Ne jamais remettre au lendemain ce qu'on doit faire le jour même
Si on m'avait dit un jour que je quitterais mon pays pour cause d'anarchie, je ne l'aurais pas cru. Les images désastreuses que la France offre ces derniers jours ne font que confirmer mes craintes : les trublions s'emparent du pouvoir avec la complicité des ennemis de notre nation, qui organisent en sous-main les actions de terrain fomentées par des corps étrangers à la démocratie qui ne feront bientôt qu'une bouchée de ce qui reste de l'ordre républicain gaulliste lequel fit en son temps référence dans le monde entier.
Plus de 70 ans après le général, que reste t-il de notre nation ? Des marionnettes manipulées depuis l'étranger qui mettent toutes leurs forces dans la destruction de ce qui fut hier le bien commun du peuple français encore trop naïf pour réaliser ce qui arrive, endormi qu'il est par les promesses politicardes jamais tenues et le rêve dérisoire de jours meilleurs.
Franchement, à qui peut-on encore faire confiance aujourd'hui ? A nos dirigeants politiques ? Dont certains mènent la France en faisant fi des règles les plus élémentaires de débat démocratique, qui vendent un jour nos fleurons industriels stratégiques à leurs amis d'outre-atlantique, ou privatisent à tout va et sans débat le bien public (je pense notamment au réseau autoroutier), contre monnaie sonnante et trébuchante pour assurer leurs vieux jours. L'Europe actuelle, voulue et construite par l'Oncle Sam joue bien sûr un rôle clef dans la destruction de notre nation condamnée à disparaître pour devenir au mieux demain un parc d'attractions Disneyland, au pire un Etat islamique.
Les traites, qui ont beau avancer (à peine) masqués, sont de plus en plus visibles et identifiés aux yeux d'un peuple qui en a marre des attaques terroristes quotidiennes (on compte actuellement entre 120 et 130 attaques au couteau d'innocents chaque jour sur notre territoire), des insultes et des atteintes criminelles sur agents de la force publique et de la collaboration systématique des médias s'apitoyant davantage sur la disparition accidentelle d'une racaille que sur l'enlèvement du petit Emile ou de la disparition de cette jeune fille assassinée à Marseille dans son appartement par une balle perdue tirée lors d'un règlement de compte à OK Corral.
La seule parole sensée prononcée de son piédestal par qui vous savez est à mes yeux « Nous sommes en guerre ». Mais combien de nos concitoyens en ont-ils pris conscience ? Or, en temps de guerre, on fait appel à l'armée pour rétablir l'ordre. Aux vierges effarouchées, nul besoin de « se voiler la face », et à l'heure où la Suède fait appel à l'armée pour rétablir l'ordre (https://www.lemonde.fr/international/article/2023/09/30/en-suede-l-armee-est-appelee-en-renfort-contre-les-gangs_6191734_3210.html) je répondrai que la démocratie est déjà morte dans notre pays, et aux autres qui nous rappellent que le pouvoir a été légalement élu, je dirai qu'il a surtout été en-dessous de tout, et qu'en cas de force majeure et de menace réelle sur la sécurité, les intérêts vitaux et l'intégrité de notre nation, les règles habituelles de bienséance doivent s'effacer pour laisser place à une reprise en main musclée, puis à l'arrestation, au jugement et à la condamnation des traites à la nation, phase d'épuration ultime sans laquelle la reconstruction de notre France millénaire ne pourra se faire.
 
LE CLIN D'OEIL DU MOMENT
Qui n'a pas déjà fait ou rêvé de faire le chemin de Saint Jacques de Compostelle également connu sous le nom de voie du Puy-en-Velay, Via Podensis ou GR65 ? Examinons-en les détails :
Dans le Lot, au-delà d'un périple en quête de soi ou de déconnexion, le chemin offre bien plus car celui-ci devient la toile de fond des artistes, un support inattendu mais au combien inspirant. Des initiatives artistiques voient le jour le long du GR65 comme "Fenêtres sur le Paysage" ou "le Chemin-livre".
Qu'elles aient pour but d'offrir des abris insolites aux marcheurs ou bien de leur raconter une histoire, sans aucun doute ces oeuvres interpellent et plongent le spectateur dans un moment de contemplation et d'émerveillement.
Le chemin devient ainsi une toile vivante où l'art et la beauté se mêlent harmonieusement, enrichissant ainsi l'expérience des voyageurs.
Le parcours par le G6 jusqu'au GR85, passe par des sites historiques comme Cadillac, Locapelle-Marival et Gramat. L'arrivée à Rocamadour par la vallée de l'Alzou est un moment inoubliable avec la découverte de la chapelle Notre-Dame et la Vierge Noire.
De là, deux itinéraires sont possibles :
- le GR 652 de Saint-Projet à Pomarède, en passant par Gourdon puis l'Agenais jusqu'à La Romieu dans le Gers.
- Le GR46 qui conduit au coeur du superbe Parc Naturel Régional des causses du Quercy, avant de rejoindre le GR65 à Cahors.
Deux variantes du chemin de Saint-Jacques de Compostelle, moins connues mais bien moins fréquentées que les autres axes, et qui donnent à voir plusieurs oeuvres artistiques dont des oeuvres d'art-refuge (dont trois d'entre elles se trouvent dans le Lot) qui invitent les pèlerins à une pause contemplative : « La Citerne », située à Felzins, oeuvre de Fred Sancère dont l'intérieur accueille deux personnes (sur réservation) pour passer une nuit en pleine nature. Autre oeuvre, « Super-Cayrou », à Gréalou, une construction en pierre sèche pouvant accueillir quatre personnes maximum. Enfin, le « Pecten Maximus »située à Limogne en Quercy. Cette oeuvre intégralement recouverte de coquilles et dont la charpente évoque une coque de bateau retournée, peut aussi abriter jusqu'à quatre pèlerins.
Les marcheurs découvriront également le chemin-livre, un livre d'art en plein air racontant 14 histoires dessinées sur les pierres de murets, le tout sur 20 km entre Gréalou et Cajarc, puis Bach et Laburgade.
 
 
MURIEL S'INTERESSE A LA GUERRE METEOROLOGIQUE
L'important débat sur le réchauffement de la planète, qui se déroule sous les auspices des Nations Unies, ne porte que sur un aspect du changement climatique. Outre les résultats catastrophiques des émissions de gaz à effet de serre sur la couche d'ozone, le climat mondial peut maintenant être modifié en raison d'une nouvelle génération d' « armes non létales » perfectionnées. Américains et Russes se sont donné ainsi les moyens de manipuler le climat de la planète.
Aux États-Unis, la technologie s'affine en vertu du programme de recherche HAARP (High-frequency Active Aural Research Program) qui s'inscrit dans l'Initiative de défense stratégique (IDS) dite « guerre des étoiles ». De récentes données scientifiques laissent croire que le programme est bel et bien opérationnel et qu'il serait en mesure de déclencher inondations, sécheresses, ouragans et tremblements de terre. Du point de vue militaire, le programme HAARP est une arme de destruction massive. Il peut constituer un instrument de conquête capable de déstabiliser de manière sélective l'agriculture et l'écologie de régions entières.
Rosalie Bertell, scientifique de renommée internationale, confirme que « les scientifiques militaires américains… s'intéressent aux systèmes météorologiques à titre d'arme potentielle. Il s'agit, entre autres méthodes, d'amplifier les orages et de canaliser les vapeurs d'eau dans l'atmosphère terrestre en vue de produire des sécheresses et des inondations ciblées ». Dans son livre « Between Two Ages » paru dans les années 1970, l'ancien conseiller à la Sécurité nationale, Zbigniew Brzezinski, prévoyait déjà que « La technologie va doter les dirigeants des principaux pays de techniques capables de mener en secret une guerre dont seules des forces de sécurité réduites au minimum seraient au courant… On pourrait utiliser des techniques comme la modification des conditions climatiques pour engendrer des périodes prolongées de sécheresse ou d'orage.»
Un ancien officier militaire français, Marc Filterman, énumère divers genres d'«armes non conventionnelles » à haute fréquence. Il parle de « guerre météorologique » et affirme que les États-Unis et l'Union soviétique « possédaient déjà, au début des années 1980, le savoir-faire voulu pour provoquer des changements climatiques soudains (ouragans, sécheresses) ». Ces technologies permettent de « déclencher des perturbations atmosphériques au moyen des ondes [radar] mégamétriques (Extremely Low Frequency) ».
 
 
UN PEU PLUS D'HUMOUR
« Dérapage »par les films à l’arrache : Pour certains il y aurait bien une solution pour éradiquer la pandémie, mais peut-on le dire sans déraper?
Dimanche 24 septembre 2023 : Dès le lever du soleil, je pars avec mon maître faire une balade inédite d’une heure
Lundi 25 septembre 2023 : Ce soir, balade du côté de villas richissimes de Vilamoura au coucher du soleil.
Mardi 26 septembre 2023 : J’alterne les périodes de farniente dans le bel appartement de mon maitre avec mes trois promenades quotidiennes
Mercredi 27 septembre 2023 : Heureusement que mon maitre est attentif. Il a remarqué que je boitais à la patte avant droite et il m’a retiré une « épine du pied »
Jeudi 28 septembre 2023 : J’ai un caractère de malinois bien trempé mais maitre aussi. Ce matin, séance de travail à la marche au pied. Ca ne rigole pas !
Vendredi 29 septembre 2023 : J’ai bien progressé aujourd’hui à la marche au pied
Samedi 30 septembre 2023 : Vous le savez, je n’ai pas mon pareil pour dénicher des balles. Cette fois, j’ai trouvé une balle de golf.
 
 
VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR...
Les contrats Pfizer enfin révélés (source : Réaction19.fr)
Un service Recover de récupération de clés privées bientôt disponible chez Ledger (source : Le Journal du Coin)
Il y a quelques mois, les équipes de Ledger se sont faites alpaguer par les plus « cypherpunks » membres de la communauté crypto. L’annonce du service Ledger Recover semblait en effet aller à l’encontre directe du principe de totale possession et souveraineté d’un individu sur ses cryptomonnaies, grâce à la clé privée de son wallet.
Le but de Ledger Recover est en effet d’aider les utilisateurs (qui le souhaitent) à récupérer cette fameuse clé privée en cas de perte ou d’oubli, en confiant une copie (fragmentée) de celle-ci à des acteurs tiers. En l’occurrence, la seed phrase est partagée en 3 parties dont chacune est confiée à la garde de Ledger, CoinCover et EscrowTech.
Le PDG de cette société française, Pascal Gauthier, explique en effet avoir été chahuté au sujet de cette fonctionnalité. Pour calmer la controverse, le lancement effectif de Ledger Recover a été repoussé pour répondre d’abord en priorité aux préoccupations de sécurité des utilisateurs. Certains voulaient par exemple avoir des garanties que les 3 parties de la clé privée ne pourraient pas être obtenues par un gouvernement. Probablement en référence, par exemple, au gel brutal des comptes bancaires des manifestants du Convoi de la Liberté (Freedom Convoy) au Canada, début 2022.
Mais si le crypto-enthousiaste, tendance cypherpunk et libertarien, aime avoir pleine possession de ses biens (auto-détention), la « Madame Michu » de classe moyenne, elle, serait rassurée de savoir qu’une ultime solution de sauvetage existe en cas de perte de la phrase de sauvegarde.
Le dirigeant de Ledger promet ainsi que Recover sera bel et bien mis à disposition des utilisateurs souhaitant cette sauvegarde « avant la fin de l’année ». Quant aux hackers, jamais en mal d’imagination quand il s’agit de dérober de précieuses cryptos, ils devront compter avec les hardware wallets comme les Ledger Nano S et X, qui, d’après nos infos,restent à l’heure actuelle les meilleures options pour se protéger des pirates et autres arnaqueurs.
 
 
LE PETIT MANUEL DU RESISTANT
CSI (Conseil Scientifique Indépendant) N°117 du jeudi 28 septembre 2023 : deux invités, le Dr Loredana Frasca et le Dr Roberto Lande, pour traiter de la sécurité des vaccins COVID (https://crowdbunker.com/v/qrY7sXNd)
Au Royaume-Uni, un taux record d’arrêts maladie depuis 15 ans (source : France Soir)
L’Europe liberticide que nous connaissons aujourd’hui conforte sa réputation peu enviable avec un nouveau projet contestable : en effet, L’obtention du permis de conduire en France comme dans les États membres de l’Union Européenne pourrait bientôt devenir plus restrictive.
La Commission des transports et du tourisme du Parlement européen discute actuellement d’un projet de révision de la directive 2006/126/CE relative au permis de conduire, adoptée en décembre 2006. Limitations de vitesse, réduction de la durée de validité pour les personnes âgées, instauration d’un permis "B+" pour les SUV ... Les amendements, portés par l’eurodéputée française Karima Delli du parti Les Verts, s’inscrivent dans le cadre de la "Vision Zéro" de l’Union Européenne, visant à réduire à 0 le nombre de morts sur les routes d’ici 2050. Encore un projet intelligent !
En effet, ce projet « Vision Zéro » est dès le départ discutable de part ses objectifs jusqu’aux boutistes : Comment (et pourquoi?) arriver à 0 mort. L’objectif de « tendre vers 0 mort ou vers le moins de morts possible » ne semblerait-il pas plus réaliste?
Il est d’abord suggéré la création d’un permis de conduire pour les voitures de plus de 1,8 tonne, c’est-à-dire "les fameux SUV", déjà ciblé par un malus CO2. "Ce permis B+ ne pourrait être obtenu qu’après 2 ans de période probatoire d’un permis B et seulement après 21 ans, parce que ces véhicules sont davantage sujets à collision que les voitures légères".
Il est aussi prévu le renforcement de la limitation de vitesse, selon le type du permis et du véhicule conduit. Les jeunes conducteurs sont les plus ciblés. Elle souhaite généraliser à toute l’Europe la limitation qui leur est déjà imposée en France, à savoir 100km/h au lieu de 110 sur les routes à 4 voies, et 110km/h au lieu de 130 sur l'autoroute. La membre des Verts entend également abaisser l’âge minimal pour obtenir certains types de permis et, au contraire, le relever pour d’autres types, y compris pendant la conduite accompagnée. Le maintien de la durée actuelle de 10 ans serait maintenue mais celle-ci serait baissée à 2 ans pour les nouveaux conducteurs, à 7 ans pour les personnes âgées de plus de 60 ans, à 5 ans pour les plus de 70 ans et à 2 ans pour les plus de 80 ans. De plus, le permis ne devrait être octroyé qu’à l’issue d’une "session de mise à jour" devant "valider la période probatoire" et les candidats, "quel que soit leur âge", devraient subir un examen médical obligatoire, y compris lors du renouvellement de leurs titres. Un projet qui sent la discrimination par l’âge à plein nez !
Outre la réduction de la durée de validité ou la limitation de vitesse, la Commission propose la délivrance d’un permis de conduire numérique. Les conducteurs recevraient leur document à travers un "portefeuille numérique" européen.
Et qui paiera les couts supplémentaires de cette réforme ? Nous bien sûr, les conducteurs « vache à lait » !
Décidément, cette Europe autrefois «des Lumières » s’enfonce inéluctablement dans la pénombre...
 
 
DU COTE DE CHEZ NOUS
Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix: Les élites du Monde d’après ne dinent pas à Versailles (https://odysee.com/@campagnoltvl:2/versailles2:d)
 
 
MUSEE DU MOIS
Le Musée Charles-Friry, à Remiremont (88)
Le musée Charles Friry est un des rares « Musées de France » conservant un atelier d’artiste qui est aussi une maison de collectionneur et d’artistes. Il est labellisé depuis novembre 2021 « Maison des illustres ». Il prend place dans deux maisons du chapitre des nobles dames de l’abbaye de Remiremont construites vers 1750 et où le collectionneur s’est installé en 1821.
Le lieu présente, dans des décors préservés, les collections du magistrat, avocat, conseiller municipal, maître de forge, érudit, peintre et graveur Charles Friry (1802-1881). Friry a rassemblé dans cette maison à partir de 1828 des peintures, sculptures, gravures, mobilier, objets d’art du Moyen Age au début du XIXème siècle. Le musée conserve des gravures de Rembrandt, Goya, Callot, le portrait de la fameuse Mauresse de Moret, fille métisse présumée de Louis XIV. Le musée expose aussi l’atelier du petit-fils de Friry, le peintre paysagiste, graveur, relieur, enlumineur, photographe, marqueteur, Pierre Waidmann (1860-1937) - né dans cette maison qui présente son travail entre 1880 et 1932.
Le musée donne à voir depuis 2020 la pharmacie, classée au titre des Monuments Historiques, de l’Hôpital Sainte-Béatrix de Remiremont avec la plus importante collection de pots en faïence de Lunéville aux armes de Stanislas, duc de Lorraine.
Au 12, rue du Général-Humbert, à Remiremont (88)
 
 
MON JARDIN EN OCTOBRE
L’hiver arrive à grands pas, et les températures chutent avec les premières gelées en fin de mois. La couleur des feuilles d’arbres vire à l’orange-rouge et les feuilles tombent… Il est encore temps de profiter de quelques balades en cas de beaux jours et surtout de préparer le jardin avant le gel :
La pelouse
Après avoir scarifié la pelouse le mois passé, il est temps de préparer tout doucement le gazon à la saison hivernale.
Apporter un engrais de préférence naturel pour renforcer la pelouse avant l’hiver et limiter la prolifération de mousse
Ramasser les feuilles tombées et en faire du compost
Tondre le gazon pour la dernière fois de l’année, sur la plus grande hauteur de coupe.
Au jardin
Retirer les fleurs fanées des rosiers
Vérifier l’état des rosiers et appliquer si besoin un fongicide
Arracher les mauvaises herbes des parterres et les allées, et les fleurs annuelles flétries
Couper les fleurs vivaces fanées
Planter les chrysanthèmes pour qu’ils fleurissent en novembre
Planter les fleurs bisannuelles (myosotis, pensée d’automne, primevère...)
Diviser les touffes des plantes vivaces pour les multiplier
Rentrer les plantes les plus frileuses (géraniums, lauriers roses, bougainvilliers...) qui craignent le gel
Protéger les plantes en pot restant à l’extérieur par un voile d’hivernage, arbres et arbustes avant le gel
Planter les bulbes de printemps (tulipes, narcisses,crocus, jacinthes, lys, alliums, muscaris, perce-neige) entre octobre et décembre
Récupérer délicatement les bulbes des plantes ne supportant pas le gel (dahlias, crocosmias...)
Tailler les conifères et planter les nouveaux arbres, arbustes et haies
Au potager
Récolter les derniers légumes d’été (tomates,courgettes, poivrons, aubergines, céleris, potirons...)
Aérer le sol des parties cultivées avec une grelinette
Etaler du fumier, du compost ou autre amendement organique
Semer des engrais verts sur les parcelles vierges durant tout l’hiver
En cas de culture hivernale du potager, prévoir des protections hivernales (tunnels, cloches) pour protéger les plants.
Au verger
Récolter les derniers pommes et poires, noix, noisettes et châtaignes
Récolter les dernières grappes de raisin
Nettoyer les petits fruitiers (fraisiers, framboisiers...)
Planter les petits fruits (groseilliers, framboisiers et noisetiers)
Au jardin d’intérieur
Rentrer les plantes sensibles au froid (orchidées, ficus, bégonias...)
Tailler les plantes d’intérieur et nettoyer le feuillage
Vérifier le dessous des feuilles pour éventuellement détecter les parasites et traiter si nécessaire
Diminuer la fréquence des arrosages.
 
 
FESTIVALS, FÊTES, EVENEMENTS & SALONS
Le Marché Biron fête les Puces le 5 octobre 2023, à Saint-Ouen (93)
À l’occasion de la traditionnelle Fête des Puces, jeudi 5 octobre 2023, Biron, le plus prestigieux marché des Puces de Paris Saint-Ouen, se métamorphosera en un jardin luxuriant peuplé de créatures féériques.
Au cœur du célèbre quartier des Puces, les 220 antiquaires et marchands d'art de Biron convient les amateurs d’art et de fête à une soirée surprenante, mettant à l’honneur la place de la Nature au sein des Arts décoratifs de la Renaissance à nos jours.
Tout au long de la soirée, les arts vivants se mêleront aux œuvres d’art, au mobilier et pièces de design. À la tombée de la nuit, la compagnie Il était une flamme présentera un spectacle onirique de lumières et de danses. Puis, les danseurs et danseuses de la Compagnie Centaurée, spécialisée dans le bodypainting, mueront en personnages fantastiques sous les coups de pinceaux avant une déambulation dans les allées du marché. La musique sera également au rendez-vous avec un DJ set animé par DJ Ignace.
Ces festivités se prolongeront le week-end du 7 et 8 octobre, jusqu'au lundi 10 octobre.
57ème Salon des Véhicules de loisirs, du 7 au 15 octobre 2023, à Villepinte (93)
Que l’on vienne en camping-cars, vans ou fourgons pour séjourner dans l’aire d’hébergement ou que l’on s’y rende en transports en commun, en accédant directement au Parc des Exposition de Villepinte via le RER B, la nouvelle implantation offre une plus grande accessibilité au Salon. Mais ce n’est pas le seul avantage ! Installé dans les halls 5A et 5B, le Salon bénéficie d’une surface plus importante permettant ainsi d’accueillir davantage d’exposants avec au total plus de 150 exposants attendus. Les grandes marques européennes seront présentes mais les visiteurs pourront également venir découvrir de nouvelles marques présentes en avant-première sur le salon.
Le Salon offrira aussi une expérience insolite pour découvrir les derniers modèles de véhicules ! Un centre d’essai proposera aux visiteurs de prendre le volant (au choix) d’un camping-car, d’un van ou d’un fourgon, à l’extérieur du parc des expositions dans des conditions réelles et normales de circulation.
Le temps du Salon, les propriétaires pourront proposer leur véhicule à la vente tout en convoitant l’achat d’un nouveau modèle par la large gamme de véhicules neufs exposée. Cet espace constitue un autre lieu d’échanges et de découvertes entre utilisateurs.
Au Parc des Expositions Paris-Nord Villepinte, ZAC Paris-Nord 2, à Villepinte (93)
Salon « Les Automnales », les 7 & 8 octobre 2023, à Maroilles (59)
En clôture des Automnales de Maroilles (F-59), les samedi 7 et dimanche 8 octobre une trentaine d'artisans d'art vous présenteront leurs créations pour la 4ème édition dans le cadre du Salon des Métiers d'Art.
Une occasion de venir découvrir ces savoir-faire locaux au Carré des Saveurs, à la Loge du Frère Portier et à la Salle Paroissiale.
16ème édition du festival Brin de Culture, du 1er octobre au 1er novembre 2023, en Provence- Alpes-Côte d'Azur
À l’heure de Brin de Culture, les agriculteurs du réseau Bienvenue à la Ferme offrent au public une extraordinaire programmation culturelle au cœur des fermes. Théâtre, cirque, musiques du monde et concerts, spectacles de marionnettes et jeux, expositions de peinture et de photographies, ateliers d’artisanat créatif et balades contées dans les champs et les vergers… Les initiatives rivalisent d’imagination et de créativité. Les saveurs des terroirs sont parties intégrantes de la fête, et les visiteurs participent aux repas et goûters gourmands à la ferme, à des ateliers de dégustations ou de créations culinaires animés par des chefs. Brin de Culture offre aussi l’opportunité aux familles et aux enfants de rencontrer les animaux de la ferme, de découvrir les métiers de l’agriculture et d’identifier des boutiques à la ferme près de chez eux.
Programme complet, fermes participantes et conditions d’inscription :
Journées des plantes à Chantilly, les 6, 7 & 8 octobre 2023, à Chantilly (60)
Dans le cadre magique du parc du Chateau de Chantilly, les Journees des Plantes de Chantilly se preparent pour le rendez-vous du mois d’octobre. Plus de 200 pepinieristes et exposants parmi les plus pointus d’Europe sont attendus, dont certains sont de nouveaux venus. Ces trois journees sont toujours, quelle que soit la saison, un moment de convivialite propice aux rencontres entre jardiniers, auteurs de livres, membres d’associations, paysagistes, botanistes... Le theme, « La magie des couleurs d’automne », invite a explorer plus en profondeur la richesse de cette saison, avec les fleurs tardives, les feuillages d’automne, les baies.
Cette edition d’automne accueillera un parrain prestigieux, Jean- Michel Othoniel. Cet alchimiste de la couleur tisse un univers aux contours multiples, qui poetise le monde et ou la lumiere joue avec les couleurs et les formes. On le connait surtout pour ses œuvres en verre de Murano, materiau devenu sa signature. Du 18 juillet jusqu’au 22 octobre 2023, Jean-Michel Othoniel presente une grande exposition au Brooklyn Botanic Garden.
Au château de Chantilly (60)
8ème édition des Journées de l'Artisanat à Belleville, les 7 & 8 octobre 2023, à Paris (75)
Tout au long du week-end, les Artisans de Belleville mettront en lumière les métiers de l’artisanat et leurs savoir-faire !
Au détour des ruelles et de cours pavées verdoyantes, les artisans vous accueillent dans leurs ateliers, pour des moments de rencontre et de partage autour des métiers, au cœur de la création bellevilloise.
Sur place, se trouveront 50 artisans dans 30 lieux différents : Bijoutiers, céramistes, couturiers, créateurs de mode, créateurs d’objets, dentellières, doreurs, ébénistes, encadreurs, graveurs, luthiers, métalliers, modistes, plissiers, relieurs, restaurateurs de peinture, restaurateurs de livres anciens, selliers-maroquiniers, sérigraphes, sculpteurs de lumière, tapissiers, tisserandes, vitraillistes.
Ateliers, démonstrations de savoir-faire, tables rondes et expositions seront au programme.
Deux points d’accueil sont prévus :
A la Maison de l’Air (en haut du parc de Belleville) au 27 rue Piat, à Paris (20ème)
Au GRETA de la Création, du Design et des Métiers d’Art, 21 rue de Sambre et Meuse à Paris (10ème)
Lyon Art Paper, du 4 au 8 octobre 2023, à Lyon (69)
Ce salon de dessin contemporain fait connaitre et valorise la création contemporaine autour du dessin et du papier. En avril, le jury a sélectionné 57 artistes qui pratique le dessin ou réalise des œuvres sur papier ou en volume. Le salon est ouvert aux artistes de toutes les régions de France et de tous les pays. Différentes techniques sont représentées autour d'œuvres exclusivement sur papier : dessin, gravure, pliage, collage, volume ou installation.
L'invitée d’honneur de cette année est l'artiste franco-suisse Christine CROZAT.
Au Fort de Vaise, 27 Boulevard Antoine de Saint-Exupéry, à Lyon (9ème)
Salon de la Photo, du 5 au 8 octobre 2023, à Paris (75)
Le Salon de la Photo offre aux photographes et vidéastes, amateurs et professionnels, des conditions adaptées et démultipliées pour découvrir les nouveautés, tester les produits, se former, s’inspirer et vivre ainsi une expérience autour de la pratique de leur passion/métier. Des ateliers, formations et masterclasses dédiés à la prise de vue sont organisées, afin de faire de cet événement « le plus grand studio photo éphémère ».
A la Grande Halle de la Villette, 211 Avenue Jean-Jaurès, à Paris (19ème)
« Fruits oubliés en fête » le 8 octobre 2023, à Rieux-Volvestre (31)
Gelée de coings, compote de nèfles, tarte aux pommes reine des reinettes, confiture de baies de sureau, smoothie d’arbouses… La municipalité de Rieux-Volvestre vous invite à retrouver le plaisir de cultiver et savourer les variétés d’autrefois le dimanche 8 octobre 2023 pour la 1ère édition de "Fruits oubliés en fête !". Cette grande fête du terroir est parrainée par Eric Fabre (Meilleur Ouvrier de France Primeurs) et Jean-Christophe Michelet (Double Champion du Monde des Confituriers 2019).
Au programme : Ateliers culture et cuisine, expos, rando-balade lecture, concours de recettes, marché de terroir, goûter d'antan…
Salon de la Céramique d'art contemporaine, du 5 au 8 octobre 2023, à Paris (75)
Le Salon de céramique contemporaine C14 PARIS se déroulera du 5 au 8 octobre 2023 dans l’Annexe de la mairie du 14ème arrondissement de Paris. Soutenu par la Ville de Paris, ce salon, exclusivement consacré à la céramique sculpturale contemporaine, expose les oeuvres de 31 artistes internationaux. Les travaux de trois élèves diplômées de l’ENSAD Limoges, l’école invitée, y sont également présentés.
A l’annexe de la mairie du 14ème arrondissement, 12, rue Pierre-Castagnou, à Paris (14ème)
 
 
PATRIMOINE
Emission d'un bloc de timbre à l'occasion des 140 ans du voyage inaugural de l'Orient-Express Paris-Constantinople
Annee anniversaire, 2023 marque les debuts de l’aventure des trains de luxe a travers le monde, incarnee par l’Orient-Express. 140 ans apres sa creation le 4 octobre 1883, le premier transcontinental europeen appartient a toutes les memoires. Aujourd’hui, il ne s’agit plus seulement d’un train, mais d’un veritable mythe qui fait partie de notre histoire et de notre patrimoine.
Fonde par l’ingenieur belge Georges Nagelmackers (1845-1905), issu d’une famille d’industriels et de banquiers originaires de Liege, l’Orient-Express est indissociable de la compagnie qui l’a exploite : la Compagnie internationale des wagons-lits. C’est elle qui contribue a la generalisation d’un nouveau materiel ferroviaire sur le continent europeen. Les voitures-lits revolutionnent le monde des transports a la fois du point de vue de la vitesse, mais aussi du confort et de la securite. De tous les trains crees, l’Orient-Express est sans aucun doute le plus connu, symbole du luxe et du raffinement de l’age d’or des voyages ferroviaires.
Reliant Paris a Constantinople en 81 heures, il represente un tour de force diplomatique et economique. Avec lui, Munich, Vienne, Budapest, Bucarest, Belgrade et Sofia sont directement reliees entre elles, et aux deux villes terminus prestigieuses. L’Orient-Express devient alors l’un des principaux axes de communication entre Orient et Occident, veritable trait d’union entre une diversite de territoires et de cultures.
140 ans apres le voyage inaugural de l'Orient-Express et dans le contexte de retour en lumiere des trains de nuit, sa renaissance est engagee pour proposer une experience ultime du luxe ferroviaire, continuant ainsi a? ecrire une nouvelle page de son histoire.
« Alberto Giacometti. Le nez», du 7 octobre 2023 au 7 janvier 2024, à Paris (75)
L’Institut Giacometti présente une exposition inédite qui réunit toutes les versions du Nez, oeuvre retravaillée pendant plusieurs années par l’artiste. L’une d’entre elles, trop fragile pour être déplacée, sera présentée grâce à un dispositif virtuel, introduisant une forme de médiation expérimentale.
Sont rassemblés autour de ces oeuvres exceptionnelles des sculptures, des dessins et des archives qui mettront en évidence les multiples facettes et interprétations d’une des oeuvres les plus énigmatiques d’Alberto Giacometti.
À travers les oeuvres magistrales de quatre artistes contemporains - Annette Messager, Rui Chafes, Hiroshi Sugimoto et Ange Leccia, l’Institut Giacometti éclaire d’un jour nouveau la création du sculpteur.
A l’Institut Giacometti, 5 rue Victor Schoelcher, à Paris (14ème)
« Van Gogh à Auvers-sur-Oise » du 3 octobre 2023 au 4 février 2024, à Paris (75)
Cette exposition est la première consacrée aux œuvres réalisées par Vincent van Gogh (1853-1890) durant les deux derniers mois de sa vie. Arrivé à Auvers-sur-Oise en mai 1890, Vincent van Gogh y décède le 29 juillet à la suite d’une tentative de suicide. Bien que le peintre n’ait passé qu’un peu plus de deux mois à Auvers, cette période voit un renouveau artistique, avec un style et un développement propres, marqués par la tension psychique née de la nouvelle situation mais aussi par la création de quelques-uns de ses plus grands chefs-d’œuvre.
Éprouvé par les différentes crises subies à Arles puis dans l’asile de Saint-Rémy, Van Gogh se rapproche de Paris, de son frère Théo et du Dr Gachet, spécialisé dans le traitement de la mélancolie, afin de trouver un nouvel élan créatif. Il va y explorer tous les aspects du nouveau monde qui s’offre à lui, tout en luttant contre des inquiétudes liées à sa santé et sa place dans le monde de l’art. Avec une quarantaine de tableaux et une vingtaine de dessins, l’exposition met en lumière cette période où le peintre a produit des œuvres iconiques comme Le Docteur Paul Gachet, L’église d’Auvers-sur-Oise, ou encore le Champ de blé aux corbeaux.
Au Musée d’Orsay, 1 rue de la Légion d’Honneur à Paris (7ème)
« Chagall à l'oeuvre », du 4 octobre 2023 au 26 février 2024, à Paris (75)
L'exposition réunit un ensemble d'œuvres entrées en collection en 2022 grâce à la générosité de Bella et Meret Meyer : 127 dessins, cinq céramiques et sept sculptures de Marc Chagall (1887-1985), autour de trois thématiques : les dessins préparatoires aux costumes et rideaux de scène du ballet « l’Oiseau de feu » d’Igor Stravinsky, les esquisses et maquettes pour la décoration du plafond de l’Opéra commandée à l’artiste en 1962, ainsi qu’un ensemble de céramiques, collages et sculptures réalisés des années 1950 à l’aube des années 1970.
Au Centre Georges-Pompidou, Place Georges Pompidou, à Paris (4ème)
Retour d'Asie, Henri Cernuschi, un collectionneur au temps du japonisme » du 6 octobre 2023 au 4 février 2024, à Paris (75)
L’année même où Jules Verne publie Le Tour du monde en 80 jours, Henri Cernuschi découvre l’Asie, véritable but d’un voyage autour de la terre qui est à l’origine d’une des plus importantes collections d’art asiatique de l’Europe de son temps.
Familier de Léon Gambetta, d’Emile Zola, aussi bien que de Sarah Bernhardt ou des frères Goncourt, Cernuschi est une figure marquante du Paris intellectuel et artistique de la fin du XIXème siècle. Économiste et financier connu pour ses théories sur la monnaie et son rôle de fondateur de la banque de Paris, homme d’action engagé tout au long de sa vie dans son combat en faveur de la république, Henri Cernuschi est aujourd’hui principalement connu à travers le prisme des arts asiatiques, grâce au musée qui porte son nom.
Pour célébrer le 150ème anniversaire du voyage de Cernuschi en Asie, qui correspond au 200ème anniversaire de sa naissance, le musée Cernuschi se propose de sortir de ses murs et de faire voyager quelques-uns des chefs-d’œuvre de la collection afin de retracer l’itinéraire de son fondateur, dont l’œuvre de pionnier est indissociable de la vision nouvelle des arts asiatiques qui émerge à l’époque japoniste.
Au Musée Cernuschi, 7 Avenue Vélazquez, à Paris (8ème)
« Les manuscrits des ducs de Bourbons (XIVème-XVIème siècle) », du 7 octobre 2023 au 7 janvier 2024, à Chantilly (60)
Moins célèbre que la bibliothèque du duc de Berry ou celle des rois de France, la librairie des ducs et duchesses de Bourbon est pourtant l’une des principales en France à la fin du Moyen Âge. En 1661, le duché de Bourbon est attribué au Grand Condé. Le prince récupère à Moulins une quarantaine de manuscrits qui en sont issus et qui forment l’un des noyaux de l’actuel Cabinet des livres de Chantilly.
Pour la première fois, ce prestigieux ensemble, où manuscrits italiens précieux voisinent avec de somptueux ouvrages aristocratiques, est offert à la contemplation des amateurs et des curieux. Les personnalités singulières des princes et princesses qui les ont commandés, collectionnés ou chéris, seront célébrées, à la lumière de recherches récentes et de prêts prestigieux.
Au Château de Chantilly et Musée Condé, à Chantilly (60)
« Un chevalier du ciel, Edouard Corniglion-Molinier » du 2 octobre 2023 au 4 février 2024, à Paris (75)
Le musée consacre une exposition à ce « Chevalier du ciel » à l’occasion du 60ème anniversaire de sa disparition. Le 18 juin 1940, depuis Londres, le général de Gaulle prononce son Appel à la Résistance. Parmi les pionniers de cette résistance, Édouard Corniglion-Molinier (1898-1963) se distingue par sa personnalité et son destin placé sous le signe de l’aviation. Retour sur ce personnage aux multiples facettes, tour à tour pilote de chasse, journaliste, combattant des deux guerres mondiales, aventurier, cinéaste, ministre et compagnon de la Libération.
Au Musée de l’Ordre de la Libération, Place Vauban, à Paris (7ème)
« Le cri de liberté, Chagall politique » du 7 octobre 2023 au 7 janvier 2024, à Roubaix (59)
L’exposition, spectaculaire, présente l’œuvre de l’artiste à la lumière des événements historiques dont il a été témoin et auxquels il a participé, et constitue ainsi la première lecture complète de ses travaux sous l’angle des prises de position et de l’engagement.
Le cri de liberté. Chagall politique bénéficie du soutien des Indivisions Ida Chagall et Michel Brodsky et de nombreux prêts prestigieux, français et étrangers, offrant par ailleurs l’occasion de découvrir un large éventail de documents inédits provenant des archives de l’artiste, sélectionnés dans le cadre des recherches menées pour les besoins de l’exposition.
A La Piscine, 23 rue de l’Espérance, à Roubaix (59)
«Van Gogh, les derniers voyages » du 7 octobre 2023 au 29 septembre 2024, à Auvers-sur-Oise (95)
À l’occasion des 170 ans de la naissance de Vincent Van Gogh, le Château d’Auvers, accueillera une exposition consacrée aux quatre dernières années de la vie du peintre. L'occasion de découvrir les explorations géographiques et artistiques de Van Gogh en France de 1886 à 1890, à Paris, Arles et Saint-Rémy-de-Provence avec un focus particulier sur son séjour à Auvers-sur-Oise, où il a créé plus de 75 tableaux en moins de 70 jours. Le parcours dévoilera les sources d’inspiration de l’artiste, à travers une scénographie mêlant numérique et œuvres originales au cœur de l’œuvre du génie.
Au Château d’Auvers-sur-Oise, 21 rue Léry, à Auvers-sur-Oise (95)
« Bijoux de scène de la Comédie-Française » du 6 octobre 2023 au 4 février 2024, à Paris (75)
Partenaire de la Comédie-Française, L’École des Arts Joailliers exposera les bijoux de scène portés par les comédiennes et comédiens les plus célèbres – Talma, Rachel, Sarah Bernhardt… - retraçant une histoire du bijou de scène depuis le XVIIIe siècle. Bijoux, tableaux, dessins, manuscrits, témoignent de la somptuosité de ces objets, qui, tout en étant souvent réalisés dans des matières non précieuses, mettent en œuvre les savoir-faire de la joaillerie.
A l’Ecole des Arts Joailliers-Mercy Argenteau, 16bis boulevard Montmartre, à Paris (9ème)
Derniers jours de l'exposition « Esclavage, mémoires normandes. Rouen, l'envers d'une prospérité » jusqu'au 10 novembre 2023, à Honfleur, Rouen et Le Havre (76)
L'exposition sur la mémoire de l'esclavage est le fruit d'une réflexion collégiale des villes de Honfleur, Le Havre, et la Métropole Rouen Normandie, mais aussi de différentes structures muséales, des archives municipales et départementales ou encore des labels « Villes et Pays d’art et d’histoire »…
Les normands ont, bien avant le 18ème siècle, des habitudes de voyages transatlantiques. Le commerce du bois de braise au Brésil ou encore les tentatives de colonisation en Nouvelle-France les ont conduits aux Amériques tandis que des premiers comptoirs normands sont ouverts en Afrique de l’ouest dès le 17ème siècle. Un certain nombre d'objets documentent ce mode de vie et en particulier l’environnement de la navigation normande : un très bel astrolabe, des cartes, ou encore des objets en ivoire, dont la matière même témoigne de liens précoces avec le continent africain. Dans l’exposition, un yoyo issu des collections du musée de la Ferronnerie Le Secq des Tournelles est particulièrement emblématique en ce qu’il illustre toute l’ambivalence de l’époque.
Si l’exposition de la Corderie Vallois met au jour certains éléments du passé, le plus intéressant est peut-être l’écho que cet effort d’élucidation trouve dans certaines de nos problématiques contemporaines. À l’heure où les vêtements sont fabriqués en Inde, notamment, avec le coût humain que l’on sait…
La production de fibre textile et de cotonnade et l'un des secteurs rouennais les plus concernés par le commerce triangulaire. Les fabriques de la vallée du Cailly ont notamment participé à la production des indiennes, sortes de toiles de coton peintes ou imprimées. Mais il ne s’agit pas seulement de documenter le passé pour lui-même, puisque l’exposition questionne notre ère post-industrielle à la lumière de celui-ci.
Aux musées du Havre, de Honfleur, et de Rouen (76)
« Dana Schutz, Le monde visible » du 6 octobre 2023 au 11 février 2024, à Paris (75)
L'exposition présente une quarantaine de peintures réalisées au cours des 20 dernières années, une vingtaine de dessins et de gravures, et six sculptures dont plusieurs n'ont jamais été montrées au public.
Virtuose de la couleur, l'œuvre de Dana Schutz est dotée d'une grande puissance narrative qui se révèle dans ses compositions. L’exposition explore des thématiques qui traversent son travail à travers un certain nombre de scènes de fiction : la construction de soi et de la société, la description de l’intangible ou encore la vanité de mythologies contemporaines. Il y a aussi des touches d’humour dans sa peinture, qui est par ailleurs très ancrée dans les traditions de l’histoire de l’art. Aujourd’hui, elle pratique également la sculpture, se confrontant au poids de la matière et à la composition des formes dans l’espace.
Au Musée d’Art moderne de Paris, 11 Avenue du Président Wilson, à Paris (16ème)
 
 
TOURISME
Que faire à La Rochelle (17) ?
Il est de toutes les cartes postales, les photos et les tableaux : le Vieux-Port de la Rochelle représente l’image iconique de la ville, mais il y a d’autres incontournables à visiter dans cette superbe cité côtière :
- La vieille ville
Passé la porte de la Grosse Horloge, on pénètre la vieille ville et ses rues en arcade qui servaient jadis à protéger les marchandises des intempéries. Cet entrelacs de venelles pavées gravite autour du majestueux Hôtel de Ville, aux allures de château fort, qui abrite des maisons à pans de bois couverts de plaques d'ardoise dont les plus anciennes datent du 15ème siècle. Les hôtels particuliers, les gargouilles de la Maison Nicolas Venette, les passages secrets et recoins sombres confèrent une ambiance toute particulière à cette enceinte particulièrement bien conservée.
- Le vieux port
Bâti au XIIIème siècle, le port a été fortifié dès le Moyen Âge comme en témoignent vaillamment ses tours gardiennes. Il joua un rôle important durant la Guerre de Cent ans puis lors de la découverte des Amériques et du commerce triangulaire. Aujourd’hui réservé à la plaisance, il est le lieu le plus animé de la cité grâce aux terrasses des cafés et restaurants, aux artistes peintres qui immortalisent ses panoramas et au ballet incessant de badauds.
- La cathédrale Saint-Louis
La construction de la Cathédrale Saint-Louis de La Rochelle a commencé au XVIIème siècle sur les plans de Jacques Gabriel mais le chantier se termina plus d’un siècle plus tard. C'est un édifice très dépouillé, limite austère, dont la façade est uniquement ornée par deux ordres de colonnes toscanes et doriques. Ne vous arrêtez pas à son aspect extérieur, l’intérieur vaut le détour pour ses peintures, ses tableaux et ses magnifiques vitraux. La coupole fut décorée au XIXème siècle de fresques de William Bouguereau. Depuis 1906, la cathédrale Saint-Louis est classée Monument historique.
- L’aquarium
Près de 800 000 visiteurs se rendent chaque année à l’Aquarium de la Rochelle, l’un des plus grands d’Europe. Il est animé par plus de 12 000 spécimens venus de l’Atlantique, de la Méditerranée et du Pacifique. On explore ainsi la biodiversité des fonds marins du monde via un parcours ludique et pédagogique, particulièrement adapté aux enfants. Dans ses 75 aquariums barbotent diverses espèces de requins, des méduses striées, des poissons-clowns, des hippocampes, des poulpes, des crabes Touloulou, des tortues…
- Le Parc Charruyer
Voilà un lieu de balade bien plaisant au cœur de la cité. Ce grand parc de 40 hectares est doté de pistes cyclables, d’un sentier de promenade de 2 km et il est traversé par un petit cours d'eau habité par des canards et des cygnes. On y trouve de nombreux aires de jeux pour les enfants et même un petit espace « zoo » qui abrite des dindons, des chèvres, des paons, des perruches et des tourterelles. Conçu entre 1887 et 1890 à l’emplacement des anciennes fortifications, le parc Charruyer fait aujourd’hui encore le bonheur des Rochelais.
- Les Halles
C’est un des lieux les plus populaires et les plus vivants de la ville : le marché couvert des Halles bat son plein les mercredis et samedis, jours de grand marché où les étals débordent sur les rues environnantes. Ce bel édifice datant du XIXème siècle chapeaute toutes les saveurs locales et notamment les délices de la mer : poissons ultra frais, fruits de mer, huîtres d'Oléron, moules de Charron… À savoir que l’office de tourisme propose des visites guidées à la rencontre des producteurs pour des dégustations autour du terroir.
- Les plages
La Rochelle dispose de 3 belles plages de part et d’autre de la ville. La plage Chef-de-Baie, que l’on rejoint en vélo, est la plus prisée notamment car elle est abritée des vents par une digue. La plage des Minimes est la plus grande et la plus touristique, elle ressemble à une véritable station balnéaire avec ses terrasses, ses boutiques et ses vendeurs ambulants. Enfin, la plage de la Concurrence est la plus agréable, à marée basse, pour la pêche à pied ; par contre elle ne se prête pas trop aux baignades à cause de la vase et des cailloux.
- Croisières vers les îles
L’occasion de découvrir la nature sauvage d’Oléron et son patrimoine maritime illustré par les forts et ports de pêche. L'ile de Ré se prête tout entière aux balades en vélo qui filent au travers de paysages de marais salants. Plus petite, plus intime, l’île d’Aix dont on fait le tour à pied est un petit paradis pour le tourisme vert, c’est également ici que l’on découvre tout sur le métier de nâcrier. Les croisiéristes proposent également de faire le tour de l’impressionnant Fort Boyard au large de l'ile d'Oléron qui n'est malheureusement pas accessible au public.
- Les festivals
Terre de festivals, La Rochelle est animée tout au long de l’année grâce à des manifestations de belle envergure. On a tous en tête les Francofolies, festival incontournable qui réunit chaque été plus de 150 000 amateurs de musique. La cité accueille également trois grands festivals dédiés au 7ème art : le Festival international du film de La Rochelle en juillet, le Festival de la fiction TV en septembre et le Festival international du film d’aventure, en novembre. Et, depuis 1973, c’est ici qu’est organisé l’un des plus grands salons nautiques internationaux à flot : le Grand Pavois.
- Les musées
Dans le domaine de la culture,La Rochelle n’est pas en reste puisqu’elle dispose de plusieurs musées passionnants. Le plus surprenant est certainement le Bunker qui retrace l’histoire de la ville durant la Seconde Guerre mondiale dans un véritable abri, siège des commandants allemands. Le Musée maritime présente le patrimoine maritime de la cité alors que le musée du Nouveau Monde raconte son rôle à cette époque avec d’émouvants témoignages sur l’esclavage. Vous pouvez également visiter le musée des Beaux-Arts et le musée d’Histoire naturelle.
- Le musée des automates et des modèles réduits
S'il y a bien un musée qui plaira particulièrement aux enfants c'est le musée des Automates et des Modèles réduits ! Vous y verrez de très belles maquettes maritimes et de magnifiques reconstitutions de décors notamment ceux de Montmartre : immersion garantie ! Le musée abrite en effet une collection unique d'automates qui témoignent de l'histoire et de l'artisanat de la région. Ces automates sont de véritables pièces d'art mécaniques et représentent un patrimoine culturel précieux. Les automates exposés au musée sont extrêmement détaillés et réalistes.
- Les tours
Si votre exploration de la cité rochelaise a commencé par le Vieux-Port, vous avez forcément remarqué les 3 tours emblématiques qui marquent l'entrée et la sortie du port :
- La tour de la Lanterne, un ancien phare qui avait également une fonction de prison.
- La tour de la Chaîne, la porte d'entrée du port qui servait de point d'attache à la chaîne qui fermait l'accès.
- La tour Saint-Nicolas, reliée à sa voisine par la chaîne pour protéger la ville des dangers et d'une éventuelle invasion maritime.
Ces tours, érigées au cours du Moyen Âge dans le but de défendre la ville, sont aujourd'hui classées en tant que monuments historiques.
Vous avez la possibilité de les visiter en achetant un billet unique. Ce sera l'occasion d'approfondir vos connaissances sur l'histoire de La Rochelle et, surtout, d'admirer un panorama magnifique de la ville en atteignant leur sommet.
- Les spécialités culinaires
Les crustacées sont bien sûr classés en bonne place parmi ces spécialités.
On déguste également goûter à la chair tendre des pommes de terre de l’île de Ré ou aux œufs extra-roux de Marans, une race de poule régionale. Et pour le dessert, nous vous recommandons de goûter au millas charentais.
Les 17 lieux immanquables à visiter à Dublin (Irlande)
Située sur la côte est de l'Irlande et capitale du pays, Dublin est une ville à taille humaine où il est agréable de flâner. Métropole authentique et absolument charmante, on y découvre un patrimoine architectural très intéressant et des quartiers qui regorgent de vie. Comment en effet passer à côté des célèbres pubs et de leur ambiance survoltée en soirée. Sans oublier bien sûr ses musées, qui en font une destination de choix pour les amoureux d'art et de culture. Dublin est une ville rêvée pour passer un week-end dépaysant, festif et culturel, et une étape incontournable pour tous ceux qui souhaitent découvrir l'Irlande et ses spécificités :
- Trinity College
C’est la plus ancienne université du pays. Fondée en 1592, on a l'occasion d'y admirer les bâtiments et la cour où prennent place de nombreuses statues. Mais s'il y a bien un lieu qui attire tous les curieux une fois entré à l'intérieur, c'est son incroyable bibliothèque, un endroit absolument hors du temps. En parcourant l'allée centrale longue de plus de 60 m, on découvre dans un décor boisé et sous un plafond voûté, des étagères où sont disposés des millions de livres qui s'étendent à perte de vue. Si l'entrée de la bibliothèque est payante, le lieu vaut le coup pour le sentiment d'être au beau milieu d'un film et également pour aller voir l'incontournable Livre de Kells, vieux de 1 200 ans.
- La Guinness Storehouse
Il est impossible de se rendre à Dublin sans aller visiter la brasserie qui fabrique le plus célèbre des breuvages irlandais : la Guinness. Dans un lieu disposant de sept niveaux, on en apprend plus sur l'histoire de cette bière brune au goût unique et réputée à travers le monde entier. Après avoir découvert les secrets de fabrication de la boisson, on se rend au Gravity Bar pour une séance de dégustation et également pour profiter d'un sublime panorama sur Dublin. Que l'on aime la bière ou non, la Guinness Storehouse est un immanquable et attire des milliers de visiteurs chaque année.
- La National Gallery of Ireland
La National Gallery of Ireland fut inaugurée en 1864. Le musée se trouve à Merrion Square et a dû être agrandi au cours de son histoire, la richesse de sa collection ne cessant de s'accroître. Dans les 54 salles que contient le lieu, on découvre plus de 800 œuvres qui recouvrent des périodes allant du Moyen Âge au XXème siècle et provenant des pays de l'Ouest de l'Europe. Elles sont classées par ordre historique, géographique et chronologique. Parmi les artistes dont on retrouve les œuvres au fil des étages, citons Monet, Caravaggio, Picasso, Moya ou bien encore Van Gogh.
- St Patrick’s Cathedral
C’est la plus grande église du pays et elle a été érigée au XIIème siècle en l'honneur du saint patron d'Irlande. Son histoire est tumultueuse puisque le lieu a vécu plusieurs incendies, abandons et profanations, mais elle a toujours été reconstruite et restaurée pour afficher son visage actuel. Après avoir pris le temps de faire le tour de son architecture extérieure, il faut prendre le temps de rentrer à l'intérieur pour aller voir ses plaques, ses bustes, ses vitraux et sa nef. Elle représente un formidable témoignage du Dublin médiéval et un lieu où il fait également bon se promener dans les allées adjacentes, qui bordent des pelouses verdoyantes.
- Le Temple Bar
Dublin abrite des quartiers qui regorgent de vie, ce qui en fait l'une des destinations préférées des voyageurs qui aiment sortir et faire la fête. Le quartier de Temple Bar est certainement le plus animé de Dublin ! C'est là que l'on prend le temps de déambuler dans des ruelles pavées et tortueuses qui dévoilent un charme bien particulier une fois la nuit tombée. Parmi les lieux à découvrir absolument, des galeries d'art, des centres d'exposition et des restaurants où il faut bon s'arrêter pour recharger les batteries.
- St Stephen ‘s Green
Plus grand parc de Dublin, ce poumon vert séduit autant les locaux que les visiteurs. Il permet de s'évader pendant un instant de l'animation du centre-ville et de s'installer paisiblement pour profiter d'un pique-nique. Le lieu est notamment très agréable dès le retour des beaux jours. Il se situe à proximité de Grafton Street et on y trouve à l'intérieur des bassins, des fontaines, des aires de jeux pour les enfants, des cascades, en clair, tout ce qu'il faut pour passer un moment au calme en famille ou entre amis dans un cadre verdoyant et bucolique.
- La prison de Kilmainham Goal
Ouverte en 1796, elle a accueilli entre ses murs des hauts personnages historiques et des leaders de la rébellion. Les conditions de détention y étaient particulièrement difficiles, avec des cellules non chauffées et sans fenêtres. Ce qui en fit l'une des prisons les plus terribles qu'ait connu l'Europe. Aujourd'hui, elle est fermée et n'accueille plus de prisonniers. C'est en revanche un musée ouvert au public, qui y découvre les conditions de vie difficiles des anciens détenus. Un moment émouvant et frissonnant. Un guide est disponible pour raconter les plus précieux secrets sur la prison.
- Le château de Dublin
Le Dublin Castle est un magnifique édifice du XIIIème siècle en plein centre-ville. Il ne faut pas manquer d'aller scruter dans les moindres détails la Record Tower, le vestige le plus ancien datant de 1258. En ce qui concerne le reste du monument, l'architecture a évolué au cours de l'histoire vers un style néoclassique. Une fois à l'intérieur, l'une des plus belles pièces est le Throne Room, l'endroit où les rois recevaient leurs hôtes depuis leur trône. L'architecture global de l'édifice est fantastique, de styles variés et le lieu accueille aujourd'hui encore de grandes personnalités ainsi que des cérémonies politiques.
- Christ Church Cathedral
Les amoureux d'architecture religieuse ne peuvent manquer d'aller admirer un autre superbe édifice du centre de la capitale irlandaise, la Christ Church Cathedral. Fondée vers 1028, il s'agit de l'un des sanctuaires les plus importants du pays. À l'intérieur se trouve une crypte du XIIème siècle qui n'est autre que la structure la plus ancienne de la ville. Elle abrite des habitants surprenants : un chat et un rat momifiés ! Une autre partie étonnante est le petit pont que l'on découvre depuis l'extérieur et qui relie la cathédrale et Synod Hall, qui abrite le musée Dublinia dédié aux Vikings et au Moyen Âge irlandais.
- Irish Museum of Modern Art
Le lieu, qui a ouvert en 1991 dans l’ancien Royal Hospital de Kilmainham, abrite principalement les créations d'artistes irlandais, dont la plupart sont toujours en vie. L'idée est ici de présenter des œuvres qui sortent des sentiers battus, avec entre autres des peintures, des sculptures et des installations surprenantes et innovantes. Le musée dispose d'une exposition permanente, mais organise aussi des expositions temporaires. À noter également la présence d'une boutique et d'un coffee shop pour terminer la visite par une pause gourmande.
- La Chester Beatty Library
Alfred Chester Beatty était profondément fasciné par les manuscrits anciens. Originaire de New York, il accumula une fortune grâce à ses investissements dans les mines, qu'il consacra ensuite à la préservation de sa remarquable collection rassemblée aujourd’hui dans la Chester beatty Library. Ses voyages fréquents le conduisirent à travers le nord de l'Afrique et l'ensemble de l'Orient, et au fil de ces périples, il rassembla méthodiquement une collection remarquable de textes calligraphiés, de parchemins, d'anciens exemplaires de livres religieux et d'objets d'art. Au-dessus de cet édifice unique, un petit jardin japonais offre un havre de paix où les visiteurs peuvent se ressourcer, avant de reprendre leur exploration à travers les ruelles pittoresques du quartier de Christchurch. Enfin, depuis cette terrasse, on peut observer le dessin de serpent imitant l'art gaélique qui parcourt la pelouse du jardin de la bibliothèque.
- Ecrivains célèbres
Les génies littéraires (et ils sont nombreux) nés à Dublin, ou qui y ont vécu, n'ont pas manqué de célébrer, parfois au vitriol, leur chère dirty old town, et Dublin le leur rend bien. Le MoLI est l'un des derniers-nés des musées de la capitale irlandaise. Le musée de la littérature irlandaise a ouvert ses portes en 2019 et a notamment remplacé le vénérable Dublin Writers Museum. Dans ce nouvel écrin, vous pourrez voir une exposition permanente sur James Joyce (avec notamment la première édition d'Ulysse) et les principaux écrivains irlandais. Et pour conclure la visite, on peut profiter également d'un charmant jardin un peu caché et d'un café. Mais ce musée est loin d'être l'unique cadeau offert par Dublin à ses jolies plumes. Les parcs abritent des statues (bustes ou en pied) à l'effigie de ces génies, et quelques maisons d'écrivains ont été transformées en musées rétrospectifs.
- Vivre un match à Croke Park
Le stade est légendaire, alors munissez-vous de vos vêtements bleu ciel et fondez-vous dans la foule du kop dublinois un jour de match ! N'ayez pas peur des règles (assez simples) du hurling ou du foot, il y aura toujours quelqu'un pour vous expliquer ce qui se passe. Qui soutenir à Croke Park? Si vous n'avez d'affection particulière pour tel ou tel comté, soutenez Dublin. Toujours dans une ambiance bon enfant, si une équipe d'Irlande du Nord est sur le terrain, choisissez l'autre et chantez en chœur « Go pay your taxes to the Queeeeeeen ! » (« Allez payer vos impôts à la reine ! »), chanson adorée des Dublinois pour se moquer du joug britannique sur l'Irlande du Nord.
- EPIC, le Musée de l’émigration
Niché dans le tout nouveau quartier des Docklands, à proximité du Mémorial de la Grande Famine, le musée EPIC, consacré à la diaspora irlandaise, est l'une de nos visites favorites dans la capitale. Il a ouvert en mai 2016 dans un ancien entrepôt de tabac, thé et spiritueux (connu sous le nom de Bâtiment CHQ) datant du XIXème siècle. Ce musée est l'un des rares au monde entièrement numérisé et l'expérience proposée au sein de ses 21 galeries souterraines est à la fois émouvante, divertissante et interactive. Cet environnement exceptionnel offre une immersion remarquablement réaliste dans la culture irlandaise, explorant des thématiques allant de l'histoire des pubs à celle de la musique, en passant par les événements marquants comme la Grande Famine, la danse, le sport, l'art, et surtout, les migrations souvent difficiles qui ont conduit la diaspora irlandaise vers des horizons lointains, particulièrement à Boston aux États-Unis.
- Dublin la nuit, de pubs en pubs
Il faut être honnête, quel que soit votre rapport à l'alcool, une tournée des pubs s'impose à Dublin. Le pub est une véritable institution, au cœur de la vie sociale des Dublinois. Toutes les raisons sont bonnes pour aller boire un verre. On y va boire une pinte après une journée de dur labeur, on y va regarder le match de foot gaélique, de hurling, de rugby, de football, la course de chevaux, de lévriers, on encourage son équipe ou on hurle à son canasson d'avancer plus vite, toujours la pinte à la main. On y engage une conversation avec son voisin sur tout et n'importe quoi, et puis on s'offre des verres entre nous. Le treating est une tradition importante dans les pubs irlandais : que l'on soit deux ou dix amis réunis ce soir-là, tout le monde est censé offrir sa tournée, à tour de rôle...
- Distillerie Old Jameson
Deux siècles après le décès de son fondateur, Jameson demeure le leader mondial des whiskeys irlandais. Bien que la distillerie soit désormais établie à Cork, les édifices historiques ont été rénovés pour offrir aux visiteurs l'opportunité d'explorer l'univers de Jameson et de mieux comprendre le processus de création de cette célèbre boisson. L'itinéraire de la visite de la distillerie Old Jameson inclut une présentation multimédia sur l'histoire et les origines de Jameson, suivi d'une visite des installations de distillation où le cheminement "du grain au verre" est dévoilé tout en sollicitant les sens des visiteurs. Toutes les étapes, de la fermentation à la (triple) distillation en passant par le vieillissement du whiskey, sont expliquées. Avant, évidemment, une petite dégustation bienvenue.
- Howth
Petite péninsule au nord-est du centre-ville, Howth peut être l'occasion d'une vraie coupure par rapport à la vibrante capitale irlandaise. On y trouve de splendides balades, mais aussi une belle plage, très longue avec une vue splendide sur la côte de Malahide. Howth comporte aussi plusieurs terrains de golf, propose des activités variées, comme un tour en bateau, avec ou sans pêche à la ligne, des balades en paddle ou en kayak et héberge aussi plusieurs tours Martello, un splendide château du XVème siècle à quelques encablures du port et les ruines d'une abbaye du XIIème siècle. Par ailleurs, les restaurants de Howth représentent un réel argument en faveur d'une petite escapade là-bas, pour déguster des fruits de mer ultra frais et une cuisine simple et savoureuse face à la mer.
 
 
MUSIQUE
Festival de musique Via Aeterna, du 5 au 15 octobre 2023, au Mont-Saint-Michel (50)
28ème Festival international Toulouse les Orgues, du 4 au 15 octobre 2023, à Toulouse (31)
Une intimité qui va se retrouver à travers les thématiques des concerts proposés : une histoire d'amour tragique dans La Voix Humaine de Poulenc, les sonorités soyeuses de Lilly Joel Plays The Organ, un concert en clair-obscur par l'Ensemble Léviathan, etc.
S'illustrant comme chaque année pour son éclectisme, le Festival propose des concerts pour ensembles (Dulci Jubilo aux côtés de l'organiste Thomas Ospital, l'Ensemble Organum dirigé par Marcel Pérès, l'Orchestre National du Capitole de Toulouse) mais aussi des solistes (Benjamin Alard, Gunnar Idenstam, etc.) et bien d'autres encore
37ème édition du festival Jazz sur son 31, du 4 au 15 octobre 2023, en Haute-Garonne (31)
Le jazz n’est pas réservé à une élite ou aux spécialistes, comme le démontre encore cette année la 37ème édition de Jazz sur son 31. Le Conseil départemental poursuit son engagement pour une offre culturelle variée et accessible à tous en programmant des événements gratuits ou à bas prix et en favorisant les rencontres entre le public et les artistes, nationaux et internationaux, un peu partout dans le département.
Comme chaque année, les artistes iront à la rencontre des publics, grâce à une série de concerts Bars-bars sur son 31 programmés en prélude du festival, des déambulations, des coups de cœur à découvrir à l’Espace Roguet, des concerts Club qui mettent en scène des artistes haut-garonnais dans les salles des fêtes du département, des concerts au Musée départemental de la Résistance et de la Déportation et au Théâtre du Grand Rond… Des spectacles s'adresseront plus particulièrement aux familles, un spectacle musical à l’Espace Roguet et un ciné-concert à l’Utopia-Borderouge.
La programmation est à consulter en ligne sur le site du Conseil Départemental de la Haute-Garonne.
 
 
SAVOIRS
Conférence publique : » Le trésor disparu de l'abbaye du Mont-Saint-Michel » le 5 octobre 2023, à Bayeux (14)
Conférencier et chargé d’action culturelle à l’abbaye du Mont Saint-Michel depuis plus de trente ans, François Saint-James est un des meilleurs connaisseurs de l’histoire du Mont-Saint-Michel et de ses édifices qu’il partage avec des publics variés. Il travaille depuis des années à la constitution d’un fonds documentaire sur l’histoire du rocher, et en particulier sur son iconographie à travers les siècles.
A la salle Saint-Patrice, à Bayeux (14)
Conférence publique : « 1023-2023, les 1000 ans de l'abbatiale du Mont-Saint-Michel » le 6 octobre 2023, à Caen (14)
Conférencier et chargé d’action culturelle à l’abbaye du Mont Saint-Michel depuis plus de trente ans, François Saint-James est un des meilleurs connaisseurs de l’histoire du Mont-Saint-Michel et de ses édifices qu’il partage avec des publics variés. Il travaille depuis des années à la constitution d’un fonds documentaire sur l’histoire du rocher, et en particulier sur son iconographie à travers les siècles.
Conférence gratuite sans réservation, à 18h00.
A l’Auditorium du Musée des Beaux-arts de Caen (14)
 
 
ACTUALITES
Octobre à la Cité des Sciences et de l'Industrie à Paris (75)
- Du 6 au 8 octobre 2023 : Fête de la Science.
Comme chaque année, une centaine d’animations festives et gratuites sont programmées tout au long du week-end. Au cours d’animations, de démonstrations et d’ateliers interactifs, des organismes de recherches, des associations, des entreprises, des étudiants et chercheurs en science partagent leurs connaissances. Au programme cette année également, un rendez-vous exceptionnel : le Forum international Météo et Climat, qui célèbre sa 20ème édition et est présidé par Jean Jouzel. Cette édition-anniversaire poussera les champs de la réflexion autour de la question : comment mettre en œuvre les transformations nécessaires pour limiter le réchauffement climatique lié aux activités humaines ?
- A partir du 17 octobre 2023 : exposition « Mission spatiale »
La Cité des sciences et de l’industrie présente Mission spatiale, sa nouvelle exposition permanente consacrée à l’exploration spatiale. Accessible dès 8 ans, cette exposition est une invitation au voyage dans le temps et dans l’espace. Elle propose à chacun d’entrer dans la peau d’un spationaute et de vivre un rêve éveillé le temps d’une visite. Son parcours, structuré en cinq parties – explorer, voyager, transiter, séjourner, questionner – propose un état des lieux des recherches, des technologies et des réflexions autour des missions spatiales.
Un cycle de conférences intitulé "Humains dans l'espace" accompagne cette nouvelle exposition permanente dès le 21 octobre.
Au 30, Avenue Corentin Cariou, à Paris (19ème)
 
REPORTAGE DE LA SEMAINE
Exposition "Retour d'Asie, Henri Cernuschi, un collectionneur au temps du japonisme" (Musée Cernusch... En cette rentrée, le Musée Cernuschi (musée des arts de l'Asie de la Ville de Paris) nous convie à suivre les pas d'Henri Cernuschi, depuis son voyage en Extrême-Orient jusqu'à son retour à Paris où il crée l'un des tout premiers musées d'art asiatique. Présentée à l'occasion du 150ème anniversaire du retour d'Asie de notre homme, cette exposition invite à découvrir (ou à revoir) l'itinéraire du voyageur et collectionneur dont la contribution a rendu possible en Europe cette révolution du goût connu sous le nom de japonisme.
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