Elle ne possède que trois atomes mais fait couler beaucoup d'encre en ce qui concerne ses sept propriétés physiques. C'est bien entendu de l'eau dont je veux parler, qui occupe plus de 71 % des 509 millions de Km2 de la surface de notre planète sont recouverts par les océans, d'où son surnom de « planète bleue ». Le précieux liquide pèserait en tout trois milliards de milliards de tonnes, de quoi faire bon poids bonne mesure. Du moins pour les quantités d'eau visibles depuis l'espace, car la Terre renfermerait dan ses entrailles des quantités encore plus importantes de cet or bleu et à plusieurs centaines de km de profondeur, soit l'équivalent de deux à...dix océans mondiaux sous terre. Ce liquide est si vital que les êtres humains eux-mêmes sont composés à près de 65% d'eau.
Quant à l'eau douce contenue dans les calottes glaciaires, les glaciers, les lacs, les rivières, les nappes phréatiques, l'humidité du sol, les nuages ou encore l'ensemble des organismes vivants ne représente que 3 % de l'eau existant dans les enveloppes externes de la Terre, laissant l'eau salée (97 %) largement majoritaire avec les mers et les océans. Toute cette eau ne correspond néanmoins qu'à 0,02 % de la masse de notre planète, laquelle est globalement sèche.
En France, on compte 600 000 plans d'eau (soit 0,8% de la surface du pays), 253320 cours d'eau, 900 000 km de réseaux de distribution (avec 20 % de fuites), et 147 litres consommés par jour et par habitant. En 2020, 6 à 7,3 % de la surface agricole utilisée était irriguée, tandis que 25 % des captages d'eau ont du être fermés ces quarante dernières années à cause de la pollution occasionnée par les pesticides et les nitrates.
A l'échelle de notre planète, la consommation humaine mondiale d'eau équivaudrait chaque année à six fois le volume de la Manche. Et 69 % de l'eau douce disponible sur Terre est utilisée annuellement. Enfin, deux milliards d'êtres humains n'ont pas accès à l'eau potable.
Dès lors, on cherche la solution pour produire plus avec moins d'eau :énorme défi pour les agriculteurs du monde entier qui consomment à ce jour 70 % de la ressource en eau disponible.
On pense aussi « merchandiser » cet or bleu qui devient rare, donc cher ! Ainsi, la Californie a t-elle transformé le 7 décembre 2020 son eau en un actif financier, au même titre que le blé, le maïs ou le riz.
Décidément, pour certains, un sou est un sou !
(Pour écrire cet article, je me suis inspiré du numéro spécial de Science et Avenir de Juillet-Août 2023 qui consacre un dossier de 50 pages à l'eau)
 
LE CLIN D'OEIL DU MOMENT
On connait la musique ? Pas si sûr.
En 2019, un patient est accueilli par l'équipe du service des soins palliatifs de la clinique d'oncologie Princess Margaret, à Toronto (Canada). L'homme, décrit comme grincheux et sec résistait au traitement et refusait tout contact avec le personnel et à toute forme d'activité.
SarahRose Black n'est ni médecin, ni infirmière mais intervient depuis 2013 dans cette clinique en tant que musicothérapeute afin d'aider des malades qui vont subir une intervention chirurgicale, ou une chimiothérapie. Au début, cet homme ne soupçonne même pas qu'il va avoir besoin d'elle. Et pourtant..
Ce patient septuagénaire qui souffre d'un cancer du poumon a donné le nom de quelques compositeurs classiques à la demande de SarahRose puis a détourné la tête. La musicothérapeute a soudain joué du Bach (un des compositeurs cités par le patient) sur son téléphone portable et l'homme endurci a aussitôt fondu en larmes. Et d'avouer plus tard à SarahRose que la musique lui avait fait l'effet d'une caresse.
De nombreuses données scientifiques témoignent que la musique peut agir comme un vrai remède : en analysant 400 articles scientifiques sur les effets neurochimiques de la musique, on apprend que jouer ou écouter de la musique avait des effets bénéfiques indéniables, tant physiques que psychologiques, comme, par exemple sur l'amélioration des réactions immunitaires et l'abaissement du niveau de stress.
SarahRose, elle, est une femme-orchestre à elle seule, avec sa panoplie d'instruments de musique qui lui permet de jouer ce que ses patients ont envie d'entendre et il lui est même arrivé d'accompagner une mort assistée sur un air de Bob Marley. Sa première approche est toujours empreinte de délicatesse et la question « Qu'aimeriez-vous ressentir ? » lui sert souvent d'entrée en matière.
Dans l'Etat du Wisconsin (Etats-Unis), Carol, 71 ans, souffre de la maladie de Parkinson et a rejoint les membres du cercle Rx 4 Rhythm pour l'aider à renforcer la coordination de ses mouvements. Une étude du Centre de musique et de médecine a suivi une chorale formée de parkinsoniens (Les Parkinsonics) afin d'évaluer l'effet du chant sur la voix parlée des patients. Après 12 semaines, on observa une voix plus forte alors que celle-ci a généralement tendance à faiblir à mesure que la maladie progresse. Une expérience réalisée en 2015 a également démontré que des parkinsoniens marchaient mieux après six semaines d'exercices de tambourinages.
 
 
MURIEL ET LA SAINTE CHAPELLE
Incroyable construction que celle de la Sainte Chapelle, insérée dans un ensemble correspondant à l’ancien Palais de Justice et le Parlement de Paris, antérieurs à 1789. L’endroit servira de chambre du Tribunal pour le déroulement des procès de Louis XVI , de Marie-Antoinette, puis de Philippe Pétain.
On l’appelle « Sainte » Chapelle car elle renferme la couronne d’épines de Jésus, un morceau de la croix originale, reliques qui furent rapportées des croisades puis rachetées fort cher par le roi de France en 1239. https://youtu.be/K7kdMZ-mjJw
 
 
SEQUENCE NOSTALGIE
Défilé militaire du 14 juillet 1958 sur les Champs-Elysées
Dimanche 2 juillet 2023 : Je me suis amusé à manger des sauterelles dans un champ
Lundi 3 juillet 2023 : Enfin un temps moins chaud et des promenades plus agréables
Mardi 4 juillet 2023 : Ce matin, j’ai fait connaissance avec ma nouvelle dresseuse
Mercredi 5 juillet 2023 : Aujourd’hui, j’ai montré les crocs à deux reprises, lorsque nous avons croisé un tracteur, puis une bande de jeunes dans une voiture
Jeudi 6 juillet 2023 : Ayant un instinct de chasseur, j’ai coursé ce matin une mouette blessée qui ne pouvait plus voler. C’est grâce aux injonctions de mon maitre que je ne l’ai pas dévoré.
Vendredi 7 juillet 2023 : Histoire de me mettre « en jambe », j’ai coursé une biche en forêt ce matin
Samedi 8 juillet 2023 : Mon maitre m’appelle « enfant de la balle » car il m’arrive souvent de trouver dans l’herbe une balle de tennis, une balle de hockey...avec laquelle je joue jusqu’à notre retour à la niche !
 
 
VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR...
Conférence identité et monnaie numérique-Montréal 18 juin 2023 :
4h45 d’information, avec Idriss Aberkane (conférence sur l’Histoire et futur de la monnaie), Carlo Alberto Brusa, Jérôme Blanchet Gravel, Hervé Juvin et Virginie Joron.
Bientôt la mobilisation des Français et la confiscation de leurs biens ?
André Bercoff et Stanislas Berton nous parlent de la nouvelle loi de programmation et insiste notamment sur l’article 23 (https://youtu.be/SA8B_nd8ymE)(merci à Muriel pour cette information)
 
 
QUOI DE NEUF EN CRYPTO?
La Chine à fond dans les cryptos :
Le bras de fer entre la Chine et les Etats-Unis ne date pas d’aujourd’hui. Mais il s’est publiquement réactivé à l’occasion de la guerre en Ukraine menée par la Russie. Les tensions diplomatiques autour du soutien américain à Taiwan, les manœuvres militaires en mer de Chine, les désaccords commerciaux, les rivalités géopolitiques larvées en Afrique et en Asie et donc les relations de Xi Jinping avec Vladimir Poutine sont autant de sujets chauds qui alimentent les tensions entre ces deux géants. Toutefois, il se pourrait bien que le web 3 devienne également le théâtre d’un affrontement est-ouest, tant l’empire du Milieu semble être intéressé par la cryptomonnaie, malgré une position officielle plutôt mesurée. Direction la République populaire de Chine pour comprendre notamment le rôle de Hong Kong dans cette partie d’échecs 3.0.
Quand on s’intéresse à la situation des cryptos en Chine, on comprend rapidement le projet du parti au pouvoir. D’un côté, il a décidé de mener la vie dure aux projets décentralisés, comme Bitcoin, alors qu’en même temps, il met en avant son propre projet de monnaie numérique de banque centrale (MNBC). Il n’y a pas de place sur le territoire pour une monnaie qui ne serait pas contrôlée par les autorités. Jusqu’ici, cela pourrait paraître normal dans un pays dirigé par un pouvoir central fort, où les libertés individuelles ne sont pas au cœur des préoccupations politiques. Mais parce que les choses ne sont pas toujours aussi simples qu’elles n’y paraissent, il est intéressant d’aller faire un petit tour dans la région administrative spéciale de Hong-Kong.
En quelques mois, plusieurs annonces surprenantes sont arrivées de cette enclave retombée dans le giron chinois en 1997. Tout d’abord, c’est la Bank of China qui a émis des titres financiers tokenisés sur le réseau Ethereum en collaboration avec l’Union des banques suisses. Un peu plus tard, on apprend que les autorités locales encouragent les banques à offrir des services financiers aux exchanges cryptos. Enfin, HSBC, la principale banque de Hong Kong, a commencé à proposer à ses clients d’investir dans des ETF basés sur Bitcoin et Ethereum. Le monde à l’envers ? Pas vraiment, il faut plutôt y voir une marque du pragmatisme chinois quand il s’agit d’économie.(source:Journal du Coin)
 
 
LE PETIT MANUEL DU RESISTANT
CSI (Conseil Scientifique Indépendant) N° 111 du jeudi 6 juillet 2023 : Hommage au Docteur Olivier Soulier, un hommage sobre et sans paroles inutiles (https://crowdbunker.com/v/niDc6P1a). Paix à son âme.
La Grande Interview du Professeur Didier Raoult, par Idriss Aberkane :
Novlangue, Double pensée, contrevérité, harcèlement, blanchiment de fausses informations, toutes ces méthodes sont impeccablement décrites dans le roman de George Orwell "1984", mais nous étions loin de nous douter qu'elles formeraient presqu'un manuel à en juger par le traitement médiatique de masse infligé aux travaux de l'Institut Hospitalo-Universitaire de Marseille et de son directeur-fondateur le Professeur Didier Raoult. Bientôt quatre ans après l'acharnement ultraviolent contre celui qui demeure légitimement l'infectiologue le plus cité au monde, nous avons désormais suffisamment de recul pour analyser et disséquer les techniques de propagande employées contre lui, et ce afin d’en libérer toutes leurs futures victimes.
Conférences de Pierre Chaillot les 18 & 20 juillet en Haute-Savoie (74)
- A Annecy :
Le collectif « Protéger la vie » et le « Groupe Santé Annecy » vous proposent, à Annecy (centre ville), le 18 Juillet 2023 20h, une conférence débat animée par Pierre Chaillot, statisticien et auteur du livre « Covid 19, ce que révèlent les chiffres » (ed. L’artilleur).
Au cours de cette présentation il viendra, au moyen des chiffres et statistiques officiels, (INSEE etc…) remettre en questions les mythes de la crise Covid et éclairer sous une nouvelle lumière les choix sanitaires et politiques de ces trois années.
Afin de participer merci de vous inscrire par mail à : ies.ian@protonmail.com
Le lieu de la conférence sera précisé aux inscrits quelques jours avant l’événement. Prix d’entrée en conscience.
- A Thonon :
Voici maintenant les chiffres officiels qui permettent d'éclairer le déroulé de la crise Covid. L'année 2020 fut la 6ème année la moins mortelle en France, en prenant en compte l'âge de la population. En 2021,
des hausses de mortalité ont été observées pendant les campagnes de vaccination.
En 30 ans de vaccination aux USA, 11'000 décès ont été déclarés à la suite de vaccinations au VAERS. En 2 ans, pour les seuls vaccins Covid, déjà 16'000 sont remontés. Pour l'Europe plus de 36'000 sont déjà déclarés.
Pierre Chaillot est auteur du livre "Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels : mortalité, tests, vaccins, hôpitaux, la vérité émerge". Possibilité de l'acheter sur place et le faire dédicacer. Les bénéfices sont reversés à l'association "Où est mon cycle" de femmes ayant des troubles menstruels suite à l'injection Covid.
Ouverture des portes dès 19h30, entrée 10€.
 
 
ACTIVONS NOS NEURONES
Chaque émeute, chaque pillage décrédibilisent un peu plus un ordre républicain que les Français ont eu le tort de confier intégralement aux politiques. Nos élites ne font effectivement plus leur travail et chacun d’entre nous serait bien inspiré de compter désormais sur lui-même, à commencer par le renseignement : j’observe un comportement inapproprié, je fais remonter l’information sur un site internet qui serait créé à cette fin, un peu comme l’application Waze (pour l’état de la circulation) et je collecte des preuves du méfait. Une implication générale de la population rendrait possible un maillage complet pour dénoncer les « fauteurs de troubles » en tous genres et faciliterait la tâche des forces de l’ordre dans leurs interventions. Le résultat immédiat étant d’informer le reste de la population de l’existence d’un danger.
Deuxième étape : Je dépose plainte collectivement puis veille à la suite donnée à l’affaire par les forces de l’ordre ET la justice. Des comités de quartier serviraient de cellules actives de vigilance citoyenne pour exiger des corps constitués que la sanction (avec peine de travaux d’intérêt général) soit à la hauteur du délit perpétré, au nom du droit de regard des Français sur l’action concrète des politiques dans le cadre de leurs fonctions (élus locaux inclus). L’objectif étant de prendre à témoin nos représentants pour qu’ils évitent le laxisme et prennent les décisions appropriées en matière de sécurité locale et nationale, quitte à ne rien lâcher et revenir sans cesse à la charge à l’encontre des plus permissifs.
Troisième étape : se réapproprier la rue. Les malfrats ont compris que détenir les axes de communication permettait de se livrer à tous les trafics. Les honnêtes citoyens doivent faire de même en ouvrant grand leur yeux et en rapportant tout ce qui s’y passe, afin d’atteindre le zéro tolérance. Chacun pourrait rejoindre un groupe de vigilance locale dont le rôle serait d’effectuer des rondes discrètes, afin de rapporter le plus d’information possible sur les délits constatés, en appui des forces de l’ordre.
Quatrième étape : exiger un projet de loi autorisant l’auto-défense citoyenne en cas d’absence des forces de l’ordre. En cas de refus de son député, lui rappeler qu’il est responsable de la sécurité de ses concitoyens et que tout manquement à cet égard pourra donner lieu à des poursuites à son encontre (via une plainte collective du comité citoyen local). Revenir à la charge et sans cesse tant que vous n’obtenez pas satisfaction.
Des initiatives se mettent (timidement) en place dans notre pays, comme ces randonneurs du Club Vosgien, qui vont recruter des référents lesquels seront déployés dans les 129 associations du club afin de « faire connaître aux forces de l’ordre toute incivilité constatée ». A Metz (Moselle), des parents veillent sur leur école : une vingtaine de mamans sont courageusement descendues de leurs immeubles pour protéger l’enceinte scolaire et s’interposer face aux casseurs.
A Nantes, des conductrices de bus apprennent des techniques d’autodéfense à appliquer au quotidien, et à Lyon, des commerçants de la Croix Rousse menacent de monter un groupe d’autodéfense contre les incivilités occasionnées par des livreurs à scooter. A Palavas-les-Flots, et à Bordeaux, des citoyens excédés se sont déjà constitués en collectifs pour assurer eux-mêmes leur sécurité, et depuis dix ans, les clubs de tir ont vu le nombre de leurs licenciés exploser.
Une start-up française, MyEli (www.myeli.fr) a aussi mis au point des bijoux élégants et...rassurants pour pallier aux cas d’insécurité et de violences. Il semblerait que la France des bisounours se réveille...
 
 
DU COTE DE CHEZ NOUS
Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix. L'homme, qui a manifestement de la conversation, possède sa chaine Campagnol Tvl (https://odysee.com/@campagnoltvl:2) sur laquelle il diffuse ses vidéos :Ils ont mis leur âme dans leurs chaussures(https://odysee.com/@campagnoltvl:2/emeutes:9)
 
 
ACTUALITES
Nouvelle carte du canal des 2 mers à vélo
L’itinéraire du Canal des Deux Mers à vélo, de l’Atlantique à la Méditerranée, n’a pas fini de vous faire rêver. C’est un tout nouveau support de communication qui va mettre en avant l’originalité, la singularité et la diversité de l’ensemble de l’itinéraire : une superbe carte touristique illustrée, comprenant également les informations et conseils pratico-pratiquespour organiser, réussir son séjour et donner envie de partager son expérience. Ce projet porté par le comité d’itinéraire V80 a vu le jour grâce à la collaboration avec l’agence toulousaine Agitéo, qui a su moderniser avec simplicité le Canal des Deux Mers à vélo et imaginer un graphisme inédit révélant les plus beaux atouts du Canal.
Un code de la rue pour mieux protéger les piétons, à Paris (75)
Présenté récemment, le Code de la rue a pour objectif de clarifier les règles de partage de l'espace public parisien. Il s'appuie sur trois objectifs : la sensibilisation, l'aménagement de la voirie, la prévention et la régulation par la police municipale.
L’évolution des modes de déplacement et l’essor des mobilités douces, comme les vélos ou les trottinettes, ont métamorphosé Paris en quelques années. Mais ces transformations ont généré des tensions, des conflits entre usagers de l’espace public, et aussi des incivilités.
L'objectif de ce Code : retrouver de la sérénité dans la rue, en priorité pour les piétons et les personnes les plus vulnérables. Pour cela, il faut hiérarchiser et rappeler les règles à respecter collectivement et individuellement afin de profiter de l’espace public sans appréhension.
Parcours de la flamme olympique 2024 dans les monuments nationaux français
Le Centre des monuments nationaux annonce avec fierté la participation de certains de ses monuments. En effet, 8 monuments accueilleront le Relais de la Flamme Olympique à partir du 8 mai prochain.
La Flamme sera allumée à Olympie le 16 avril 2024 selon la tradition antique. Après un relais de 12 jours en Grèce et une traversée de la Méditerranée à bord du célèbre trois-mâts, le Belem, La Flamme arrivera officiellement en France le 8 mai 2024 et annoncera le retour des Jeux après 100 ans d’attente.
Défini par Paris 2024, le parcours du Relais de la Flamme Olympique sera un événement unique qui mettra en lumière 8 monuments du Centre des monuments nationaux à travers la France :
Le château d’If, mercredi 8 mai 2024
Les remparts de Carcassonne, samedi 18 mai 2024
Le château d’Angers, mardi 28 mai 2024
L’abbaye du Mont-Saint-Michel, vendredi 31 mai 2024
La cathédrale de Reims, dimanche 30 juin 2024
La cathédrale d’Amiens, jeudi 4 juillet 2024
La cathédrale de Chartres, dimanche 4 juillet 2024
La Cité Internationale de la Langue Française, à Villers-Cotterêts, lundi 17 juillet 2024
La Seine ouverte à la baignade dès 2025, à Paris (75)
C'est un rêve (ça dépend pour qui!) de longue date, et il est en très bonne voie pour enfin se réaliser. Se baigner dans la Seine en toute sécurité sera possible ! Les équipes municipales sont à l'œuvre pour que toutes les structures soient mises en place et disponibles après les Jeux de Paris 2024 :
- Les deux unités de désinfection des stations d'épuration du SIAAP (Service public de l’assainissement francilien) sur lesquelles repose une grande part de l'amélioration de la qualité de l'eau, seront opérationnelles à l'été 2023.
Afin d'assainir le cours du fleuve, plusieurs ouvrages sont en cours de réalisation. C'est le cas du bassin de stockage des eaux pluviales d'Austerlitz, d'une capacité d'environ 50.000 m3, qui doit être mis en service en 2024.
- Début juin 2023, les analyses de l'eau de la Seine effectuées sur la base de la réglementation européenne en vigueur ont donné des «résultats excellents». Déjà à l'été 2022, sur le site des épreuves olympiques de nage en Seine, 91 % des mesures quotidiennes étaient bonnes pour la période du 20 juillet au 11 août.
- Pour supprimer les rejets d'eaux usées des bateaux ou des établissements flottants stationnant dans les ports de Paris, la loi du 26 mars 2018 oblige le raccordement aux réseaux d'eaux usées du port de rattachement. Près de 160 bateaux sont soumis à cette obligation en amont du site des épreuves. Une centaine de bateaux a déjà réalisé ces travaux. En 2023, les particuliers peuvent bénéficier des aides disponibles : les subventions permettent de financer jusqu'à 6 000 euros pour mettre son domicile en conformité sur une facture moyenne d'environ 8 000 euros.
Souvenons-nous qu’en 1900, lors de la première édition des Jeux olympiques à Paris, les épreuves de natation se déroulaient dans la Seine, entre le pont d’Asnières et Courbevoie. Cent vingt-quatre ans plus tard, le fleuve parisien replonge dans l’olympisme, avec des compétitions de nage en eau libre, de paratriathlon et de triathlon au départ du pont Alexandre III.
Mieux : dès l’été 2025, les Parisiens pourront plonger à leur tour dans le fleuve. Cinq sites de baignade sont déjà à l’étude dans la capitale : deux sur les bords du Parc Rives de Seine (Paris Centre), un sur le bras Marie (Paris Centre), un au port de Bercy (12ème), et un sur l'Allée du Bord-de-l'Eau dans le bois de Boulogne (16ème). Au total, une vingtaine de sites potentiels répartis sur 16 communes de la Métropole du Grand Paris, bordées soit par la Seine soit par la Marne, sont aujourd’hui identifiés.
Les images d’Épinal en noir et blanc des Parisiens partant le week-end guincher en maillot de bain au bord de l’eau ne seront bientôt plus qu’un lointain souvenir. Interdite en 1923, mais encore largement pratiquée, la baignade avait disparu dans les années 1960 en raison d’une dégradation de la qualité de l’eau.
La candidature de Paris aux Jeux 2024 a permis d’accélérer le projet de reconquête du fleuve. Cette olympiade a fait office de levier et de catalyseur pour investir dans une eau de qualité durable, améliorer la biodiversité et réduire les pollutions.
Six orgues de Grand Est proposés au classement au titre des monuments historiques
Six orgues du Grand Est ont reçu un avis favorable pour un classement au titre des monuments historiques par la Commission nationale du patrimoine et de l'architecture du 8 juin 2023. Cette proposition de classement met en lumière les instruments réalisés par des facteurs d’orgues importants du XIXèmesiècle et du début du XXèmesiècle dans la région.
 
 
TOURISME
Parution du « Haute-Garonne Rugby Tourist Tour »
Publié dans le cadre de la Coupe du Monde de Rugby France 2023 (8 septembre au 28 octobre 2023), ce guide de 150 pages présente les 37 clubs de rugby du département et l’offre touristique. Edité en français, anglais et japonais, "Haute-Garonne Rugby Tourist Tour" est disponible dans tous les points infos et offices de tourisme de Haute-Garonne, ainsi que chez les hôteliers de l'agglomération toulousaine très prochainement.
Saint-Jean-d'Acre, la perle de la Galilée maritime (Israël)
Saint-Jean-d’Acre - également connue sous le nom d'Acre ou d'Akko - est une ville historique située sur la côte nord d'Israël. Elle est riche d’une histoire remontant à plusieurs milliers d'années et a été conquise et façonnée par différentes civilisations au cours de son existence et de ses péripéties millénaires.
La ville d'Acco est réputée pour son importance stratégique (en raison de sa position sur la mer Méditerranée), ce qui en fait un port naturel et un centre commercial majeur.
Elle a été un port de premier plan pour de nombreux empires et civilisations, notamment les Phéniciens, les Grecs, les Romains, les Croisés et les Ottomans.
L'une des périodes les plus denses de l'histoire d'Acco est celle des Croisades. Au XIIème siècle, pendant l'époque des Croisés, la ville est devenue le quartier général des Chevaliers hospitaliers, également connus sous le nom de Chevaliers de Saint-Jean ou Hospitaliers. Ils ont établi le royaume de Jérusalem et fortifié la ville, créant un impressionnant réseau de châteaux, de remparts et de fortifications. Acre est devenue le dernier bastion des Croisés en Terre sainte après la chute de Jérusalem en 1187.
Cependant, en 1291, Acre a été conquise par les Mamelouks, marquant la fin de la présence des Croisés dans la région. La ville a perdu son importance stratégique et a connu des périodes de déclin et de reconstruction sous différentes dominations.
Aux XVIIIème et XIXème siècles, Acre faisait partie de l'Empire ottoman et a connu un renouveau. Le gouverneur ottoman, Ahmad Pacha al-Jazzar, a fortifié considérablement la ville et développé son infrastructure. Son impressionnante citadelle, Khan al-Umdan (l'"Auberge des Colonnes"), et d'autres monuments sont encore visibles aujourd'hui.
Saint-Jean-d’Acre est d’ailleurs inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 2005. Elle est une destination touristique populaire et accueillante.
Lors de votre venue sur place, ne manquez pas les incontournables :
- La vieille ville classée au patrimoine mondial de l'UNESCO est un véritable trésor historique. Promenez-vous dans ses ruelles étroites et admirez l'architecture médiévale. Ne manquez pas la citadelle des Hospitaliers, un imposant château fort construit au XIIIème siècle.
- Sur les remparts d'Akko , promenez-vous le long des murailles de la vieille ville pour profiter de superbes vues sur la mer Méditerranée et ses environs.
- Plongez dans l'ambiance animée des souks d'Akko . Vous y trouverez des échoppes vendant des épices, des tissus, des produits artisanaux et bien d'autres choses encore. L’endroit idéal pour découvrir l'artisanat local et goûter à la cuisine traditionnelle.
- La mosquée Al-Jazzar est impressionnante ! Elle a été construite au XVIIIème siècle et porte le nom d'Ahmad Pacha al-Jazzar, le gouverneur ottoman d'Akko à l'époque.
- Le hammam turc : Découvrez les traditions de bain turc en visitant le hammam d'Akko. Ce bain traditionnel offre une expérience unique de détente et de bien-être.
- Le musée des prisonniers d'Akko : situé dans une ancienne prison ottomane, ce musée retrace l'histoire des prisonniers politiques juifs incarcérés pendant la période du mandat britannique. Vous pourrez y voir des expositions et en apprendre davantage sur cette période tumultueuse de l'histoire moderne d'Israël.
- Au port d'Akko : promenez-vous le long des embarcations et imprégnez-vous de l'atmosphère maritime. Vous pourrez y admirer ses bateaux de pêche colorés et déguster des fruits de mer et savoureux mets dans les restaurants locaux, pittoresques et plein de charme. Avant de rejoindre les jardins Bahaï...
Saison estivale au Château d'Angers (49)
- La tapisserie de l’Apocalypse : Depuis le 18 mai 2023, la tenture de l’Apocalypse est inscrite au « Registre Memoire du monde » de l’UNESCO, au meme titre que la Declaration des Droits de l’Homme et du Citoyen (1789-1791), l’Appel du 18 juin 1940 du General de Gaulle, les films des freres Lumiere ou la broderie de Bayeux... Cette inscription souligne l’importance et la portee universelle du plus grand ensemble de tapisserie medieval conserve au monde. Elle atteste du role majeur de ce chef d’œuvre dans l’histoire de la creation artistique et la necessite absolue de sa preservation au regard de sa valeur pour l’humanite toute entiere.
- Spectacle « Sentinelle » avec la Compagnie Les Expresso : Depuis plus d'un millenaire, le chateau d'Angers veille sur la ville, perche sur son socle d'ardoise. Tel un cerbere de schiste, il scrute l'horizon et mord celui qui s'approche avec de mauvaises intentions. Lorsque le fracas des bombes se tait en aout 44, trois destins tragiques lies au chateau ressurgissent du passe. Accompagne d'un officier de la 5eme division d'infanterie americaine, penetrez dans les entrailles de la bete et redecouvrez leur histoire oubliee.
Du 15 avril au 15 novembre 2023, le Domaine national du Chateau d’Angers presente « L’Apocalypse comme si vous y etiez », un parcours d’interpretation ludique et interactif sur la tapisserie de l’Apocalypse.
- Les enquêtes spirites de Sandy Lakkar : Depuis plus de 6000 ans, des hommes et des femmes occupent le site du chateau d’Angers... Ils y ont laisse des traces tangibles : tombe prehistorique monumentale, vestiges du palais comtal, batiments medievaux, espaces d’enfermement mais aussi d’autres, moins perceptibles... Suivez Sandy Lakdar dans les trefonds du chateau pour cette quete inedite. Armee de sa spirit box, elle capte les energies invisibles des lieux.
- Musique au jardin avec Da Silva : Sous les frondaisons des tilleuls, venez ecouter Da Silva qui interprete accompagne de deux musiciens les chansons de l’album pour enfants "Abecedaire de la Tapisserie de l'Apocalypse" concu en collaboration avec le chateau.
Au Domaine national du Chateau d’Angers, 2 promenade du Bout du Monde, à Angers (49)
Les dix habitudes les plus énervantes en vacances, d'après Sunweb
Pour beaucoup, les vacances d'été sont synonymes de soleil, de mer, de plage et d'évasion. C'est aussi la période où les habitudesde vacances, souvent insignifiantes,mais en même temps agaçantes, refont inévitablement surface: qu'il s'agisse de faire la queue pour être le premier à monter dans l'avion ou de réserver le meilleur transatau bord de la piscine. Des habitudes de vacances largement répandues qui agacent profondément, mais qui concernent, malgré tout, tous les voyageurs, tôt ou tard.Le voyagiste Sunwebvous donne des conseils pour éviter les 10 habitudes les plus énervantesen vacances :
- La guerre des transats. Qui ne s’est jamais rendu coupable d’avoir étaler sa serviette sur les transats avant l'aube pour revendiquer la meilleure place « parce que tout le monde le fait ». Vous êtes plutôt matinal ? Plus vous arriverez tôt aux transats, meilleures seront les places. Vous préférez faire la grasse matinée ? Prévoyez alors une activité à faire le midi afin d'être de retour à l'hôtel dans l'après-midi. Il y a des chances que certains transats se soient libérés. Ou optez pour une chambre avec un balcon (spacieux) afin de profiter du soleil.
- Squatter la porte d’embarquement. « Pourquoi tous ces gens trépignent-ils devant la porte d'embarquement alors qu’elle n'est même pas encore ouverte ? » À peine vous êtes-vous fait cette réflexion que deux minutes plus tard, vous vous retrouvez vous-même dans la file d’attente, 20 minutes avant le début de l'embarquement. Presque toutes les compagnies aériennes proposent une application qui vous permet de suivre les détails de votre vol, activez les notifications pour ne rien manquer ! Pour tuer le temps à l’aéroport, n’hésitez pas à faire un peu de shopping ou à vous assoir pour grignoter un encas (ou un repas entier).
- Pester contre la chaleur. Si les destinations chaudes et ensoleillées sont très prisées pour les vacances d'été, ça n’empêche personne de se plaindre de la chaleur qu'il fait le reste de l’année. Choisissez une chaise longue sous un parasol ou à l'ombre pour rester un peu au frais aux heures les plus chaudes de la journée. Toujours trop chaud ? Prévoyez une sieste dans votre chambre d'hôtel.
- Acheter des souvenirs de voyage. Comment ne pas craquer pour ce petit aimant du drapeau grec ou celui de la danseuse de flamenco espagnole qui sera parfait sur la porte du frigo. Vous devez faire face à des vendeurs insistants ? Dites poliment non et passez votre chemin. S'ils continuent à vous parler, n’hésitez pas à leur redire. C'est le signal clair de vous laisser tranquille. Vous avez quand même envie de rapporter quelques souvenirs ? Avant de partir, réfléchissez à ce que vous aimeriez offrir pour être sûr de choisir des cadeaux utiles.
- Surcharger sa valise. Qui n’a jamais surchargé sa valise pour ensuite se plaindre de son poids à son compagnon de voyage ? Après tout, 10 paires de chaussures, c’est un peu excessif. Mais comment limiter le nombre de kilos dans votre valise ? Préparez vos différentes tenues à l'avance et choisissez des vêtements qui peuvent être combinés autant que possible : optez pour un short neutre (en jean), un T-shirt noir ou des baskets blanches.
- Se plaindre de la nourriture. Quoi de plus chouette que de découvrir la cuisine authentique de votre destination de vacances pour vivre de nouvelles expériences culinaires ? Pourtant, il est fréquent de se plaindre de tous les plats « inconnus » du menu, avant de s’énerver parce que notre partenaire ou un membre de notre famille ne veut pas les goûter. Allez-y et osez déguster les spécialités locales.
- Baragouiner la langue locale. On le sait, c’est gênant, pourtant personne ne peut pas s'empêcher d’essayer de placer quelques mots de grec, d'italien ou d'espagnol à la serveuse ou au réceptionniste. Les résultats ne sont pas toujours à la hauteur de nos attentes, mais au moins, ces phrases apprises permettront de faire un peu partie de la couleur locale. Dos cervezas por favor ! Installez une application sur votre téléphone qui vous permet de pratiquer un peu la langue locale. Les « locaux » ne manqueront pas de l’apprécier.
- Prendre des selfies partout. Devant un monument historique ou en train de déguster un cocktail, votre téléphone est toujours à portée de main pour immortaliser ces moments. Et il faut bien l'admettre : il est parfois plus important de montrer à quel point ces vacances sont réussies que de se souvenir de l'instant. Prendre des photos est certes important, mais profiter de ses vacances l'est encore plus ! Convenez avec vos compagnons de voyage d'une photo par jour, ce qui vous évitera de prendre la même photo avec tout le groupe.
- Manger dans les « pièges à touristes ». « Non, c'est un attrape touristes, ça se voit tout de suite ! » On a beau l’avoir compris, il difficile de ne pas tomber dans le panneau encore et encore. Comment déceler quel bar ou restaurant peut se targuer d’être vraiment authentique. La solution ? Demandez à plusieurs « locaux » des conseils sur les endroits où manger ou vérifiez sur Internet les restaurants que vous pouvez trouver à proximité. Une fois arrivé au restaurant, le mieux est de demander une spécialité locale typique.
- Bronzer en untemps record. Qui n’a pas hâte de se dorer de longues heures au soleil dès les premiers jours, car quoi de plus grisant que de rentrer de vacances le teint hâlé ? Résultat : une peau brûlée. Restez le plus possible à l'abri du soleil entre 12 et 15 heures, portez une casquette et gardez la tête au frais pour éviter les coups de soleil.
L'été au Musée de la faïence de Quimper (29)
- Artistes à l’affiche : Pour les cent ans du Festival de Cornouaille, retrouvez au fil de notre exposition permanente, du 15 au 30 juillet, les affiches officielles réalisées par les artistes ayant aussi collaborés avec les faïenceries. Découvrez une autre facette du travail de Robert Micheau-Vernez, Pierre Toulhoat, René Quéré, Michel Costiou et bien d'autres...
- 30ème anniversaire de l’Association des Amis du Musée de la Faïence de Quimper, le 12 août.
Au Musée de la faïence de Quimper, 14, rue Jean-Baptiste Bousquet, à Quimper (29)
 
 
EXPOSITIONS
« Aquarelles des Clochers du pays d'Alençon » jusqu'au 31 août 2023, à Alençon (61)
Artiste autodidacte résidant dans l’Orne, Florence Motte se décrit comme avant tout une dessinatrice qui a choisi l’aquarelle pour mettre en valeur le patrimoine bâti de sa région. En parallèle de son métier d’orthophoniste, elle pratique quotidiennement cette peinture exigeante et délicate. Que ce soit une petite église de bourg, une église romane au détour d’une petite route ou une somptueuse cathédrale, chacune de ses aquarelles, aux teintes douces et harmonieuses, sublime les détails architecturaux.
Entrée libre.
A la Médiathèque Aveline, Cour Carrée de la Dentelle, à Alençon (61)
« Le Rugby à Toulouse », jusqu'au 7 octobre 2023, à Toulouse (31)
Le musée du Vieux-Toulouse vous invite à plonger dans la mêlée et découvrir l’histoire fascinante du rugby à Toulouse ! Comment ce sport anglais est-il arrivé sur les rives de la Garonne, comment est-il devenu en deux décennies le sport préféré des Toulousains ? Quels étaient les premiers clubs de la ville ? Quelles en étaient les stars ? À travers une sélection d’objets, de documents, d’œuvres d’art, l’exposition propose, par une immersion dans la fascinante histoire du rugby à Toulouse, de découvrir comment tout a commencé.
Au Musée du Vieux Toulouse, 7 rue du May, à Toulouse (31)
« Salses l'imprenable. Artillerie et fortification », jusqu'au 5 novembre 2023, à Salses-le-Château (66)
L’exposition, fruit du partenariat entre le Centre des monuments nationaux et le musée de l'Armée - Invalides, explore la relation entre l’évolution de l’architecture militaire au tournant des XVème et XVIème siècles et les progrès de l'artillerie, marqués par le développement de l’utilisation de la poudre.
Elle met en lumière les spécificités de la forteresse de Salses, l’inscrivant dans l’histoire de l’artillerie et de l’évolution des fortifications militaires entre Moyen Âge et Renaissance.
Suivant un parcours thématique, l’exposition commence par présenter les profonds changements géopolitiques qui ont lieu en Europe occidentale aux alentours de 1500. En France, la fin de la guerre de Cent Ans met en partie un terme à la présence anglaise sur le continent. En Espagne, trois entités chrétiennes se constituent (le royaume de Portugal et les couronnes de Castille et d’Aragon) à la suite de la Reconquista, mettant fin à près de huit siècles de présence musulmane dans la péninsule. Avec ces événements, la France et l’Espagne deviennent des royaumes unifiés qui s’intéressent alors à l’expansion territoriale. La France débute de nombreuses guerres en Italie tandis que l’Espagne se tourne vers l’Amérique.
L’exposition s’intéresse ensuite à l’artillerie et aux nombreuses évolutions qu’elle a engendré. La généralisation de l’emploi de la poudre noire au XIVème siècle en Europe occidentale et le perfectionnement de sa maîtrise révolutionnent l’art de la guerre. L’utilisation de l’artillerie à poudre et son progrès constant génèrent des adaptations et des améliorations de l’architecture militaire. La forteresse de Salses est un bel exemple de cette évolution et de la transition qui s’opère à cette époque entre le château fort médiéval et les citadelles bastionnées de l’époque moderne.
Des nombreuses pièces d’artillerie du XVème et du XVIème siècle, tels des canons et des boulets, sont à découvrir tout au long de l’exposition. Des reproductions de peintures, d’aquarelles, de photographies contemporaines, des modèles réduits, des schémas ou encore des lithographies et ouvrage originaux permettent d’illustrer cette époque et de proposer des restitutions de l’utilisation de ces pièces d’artillerie historiques. La logistique nécessaire à la construction des forteresses modernes est également expliquée permettant de mieux comprendre le contexte de réalisation, les enjeux, l’organisation et l’économie derrière ces chantiers.
Un ouvrage dédié à l’exposition est publié par les Éditions du patrimoine dans la collection «Regards…», au prix de 12 €.
A la Forteresse de Salses, à Salses-le-Château (66)
Plus que quelques jours pour visiter l'exposition « Fantaisies capillaires », jusqu'au 28 juillet 2023, à Paris (75)
À l’occasion de l’exposition « Des cheveux et des poils », la bibliothèque vous propose jusqu’à fin juillet un accrochage décoiffant sur les cheveux à travers cinq thématiques.
La chevelure volumineuse, disciplinée ou en bataille, sublimée par les coiffeurs, est toujours le reflet d’une époque et/ou l’expression d’une personnalité. Des estampes du XVIIème au XIXème siècle provenant des albums de la collection iconographique Maciet, aux revues professionnelles de coiffure, des catalogues commerciaux aux plaquettes publicitaires : tous ces documents issus des collections de la bibliothèque témoignent de l’histoire mouvementée et créative de l’art de la coiffure.
Au Musée des Arts décoratifs, Rue de Rivoli, à Paris (1er).
« Haute-Savoie pittoresque » jusqu'au 5 mai 2024, à Saint-Gervais (74)
Le Musée d'art Sacré de Saint-Nicolas de Véroce vous dévoile une toute nouvelle exposition temporaire, exposée dans la salle des colporteurs.
Cette exposition, consacrée à Auguste et Ernest Pittier, photographes et éditeurs de cartes postales à Annecy, a été réalisée en 2016 par les Archives départementales de la Haute-Savoie. Elle illustre la richesse et la diversité du fonds Pittier, qui constitue un témoignage précieux sur la Haute-Savoie au début du XXe siècle.
Enrichie par les cartes postales issues des collections de Saint-Gervais et des prêts d'autres institutions, l'exposition “La Haute-Savoie Pittoresque” présentée au Musée d'art Sacré de Saint-Nicolas de Véroce en 2023-2024, revient sur l'âge d'or de la carte postale, entre 1899 et 1922. Elle est l'occasion de mettre en avant d'autres photographes de cette même période, contemporains des frères Pittier, comme les saint-gervolains Numa Allantaz et Maurice Bourrey, la Maison genevoise Jullien Frères, le mégevan Louis Morrand et l'annemassien Louis Fauraz. Une sélection thématique autour des instantanés de vie quotidienne, de l'essor du tourisme et des loisirs, ou encore du patrimoine industriel, architectural et paysager de la Haute-Savoie, revient sur cette histoire fascinante qui a immortalisé les paysages et les souvenirs.
Au Musée d’art Sacré de Saint-Nicolas de Véroce, à Saint Gervais (74)
« Heureux hasard », jusqu'au 30 septembre 2023, à Gaspé (Québec)
Dans le cadre des Rencontres de la photographie en Gaspésie, le Musée de la Gaspésie présente l’exposition Heureux hasardde la photographe française, Dolorès Marat.
Photographe indépendante et autodidacte, Dolorès Marat continue sa recherche au détriment des modes et des genres. Son travail d’auteur utilise dorénavant le tirage Fine Art pour l’édition de son œuvre, permettant d’offrir de nouveaux grands formats en complément de tirages sur papier japonais fait main, Awagami Bizan, inspirés de ses anciens travaux réalisés avec le procédé de tirage Fresson. Elle a publié de nombreux livres de son travail personnel.
Au Musée de la Gaspésie, 80 Boulevard Gaspé, à Gaspé (Québec)
« Plein la vue » jusqu'au 7 janvier 2024, à Epinal (88)
Les jeux et les illusions optiques du passé, c'est-à-dire avant l'invention du cinéma, forment ce que l'on a coutume d'appeler l’« art trompeur ». Dupant le regard au moyen de divers artifices, ils suscitent des effets étonnants et brouillent les frontières entre la réalité et l’imaginaire. Pour la première fois, une exposition aborde ce sujet en s’intéressant aux productions des imageries populaires des XVIIIème et XIXème siècles, et à leur rôle dans la construction d’une culture optique partagée. « Plein la vue ! » montre comment les imageries, de plus en plus ouvertes aux divertissements, se sont appropriées des principes optiques d’origines et de natures variées, et en ont proposé des versions en papier accessibles à tous.
Le parcours s’ouvre sur les vues d’optique du XVIIIème siècle, puis présente une variété de jeux édités pour les enfants dans la seconde moitié du XIXème siècle. Il vous invite à découvrir images et dispositifs insolites au sein de quatre sections dédiées à des effets optiques : illusion de la profondeur, projection et jeux d’ombres et de lumières, illusion du mouvement, enfin ambiguïté.
Beaucoup des œuvres sont réunies et présentées de façon inédite : fonds extraordinaire des vues d'optique parisiennes conservées au musée de l'Image, insolites « Feux pyriques et diamanteaux » de Metz, disques d'« Ékonoscope » d'Épinal, jolis « Dioramas » de Pont-à-Mousson, etc.
Le temps d’une visite, oubliez les technologies contemporaines, et laissez-vous séduire par le charme et la magie de modestes jeux visuels qui, en leur temps, ont surpris, émerveillé, amusé, fait rêver, ou encore effrayé… Théâtres d’optique, feux pyriques, anamorphoses, phénakistiscopes et autres appareils aux noms barbares n’auront bientôt plus de secret pour vous
Au Musée de l’Image, 42 quai de Dogneville, à Epinal (88)
« No animo, Mas Anima, Adieu aux bêtes de cirque ? » jusqu'au 9 octobre 2023 à Châlons-en-Champagne (51)
La nouvelle exposition du musée des Beaux-arts et d'Archéologie de Châlons-en-Champagne, présentée du 8 juillet au 9 octobre 2023, reprend le titre du spectacle créé par le Cirque Plume en 1990 pour explorer le lien étroit entre les animaux et les humains dans le monde du cirque.
Ours, lions, tigres, dromadaires ou éléphants... Qu'ont-ils été nombreux ces animaux à avoir foulé les pistes à travers le monde ! Décriée et bientôt interdite, leur mise en scène dans les spectacles itinérants a pourtant longtemps été un poncif du monde du cirque. Qu'a motivé les humains à dompter les bêtes ? Et aujourd'hui, les animaux ont-ils quitté la piste pour de bon ?
Au Musée des Beaux-Arts et d’Archéologie, Place Godart, à Châlons-en-Champagne (51)
« Les Châteaux de l'Aube », jusqu'au 1er octobre 2023, à Troyes (10)
L'exposition sur les châteaux de l'Aube, présentée jusqu'au 1eroctobre 2023, par la Direction des archives et du patrimoine du département de l'Aube, est l'occasion de revenir sur l'importance du travail de restauration mené sur des édifices qui participent de l’identité architecturale des villages du territoire du Grand Est ;
200 objets, œuvres d'art ou documents sont rassemblés du XIIème au XXIème siècles. Dont des objets prêtés par l'Etat - ministère de la Culture - DRAC Grand Est : objets du trésor de la cathédrale de Troyes, objets issus de fouilles d'archéologie préventive...
Un programme d'animations, ateliers et conférences accompagne l'exposition
A l’Hotel Dieu-le-Comte, Cité du Vitrail, à Troyes (10)
« Magies baroques » jusqu'au 17 septembre 2023, à Maisons-Laffitte(78)
Ce parcours d’œuvres et d’installations visuelles et sonores, emmène les visiteurs dans un voyage onirique à travers les moments clefs des récits merveilleux chevaleresques reflétant la fascination que les magiciennes et leurs enchantements n’ont cessé d’exercer, de la Renaissance à la période baroque.
Au Château de Maisons, 2 Avenue Carnot, à Maisons-Laffitte (78)
« Tables d'exception, du 18ème au 20ème siècle », jusqu'au 10 septembre 2023, à Cadillac-sur-Garonne (33)
Jusqu'au 10 septembre, l’exposition "Tables d'exception, du XVIIIe au XXe siècle" évoque avec faste et raffinement une histoire des arts de la table en France du XVIIIe au XXe siècle. Sous le commissariat du collectionneur et décorateur Hubert de Vinols, le château ducal accueille à une encablure de Bordeaux, des tables dressées selon la tradition française. Pour parfaire ces somptueux décors, 21 lustres de style Louis XIII illumineront les salles du château.
Au Château de Cadillac, 4 Place de la Libération, à Cadillac-sur-Garonne (33)
« Naples pour passion, Chefs d'oeuvre de la collection De Vito » du 15 juillet au 29 octobre 2023, à Aix-en-Provence (13)
Contraint de fuir Rome pour Naples en 1606, Caravage, achève de bouleverser la peinture. Il laisse derrière lui de nombreux émules. Et des générations à venir de collectionneurs avides de posséder les œuvres de ce courant nommé « caravagisme » par les historiens de l’art.
L’ingénieur Giuseppe De Vito fut de ceux-là. Passionné par la peinture napolitaine du Seicento, il constitua un véritable trésor, une soixantaine de tableaux signés Battistello, Jusepe de Ribera, Massimo Stanzione ou Bernardo Cavallino, adeptes, chacun à sa manière, du ténébrisme de Caravage. Ces œuvres sont pour la première fois exposées en France au musée Granet d’Aix-en-Provence (13)
« Henri-Edmond Cross, dans la lumière du Var », du 10 juillet au 14 novembre 2023, à Saint-Tropez (83)
L’exposition estivale de cette annee porte sur la mise en valeur d’un des artistes majeurs du neo–impressionnisme, Henri-Edmond Cross, afin de montrer l’aspect pionnier de son art qui a ouvert la voie au fauvisme. Si ce mouvement pictural est fort prise du public grace aux expositions qui lui ont ete consacrees ces dernieres annees, l’ambition est de faire la demonstration d’un propos coherent avec le lieu, le territoire. Le projet se focalise sur les œuvres directement inspirees par les paysages varois. Car Cross est un des premiers peintres du Nord a s’installer en 1891 dans le Var. Des lors, emerveille par les sites qui l’entourent, il devient le chantre de la lumiere et des couleurs.
Au Musée de l’Annonciade, 2 Place Grammont à Saint-Tropez (83)
 
 
PATRIMOINE
Lumière sur...le Commissariat de la République pour le Tonkin (1931-1954)
Le fonds du Commissariat de la République pour le Tonkin couvre, pour la majorité des documents, une période allant de l’automne 1945 à l’année 1954. Administration décentralisée du Haut-Commissariat de France pour l’Indochine, il fait suite à la Résidence supérieure du même territoire.
En octobre 1945, le Commissariat de la République pour l’Indochine du nord comprend le Tonkin et ses régions minoritaires, ainsi que l’Annam jusqu’au 16e parallèle à 16 km au sud de Tourane.
La dénomination Commissariat de la République pour Le Tonkin et le Nord-Annam est employée le temps du mandat de son premier commissaire, Jean Sainteny (1907-1978), jusqu’en décembre 1947.
Suivront les appellations Commissariat de la République pour le Tonkin, puis pour le Nord-Vietnam ou Indochine du Nord.
Le fonds est en grande majorité composé de collections de correspondance, télégrammes et arrêtés. Les documents concernent l’organisation et le fonctionnement administratif des différents services et des régions. Les questions de personnels, rapatriement,d’état-civil et les commissions d’épuration sont abordées ainsi que les problèmes monétaires, d’approvisionnement et de réquisition liés au contexte de la période de guerre d’Indochine. On y trouve également un nouveau dossier de surveillance de Hô Chi Minh (1890-1969).
Guide de recherche dans les sources de l'histoire commune de la France et du Vietnam (1862-1954)
Dans le cadre du 50e anniversaire des relations diplomatiques entre la France et le Vietnam, le Service interministériel des Archives de France et les Archives d’État de la république socialiste du Vietnam ont souhaité mettre en valeur leur collaboration par une page commune en français et en vietnamien. Ce guide de recherche permettra aux chercheurs de s’orienter dans les fonds, tant aux ANOM à Aix-en-Provence (4 km d'archives) qu'au Vietnam, qui conserve dans trois de ses centres des archives françaises de l’époque coloniale (près de 5 km). Cet outil offre une clé d'entrée essentielle pour ces fonds et témoigne de la collaboration scientifique entre les archives de France et celles du Vietnam, riche et fructueuse depuis plus de 50 ans.
Pierre Larousse, figure emblématique de l'éducation ancrée dans l'Yonne (89)
Situé à 1h30 de Paris, le département de l'Yonne est un véritable berceau de talents qui regorge de richesses culturelles ne demandant qu'à être explorées. De l'illustre Vauban à l'éminent Paul Bert, en passant par Pierre Larousse, Marcel Aymé et Colette, cet endroit pittoresque a vu naître plusieurs personnalités emblématiques qui ont façonné son histoire. Alors que nous nous trouvons à quelques mois de la rentrée scolaire, revenons sur l'histoire de celui à qui l'on doit le Grand Dictionnaire universel du XIX? siècle, dont est tiré Le Petit Larousse. Bien que sa principale réalisation soit connue de tous, qui était cet homme dont le nom est associé à l'apprentissage et aux fournitures scolaires ?
L'Yonne, département au riche patrimoine culturel, a vu naître l'une des figures les plus influentes de l'éducation en France : Pierre Larousse. Né en 1817 à Toucy dans l'Yonne, il fut un érudit et lexicographe français qui a marqué l'histoire de l'éducation. Son œuvre la plus célèbre, le "Grand Dictionnaire universel du XIXème siècle", publié pour la première fois en 1866, est devenu une référence incontournable dans le domaine de la lexicographie. Larousse a également joué un rôle majeur dans la création de l'Encyclopédie Larousse, une compilation encyclopédique qui a permis de démocratiser l'accès aux connaissances.
L'approche novatrice de Larousse en matière d'éducation consistait à rendre le savoir accessible à tous. Convaincu que l'éducation devait être un droit universel et non pas réservée à une élite, il a créé des ouvrages pédagogiques et des dictionnaires à la fois complets et accessibles, facilitant ainsi l'apprentissage et l'enrichissement des connaissances pour tous les publics. L'œuvre de Pierre Larousse a grandement contribué à l'alphabétisation et à l'éducation du grand public en France, laissant un héritage indéniable dans le domaine de l'éducation et de la diffusion du savoir.
L'Yonne abrite un système éducatif dynamique qui joue un rôle crucial dans le développement et l'épanouissement de ses habitants. L'importance de l'éducation du département réside dans sa capacité à offrir aux jeunes les compétences et les connaissances nécessaires pour réussir dans la vie. Les établissements d'enseignement du département, qu'il s'agisse d'écoles maternelles et primaires, de collèges ou de lycées, s'efforcent de fournir une éducation de qualité à tous les élèves. Ils offrent un large éventail de programmes et de cours couvrant les domaines de l'enseignement général, des sciences, des arts, des langues étrangères et bien plus encore.
L'éducation dans l'Yonne ne se limite pas à l'acquisition de connaissances académiques. Elle vise également à former des citoyens responsables et engagés. Les établissements scolaires encouragent les valeurs telles que le respect, la tolérance, la coopération et la solidarité. Les élèves sont incités à développer leur esprit critique, leur créativité et leur capacité à travailler en équipe. Ces compétences ont pour objectif de favoriser leur réussite scolaire et de leur permettent de s'épanouir pleinement dans leur vie personnelle et professionnelle.
L'Yonne met également l'accent sur l'importance de l'enseignement supérieur. Le département compte plusieurs établissements d'enseignement supérieur et de recherche, tels que des universités et des instituts technologiques. Ces institutions offrent une multitude de cursus et de formations spécialisées qui préparent les étudiants aux défis du monde professionnel. Elles favorisent l'innovation, la recherche et le développement, contribuant ainsi à l'évolution économique et sociale de la région.
 
 
SAVOIRS
Histoire des Arts : la fanfare
Connaissez-vous les Repères Histoire des arts? Ces fiches synthétiques explorent un domaine artistique à travers artistes, œuvres et mouvements emblématiques. Une chronologie simple, accessible et riche d’exemples qui peuvent être approfondis grâce à des liens hypertextes. Chacun de ces repères a été rédigé par un expert.
Dans le cadre du plan fanfare, le portail Histoire des arts propose un Repère dédié à l’histoire des fanfares rédigé par Anne-Claire Rocton. Des origines à nos jours, cette fiche aborde les différentes formations musicales, les instruments et le répertoire des fanfares. Deux focus offrent des clés de compréhension sur le rôle de la musique militaire et sur la place de la fanfare dans l’espace public.
Spectacle « La fabuleuse histoire du cognac » du 13 au 15 juillet 2023, à Bourg-Charente (16)
Du 13 au 15 juillet, à la tombée de la nuit, venez découvrir le son et lumière “La Fabuleuse Histoire du cognac”, à Bourg-Charente, petite cité pittoresque sur les bords de la Charente.
Le Son et Lumière de Bourg-Charente poursuit son voyage à travers l’Histoire de France et propose depuis 2018 un nouveau spectacle consacré à l’histoire du cognac. 10 tableaux retracent la naissance de ce breuvage doré, né d’une légende, qui a connu des heures difficiles marquées notamment par la maladie de la vigne mais également les fastes d’une réussite incroyable !
Danses, combats, chevaux sur l’eau, artifices,... vous serez surpris par ce spectacle féérique.
Le spectacle 2023 va retracer la véritable histoire d’une tradition et d’un savoir-faire unique au monde...le cognac.
Nocturnes théâtrales, les 13, 15 & 16 juillet 2023, à Amboise (37)
Trois soirées sont dédiées à Hamlet, de Shakespeare, sous la direction de Didier Girauldon. Sous la voûte étoilée, face au château illuminé, on frissonne, on rit et on se passionne pour ce conte cruel et romantique.
Au Château du Clos Lucé, à Amboise (37)
Départ, première édition du festival de la nouvelle scène culturelle du Grand Paris, du 14 juillet au 19 août 2023, aux aéroports Paris-Orly et Roissy CDG
Pour la première édition de ce nouveau festival, DÉPART proposera des créations inédites par desartistes pluridisciplinaires de la nouvelle scène culturelle du Grand Paris.Ainsi, au travers de différentes performances artistiques, l’art s’invite dans chaque expérience de voyage offerte par Paris Aéroport, afin que le temps passé dans les aérogares s’enrichisse de souvenirs poétiques.
Ils pourront notamment découvrir une création originale, Air Move, par le chorégraphe Olivier Dubois. Artiste aux œuvres radicales, habitué du Festival d’Avignon, il prend inspiration pour chorégraphier cette création dans la musique de Britney Spears ainsi que dans les gestes propres aux voyageurs et à l’imaginaire lié à l’aéroport. Les spectateurs-voyageurs pourront également découvrir une performance musicale jouant sur les codes visuels et sonores du voyage et des aéroports créés par le collectif Playtronica.
D’autres projets seront proposés chaque weekend entre mi-juillet et mi-août dans les deux aéroports parisiens par des artistes venant de diverses pratiques comme le voguing, la musique amplifiée, le roller dance, le chant a capella, l’acrodanse, le cirque… toutes représentatives de la nouvelle scène culturelle des territoires dans lesquels sont implantés nos aéroports.
40ème anniversaire de l'inscription de l'ensemble urbain du 18ème siècle nancéien au patrimoine de l'UNESCO, jusqu'au 31 décembre 2023, à Nancy (54)
Cette annee, la Ville de Nancy celebre le 40ème anniversaire de l’inscription au patrimoine mondial de l’UNESCO de la place Stanislas, de la place de la Carriere et de la place d’Alliance. C’est en effet lors de sa seance de decembre 1983 que, sur proposition de l’ICOMOS, le comite du patrimoine mondial approuva l’inscription de cet ensemble architectural et urbain exceptionnel sur la liste du patrimoine mondial.
Soirée « Le Bal des Chimères », le 15 juillet 2023, à Bussy-le-Grand (21)
Création phare 2023 du collectif la Fabrique à Berlue, cette soirée exceptionnelle convie le public dans la cour d’honneur du château qui deviendra le dance-floor pour sirènes, femmes à barbe, phénix et autres créatures chimériques.
Dès son arrivée dans ce cadre déjà enchanteur, le public sera plongé dans un univers onirique avec l’intervention de figurants costumés. En tout, ce n’est pas moins de 80 personnes mobilisées qui entraîneront le public dans un monde plein de magie et hors du temps. Ce bal-spectacle enchaînera des moments de pure poésie et des moments plus dansants. La soirée se déclinera en quatre actes : la terre, l’eau, la montée en puissance avec le feu et l’air pour terminer.
Au Château de Bussy-Rabutin, 13 rue du Château, à Bussy-le-Grand (21)
Soirée de bons Goûts, les 11 juillet et 4 août 2023, à Forcalquier (04)
Le temps d'une soiree, les participants seront inities a l'art de la sommellerie. Les experts mettront a l'honneur des mets locaux, aussi bien sucres que sales, parfois revisites d'une facon atypique. L’experte en sommellerie apprendra aux participants a savoir associer le vin qui se marie le mieux avec le plat propose.
A 18h30.
A l’Artemisia Museum, Cloitre du Couvent des Cordeliers, à Forcalquier (04)
 
 
COMMEMORATIONS
220ème anniversaire de la mort de Toussaint Louverture, le 7 avril 1803
L’année 2023 marque les 220 ans de la mort de Toussaint Louverture (1743-1803), figure emblématique de l’abolition de l’esclavage. Les Archives nationales d’outre-mer se sont jointes aux commémorations du Temps des mémoires (27 avril-10 juin), pilotées par la Fondation pour la mémoire de l’esclavage. À cette occasion, les ANOM ont notamment publié les archives numérisées des dossiers sur Toussaint Louverture et sa famille, tenus par l’administration coloniale : https://recherche-anom.culture.gouv.fr/archives/fonds/FRANOM_00510
L'Académie des Sciences d'outre-mer a 100 ans
L’Académie des sciences d’outre-mer (Asom) a célébré son centenaire le 26 mai 2023 par un colloque au grand amphithéâtre de la Sorbonne à Paris.
Partenaires de cet évènement, les ANOM ont pris part à cette commémoration riche en débats et échanges, mêlant responsables politiques, chercheurs, dirigeants économiques, artistes ou acteurs des sociétés civiles.
Il y a 300 ans, naissait l'écrivain Jean-François Marmontel, le 11 juillet 1723
A la fois écrivain, encyclopédiste, historien, conteur, romancier, grammairien, poète, dramaturge et philosophe français. Voici ce qu’on peut appeler un homme complet.
Issu d’une famille pauvre, et après des débuts difficiles, la mort de son père souffrant de tuberculose le convainc de s’installer à Toulouse en 1741 et d’étudier la philosophie chez les Jésuites. Sa longue carrière littéraire passera par son amitié avec Voltaire, lequel conseille au jeune homme de monter à Paris, où il reçoit de l’Académie française un prix de poésie « La gloire de Louis XIV perpétuée devant le Roi son successeur ». Et Voltaire ne tarde pas à lui rapporter un plein chapeau d’écus, produit de la vente de douze exemplaires de son poème écoulés par Voltaire.
Déambulation « Sur les pas de Louis XI », le 16 juillet 2023, à Bourges (18)
Départ, à 18h00, Place Etienne-Dolet.
800ème anniversaire de la mort du roi Philippe Auguste (le 14 juillet 1223)
Philippe II dit « Auguste »,septième roi de la dynastie des Capétiens tient ce surnom de « Auguste » après que le roi Philippe II, né au mois d’août, eut ajouté au domaine royal, en juillet 1185, les seigneuries d’Artois, du Valois, d’Amiens et une grande partie du Vermandois.
Philippe Auguste reste l’un des souverains les plus étudiés de la France médiévale en raison de la longueur de son règne, mais aussi de ses importantes victoires militaires et des progrès accomplis dans le contrôle de la hiérarchie féodale.
Ce nouveau guide traite du riche département de la Seine-et-Marne, avec ses somptueux châteaux, ses artisans talentueux, ses jardins fleuris et ses lieux insolites.
La forêt de Fontainebleau vous y offrira un vrai bol d’air, avec ses 500 km de promenades balisées et ses célèbres rochers connus des grimpeurs..
Vous y traverserez des lieux chargés d’histoire (Provins, Blandy-lès-Tours, Château-Landon, Fontainebleau, Vaux le Vicomte et Champs-sur-Marne...
144 pages, 11,90€.
Revue Ça m'intéresse : Sur les chemins secrets de notre histoire
Dans le numéro daté de juillet, la rédactionde Ça m’intéressedévoileun dossier s’intitulantLes chemins secrets de notre histoire,et nous raconte:la route des Templiers dans le Larzac, celledes gabelous en Bretagne, la voie des passeursen Alsace sous l’Occupation… Autant de sentiersqui nous conduisent vers un passé fascinant.
 
REPORTAGE DE LA SEMAINE
Exposition "Séduction et Pouvoir. L'art de s'apprêter à la cour" (Musée du Domaine royal de Marly, M... Afin de fêter dignement sa réouverture, le Musée du Domaine royal de Marly offre à ses visiteurs un parcours muséographique rénové et un programme d'expositions et d'évènements étoffé. « Séduction & Pouvoir. L'art de s'apprêter à la cour »s'intéresse aux accessoires de mode et de beauté aux 17ème et 18ème siècles.
Entre les règnes de Louis XIV et de Louis XVI, Versailles, puis Paris, s'arrachent le titre de capitale de la mode. Qu'il s'agisse de désir de séduction, d'affirmation de pouvoir ou de la manifestation d'un statut social, ces accessoires contribuent à la mise en scène de soi sous l'Ancien Régime.
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