d’Histoire naturelle, sur les grilles du Jardin des Plantes, 57 rue Cuvier, à Paris (5ème)
« Delacroix et les Arts », jusqu'au 18 septembre 2023, à Paris (75)
Dans l’ensemble de ses espaces muséographiques, à partir d’une sélection d’œuvres issues de ses collections, le musée Delacroix vous invite à parcourir l’œuvre du peintre romantique et à remonter aux sources du processus créatif d’un des plus grands artistes du XIXème siècle. Dans l’ancien appartement du peintre, découvrez comment Delacroix a fait du théâtre et de la musique une véritable source d’inspiration et admirez ses portraits qui évoquent la place du spectateur. Dans l’atelier du peintre, c’est le lien entre littérature et peinture qui est mis à l’honneur.
La nouvelle présentation des collections du musée Delacroix s’accompagne de conférences, d’ateliers, de visites guidées et d’événements, tels que des visites théâtralisées, des ateliers artistiques et des promenades dans le quartier Saint-Germain-des-Prés.
Au Musée Eugène Delacroix, 6 rue de Furstemberg, à Paris (6ème)
« Pastels », jusqu'au 2 juillet 2023, à Paris (75)
Le musée d’Orsay conserve une exceptionnelle collection de près de 500 pastels (467 en 2020). C’est l’une des plus belles collections au monde, avec en particulier un fonds de référence d’œuvres majeures d’Edgar Degas (1834-1917) et d’Odilon Redon (1840-1916), artistes qui ont profondément renouvelé l’art du pastel et l’ont placé au cœur de leur pratique.
Cette collection provient de celle du musée du Louvre, transférée en 1986 au musée d’Orsay, elle-même héritière en partie de celle du Musée du Luxembourg. La collection du musée d’Orsay s’est enrichie depuis par de nombreuses acquisitions, inscrites sur un inventaire propre depuis 2014.
Au Musée d’Orsay, Esplanade Valéry Giscard d’Estaing, à Paris (7ème)
« Pastiches de presse », du 4 avril au 29 octobre 2023, à Paris (75)
La BnF consacre une exposition aux détournements comiques de journaux qui réunit pour la première fois une large sélection de pastiches et parodies de presse écrite. Peu étudiée, cette pratique aujourd’hui très présente sur le web est régulière et ininterrompue depuis près de deux siècles. Ces pastiches interrogent notre rapport à l’information, de façon décalée et inédite. Présentant principalement des documents issus des collections de la Bibliothèque, l’exposition décrypte ces faux journaux pour rire, en s’appuyant à la fois sur la continuité du genre, ses évolutions et ses formes actuelles.
A la BnF, Allée Julien Cain, Quai François Mauriac, à Paris (13ème)
«La Haine des clans. Guerres de religion, 1559 à 1610», du 5 avril au 30 juillet 2023, à Paris (75)
La seconde moitié du XVIème siècle constitue la « part sombre » de la Renaissance, marquée en France par les querelles religieuses, les troubles civils et une profonde remise en cause du pouvoir royal : un âge de désordre et de déraison, qui, en quarante ans et huit guerres de Religion, va embraser le royaume en une succession d’affrontements, de répressions, de scandales et de massacres, bouleversant l’équilibre du pays de façon inédite.
C’est aussi un moment-clef de l’histoire nationale, peut-être la plus grave crise subie par l’Ancien Régime avant 1789 : elle a marqué de manière indélébile notre mémoire et l’imaginaire collectif, notamment par une frénésie nouvelle de violences, qui trouvent leur paroxysme dans l’épisode sanglant de la Saint-Barthélemy.
Le parcours retrace ainsi les troubles effrénés qui ont divisé le royaume entre la mort accidentelle d’Henri II, en 1559, et l’assassinat d’Henri IV, en 1610, signant la fin du règne d’un souverain pacificateur et promulgateur de l’Édit de Nantes, mais également victime, comme son prédécesseur, d’un régicide.
Au Musée de l’armée, 129 rue de Grenelle, Salle expo temporaire Aile Orient (3è étage), à Paris (7ème)
« Des cheveux et des poils », du 5 avril au 17 septembre 2023, à Paris (75)
«Des cheveux et des poils», présentée du 5 avril au 17 septembre 2023, montre comment la coiffure et l’agencement des poils humains participent depuis des siècles à la construction des apparences.
Quelques noms de coiffures du XVIIème au XXème siècle – à la Fontange, à la Titus, à la garçonne, à l’iroquoise, etc. – révèlent que les cheveux sont l’objet de véritables phénomènes de mode, dévoilant des codes sociaux et culturels que les contemporains savaient décrypter. Parce qu’il est un matériau corporel, de loin le plus convertible – il peut en effet être étiré, coupé, complété, coloré, orné, caché ou exhibé –, le poil est un élément essentiel de la mise en scène de soi qui permet d’afficher l’adhésion à une mode, une conviction, une contestation et est porteur de significations multiples, telle la féminité, la virilité, la négligence, etc.
Outre les thèmes inhérents à l’histoire de la coiffure (perruques, postiches, calvitie, coloration, etc.), l’exposition explore aussi les questions liées à la pilosité faciale (visages imberbes, barbes, moustaches, sourcils, etc.) et à la pilosité corporelle (torse, jambes, pubis, aisselles, épilation ou refus de celle-ci). Elle aborde aussi les métiers et savoir-faire d’hier et d’aujourd’hui – barbiers, perruquiers, étuvistes, coiffeurs de dame –, et leurs figures emblématiques telles que Léonard Autier (coiffeur favori de Marie-Antoinette), Monsieur Antoine, Maria et Rosi Carita, Alexandre de Paris ou plus récemment les coiffeurs studio. Enfin, les œuvres de Jean Paul Gaultier, Alexander McQueen ou Martin Margiela, pour ne citer qu’eux, révèlent que le cheveu peut être un matériau extraordinaire dans la création contemporaine.
Au musée des arts décoratifs, 107, rue de Rivoli,, à Paris (1er).
« Muses et Monstres, les fantaisies en toile de Jouy de Richard Saja », du 4 avril au 28 mai 2023, à Jouy-en-Josas (78)
Le Musee de la Toile de Jouy invite l’artiste et designer new-yorkais Richard Saja, pour une exposition monographique exceptionnelle : « Muses et Monstres, les fantaisies en Toile de Jouy de Richard Saja ». Fascine par les toiles a personnages du XVIIIe siecle, qui ont fait la renommee de la manufacture Oberkampf (1760-1843), il reinvente les codes de ces grands classiques de l’art decoratif francais en detournant des details de ces compositions foisonnantes. Le dessin d’origine devient ainsi le support d’un regard amuse et subversif sur l’histoire.
A travers plus d’une trentaine d’œuvres issues des collections du Musee, de la collection personnelle de l’artiste et de la Maison Schumacher – toiles, objets et vetements rebrodes, impressions digitales, patchworks – Richard Saja ouvre les portes de son univers fantasmagorique peuple de monstres, de clowns et de personnages bigarres. Brodees de couleurs vives, ses creatures font irruption dans les paysages bucoliques des toiles de Jouy. Il s’approprie egalement cet art decoratif a travers la creation de ses propres motifs, temoignant de sa fascination pour l’histoire et de son imagination debordante.
Cette retrospective de plus de vingt ans de creation permet de decouvrir le processus creatif unique de Richard Saja, artiste autodidacte et passionne. Parmi les œuvres, six toiles brodees specialement pour cette exposition reprennent le celebre motif « Liberte Americaine ». Cette toile, dessinee par Jean-Baptiste Huet, fut imprimee a la Manufacture Oberkampf entre 1783 et 1789. Elle rend compte du rapprochement entre la France et les Etats-Unis, a l’epoque de la guerre d’independance americaine. Pres de 250 ans plus tard, l’exposition « Muses et Monstres » tisse de nouveaux liens entre Jouy-en-Josas et New- York
Au Musée de la Toile de Jouy, 54 rue Charles de Gaulle, à Jouy-en-Josas (78)
 
 
TOURISME
Jeu « Ducey Code », du 8 avril au 5 novembre 2023, à Ducey-Les-Chéris (50)
Pour cette nouvelle saison, trois enquêtes différentes sont proposées aux visiteurs, de la plus simple à la plus difficile, qui permettent à chacun de s’amuser en découvrant l’histoire de Château des Montgommery :
La première enquête, le Cheval blanc d’Henri II : Vous faites partie de la garde royale d’Henri II et ce dernier vous donne pour mission de retrouver son cheval nommé « malheureux ». Il a disparu la veille d’un grand tournoi. Votre mission fait appel à vos sens de l’observation et de la déduction. Des indices ont été éparpillés dans l’ensemble du château et une liste de suspects vous est remise pour vous aider à résoudre cette enquête.
La seconde enquête, Les Malcontents : Le restaurateur du plafond de Vénus est recherché par la police pour vols et recel de tableaux. Avant de s’enfuir sur la machine à remonter le temps, il a eu le temps de bien dissimuler le plus prestigieux tableau et a défié la police de retrouver ce dernier grâce aux indices qu’il a dissimulés dans le château.
La troisième enquête, Les meurtres de la distillerie : Suite à un meurtre non résolu qui s’est déroulé dans l’ancienne distillerie du château en 1923, le dossier est réouvert. Seulement, l’enquêteur chargé de cette mission a lui aussi été assassiné.
Votre objectif est de comprendre qui a tué ces deux personnes à l’aide de votre smartphone.
(C’est le niveau le plus difficile du Ducey Code, il est recommandé pour les personnes de plus de 15 ans, habituées aux jeux sur smartphones.)
Si vous n’êtes pas joueurs, pas d’inquiétude ! Vous pouvez faire une visite libre sur les mêmes horaires d’ouverture que le Ducey Code. Il vous suffira de vous laisser guider au fil des étages par l’histoire des Montgommery.
Au Château des Montgommery, 4 rue du Général Leclerc, à Ducey-Les-Chéris (50)
Les E-pass Châteaux 2023 sont arrivés
Les Pass’Châteaux de l’Office de Tourisme Blois-Chambord ont toujours eu un grand succès depuis 10 ans. Ils se présentent sous différentes formules, de 2 à 6 châteaux assemblés. Ils font gagner du temps et de l’argent aux visiteurs, car un tarif préférentiel est proposé (comparé à des billets adultes achetés individuellement). D’autre part, le visiteur peut mieux organiser son séjour en fonction des châteaux retenus, sans compter l’option coupe-file, bien appréciable par temps de forte chaleur.
Jusqu’à présent les billets étaient remis sous forme de tickets papier, mais il est désormais possible de commander ces mêmes billets en version dématérialisée en se rendant sur la boutique de l’Office de Tourisme jusqu’à la dernière minute ou simplement la veille de votre séjour.
L’Office de Tourisme de Blois dispose du wifi gratuit pour faciliter le téléchargement des Pass. D’autre part, un service d’impression a tout de même été prévu pour ceux qui n’auraient pas d’e-mail.
La seconde nouveauté, qui sera appréciée des familles, réside dans la vente de e-billetterie pour les enfants. Pour un tarif au plus juste, en fonction des âges, les e-billets enfants sont en vente à l’unité, en corrélation avec les Pass des parents. Une sacrée bonne nouvelle pour l’organisation des vacances.
Même si la solution n’a rien de révolutionnaire, elle l’est pourtant dans le petit monde de la billetterie, car il aura fallu coordonner les systèmes informatiques des différents centres d’émission de tickets des 15 châteaux participants pour y parvenir.
La boutique en ligne propose aussi des séjours clés en main, en forfait tout compris. Ces 17 séjours thématiques sont également disponibles en coffret cadeau prêt-à-offrir, à partir de 110€/personne.
Les plus beaux parcs du monde à visiter au printemps selon Civitatis
Voir des cerisiers en fleurs vous remonte instantanément le moral?? Il est alors temps de mettre fin à la dépression hivernale. L’époque des pique-niques et des promenades aux doux parfums printaniers est arrivée. Civitatis a dressé une liste des 7 plus beaux parcs du monde à découvrir au printemps, de quoi vous inspirer pour votre prochaine escapade :
Jardin botanique de Kyoto, Japon
S’il y a bien un parc en fleurs remarquable sur le globe, c’est le jardin botanique de Kyoto. Cet agréable espace vert, situé dans le centre de l’ancienne capitale du Japon, abrite plus de 12 000 espèces de plantes différentes. Bien sûr, la plus convoitée au printemps est le cerisier du Japon, qui éclot dès la fin du mois de février. Le Pays du soleil levant est célèbre pour ses cerisiers en fleurs, les sakuras, et la meilleure période de l'année pour les admirer est fin mars ou début avril.
Saviez-vous qu'il existe un mot japonais, hanami, qui se traduit littéralement par "regarder les fleurs" ? Cette tradition est associée à la pratique répandue du pique-nique sous les cerisiers parfumés au printemps. Outre les magnifiques jardins botaniques de la ville de Kyoto, deux autres destinations incontournables pour pratiquer le hanami sont Osaka et Tokyo, bien sûr.
Parc Keukenhof, Pays-Bas
Un autre magnifique parc printanier se trouve dans la ville de Lisse, à une heure d'Amsterdam. Keukenhof est l'un des parcs les plus célèbres d'Europe et, au printemps, plus de sept millions de tulipes y fleurissent, ainsi que des jonquilles, des jacinthes et de nombreux arbres en fleurs. Il faut compter entre 2 et 4 heures pour parcourir tous les jardins fleuris, mais nous vous recommandons d'y passer la journée, car il y a souvent des expositions d'art et des événements.
À noter que ce parc hollandais n'est ouvert que huit semaines par an (cette année, du 23 mars au 14 mai). Lors de votre séjour à Amsterdam, faites un petit détour par Zaanse Schans. Cette région des Pays-Bas est célèbre pour ses maisons en bois, ses moulins iconiques, ses granges et ses ateliers. Au printemps, vous pourrez également apprécier les nombreux champs de tulipes de cette région.
Central Park, New York
Aucune liste de parcs ne serait complète sans le plus légendaire d'entre eux : Central Park. Bien que ce poumon vert soit éblouissant à n’importe quelle époque de l'année, cet espace a quelque chose de spécial entre les mois d'avril et de juin.
Central Park est l’un des lieux new-yorkais les plus emblématiques, situé en plein cœur de la Grosse Pomme, et le printemps est sans aucun doute la meilleure période pour apprécier sa beauté. Le parc s'anime dès que le soleil se fait plus présent, avec l’éclosion de ses fleurs colorées et l'apparition d'une verdure luxuriante. En vous promenant dans cet immense parc, vous respirerez les doux parfums des cerisiers roses en fleurs, de jonquilles jaunes et de magnolias blancs, un endroit, on ne peut plus pittoresque. Avec l’arrivée du beau temps au printemps, vous pourrez assister à divers concerts, festivals et événements culturels. Le parc dispose aussi d'une gamme variée de restaurants et de stands de nourriture, où vous pouvez manger tout en profitant de la superbe vue.
Parque do Ibirapuera, São Paulo
Direction l'hémisphère sud. Pour nous, habitants du nord, cette période de l'année est synonyme d’une hausse progressive des températures, de nouvelles floraisons et du passage de l'obscurité à la lumière. Dans l'hémisphère sud, en revanche, une brise fraîche commence à souffler et l'heure dorée semble se prolonger plus longtemps que d'habitude. L'automne au Brésil est l'une des périodes les plus magiques, et le Parque do Ibirapuera à São Paolo est l'endroit idéal pour profiter de l'automne dans toute sa splendeur.
Le Parque do Ibirapuera est un site incontournable pour tous ceux qui se rendent à São Paulo. Ce parc urbain offre une oasis de paix au milieu de la ville animée, avec de magnifiques jardins, des sentiers sinueux et des lacs pittoresques. Le parc abrite également plusieurs institutions culturelles, dont des musées et des galeries, qui donnent un aperçu de la riche histoire et de la culture diversifiée de São Paulo. Avec sa beauté tranquille et son importance culturelle, le Parque do Ibirapuera est une étape essentielle de tout itinéraire à São Paulo.
Hagley Park, Nouvelle-Zélande
Tout en restant dans l'hémisphère sud, difficile de ne pas mentionner une destination aussi fantastique que la Nouvelle-Zélande pendant les mois de mars et mai. Christchurch, en Nouvelle-Zélande, est connue sous le nom de "Garden City" (littéralement, ville jardin). Il n'y a donc pas de meilleur endroit pour profiter de tout le spectre des couleurs flamboyantes de l'automne !
Hagley Park est un magnifique parc public situé au cœur de Christchurch et l'automne (notre printemps) est le moment idéal pour témoigner de sa beauté. Lorsque le temps se rafraîchit, les arbres du parc se parent de nuances dorées, orangées et rougeâtres, pour donner naissance à un paysage fascinant. En vous promenant dans cet immense parc urbain, vous serez entouré d'une mer de feuillages colorés, un endroit paisible où passer un après-midi ensoleillé. Le parc compte également un terrain de golf, des courts de tennis et des jardins botaniques, ce qui en fait une destination idéale pour les amateurs d'activités de plein air. La période automnale de mars à mai est idéale pour découvrir les paysages néo-zélandais sous un tout autre jour.
Hyde Park, London
Hyde Park, l'un des parcs les plus emblématiques de Londres, est un lieu incontournable au printemps. À cette période, le parc adopte une multitude de couleurs vives et voit ses fleurs éclore, de quoi conserver un souvenir mémorable de votre visite dans ce parc londonien. En vous y promenant, vous serez entouré d'une multitude de jonquilles, de tulipes et de cerisiers en fleurs, ce qui vous permettra d'échapper à l'agitation de la ville. Hyde Park propose également de nombreuses activités de plein air, comme des balades à vélo, des promenades en barque et de l'équitation, des activités idéales pour profiter de l'air frais du printemps.
Hyde Park abrite plusieurs monuments et statues, dont l'emblématique Princess Diana Memorial Fountain, qui donnent un aperçu de la richesse de l'histoire et de la culture de la capitale anglaise. Vous y trouverez aussi toute une série d'événements et de festivals au printemps.
Parc national de Banff, Canada
Pour les aventuriers dans l'âme, il fallait bien inclure au moins un parc national dans cette liste. Le Parc national de Banff est une merveilleuse destination située au cœur des Rocheuses canadiennes, et le printemps est la période idéale pour le visiter. Avec la fonte des neiges et des températures plus clémentes, le parc voit ses fleurs sauvages éclore, sur fond de cascades, créant un paysage absolument époustouflant. Les lacs cristallins du parc, tels que le lac Louise et le lac Moraine, commencent également à dégeler, offrant une magnifique toile de fond turquoise pour des activités de plein air telles que les raquettes (s'il fait encore assez froid, généralement jusqu'en avril), la randonnée, le kayak et la pêche. Le printemps dans le parc national de Banff est la saison idéale pour profiter du grand air et de la beauté naturelle de cette destination extraordinaire. Outre les magnifiques paysages naturels, nous vous recommandons de visiter le Banff Springs Hotel et le Cave and Basin National Historic Site, deux lieux qui donnent un aperçu de la richesse historique et culturelle du parc.
 
 
LIVRES
« Insectorama » de Lisa Voisard (Helvétiq)
Saviez-vous que certains insectes migrent de l'hemisphere nord a l'hemisphere sud ? Que le plus grand coleoptere du monde, le dynaste Hercule, mesure 17 cm ? Ou que les grillons entendent avec leurs genoux ?
Dans Insectorama, decouvrez 30 portraits d’insectes que vous pouvez trouver pres de chez vous, dans les villes, les parcs et les jardins, ou en foret.
Chaque portrait est accompagne d’illustrations realistes, d’un guide d’observation detaille et d’une foule d’informations utiles, pour savoir ou les trouver ou comment les proteger.
Enfin, un chapitre supplementaire devoile tous les secrets de la vie des insectes. Comment se camouflent- ils, comment se reproduisent-ils, où migrent-ils ? Decouvrez toute la diversite de ce monde minuscule.
224 pages, 24,90€
« Petits plats comme en Israël » (Marabout du Monde)
La cuisine israélienne maison plus rapide qu'une livraison, c’est possible grâce à ce livre : 30 recettes incontournables à concocter avec un minimum d'ingrédients en un rien de temps, en seulement 30 minutes.
Falafels, Houmous, Baba ganoush, pain pita au Zaatar, shakshouka, Borekas, Israeli couscous, Babka perdue au caramel de tahini, Roulés aux dattes...sans efforts !
Prix : 7,50€
 
 
COMMEMORATIONS
Commémoration de la mort de Pablo Picasso, le 8 avril 1973
L’artiste, natif de Malaga (Espagne) nous quitta il y a cinquante ans, à Mougins (06), à l’âge de 91 ans.
Considéré comme l’un des fondateurs du cubisme avec Georges Braque, il est aussi l’un des artistes les plus importants du siècle passé tant par ses apports techniques que par ses prises de positions politiques. Et de laisser derrière lui près de 50000 œuvres dont 1885 tableaux, 1228 sculptures, 2880 céramiques, 7089 dessins, 342 tapisseries, 150 carnets de croquis et 30000 estampes.
« Les Demoiselles d’Avignon » et « Guernica figurent sans aucun doute parmi ses œuvres les plus célèbres.
Naissance de l'historien de l'art Elie Faure, le 4 avril 1873
C’est à Sainte-Foy-la-Grande (33) qu’il y a 150 ans naissait Elie Faure, connu surtout pour son « Histoire de l’art », publiée à partir de 1909.
Passionné de peinture, Elie Faure se rend régulièrement au Musée du Louvre et se plonge dans les ouvrages d’Henri Bergson, son professeur de philosophie. Après avoir obtenu son baccalauréat, il s’inscrit à la faculté de médecine puis devient médecin.
Mais l’art le rattrape et notre homme commence à publier des articles consacrés à l’art dans le journal L’Aurore, en 1902. Il se passionne pour Paul Cézanne et pour Diego Vélazquez (auquel il consacrera son premier livre). De 1905 à 1909, il donne des conférences sur l’histoire de l’art à l’université populaire La Fraternelle (Paris 3ème) d’où il tirera le contenu de son livre « Histoire de l’art ». Cette œuvre monumentale, plusieurs fois remaniée, retrace l’évolution de l’architecture, de la sculpture, de la peinture et des arts domestiques de la préhistoire au début du 20ème siècle.
Devenu membre du comité d’honneur du Salon d’Automne en 1904, il y organisera plusieurs expositions.
En 1914, dans « Les constructeurs », il s’interroge sur le rôle des artistes dans la société et sur l’influence de penseurs comme Michelet et Nietzsche.
Exposition « Picasso 1969-1972 » du 8 avril au 2 juillet 2023, à Antibes (06)
2023 marque le cinquantième anniversaire de la disparition de Pablo Picasso et place ainsi l’année sous le signe de la célébration de son oeuvre en France, en Espagne et à l’international.
Célébrer aujourd’hui l’héritage de Picasso revient à s’interroger sur ce que cette oeuvre majeure pour la modernité occidentale représente aujourd’hui.
La Célébration Picasso 1973-2023 est initiée par le Musée national Picasso-Paris, principal prêteur de l’évènement et coordinateur, et Bernard Picasso, petit-fils de l’artiste et président de la FABA et du musée Picasso de Malaga.
Elle s’articule autour d’une cinquantaine d’expositions et de manifestations qui se tiendront dans des institutions culturelles de renom, en Europe et en Amérique du Nord et qui, ensemble, grâce à des relectures et des approches inédites, permettront de dresser un état des études et de la compréhension de l’oeuvre de Picasso.
Le Musée Picasso présente donc l'exposition "Picasso 1969-1972 : la fin du début". Cette exposition est organisée du 8 avril au 2 juillet avec le soutien exceptionnel du Musée national Picasso-Paris, à l’occasion du projet " Célébration Picasso 1973–2023 : 50 expositions et événements pour célébrer Picasso ".
Des visites guidées et des ateliers sont aussi proposées dans le cadre de cette exposition.
Au Musée Picasso, Château Grimaldi, à Antibes (06)
 
 
ACTUALITES
Le CNCS devient le Centre national du costume ET de la scène, à Moulins (03)
En avril 2023, le CNCS devient le Centre national du costume ET de la scene avec l’inauguration d’un nouvel espace au sein du Quartier Villars. Baptise « La Scene », ces salles dediees a la scenographie theatrale s’inscrivent dans la continuite du parcours de visite, en valorisant les metiers des arts de la scene.
A cette occasion, le CNCS agrandit egalement ses reserves pour continuer a enrichir sa collection de costumes.
L’element phare du projet est l’ouverture de nouvelles salles consacrees a la scenographie, en lien direct avec les collections de costumes de scene de l’etablissement. Les visiteurs pourront decouvrir de facon tout a fait inedite, cette discipline artistique et son processus de creation, selon un parcours organise en trois actes : la conception (imaginee par le scenographe en dialogue avec le metteur en scene et ses intentions dramaturgiques, en lien egalement avec l’espace scenique et ses equipements techniques), la fabrication (par les ateliers de decors, construction, peinture, sculpture, tapisserie, accessoiriste, metiers aux savoir-faire rares et specialises) et la representation (grace a une scene equipee d’un plateau, de cintres, de rideaux et d’elements de decors).
Au Centre national du costume et de la scène, Quartier Villars, Route de Montilly, à Moulins (03)
« Modes & Clichés », nouveau parcours permanent autour des costumes traditionnels, à partir d'avril 2023, à Quimper (29)
Et non, toutes les Bretonnes ne sont pas Bigoudènes ! À travers les clichés de photographes comme André Le Chat, Jacques de Thézac, Yves-Marie Le Vot et des costumes présentés sur mannequins, le parcours invite à découvrir l'extrême diversité des modes en Cornouaille.
Habit de travail, ou plus quotidien pour aller au marché, costume de grande cérémonie pour un pardon ou un mariage, à chaque occasion, sa tenue. Cette variété s'inscrit aussi dans le temps : les modes évoluent sans cesse afin de se démarquer de ses parents ou de ses grands-parents.
Des clichés et des costumes..pour sortir des clichés autour de l'habit traditionnel breton.
A noter, une salle dédiée au costume du pays Bigouden, en partenariat avec le Musée bigouden de Pont l'Abbé.
Au Musée départemental breton, 1 rue du Roi Gradlon, à Quimper (29)
 
 
SAVOIRS
Les Paris de l'Art, les 6 & 7 avril 2023, à Paris (75)
Du 29 septembre 2022 au 23 juin 2023, un cycle de 28 séances thématiques dresse un panorama de l’histoire des arts, de l'Antiquité à nos jours, en s’appuyant notamment sur les expositions temporaires et les collections des 14 musées de la Ville de Paris.
Cours : Le Paris des modernes
Auditorium : Jeudi 6 avril à 15h30 ou vendredi 7 avril 2023 à 18h30
Disponible en ligne : Mardi 11 avril 2023
Séance animée par Juliette Singer, Conservatrice en chef - Petit Palais
Programme de l'Université Populaire « Transmettre », en avril 2023, à Paris (75)
Cette nouvelle saison, l’Université Populaire poursuit son exploration des transmissions avec l’historienne de l’art Anne Lafont et l’anthropologue Anne-Christine Taylor, durant douze séances pour aborder toutes les facettes de la transmission. Voici le programme des conférences prévues en novembre 2022 :
- Mercredi 5 avril, 18h30. Quelle histoire pour l’Afrique ? Restaurer et restituer les connaissances sur les passés de l’Afrique : l’islam en Afrique, l’Afrique en Islam, avec Souleymane Bachir Diagne, philosophe, en discussion et François-Xavier Fauvelle, historien et archéologue. Modéré par Anne-Christine Taylor .
Les mercredis soirs de 18h30 à 20h. En accès libre au théâtre Claude Lévi-Strauss dans la limite des places disponibles et sur la chaine YouTube du musée (en direct et en différé)
Au Musée du quai Branly – Jacques Chirac, Théâtre Claude Levi-Strauss, 37 quai Branly, 206 et 218 rue de l’Université, à Paris (7ème). Www.quaibranly.fr
 
REPORTAGE DE LA SEMAINE
Exposition "Ramsès & l'or des Pharaons" (Grande Halle de La Villette, Paris, France)
Le simple nom de Ramsès le Grand a un effet magique puisqu'il évoque Grandes Pyramides, temples superbes, dieux égyptiens et histoires bibliques. Après Toutânkhamon et le Trésor du Pharaon, la Grande Halle de la Villette (Paris 19è) accueille une nouvelle fois l'histoire égyptienne avec l'exposition « Ramsès & l'or des Pharaons », qui débute sa tournée européenne par la « Ville lumière ».
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