Sobriété énergétique, empreinte carbone, loi anti-gaspillage, économies d'énergie, émission de gaz à effet de serre, énergies renouvelables, transition écologique. Depuis quelques mois ce vocabulaire est devenu familier aux Français. En effet depuis quelques années, à cause du changement climatique, des efforts d'économie d'énergie sont demandés ou plutôt imposés autant aux industriels qu'aux particuliers. Il faut donc faire des économies, se serrer la ceinture et s'habiller chaudement dans sa maison, tel est le mot d'ordre du gouvernement français.
Dès l'automne dernier, on avait aussi menacé les entreprises de sanctions au cas où elles ne joueraient pas le jeu. La population française était mise en garde : des risques de coupures d'électricité étaient à prévoir cet hiver. De plus, Enedis, le fournisseur d'électricité peut, grâce au compteur Linky, couper la production d'eau chaude pendant une certaine plage horaire. L'idée de couper à distance les box internet la nuit a également été évoquée. Après tout, que chacun soit sollicité pour réaliser des économies en temps de crise peut partir d'un bon sentiment. Et pourtant, des solutions pour économiser l'énergie existent depuis bien longtemps.
Voici quelques exemples de solutions déjà trouvées et expérimentées :
- Nicolas Tesla :
Si on évoque aujourd'hui le nom de Tesla, la plupart pensent à la marque de voitures électriques d'Elon Musk. Pourtant, à l'origine, c'était le nom d'un scientifique né en 1856, Nicolas Tesla. Vers 1890 il découvrit que l'énergie électrique pouvait être propagée à travers la Terre et autour de celle-ci dans une zone atmosphérique appelée la cavité de Schumann à environ 80 km d'altitude. Des ondes électromagnétiques de très basses fréquences se propagent pratiquement sans pertes vers n'importe quel point de la Terre. Son idée était que n'importe qui dans le monde pouvait y puiser à condition de s'équiper d'un dispositif récepteur accordé à la transmission d'énergie. Pour le prouver il a allumé 200 lampes (10 000 watts en tout) à 40 km de distance de la source d'électricité, sans fils conducteurs. Il est mort en 1943 ruiné et dans l'indifférence.
- Floyd Sweet :
Cet homme était un spécialiste du magnétisme et l'inventeur du VTA (vacuum triode amplifier). Tout comme d'autres inventeurs, il a dû subir des menaces et des vols de ses notes. Un jour un homme l'a menacé de mort, lui disant qu'il ne voulait pas voir arriver le VTA sur le marché. Sweet a arrêté ses travaux et les harcèlements ont cessé. https://youtu.be/bOjSXjCOqYo
- En 1930 à Chicago un jeune homme a redécouvert l'énergie libre. Venu à Los Angeles pour faire sa démonstration dans un grand théâtre, il a été agressé, frappé à sa sortie, et mis à mort.
- En 1960 l'ingénieur allemand Friedrich Lüling a présenté un moteur magnétique fonctionnant parfaitement pendant 20 ans sans interruption à une vitesse de 290 tr/mn avec un seul jeu d'aimants.
- Autre exemple assez significatif, celui du thorium, un combustible alternatif découvert à la fin du 19ème siècle. Les centrales au thorium étaient déjà connues dans les années 40. Elles ont l'immense avantage d'être sans danger : il y a moins de danger de pollution qu'avec n'importe quelle autre usine chimique. On affirme que le thorium serait rare, alors qu'il y a du thorium partout sur la Terre. La France en a même « stocké sous hangar » pour des milliers d'années et des réserves minières existent en Bretagne. On prétend également que les centrales au thorium ne seront opérationnelles que dans 50 ans, alors qu'elles sont déjà en fonction en Inde. Et en Belgique le projet MYRRHA (multi-purpose hybrid research reactor for high-tech applications) teste le fonctionnement d'un réacteur au thorium qui n'a pas besoin d'uranium 235 ou de plutonium 239 pour démarrer. Le thorium est donc une solution plutôt écologique et peu coûteuse.
- Un autre projet qui n'a jamais vu le jour est celui des ingénieurs d'Audi qui, en 1989, ont présenté une berline sur la 2ème chaine de télévision allemande. A la demande d'Audi, ce reportage a été surveillé par le contrôle technique allemand afin que personne ne puisse prétendre qu'il s'agissait d'un faux test. Ce véhicule ne consommait que 1,76 l aux 100 km. Cet essai a été réalisé sur un parcours réel de 4 800 km à travers l'Europe. Cette voiture n'est jamais arrivée sur le marché.
- on ne peut pas passer sous silence l'obsolescence programmée, c'est-à-dire? la destruction programmée. L'exemple le plus symbolique étant celui de l'ampoule de Livermore en Californie qui fonctionne depuis plus d'un siècle. Le constructeur automobile Ford avait également déjà inventé au début du siècle dernier une voiture quasi inusable. Mais « un produit qui ne s'use pas est une tragédie pour les affaires », lisait-on en 1928 dans une revue spécialisée. Donc, peu à peu, on a contraint les ingénieurs à créer des produits qui s'usent plus vite. En 1924 fut fondé secrètement à Genève le cartel Phoebus composé notamment de Philips, Osram et General Electric ; leur but était de contrôler la production mondiale des ampoules et de se partager le gâteau du marché planétaire. Les entreprises se voyaient sanctionnées si les ampoules fonctionnaient au-delà de ce qui était exigé.
La France a été le premier pays au monde à interdire l'obsolescence programmée en 2015 maisl'hypocrisie reste entière au regard de ces inventions qui déjà au début des années 1900 pouvaient durer pour ainsi dire à l'infini. A plus forte raison cela pourrait et surtout devrait être les exemples à imiter aujourd'hui puisque l'objectif est d'économiser l'énergie et de réduire les émissions de CO2 responsables du réchauffement. Or la production de tous nos appareils ménagers, voitures, machines, etc? demande beaucoup d'énergie, que ce soit le pétrole, l'électricité ou le gaz, sans parler du transport de tous ces matériaux pour les acheminer vers les consommateurs et ensuite? leur destination finale. Et même si le recyclage est perçu comme vertueux, il n'en reste pas moins énergivore.
Décidément, il y a quelque chose qui ne tourne pas rond en ce bas monde car, pendant ce temps, nous sommes contraints de payer l'énergie de plus en plus chère, les entreprises sont sommées de réduire leurs dépenses? pour permettre à ceux qui nous cachent les solutions quasi gratuites, écologiques et durables, sont les mêmes qui sanctionnent, de s'enrichir chaque jour davantage. (merci à Jean-Marie pour sa contribution)
 
LE CLIN D'OEIL DU MOMENT
Alors que les Français n'ont jamais été aussi taxés, la Cour des comptes publie un nouveau rapport sur la taxe foncière en faisant ressortit tous les paradoxes de cet impôt ainsi que ses défauts :
la juridiction insiste sur la nécessité d'asseoir enfin la taxe sur une base d'imposition réelle et non plus fictive. L'assiette étant constituée sur une valeur locative censée correspondre au rendement du bien en cas de location, mais selon une estimation datant des années 1960, elle est désormais totalement déconnectée de toute réalité économique. Le rapport déplore donc le retard pris dans la révision des valeurs locatives, le chantier étant sans cesse décalé.Il est vrai que son résultat sera explosif puisqu'il remettra en cause à la fois les montants de taxe foncière dus par chaque foyer, en plus ou en moins d'ailleurs, mais aussi l'équilibre même des finances publiques locales puisqu'une taxe basée sur la valeur locative réelle de l'immeuble impliquera forcément plus de recettes pour les communes déjà riches et moins de rentrées pour celles déjà pauvres.Quoi qu'il en soit, les atermoiements sur cette réforme pourtant nécessaire démontrent la fragilité de notre système actuel de fiscalité locale.
Autre information importante qui ressort du rapport, la charge incombant aux ménages dans le financement des collectivités locales. Ainsi, la France détient le record de la part des impôts fonciers incombant aux ménages : 72%, le reste étant dû par les entreprises ou les collectivités.
Les 35 milliards d'euros de taxe foncière reposent donc essentiellement sur les particuliers. Par comparaison, ce taux descend à 40% pour l'Allemagne et s'avère quasiment nul pour des pays comme l'Italie ou l'Espagne. En outre, la Cour des comptes insiste sur le fait qu'avec la disparition de la taxe d'habitation sur les résidences principales, la fiscalité locale pâtit désormais d'une décorrélation accrue entre le citoyen et sa collectivité.Seuls les propriétaires payent la taxe foncière au profit de collectivités dans lesquelles ils n'habitent pas forcément et dont les dépenses leur sont donc forcément étrangères. Surtout, leur taxe foncière ne dépend que d'une valeur théorique du bien, sans lien avec sa valeur réelle mais surtout sans lien avec leurs revenus et sans lien avec les prestations attendues de la collectivité. Cette déconnexion est telle qu'aujourd'hui une ville comme Grenoble, dont le taux de taxe foncière est déjà un des plus élevés, arrive encore à justifier une hausse de 25 % en avançant que celle-ci reste largement inférieure à l'économie de taxe d'habitation réalisée par les habitants depuis sa disparition. La ville oublie juste de préciser que les contribuables des deux taxes ne sont pas les mêmes, et surtout que la commune est indemnisée par l'Etat de la disparition de la taxe d'habitation grâce au reversement d'autres impôts nationaux comme la TVA.
Enfin, soulignons le mode de calcul inextricable de la taxe foncière. La Cour des comptes relève ainsi 91 dispositifs existants d'abattement, d'exonération ou de dégrèvement, créant un mode de calcul inextricable de la taxe pour en déterminer son rendement réel et son impact sur la population ou l'économie d'une ville. La Cour note aussi que la taxe foncière, comme tout impôt local français, revêt cette particularité d'être payée au profit d'une collectivité locale mais gérée et prélevée par l'Etat qui, pour cela, se fait rémunérer tout en prenant en charge certains des dégrèvements. Au bout du compte, on s'aperçoit que ces frais de gestion et de prélèvement sont particulièrement élevés pour le contribuable sans qu'il soit pour autant possible de déterminer qui y gagne finalement entre le contribuable, la commune et l'Etat. Rien que cette opacité même involontaire laisse entendre qu'entre l'argent versé par le contribuable et celui investi dans les services locaux, la déperdition est incontestable. Complexité et opacité entraînent une inévitable méfiance du contribuable. D'autant que l'efficacité du recouvrement est impressionnante et atteint 99,8%
(source : Contribuables associés)
 
 
MURIEL SE MET A L'ECOLOGIE
Parlons chiffres pour relativiser les choses :
La Chine représente 1,3 milliard d’habitants pour une surface de 9 597 000 km2
L’Inde a 1,3 milliard d’habitants et une superficie de 3 290 000 km2
Les Etats-Unis ont 330 millions d’âmes et une superficie de 9 629 000 km2
La Russie a 143 millions d’habitants pour une superficie de 17 125 000 km2
Le Japon a 126 millions d’habitants pour une superficie de 378 000 km2
Et la France, 68 millions d’âmes pour 644 000 km2 !
Et voici maintenant la liste des émissions de gaz CO2 par pays,émanant de l’Agence internationale de l’énergie (année 2016) (données fournies en milliards de tonnes):
Chine : 9,06 milliards de tonnes de C02, soit 28 % des rejets.
Etats-Unis : 4,83 milliards de tonnes de CO2 rejetées, soit 14,9 %
Inde : 2,08 milliards de tonnes, soit 6 % des rejets
Russie : 1,44 milliard de tonnes, soit 4,4 % des rejets
Japon : 1,15 milliard de tonnes, soit 3,6 % des rejets
… et la France : 0,29 milliard de tonnes, soit 0,9 % des rejets.
Le fait de nous imposer de réduire par deux nos émissions de C02 en retirant les voitures et camions à moteur thermique ne changerait (quasiment) rien au dérèglement climatique. Et augmenter le prix du carburant en invoquant le dérèglement climatique est une supercherie. Pendant que certains blablatent, les chiffres parlent !
 
 
UN PEU PLUS D'HUMOUR
Bernard HERTZOG, ancien Maire honoraire de Silly-sur-Nied, Conseiller général honoraire de Moselle, Chevalier dans l'ordre national du mérite et Chevalier dans l'ordre des palmes académiques possède ce qui, sans aucun doute, sauvera le monde : l’humour.
Voici la missive qu’il adresse à qui vous savez concernant la réforme des retraites.
« Sire, je voudrais vous féliciter
Il en a fallu du courage
Pour décider de ponctionner
De leurs soi-disant avantages
Tous ces bienheureux retraités.
Il est vrai qu’ils sont redoutables
Et pour tout dire presque enragés
Avec leurs béquilles, leurs bandages
Sans parler des chaises percées.
Il y a même un bon côté
Peu s’en iront à l’abordage
Afin d’incendier l’Elysée
Ou de construire des barrages.
Et puis, ils vont bientôt crever
Alors pourquoi donc s’en priver ?
Peut être vous a t-il échappé
Ce que fut leur enfance dorée ?
La deuxième guerre mondiale
Avec son lot de privations
De bombardements, un régal
Pour qui aime les films d’action.
Et ensuite ce fut l’école
Où l’on passa bien peu de temps
Pas comme certains guignols
Qui n’en sortent qu’à 27 ans.
Souvent après c’était l’usine
Où l’on entrait à 14 ans
Quarante-huit heures par semaine (et non 35h et des RTT)
Quinze jours de congés payés...
Vraiment l’existence rêvée.
Notre service militaire
Dites-moi où l’avez-vous fait ?
Pour nous, 28 mois d’une guerre
Trente six mille jeunes y sont tombés
Mais cela n’est pas votre affaire
pour le résultat qu’on connait.
Alors pourquoi donc se gêner
Pressurons-les tous ces nantis
Pour pouvoir mieux distribuer
Aux arrivants de ces pays
Qui jamais n’auront travaillé
Ni cotisé, que nenni.
Pour ce qui est du logement
Que nous fûmes gâtés
A six dans l’appartement
D’à peine soixante mètres carrés
Sans aucune des commodités
Qu’on accorde généreusement
Même aux nouveaux arrivés.
Sans doute l’histoire de France
N’est pas votre tasse de thé
Elle fût traitée en votre absence.
Ou bien vous l’avez oubliée.
Pas nous.
Un jour, vous vous en apercevrez... (merci à Muriel pour ce sourire)
 
 
SEQUENCE NOSTALGIE
Ah, nos présidents de la République ne nous paraissent pas toujours nets et pour cause : écoutez le récit de ce qui arriva à Paul Deschanel, tombé d’un train en pyjama, le 23 mai 1920. L’homme reconnaitra son état dépressif et l’impossibilité de poursuivre son mandat. D’où sa démission.
Petits farcis, pâtes au pistou, pissaladière, daube, tourte de blettes…
 
 
LA SEMAINE DE SOUKO
Dimanche 9 avril 2023 : journée ordinaire pour moi qui suis un chien à qui le chocolat peut faire du mal. Même à Pâques !
Lundi 10 avril 2023 : Pour la première fois, mon maitre m’a détaché sur nos parcours habituels de balade (hors village et circulation de voitures)
Mardi 11 avril 2023 : C’est libre de ma laisse que mon maitre m’a à nouveau baladé dans les champs aujourd’hui.
Mercredi 12 avril 2023 : Mon maitre m’interdit désormais de creuser des terriers, à une époque importante de reproduction des petits animaux des champs
Jeudi 13 avril 2023 : Cela fait deux fois que je tente de me jeter sur une voiture. Quand je vous dis que je suis infernal !
Vendredi 14 avril 2023 : Durant notre balade ce soir, deux jeunes du village sont venus faire du rodéo en moto et ont demandé si j’étais méchant. Ha ha, mon maitre leur a dit de ne pas se fier à moi car j’avais un excellent mordant
Samedi 15 avril 2023 : L’arrivée de Ruben au train à Dol-de-Bretagne et frayeur d’une bande de jeunes tombée nez à nez avec moi par surprise à la gare. Plus tard, lors d’une balade, rencontre avec des équidés, puis un lapin (que je n’ai pas vu) qui s’est enfui en m’apercevant, et les chats du quartier qui détalèrent ce matin en me voyant arriver. Quelle journée !
 
 
VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR...
Une guerre ne se résume pas à une bataille navale :
« Je suis là pour remettre de l’ordre chez les volontaires internationaux. Ici, c’est moi qui commande. Trop d’individus se sont présentés au centre et n’avaient rien à y fiche ! »
Ce sont les propos d’un instructeur américain, rencontré en Ukraine au début de la guerre par Régis Le Sommier, alors que l’ensemble des médias minimisait le rôle des États-Unis en Ukraine. Grand reporter à Paris Match pendant 27 ans, plusieurs fois récompensé par la profession, l’auteur a été le seul journaliste à être allé, pendant un an, de part et d’autre du front, avec l’armée ukrainienne et avec l’armée russe. Odessa, Kherson, Zaporijjia, Marioupol, Donetsk, Lougansk, Donbass et Bakhmout... sont autant de zones de guerre dont il a saisi la vérité du terrain. Jusqu’au dernier Ukrainien est un livre cru, un livre à hauteur d’hommes, loin des analyses fumeuses des spécialistes de salon.
En 2017, Régis Le Sommier a reçu le Grand Prix de la Presse Internationale pour sa couverture du Moyen-Orient et, en 2018, le prix de la meilleure enquête journalistique pour sa couverture de la bataille de Mossoul. À 54 ans, il est chroniqueur sur CNews et Radio Classique. Depuis 2022, il dirige la rédaction d’Omerta, plateforme digitale de documentaires et d’investigations.
Ouvrage « Une révolution décentralisée pour tous » de Nelly Chatue-Diop et Mathieu Chereau (Editions Eyrolles)
Alors que l’hiver crypto s’abat sur nos portefeuilles et que nous nous remettons doucement de l’année 2022 qui en a assommé certains et ruiné d'autres, prendre le temps de faire une pause et de prendre un peu de recul ne fait pas de mal. Et quoi de mieux pour tourner la page que de se former un peu aux cryptomonnaies, à la blockchain, au Web 3 ? C’est l’objectif de Nelly Chatue-Diop et Matthieu Chéreau qui, au détour d’un livre sorti ce début d’année 2023, vous font découvrir la décentralisation, une révolution pour tous.
Parfait pour se faire une idée de notre écosystème ou encore pour faire découvrir l’impact réel des cryptomonnaies et de la blockchain dans nos vies à votre entourage « Web3, blockchain, jetons, cryptomonnaies, NFT, DAO… Une "Révolution décentralisée pour tous » qui vous permettra de tourner la page face aux idées reçues sur Bitcoin, les cryptomonnaies et la blockchain, tout en profitant du calme d’une lecture passionnante.
WALTIO, une aide à la déclaration fiscale des cryptomonnaies désormais en Belgique.
Comptant en moyenne 10% de détenteurs de cryptomonnaies au sein de sa population, ce sont ainsi plus d’un million de personnes qui sont potentiellement concernées par la déclaration de plus-values ou de gains qualifiables de passifs en lien avec la détention d’actifs numériques.
Contrairement à la France qui a rapidement pris les devants afin de cadrer clairement l’imposition des gains associés aux crypto-actifs, la Belgique n’a pour le moment établi aucun cadre réglementaire ad hoc. Ainsi, la fiscalité appliquée est la même que celle qui régit la finance traditionnelle.
En complément de ce régime général, la Belgique a mis un Service de Décision Anticipée en matière fiscale (SDA), accessible à tous les citoyens et fournissant un service de conseil. Il permet de clarifier une situation, et obtenir des informations vis-à-vis des conséquences fiscales d’une opération ou d’une position qui n’a pas encore produit d’effets sur le plan fiscal.
Entretien d’André Bercoff avec Didier Raoult « La gloire mène aux jalousies et aux complots » https://youtu.be/3ECo75B78Ng: Avec Didier Raoult, microbiologiste français, spécialiste des maladies infectieuses, professeur des universités - praticien hospitalier. Il publie son autobiographie aux éditions Michel Lafon.
CSI (Conseil Scientifique Indépendant) N° 99 du jeudi 13 avril 2023 : l’invit é est Surya Arbi, informaticien,mathématicien, membre de l’Association internationale pour une Médecine Scientifique Internationale et Bienveillante, Docteur d’Etat en Informatique et spécialisée en science des données. Thème abordé : Vaccins anti HPV (Gardasil), synthèse des données mises à jour (https://crowdbunker.com/v/2Czfyu1J)
Rencontre avec le Professeur Tritto, Président de l'Académie Mondiale des Technologies Bio-médicales, expert en nanotechnologie. sur la question des virus et injections en faveur du contrôle de notre immunité.
Démêler le vrai du faux c’est toute la difficulté.
On trouve de tout sur les supports d’information et mieux vaut vérifier l’information avant de la diffuser tant il y a de fake news. Mince ! Encore un terme anglo-saxon pour décrire une « fausse nouvelle ». Ce terme a bien des synonymes (canular, canard, bobard, hoax ou information fallacieuse) mais le problème fut de trouver un terme français à la portée du plus grand nombre.
Chaque année, plus de 200 nouveaux termes naissent dans notre langue grâce au dispositif d’enrichissement de la langue française (https://www.culture.fr/franceterme/Le-dispositif-d-enrichissement-de-la-langue-francaise). Cependant, enrichir notre langue ne se fait pas n’importe comment et des experts bénévoles se réunissent pour élaborer de nouveaux termes lorsqu’apparaissent de nouveaux usages.
Il est nécessaire de bien analyser le terme et ses usages pour en proposer une définition et le nommer. Par la suite, avant une éventuelle publication, le nouveau mot doit être autorisé par la Commission d’enrichissement de la langue française et par l'Académie française, qui travaillent main dans la main pour faire évoluer notre langue.
Revenons à nos moutons (encore une expression française signifiant que l’on revient au sujet dont on parlait précédemment. Pour la petite histoire, C’est la comédie "La Farce du Maître Pathelin" (XVème siècle), dont l’auteur reste inconnu, qui est à l’origine de cette expression. Le héros, Pathelin trompe le marchand Guillaume pour lui acheter à bas prix un drap. Au moment de payer, Pathelin feint d’être mourant et de délirer. Guillaume se demande alors si lui-même ne délire pas et si la transaction a réellement eu lieu. Guillaume va ensuite être trompé à nouveau par le berger Thibault, qui lui vole tous ses moutons. Il décide de porter ces deux affaires devant le juge mais finit par confondre les draps et les moutons, tant et si bien que le juge, agacé, lui demande fermement de "revenir à ses moutons". Depuis, l’expression a subsisté et a conservé son sens originel) et découvrons comment est né le terme infox à travers une vidéo de deux minutes, une vidéo garantie sans... infox, bien sûr ! https://youtu.be/9zPViTB_sxo
 
 
DU COTE DE CHEZ NOUS
Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix:Les derniers arrivés seront les premiers à repartir (https://odysee.com/@campagnoltvl:2/poele2:e)
 
 
FESTIVALS,FÊTES, EVENEMENTS & SALONS
8ème édition du Salon nautique d'Arcachon, les 21, 22 et 23 avril 2023, à Arcachon (33)
Elles sillonnent le Bassin d’Arcachon du Nord au Sud, d’Est en Ouest, relient depuis toujours des hommes, des métiers, des passions et permettent aux plaisanciers de découvrir les richesses de ce lieu unique en France où terre et mer s’enlacent. Les célèbres pinasses du Bassin sont le symbole d’un savoir-faire maritime ancestral dynamisé par une importante et innovante filière nautique locale.
Avec son fond plat limitant le tirant d'eau et son étrave haute, efficace contre les clapots et les vagues, la pinasse est une embarcation caractéristique et adaptée à la navigation sur le Bassin d'Arcachon. Bien que l'origine du nom soit controversée - pinasse viendrait du pin maritime omniprésent en Gironde et utilisé pour la fabrication des coques - ces embarcations modestes en bois, autrefois équipées de voile ou de rames étaient utilisées comme outil de travail par les pêcheurs du Bassin.
C'est au début des Années folles, lorsque Arcachon devient un lieu prisé des artistes et de la bourgeoisie bordelaise que la pinasse se transforme en un petit bijou de navigation de plaisance : bois précieux vernis, cuivre et laiton polis, moteur à pétrole puis à essence...
Depuis, la pinasse a connu maintes améliorations, innovations techniques, est de plus en plus élégante et confortable. Elle symbolise toujours le Bassin d'Arcachon et la fierté de ses habitants pour le bonheur des plaisanciers et de toute une industrie nautique omniprésente. "La pinasse est pour le Bassin d'Arcachon ce que la gondole est pour Venise" souligne avec humour Emmanuel Martin, propriétaire du chantier naval Dubourdieu à Gujan-Mestras.
Ils travaillent chez Alexis Bonnin ou chez Dubourdieu, un des plus anciens chantiers navals de France encore en activité, chez Couach fondé en 1897, chez Jean-Baptiste Bossuet la sixième génération de charpentiers de marine dont la famille possède le même chantier naval depuis 1874 ou encore chez Jonathan Hénard, et sont aujourd'hui des ouvriers de la mer, dignes héritiers d'un savoir-faire transmis de génération en génération.
Ces passionnés du travail du bois et des bateaux restaurent et construisent toujours des pinasses de façon traditionnelle. La fabrication de la coque, très caractéristique, nécessite un savoir-faire particulier. Le calfatage des bordées est, par exemple, réalisé à l'ancienne avec de l'étoupe à base de chanvre.
La plupart de ces professionnels a été formée au Lycée polyvalent de la Mer de Gujan-Mestras qui enseigne plusieurs métiers : menuisier, charpentier de marine, designer intérieur de bateau... Près de 250 étudiants, jeunes et adultes, y étudient chaque année mais, comme le précise Jonathan Hénard : "Construire une pinasse est un métier d'expérience qui s'apprend essentiellement sur le terrain et avec le temps."
Près de 130 entreprises liées à la filière du nautisme sont situées dans la région ; plus d'une centaine est membre de l'Union des Professionnels du Nautisme du Bassin d'Arcachon. Elles représentent au total plus de 1200 emplois. Ingénierie, architecture navale, chantier traditionnel, construction de plaisance, équipementier, motoriste, électricien, plasturgiste, maintenance... "Ici, les savoir-faire sont très diversifiés si bien qu'il est possible de produire entièrement un bateau sur place, du Made in Bassin in France !" se plaît à dire le célèbre navigateur Yves Parlier qui habite sur place. Tous les autres métiers de la mer sont également représentés : loueur, négoce, stockage, expertise maritime, bateau école, travaux maritimes, transport de bateaux, transport de passagers
ou de plaisanciers pour longer le littoral ou explorer les alentours de l'île aux Oiseaux...
La recherche et l'innovation sont aussi au rendez-vous et tournées vers le développement durable. Propulsions électriques innovantes, propulsions véliques avec ailes de kite, bouées connectées pour le mouillage... De multiples savoir-faire qui dynamisent l’identité du Bassin.Ils sont nombreux ces "vrais" marins, enfants du Bassin : Yannick Bestaven, vainqueur du Vendée Globe 2020-2021 et deux fois de la Transat Jacques-Vabre, Yves Parlier, vainqueur de la Route du Rhum en 1994, Philippe Presti, double vainqueur de la 33ème et 34ème Coupe de l'America, Arnaud Boissières, seul skipper à avoir terminé consécutivement quatre Vendée Globe... Tous continuent d’être actifs sur le Bassin.
La 8ème édition du Salon Nautique d'Arcachon aura lieu les 21, 22 et 23 avril 2023 et réunira 160 exposants ainsi que 450 bateaux exposés à terre et à flot. Véritable vitrine pour les professionnels de l'industrie nautique, ce rendez-vous sera l'occasion de dévoiler les nouveautés, créations, savoir-faire, innovations et... El Galeón, une magnifique réplique d'un galion espagnol du XVIIème siècle.
Festival du Livre de Paris, du 21 au 23 avril 2023, à Paris (75)
Pour cette seconde édition l’Italie est mise à l’honneur.
Au Grand Palais éphémère, à Paris (8ème)
Fête du jardin d'Horticulture, les 22 et 23 avril 2023, à Soissons (02)
Dans le cadre majestueux du jardin d’Horticulture, situé 3 avenue du Général et de la Division Leclerc à Soissons, La Société d’Horticulture et de Petite Culture de Soissons et de sa région, en partenariat avec la Ville de Soissons, organisent « la Fête du Jardin d’Horticulture », samedi 22 avril de 11 à 19 heures et dimanche 23 avril 2023, de 9 à 18 heures.
Ces deux journées dédiées principalement à la nature, à l’horticulture et à l’environnement réunissent les passionnés de jardin, esthètes et curieux.
Un rendez-vous incontournable dédié aux plantes, à la biodiversité et aux tendances du jardin qui rassemble plus de 80 exposants.
Lieu d’échange et de découverte, cette animation propose à chaque édition un programme d’animations avec des ateliers pratiques et des conseils.
Place de la République, à Soissons (02)
Festival international des jardins, du 25 avril au 5 novembre 2023, à Chaumont-sur-Loire (41)
Centre d’Arts et de Nature depuis 2008, le domaine de Chaumont-sur-Loire est un site incontournable pour ceux qui aiment à mélanger nature et art, culture et patrimoine. Il accueille chaque année plus de 500 000 visiteurs et pas uniquement pour le Festival des jardins.
Racheté au prince et à la princesse de Broglie en 2008 le Domaine de Chaumont-sur-Loire est la propriété de la Région Centre-Val de Loire, qui en a fait un laboratoire à ciel ouvert d’expérimentation du mélange harmonieux de la culture, du patrimoine et de la nature sur ses 32 hectares de jardins et ses 12 000 m2 de bâtiments.
Dérèglement climatique, dégradation du monde vivant, telles sont les nouvelles données auxquelles les zones naguère tempérées du globe sont désormais confrontées. Fragilité, déséquilibre, incertitude sont aujourd’hui au cœur des préoccupations et impliquent pour chacun d’entre nous la nécessité de s’adapter à un climat qui change, en minimisant les effets délétères de températures élevées, en repensant nos comportements, en luttant contre les îlots de chaleur, en utilisant des solutions nouvelles ou traditionnelles, face à la raréfaction de l’ombre et de l’eau.
Sobriété, autosuffisance grâce à la permaculture, aux forêts comestibles, aux corridors verts… tout est à mettre en œuvre pour renforcer la résilience de nos jardins, pour anticiper, agir, rebondir, réduire les vulnérabilités.
Tel est le défi proposé aux concepteurs des jardins de l’édition 2023 qui ont su proposer des projets tentant d’ouvrir des pistes permettant au jardin, condensé de vie et de biodiversité, de résister aux outrances de l’Anthropocène.
Dans ce jardin résilient à inventer, à cultiver, toutes les contraintes de notre temps ont été envisagées et de belles solutions proposées par les concepteurs, qui ont su faire de leur parcelle un concentré d’imagination, de savoirs et de savoir-faire, pour y renforcer la présence des végétaux.…
Au Domaine régional de Chaumont-sur-Loire, à Chaumont-sur-Loire (41)
Les Paris de l'Art, les 20 & 21 avril 2023, à Paris (75)
Du 29 septembre 2022 au 23 juin 2023, un cycle de 28 séances thématiques dresse un panorama de l’histoire des arts, de l'Antiquité à nos jours, en s’appuyant notamment sur les expositions temporaires et les collections des 14 musées de la Ville de Paris.
Cours : Zadkine : de l'atelier au musée
Auditorium : Jeudi 20 avril à 15h30 ou vendredi 21 avril 2023 à 18h30
Disponible en ligne : Mardi 25 avril 2023
Séance animée par Cécilie Champy, Conservatrice en chef du patrimoine -
Directrice du musée Zadkine
Dans les Mauges, entre Angers, Nantes et Cholet, en Maine-et-Loire, on se laisse guider par les paysages et ses habitants. Des bords de Loire aux coteaux de schistes, de la sinueuse vallée de l’Èvre à la tranquille Moine, ici on fait le pied de nez à l’expression « Les Mauvais gens ». Authentiques et sans détour, l’accueil se fait avec le sourire et le discours avec l’envie de partager.
Du côté de l’Echauguette du Mont Glonne, un tour (de guet) sur la Petite Cité de Caractère s’apprécie à pied, des bords de Loire à l’esplanade du Mont Glonne surplombant le fleuve à 50 mètres de haut. L’ancienne Abbaye Mauriste qui trône sur la place, constitue un ensemble monastique majeur de Maine-et-Loire, dont l'histoire a débuté dès le IVème siècle sous l'impulsion de l'ermite Saint Florent. Son église abbatiale, joyau architectural de la ville, renferme le tombeau en marbre blanc du général vendéen Bonchamps, sculpté par le célèbre artiste français : David D'Angers. Le chœur de l'église comporte un ensemble de vitraux, dont une partie retrace l'histoire des Guerres de Vendée qui ont profondément marqué l'Histoire de la ville.
Rendons-nous maintenant au Château de la Tourlandry : C’est au Moyen-Âge que le Seigneur Landry érige une tour sur le toit de l’Anjouproche de son point culminant de 211 mètres à Saint Georges des Gardes, dans les Mauges, à 20 min de Cholet. Il donnera ainsi son nom au château et au village de La Tourlandry sur lequel il est situé de nos jours, à Chemillé-en-Anjou, capitale européenne des plantes médicinales.
De sa première tour à la veille de la Révolution, le château évolue. Entouré de douves alimentées par un étang, le site est le seul encore en eaux naturelles en Maine-et-Loire. La façade d’entrée avec pont-levis était alors dominée par trois tours. Au Nord, la chapelle seigneuriale jouxtait l’église. Début 1794, les Colonnes Infernales de Turreau mettent le pays à feu et à sang ; l’église, le bourg, les fermes et le château, rien ne sera épargné, la famille De la Haye Monbault, propriétaire depuis le XVIIIe siècle n’ont plus que des ruines. Construit en 1854, le bâtiment central est celui que l’on connaît aujourd’hui.
Les incontournables de la Normandie (France)
Églises, abbayes, châteaux, manoirs, villes chargées d'histoire, la Normandie abrite un patrimoine exceptionnel à découvrir absolument. La région évoque aussi le Débarquement et ses plages qui ont vécu un tournant de l'histoire, des événements historiques qui sont en soi bien relatés dans les musées. Mais la Normandie, c'est aussi ses paysages d'une grande beauté, des campagnes verdoyantes de l'intérieur des terres à sa côte où les falaises de craie laissent place à de petites stations balnéaires de renom. Il y a tant à voir et faire en Normandie qu'on ne peut se contenter d'un seul séjour. En voici les incontournables :
- Le Mémorial de Caen (14)
Les parcours plongent les visiteurs au cœur de moments clés de l'histoire du XXème siècle, des origines de la Seconde Guerre mondiale à la Guerre froide. C'est à la fois un endroit qui invite au recueillement, mais aussi où on en apprend plus sur les différentes étapes du terrible conflit, la montée du fascisme, la Shoah et l'incontournable Débarquement sur les plages de Normandie. De nombreux films viennent agrémenter l'observation et les lectures et le musée accueille également des expositions temporaires.
- Le vieux bassin de Honfleur (14)
Le Vieux Bassin de Honfleur fut créé par Duquesne sur ordre de Colbert en 1681. Niché dans l'estuaire de la Seine, il est un lieu où il fait bon flâner pour y voir les charmantes maisons habillées d'ardoise et entendre les mâts des bateaux de plaisance qui s'agitent au fil des flots. Après s'être baladé sur le quai Sainte-Catherine, l'idéal est de se poser à une terrasse et de savourer un verre dans ce cadre majestueux. L'autre activité phare est celle d'observer le reflet des façades des maisons (qui, pour certaines, possèdent jusqu'à sept étages) dans l'eau.
- Le Musée Mémorial d’Omaha Beach (14)
Le Musée Mémorial d’Omaha Beach est situé à 200 m seulement de la plage où les soldats ont débarqué le 6 juin 1944. Il leur rend hommage par des photos, des documents et des panneaux qui permettent aux visiteurs de mieux comprendre de façon chronologique l'occupation allemande jusqu'au Débarquement des Américains sur la plage d'Omaha Beach. On y observe également avec émotion une collection d'uniformes, d'armes, d'effets personnels des soldats de l'époque, ainsi que des véhicules militaires. À ne pas manquer non plus, le film documentaire qui dévoile des témoignages de Vétérans américains.
- La plage de Deauville (14)
Le long du Boulevard de la Mer, la grande plage de Deauville offre un cadre unique sur près de deux kilomètres. On y trouve ses mythiques parasols colorés, réputés à travers le monde, ainsi que les planches marquées du nom des réalisateurs qui reçoivent chaque année un hommage lors de l'incontournable Festival du cinéma américain. Derrière les planches se dressent 450 cabines Art déco. Les visiteurs viennent sur cette plage unique en son genre pour son cadre enchanteur et impressionniste. On s'installe alors sur un transat et au cours de la journée on profite simplement de toutes les joies du bord de mer : lecture, baignade, farniente et activités sportives.
- Cimetière américain de Normandie (14)
Situé à Colleville-sur-Mer et surplombant la plage d'Omaha beach, le cimetière américain est un autre lieu en Normandie qui permet de se recueillir en mémoire des soldats qui ont participé à repousser l'ennemi lors de la Seconde Guerre mondiale. Le lieu se reconnaît par ses larges pelouses bien entretenues et aux croix blanches parfaitement alignées des tombes de 9 387 soldats morts au combat. En complément de cet ensemble, on y trouve également le Jardin des Disparus, la chapelle et le mémorial. À savoir que sur les nombreuses tombes que compte le site de 70 hectares, 307 défunts sont inconnus.
- Monument culturel au Musée des Impressionnistes de Giverny (27)
Claude Monet s’installa à Giverny en 1881. Beaucoup d'artistes l'ont suivi à l'époque pour appliquer les principes de l'impressionnisme aux paysages normands. Depuis 2009, le Musée des Impressionnistes de Giverny s'attache à présenter au public l'histoire de ce mouvement artistique exceptionnel, mais aussi du postimpressionnisme, ainsi que leur influence sur l'art des XXème et XXIème siècles. Le musée présente les artistes qui ont marqué l'impressionnisme à travers ses expositions monographiques, mais aussi thématiques. Il cherche aussi à montrer aux visiteurs comment le mouvement a impacté le monde et touché des artistes bien au-delà des frontières françaises.
- L’abbaye Notre-Dame du Bec-Hellouin (27)
Fondée par le chevalier Herluin au début du XIème siècle au bord du Bec, cette abbaye marque les esprits par son exceptionnelle beauté. Elle eut d'abord un rayonnement intellectuel important grâce à Lanfranc et saint Anselme avant de servir de dépôt à chevaux après la Révolution. Depuis 1948, les bénédictins olivétains s'y sont installés et la vie monastique a repris. La meilleure façon de visiter l'endroit est d'ailleurs celle de se laisser guider par un frère, qui ne manque pas de conter l'histoire du lieu. À voir absolument, les deux bâtiments mauristes des dortoirs et du réfectoire, qui abrite le tombeau d'Herluin, la tour Saint-Nicolas, le cloître et les vestiges de l'ancienne abbatiale.
- La Cité de la mer de Cherbourg (50)
Située au cœur de la dernière Gare Maritime Transatlantique Art déco, on en apprend plus sur l'histoire entre l'homme et la mer à travers des expériences qui vont de la visite du plus grand sous-marin au monde à la contemplation d'espèces maritimes dans pas moins de 17 bassins, en passant par la découverte du Titanic et de ses dernières heures, lui qui fit escale à Cherbourg le 10 avril 1912. À ne pas manquer non plus l'exposition permanente « Cherbourg 1944... et la liberté vint de la mer », un parcours qui fait revivre aux visiteurs les 20 jours compris entre le Débarquement du 6 juin 1944 et la libération du port de Cherbourg le 26 juin.
- L’abbaye du Mont-Saint-Michel (50)
Ce village qui est aussi abbaye gît fièrement au milieu d'un paysage marin de grande beauté. Une fois arrivé sur place, il faut prendre le temps d'aller voir l'église abbatiale, le cloître, le promenoir de moines ou bien encore le réfectoire. Après y avoir flâné dans les ruelles, il faut également rejoindre les hauteurs pour bénéficier d'un point de vue imprenable sur la baie du Mont-Saint-Michel. Ce site de bout du monde est classé au Patrimoine mondial de l'UNESCO.
- Parc naturel régional Normandie-Maine (61)
La Normandie rayonne par la beauté de la côte maritime et par son patrimoine architectural d'exception, mais il ne faut pas non plus manquer de parler de l'intérieur des terres et des paysages champêtres. Le Parc naturel régional Normandie-Maine dévoile des paysages de forestiers, des bocages, des marais, des étangs des vergers et des rivières. Au gré d'une promenade en harmonie avec la nature, la faune et la flore, il ne faut pas non plus passer à côté de la Maison du Parc, située dans l'Orne, à Carrouges. Elle propose en effet un cadre verdoyant où pique-niquer, sert de point d'informations touristiques, offre un espace découverte muséographique consacré à l'environnement et son rapport avec l'homme et permet enfin de faire le plein de produits locaux.
- Haras national du Pin (61)
L'un des plus beaux lieux pour le comprendre est le Haras national du Pin, construit entre 1715 et 1730. Pour l'histoire, il est le premier haras royal souhaité par Louis XIV pour y concevoir la production de chevaux pour son royaume. Les différentes bâtisses ainsi que les paysages alentour forment un ensemble remarquable de 1 100 hectares. En tant que centre de référence sur les métiers du cheval, il accueille les visiteurs pour la découverte des métiers autour du cheval à travers des visites guidées, mais ils dispensent aussi des ateliers et organisent des spectacles. Il s'agit du troisième site le plus visité en Normandie.
- Escapade gourmande aux vergers du Chouquet (61)
Direction à présent le pays d'Auge et les Vergers du Chouquet où la pomme est reine. On s'y arrête pour une visite guidée de l'exploitation suivie d'une agréable dégustation. Jus de pomme, jus de pomme gazéifié, cidre AOP, pommeau, Calvados, poiré, vinaigre de cidre, la famille est fière de vous présenter ses bons produits que l'on peut également acheter sur place. Preuve que ce lieu est de haute qualité, l'exploitant a obtenu une médaille d'or en 2011 au Salon de l'Agriculture pour son cidre AOC Pays d'Auge. À noter également que l'exploitation se reconvertit dans l'agriculture biologique.
- Les Falaises d’Etretat (76)
Sur la côte d’Albâtre se trouve un joyau inestimable, les falaises d’Étretat. De la Manneporte en passant par la porte d'Aval, les falaises de craie n'ont pas manqué d'inspirer des artistes tant le passage naturel offert est incroyable. Il faut bien entendu citer les impressionnistes, nombreux à y avoir posé leur chevalet. Un sentier longe la plage le long des falaises à marée basse et permet de rejoindre un autre lieu qui éveille toutes les curiosités : le Trou à l'Homme. De passage à Étretat, il faut en profiter pour se rendre au clos Arsène Lupin, au vieux marché et aux jardins pour bénéficier encore une fois d'une vue à couper le souffle sur les falaises.
- La cathédrale Notre-Dame de Rouen (76)
Joyau de l'art gothique, elle fut commencée au XIIème siècle sur les fondations d'une ancienne basilique, elle a connu plusieurs périodes de construction et de reconstruction et a bien failli ne pas survivre aux bombardements de la Seconde Guerre mondiale. Son allure actuelle date du dernier quart du XIXème siècle. Elle est sans aucun doute l'une des plus belles cathédrales de France et émerveille par ses différents détails architecturaux comme par la beauté de sa haute flèche de fonte. À l'intérieur, elle abrite différents tombeaux, dont ceux des ducs de Normandie.
- Le MuMA du Havre (76)
Musée d'art moderne André Malraux, se trouve non loin du bord de mer dans l'étonnante ville du Havre. Son architecture surprenante et resplendissante est dédiée à la lumière et l'espace. Avant d'entrer dans le musée, il faut d'ailleurs prendre le temps de s'imprégner de son architecture. Une fois à l'intérieur, les visiteurs y découvrent des œuvres qui embrassent cinq siècles, du XVème au XXème siècle. On y voit principalement de la peinture moderne et une très large collection de la période 1850-1920 avec des artistes tels Delacroix, Courbet et les impressionnistes Degas, Renoir, Pissarro, Sisley et Monet. Sans oublier non plus quelques toiles de Matisse, Friesz ou bien encore Marquet. En plus des collections permanentes, ce lieu culturel incontournable du Havre accueille aussi bon nombre d'expositions temporaires.
Centenaire du « Hollywood Sign » (Etats-Unis)
L’Office de tourisme de Los Angeles, célèbre tout au long de 2023, le centenaire d’un symbole mondialement reconnu de la ville – le Hollywood Sign. Perché dans les montagnes de Santa Monica, les lettres iconiques surplombent la Cité des Anges depuis 100 ans. Ces 9 lettres symbolisent à elles seules les paillettes et le glamour de Tinseltown, ainsi que l’on surnomme Los Angeles, et reste un emblème de l’histoire de la ville.
Aujourd'hui, le signe est LE symbole de Los Angeles avec pour promesse pour les visiteurs de venir découvrir un lieu où tous les rêves deviennent réalité.
“De l’âge d’or hollywoodien à l’industrie du divertissement telle que nous la connaissons aujourd’hui, Le Hollywood Sign a surplombé et traversé près d’un siècle d’histoire et donné un certain attrait à la ville” a déclaré Adam Burke, Président & CEO du Los Angeles Tourism & Convention Board. “Nous sommes impatients d’accueillir les visiteurs du monde entier pour célébrer le 100ème anniversaire du Hollywood Sign et profiter de toutes les expériences exceptionnelles que l’on ne peut trouver qu’à Los Angeles.”
Le 8 décembre 1923, 4 000 ampoules éclairent pour la première fois les lettres blanches juchées au sommet des collines de Santa Monica. Surplombant la Cité des Anges, le signe “Hollywoodland” est en réalité une publicité pour un lotissement immobilier haut de gamme. Aux fils des ans et 4 lettres en moins plus tard, le signe est resté un point de repère précieux des angelenos et du monde entier. Fin 2022, le Hollywood Sign Trust, association à but non lucratif créée pour protéger et préserver le monument culturel et historique, s’est associée à Sherwin-Williams pour une rénovation complète du monument en vue des célébrations du centenaire. Les lettres ont été apprêtées et peintes couleurs Extra White SW 7006 de la marque en Sherwin-Williams (Hollywood Centennial White).
Et pour marquer l’occasion, le Los Angeles Tourism Board met en lumière quelques-unes des attractions les plus emblématiques de la ville en rapport avec l'industrie du cinéma et du divertissement comme la visite de studios ou encore l'enregistrement de programmes TV :
. Warners Bros, 3400 West Riverside Drive, Burbank
Célébrant leur centenaire en 2023 avec pour nouveau slogan “100 ans d'histoire”, Warner Bros est toujours l’un des studios les plus actifs de Los Angeles, offrant aux visiteurs un aperçu de ce qui fait vibrer Hollywood de l’autre côté de la caméra. La visite permet aux visiteurs de se promener dans la ville des Gilmore Girls, Stars Hollow ou encore dans l’emblématique café de Friends, le Central Perk Café.
Narrée en vidéo par Jimmy Fallon, l’Universal Studios Hollywood Studio Tour explore les quatre coins du studio, y compris le plus grand projet de construction de décors de l’histoire du studio, construit notamment avec la consultation créative de Steven Spielberg. La visite emmène les visiteurs à la découverte des lieux qui apparaissent à l’écran, y compris l’accident d’avion de War of the Worlds, Wisteria Lane de Desperate Housewives, le légendaire motel Bates de la renommée de Psycho et l’ensemble de Jaws.
Fondé en mai 1912, le Paramount Pictures Studio est le plus ancien studio d’exploitation à Hollywood. Cécil B. DeMille, Bob Hope, Bing Crosby, Marlene Dietrich, Mae West, Gary Cooper, les Marx Brothers, et Elvis Presley ont tourné dans ces studios emblématiques. Ils abritent entre autres un décor de cinéma ultra élaboré des rues de New York, pouvant se transformer à volonté pour imager 10 quartiers différents de la ville.
Sony Pictures 10202 W. Washington Blvd., Culver City 90232
La visite de Sony Pictures invite les visiteurs à découvrir les plateaux d’enregistrement de films emblématiques, tels que le Magicien d’Oz, Men in Black et Spider-Man ou encore les émissions cultes comme Jeopardy! et La Roue de la Fortune. Les studios, au style Art Déco typique de l'âge d’or hollywoodien, accueillent également un musée et abritent le célèbre camping-car de la série Breaking Bad.
The Walt Disney Studios - qui célèbrent également leur centenaire en 2023 - est certainement l’expérience la plus exclusive de toutes. Généralement fermés au public, il est possible d’y avoir accès via D23 Events, Disney Movie Insider Awards et Adventures by Disney.
The Voice Universal Studios - 100 Universal City Plaza, Universal City 91608
Concours musical quatre fois primé aux Emmy Awards, The Voice est l’une des émissions les plus populaires à la télévision aujourd’hui, avec des talents inconnus et des coachs superstars, dont Blake Shelton, John Legend et Gwen Stefani. Inscription requise.
Jimmy Kimmel Live !El Capitan Entertainment Centre, 6840 Hollywood Blvd., Los Angeles 90028
Le late-night talk-show Jimmy Kimmel Live ! (ou émission de 2ème partie de soirée) est filmé en direct depuis le Hollywood Walk of Fame. Inscription obligatoire
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LeKelly Clarkson Show Universal Studios - 100 Universal City Plaza, Universal City 91608.
La première et la plus célèbre gagnante d’American Idol, Kelly Clarkson, anime son émission-débat de variétés éponyme depuis 2019. Des billets gratuits pour assister à l’émission multi primée aux Emmy Awards sont disponibles une semaine à l’avance.
Retrouvez votre âme d'enfant à bord du train « Pokemon with you » (Japon)
A l’origine, le premier train Pokémon opéré par la compagnie ferroviaire JR East en collaboration avec l’association Pokémon with you fut conçu pour aider la région de Tohôku, au lendemain du fort séisme et du tsunami de mars 2011.
Redonner le sourire aux enfants de cette région très touchée par le tremblement de terre était l’objectif.
Les wagons de ce train spécial, aux couleurs jaune et marron, sont décorés à l’effigie de Pikachu, personnage emblématique des jeux vidéo et dessins animés Pokémon. Une fois à bord, parents et enfants peuvent admirer les paysages de la Préfecture d’Iwate (au nord du Japon, entre Tokyo et l’île de Hokkaido), tout en jouant avec Pikachu durant leur voyage. Un personnel de bord dédié est là pour veiller sur les bambins, les divertir et prendre des photos. Dans le wagon abritant la salle de jeux, se trouve un mini-poste de conduite pour s’imaginer conducteur de train.
Le départ du train Pokémon with You a lieu en gare d’Ichinoseki, pour arriver ensuite à Kesennuma, petite ville balnéaire. Morioka est une ville à ne pas manquer sur votre parcours (mes articles sur cet endroit sont disponibles sur le site) pour ses temples et son artisanat.
 
 
ACTUALITES
Jeu de piste grandeur nature, du 22 au 29 avril 2023, à Paris (75)
Pour les vacances de Printemps, Bercy Village a conçu un jeu de piste XXL à destination des petits et grands et se transforme, pour l’occasion, en un véritable parcours haut en couleurs. Du 22 au 29 avril, les participants de cette enquête extraordinaire devront se servir de leurs qualités d’observation et leur esprit d’équipe pour venir en aide à Dodo, un oiseau un peu loufoque et seul habitant du pays enchanté des secrets qui n’a pas été plongé dans un profond sommeil. L’objectif ? Rechercher les indices cachés en plein cœur des allées de Bercy Village qui leur permettront d’avancer dans leur quête, retrouver celui qui a volé l’horloge magique et sauver les habitants.
Pour mener l’investigation, parents et enfants devront scanner un QR code à l’espace d’accueil situé Cour Saint-Emilion et se faufiler à travers les décors grandeur nature sur le thème d’Alice Aux Pays des Merveilles. Une fois le parcours immersif réalisé et le bandit démasqué, ils se verront récompensés par un lot de 3 papertoys pour prolonger le plaisir. Ils pourront également tenter de gagner de nombreux lots : des places de cinéma UGC, des entrées pour la salle d’escalade le Triangle et des cadeaux Bercy Village.
Pour aller encore plus loin, Bercy Village se mobilise. Chaque place de cinéma gagnée durant l’opération se transformera en une place offerte à un enfant par le biais du Secours Populaire.
Informations pratiques :
-Tous les jours du samedi 22 au samedi 29 avril de 14h à 18h
-Départ du jeu : Cour Saint-Emilion devant la FNAC
-Jeu réservé aux enfants de 6 à 12 ans, accompagnés d’un adulte. Les groupes constitués de plus de 5 enfants ne sont pas acceptés.
-Jeu accessible uniquement via un smartphone.
-Dans la limite des places disponibles.
A Bercy Village, à Paris (12ème)
 
 
INFOS PRATIQUES
Nouveau site internet « Canal du Nivernais »
Après plus de 10 ans de services, le site www.canal-du-nivernais.com méritait de se refaire une beauté afin de valoriser au mieux le 2ème canal le plus emprunté de France !
C’est ainsi que, dans le cadre de la coopération bassin « canal du Nivernais », les différentes parties prenantes se sont organisées afin de créer, rédiger et mettre en ligne plus de 90 contenus. Un travail à plusieurs mains réalisé par les 8 Offices de tourisme présents le long du canal, Yonne Tourisme, Nièvre Attractive, le CRT Bourgogne Franche-Comté et le Syndicat Mixte d’Equipement Touristique du canal du Nivernais.
Ce nouveau site permettra de mettre en avant la destination canal à la fois en bateau, en vélo, mais aussi à travers les villes et sites qu’il parcourt. Des contenus valorisant le « canal jardin » et les expériences à vivre entre Nièvre et Yonne :
- Découvrir le canal du Nivernais (ses escales et ses sites incontournables)
- En vélo (présentation de la véloroute, parcours, prestataires, idées de séjours et de visites)
- En bateau (condition de navigation, conseils et information, parcours, prestataires, port et haltes nautiques, idées de séjours et de visites)
- Séjourner (activités autour du canal, hébergements, points de restauration et évènements).
Parution du guide « 101 déambulations douces pour le voyageur curieux » le 19 avril 2023
Les 101 départements français sont ici chacun représentés par un lieu extraordinaire, que ce soit par son histoire hors du commun, son patrimoine naturel exceptionnel, parce qu'il bat des records, ou tout simplement parce qu'il est unique.
Du cœur de l'Auvergne où la plus ancienne entreprise de France, a fourni le papier de la Constitution, au palais de Bourges confisqué par le roi, Adélaïde vous guide en déambulation douce de pays en pays.
Train, vélo, cheval, randonnée, kayak, l'objectif : l'empreinte carbone la plus faible. L'idée est de prendre le temps de découvrir, de voyager, de dénicher sans dégrader la nature, juste la découvrir et se découvrir.
En fin d'ouvrage, une carte de la France à colorier au fil de vos visites, pour visualiser votre avancement dans la découverte des endroits à voir absolument dans l'Hexagone, comme un carnet de voyage.
Adélaïde Sauter est à la fois auteur, rédactrice et blogueuse. Quand elle ne remplit pas les pages des guides de voyage, elle alimente son blog, Les Voyages d'Adélaïde, axé sur le slow tourisme.
Sa philosophie : prendre le temps de voir les choses en profondeur, plutôt que de chercher à tout voir et tout survoler. 180 pages, 25€.
Sortie de la BD « La Ride » le 21 avril 2023
Ce livre de Simon Boileau évoque une magnifique echappee à vélo sur les petites routes departementales de France, de la capitale et sa banlieue jusqu'à la Bourgogne, en passant par le Morvan, en cinq jours, et à la seule force des mollets.
Attention,vous risquez fort, une fois sa lecture achevee, de tout plaquer pour partir sur les routes a votre tour, en quete de grand air et de retour aux sources. Car La Ride propose de faire un pas de cote pour reflechir et s’interroger sur les limites de notre vie quotidienne, son stress et sa vacuite. Vivre le nez dans le guidon, au sens figure, ca finit par lasser. Vivre avec les mains sur le guidon et la tete dans les nuages, c’est tout de meme autre chose !
108 pages, 18€.
 
 
COMMEMORATIONS
Les Rendez-vous Grandes Marées, les 20 & 21 avril 2023, au Mont-Saint-Michel (50)
Encerclés par les eaux, vivez un moment inédit entre ciel et mer, du haut de ce belvédère sans pareil qu’est l’abbaye du Mont-Saint-Michel.
Pour profiter pleinement du spectacle de la marée montante et du mascaret, mieux vaut être présent 1h45 à 2h avant la pleine mer (prévue à 21h08)
Spectacle « Arcanes Paysage » le 23 avril 2023 au Mont-Saint-Michel (50)
Face au mont, format portrait ou format paysage, voire panoramique, trois danseuses posent ainsi des « fenêtres » mobiles. La danse s’y joue en résonance, vient se fondre ou s’extraire du paysage, jouant de la distance focale et proposant une fiction poétique.
Sortie de l'album « Les Perce-temps du Mont-Saint-Michel » le 20 avril 2023
À l’occasion du Millénaire, Fabian Grégoire, auteur-illustrateur, publie grâce aux Editions du Patrimoine un nouvel album de jeunesse. Une œuvre originale et créative complétée par un dossier documentaire afin de mieux comprendre les références abordées dans la fiction.
Entre album illustré et bande dessinée, ce récit emmène les jeunes lecteurs dans le mille-feuille architectural et historique que sont le Mont Saint-Michel et son abbaye. S’appuyant sur les travaux des chercheurs, historiens et archéologues, il tente de donner à voir les états successifs de l’église abbatiale, dont la construction débute en 1023.
48 pages, 224 illustrations, 14,90€
Conférence : la liturgie bénédictine du Mont-Saint-Michel, le 20 avril 2023, au Prieuré du Mont-Saint-Michel (50)
En 2023 nous fêtons le millénaire du début de la construction de l’église abbatiale du Mont-Saint-Michel. A cette occasion, la Fondation du Mont-Saint-Michel lance un cycle de neuf conférences. Historiens, archéologues, conservateurs vont tout au long de l’année, au Prieuré du Mont-Saint-Michel, faire revivre l’époque des bâtisseurs du XIème siècle.
Louis Chevalier, pour cette troisième conférence, nous invite à mieux comprendre la liturgie bénédictine du Mont-Saint-Michel (50).
A 14h30.
 
 
EXPOSITIONS
« Regard sur la collection, Amours imaginaires » du 20 avril au 17 septembre 2023, à Saint Cloud (92)
La nouvelle exposition-dossier du musee des Avelines est la premiere d’un cycle intitule Regard sur la collection. En effet, chaque annee le musee des Avelines proposera une thematique onirique dans l’esprit d’une maison de collectionneur. Les visiteurs pourront ainsi decouvrir des œuvres restees jusqu’alors dans les reserves, ayant une intention narrative que le musee des Avelines souhaite mettre en avant.
La scenographie choisie propose une etonnante promenade autour de 120 œuvres reunies sous la forme d’un abecedaire amoureux. D’epoque et de genre varies, elles dialoguent et font resonner les differentes facettes de l’amour : la passion, la romance, l’erotisme et la tendresse.
La programmation culturelle, riche et variee, promet un ete amoureux fait de lecture, musique, et visite olfactive pour eveiller tous les sens.
Un catalogue de l'exposition de 48 pages richement illustrees est disponible au prix de 12 €.
Au Musee des Avelines, musee d’art et d’histoire de Saint-Cloud, Jardin des Avelines, 60, rue Gounod à Saint-Cloud (92)
« Insectes, au service des écosystèmes » du 22 avril au 5 novembre 2023, au Chesnay-Rocquencourt (78)
Le parcours de cette exposition débute dans la nouvelle salle d’exposition de l’Arboretum pour se déployer sur un parcours extérieur de 1,6 km qui dévoile la diversité des insectes du site. Elle s’adresse à tous les publics – scolaires, familles, amateurs – et se veut didactique afin de plaire au plus grand nombre. Pour ce faire, elle s’appuiera sur un riche parcours muséographique qui présentera différents modèles ou maquettes 3D, des boîtes entomologiques créées pour l'exposition, de saisissantes photos macro, des objets de collection et des dispositifs interactifs et ludiques pour un public familial. Ces dispositifs seront complétés par une expérience immersive dans l’Arboretum permettant d’aller au contact des fameuses « petites bêtes ». L’objectif de cette exposition est de sensibiliser le public sur l’importance des différents insectes pollinisateurs, et pas uniquement de l’abeille mellifère (Apis mellifera en France), qui bénéficie d’un capital sympathie dont ne profitent pas par exemple les abeilles solitaires pourtant plus nombreuses en termes d'espèces (presque 1 000 en France) mais aussi plus discrètes.
Une première partie de l’exposition permettra de comprendre le processus de pollinisation et le rôle primordial que jouent les insectes pollinisateurs dans le maintien de la biodiversité grâce à un focus sur l'abeille. Puis dans une deuxième partie, sera abordée la diversité des habitats occupés par les espèces d’insectes pollinisateurs : artificiels et naturels, ils agrémenteront le parcours des visiteurs. Une diversité de ruches et de nids issus des collections du Muséum seront présentés, des plus traditionnels aux plus sophistiqués. Cette présentation sera complétée par la présentation de photographies d’habitats naturels, nids issus des collections entomologiques. Enfin dans une troisième partie, les menaces qui pèsent sur les habitats et sur les insectes pollinisateurs seront décrites ainsi que leurs conséquences désastreuses pour la pollinisation. Pour finir, une approche participative sera proposée aux visiteurs afin de les sensibiliser à des solutions pour la préservation de ces espèces essentielles au maintien de la biodiversité.
Le parcours extérieur permettra ensuite de partir à la découverte des pollinisateurs de l’Arboretum. Une rencontre avec les papillons, coléoptères, mouches, abeilles et autres insectes attirés par les fleurs qui peuplent le site grâce à un parcours d’une douzaine d’étapes permettant de les observer. L’occasion de découvrir un monde ailé toujours en activité, de mieux comprendre les interactions entre les plantes à fleurs et les insectes et la façon dont leur association façonne nos paysages et assure le maintien des écosystèmes. Cette dernière partie jalonnée de transats, donne l'opportunité de prendre le temps d'observer ces interactions entre l'insecte et la nature et de réaliser ses propres photographies, en lien direct avec le programme SPIPOLL, un dispositif de sciences participatives innovant du Muséum et de l'Office pour les insectes et leur environnement (Opie) qui rencontre un engouement très important ces dernières années auprès de tous les naturalistes en herbe.
A l’Arborétum de Versailles-Chèvreloup, 30 Route de Versailles au Chesnay-Rocquencourt (78)
« Pierre Dac. Le parti d'en rire » du 20 avril au 27 août 2023, à Paris (75)
Le Musée des arts et d’Histoire du Judaïsme présente la première exposition consacrée à Pierre Dac (1893-1975). Plus de 250 documents issus des archives familiales, extraits de films, émissions télévisées et radiophoniques éclairent le parcours personnel et l’œuvre de ce maître de l’absurde, qui présida à la naissance de l’humour contemporain.
Qui sait que, dans les années 1950, Pierre Dac fut l’inventeur du schmilblick, cet objet au nom yiddish « qui ne sert absolument à rien et peut donc servir à tout » ? Qui se souvient du biglotron ? Qui a en mémoire la désopilante série radiophonique Bons baisers de partout, diffusée sur France Inter de 1966 à 1974 ? Des années 1930 au milieu des années 1970, l’imagination et l’inventivité de Pierre Dac ont nourri la culture française d’un extraordinaire arsenal humoristique que l’exposition fera redécouvrir.
Au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme, Hôtel de Saint-Aignan, 71 rue du Temple à Paris (3ème)
« Pierre-Luc Poujol », du 17 avril au 20 mai 2023, à New-York (Etats-Unis)
A l’occasion de sa venue, sur l’invitation de la Maison de la région Occitanie New-York, l'artiste Pierre-Luc Poujol vous invite à découvrir son atelier.Situé dans le sud de la France, à proximité de Montpellier, l’atelier de Pierre-Luc Poujol a été imaginé et conçu par l’artiste à l'âme d'architecte. Source d'observation pour l'artiste qui puise son inspiration dans la nature et la végétation, l’espace est pleinement ouvert sur l’extérieur.
Pierre-Luc Poujol sera le premier artiste à présenter à cette occasion une dizaine de grands formats dont des oeuvres exposées au Musée Paul Valéry à Sète, dans le cadre de l'exposition « Voyage à Giverny » en 2020 où il rendait un vibrant hommage au maître de l'impressionnisme et de la lumière.
Lors de cette exposition et en avant première pour la Maison de la Région Occitanie New York, l'artiste présentera également au public des oeuvres qui ouvriront sa prochaine exposition muséale, prévue au printemps 2024 au Musée Paul Valéry, intitulée « the forest call».
Pierre-Luc Poujol dont le travail de dripping est déjà reconnu aux Etats-Unis, apportera sa vision d'artiste français, dans la lignée des grands peintres américains qui l'ont inspirés, comme Sam Francis, Joan Mitchell et Jackson Pollock.
A la Maison de la Région Occitanie New-York, 244W 54th St, Suite 901, à New-York (Etats-Unis)
« Albert Marquet en Normandie » du 22 avril au 24 septembre 2023 au Havre (76)
Inspiré par les vents violents, le ciel changeant et la lumière particulière de la côte normande, Albert Marquet se lance en 1905 dans une série de paysages maritimes où il expérimente les multiples possibilités de la matière picturale.
Au musée d’Art moderne André Malraux, 2 Boulevard Clémenceau, au Havre (76)
« Egypte. Trois mille ans sur le Nil » du 20 avril au 15 octobre 2023, à Montréal (Québec)
Pointe-à-Callière offrira une exposition d’envergure sur l'Égypte ancienne. Cette exposition, présentée en exclusivité nord-américaine, comprend plus de 320 objets issus de la collection du Museo Egizio de Turin en Italie, une des plus importantes au monde ! Portant sur 3000 ans d’histoire, des origines jusqu’à la conquête romaine, l’exposition proposera au public un portrait actuel et à visage humain de cette société millénaire, fortement hiérarchisée, dont le majestueux fleuve du Nil constitue la colonne vertébrale.
Pêcheurs, artisans et agriculteurs, scribes, prêtres et pharaons, l’exposition mettra en lumière l’organisation de la société égyptienne et du pouvoir, mais également le rôle central des gens du peuple dans l’émergence de cette civilisation remarquable, d’une extraordinaire longévité. Outils de travail, objets du quotidien et bijoux côtoieront ainsi sculptures et statues monumentales, sarcophages, stèles et momies au gré d’un parcours immersif, à la fois grandiose et poétique.
A la Cité d’Archéologie et d’histoire de Montréal, 350, Place Royale,Angle de la Commune Vieux Montréal (Québec)
« Révéler l'invisible, les femmes s'exposent » du 20 avril au 18 juin 2023, à Lyon (69)
À travers une sélection de peintures, dessins, vitraux et sculptures, cette seconde exposition propose de mettre en avant le rôle primordial des femmes dans le développement des grands mouvements artistiques du XXème siècle.
Révéler l'invisible, les femmes s'exposent permet de réévaluer l’apport des femmes dans l’art. Elles sont souvent novatrices dans l’emploi de matériaux non nobles, dans le refus des clivages, l’ouverture à d’autres spiritualités et le désir d’exprimer un point de vue personnel sur le monde. Déterminées, ces femmes se sont donné les moyens d’être reconnues comme artistes à part entière. Consacrer aux femmes artistes, cette exposition se place sous le double signe de la liberté créatrice et de l’émancipation.
Au tournant du XXème siècle, les femmes devaient montrer une détermination plus forte que les hommes pour pouvoir entreprendre une carrière artistique, pour briser les tabous, les préjugés. Pour mieux comprendre leurs luttes contre toutes ces contraintes, la Fondation Renaud a choisi d’organiser l’exposition autour de trois grands axes qui représentent chacun un courant porteur.
Au Fort de Vaise, 27 boulevard Antoine de Saint-Exupéry, à Lyon (9ème)
Exposition immersive « Harry Potter, l'exposition » du 21 avril au 1er octobre 2023, à Paris (75)
Les fans de la saga Harry Potter sont invités à plonger dans les coulisses du Monde des Sorciers à travers une exposition immersive qui s'arrête à Paris pour la deuxième étape de sa tournée mondiale en Europe. Le parcours fait appel aux dernières innovations en matière de technologie immersive. Il met à l’honneur les films et les récits d’Harry Potter et des Animaux Fantastiques mais aussi des œuvres du même univers comme la pièce Harry Potter et l’ Enfant maudit. Les visiteurs pourront découvrir accessoires, costumes et salles reconstituées.
L’exposition rend hommage aux scènes, personnages, décors et créatures mythiques nés de l’imagination de l'écrivaine J.K. Rowling et découverts dans les films et autres déclinaisons de l’univers d’Harry Potter. Les visiteurs pourront découvrir les premiers souvenirs de la saga, vivre une expérience immersive avec des éléments emblématiques comme le Saule cogneur ou encore la Carte du maraud. La Grande salle de l'école de Poudlard, les salles de classe, la cabane d’Hagrid ou encore la galerie des différentes Maisons seront reconstituées.
A Paris Expo, Porte de Versailles, à Paris (15ème)
« Le seul homme de la famille, la duchesse et duc d'Angoulême » du 22 avril au 17 septembre 2023, à Paris (75)
Grâce à des prêts exceptionnels du musée des Arts décoratifs et du Design de Bordeaux, du musée des Beaux-Arts de Chartres et de collections privées, l'exposition, sous le commissariat de Matthieu Mensch, docteur en histoire, permettra de redécouvrir et de mettre en lumière pour la première fois ce couple quasi royal et pourtant méconnu, formé par deux personnages aux destins façonnés par l'histoire.
Dans la nef de la Chapelle expiatoire, devant l’autel, sera présentée L’entrevue du duc de la duchesse d'Angoulême, huile sur toile de très grand format de Barthélémy Garnier, tableau prêté par le musée des Beaux-Arts de Chartres. Ce tableau montre les retrouvailles des époux à Chartres après l’expédition victorieuse du duc en Espagne pour aider Ferdinand VII à restaurer la monarchie absolue. Il s’agit donc aussi bien d’une représentation du couple que d’une évocation de sa contribution à l’histoire. Les œuvres issues de la collection Jeanvrot, consacrée aux derniers Bourbons, prêtées par le musée des Arts Décoratifs et du Design de Bordeaux, seront présentées dans l’ancienne sacristie. Des prêts inédits de particuliers complètent l’exposition, notamment le très beau portrait de la duchesse d’Angoulême, par Louise Bouteiller, qui n’a jamais été présenté au public depuis 1819.
A la Chapelle expiatoire, 29 rue Pasquier, à Paris (8ème)
 
REPORTAGE DE LA SEMAINE
Exposition "Paris, capitale de la gastronomie, du Moyen-Âge à nos jours" (Conciergerie de Paris, Par... En ce mois d'avril, le Centre des monuments nationaux présente « Paris, Capitale de la gastronomie, du Moyen-Âge à nos jours » jusqu'au 16 juillet 2023.
Cette exposition , installée dans la salle des Gens d'Armes qui servait de réfectoire à l'époque médiévale, propose un voyage dans la légende gastronomique de Paris, depuis le mémorable banquet de Charles V à la Conciergerie, jusqu'au large répertoire culinaire de la capitale actuelle, mêlant haute cuisine, traditions bourgeoises et populaires, et innovations. Une riche rétrospective offrant au visiteur ?uvres d'art, manuscrits, enluminures, menus originaux, tableaux, créations culinaires, vidéos et photographies sans oublier une sélection d'arts de la table.
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