Ben voyons ! La France n'est pas encore assez vertueuse concernant la réduction de la pollution atmosphérique, selon les dires de trois « ministres » du gouvernement (qui ne manquent pas d'air!). Normal, il fallait bien marquer le coup lundi dernier lors de l'annonce des nouvelles données de la qualité de l'air pour 2022 dans les principales villes françaises, histoire de culpabiliser un peu plus les citoyens que nous sommes même si, entre 2000 et 2021, la réduction d'émission de dioxyde d'azote a atteint 60 %, et 53 % pour les fameuses particules fines.
«Peut mieux faire » décrètent les trois ministres en nous soufflant dans les bronches car notre pays reste encore en deçà des standards fixés par l'Europe et l'OMS. Ainsi le CITEPA (Centre interprofessionnel technique d'études de la pollution atmosphérique) relève t-il toujours des dépassements de seuils dans certaines agglomérations (des noms ! Des noms !...). Et CITEPA content, c'est le même prix !
En raison du non-respect de ces valeurs limites de concentration, la sulfureuse (et non élue) commission européenne avait lancé des procédures d'infraction contre la France, (laquelle, bonne fille, paie sans broncher) en 2019 puis en 2022 notamment pour non-respect des seuils limites de concentration de ces particules fines teutonnes dont nous bombardent les centrales à charbon allemandes depuis la fermeture précipitée de leurs centrales nucléaires...Moins bruyantes que la « Grosse Bertha » mais tout aussi dangereuses...
L'heure est grave selon Santé publique France qui déplore 40 000 décès prématurés par an dus à la pollution de l'air. Et de mettre aussitôt en cause le trafic routier responsable à lui seul de 57 % des émissions d'oxyde d'azote et d'une partie des particules fines.
Un moyen comme un autre pour le gouvernement de nous refaire le coup des ZFE (zones à faibles émissions), projet déjà bien avancé puisque fin 2024, la métropole compterait en principe 43 zones de ce type à l'intérieur desquelles les automobilistes n'étant pas équipés d'un véhicule propre ne pourraient plus se rendre. Priver les Français du droit de se déplacer risquerait de mettre le feu aux poudres l'année prochaine et l'Etat, coincé entre le marteau et l'enclume, cherche désormais des solutions comme l'évolution des conditions d'utilisation des vignettes Critair, la création d'une prime à la conversion pour permettre aux plus modestes de changer de voiture. Bref, l'air en France devient franchement irrespirable (dans tous les sens du terme) et ce ne sont pas les récentes émeutes qui auront amélioré l'atmosphère... Je crains qu'il nous faille sous peu changer d'air pour retrouver une pleine capacité libératoire et respiratoire.
 
LE CLIN D'OEIL DU MOMENT
Pourquoi aller chercher à l'autre bout du monde ce qu'on a chez soi ?
Je fais allusion au dernier numéro de la revue « Détours en France » qui consacre sa première de couverture à la Gironde et aux Landes : à nous le bassin d'Arcachon, les grands lacs de la côte d'Argent, la forêt des Landes et les vignobles de prestige du Bordelais. A nous les plaisirs de la pêche à pied (ah, quel joie de pouvoir pêcher le « couteau » sans avoir besoin d'un port d'arme même si cette pêche est réglementée !), du cabotage au gré des petits ports ostréicoles (Piquey, Piraillan, L'Herbe...) où les cabanes attirent les convoitises. Et quel panorama, depuis la pointe de Ferret, on jouit d'une vue imprenable sur le banc d'Arguin et la dune du Pilat, véritable désert doré.
Au sommaire de ce numéro : un entretien avec Hugo Verlomme, journaliste et auteur du « Guide des voyages en cargo » (Editions des Equateurs) et d'une trentaine d'autres essais tournant tous autour de l'océan, un zoom sur le bassin d'Arcachon (https://www.leglobeflyer.com/reportage-2-158-le-bassin-darcachon-vu-du-ciel-arcachon-gironde-france.html), côté mer et côté terre, un très bel article sur Bordeaux (https://www.leglobeflyer.com/reportage-2-151-bordeaux-monumental-bordeaux-gironde-france.html), superbe ville qui a bien besoin de redorer son blason avec la voyoucratie qui y règne, et la découverte du street-art local. On évoque aussi Jean-Marie Hauchecorne, l'un des derniers pêcheurs bordelais officiant sur la Garonne. Puis, nous partons à la découverte des mystères de l'estuaire, à travers Bourg, filleule de Bordeaux, et charmante cité médiévale située à 40 kilomètres au nord de la capitale girondine.
Nous empruntons ensuite les chemins de traverse de l'Entre-deux-Mers pour y dénicher les richesses patrimoniales, d'esteys sauvages en traversée des vignes. Le magazine évoque enfin la Vallée du Ciron, le pays des grands lacs, CapBreton, Hossegor et Dax(https://www.leglobeflyer.com/reportage-2-1438-dax-une-affaire-de-patrimoine-landes-france.html). Le tout pour 5,95?, moins cher qu'un billet de train !
 
 
MURIEL SE MET A L'ARCHEOLOGIE
Des murs géants, formés de blocs pesant plusieurs dizaines de tonnes qui furent juchés à 3700m d’altitude, il y a de quoi se poser des questions. C’est précisément les interrogations des archéologues qui étudient le site de Sacsayhuaman (Pérou) depuis plusieurs décennies.
D’éminents chercheurs universitaires d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud ont découvert que les rochers concernés seraient constitués de géopolymères. Les bâtisseurs n’auraient pas déplacé de rochers mais uniquement transporté les « ingrédients » pour les fabriquer sur place.
On sait aujourd’hui, au travers de deux études scientifiques (https://www.geopolymer.org/fr/news/geopolymere-dans-les-monuments-damerique-du-sud-premiere-publication-scientifique/) que la plateforme au sommet de la pyramide à 4 degrés de Pumapunku (Bolivie) est faite de dalles de type béton de grès géopolymère coulé sur place. On apprend aussi que les Egyptiens de l’ancienne Egypte connaissaient déjà cette pierre de synthèse. Notre civilisation n’a donc rien inventé !
Une des fins possibles de l’univers est le "Big freeze", à savoir une expansion continue couplée à un lent refroidissement au cours desquels toute matière finirait par se désintégrer. Mais d’autres scénarios sont également envisageables, comme celui d’un grand effondrement, le "Big crunch". Ou celui d’un univers qui se dilate si rapidement qu’il finit par se déchirer sous l’effet de forces de plus en plus violentes : le "Big rip".
Or, si de nombreux scénarios se déroulent sur des périodes incroyablement longues, une fin soudaine n’est pas à exclure. Elle pourrait même survenir demain ! Ce qui est sûr, c’est que la vie – telle que nous la connaissons – devra surmonter de grands obstacles pour perdurer. Des catastrophes terrestres à l’extinction des étoiles en passant par l’évaporation des derniers trous noirs ou la mort du soleil, les fléaux à venir sont légion. Combien de temps l’humanité pourrait-elle encore subsister si de tels événements se produisaient ? Quelle fin semble la plus probable pour l’univers ? Spéculer sur la fin de toute chose peut-il également nous ouvrir de nouvelles perspectives sur notre propre finitude ? Et si finalement tout se passait autrement ?
 
 
LA SEMAINE DE SOUKO
Dimanche 9 juillet 2023 : Et un mulot, un ! A croire que sortant de « table », mon maitre ne m’a pas nourri de la journée
Lundi 10 juillet 2023 : Si je pouvais troquer ma fourrure contre une « peau imberbe », je le ferais
Mardi 11 juillet 2023 : J’adore lorsque mon maitre me brosse pour récupérer le poil perdu lors de ma nouvelle mue
Jeudi 13 juillet 2023 : Mon maitre a le plus grand mal à m’éduquer. Lui qui croyait avoir acquis un chien déjà dressé a été escroqué par une publicité mensongère d’un éleveur de Chaumes-en-Retz (44)
Vendredi 14 juillet 2023 : Encore une balle de tennis dénichée ce matin dans l’herbe d’un talus
Samedi 15 juillet 2023 : Cet après-midi, j’ai rencontré une joggeuse et mon irrésistible attirance pour le sexe opposé a fait tilt
 
 
VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR...
Le trafic mondial de 2 millions d’enfants, leur mise en esclavage et leur utilisation pour le trafic d’organes enfin immortalisés par un film « Sound of Freedom », qui vient de sortir aux Etats-Unis et provoque l’effroi chez les spectateurs. André Bercoff reçoit Karl Zéro, lanceur d’alerte, pour en parler : https://youtu.be/-AM--wAYpGI
« Il faut abolir le trafic d’enfants » avec Idriss Aberkane et Karl Zéro
Arthur Hayes, ancien PDG de Bitmex et actuel gestionnaire du bureau familial Maelstrom, affirme que le BTC serait la monnaie parfaite pour l’intelligence artificielle (IA).
Il soutient que les caractéristiques numériques, anti-censure et décentralisées de Bitcoin correspondent aux futures économies de l’IA. Selon Hayes, l’adoption de l’IA pourrait propulser la reine des cryptomonnaies à des niveaux de valeur vertigineux, avec une prédiction de 760 000 dollars par unité d’ici 2025/2026.
Arthur Hayes souligne que la nature décentralisée du Bitcoin et le contrôle qu’il offre aux utilisateurs sur leurs actifs en font une monnaie adaptée aux systèmes d’IA. La valeur du BTC, liée au coût de l’électricité nécessaire à son exploitation minière, fournit une réserve de valeur prévisible pour les systèmes d’IA. De plus, Hayes assure que l’invention de Satoshi Nakamoto est « l’instrument monétaire le plus proche de la représentation de l’énergie pure. »
Par ailleurs, l’un des principaux avantages du BTC, selon Hayes, est sa rareté prouvée et sa résistance à la censure. Contrairement à l’or et aux monnaies fiduciaires dont l’offre peut fluctuer, Bitcoin est limité – il n’y aura seulement que 21 millions de BTC – ce qui en fait une base financière prévisible pour les technologies basées sur l’IA.
Cette caractéristique confère au token un avantage concurrentiel par rapport aux autres formes de monnaie à une époque où l’économie s’essouffle, les dettes des États se multiplient et la planche à billet s’apprête à fonctionner encore plus.
 
 
NOUS PRENDRAIT-ON POUR DES CONS ?
La nouvelle loi de programmation militaire 2024-2030 et son article 23 (source : FranceSoir)
CSI (Conseil Scientifique Indépendant) N° 112 du jeudi 13 juillet 2023 : rediffusion du N°107 de l’émission. Reprise des directs le 24 août prochain (https://crowdbunker.com/v/CZR6fJaz)
Des scientifiques français refusent la censure et un monde orwellien (source : FranceSoir)
Si vous faites partie de ces touristes un peu perdus dans cette France profonde qui recèle tant de trésors cachés, faites comme moi et parcourez les journaux de la presse locale. Vous y dénicherez à coup sûr des découvertes insoupçonnées :
- Le Paris-Normandie nous vante la « crème de Calais », un petit gâteau devenu l’un des emblèmes de la cité des Six-Bourgeois. Le pâtissier calaisien Bernard Scotté réalise chaque jour ces Calais (c’est le nom de cette gourmandise) habituellement de forme ovale, que l’artisan s’est mis en tête de confectionner en rectangle. Si vous passez par là, hasardez-vous à gouter cette douceur après avoir visité cette cité possédant, dit-on, la plus belle mairie de France, qui maria en son temps le général de Gaulle et Yvonne Vendroux.
Calais est aussi réputée pour sa dentelle et les six bourgeois de Rodin, mais pas seulement. Désormais, vous rencontrez le Dragon, une bête de 72 tonnes, 25 mètres de large et 10 mètres de haut, qui déambule sur le front de mer complètement repensé. N’oublions pas non plus la chaleur d’accueil dont font preuve les Calaisiens envers leurs hôtes.
- Nord Eclair suggère la visite de la Maison du collectionneur (3, rue Alexandre Ribot) à Tourcoing (59). Une maison unique en son genre, qui date de 1911 et qui a la particularité de posséder des éléments architecturaux provenant de demeures plus anciennes. Non loin de là, on apprend que le street Art (ou art urbain) égaye les façades de Roubaix. La ville s’est ainsi tournée vers des artistes internationaux pour mettre à contribution leurs talents artistiques. Deux circuits de visite (1,5km et 3 km) sont proposés aux touristes par l’Office de Tourisme.
- Objectif Gard, lui, nous emmène à Grau-du-Roi (30) pour nous faire découvrir ses deux phares : celui de l’Espiguette et l’ancien phare près du chenal en centre-ville. Ce dernier, qui ressemble à un totem planté entre mer et chalutiers, est devenu l’emblème de la ville. Au pied de l’édifice se trouve la maison du phare, laquelle abrite un espace découverte incluant une scénographie animée, ludique et interactive.
 
 
DU COTE DE CHEZ NOUS
Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix: La protection des mineurs est sa priorité. Non, sans rire. (https://odysee.com/@campagnoltvl:2/pedi:6)
 
 
EXPOSITIONS
« Renoir à Guernesey », jusqu'au 10 septembre 2023, à Giverny (27)
En septembre 1883, Pierre-Auguste Renoir séjourne à Guernesey pendant un peu plus d’un mois. Durant cette période, il exécute une quinzaine de peintures, depuis son lieu de villégiature, Moulin-Huet. Fondamentale dans sa production de paysages, la série de vues de Guernesey atteste aussi de ses recherches constantes sur la figure humaine et leur intégration dans leur environnement naturel. Fasciné par les eaux cristallines et la topographie escarpée de l’île, mais aussi par les mœurs des habitants qui se baignent sans entraves dans les rochers, Renoir va développer un style propre où la liberté anglaise est source pour lui d’amusement et d’inspiration.
L’exposition rassemble un ensemble d’œuvres de Renoir liées à ce séjour, ainsi que des gravures, photographies et documents permettant de recréer l’atmosphère particulière de l’île à cette époque.
En parallèle de l’exposition-dossier Renoir à Guernesey, 1883, l’accrochage de l’été 2023 fait la part belle à la mer : les marines d’Eugène Boudin, Paul Signac, Jean Francis Auburtin viennent décliner les couleurs de l’eau et du ciel en réponse aux compositions de Renoir. L’exposition estivale est comme toujours l’occasion de découvrir les derniers enrichissements de la collection, qui ne cesse de grandir grâce aux dons, dépôts et acquisitions : La Poissonnerie de Trouville d’Eugène Boudin (1875, don de Christophe Karvelis Senn), le Buste d’Edgar Degas de Paul Paulin (1907, dépôt du Petit Palais – Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris), et le Thé au jardin de l’impressionniste américaine Mary C. Wheeler (1910, don de la famille Wheeler) sont ainsi dévoilés au public.
Au Musée des Impressionnistes, 99, rue Claude Monet, à Giverny (27)
«Bernard Dejonghe, Fusions » jusqu'au 1er octobre 2023, à Gétigné (44)
Ce sculpteur nous fait découvrir ses œuvres en céramique et en verre, mais aussi ses sources d’inspiration, les gestes qu’il répète et les techniques sophistiquées mises en œuvre dans son atelier.
La brillance et les couleurs de la céramique, la transparence du verre, ainsi que les lignes épurées ou accidentées font écho à la blancheur de la Villa.
Au Domaine de la Garenne Lemot, Avenue Xavier Rineau à Gétigné (44)
« Bloom », jusqu'au 17 septembre 2023, à Saint-Gervais (74)
En résidence de recherche et de création à la Maison forte de Hautetour au printemps 2023, Charlotte Gautier van Tour s'est interrogée sur l'histoire aquatique du massif des Alpes, de son origine sous les eaux à son actuelle fonte, pour en déduire un futur hypothétique. S'intéressant au phénomène des microalgues qui prolifèrent en haute altitude et colorent la neige en rouge, Charlotte Gautier van Tour a ainsi poursuivi à Saint-Gervais, avec son projet « Bloom », ses recherches et ses questionnements autour des écosystèmes, des phénomènes et des mémoires liés à l'eau afin d'interroger l'avenir des Alpes.
L'exposition « Bloom » présentée à la Maison forte de Hautetour jusqu'au 17 septembre 2023 restitue ses recherches et pose un nouveau regard sur la vie aquatique en haute-montagne.
A la Maison forte de Hautetour, à Saint-Gervais (74)
« Noblesse oblige, être vu et reconnu » jusqu'au 5 novembre 2023, à Bignan (56)
Symboles de pouvoir et d’affirmation sociale, les armoiries de familles nobles sont très présentes dans les manoirs et les châteaux mais également sur les objets d’art et du quotidien. Découvrez ces usages à travers l’exposition d’objets des 18ème et 19ème siècles, issus essentiellement de collections privées morbihannaises et dévoilées pour la première fois.
À travers cette exposition, découvrez un épisode (imaginé) de la vie des propriétaires du Domaine de Kerguéhennec, consacré aux armoiries nobles et autres blasons familiaux.
Au Domaine de Kerguéhennec, à Bignan (56)
« En perspective », jusqu'au 10 septembre 2023, à Croix (59)
Jusqu'au 10 septembre 2023, Philippe De Gobert investit la villa Cavrois et se réapproprie l’oeuvre totale qu’incarne le monument en révélant à partir de photographies et maquettes, toute la radicalité de l’école de Weimar ou du mouvement de Stijl.
Philippe De Gobert a créé des maquettes de plusieurs pièces du monument (chambre du jeune homme, fumoir), qui sont une étape, avec celle du dessin et de l’aquarelle, dans le processus de l’oeuvre finale qui sera exposée dans la salle de jeux : les photographies. Ce cheminement associé à des maquettes, des planches documentaires, le travail de la polychromie et des photographies donne à l’oeuvre de Philippe De Gobert une vision très personnelle de l’architecture.
Les visiteurs sont invités à arpenter les différentes pièces de la villa Cavrois pour découvrir ces maquettes et photographies, dont certaines ont été créées spécifiquement pour le monument.
A la Villa Cavrois, 60 Avenue du Président Kennedy, à Croix (59)
« Au fil de l'oeuvre d'Emeric Feher. L'eau et l'humanité », à Saint-Rémy-de-Provence (13 )
D’origine hongroise, Emeric Feher intègre en 1933 le studio de René Zuber et lance sa carrière de photographe « humaniste ».
En choisissant cette thématique de l’eau, l’Hôtel de Sade s’associe à la 2e édition de la biennale G-Graines (Générations, Rue, Art, Interventions, Nature, Environnement et Saint-Rémy-de-Provence) organisée par la ville de Saint-Rémy-de-Provence.
A l’Hôtel de Sade, 1 rue du Parage, à Saint-Rémy-de-Provence (13)
« Michael Kenna, D'après nature, parcs et jardins » jusqu'au 24 septembre 2023, à Haroué (54)
Jusqu'au 24 septembre, Michael Kenna, grand maître du paysage en noir et blanc, propose au château de Haroué une exposition qui donne à voir des compositions paysagères remarquables qui « font tableau ». Quelques figures d’arbres d’une grande expressivité complètent la sélection de ces tirages somptueux que le photographe a lui-même réalisés avec soin et exigence.
L'exposition se déploie dans trois salles du premier étage du château : le salon Louis XVIII, le salon Hébert ainsi que le salon Givenchy qui a été spécialement aménagé pour l’événement.
Au Château de Haroué, Place du Château, à Haroué (54)
«Fleurs de pierre. Regard botanique sur le patrimoine » jusqu'au 1er octobre 2023, à Châteaudun (28)
Présentée jusqu'au 1er octobre, l'exposition explore les liens qui unissent le monde végétal au monde minéral au travers de représentations historiques, scientifiques et contemporaines.
Rassemblant des prêts exceptionnels dans les ailes Dunois et Longueville, l’exposition fait dialoguer des herbiers précieux, des collections botaniques vivantes, des photographies anciennes et des réalisations de plasticiens contemporains (dont Eva Jospin, Bernard Moninot, Lionel Sabatté, Patrick Blanc et Raphaëlle Peria) avec les tapisseries et les sculptures du château.
Au Château de Châteaudun, Place Jehan de Dunois, à Châteaudun (28)
« Esprits des steppes. Art des nomades de Mongolie » jusqu'au 17 septembre 2024, à Nissan-lez-Ensérune (34)
L’exposition "Esprits des steppes. Art des nomades de Mongolie", en partenariat avec le Musée d’Anthropologie préhistorique de la Principauté de Monaco, présente le fruit de 16 années de recherches archéologiques et anthropologiques menées en Haute-Asie. L'exposition propose une plongée dans le cœur des cultures nomades de Mongolie. Au travers d'une installation intimiste et moderne, le public découvrira l’exceptionnelsite de Tastsyn Ereg, à 500 kilomètres à l’ouest d’Oulan-Bator, la capitale de la Mongolie. Cinq reproductions de ces fameuses "pierres à cerfs" façonnées par les premières tribus nomades, à l’âge du bronze final entre 1 300 et 700 avant J.-C. sont notamment présentées au sein de l’exposition.
A l’Oppidum et au Musée archéologique d’Ensérune, à Nissan-lez-Ensérune (34)
 
 
TOURISME
«So Châteaux ! » ou la mise à l'honneur du patrimoine médiéval de l'Indre (36)
Le concept de So Châteaux repose sur des vidéos captivantes où les propriétaires des châteaux présentent eux-mêmes leur demeure avec passion et enthousiasme. Les sujets abordés couvrent divers aspects tels que l'architecture, le mobilier, l'histoire, les personnages emblématiques, les jardins et les projets de restauration. De plus, chaque vidéo est traduite en anglais afin de toucher une audience internationale de passionnés de châteaux (diffusion dans 59 pays différents !) grâce aux deux chaînes YouTube de So Châteaux (française et anglaise).Soucieux de valoriser ce riche héritage historique, Berry Province s'est associé à So Châteaux pour offrir à un large public une plongée immersive au cœur de ces magnifiques châteaux. So Châteaux, dirigé par Olivier Schweizer, ancien directeur de château et créateur de contenus reconnu, compte plus de 100 000 abonnés sur ses réseaux sociaux (Instagram, Facebook et YouTube) et plus de 20 000 passionnés de châteaux sont abonnés à sa newsletter.
Les deux monuments emblématiques, le Château du Bouchet (https://youtu.be/wRcsTiDVeFc) et le Château de Sarzay (à découvrir à partir du 3 août sur https://www.youtube.com/@SoChateaux) figurent sur le tracé du futur GR 100 “Les chemins de la guerre de 100 ans”, un sentier de randonnée actuellement en création s'étendant sur environ 400 km, dont 250 dans l’Indre, et retraçant le chemin de la Guerre de 100 ans, de Montluçon à Poitiers. Ce parcours offre une immersion complète dans les paysages variés de l'ouest du Bourbonnais, du sud Berry et du Poitou, parsemés de châteaux, de forteresses et de vestiges historiques. Il offre aux randonneurs une expérience unique à travers notre patrimoine médiéval.
Les incontournables de la Drôme (26)
Des bouquets de lavande tressée à perte de vue, des champs de blé piqués de joyeux coquelicots, le reflet argenté des oliviers qui joue avec la pierre blonde des villages haut perchés et un art de prendre la vie uniquement par ces bons côtés : ce département a en effet toute la Provence pour elle, la modestie et l'authenticité en plus :
- Montélimar, gourmandises et visites immanquables
on commencera par s'en repaître en flânant dans les ruelles du vieux bourg. L'ocre des façades renforce la patine de l'ancienne cité des Adhémar de Monteil dont l'anagramme est le nom de Montélimar. La promenade est plaisante, de-ci quelques échoppes gourmandes, de-là quelques boutiques d'artisans et au bout, là-bas, la Place aux herbes qui conte fleurette aux paniers en osier, jour de marché. En lieu et place, les samedis matin, il est animé par les producteurs de picodons de Dieulefit, d'olives de Nyons, de truffes du Tricastin et une ribambelle de maraîchers pour la plupart bio, la Drôme étant le premier département français de l'agriculture biologique. A ne pas manquer d'ailleurs la joyeuse Foire bio qui anime Montfroc, au début du mois d'octobre. On file ensuite au Jardin des senteurs installé dans le nouveau quartier Saint-Martin qui a du même coup transformé sa caserne en centre d'art. Une escapade olfactive qu'on poursuit au parc municipal, très agréable dans ce fouillis ordonné typique des jardins anglais. Autour d'un lac, six hectares de verdure servent d'écrin au vieux Carrousel des années 1900 et au petit kiosque à musique. Le lieu parfait pour déguster la madeleine locale. Les Montiliens préparent le nougat depuis le XIXème siècle, les fabriques ouvrent désormais leurs portes au public dévoilant aux gourmands les secrets de cette douceur qui possède sa propre appellation. Avant de quitter cette quiétude citadine, on salue le château des Adhémar, ancien palais résidentiel transformé en citadelle bastionnée puis en demeure d'agrément, et en prison avant d'être ce Centre d'art contemporain.
- Sur la route desvillages drômois
A peine a-t-on pris la route Dieulefit que le ciel s'ouvre pour enluminer les champs de lavande, les feuilles argentées des oliviers, le rouge oranger des coquelicots et la pierre dorée des villages sans âge. Très vite se dresse Le Poët qui servit jadis de commanderie à l'ordre des Hospitaliers. On jurerait être propulsés à l'époque médiévale. Les vestiges du château et de la chapelle Saint-Jean-des-Commandeurs, les remparts, les ruelles exiguës, le lavoir et une vue qui caresse la vallée du Jabron : autant d'arguments qui l'ont promu parmi les Plus Beaux Villages de France. Dans le chapitre des belles pierres, la Drôme se targue également du village de Grignan, rendu célèbre par Madame de Sévigné enterrée sous le marbre de la collégiale. Orné de 400 rosiers qui s'échappent d'entre les pierres, le bourg moyenâgeux s'emberlificote en calades préservées par une ceinture de remparts qui retient les souvenirs des fêtes nocturnes, du vieux beffroi et du lavoir néoclassique.
- La Drôme, plein d’activités à faire
Ainsi découvrons-nous une ferme aux crocodiles à Pierrelatte, qui reçoit chaque année plus de 300 000 visiteurs venus admirer crocodiles et alligators albinos.On peut aussi observer les rapaces de la Maison des vautoursde Rémuzat ; visiter le site géologique classé de la Charce ; escalader les gorges d'Ubrieux ; arpenter à cheval le pays de Dieulefit ou travailler son swing au golf 18-trous de la Valdaine.
- Vins, truffes, miel ou ail du terroir
On goûtera les petites olives noires de Nyons qui donnent ce goût si fruité aux huiles d'olive AOP. Labellisé Site remarquable du goût, le Nyonsais produit la Tanche qu'on trouvera dans la coopérative de la ville Vignolis, en pâtes, confitures, tapenades et huiles médaillées. De l'or jaune on passe à l'or noir des truffes du Tricastin qui est la première région trufficole de France ; d'ailleurs, rendez-vous donc à la Maison de la Truffe à Saint-Paul-Trois-Châteaux pour aiguiser votre truffe ! Entre autres trésors, on se réjouit aussi du picodon qu'on ira chercher directement à la ferme de Pracoutel, du miel produit par les apiculteurs de Roussas, des sirops et liqueurs du domaine d'Eyguebelle et de l'ail drômois absolument irrésistible lorsqu'il est confit à l'huile d'olive de Nyons. Enfin, le département produit des côtes-du-rhône, des côtes-du-rhône village, le Vin sobre et l'AOC grignan-les-adhémar appelée jadis côteaux-du-tricastin.
Les roseraies du Centre des Monuments nationaux ont trouvé refuge dans deux monuments, la maison de George Sand et l'abbaye de Beaulieu-en-Rouergue
- A Nohant-Vic (36), la roseraie reste fidèle au lieu d’implantation du jardin de roses réalisé par George Sand. Le projet a souhaité proposer au public une version de la roseraie respectant les enjeux écologiques actuels. Près de 130 espèces et variétés cultivées à l’époque de George Sand ont été sélectionnées et au total, 200 rosiers ont été plantés. Les différentes essences créent une déclinaison chromatique de pourpre, de rose, de jaune et de blanc. La rose préférée de George Sand, la Rosa pimpinellifolia (rosier à feuilles de Pimprenelle) est également présente.
Maison de George Sand, 2 Place Sainte Anne, à Nohant-Vic (32)
- A l'abbaye de Beaulieu-en Rouergue (82), le jardin de roses rend hommage à Geneviève Bonnefoi (donatrice du monument et de sa collection) et André Eve (obtenteur de roses et jardinier). La roseraie reprend les grands principes du jardinier à qui il rend hommage. Elle invite à déambuler, au gré de ses allées enherbées, entre les seize massifs aux formes sinueuses composés généreusement de plantes vivaces et bulbeuses, d’arbustes et d’une multitude de rosiers, dont le rosier Abbaye de Beaulieu créé en 2018 par Jérôme Rateau en hommage à Geneviève Bonnefoi.
Abbaye de Beaulieu-en-Rouergue, 1086, Route de l’abbaye, à Ginals (82)
 
 
LIVRES
Parution du N°310 de la revue VMF
Pour son numero 310, en vente depuis le 4 juillet le magazine VMF (Patrimoine, Architecture, Jardins) vous presente un dossier special de 66 pages, consacre aux Pyrenees-Orientales.
Entre mer et montagnes, aux portes de l’Espagne, les Pyrenees-Orientales possedent une variete de paysages et de populations fascinante pourtant reunie dans un territoire culturellement et historiquement uniforme. Dans ce numero, nous vous emmenons a la decouverte des nombreuses realisations hors norme de l’architecte danois Viggo Theodor Dorph-Petersen, installe en Roussillon a la Belle Epoque. Nous nous arreterons dans le salon a gypseries de la maison
de la famille Amat, un des derniers vestiges du siecle des Lumieres a Perpignan, avant de visiter le patrimoine Art deco de cette meme ville. Nous contemplerons les decors du chateau des Rosiers a Thuir, la tres rare tribune en marbre rose du XIIème siecle du prieure de Serrabone, les surprenantes peintures murales de Saint-Martin-de-Fenollar et,plus largement, la richesse meconnue des retables baroques du Roussillon. Nous parcourrons les « vignobles du vertige » de Banyuls et Collioure, avant de baguenauder dans l’etonnant jardin de la villa Wintrebert. Enfin, nous vous proposons de decouvrir les forges catalanes traitant le minerai de fer du Canigou, en pleine expansion a partir du haut Moyen Age, qui ont permis le developpement precoce d’un artisanat d’une rare qualite.
Prix : 11€.
 
 
INFOS PRATIQUES
BAM, le guide du Liban
L'application BAM Leb est un guide interactif et indispensable pour les locaux et les touristes qui veulent explorer tout ce que le Liban a à offrir. Ce guide met en valeur la richesse du patrimoine touristique et culturel du Liban en répertoriant une liste exhaustive des sites touristiques liés à cinq catégories principales : Cafés et restos, Hébergement, Patrimoine et culture, Activités, Shopping. https://www.bamleb.com/app
Retraits et rappels de produit : comment procéder à un signalement
Lorsqu'un produit de consommation, alimentaire ou non, présente des risques pour la santé ou la sécurité des personnes, il peut faire l'objet d'un retrait (le retrait peut intervenir tant que le produit est disponible dans les magasins mais n'est pas encore vendu : les professionnels le retire alors des rayons ou des entrepôts) ou d'un rappel (le rappel intervient pour les produits qui sont déjà sur le marché : les particuliers doivent alors rapporter aux magasins les produits défectueux ou les détruire. Des campagnes d'information (presse, radio, etc.) relaient ces mesures de rappel.
Vous rencontrez une difficulté avec une entreprise ? Vous ne savez pas si cela doit donner lieu à un signalement dans le cadre du rappel de produit ?
Vous pouvez alors utiliser la plateforme SignalConso (https://signal.conso.gouv.fr) pour signaler en quelques clics des anomalies rencontrées avec un professionnel et être aiguillé dans les démarches à suivre s’il s’agit de droits et de démarches des consommateurs.
Compagnies aériennes : que faire en cas de refus d'embarquer alors que vous disposez d'un billet réservé ?
Le surbooking, ou surréservation, est une pratique autorisée qui consiste pour une compagnie aérienne à vendre plus de billets que de places disponibles.
En cas de surréservation, les compagnies aériennes doivent rechercher des volontaires qui acceptent de renoncer à leur réservation en échange de certaines prestations, suivant des modalités à convenir entre les passagers concernés et le transporteur aérien effectif. Vous pouvez accepter, ou non, les conditions proposées par la compagnie.
Zone à trafic limité en Italie, péage urbain à Londres, péage sans barrière au Portugal... Il n’est pas toujours facile de respecter les règles de conduite à l’étranger lorsqu’on ne les connaît pas. Mais impossible d’échapper aux amendes en cas d’infractions routières commises en Europe ! Conformément à deux directives européennes, les pays de l’UE s’échangent des informations sur les conducteurs. À l’approche des vacances d’été, le Centre Européen des Consommateurs (CEC) France vous met en garde contre des infractions routières fréquentes et vous donne ses conseils pour éviter une amende salée au retour d’un voyage en Europe :
Attention aux « Zona traffico limitato » (ZTL) en Italie Les ZTL sont des zones à circulation restreinte, situées dans les villes italiennes qui possèdent un centre historique. Seuls les riverains et les véhicules enregistrés sont autorisés à y circuler.
Chaque entrée dans une ZTL est délimitée par un panneau et est contrôlée par vidéosurveillance. Attention, la signalisation n’est pas toujours facilement repérable car installée en hauteur. Et les véhicules autorisés, comme les horaires réservés à la circulation, sont uniquement expliqués en italien.
Résultat : des centaines de conducteurs français sont verbalisés chaque année.
Pour rentrer dans Londres, il faut s’acquitter d’un péage urbain (congestion charge) qui coûte 15 £/jour. Vous pouvez payer ce péage en ligne avant votre arrivée. Des contrôles à l’entrée de la zone sont opérés par des caméras de surveillance.
Pour limiter la circulation des véhicules les plus polluants, de nombreux pays d’Europe ont mis en place des zones à faible émission (ZFE) à l’approche de certaines de leurs villes.
C’est le cas par exemple en Belgique avec trois ZFE (Bruxelles, Anvers et Gand) et en Angleterre, avec deux ZFE dans l’agglomération londonienne (Ultra Low Emission Zone (ULEZ) et Low Emission Zone (LEZ)) en plus du péage urbain de Londres.
Impossible de circuler dans ces zones sans s’être enregistré en amont. Si votre véhicule ne répond pas aux critères, vous devrez soit payer un forfait, soit trouver un autre moyen de transport. Et comme des vérifications sont réalisées par des caméras de vidéosurveillance, les amendes en cas d’infractions peuvent vous coûter cher : de 150 € dans une ZFE en Belgique à 2000£ (soit 2340€) pour l’ULEZ en Angleterre. https://www.europe-consommateurs.eu/tourisme-transports/vehicule/eco-zones-en-europe.html
Les péages sans barrière en Italie ou au Portugal
Sur certaines autoroutes en Italie et au Portugal, il n'y a pas de barrière. Vous pouvez donc traverser le péage sans avoir payé. Mais ne le faites surtout pas ! Les caméras installées au péage photographient votre plaque d’immatriculation. Vous recevrez alors à votre domicile, une amende, généralement majorée, pour non-paiement de l’autoroute.
Histoire des Arts : Histoire de la musique de film
La plateforme pédagogique Upopi propose une fresque chronologique de la fin du XIXe siècle aux années 2000 autour des compositeurs et de grands jalons de l'histoire du cinéma.
2ème édition des Musicales de l'abbaye du Thoronet, du 18 juillet au 30 septembre 2023, au Thoronet (83)
Monument du silence et de la contemplation, l’abbaye du Thoronet a néanmoins tissé une longue connivence avec la musique. Durant trente ans, les Rencontres internationales de musique ancienne du Thoronet ont convié dans ce haut lieu du patrimoine du sud de la France les meilleurs ensembles vocaux et instrumentaux dans le domaine de la musique ancienne, qui en sont ressortis fascinés par l’acoustique si particulière de l’abbatiale. La disparition de ces Rencontres, a incité le Centre des monuments nationaux à poursuivre ce qui était devenu une tradition, pour créer Les Musicales.
Crée en 2022, Les Musicales de l'abbaye du Thoronet sont une série de concerts de musiques dites classiques, volontairement ouverte sur un vaste répertoire, du grégorien au contemporain, et mettant en valeur plusieurs espaces de l’abbaye : l’abbatiale bien sûr, mais aussi le cloître et les extérieurs. Pour cette nouvelle édition, 8 concerts sont proposés.
Miel en fête le 23 juillet 2023 à Roquebrune-sur-Argens (83)
Le Syndicat des miels de Provence et des Alpes du Sud donne rendez-vous au grand public le dimanche 23 juillet, rue des portiques dans le vieux village de Roquebrune-Sur-Argens pour celebrer le miel. En plus de son marche de producteurs, cette fete propose des animations gratuites avec des jeux et des ateliers pour petits et grands.
De la garrigue au maquis, les miels de Provence se caracterisent par leur grande diversite. Certains sont courants (lavande, toutes fleurs...), d’autres plus confidentiels (sarriette, arbousier, thym...). Issus de la flore spontanee de Provence ou de butinages sur des cultures specifiques de la Region, les miels presentent une incroyable diversite d’aspects, de senteurs et de saveurs, a decouvrir sans moderation. Parmi les stands du marche de producteurs, 20 apiculteurs seront presents.
La fete du miel, celebre l’apiculture mais aussi l’agriculture locale. Ainsi, les producteurs locaux proposent a la vente de la biere au miel, du fromage de brebis, de l'huile d’olive, du vin, du savon, des cosmetiques et des bee wraps.
Au programme (16h – 23h) :
- Ouverture de ruches en public
- Jeux pour les enfants autour de la relation entre l’abeille et son environnement
- Atelier de decoration de bougies en cire d’abeille
- Seances de degustation de miel
- Chasse aux tresors en famille pour decouvrir la vieille ville et ses commerc?ants
- Spectacles de marionnettes Abracadabeille pour petits et grands
- Diffusion en continu de clips videos sur l’apiculture (a la maison du patrimoine)
8ème édition du Festival de Glanum, du 20 au 22 juillet 2023, à Saint-Rémy-de-Provence (13)
Cette année, le festival est placé sous le signe de la jeunesse, de l’innovation, de la diversité et de la sensibilité aux questionnements actuels.
Des concerts exceptionnels sont programmés avec notamment la soprano sud-africaine Pretty Yende, le violonniste Julien Chauvin ou encore un trio avec le pianiste Thomas Enhco, la chanteuse Cyrille Aimée et les quarante musiciens de l'orchestre symphonique Appassionato, dirigé par Mathieu Herzog.
Au site archéologique de Glanum, Route des Baux-de-Provence à Saint-Rémy-de-Provence (13)
Festival « Grandes Marées », du 22 au 30 juillet 2023, à Jullouville (50)
Durant sept jours, Jullouville vit au rythme de la musique pour accueillir 21000 festivaliers friands des vedettes programmées cette année, dont Juliette Armanet, Bernard Lavilliers, Louis Bertignac et Benjamin Biolay. 350 bénévoles animent ce festival dont les détails figurent sur https://festivalgrandesmarees.com/Default.aspx
Spectacle du Cadre Noir, les 21, 22 & 23 juillet 2023, au Mont-Saint-Michel (50)
Depuis 2011, l’équitation de tradition française, enseignée par les écuyers du Cadre noir de Saumur, est inscrite par l’UNESCO, au patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Le Mont Saint-Michel et sa baie, patrimoine normand par excellence, sont classés deux fois au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1979, en raison de leur valeur exceptionnelle pour l’humanité. Cette double inscription traduit le caractère singulier du Mont Saint-Michel et de sa baie.
En plein coeur des polders, l’hippodrome Pontorson / Mont Saint-Michel se situe sur la commune de Pontorson et vous accueille dans un environnement agréable toute l’année. Le parking gratuit (fermé en dehors des manifestations) peut contenir 2 500 véhicules.
Plus que quelques semaines pour le spectacle immersif «Pink Floyd, The dark side of the Moon », jusqu'au 27 août 2023, à Paris (75)
Dès la sortie du célèbre album des Pink Floyd, tout le monde a plébiscité la sortie de ce disque, lequel reste toujours l’un des albums les plus vendus de tous les temps.
La Cité des Sciences a donc décidé de rendre hommage à ce chef-d’oeuvre musical à l’occasion de son 50ème anniversaire. Une projection planétarium immersive sur le rythme des chansons des Pink Floyd permet au public de se plonger dans l’ambiance. On passe ainsi d’une atmosphère rétro à un environnement futuriste, le tout en 42 minutes sans s’apercevoir le moins du monde du temps qui passe...
A la Cité des Sciences et de l’Industrie, 30, Avenue Corentin Cariou, à Paris (19ème)
Festival de Cornouaille KEMPER, du 19 au 23 juillet 2023, à Quimper (29)
Plus qu’une grande, c’est une colossale dame qui va faire son entrée à Quimper à l’occasion du Festival de Cornouaille qui se tient du 19 au 23 juillet 2023. Sa taille : 3m50. Son poids : 15 tonnes. Sa chair : du granit. Son nom : Sainte Cécile, patronne des musiciens. Une statue façonnée à la Vallée des Saints de Carnoët par Lucille Leroy. De quoi marquer d’une pierre grise la 100ème édition du premier festival de la culture bretonne. Elle continuera ensuite son périple par la Chapelle Sainte-Cécile de Briec, avant de rentrer rejoindre ses 170 semblables à la Vallée des Saints.
Pourquoi Sainte Cécile ? En hommage aux musiciens bien sûr, qui font danser, bouger et animent ce premier festival de la culture bretonne depuis un siècle, mais aussi afin de rendre hommage à la figure féminine de la Reine de Cornouaille. Sans oublier qu’en Breton, Sainte Cécile correspond à Sainte Aziliz, qui n’est autre que le prénom de la musicienne talentueuse et marraine de l’événement : Aziliz Manrow. La statue sera représentée d’une manière traditionnelle avec un orgue dans les mains.
Incontournable vitrine de la culture bretonne, le Festival Cornouaille Quimper offre chaque été un spectacle incroyable dans les rues de la capitale finistérienne. Né en 1923, dans le cœur historique de Quimper, le Festival de Cornouaille fêtera ses 100 ans du 19 au 23 juillet 2023.Au programme :
- Des concerts et des Festoù-Noz avec celles et ceux qui ont porté haut les couleurs de la musique bretonne tels que : Dan ar Braz, Alan Stivell, Gilles Servat, Annie Ebrel, Rozenn Talec, Denez Prigent, Red Cardell…
- Kernekiz, le Festival dédié aux enfants (ateliers, défilé, flash mob)
- Dimanche en fête, la journée de clôture exceptionnellement gratuite et qui verra près de 40 groupes et 1 600 participants défiler dans le centre-ville historique de Quimper.
- L’élection de la Reine de Cornouaille : une élection particulière pour les cent ans puisque de nombreuses anciennes reines seront présentes pour accompagner « le grand frère des festivals » pour son siècle d’existence.
Fête de la Mer, les 22 & 23 juillet 2023, à Trouville-sur-Mer (14)
La Fête de la Mer, pendant deux jours, c’est un village d’exposants riche animé grâce à la participation des associations locales : SNSM, CNTH, Amis du musée, Petit Foc ... et des démonstrations de chiens de sauvetage de l’Aquadog, qui ravira petits et grands.
Au village d’exposants : safran, bijoux marins, décorations en bois flotté, concours de rillettes de maquereau le samedi matin.
De 10 h à 18 h – Parking de l’Hôtel de Ville. Entrée libre.
A 23h00, feu d’artifice sur la plage le samedi soir
Le dimanche : 8 h à 12 h : balade nature à la découverte de la plage et de la mer. Départ jetée Jean-Claude Brize. Réservation obligatoire à l’Office de Tourisme. Tél. : 02 31 14 60 70. Commémorations en mémoire des péris en mer, bénédiction en mer.
De 9 h 15 à 12 h : défilé d’un Pipe band, messe à l’église Notre Dame des Victoires, suivie du traditionnel dépôt de gerbe sur la stèle des péris en mer, située au début de la jetée J.C. Brize, puis défilé des enfants.
14 h 30 : départ des bateaux pour l’absoute en mer
 
 
ACTUALITES
Emission d'un bloc de timbres sur la Route Napoléon, le 17 juillet 2023
Le 17 juillet 2023, La Poste emet un bloc de 3 timbres sur la Route Napoleon qui traverse 4 departements et 2 regions, mettant en exergue les caracteristiques naturelles, geologiques, la faune et la flore des paysages de la Cote d'Azur, de la Haute-Provence et des Alpes.
Les trois timbres mettent en exergue le biotope particulier des trois zones geographiques :
- Cote d'Azur : admirez le pointu, ce bateau emblematique visible sur la cote mediterraneenne. Observez le vautour percnoptere (Neophron percnopterus), espece de vautour la plus menacee au monde. Goutez les olives noires, brunes protegees par une appellation d'origine controlee.
- Haute-Provence : Contemplez les falaises spectaculaires de Sisteron. Guettez le guepier d'Europe (Merops apiaster), avec sa robe bleu-vert et sa tete jaune. Humez la lavande odorante et protegee.
- Alpes : Gravissez les contreforts du massif des Ecrins, ou l'on rencontre le bouquetin des Alpes (Capra ibex) et ou pousse la gentiane jaune (Gentiana lutea), plante medicinale et digestive.
En fond de bloc en remontant la route : la rose Centifolia de Grasse qui a inspire nombre de createurs de parfum ; la chapelle Notre-Dame de Gratemoine, vestige d’un prieure benedictin du XIeme siecle en bordure de la route historique a Seranon dans les Alpes-Maritimes ; l'ammonite symbole de la reserve naturelle geologique de Haute-Provence. Laissant sur la gauche les Penitents des Mees, admirez le chateau de Tallard, tandis que s’envole le Zygene, ce papillon aux ailes noires tachetees de rouge, (sous ce nom on trouve plus d’une vingtaine de sous- especes).
A l’ouest de la route une incursion du massif du Devoluy vous conduira a pied jusqu’au plateau de Bure pour y decouvrir ce champ d’antennes de radiotelescopes, l’observatoire astronomique renomme en 2014 NOrthern Extended Millimeter Array (NOEMA) issu d’une collaboration franco-allemande. Vous entrerez ensuite en region Auvergne – Rhne-Alpes en arrivant dans la commune de Corps. Montez dans le petit train de la Mure, le temps d’un voyage dans l’histoire miniere des lieux. Partant du village de la Mure, il traverse plusieurs tunnels, emprunte des viaducs (ici le viaduc de Vaulx), son trajet se termine au Grand balcon surplombant le lac de Commieres. Le magnifique lac de barrage du Sautet et son environnement propice a un doux sejour est la limite de l’Isere et des Hautes-Alpes. On y rencontre le castor et de multiples oiseaux tel que le Blongios nain (Ixobrychus minutus), le plus petit heron d’Europe.
Enfin le parc des Ecrins dessine ses hauts sommets, royaume des randonneurs, tandis que l’on peut observer l’Isabelle (Graellsia isabellae), ce superbe papillon de jour, le plus grand d’Europe, une espece protegee encore une fois.
Cet été à Vars (05)
Situé dans les Alpes du Sud, Vars est un territoire authentique offrant toute la richesse que la montagne peut apporter : un art de vivre, une nature préservée, une architecture et un patrimoine qui ont passé les décennies. Baignés par la douceur méditerranéenne, les visiteurs peuvent découvrir la beauté de ses 4 hameaux d'altitude et de caractère : Saint-Marcellin, Sainte-Catherine, Sainte-Marie et Les Claux. Cet été, lors d'un séjour alliant modernité et tradition, les visiteurs pourront rencontrer les hommes et les femmes qui ont forgé ce territoire, à travers notamment plusieurs fêtes :
- Les Journées au Val d’Escreins, les 19 juillet et 2 août :
Un temps d’animations et de découverte pour toute la famille au cœur de la réserve communale
- Les fêtes du pain, les 20 juillet et 15 août :
Chaque été, le four banal de Vars Sainte Catherine reprend du service pour une fabrication du pain selon les rites ancestraux. Du pétrin à la vente des miches, c'est une tradition qui renaît de ses cendres et offre un moment de partage convivial au cœur du village. Le 20 juillet et le 15 août, vacanciers et locaux, petits et grands, pourront déguster ce pain aux saveurs uniques et rencontrer ceux et celles qui font vivre le village. Pendant que les parents visitent le village, les enfants pourront participer à des ateliers autour du pain et de sa conception.
- Vars en fête le 26 juillet :
Rencontre avec les bergers au fond d’un vallon avec menu terroir au programme
- Festival de musique, du 1er au 16 août :
Depuis maintenant 12 ans, au coeur du village de Vars Sainte-Marie, l'association Vars Passion propose un festival unique autour du piano, dans la magnifique salle Chastan à la sonorité excellente et aux dimensions humaines. Lors de ce festival, les connaisseurs, amateurs ou néophytes se sentiront proches des interprètes. Les pianistes présenteront des oeuvres d'exception avant chaque exécution.
Le 1er août, le concert d'ouverture aura lieu en extérieur, au coeur du poumon vert de Vars : Le Val d'Escreins. Nichés dans une nature préservée, les artistes et le public vivront un moment hors du temps, entre paysages exceptionnels et notes de musique.
- Cabane de berger le 2 août :
Immersion dans la vie pastorale du siècle dernier.
- Fête de Sainte-Marie le 15 août :
Le 15 août est le jour de fête du village qui célèbre sa Sainte Patronne : ateliers, visites de village, animations et spectacle de danse, vide-grenier, concours de pétanque... C'est LA fête populaire par excellence, dans la convivialité et les traditions avec la procession religieuse et le bal de fin de journée qui se clôture par un feu d'artifices.
Saint-Gervais Mont-Blanc (74) et ses passages piétons
Une nouvelle fois, Saint-Gervais Mont-Blanc crée l'événement en métamorphosant une vingtaine de passages piétons de son centre-ville en des réalisations artistiques originales. L'inauguration de cet Acte IV de la plateforme d'art urbain 2KM3 a eu lieu le mardi 11 juillet en présence de Zoer, l'artiste qui a imaginé ces créations inédites.
Dans le cadre de la reprise des enrobés et des passages piétons du centre de Saint-Gervais, le maire, Jean-Marc Peillex, a demandé à Zoer, de son vrai nom : Frédéric Battle, artiste et commissaire des précédents projets 2KM3 réalisés à Saint-Gervais en 2017 (co-commissaire avec Hugues Chevallier), 2018 et 2020, de faire une proposition pour la réalisation de fresques pour agrémenter les passages protégés de l'hypercentre.
“Après avoir transformé le parking souterrain en une véritable œuvre d'art, comme un musée accessible à tous, où les voitures continuent de se garer, après avoir créé des fresques monumentales sur le mur borgne d'un bâtiment administratif occupé par La Poste, mais aussi dans la piscine ou les gares des télécabines… même principe pour cet Acte IV où nous avons transformé les passages piétons en des créations uniques sur lesquelles des véhicules vont pouvoir circuler. L'idée : utiliser les équipements de la vie quotidienne comme support d'une œuvre d'art”, décrit Jean-Marc Peillex, le maire de Saint-Gervais.
Gîtes de France partie prenante dans l'installation de bornes de rechargement électrique en Provence-Alpes-Côte d'Azur
Avec déjà 30 bornes installées et 51 en cours d'installation dans les Bouches-du-Rhône et le Vaucluse, la Fédération Régionale Gîtes de France Sud Provence-Alpes-Côte-d’Azur défend un tourisme qui respecte et fait vivre l’identité des territoires, tout en favorisant la rencontre et le partage. Ce déploiement de bornes électriques entre en parfaite cohérence avec l’engagement de Gîtes de France en faveur d’un tourisme durable.
Ainsi, Gîtes de France accompagne les hébergeurs du réseau dans l'installation de bornes de rechargement. L'objectif est d'avoir 240 bornes installées en 2024 dans la région Sud.
Préparation du 80ème anniversaire du D-Day en 2024
Le 80e anniversaire marquera une étape mémorielle importante avec le passage du tourisme de mémoire à un tourisme d’histoire. Au-delà de la commémoration du Débarquement du 6 juin, il s’agira de mettre en lumière l’ensemble de la Bataille de Normandie, jusqu’à la libération de Paris et de l’Europe. Avec 94 sites et lieux de visites mémoriels, 44 musées, 21 mémoriaux et sites naturels et 29 cimetières, le tourisme de mémoire reste la première motivation de visite en Normandie.
Un site internet dédié en français et en anglais, https://80e-normandie.fr/, constituera la porte d’entrée digitale pour tout ce qui concerne le 80ème anniversaire avec notamment une carte interactive et un agenda des évènements labellisés.
Parcours de la flamme olympique en Normandie en 2024
Le 16 avril 2024, elle partira du Pirée, en Grèce, et arrivera en France, le 8 mai 2024 sur le Belem, qui vient de quitter les quais de l’Armada de Rouen, et accostera à Marseille.
De là, elle traversera la France avant de sillonner la Normandie fin mai et début juillet 2024. Cet événement national et international constitue une occasion unique de valoriser le patrimoine naturel, les savoir-faire et l’Histoire de la Normandie.
La flamme olympique atteindra Caen (14) le 30 mai 2024 (20ème ville étape), ville labellisée « Terre de Jeux 2024 » où une vasque olympique y sera allumée comme en 1992, lors de JO d’hier d’Albertville, puis les Plages du Débarquement : Omaha Beach (débarquement par la mer et arrivée au cimetière américain), Lisieux, Cabourg, Honfleur, Bayeux, Falaise.
Le 31 mai, elle passera au Mont-Saint-Michel (50), 21ème ville étape. Saint-Vaast-La-Hougue, Cherbourg-en-Cotentin, Saint-Mère-Eglise, Saint-Lô, Granville et Villedieu-les-Poêles-Rouffigny seront également traversées par le parcours.
Le 5 juillet 2024, la flamme visitera Le Havre (76), 48ème ville étape et berceau de l’impressionnisme. Rouen, Dieppe, Yvetot, Jumièges, Etretat seront également traversées par le parcours.
Le 6 juillet, elle traversera l’Eure (27) : Pont-Audemer, Bernay, Val-de-Reuil, Verneuil-d’Avre-et-d’Iton, Evreux et Gisors et Vernon (49ème ville étape).
Installation d'une borne de recharge pour vélos électriques à Bagnols-les-Bains (48)
Lozère Tourisme a fait l’acquisition d’une Borne de recharge pour Vélos électriques qui vient d’être installée à Bagnols-les-Bains devant le Centre Culturel et en face des commerces à l’entrée de Bagnols.
Cette installation de borne a été pensée pour les usagers de la GTMC – la Grande Traversée du Massif Central – mais aussi pour les nombreux cyclistes de passage sur ce tronçon très apprécié et qui dessert notamment le Mont Lozère, Le Col du Goulet ou du Masseguin, Villefort…
Elle a la spécificité de pouvoir charger 2 vélos simultanément dotés d’une batterie Bosch (qui équipe une grande partie des vélos aujourd’hui), 2 téléphones portables avec son câble USB et comprend aussi un compresseur permettant de regonfler ses pneus.
La Véloroute V409 deviendra « La Régalante » en 2024
En 2018, la Région Bretagne a inscrit un nouvel itinéraire cyclable d’intérêt régional, la Régalante, au schéma régional et interdépartemental des véloroutes et voies vertes de Bretagne. L'itinéraire relie Nantes au Mont-Saint-Michelet passe par les principales communes des Marches de Bretagne, Fougères, Vitré, sur environ 275 km. Il traverse trois départements, la Manche, l’Ille et Vilaine et la Loire Atlantique.
Son nom et son logo font écho aux attraits de cette véloroute : ses éléments graphiques rappellent les châteaux forts de Vitré, Fougères et la forteresse médiévale de Châteaubriant, et son nom est un mélange subtil des termes galette et galante.
 
REPORTAGE DE LA SEMAINE
Exposition "Médecines d'Asie. L'art de l'équilibre" (Musée national des Arts asiatiques-Guimet, Pari... Pas de relâche pour le Musée Guimet qui, cet été, nous offre à nouveau une intéressante exposition : « Médecines d'Asie, L'art de l'équilibre » est le premier événement majeur consacré en France aux trois grandes traditions médicales asiatiques, indienne, chinoise et tibétaine. Le parcours scénographique emporte le visiteur vers un univers conjuguant pratiques médicales millénaires et ?uvres d'art de référence qui évoquent la méditation, le chamanisme, l'équilibre des énergies, la pharmacopée, le massage, l'acupuncture, l'astrologie et l'exorcisme.
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