D'après le dictionnaire Larousse, le journalisme se définit comme l'ensemble des activités se rapportant à la rédaction d'un journal ou à tout autre organe de presse écrite ou audiovisuelle (collecte, sélection, mise en forme de l'information) d'une part, et la manière d'écrire, de présenter les évènements d'autre part.
Jamais ce métier n'a autant fait débat sur notre planète compte tenu de la concentration d'un maximum de moyens d'information entre les mains d'une poignée de très influents acteurs économiques et financiers détenant le pouvoir. D'où la tentation de se servir du journalisme comme ...moyen de propagande afin de contrôler les foules.
Or, les taches du journaliste consistent à chercher l'information, à la vérifier, à la trier, à la sélectionner, à la mettre en situation, et à la rendre compréhensible. Tache ardue en vérité.
Lorsque j'étais enfant, journaliste fit un temps partie des métiers que j'aurais aimé exercer, et puis l'existence m'a finalement mené ailleurs. J'ai cependant toujours conservé cette curiosité naturelle sur le monde qui nous entoure, et l'envie de partager avec autrui, c'est à dire vous, lecteurs fidèles.
Mon métier de navigant m'ayant conduit trente deux années durant, à parcourir la planète, les opportunités offertes par l'avènement d'internet me convainquirent de créer un site internet en 2011 afin de partager mes récits de voyage, tout en me constituant un carnet de souvenirs pour mes vieux jours.
Loin de moi la prétention d'être journaliste, je me conçois simplement comme« petit rapporteur » d'un certain nombre de nouvelles concernant des sujets m'interpellant. Et qui doivent également intéresser d'autres lecteurs à travers le monde. C'est la notion de partage qui, pour moi, est prioritaire afin d'éveiller les esprits.
Cela fait belle lurette que je ne m'astreins plus à écouter la « bonne parole » médiatique sur les chaines d'information d'une presse aux ordres de ces magnats qui prétendent nous imposer leur nouvel ordre mondial, à leur profit bien sûr. Il s'agit pour moi d'instinct de survie, pour me préserver d'un stress déjà assez omniprésent dans notre société et pour ne pas rajouter à la polémique, comme le font les chroniqueurs des chaines d'info en s'exprimant en boucle et des heures durant sur les sujets qui fâchent pour finalement ? ne rien apporter de nouveau au débat tout en tourmentant les téléspectateurs.
Le fait même que la censure mise en place de manière si intensive vis à vis des « contradicteurs » de l'ordre établi révèle que quelque chose ne tourne pas rond et que la caste au pouvoir craint que son plan consistant à museler les peuple finisse par faire un flop. Celle-ci est si sûre d'elle qu'elle ne se cache même plus, décrétant que tout individu qui ne pense pas comme elle est l'ennemi à abattre. Quelle étrange conception de l'échange et du débat !
Je ne vois que mensonge et conflits d'intérêts dans cette presse aux ordres, dont seuls quelques-uns sortent indemnes. Je vous en dresse une liste non-exhaustive dans cette lettre.
Souhaitons simplement qu'une majorité d'endormis se réveillent pour balayer sans plus tarder ces autocrates illégitimes. La dictature ne dure qu'un temps...
 
LE CLIN D'OEIL DU MOMENT
Est-il encore possible aujourd'hui de vivre sans internet ?
A l'heure où les Français ont, en 2022, passé 2h18mn en moyenne chaque jour sur internet (d'après Médiamétrie), et sur un téléphone portable (pour les trois-quarts du temps), il est permis de se poser la question. Pire, chez les 15-24 ans, on se rapprochait même des 4h00 journalières (dont 93 % du temps sur téléphone).
Une lueur d'espoir surgit aux Etats-Unis où certains jeunes refusent les écrans dans le cadre du « Log Off Movement ». Même chose en Europe où des voix s'élèvent afin de vivre sans téléphone ni ordinateur.
Selon une étude du groupement d'intérêt scientifique Marsouin, 19 % des Françaises et des Français ne possèdent pas de smartphone. Pour 17,5 % d'entre elles, c'est « un choix de limitation volontaire de biens numériques ou électroniques ». Une volonté de déconnecter qui a été observée par le sociologue Francis Jauréguiberry qui justifie « une sorte de nausée télécommunicationnelle et une fatigue technologique conduisant à la déconnexion ». Déconnexion plus souvent partielle que totale, choisie par des personnes majoritairement de la classe moyenne ou supérieure, pas culturellement marginalisées, et sans déficit cognitif face à des technologies qu'ils manipulent depuis longtemps.
Yves Marry, fondateur de l'association « Lève les yeux » en 2018 a la conviction que le smartphone est une forme d'aliénation car il mobilise l'esprit de son utilisateur de façon continue rendant impossible toute concentration sur une tache qui requiert une attention profonde.
Dans le même temps, on observe que, compte tenu de la démultiplication des taches réalisables que sur internet, il devient quasiment impossible de rompre totalement avec cet outil. Oui mais...possible malgré tout avec une sacrée dose de ténacité et de patience. Comme le souligne la directrice d'une école d'enseignement supérieure : « à côté des désagréments administratifs, cette personne aurait développé des compétences autres, comme une prise de notes élaborée, une concentration probablement supérieure et une certaine personnalité ».
MURIEL JETTE UN FROID SUR LES THEORIES CLIMATIQUES
Quel est le degré de température de nos grands étés ? Ici revient l’insurmontable difficulté de fixer au juste, avant l’usage du thermomètre, l’intensité du froid ou de la chaleur. Un artifice fondé sur les rapports reconnus entre certains phénomènes naturels et les mouvements du thermomètre, fournit les mesures approximatives de nos grandes chaleurs et sécheresses.
De Humboldt a posé en principe que la végétation des arbres exige au moins une température moyenne égale à 11°. Le chiffre de cette température répond encore au point où la chaleur de l’air commence à devenir sensible. Ce degré assez fixe peut être pris pour le premier terme d’une échelle de nos grandes chaleurs. Messier a quant à lui constaté que le maximum de la chaleur à Paris, le 8 juillet 1793, a marqué 40°. C’est à peu près la plus haute température, excepté celle de l’été 1705 à Montpellier, observée en France, le thermomètre au nord, isolé, à l’ombre, à l’abri des réverbérations et à l’air libre.
Les affirmations (contestables) du GIEC n’apportent rien de nouveau (la Terre n’a pas attendu l’homme pour subir réchauffements et refroidissements suisse) si ce n’est un outil à destination des idiots utiles que j’engage à lire l’article ci-dessous :
Dimanche 14 mai 2023 : Je me tiens mieux vis à vis des chats ...et des trains , en évitant de courir après tout ce qui bouge
Lundi 15 mai 2023 : Alors que nous rentrions au village, libre de la laisse, une dame « pincée » vit la scène d’un mauvais œil informant mon maitre qu’elle avait déjà été mordue par un chien errant. Mon maitre lui a répondu qu’un Etat de droit digne de ce nom ne pouvait que difficilement imposer aux animaux d’être tenus en laisse alors que le pays laisse divaguer dans la nature terroristes, tueurs d’enfants et violeurs, souvent récidivistes et munis d’un seul bracelet électronique.
Mardi 16 mai 2023 : Ces temps-ci, « j’ai la nouille qui m’chatouille » Et le bâton toujours au garde à vous, si vous voyez ce que je veux dire...
Mercredi 17 mai 2023 : Avec moi, ça déménage (je vaux largement les « Déménageurs bretons »!) au point de courser un pauvre chat qui ne demandait rien à personne.
Jeudi 18 mai 2023 : Mon maitre étant fatigué, je me suis joins à lui pendant sa sieste. Fidèle je suis, fidèle je reste.
Vendredi 19 mai 2023 : Ce matin encore, je me réjouis de prendre le ptit déj’ avec mon maitre, en commençant par quelques figues et dattes...
Samedi 20 mai 2023 : Chat par ci, chat par là, j’en trouve aujourd’hui sur mon chemin mais résiste à mon instinct de chasseur à l’appel de mon maitre
 
 
VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR...
Le journalisme :
Jean-Dominique Michel vient de lancer sa web-TV « Anthropo-logiques » et nous explique la trahison de la presse au service d’un travail odieux de désinformation, qui prive les populations des moyens de comprendre ce qu’elles subissent.
«Face à l’info » (du lundi au jeudi à 19h00 sur CNews) avec Christine Kelly (régulièrement menacée de mort) et sa fine équipe de chroniqueurs nous réconcilie avec l’information des médias de masse. https://www.cnews.fr/les-replays/face-a-l-info
 
 
QUOI DE NEUF EN CRYPTO ?
Crise bancaire et inflation américaines, le pire est à venir :
Cool Wallet, le portefeuille crypto bluetooth le plus pratique au monde ?
Acheter ou échanger des cryptomonnaies implique le respect de certaines procédures de sécurité. En effet, l’écosystème regorge encore de mauvais acteurs en embuscade pour vous voler vos précieux fonds numériques. Raison pour laquelle un autre sujet essentiel ne doit pas être négligé : le stockage optimisé à l’aide d’un portefeuille matériel, ou “hardware wallet”. Car la meilleure des protections semble toujours résider dans un auto-hébergement fiable et adapté à l’univers du Web3.
Le meilleur moyen de protéger ses fonds numériques est l’utilisation d’un portefeuille matériel, ou hardware wallet. Un stockage “à froid” déconnecté de toute relation à Internet, afin de mettre ses clés privées hors ligne à l’abri des menaces et accès non autorisés potentiels.
Une technologie qui, dans le cas du portefeuille CoolWallet Pro, implique l’utilisation d’un système de cryptage. accompagné de mesures de vérifications biométriques et d’un code PIN pour une couche de sécurité optimale. Nous le savons, les cryptomonnaies et la technologie blockchain pourraient à terme permettre de se passer des banques. C’est pourquoi la question de la sécurité est centrale voire vitale. La suite ici : https://journalducoin.com/bitcoin/coolwallet-pro-wallet-crypto-bluetooth/
 
 
NOUS PRENDRAIT-ON POUR DES CONS ?
Non, nous ne manquons pas d’eau par Idriss Aberkane :
Le monde consomme un peu moins de 60% du volume de l'Amazone en eau douce, chaque année. A l'heure où le malthusianisme forcené, veut confisquer toutes nos libertés, limiter drastiquement les naissances, nous confiner dans ces atroces "villes de 15 minutes", il était devenu absolument vital de contredire ce discours apocalyptique par un peu de science exacte. Non, nous ne manquons pas d'eau potable. Certes, sa répartition dans le monde n'est pas bonne, mais une chose qui peut se répartir facilement de l'Alaska à l'Afrique et du Lac Baïkal à la Terre de Feu, c'est l'intelligence et la connaissance. https://youtu.be/gJHlnAnyylo
CSI (Conseil Scientifique Indépendant) N° 105 du jeudi 18 mai 2023 : Hélène Strohl, ancienne inspectrice à l’IGAS, et Christian Peronne, Professeur des Universités et praticien hospitalier maladies infectieuses et tropicales.. Sujet : mort et renaissance du système de santé. https://crowdbunker.com/v/dSmQncir3o
L’Institut pour la Justice (https://www.institutpourlajustice.org/) nous informe que la France compte, chaque année, 3000 morts sur les routes, 950 homicides et 10500 suicides. Soit près de 15000 morts suspectes qui nécessitent des autopsies judiciaires. Et c’est là que le bât blesse : selon Axelle Theillier, il y a toutes les « chances » pour qu’en pareil cas, la Justice prélève vos organes et les jette ensuite à la poubelle.
C’est ce qu’a découvert Coralie Pailhès, la maman de Lionel qui a perdu la vie à 17 ans à cause d’un chauffard alcoolisé, alors qu’il roulait en scooter. Son cœur, ses méninges et son cerveau furent éviscérés lors de l’enquête puis...jetés aux ordures. Son cas n’est pas isolé puisque cette mère découvrit que plusieurs victimes de l’attentat de Nice en 2016 subirent exactement le même sort.
Ce genre de pratique, inacceptable dans un Etat de droit, était pratiquée par les Romains aux corps de leurs ennemis, dont la condamnation de la mémoire était mise en œuvre en détruisant ses restes humains.
Au 19ème siècle, le médecin qui se voyait confier une autopsie judiciaire restait le maitre absolu de sa technique d’examen. Les seules restrictions auxquelles il devait se plier lui étaient imposées par la science : « Le médecin désigné et assermenté agit comme il le croit convenable, en se conformant aux préceptes de la science. »
De nos jours, notre Code civil consacre son chapitre II au respect du corps humain : l’article 16 mentionne que « la loi assure la primauté de la personne, interdit toute atteinte à la dignité de celle-ci et garantit le respect de l’être humain dès le commencement de sa vie ». « Le respect dû au corps humain ne cesse pas avec la mort. Les restes des personnes décédées, y compris les cendres de celles dont le corps a donné lieu à une crémation, doivent être traités avec respect, dignité et décence ». (art.16-1-1)
 
 
DU COTE DE CHEZ NOUS
Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix: Comment rabaisser les institutions dont on n’est pas digne (https://odysee.com/@campagnoltvl:2/geron:c)
 
 
MUSIQUE
Festival Les Pianos Folies, du 26 mai au 4 juin 2023, au Touquet-Paris-Plage (62)
Pour sa 15ème édition, les Pianos Folies auront lieu en juin. Un nouveau défi à relever pour ce festival qui aura lieu dorénavant et chaque année autour du Week-End de la Pentecôte. Un appel donc aux festivaliers fidèles du mois d’Août à nous rejoindre et un appel à un public nouveau ravi de ce changement et qu’il faudra fidéliser.
Alors nous vous avons concocté un programme exceptionnel avec des artistes et pianistes de renommée internationale qui ouvriront la saison musicale du Touquet-Paris-Plage. Le festival de musique classique du Touquet-Paris-Plage, classé parmi les 4 événements majeurs de la station se déroulera du 26 mai au 4 juin prochain.
Unique en son genre, il se veut ouvert à tous les publics. Venez partager des émotions à travers un univers musical exceptionnel avec les plus grands pianistes du moment et dans un esprit festif et de rencontres inoubliables. Les concerts se dérouleront dans des lieux particulièrement originaux qui ajoutent leur note de charme aux « Pianos Folies » et permettent de découvrir le patrimoine de la station.
De quoi passer un agréable début de saison en musique.
« Mouvement et lumière », jusqu'au 1er novembre 2023, à L'Isle-sur-la-Sorgue (84)
La Fondation Villa Datris présente Mouvement et Lumière, une exposition hypnotique et lumineuse à travers une sélection d’œuvres d’art cinétique du mouvement originel des années 50 tout en s'ouvrant à de nouvelles générations d’artistes. L’accent est mis sur l’utilisation de la lumière – naturelle ou artificielle - dans la réalisation des 76 œuvres exposées et conçues par 58 artistes français et internationaux.
Dans la Villa et ses jardins, l’exposition montrera également plusieurs installations et créations de Jesùs-Rafael Soto, Marina Apollonio, Manuel Merida, Julio Le Parc, Olafur Eliasson spécialement réalisées pour l’occasion.
A la Villa Datris, 7 Avenue des quatre otages à L’Isle-sur-la-Sorgue (84)
« Villa Cavrois. En perspective, Philippe De Gobert » jusqu'au 10 septembre 2023, à Croix (59)
Dans la continuite d’une commande en carte blanche au MuMA Le Havre pour une exposition autour des architectures d’Auguste Perret, le Centre des monuments nationaux convie Philippe De Gobert a poursuivre ses recherches sur l’architecture moderniste a la villa Cavrois, œuvre de Robert Mallet-Stevens. Pour cette carte blanche, sous le commissariat de l’architecte et historien Richard Klein, Philippe De Gobert se reapproprie l’œuvre totale qu’incarne la villa Cavrois et revele a partir de photographies et maquettes, toute la radicalite de l’ecole de Weimar ou du mouvement de Stijl. Les visiteurs sont invites a decouvrir dans les differentes pieces du monument des maquettes et photographies, dont certaines ont ete creees specifiquement pour la villa Cavrois.
A la Villa Cavrois, 60 Avenue John-Fitzgerald Kennedy à Croix (59)
« Pourquoi la marionnette ? 100 ans de création», du 27 mai au 5 novembre 2023, à Moulins (03)
L’exposition « Pourquoi la Marionnette ? 100 ans de création » dessine un paysage de la scène marionnettique à travers une série de tableaux « thématiques » qui répondent à la question posée par le titre et illustrent des courants et des tendances esthétiques de la marionnette « de création », principalement en France, des années 1920 à la scène contemporaine. L’enjeu est d’explorer les raisons du choix de cette famille d’instruments scéniques, du personnage marionnette, aux techniques les plus diverses, à la manipulation de la matière ou au théâtre d’objet.
L’approche ne se veut donc ni historique, ni systématique. Les thématiques sont interprétables à plusieurs niveaux, de la métamorphose des corps et des objets aux possibilités offertes en termes de geste, d’action scénique et de dramaturgie. Elles peuvent se décliner en verbes simples : démultiplier, jouer avec les proportions, transformer, voler, désarticuler, mettre en pièces, déformer, animaliser, robotiser, aplatir, styliser, abstraire… Elles recoupent le propos sur les possibilités esthétiques offertes par les arts de la marionnette : renouveler la dramaturgie et la mise en scène (marionnette et avant-gardes), réinvestir et réinventer des répertoires et des genres dramatiques (la féérie, les genres satiriques…), associer les genres scéniques (petites et grandes formes opératiques, scènes chorégraphiques et circassiennes) et déplacer les frontières des genres artistiques (arts plastiques et installation, expérimentations avec la matière)…
Les salles proposeront ainsi différentes réponses à la question liminaire : aller à l’essentiel, manipuler la matière, tout mettre à plat, tendre vers l’abstraction, trouver sa place, défier la pesanteur, jouer des mécaniques, être tout chose, changer de règne, partager le plateau.
Au Centre national du Costume de scène, Quartier Villars, Route de Montilly, à Moulins (03)
« Travailler en temps de guerre 14-18/39-45 » du 26 mai 2023 au 4 mai 2024, à Roubaix (59)
Pour la première fois dans une exposition, le sujet du travail en temps de guerre est exploré de façon globale et pluridisciplinaire, en s’appuyant sur des archives d’entreprises ou de personnes privées jusqu’ici peu révélées au grand public. Il s’agit d’éveiller la curiosité sur l’organisation du travail et ses mutations dans le contexte des deux guerres mondiales en France et de comprendre quels ont été les changements majeurs pour les travailleuses et les travailleurs.
Même s’il existe des mécanismes similaires dans la réorganisation du travail durant la première guerre mondiale (1914-1918) et la seconde guerre mondiale (1939-1945) en France, les contextes bien différents rendent singuliers chacun de ces conflits. En 1914, l’appel de 3,8 millions d’hommes sous les drapeaux entraîne à l’arrière un manque de main-d’œuvre essentielle à l’effort de guerre et une recomposition de la population active. L’armistice signé en juin 1940 entre la France de Vichy et l’Allemagne nazie marque la fin du conflit armé sur le territoire français. Ressources économiques, infrastructures et main-d'œuvre sont alors à la disposition de l'occupant.
Quels ont été les ajustements temporaires ou les impacts durables des deux guerres mondiales sur les méthodes de travail, le droit social ou encore la perception de certaines activités professionnelles ? Comment les entreprises se sont-elles adaptées, dans leur organisation ou leur production, au contexte de la guerre ? Qu’en est-il des destins individuels, effacés par le temps ou tombés dans l’oubli après-guerre ? Quelle mémoire gardons-nous de leurs activités professionnelles (volontaires ou sous contrainte) dans un contexte politique et économique hors du commun ?
Les documents d’époque et témoignages présentés dans l’exposition mettent en lumière et en contexte cette expérience individuelle et collective des générations ayant vécu et travaillé en temps de guerre, alors qu’elles s’éteignent peu à peu, et qu’aujourd’hui même, en divers lieux du globe, des hommes et des femmes travaillent en temps de guerre.
L’exposition questionne les mutations du travail au cours des deux guerres mondiales à travers trois séquences thématiques, rythmées chacune par plusieurs modules et focus permettant d’aborder et d’approfondir différents sujets.
Aux Archives nationales du Monde du Travail, 78 boulevard du Général Leclerc, à Roubaix (59)
« Le chemin vers soi » jusqu'au 8 octobre 2023, à Le Malesherbois (45)
Jean Anguera, sculpteur-dessinateur, et Patrick de Carolis, écrivain-journaliste, ont travaillé ensemble afin de créer cette exposition qui illustre, à travers une série inédite de vingt images-texte, leurs paysages rêvés entre le Lot et le Loiret.
L’exposition Le chemin vers soi, présentée du samedi 13 mai au dimanche 8 octobre 2023 au cœur des expositions permanentes, dévoile des dessins et textes originaux à regarder et à lire comme un interlude dans le travail respectif de Jean Anguera et de Patrick de Carolis.
Sous la direction de Michel Grandidier, lithographe et membre actif de l’AMI, les planches de l’exposition ont été réunies dans un livre-coffret d’exception imprimé dans les ateliers du musée, à Malesherbes. Il met ainsi en lumière les techniques d’impression et les savoir-faire convoqués pour la réalisation de ce chef-d'œuvre tiré à quarante exemplaires.
A l’Atelier-musée de l’Imprimerie, 70 rue du Général Patton, à Le Malesherbois (45)
« La banlieue des enfants. La place de l'enfant en banlieue : histoire et réflexions » jusqu'au 20 juillet 2023, à Athis-Mons (91)
La Maison de Banlieue et de l'Architecture est un centre d'interprétation de l'environnement urbain, du patrimoine en banlieue et de l'architecture. Tout au long de l'année, balades, visites, ateliers et autres événements sont proposés pour découvrir la banlieue autrement.
Elle réalise chaque année une exposition thématique pour sensibiliser tous les publics à l’histoire, au patrimoine, à l’architecture, au paysage de la banlieue. En 2023, elle se questionne sur la place de l'enfant en banlieue. Citoyens à part entière, les enfants jouissent de droits : au temps libre, au jeu, à l’expression… Ces droits sont pourtant bafoués, dans un espace urbain souvent orienté autour des besoins des adultes. En banlieue, l’évolution de la place des enfants dans la ville révèle les mutations urbaines et sociales. Cette exposition s’interroge sur les lieux qui leur sont dédiés et met en lumière des initiatives qui leur permettent de s’approprier leur cadre de vie. En donnant la parole aux enfants d’hier et d’aujourd’hui, elle invite à lire la banlieue à leur hauteur.
A la Maison de banlieue et de l’architecture, 41, rue G.Anthonioz-de Gaulle à Athis-Mons (91)
« Patrick Fabre » du 15 au 28 mai 2023, à Saint-Gervais (74)
Originaire du Sud-Ouest, de Cahors dans le Lot, ses activités professionnelles l'emmèneront en Lorraine comme professeur d'arts plastiques et guitare classique. En parallèle, ses expositions de peinture et récits le feront connaître comme un artiste régional de Thionville puis d'Epinal (divers prix décernés notamment par le Conseil Général de Lorraine).
Aujourd'hui retraité, son amour des paysages et de la montagne l'a conduit « face au Mont-Blanc » au-dessus du Plateau d'Assy, à Martel de Janville.
Les aquarelles exposées sont des images ; le prolongement d'un instantané photographique pour traduire une atmosphère, le moment d'une journée, d'une saison… Attaché à la mélodie, la sélection des extraits musicaux transcrits pour la guitare classique complète l'illustration de ces images.
A la Salle Geo Dorival, à Saint-Gervais (74)
« Tal Waldman, la voie d'expérimentation », jusqu'au 3 septembre 2023, à Troyes (10)
La Cité du Vitrail à Troyes propose sa première exposition temporaire : Tal Waldman. La voie d’expérimentation. Cette exposition-dossier prend place dans les salles des Augustines au premier niveau de la Cité du Vitrail.
Artiste polymorphe - architecte, designer et plasticienne - Tal Waldman s’inspire des différentes cultures qu’elle a rencontrées lors de ses résidences et études d’art et d’architecture en Israël, en Inde, en Allemagne, en Grèce et à Paris où elle vit.
Son travail explore la quête d'identité : identité géographique, identité féminine, identité humaine.
A la Cité du Vitrail, Hôtel-Dieu-le-Comte, 31 quai des Comtes de Champagne, à Troyes (10)
« Immersion » du 25 mai au 8 juillet 2023, à Saint-Pétersbourg (Russie)
I-Gallery.Intelligence presente « IMMERSION », un projet du jeune photographe Benoit VIALLON.
Les milliers de kilometres entre Paris et Teriberka donnent un sentiment d’infini que le compteur de la voiture enregistre patiemment. Des centaines d’images sont issues de cette aventure et composent un veritable point de vue esthetique a l’echelle du continent.
Cette immersion avec le reel, sans filtre, contraint par l’usage de la voiture est devenue l’objet meme du projet d’exposition.
Ce sont les voyages qui ont faconne chez Benoit le souci du detail pour saisir les choses qu’il faut savoir capturer «ici» et «maintenant» et les rendre importantes.
Le sentiment du froid, l’impression d’un cheval qui s’approche sous la neige, un drole de chien. Les visages amis, les sourires, l’attente de la lumiere, la certitude d’une direction puis les doutes...
tout aura participe a fabriquer une histoire aussi unique que la destination.
Si beaucoup imaginent les levers comme les couchers de soleil d’hiver dans le grand nord comme gris, ternes et tristes, ils se sont etonnamment reveles, pour l’appareil de Benoit, sous leurs plus belles couleurs : lumineuses et pastelles.
A Moika 104, à Saint-Petersbourg (Russie)
 
 
SAVOIRS
Les Paris de l'Art, les 25 & 26 mai 2023, à Paris (75)
Du 29 septembre 2022 au 23 juin 2023, un cycle de 28 séances thématiques dresse un panorama de l’histoire des arts, de l'Antiquité à nos jours, en s’appuyant notamment sur les expositions temporaires et les collections des 14 musées de la Ville de Paris.
Cours : Anna-Eva Bergman
Auditorium : Jeudi 25mai à 15h30 ou vendredi 26mai 2023 à 18h30
Disponible en ligne : Mardi 30 mai 2023
Séance animée par Hélène Leroy, Conservatrice du patrimoine -
Chargée des collections contemporaines - Musée d'Art moderne de la Ville de Paris
Situé à 1h30 au sud de Paris, l'Yonne porte haut les couleurs de la Bourgogne. Véritable terre de traditions et de plaisir, la destination bénéficie également d'un patrimoine culturel exceptionnel... Bienvenue dans le département aux cents châteaux ! Du 12ème siècle aux chefs d'œuvre de la Renaissance, l'Yonne a depuis toujours une affection pour la vie de château. Cachés dans un grand bois, accrochés à un rocher, profitant d'une source, d'un étang ou d'une rivière, les châteaux se dévoilent et racontent leur histoire et celles de leurs ancêtres.
Situé à Cruzy-le-Châtel, le Château de Maulnes fait partie de ces lieux emblématiques à découvrir dans l'Yonne. Chef d'œuvre architectural de la Renaissance française, ce château ne connait pas d'équivalent en France, sinon dans le monde et présente plusieurs particularités le rendant unique en son genre.
Érigé au XVIème siècle, le Château de Maulnes est un exemple d'architecture rare et exceptionnel de la Renaissance en France. Contrairement aux châteaux-forts médiévaux plus anciens, qui étaient souvent construits pour des raisons défensives et fonctionnelles, le Château de Maulnes a été construit comme une résidence de chasse et de plaisance. L'aspect le plus remarquable de son architecture est sa forme de polygone irrégulier, donnant une apparence complexe et mystérieuse. Cette forme inhabituelle a été conçue pour créer un parcours de chasse idéal, permettant aux chasseurs de se déplacer facilement à travers les différentes parties de la forêt environnante.
Le château compte également de nombreuses tourelles et tours d'angle, qui servaient à la fois de points de vue pour les chasseurs et de moyen de défense en cas d'attaque ennemie. Les façades sont richement décorées de motifs sculptés complexes, de médaillons et de blasons, témoignant du savoir-faire des artisans de l'époque.
L'intérieur du château est également remarquable, avec des salles richement décorées, des plafonds peints et des cheminées sculptées. Les pièces sont disposées autour d'une cour centrale, créant une ambiance de sérénité et d'harmonie.
Le Château de Maulnes est considéré comme un chef d'oeuvre architectural de la Renaissance française, témoignant de l'ingéniosité et de la créativité des architectes et des artisans de l'époque. Son aspect unique en fait un site à ne pas manquer pour tous les amateurs d'histoire, d'art et d'architecture.
Entre visites guidées, visites libres, ateliers et animations, ou encore évènements, le Château de Maulnes ouvre ses portes d'avril à novembre et invite à découvrir tous les secrets du mystérieux pentagone.
Visites libres du château : C'est à l'aide d'un livret explicatif que les visiteurs pourront se plonger dans l'histoire du château, sa construction, ses propriétaires, ses abandons...
Visites commentées : Une plongée dans la construction de Maulnes, son architecture et son histoire. Après 30 ans de travaux de sauvetage, le château a retrouvé son état de XVIème siècle. Petits et grands pourront redécouvrir les façades, toitures, appartements, couloirs, escaliers et autres éléments maintenant ouverts à la visite.
Visite énigme : Famille et amis pourront visiter le château autrement et comprendre les secrets du fabuleux pentagone.
Château de Maulnes, Hameau de Maulnes, à Cruzy-le-Châtel (89)
Le Musée de la Bataille de Fromelles désormais Musée de France, à Fromelles (59)
La Bataille de Fromelles eut lieu les 19 et 20 juillet 1916 et opposa des divisions britannique et australienne à une division bavaroise. Le choc fut terrible, en moins de 24h, on dénombre près de 8500 victimes. Bon nombre des soldats morts sur le champ de bataille ne furent pas retrouvés.
En 2009, une équipe d’archéologues met au jour les corps de 250 soldats britanniques et australiens disparus à Fromelles. Une grande campagne d’identification commence, et avec chaque nouvelle identité, c’est l’histoire d’un soldat qui remonte à la surface.
Suivez la bataille, les recherches archéologiques et l’histoire des soldats disparus au fil de l’exposition permanente.
Au Musée de la Bataille de Fromelles, rue de la Basse-ville, à Fromelles (59)
« La Tapisserie de l'Apocalypse » inscrite à l'UNESCO
Depuis le 18 mai 2023, la Tapisserie de l’Apocalypse est inscrite par l’UNESCO au registre « Mémoire du monde », au même titre que la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen (1789-1791), l’Appel du 18 juin 1940 du Général de Gaulle, les films des frères Lumière ou la broderie de Bayeux…
Cette prestigieuse distinction souligne l’importance et la portée universelle du plus grand ensemble de tapisserie médiéval conservé au monde.
Elle atteste du rôle majeur de ce chef d’œuvre dans l’histoire de la création artistique et la nécessité absolue de sa préservation au regard de sa valeur pour l’humanité toute entière.
L’UNESCO a mis en place le programme « Mémoire du monde » en 1992.
De même que le classement au Patrimoine Mondial de l’Humanité attribue une reconnaissance internationale aux sites exceptionnels, l’inscription au registre « Mémoire du monde » recense les documents d’intérêt universel qu’ils soient graphiques, sonores, audiovisuels, multimédia ou textiles. L’objectif de ce programme UNESCO est de sauvegarder les collections ayant une valeur patrimoniale pour toute l’humanité et de faire en sorte qu’elles soient préservées dans les meilleures conditions.
La Tapisserie de l’Apocalypse fait figure d’exception car si la plupart des œuvres inscrites ne sont pas exposées au public, elle est visible 362 jours par an dans la galerie qui l’abrite au cœur du Domaine national du château d’Angers.
Pour tout savoir de ce chef-d’œuvre mondial de l’art du Moyen Âge désormais inscrit au registre « Mémoire du monde » de l’UNESCO, le château d’Angers propose un parcours d’interprétation ludique et interactif « L’Apocalypse comme si vous y étiez » jusqu’au 15 novembre 2023
Au Domaine national du château d’Angers, 2 Promenade du Bout-du-Monde, à Angers (49)
 
 
FESTIVALS, FÊTES, EVENEMENTS & SALONS
Semaine de la cuisine turque, du 21 au 27 mai 2023, à Dubaï (Emirats Arabes Unis)
Il s’agit là de la célébration mondiale de cette gastronomie, qui porte les traces de dizaines de civilisations différentes et se nourrit d'une géographie fertile et d'une histoire riche.
Cette fois, c’est la cuisine régionale de Hatay, la "26ème ville gastronomique du monde" identifiée par le réseau des villes créatives de l'UNESCO, qui est mise en valeur, et en mettant l'accent sur les pratiques de production durable et sans déchets dans la culture alimentaire turque.
Les participants à la Semaine de la cuisine turque préparent des plats typiques de Hatay à l'aide d'ingrédients locaux et de techniques de cuisine traditionnelles et découvrent en détail une cuisine ancienne et durable.
Dans le même temps, ils ont l'occasion de découvrir la riche biodiversité de la cuisine turque et son aptitude et son potentiel à répondre aux diverses tendances en matière d'alimentation et de boisson.
Des recettes saines et intemporelles réunissent les participants autour des rituels turcs de consommation et d'alimentation, qui sont structurés autour des sentiments d'unité et de convivialité et de la durabilité culturelle. Du café, du thé et des délices turcs sont servis tout au long des événements.
Fête de la Bague et fêtes médiévales, du 26 mai au 4 juin 2023, à Semur-en-Auxois (21)
Depuis le XVIIème siècle, la plus ancienne course de chevaux de France accueille chaque année des milliers de visiteurs ! Tous les 31 mai, commerces et écoles ferment leurs portes pour célébrer en grande pompe cet évènement incontournable. Entre retraite aux flambeaux (marche nocturne au cours de laquelle les participants tiennent à la main des torches ou des lanternes multicolores), fête foraine, foire et courses équestres, ce sont autant de moments historiques et mythiques que l'on ne peut vivre qu'ici.
Cette célèbre course équestre fait concourir des pur-sang et des jockeys amateurs, qui s’affrontent sur une distance de 2000m en ligne droite. Le gagnant, après validation des résultats, remporte ainsi, en plus d'une récompense financière, une chevalière en or frappée aux armes de la Ville.
Après un temps fort qui fait resurgir le passé médiéval de la ville, les épreuves sportives sont à l’honneur avec trois grands rendez-vous qui se tiennent dans le décor ombragé des allées de marronniers du cours Charles de Gaulle.
Trois courses (courues à pied, au trot attelé et au galop) ont lieu :
- Les Chausses (la plus ancienne) : Semur-en-Auxois entre dans la course tous les ans, avec petits et grands qui sillonnent à belles foulées les ruelles pavées de la cité médiévale.
- La course de la Bague : cette épreuve, qui existe depuis 1639, fait de cette épreuve à cheval la plus ancienne course de France.Elle se court sur le mail, large allée pédestre qui pour le temps d’une journée, le 31 mai de chaque année, devient champ de course. Elle rassemble des cavaliers émérites, portant hautes les couleurs de propriétaires et d’éleveurs de la région.
- La course de la Timbale : celle-ci se court au trot attelé, elle aussi, sur les 2 112 mètres de terre battue du cours Charles de Gaulle. Elle rassemble une dizaine de drivers qui s’affrontent en duos chronométrés et contrôlés par les juges et commissaires car il leur est interdit de franchir le cap de cinq foulées au galop.
Les fêtes médiévales, se succèdent quant à elles depuis l’an 2000 avec Troupes de théâtre, groupes de musique, démonstrations d’armes et reconstitutions invitent habitants et visiteurs à voyager dans le temps.
Depuis quelques années, l’accent est mis sur le monde du médiéval fantastique.
Plus de 50 exposants, venus des quatre coins de l’hexagone et de divers pays européens, investissent alors la promenade du Rempart et les rues avoisinantes.
Le temps d’un week-end, la fête fait la part belle à l’imaginaire : elfes, fées et gueux déambulent dans les rues au son des flûtes, tambours et cornemuses. Ce sont des troupes de différentes cultures comme « Saboï » avec leurs grands cors, le groupe Catalan « els Berros de la Cort », le groupe belge “Prima Nocta » ou encore les bretons « Les gueules de loup » qui se produisent dans les rues. La venue en 2018 de Luc Arbogast, un ancien de l’émission « The Voice » a été un gros succès. De même, la compagnie musicale » Vagus animis » qui s’est produite pour la première fois en France à Semur-en-Auxois, arpente aujourd’hui les plus grandes fêtes de France.
Les fêtes médiévales à Semur, ce sont plus de 30 000 personnes sur un week-end, avec de la musique, des métiers anciens, des démonstrations de combat, des tavernes, des spectacles, des gens costumés qui déambulent entre les tours de l’ancien château ou sur la promenade du Rempart qui domine la vallée de l’Armançon.
C’est aussi le traditionnel et dépaysant banquet médiéval servi sur la place Notre Dame et agrémenté de spectacles.
2ème édition de Soissons en Lumières du 27 mai au 23 septembre 2023, à Soissons (02)
Gratuite, la plus grande animation culturelle, patrimoniale et populaire de Soissons revient pour une deuxieme edition enrichie.
Avec pres de 150 000 spectateurs des la premiere annee, Soissons en Lumieres a rencontre un succes immediat et fait de la ville une reference nationale en matiere de sons et lumieres
Une edition 2023 enrichie d’une experience immersive grace a une application web gratuite : L'application, portee par la creation de 5 personnages, raconte l’histoire de Soissons. Elle permet egalement de guider les visiteurs a travers le cœur de ville vers les lieux animes. Cette trame narrative vient enrichir l’edition 2023 mais les spectateurs peuvent parfaitement profiter des illuminations et de la musique sans cette derniere.
De la tombee de la nuit jusqu’a minuit, un parcours illumine a la decouverte de 5 lieux emblematiques de la ville : L'hotel de Ville, L’Abbaye Saint-Leger, La cite de la Musique et de la Danse,le Pavillon de l’Arquebuse et Le Square Saint-Pierre
Faisant appel a la technique du mapping video qui, entre autres, met en valeur les lignes architecturales des batiments ou des monuments, les projections videos qui tournent en boucle sur les monuments pour une duree de 17 minutes chacune, racontent une histoire s’inspirant de l’edifice en lui-meme et plus largement de l’histoire de la ville. Les spectateurs deambulent librement d’un lieu a l’autre et profitent d’une experience d’une qualite inedite, Soissons ayant fait appel pour sa mise en lumiere a parcours illumine, a Moment Factory, specialiste mondialement reconnu des evenements immersifs, combinant la video, l’eclairage, l’architecture, le son et les effets speciaux.
Tous les vendredis et samedis (et les jeudis pendant les vacances scolaires)
Fête de la Nature, les 27 & 28 mai 2023, à Paris (75)
Une programmation riche sur le theme de la connaissance et de la protection de la biodiversite est organisee chaque annee au Jardin des Plantes dans le cadre de l’operation nationale Fete de la nature. Ateliers avec des associations naturalistes, visites du Jardin, decouverte des sciences participatives sont proposes a toutes et
a tous gratuitement. Cet evenement est aussi l’occasion d’accueillir la 9ème Tribune du Museum.
Au Jardin des Plantes, à Paris (5ème)
Fête de la Nature, du 24 au 29 mai 2023, au Parc naturel régional des Ardennes
Le 27 mai, découvrez les oiseaux de la forêt avec le Parc Naturel Régional des Ardennes : entre ceux qui gloussent, hululent ou zinzinulent, la forêt ardennaise abrite de nombreux oiseaux aux chants surprenants.
Festival international Jean Rouch, jusqu'au 26 mai 2023, à Paris (75)
Rendez-vous majeur du cinéma documentaire associé aux sciences humaines et sociales, la programmation de la 42ème édition du festival Jean Rouch invite à découvrir ou redécouvrir des œuvres de cinéastes documentaristes confirmés et de jeunes talents.
Au Musée du quai Branly – Jacques Chirac, 37 Quai Jacques Chirac à Paris (7ème)
Festival Résonances, jusqu'au 4 juin 2023, dans les Hauts-de-France
Le réseau des maisons d'écrivain et patrimoines littéraires Hauts-de-France organise la 3ème édition du Festival Résonances. De nombreuses activités sont proposées par l’ensemble des maisons-musées, bibliothèques, archives et associations d’amis du Réseau. Au programme : des tables-rondes et interviews, des conférences, des débats, des lectures, des concerts, des ateliers, des rencontres ou encore des visites guidées… Tout autant d’événements pour faire découvrir et redécouvrir le patrimoine littérairede notre région autour de la thématique Visages d’écrivain.
8ème Fête de l'écotourisme jusqu'au 18 juin 2023 en Haute-Garonne (31)
Gentille chasse aux papillons pour les enfants, balade botanique, atelier herboristerie... des rendez-vous incontournables pour des idées de sorties au vert ! La Haute-Garonne compte 12 stations vertes (Aurignac, Bagnères-de-Luchon, Boulogne-sur-Gesse, Cazères, Grenade, L’Isle-en-Dodon, Martres-Tolosane, Montréjeau, Revel, Rieux-Volvestre, Saint-Béat/Lez, Villemur-sur-Tarn). Elles ont souhaité s'impliquer pour cette 8ème édition nationale de la Fête de l'Ecotourisme et célébrer les valeurs écotouristiques prônées par le label Station Verte.
 
 
TOURISME
Visites guidées des Tours de La Rochelle à la Dada, les 27 mai, 17 juin, 23 septembre et 28 octobre 2023, à La Rochelle (17)
Le Centre des monuments nationaux presente en coproduction avec Sur le Pont, CNAREP en Nouvelle Aquitaine Les visites guidees a la Dada, depuis la tour de la Chaine jusqu’a la tour de la Lanterne, les 27 mai, 17 juin, 23 septembre et 28 octobre 2023 a 11h30, 15h30 et 17h.
Performances orales et mobiles ou la simple interpretation du paysage suffit a depasser l’entendement. Ecrites sur-mesure et in situ, documentees, soignees, droles et decalees, les Visites Guidees a la DADA cultivent l’art du detournement et ont ce point commun avec l’histoire d’etre ecrites pour la vie. Elles valorisent le patrimoine, qu’il soit exceptionnel ou denue d’interet, et invitent les visiteurs, habitants et touristes a une lecture vivante du panorama naturel et bati.
Au Vieux port, à La Rochelle (17)
La Réserve naturelle du Val d'Escreins (Hautes-Alpes)
Le Val d'Escreins, situé dans son intégralité sur le territoire de Vars, est une réserve naturelle d'exception en France, protégée depuis 1964. Avec ses 25 km2 d'espaces sauvages, ses forêts luxuriantes, ses torrents rafraîchissants et sa biodiversité florissante, le Val d'Escreins est considéré comme le poumon vert de Vars. Surnommé le "petit Canada Varsinc", le Val d'Escreins est l'une des premières réserves municipales de France, allant de 1 600 m d'altitude jusque 3 385 m au pic de la Font Sancte. Cet espace magique est considéré comme un véritable havre de paix, le lieu parfait pour les amoureux de la nature, les randonneurs, les trailers, les passionnés de parcours d'orientation et autres amateurs de balades en tout genre. La réserve naturelle du Val d'Escreins est un lieu incontournable chargé d'histoire, où la promesse d'être à l'autre bout du monde est une garantie !
Cette année, les visiteurs peuvent découvrir le Val d'Escreins tous les jours depuis le mardi 9 mai.
Niché au cœur des montagnes, l'histoire du Val est fondée par un patrimoine humain dont les ruines de l'ancien village témoignent d'un habitat adapté à cette vie en pleine montagne. Riche en légendes et en souvenirs, le Val d'Escreins offre la découverte d'un patrimoine naturel incroyable.
Les premières bâtisses furent érigées à l'initiative de quelques Varsincs ayant constaté que les terrains étaient propices à l'élevage et à la culture céréalière. Les maisons quant à elles, étaient construites avec les matériaux disponibles sur place, arborant des bardages en bois de mélèze et des murs en roches calcaires et galets du Rif Bel.
Cependant, en 1916, le village fut mystérieusement incendié et abandonné, laissant derrière lui quelques ruines dont la chapelle. Malgré ces aléas du temps qui ont marqué l'histoire, le « poumon vert de Vars » reste un joyau à découvrir ! En effet, c'est en 1964 que la commune a créé la réserve du Val d'Escreins pour préserver sa richesse naturelle et la protéger de tout urbanisme abusif. Grâce à sa beauté exceptionnelle, le Val d'Escreins est un petit coin de paradis qu'on aime surnommer le "Petit Canada varsinc".
Aujourd'hui, le Val d'Escreins est devenu un lieu incontournable, offrant des paysages époustouflants et des activités de plein air pour tous les goûts. Il est un haut lieu de tranquillité, permettant de découvrir à la fois son patrimoine et sa richesse naturelle.
Parmi les activités incontournables à découvrir au cœur du Val d'Escreins, le Sentier du tétras lyre est une expérience pédagogique et ludique à vivre.
Tout au long de ce parcours d'environ 1h15, des pupitres jalonnent le sentier et permettent une interprétation du milieu naturel. Faune, flore, géologie, histoire et habitat traditionnel du lieu : tout est expliqué avec pédagogie pour une immersion totale dans cet environnement naturel unique.
Petits et grands sportifs peuvent aussi découvrir les trois parcours d'orientations du Val d'Escreins : le premier pour les familles, le second pour les initiés (à partir de 12 ans) et le troisième pour les accros de la discipline. Directement au chalet d'accueil, des cartes et des boussoles seront gratuitement fournies aux visiteurs souhaitant se lancer à la découverte de ce lieu magique en solo, entre amis ou en famille. Cette activité ludique et sportive sera l'occasion d'appréhender le site de manière originale, tout en s'amusant.
Pour les randonneurs expérimentés, la randonnée vers la Source de la Font Sancte, véritable curiosité naturelle, est un incontournable. Cette magnifique randonnée longe la vallée du Val d'Escreins en remontant le torrent du Rif Bel. Au programme : forêt dense, tapis de fleurs multicolores, sommets dentelés et un torrent impétueux qu'il sera possible de traverser sur de bucoliques passerelles en bois. Le parcours est un véritable condensé de nature, où il faudra compter environ 5 heures pour faire l'aller-retour.
Sur le même itinéraire, le Cirque de l'Oratoire sera le lieu idéal pour une pause pique nique sous le majestueux Pic de la Font Sancte.
Sur le retour, les visiteurs pourront emprunter le Sentier des arbres remarquables. Ils pourront ainsi découvrir le patrimoine génétique du Val d'Escreins, composé de dizaines d'arbres multi-centenaires, dont certains font plus de 4 mètres de circonférence
Pour les amateurs d'expérience insolite, le Refuge de Basse Rua propose des nuitées dans ses incontournables "Tipis du Val". Après la découverte des secrets du Val d'Escreins, les visiteurs pourront s'offrir une pause étoilée bien méritée. Chaque tipi est équipé de matelas confortables, d'oreillers et de couettes douillettes.Le Refuge de Basse Rua promet un moment d'évasion insolite en pleine nature, à vivre en famille, à deux ou entre amis. Et pour une expérience encore plus immersive, dîner et petit déjeuner seront proposés dans le restaurant traditionnel du refuge.
 
 
INFOS PRATIQUES
Application « Sunbedz » pour faciliter la réservation de transats sur sa plage
Développé sur le modèle des applications VTC, Sunbedz permet aux vacanciers de réserver un transat en évitant d'être confrontés à d'interminables files d'attente et aux professionnels de fluidifier la gestion de leur parc tout en se prémunissant du no show.
On estime qu’actuellement, seulement 35% des demandes de location de transats sont satisfaites en haute saison, entraînant un manque à gagner significatif pour les 1500 plages privées en activité sur le littoral français.
Fort de ce constat, Sunbedz a pour objectif de proposer un espace de réservation simple, complet et convivial pour les particuliers, tout en abaissant au maximum le niveau de contrainte pour les professionnels, qui bénéficient d'une totale liberté de gestion sur la plateforme. Ainsi, ils définissent eux-mêmes le prix, les emplacements et le nombre de transats dédiés à la réservation via l'application, ainsi que les éventuelles opérations promotionnelles qu'ils souhaitent mettre en place. Ils ont par ailleurs la possibilité de refuser l'entrée de leur plage à des utilisateurs de la plateforme qui, par exemple, ne respecteraient pas la politique de leur établissement en matière de tenue vestimentaire.
Conçu sur le modèle Airbnb, les vacanciers peuvent annuler leur réservation jusqu'à 48 heures avant la date choisie. Au-delà de ce délai, la réservation est due. Informés de la réservation par un système de notification, les beach clubs peuvent ainsi gagner en visibilité sur la gestion de leur parc, remettre le transat sur le marché en cas d'annulation et optimiser leur taux d'occupation réel, et donc leur chiffre d'affaires.
Par ailleurs, l'application prend en charge l'ensemble des frais de transaction bancaire. Les frais de services liés à l'utilisation de la plateforme d'un montant de 2,50 euros sont à la charge du client.
« Les couleurs du vin » de Bernard Valeur (Editions Quae)
Pourquoi la palette des couleurs du vin est-elle si étendue, si subtile et parfois surprenante ? On y retrouve les couleurs orange, acajou, brune, presque noire... et même bleue ! Quels pigments en sont responsables ? Comment caractériser la couleur d’un vin ? Quelles informations apporte-t-elle sur l’origine du vin, son âge, son vécu ?
La robe des vins est ici analysée sous tous les angles. On ne peut comprendre la diversité des teintes du vin sans entrer dans le vaste monde des polyphénols colorés ou non, abondants dans le raisin et le vin, et celui des réactions chimiques dans lesquelles ils sont impliqués. Anthocyanes, tanins et autres composés phénoliques participent à des processus d’une extrême complexité qui régissent la couleur.
D’autres sujets rarement évoqués sont abordés : la fluorescence des vins ; l’influence de l’observation préalable de la couleur d’un vin sur la perception de sa saveur et de ses arômes ; les effets de la lumière sur la couleur et le goût du vin ; la protection que confèrent les bouteilles en verre teinté.…
Cet ouvrage, aussi concis que précis, s’adresse aux professionnels et étudiants de la filière viti-viniculture ainsi qu’aux amateurs de vin ou simples curieux de science. Chacun devrait y trouver les réponses aux multiples interrogations que les couleurs du vin suscitent.
A paraître le 18 mai. Prix : 19€.
Nouvelle collection « Durable & Responsable » du Petit Futé
En perpétuelle mutation, le Tourisme semble, depuis ces deux dernières années, avoir pris une nouvelle orientation : celle d’un tourisme plus vertueux. Conscient de l’urgence à revoir ses modes de consommation mais également de déplacement, le monde du Voyage mais aussi et surtout la nouvelle génération de voyageurs se veulent désormais plus respectueux de leur environnement tout en favorisant une consommation de proximité. Aussi, face à ces nouveaux enjeux, le Petit Futé, propose une toute nouvelle collection de guides de voyage, la collection Durable et Responsable avec, pour 2023, 6 premières destinations France : les Alpes, l’Auvergne, la Bretagne, la Provence, la Normandie et les Pyrénées.
192 pages, 18,95€
Roman : « L'Amazone du Cercle polaire » de Véronique Zombardi (Afnil)
Le personnage de cette histoire a realise un reve, celui de l’auteur. Veronique l’a pense, Zely l’a fait.
Zely vient de passer le cap de la cinquantaine. Elle se remet en cause et reconsidere ses choix de vie. Lorsqu’une opportunite se presente, en Laponie, elle prend la decision de tout quitter pour Rovaniemi, dans le Grand Nord afin de lancer un projet qui lui est cher et d’oser enfin construire une vie qui lui ressemble.
Ce choix, ce parcours initiatique, conduira Zely vers des rencontres inattendues et improbables qui viendront pimenter et bouleverser son destin. Elle cherchera a? se reconcilier avec elle-meme, avec son corps, et tentera de panser et transformer les blessures du passe. Une quete de soi et en soi pour cette amazone a la recherche du bonheur.
Y parviendra-t-elle ?
Toutes les “quinquas” se retrouvent dans ce roman qui explore de nombreux themes : le passage a la cinquantaine, le milieu de vie, le syndrome du nid vide, la rupture amoureuse, le mouton noir (black sheep), le rapport au corps, les femmes de 50 ans et plus... invisibles ?, les cercles de parole de femmes de 50 ans, les creatifs culturels/trouver sa famille de cœur, oser et s’autoriser a suivre ses reves, les injonctions parentales qui nous suivent toute notre vie, etre enfin soi, s’aimer enfin, depasser ses peurs, se reconcilier avec son corps, la sexualite apre?s 50 ans, la vieillesse et le regard des autres et celui des hommes, comment envisager ses 30 prochaines anne?es, l’amitie homme/femme, la menopause, l’agisme...
210 pages, 12,99€
 
 
COMMEMORATIONS
Conférence : Monte Gargano et Mont-Saint-Michel, quels liens ? Textes, contexte, itinéraires de la mémoire, le mercredi 24 mai 2023, au Prieuré du Mont-Saint-Michel (50)
En 2023 nous fêtons le millénaire du début de la construction de l’église abbatiale du Mont-Saint-Michel. A cette occasion, la Fondation du Mont-Saint-Michel lance un cycle de neuf conférences. Historiens, archéologues, conservateurs vont tout au long de l’année, au Prieuré du Mont-Saint-Michel, faire revivre l’époque des bâtisseurs du XIème siècle.
Pour cette quatrième conférence, la conférencière sera Angela Laghezza.
A 14h30.
Conférence publique : 1023-2023, les 1000 ans de l'abbatiale du Mont-Saint-Michel, le 26 mai 2023, à Dol de Bretagne (35)
Avec Francois Saint-James, chargé d’action culturelle – Guide conférencier CMN
Conférencier et chargé d’action culturelle à l’abbaye du Mont Saint-Michel depuis plus de trente ans, François Saint-James est un des meilleurs connaisseurs de l’histoire du Mont-Saint-Michel et de ses édifices qu’il partage avec des publics variés. Il travaille depuis des années à la constitution d’un fonds documentaire sur l’histoire du rocher, et en particulier sur son iconographie à travers les siècles. A 18h00, gratuit sans réservation.
A l’Hôtel de Ville, 1 Grande rue des Stuarts, à Dol-de-Bretagne (35)
 
REPORTAGE DE LA SEMAINE
Exposition "Imprimer! L'Europe de Gutenberg" (BnF, Paris, France) Le 15ème siècle fut marqué par la découverte d'une technique de reproduction de livres, à savoir l'imprimerie. Dans toute l'Europe,la production d'ouvrages va considérablement s'accroitre et l'accès au savoir va aussi s'en trouver bouleverser.
La BnF a donc entrepris de revenir sur cette invention en retraçant l'histoire du développement de l'imprimerie en Europe et les clés de son succès.C'est également l'occasion de présenter au public des pièces exceptionnelles issues des collections de la BnF comme le plus ancien bois gravé occidental connu, le Bois Protat, mais aussi le plus ancien ouvrage conservé au monde, imprimé à partir de caractères typographiques métalliques, le jikji, et le premier grand imprimé typographique européen, la Bible de Gutenberg (Allemagne, vers 1455).
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