En plein mois d'août, au coeur de la saison estivale, les médias français se sont bien gardés de vous parler des BRICS. Pas besoin d'insister sur l'ampleur de la dédollarisation en cours subie notamment par les Etats-Unis. Et encore moins de la volonté des membres des BRICS de créer un contrepouvoir réel à la toute puissance américaine qui émerge.
L'histoire est têtue : ce qui se produit avec les BRICS rappelle étrangement la conférence de Bandung (Indonésie) en 1955 qui réunissait alors les responsables de 29 pays africains et asiatiques, pays décolonisés du Tiers-monde, lesquels ne voulaient pas rejoindre les deux blocs de l'époque, les Etats-Unis et l'URSS, et choisissaient donc le non-alignement.
Pour rappel, les BRICS rassemblent le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud. L'Iran, l'Argentine, l'Ethiopie, l'Arabie Saoudite, l'Egypte, les Emirats Arabes Unis rejoindront ces cinq membres historiques dès le 1er janvier 2024.
Si l'idée de créer une alternative au bloc américain est géniale, tout n'est pas si simple :
- d'un point de vue religieux, on observe un manque de cohérence entre l'Arabie Saoudite, les Emirats Arabes Unis sunnites, et l'Iran chiite. Même constat vis à vis de la Chine qui n'aime pas trop l'Islam, ni la religion en général (dont la minorité Ouigour sunnite). Même chose par rapport à l'Inde, laquelle offre une fresque religieuse complexe (entre hindouistes et musulmans, sikhs et bouddhistes). Quant à la Russie, au Brésil et l'Afrique du Sud, ces trois pays sont de culture chrétienne.
- d'un point de vue monétaire : il existe en effet un grand écart entre le real brésilien, le yuan chinois,la livre égyptienne, le peso argentin... mais aussi des taux d'inflation très différents d'un membre à l'autre.
Tous ces facteurs rendant peu probable la création d'une monnaie commune.
L'absence d'une homogénéité géographique ne plaide pas non plus en faveur des BRICS. En revanche, avec 50 % de la population mondiale, 40 % du PIB mondial en valeur et en PPA (parité de pouvoir d'achat), la détention de la majorité de gisements des terres rares, la plus grosse production de pétrole mondiale et de gaz, le rôle d'acteur majeur pour l'ensemble des matières premières et des ressources agricoles et l'instauration d'un nouvel ordre mondial multilatéraliste, les BRICS élargis (dont les noms des pays sont mentionnés plus haut, et sans même parler des 34 pays qui ont eux aussi ont d'ores et déjà fait part de leur désir de rejoindre ce bloc) possèdent alors de sérieux atouts.
C'est à la naissance d'un nouveau rideau de fer que nous assistons. Un rideau virtuel, à la fois juridique, douanier, fait de sanctions et d'interdiction de commercer ou d'échanger, qui conduit tout droit à une démondialisation.
Les conséquences de cette partition du monde se concrétisent par :
- deux zones monétaires. La zone dollar/euro et la zone BRICS
- trois systèmes de paiement. La zone SWIFT et la zone SPFS (Russie) et CIPS (Chine)
- l'inflation en Occident car la démondialisation et la réindustrialisation sont des phénomènes très inflationnistes.
- l'absence de risque pour le dollar, à court et à moyen terme
- la vulnérabilité de l'euro dont les faiblesses vont se réveiller à partir de 2024 avec un double effet de la crise des dettes souveraines et de la hausse des taux d'intérêt. Mieux vaudra alors détenir de l'or et du dollar que de l'euro.
(Source : Dossier de septembre 2023 « BRICS, le basculement » de Charles Sannat)
NB : l'analyse de la situation française par Pierre Maumont pourra intéresser certains d'entre vous : https://youtu.be/B6DQUGRY0oE
 
LE CLIN D'OEIL DU MOMENT
Que diriez-vous de sept conseils du monde entier pour mieux dormir ? C'est justement ce que nous propose Sélection du Reader's Digest ce mois-ci :
- Les Chinois se lavent les pieds avant d'aller au lit (bains de pieds chauffants, massages...)
- Les Allemands ont chacun leur couette et leur literie
- Les Guatémaltèques confie leurs soucis à une poupée « mangeuse de chagrin » placée sous l'oreiller
- Les Anglais dorment tout nus
- Les Nord-américains font chambre à part
- Les Japonais piquent un roupillon n'importe où
- Les Canadiens se blottissent contre leur chien.
Autre article (qui promet de faire grand bruit!) : « Comment j'ai tenté de cesser de ronfler », à découvrir aussi dans le même numéro.
 
 
MURIEL SE MET A LA SCIENCE
Durant la grossesse, les cellules du bébé migrent dans la circulation sanguine de la mère, avant de retourner au bébé. Ce processus s’appelle le microchimérisme foetal-maternel.
Pendant 41 semaines, les cellules circulent, puis fusionnent, et beaucoup d’entre elles restent dans l’organisme de la mère après la naissance de l’enfant, laissant ainsi une empreinte permanente dans les tissus, les os, le cerveau et la peau de la maman. Ces cellules resteront souvent là durant des décennies.
Chaque enfant laissera lui aussi une empreinte similaire, des études ayant montré la présence de cellules d’un fœtus dans le cerveau d’une mère...18 ans après son accouchement.
Des recherches ont aussi montré que si le cœur d’une mère est blessé, ces cellules foetales se précipitent vers le site de la blessure et se transforment en cellules spécialisées dans la réparation du cœur. Jolie démarche que celle consistant, pour le bébé, à secourir sa génitrice, celle-là même qui lui donna la vie.
On pense que la disparition de certaines maladies disparaissant chez la mère durant la grossesse répond au même principe, celui de protéger sa mère pour ensuite survivre en toute sécurité.
La science nous apprend donc que la maman « porte » son bébé en elle, bien des années après qu’elle l’ait mis au monde ! Il serait intéressant de savoir ce qu’en pensent nos apprentis sorciers mondialistes qui cherchent, par tous les moyens, à bouleverser l’ordre naturel des choses...
 
 
UN PEU PLUS D'HUMOUR
Leçon d’antiracisme :Faire au bureau un test ADN pour connaitre ses origines ethniques, bonne idée ou pas?
Dimanche 15 octobre 2023 : Mon maitre m’a félicité aujourd’hui pour mon travail
Lundi 16 octobre 2023 : la mise en place d’un système de clôture anti-fugue côté terrasse s’avère hasardeux
Mardi 17 octobre 2023 : le vent et la pluie m’ont transformé en pile électrique et l’exercice de la marche au pied s’avère très aléatoire
Mercredi 18 octobre 2023 : Je n’écoute pas les ordres et fatigue mon maître.
Jeudi 19 octobre 2023 : Ce n’est pas une blague, il pleut aujourd’hui en Algarve et les sorties sont raccourcies
Vendredi 20 octobre 2023 : Mon nouveau dresseur m’a bien fait bosser ce matin. Il a aussi montré à mon maitre comment jouer avec moi sans risques et de m’aider ainsi à évacuer mon trop plein d’énergie
Samedi 21 octobre 2023 : Belle promenade matinal ce matin à 6h30,puis séance de jeu avec mon maitre
 
 
VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR...
« Julian Assange se meurt pour protéger votre droit de savoir ce que votre gouvernement fait en votre nom » (Source : France Soir)
Les secrets de la Reine : tout savoir sur l’élite mondialiste, avec Pierre Hillard (https://youtu.be/MvYvgR1AY2w)
(merci à Marie-Alice pour cette contribution)
 
 
NOUS PRENDRAIT-ON POUR DES ABRUTIS ?
D’où vient le Covid ?
Le 9 mai 2023, le Dr David Martin, spécialiste mondial des brevets, a pris la parole au Sommet international du Covid au Parlement européen. Il détaille l’historique du Covid et dévoile un projet de guerre contre l’humanité préparé de (très) longue date : https://crowdbunker.com/v/jkGs2UDTrU
(merci à Christian pour cette information)
 
 
QUOI DE NEUF EN CRYPTO ?
Bitcoin et autres cryptomonnaies, vraies monnaies du futur ? (suite)
A quelques exceptions près, l’adoption de masse des cryptos n’a pas encore eu lieu , faute de la trop grande complexité du mode de fonctionnement de cet univers pour le commun des mortels. Cette adoption de masse sera probablement propulsée par la diffusion au sein de la société de cas d’usages concrets et de moyens d’accès simples et pratiques. Ces cas d’usages ne sont pas encore arrivés en Europe, car le système monétaire de nos pays reste robuste. L’euro, quoi qu’on en dise, reste pour l’instant une monnaie forte à l’échelle du monde.
Toutefois, ce n’est pas le cas de nombreuses autres régions, en Amérique Latine ou en Afrique par exemple, soumises à une hyper inflation affolante. Venezuela, Argentine, Nigéria… Dans ces pays, la crypto, et surtout Bitcoin, se développent à vitesse grand V. Seul recours pour des populations souvent non bancarisées pour tenter de sauver leurs économies d’une monnaie qui se dévalue de plus en plus vite. En comparaison de ce rythme effréné de perte de valeur, la volatilité de Bitcoin semble bien ridicule. Une volatilité qui tendra vers la baisse à mesure de l’accroissement de la capitalisation boursière du Bitcoin. À capitalisations égales, il n’y a pas de raisons pour que le Bitcoin soit plus volatile que l’or.
Pour posséder du Bitcoin, il suffit d’un smartphone, l’objet le plus répandu sur la planète. Bien plus qu’un compte bancaire dont sont dépourvus beaucoup d’individus. Bitcoin apporte une solution concrète à ces populations pour sauvegarder leur épargne et réaliser des transactions.
Aux baby boomers de l’après-guerre s’opposent bien souvent le point de vue des Millenials sur la question de la technologie. Les millenials sont représentés par les générations X, Y et Z. La génération X née de 1965 à 1989. La génération Y de 1980 à 2000. Et la génération Z après les années 2000. Ces dernières, Y et Z sont nées avec la technologie et internet. Particulièrement pour la génération Z, le numérique est la norme, il n’est donc pas étonnant de les voir si facilement adopter les cryptos et faire naviguer leur argent sur internet.
Ces nouvelles générations adorent les cryptos et nul doute qu’elles n’éprouveront aucune difficulté à les adopter. Et elles sont d’ailleurs en train de le faire. Sauf que pour le moment, le pouvoir financier, entre les mains de baby boomers récalcitrants, s’oppose de toutes ses forces à cette adoption. Rappelons toutefois que le temps des baby boomers est bientôt révolu. Le passage de relais entre l’ancienne et la nouvelle génération s’effectuera inexorablement. Et cette nouvelle génération sera celle qui sera demain au manettes de la société. Nul doute alors que les cryptomonnaies, si leur proposition de valeur est reconnue, connaitront alors l’essor qui leur revient de droit.
Des menaces subsistent malgré tout sur Bitcoin et les cryptomonnaies et sur l’Europe :
- Un risque géopolitique pour l’Europe d’abord : comme dans les années 1990 lorsque celle-ci refusa de prendre le virage internet, elle risque de reproduire les mêmes erreurs avec les cryptomonnaies. Elle prendrait alors un retard considérable par rapport à la concurrence dans le développement de cette technologie. Cela, malgré les nombreuses startups déjà présentes sur le territoire et en voie de devenir les futurs géants de demain.
- Un risque d’échec des cryptomonnaies aussi. Si les États décident dans un élan mondial de s’unir pour interdire les cryptos afin de sauvegarder leur souveraineté monétaire, Bitcoin risque d’en prendre un sacré coup. Toutefois, ce ne semble pas être la direction prise pour l’instant. Les gouvernements se dirigent plutôt vers une régulation qu’une interdiction.
Le risque pour l’Europe serait de tuer, via une régulation abusive, tous les futurs géants qui pourraient tirer son économie vers le haut. Ces startups seraient alors forcées de migrer vers d’autres pays. Mais il ne faut pas se voiler la face, l’Europe ne tuera pas les cryptos. Elle se mettrait par cet acte simplement à l’écart de l’écosystème qui continuerait de croître sans elle et de se développer partout ailleurs dans le monde.
(Source : Le Journal du Coin)
 
 
LE PETIT MANUEL DU RESISTANT
CSI (Conseil Scientifique Indépendant) N°120 du jeudi 19 octobre 2023 : C’est aujourd’hui la journée de soutien à Louis Fouché et à Amine Umlile, tous deux convoqués par leur chambre disciplinaire respective. (https://crowdbunker.com/v/WFwYRpH7)
Fortes hausses des tarifs des complémentaires santé en perspective en 2024 (source : France Soir)
A la faveur de l’actualité, on parle ces derniers jours de l’Iran, et pas en des termes élogieux. Je ne connais pas ce pays et le regrette. Je me garderais bien d’y mettre les pieds par les temps qui courent, craignant de servir de monnaie d’échange sur place et de devoir passer le restant de mes jours dans les geôles locales. Et pourtant...
Je m’y étais parfois posé du temps où j’étais navigant et me disait que, jusqu’aux-boutismes politique et religieux mis à part, j’aurais certainement fait un fabuleux voyage dans ce pays qu’on appelait jadis la Perse. Mais voilà, nous Occidentaux, avons tellement insisté pour nous faire aimer que nous sommes devenus persona non grata, voire dans certains cas, l’ennemi à abattre.
En quelques années, l’Iran est passé de destination à la mode, entre 2014 à 2019, à « fortement déconseillé » aux voyageurs occidentaux. Et devinez-en les raisons:
- En 2018, on observa le retrait des Etats-Unis de l’accord sur le nucléaire
- En 2019, il y eut sur place d’importantes manifestations contre le pouvoir
- En Janvier 2020, un avion ukrainien fut abattu par les forces iraniennes peu après son décollage de Téhéran.
La forte médiatisation des manifestations à l’étranger n’ont rien fait pour arranger les choses et les autorités françaises déconseillent désormais cette destination à leurs ressortissants. Il est vrai que six Français sont actuellement toujours détenus dans le pays, sans parler du contexte géopolitique très dégradé depuis quelques semaines avec les massacres juifs perpétrés en Israël par le Hamas.
Cette situation est loin de faire les affaires du peuple iranien, lequel souffre directement de la désertion des touristes occidentaux à fort pouvoir d’achat : depuis la pandémie du Covid-19, 80 % des guides ont perdu leur emploi dans la ville historique de Yazd, située sur la route des épices et de la soie. L’inscription de cette cité au patrimoine mondial de l’UNESCO en 2017 avait pourtant fait augmenter de plus de 500 % le nombre de touristes sur place.
Il n’empêche que ce pays cherche à nous remplacer par d’autres touristes : les touristes russes, chinois et turcs, ainsi que les ressortissants d’autres nations n’étant pas en froid avec la République islamique y sont les bienvenus. Les pèlerins chiites d’Irak, du Liban, du Koweit et du Pakistan font partie de ceux-là mêmes qui se rendent en groupes dans les villes saintes de Machhad et de Qom.
L’Iran souhaite également développer le tourisme médical grâce à ses infrastructures de santé, ses tarifs moins élevés et son expertise en matière de chirurgie esthétique. Une pratique qui gagne du terrain dans les pays du Moyen-Orient, mais aussi en Iran : en 2020, on parlait déjà de plus de 40 000 opérations de ce type pratiquées chaque année. Avis à ceux qui voudraient se faire « tirer » le portrait.
 
 
DU COTE DE CHEZ NOUS
Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix: Il y a ceux qui veulent augmenter la pression, et ceux qui ont le doigt sur la soupape (https://odysee.com/@campagnoltvl:2/chat:29)
 
 
FESTIVALS, FÊTES, EVENEMENTS & SALONS
« Les Minutes bleues : rencontres insolites en Côtes d'Armor » (22), du 29 octobre au 4 novembre 2023
Pour leur 2ème édition, 25 expériences de visite insolites et inédites à vivre en Côtes d'Armor vous attendent dans 17 sites d'exception : Abbaye de Beauport (Paimpol), Aquarium des Curieux de nature (Belle-île-en-Terre), Château de Dinan, Château de Quintin, Archéomusée Coriosolis (Corseul), Maison du littoral (Ploumanac’h), Milmarin (Ploubazlanec), La Vallée des Saints (Carnoët), Domaine départemental de La Roche Jagu (Ploézal), Musée Mathurin Méheut (Lamballe), La Ferme d’Antan (Plédéliac), Maison de la Rance (Lanvallay), Haras de Lamballe, Centre d’art Gwin Zegal (Guingamp), Maison de l’Estuaire (Plourivo), Centre de découverte du son (Cavan) et Château de la Hunaudaye (Plédéliac). Un événement original placé sous le signe du partage et de la rencontre, pour les curieux de tous âges.
Au programme, des expériences inattendues dont voici quelques exemples :
- Endormez le Chateau de Dinan - Vous accompagnez Solene lors de sa derniere ronde pour refermer les portes du chateau. Anecdotes et details caches seront devoiles au rythme du cliquetis des cles. Apres l’ascension de l’une des plus hautes tours de Dinan, l’equipe du chateau vous invite a partager un aperitif convivial. A partir de 10 ans.
- Des loups garous au Haras National de Lamballe - Un soir de Samain, des loups garous
viennent se fondre au milieu des visiteurs du Haras. Saurez-vous les reconnaitre ? Un jeu de roles grandeur nature, sombre et mysterieux, ou chaque bruit semble suspect... A partir de 6 ans en binome avec un adulte.
- Le Chateau de Quintin cache son jeu - Parcourez le chateau baigne d’une lumiere tamisee et rentrez dans l’univers du divertissement de la haute societe du 19eme siecle. Jeux de hasard, d’esprit, d’adresse... Florence vous en devoile les regles. A la fin du parcours, un defi vous attend, etes-vous pret a le relever ? A partir de 7 ans.
- Petit dejeuner avec Mona, garde du littoral a Ploumanac’h - Aux premieres lueurs du jour, suivez les pas d’une garde du littoral : surveillance du site et ramassage sur la greve puis, a mesure que le soleil se leve, observez le reveil de Dame Nature. Entre faune, phare et feerie, vous poursuivez ce moment de zenitude rare autour d’un petit dejeuner maison et breton. A partir de 10 ans.
« Les Botaniques de Varengeville-sur-Mer » les 28 & 29 octobre 2023, à Varengeville-sur-Mer (76)
Pour cette troisième édition "nouvelle formule" des Botaniques de Varengeville-sur-Mer la manifestation se tiendra - Place de la Mairie - dès 9h00, samedi 28 et dimanche 29, jusqu'à la tombée de la nuit.
Deux journées de convivialité pour rassembler, échanger, partager, transmettre passion et savoirs d'experts, autour d'exposants et de jardiniers venus d'Europe.
Dix jardins privés seront exceptionnellement ouverts au public sous forme de visites guidées par leur propriétaire, paysagistes et jardiniers, parmi lesquels : Le Bois de Morville du paysagiste Pascal Cribier, l'Étang de l'Aunay de Jean-Louis Dantec, le Vasterival de la Princesse Greta Sturdza, L'Aube des Fleurs du paysagiste Mark Brown et d'autres jardins d'exception.
Des conférences seront aussi proposées au public :
- Véronique MURE, botaniste et ingénieure en agronomie tropicale défend l'arbre, la valeur patrimoniale des jardins et des paysages méditerranéens à travers l'histoire des végétaux qui les composent et s'efforce de comprendre les liens visibles et invisibles entre les plantes, leur dynamique et leur histoire. Si les arbres sont un héritage réel, pour autant leur préservation reste souvent un combat. Le lien est-il renoué avec ces êtres si différents de nous ?
- Philippe de SPOELBERCH, président honoraire de la société internationale de dendrologie, et conteur
végétal, reviendra pour nous sur son « Voyage Botanique au Sichuan » ; il a visité la Chine huit fois au cours des 40 dernières années ramenant photos et plantes ayant trouvé refuge en Belgique, dans le jardin de Herkenrode et puis l'arboretum Wespelaar voisin.
- Dominique BROCHET, pépiniériste et auteur de plusieurs ouvrages, évoquera au cours d'une table ronde
« Les belles inconnues: pourquoi adopter les plantes indigènes dans nos jardins ? » : pour aider le jardinier à intégrer sa région et en tirer bénéfice d'en devenir indigène autant que son jardin va le redevenir (gain de temps , économie de ressources). Son ouvrage sur le sujet « plantes indigènes pour un jardin nature » a reçu le prix Émile Gallé en 2021.
Sur la Place de la Mairie, à Varengeville-sur-Mer (76)
Le Château de Cheverny aux couleurs de l'automne, jusqu'au 20 novembre 2023, à Cheverny (41)
Dès les grilles du parc franchies, chacun sera saisi par cette déclinaison de mordorés et d’orangés, qui donne au château un caractère automnal si unique. Dans les jardins, ce sont plus de 10 000 cucurbitacés qui rendent hommage aux couleurs de l'automne. Il y a aussi ces 5 000 chrysanthèmes qui, disséminés dans les jardins, leur donnent cette suavité exceptionnelle. Sans oublier les tableaux naturels, créés pour l’occasion par l’équipe de jardiniers du château.
Franchissons les portes du château… Feuilles mortes, citrouilles, champignons, renards, branchages, potimarrons,… sont là, dans chaque pièce, comme par magie pour rappeler la saison aux visiteurs. Cette année, la fameuse table d’automne toujours magnifiquement décorée, autour de laquelle chacun rêverait partager un moment en famille, sera dressée dans la belle salle des trophées.
Une visite qui peut se prolonger par une balade avec un guide dans la partie forestière du domaine et sur le canal, en voiturette et bateau électriques. C’est l’occasion d’admirer les couleurs exceptionnelles des cyprès chauves, originaires de Louisiane.
Et pourquoi ne pas finir la visite à l’Orangerie, pour y déguster le fameux "velouté de potimarron et sa chantilly aux épices" ?
Au Château de Cheverny, Avenue du Château, à Cheverny (41)
5ème édition de « La Nuit des Châteaux » les 27 & 28 octobre 2023, En France et en Europe
La Nuit des Châteaux revient pour sa 5ème édition qui aura lieu les vendredi 27 et samedi 28 octobre prochains.
Cet événement européen, imaginé par Dartagnans en 2019 en partenariat avec la Demeure Historique et le Groupe Mercure, vise à sensibiliser le grand public à la préservation du patrimoine à travers des expériences inédites : visites aux flambeaux, dîners aux chandelles, illuminations, spectacles vivants, concerts ou encore Cluedo géant.
Depuis 2019, la Nuit des Châteaux réunit des dizaines de milliers de visiteurs dans des lieux d'exception répartis dans toute la France, mais aussi en Suisse, Belgique, Espagne et République Tchèque.
Comme pour les éditions précédentes, 88% des recettes issues de la billetterie sont redistribuées aux châteaux partenaires, afin de faire vivre leurs monument.
Certains monuments ouvriront leurs portes au public pour la première fois, d'autres proposeront des expériences résolument insolites au coeur du patrimoine. Pour ce week-end festif des vacances de la Toussaint, il y en aura pour tous les goûts, pour toutes les époques et pour petits et grands.
Découverte du Musée de l'Ardoise Michel Paradon, à Fumay (08)
Les dernieres ardoisieres, qui batirent la renommee nationale de la ville de Fumay, ont ferme il y a 50 ans. En 1971, Michel Paradon, ancien ardoisier aide par des benevoles, ouvre un musee dans l’ancien couvent des Carmelites de la ville pour perpetuer la memoire de cette activite ardoisiere de plus de huit siecles.
Apres une periode de sommeil, le musee renove a rouvert ses portes en juin dernier et propose une experience immersive : descente dans les galeries de schiste, reconstitution de differentes scenes de la journee d’un ardoisier, jeu des metiers, passe-tetes pour devenir ouvrier ou tenancier, documents anciens ou en fac-simile, ainsi que des temoignages. En scannant divers QR dans la ville, le visiteur en apprendra davantage sur l’histoire de Fumay : les rues typiques, les verdeaux, la fresque Les Escailleux du sculpteur Georges-Andre Favaudon et le buste du syndicaliste ardoisier Martin-Coupaye d’Andre Sauvant.
139 Sites funéraires et mémoriels de la Première Guerre mondiale inscrits à l'UNESCO
139 sites funéraires et mémoriels français, allemands, belges, américains et du Commonwealth de la Première Guerre mondiale, répartis en France (44 sites dans les Hauts-de-France, 1 en Île-de-France et 52 dans le Grand Est) et en Belgique (43 sites en Flandre et en Wallonie) sont désormais inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.
 
 
EXPOSITIONS
« Style Révolution française. Mobilier, objets d'art et papiers peints », jusqu'au 11 mars 2024, à Vizille (38)
Prétendument qualifiés de style Louis XVI ou de style Directoire, les arts décoratifs de la dernière décennie du XVIIIème siècle ont été dépouillés de leur spécificité historique par rejet de la Révolution française, au profit du dernier règne de l’Ancien Régime et de la période post thermidorienne. Tout découpage de ce genre est arbitraire, mais justement pourquoi ne pas mettre en avant un « style Révolution française » qui couvrirait les ans de Liberté après la prise de la Bastille (1789 à 1792) et les premières années de la République (1792-1799) ?
Pour la première fois, le public découvre une partie du décor de papier peint en arabesque de la manufacture Réveillon à Paris, produit en 1790 et donné par la famille Benoist en 2004. Ce papier peint constitue l’écrin d’un ensemble exceptionnel de sièges de Georges Jacob (1739-1814), qui excelle dans la sculpture sur bois, ainsi qu’un bureau d’Adam Weisweiller (1746-1820) déposés par le Mobilier national.
Les tendances principales du style Révolution française s’inscrivent parfaitement dans l’irrésistible mouvement initié par les Lumières, mélange de rationalisation et d’émancipation, qui dynamise la fin du XVIIIème siècle.
Entrée gratuite.
Au Musée de la Révolution française, Domaine de Vizille, Place du Château, à Vizille (38)
« Voyage sacré, Sacré voyage » du 21 octobre 2023 au 3 mars 2024, à Evreux (27)
L’exposition propose de suivre un couple de pèlerins se rendant à Gisacum au début du 3ème siècle de notre ère, lorsque la ville- sanctuaire est à son apogée. L’ambition de l’exposition est de réunir une large sélection du mobilier exhumé au 19ème siècle avec celui sorti de terre ces 15 dernières années, et de réinterroger ces objets à la lumière des plus récentes découvertes.
Au Musée d’Art, Histoire et Archéologie d’Evreux (27)
« Poetree » du 29 octobre au 5 novembre 2023, à Varengeville-sur-Mer (76)
Poetree est la rencontre de deux univers. Celui des arbres, que l'artiste poète Lola G. côtoie au quotidien dans son métier de jardinière à Londres et celui des mots, des lettres et de la poésie. Lola G. a photographié au fil des années l'intérieur des arbres qu'elle a dû abattre. Son travail essentiel tient dans son regard de poète qui lui a donné l'impulsion de saisir les beautés cachées de l'intérieur de ces arbres et d'en révéler les dessins merveilleux. C'est une partie de ces photographies accompagnées de textes poétiques qu'elle présentera au Musée Michel Ciry.
« James Rassiat », jusqu'au 31 décembre 2023, à Trouville-sur-Mer (14)
James Rassiat (1909-1998) est peintre et voyageur. Armé de son diplôme de l’école des arts appliqués de Paris, il commence une carrière active qui le mène sous diverses latitudes. Le Maroc, l’Asie, l’Afrique le passionnent tout autant que Deauville ou Trouville-sur-Mer.
Dans chaque contrée, il saisit ce qui fait l’essence des lieux, l’ambiance du pays. Les souks marocains, les rizières asiatiques, les planches de Deauville, la plage trouvillaise sont ses sujets mais il n’est pas seulement paysagiste. Ses œuvres sont habitées. Il sait qu’un endroit n’est pas fait seulement de la géographie mais surtout de la présence des hommes et des femmes qui font le pays. James Rassiat est un peintre humaniste.
L’exposition présente une sélection de quatre-vingt-dix œuvres de l’artiste, comme une invitation au voyage.
Au Musée Villa Montebello, 64 rue du Général Leclerc, à Trouville-sur-Mer (14)
Derniers jours de l'exposition « Des Trompes et vous » jusqu'au 7 novembre 2023, à Bavay (59)
Cette exposition vous présente la trompe romaine découverte en avril 2021 sur le site archéologique par l’équipe du Service archéologie et patrimoine du Département du Nord. Elle a été mise au jour dans le cadre des fouilles préventives menées en amont du chantier du parcours couvert. Cet objet est exceptionnel par sa qualité, sa rareté et son contexte archéologique.
En lien avec cette découverte, partez à la rencontre, par le biais de nombreux dispositifs de médiation, des différents métiers liés aux fouilles et aux études archéologiques. L’exposition vous permet également de visualiser les grandes étapes de la chaîne patrimoniale, de la mise au jour de l’objet à sa présentation dans un musée.
Au Forum antique de Bavay, 2 Allée Chanoine Henri Biévelet, à Bavay (59)
Prolongation de l'exposition « Refuges alpins, de l'abri de fortune au tourisme d'altitude », jusqu'au 24 mai 2024, à Saint-Gervais-Mont-Blanc (74)
'exposition « Refuges Alpins, de l'abri de fortune au tourisme d'altitude » joue les prolongations. Créée et présentée en 2021 par le Musée dauphinois de Grenoble, découvrez l'exposition à Saint-Gervais Mont-Blanc jusqu'au 24 mai 2024 à la Maison forte de Hautetour.
Perchés dans la montagne apparaissent parfois les refuges des premiers aventuriers, traceurs de voies vers les hauts sommets alpins. Chasseurs de chamois partagent longtemps ces abris avec les alpinistes. Puis, lorsque les alpages se couvrent de sentiers de randonnée, que la montagne devient un terrain de sports et de loisirs, le refuge se transforme en lieu d'accueil gardé jusqu'à devenir parfois un hôtel d'altitude. Ainsi, l'architecture de ces édifices témoigne-t-elle bien du rapport de l'homme à sa montagne dont l'exposition retrace plus de deux cents ans d'histoire intime.
A la Maison Forte de Hautetour, 114 passage Montjoie, à Saint-Gervais (74)
« Soldats sportifs, pratiques sportives dans l'armée de 1914 à nos jours », jusqu'au 19 août 2024, à Meaux (77)
La rentrée 2023 propose une toute nouvelle exposition sur les pratiques sportives pendant la Grande Guerre et post Grande Guerre, faisant écho à la coupe du monde de rugby et aux JO 2024 !
La pratique sportive a joué un rôle indéniable dans la préparation du soldat, mais elle représentait aussi un moyen de découverte, d’évasion et de cohésion durant la Première Guerre mondiale.
Cette série de photographies située sur le parvis du musée, illustre les exercices physiques du monde combattant de la Grande Guerre, à nos jours. À travers cette exposition en accès libre, les visiteurs en apprendront davantage sur l’évolution et l’impact des sports durant la Première Guerre mondiale et plus largement, au sein de l’armée et la société de l’époque.
Au Musée de la Grande Guerre, Rue Lazare Ponticelli, à Meaux (77)
« Suzanne Valadon. Un monde à soi », du 27 octobre 2023 au 11 février 2024, à Nantes (44)
En environ 130 tableaux et œuvres sur papier, l’exposition retracera le parcours de Suzanne Valadon : elle soulignera l’originalité de son œuvre tout en la resituant au sein d’une histoire de l’art qui a fait peu de cas de cette artiste audacieuse refusant d’être assignée à un mouvement. Ce regard historique porté sur l’artiste et son travail sera complété d’importants éléments de contextualisation sur ce que signifiait être femme et artiste au début du 20ème siècle.
L’exposition abordera dans un premier temps la profession de modèle qui a d’abord été celle de Suzanne Valadon, se faisant alors appeler Maria. Modèle prisée, elle pose pour Auguste Renoir, Pierre Puvis de Chavanne, Henri de Toulouse Lautrec, Santiago Rusiñol… Cette expérience signe son entrée dans le champ artistique, sous le pinceau des peintres, tout en se révélant un véritable apprentissage pour la jeune femme qui pratique assidûment le dessin.
Les premières œuvres de Valadon seront ensuite présentées. Elles se singularisent d’abord par leur sujet : ses scènes d’intimité lui permettent de s’intéresser aux corps de femmes et d’enfants de son entourage. Les scènes de nu sont avant tout des moments domestiques, mettant en évidence la vulnérabilité d’un corps d’enfant ou la fatigue d’un corps de femme habitué à des tâches pénibles. Ces dessins, qui suscitent l’enthousiasme d’Edgar Degas dès 1894, seront associés aux gravures que Valadon réalise grâce à l’enseignement technique du maître.
Au Musée des Beaux-Arts, 10 rue Georges Clémenceau, à Nantes (44)
 
 
TOURISME
Évènements à ne pas manquer à Dubrovnik (Croatie)
Située dans le sud de la Croatie, Dubrovnik est surnommée la "perle de l'Adriatique". On donne vite raison à cette dénomination lorsqu'on arrive sur place, fasciné dès le premier coup d'oeil par cette cité historique qui bénéficie d'une localisation géographique incroyable, comme délicatement posée sur la mer.
Dubrovnik est plus qu'une cité que l'on aime admirer car c’est une ville vivante qui ne manque jamais une occasion de célébrer la musique, le théâtre, le sport ou encore la gastronomie. Voici quelques temps forts qui viennent compléter tous les moments où l'on profite d'une ville à l'existence millénaire et d'une beauté à couper le souffle :
- Le Dubrovnik Musical Spring
Ce festival, qui se déroule du 20 avril au 20 juin, est une belle occasion de célébrer le printemps, avec plusieurs concerts organisés par l'orchestre symphonique et qui prennent place dans des lieux clés que l'on a forcément à coeur de voir lors d'un séjour à Dubrovnik. De nombreux artistes, solistes et chefs d'orchestre de renom sont accueillis pour poser leurs notes et mettre en lumière l'importance de la musique dans l'histoire de la ville.
- DuMotion-Runners’days
Les adeptes du marathon retiendront que cet événement a lieu chaque année et propose plusieurs parcours de course à pied. Le Runners'days accueille environ 10 500 coureurs venus d'une soixantaine de pays. Au programme, le semi-marathon, course qui permet de profiter des splendeurs de la vieille-ville et du littoral de Dubrovnik, avec une arrivée sur le Stradun. Lors du Run the wall, les remparts sont libérés des touristes et deviennent une piste de course qui comprend 1 080 marches et offre une vue incroyable sur les toits de Dubrovnik, ses monuments et la mer. Ceux qui le souhaitent peuvent aussi participer à la Charity Race 5k, une course qui réunit des jeunes, des retraités, des travailleurs, des représentants politiques, tous unis pour soutenir une cause humanitaire. Une autre occasion de s'émerveiller de la vieille-ville de Dubrovnik. Enfin, les enfants ont la possibilité de tester leur endurance, leur résistance à l'effort et leur capacité à se surpasser lors de la Kid's race, un parcours de 250 m entre la fontaine d'Onofrio et la colonne d'Orlando.
- Le Street Food Festival Bavarin
Ce rendez-vous des gourmands proposent aux participants de manger sur le pouce en extérieur tout en écoutant de la musique live. Les chefs présents ne manquent pas d'inventivité pour satisfaire tous les palais, avec la possibilité de manger un burger original, des calamars frits, des croquettes de poisson, un copieux sandwich, un ragoût d'agneau, sans oublier les propositions véganes et sucrées. Au programme, concours de barmen, ateliers pour les enfants, les animations ne manquent pas pour prendre un maximum de bon temps lors de ce festival culinaire qui réunit deux des domaines préférés de Dubrovnik : la cuisine et la gastronomie.
- Le Dubrovnik Summer Festival
Plus grand festival de Croatie, cet événement a lieu dans ou aux abords des principaux monuments historiques de la cité. Dans l'atrium du palais du Recteur, sur la terrasse devant le fort de Revelin, devant l'église Saint-Blaise, chaque temps fort est l'occasion de profiter d'un cadre enchanteur. L'orchestre symphonique de Dubrovnik, compositeurs, solistes et chefs d'orchestre au talent certain, acteurs et danseurs sont réunis pour que musique classique, danse et théâtre ponctuent le séjour des voyageurs dans la perle de l'Adriatique.
- Le Festival Good Food
Ce festival qui prend place en octobre propose un vaste programme, avec des ateliers culinaires, des visites de la ville ponctuées de moments gastronomiques et des dégustations de vins locaux. Dans les principaux restaurants de la ville, des menus spéciaux sont proposés. L'événement réunit les amoureux de la bonne cuisine. On y teste des recettes traditionnelles croates, mais aussi une cuisine moderne et revisitée. Force est de constater alors que la Croatie est une destination incontournable pour prendre beaucoup de bon temps autour de la table et d'un verre de vin.
L'automne en Pays de Fontainebleau (77)
Pour la Toussaint, le Pays de Fontainebleau vous propose une sélection d’expériences pour passer des vacances et séjours inoubliables. La forêt de Fontainebleau et ses paysages révèlent à cette saison toute leur beauté sous une lumière et des couleurs sublimes, avec aussi des sorties guidées et activités pour en découvrir toute sa magie. De son côté, le Château de Fontainebleau prend une teinte tout particulièrement romantique, avec une très belle réflexion de la lumière sur les murs extérieurs du château et sur l’eau de ses fontaines. Enfin, la ville royale et impériale de Fontainebleau, les villages de caractère du territoire gardent une douce animation et proposent un large choix d’hôtels, chambres d’hôtes et jolies adresses comme salons de thé, magasins de déco, ou encore épiceries fines où il fait bon flâner.
Une période pour prendre le temps de profiter de tout ce que le Pays de Fontainebleau a à offrir en matière de sorties culture et patrimoine : jusqu’au 19 novembre 2023, venez découvrir la nouvelle exposition « Fontainebleau, la ville sous le Second Empire », dans l’Atelier de la Charité Royale. Le Second Empire a laissé à la ville de Fontainebleau une empreinte indélébile. Dans le cadre des commémorations liées aux 150 ans de la mort de Napoléon III, cette exposition présentera de rares et exceptionnels objets, un parcours thématique, où se côtoient peintures, sculptures, photographies, mobiliers, objets d’art, etc. qui brosse le portrait de cette époque foisonnante et riche.
A l’Atelier de la Charité Royale / Médiathèque, 15 rue Royale, Fontainebleau.
Toujours à Fontainebleau, profitez-en pour flâner dans son centre-ville animé. Riche d’un patrimoine historique, avec de nombreuses petites pépites à redécouvrir, c’est l’endroit idéal pour que les esprits curieux puissent mesurer le lien fort qui unissait Napoléon III à la ville. Rappelons qu’au 19ème siècle, le couple impérial a joué un rôle-clé dans la transformation de Fontainebleau pour en faire une destination de villégiature prisée et à la pointe du bon goût. Nouveau, l’Office de tourisme y organise des visites sur le thème impérial, une occasion unique de déambuler dans ces rues et ruelles pavées et de s’arrêter dans des lieux chargés de secrets et d’anecdotes…. Tarif unique : 7€.
Profitez d’un détour au château pour y découvrir à partir de cet automne, la nouvelle exposition « Fontainebleau, portrait d’un château», ce sont plus de 250 œuvres, dessins (encre, fusain, aquarelle, gouache), gravures, albums issus des collections du château, tant du fond des archives que du fond d’arts graphiques. Ces œuvres, accompagnées de deux maquettes historiques du château, mettront en lumière l'architecture du château au fil des siècles et constitueront un véritable portrait dessiné de la demeure des rois. Plein tarif : 14 € (Prix du billet d'entrée du château, exposition accessible dans le circuit de visite), Tarif réduit : 12 € (Prix du billet d'entrée du château, exposition accessible dans le circuit de visite). Accessible avec le billet d'entrée du château.
Jusqu’au 31 décembre 2023, à l’occasion de la commémoration des 150 ans de la mort de Napoléon III, le Château de Fontainebleau met à l’honneur l’une de ses périodes historiques significatives : le Second Empire (1852-1870). Après avoir embelli et aménagé les espaces au goût de l’époque, Napoléon III et Eugénie font du château un lieu de résidence et de réception pour y accueillir des centaines d’invités. Un nouveau parcours, des visites guidées et des installations vous permettront de porter un nouveau regard sur « la maison des siècles ».
Les 10 activités à pratiquer dans le New South Wales (Australie)
Le New South Wales est un état australien dynamique offrant de multiples expériences à ses visiteurs. Riche de ses villes côtières et de son sublime littoral, de ses parcs nationaux aux paysages grandioses, de sa faune typique, de ses vignobles, de ses villages reculés, de ses villes animées, de son outback et de la présence de la culture aborigène, on ne compte pas le nombre d'activités possibles une fois sur place :
- Visite de Sydney à vélo
Le vélo est un moyen de se déplacer tendance et qui permet de découvrir des villes paisiblement et dans un total respect de l'environnement. C'est aussi le cas dans la grande métropole de Sydney. Dans la capitale du New South Wales, on peut commencer par enfourcher un vélo pour aller parcourir la baie et profiter des panoramas, entre monuments emblématiques et reflets bleutés de la mer. La Bay Run est un itinéraire d'un peu plus de 7 km très populaire et qui passe par le quartier Inner West, la baie d'iron Cove et plusieurs parcs offrant de superbes vues. Des tables de pique-nique sont mises à disposition pour une pause gourmande au soleil. Une autre alternative est de rejoindre Centennial Park à l'est de Sydney. Cette petite boucle permet de se mettre au vert et reste particulièrement adaptée aux balades en famille.
- Surf à Byron Bay
Byron Bay est une ville côtière située dans la partie nord-est du New South Wales. On aime s'y arrêter pour son ambiance bohème et relaxante. Tout simplement parce qu'il y fait bon vivre. Après avoir été fait un tour dans les boutiques de la principale artère commerçante menant à la plage, on rejoint l'étendue de sable pour profiter des belles vagues et s'initier au surf. Les conditions sont parfaites et alors que l'on glisse sur l'eau, il n'est pas rare de croiser ici et là le chemin d'un dauphin ou d'une tortue. Une fois que l'on a terminé, on peut toujours se dégourdir les jambes en rejoignant le phare de Byron Bay, qui offre une vue imprenable sur l'océan et les plages.
- Observation des baleines à Jervis bay
Une des plus belles expériences à vivre dans le New South Wales est celle d'aller observer les baleines, plus particulièrement les baleines à bosse. Ces grands mammifères marins sont en effet visibles de juin à octobre-novembre, lorsqu’ils migrent de et vers l’Antarctique. Plusieurs spots permettent de les observer dans le New South Wales : Byron Bay, la région de Sydney ainsi que Jervis Bay, le lieu favori de bon nombre de locaux et visiteurs. Situé à environ trois heures de route au sud de la capitale du New South Wales, des croisières y sont proposées et conduisent les curieux non loin des baleines qui batifolent tranquillement dans les eaux claires.
- Ascension du Harbour Bridge à Sydney
Sydney propose d'effectuer l'ascension de l'un de ses monuments les plus emblématiques : le Harbour Bridge. L'activité est bien entendu encadrée et se fait dans de parfaites conditions de sécurité. Une fois briefé et parfaitement équipé, l'escalade du « vieux cintre » comme il est surnommé par les habitants démarre. Tout le long de l'activité, on profite de vues incroyables sur la baie de Sydney et sur la skyline. Une fois arrivé au sommet du monument, on peut même apercevoir les Blue Mountains lors des journées les plus claires. Un instant magique et inoubliable qui se termine par la délivrance d'un certificat et une photo.
- Randonnée dans les Blue Mountains
La région des Blue Mountains, située à l'ouest de Sydney et classée au Patrimoine mondial de l'UNESCO, est un petit paradis pour les randonneurs. 140 km de sentiers de randonnée permettent de sillonner le parc national et de s'émerveiller des paysages qui se composent de forêts d'eucalyptus, de falaises de grès, de grottes souterraines, de canyons et de cascades. On y croise aussi la route de plusieurs animaux parmi lesquels des wallabies, des wombats, des perroquets et des opossums. L'idéal est d'effectuer une visite avec un guide aborigène afin d'en apprendre plus sur les secrets de cet espace naturel d'exception. À ne pas manquer non plus, les Jenolan Caves, d'anciennes cavités aux incroyables formations calcaires.
- Quad dans les dunes de sable géantes de Worimi
Port Stephens est une grande baie située à seulement 2h30 de route au nord de Sydney. On y profite de 26 plages et de villages côtiers. À une courte distance en voiture se trouvent les incontournables dunes de sable de Worimi, où l'on s'émerveille de la beauté de la nature de Port Stephens. Sur place, plusieurs activités possibles comme le sandboard, qui consiste à dévaler les dunes sur une planche. Autre activité très populaire dans le coin, une sortie en quad. Les aventuriers parcourent alors les dunes et profitent de bonnes doses de sensations au moment de les gravir et de les dévaler. Accompagné d'un guide, on en apprend aussi plus sur l'histoire aborigène locale.
- Oenologie dans la Hunter Valley
Située à seulement deux heures de route au nord de Sydney, la Hunter Valley est la plus ancienne région viticole d'Australie et un territoire bucolique à souhait. On s'y balade au milieu des vignes et on rejoint les spots dévoilant les plus belles vues panoramiques sur cette région verdoyante et délicatement vallonnée. On s'arrête aussi bien sûr dans les domaines où les viticulteurs accueillent les visiteurs pour présenter leur travail et participer à des dégustations des meilleurs crus. La Hunter Valley est une superbe destination gastronomique. Elle propose une multitude d'expériences en lien avec l'œnotourisme comme la visite et la dégustation dans des caves. On peut ainsi survoler les vignobles en montgolfière, déjeuner dans un restaurant gastronomique, apprendre à accorder formages et vins ou bien encore assister à un concert dans les vignes.
- Photo dans l’Outback
Il n'est pas nécessaire de rejoindre le centre de l'Australie pour admirer les sublimes paysages de l’outback. Les paysages de terres rouges et d'horizons sans fin sont également présents dans le New South Wales. Appareil photo en main, on part flâner sur les dunes de sable du parc national de Mungo, pour assister au spectacle d’un lac asséché et voir les scintillantes falaises blanches qui portent le nom de Walls of China. On fait aussi un détour par les gisements d’opales de White Cliffs, avant de passer par la cité de Broken Hill, ville minière reconnue pour ses artistes et ses innombrables galeries d'art.
- Snorkeling à Lord Howe Island
Lors d'un séjour dans le New South Wales, les amateurs de paysages paradisiaques se doivent de rejoindre Lord Howe Island, accessible en 2h d'avion depuis Sydney. Cette île subtropicale en forme de croissant, joyau bien gardé de l'État du sud-est de l'Australie, dévoile une nature remarquablement préservée. Les plages y sont bien évidemment d'une grande beauté, avec du sable fin, des eaux translucides et une nature environnante verdoyante. On a du coup de suite à cœur d'enfiler maillot de bain, masque et tuba, et d'aller pratiquer le snorkeling pour observer les splendides fonds marins. Lagoon Beach est le meilleur lieu pour cette activité.
- Saut en parachute à Wollongong
Wollongong est la troisième plus grande ville du New South Wales, une station balnéaire située sur la South Coast au sud de Sydney. Pour vivre une expérience incroyable, l'idéal est de partir de Sydney en voiture pour rejoindre la cité après être passé sur le Sea Cliff Bridge, ce pont spectaculaire qui surplombe la mer a été construit non loin des falaises. Il offre un paysage magnifique pour prendre des photos, surtout au moment du coucher du soleil. Une fois à Wollongong, on profite de nombreuses activités comme le golf, les balades à vélo, la découverte de beaux jardins botaniques, de la scène artistique, sans oublier les moments dans les cafés et les restaurants. Ceux qui aiment faire monter l'adrénaline peuvent tenter un saut en parachute depuis un avion à 4 200 m de haut. Ce saut, depuis lequel on profite de vues imprenables sur Wollongong avant de tranquillement se poser sur North Beach, est considéré comme l'un des plus spectaculaires d'Australie.
Longez le Pacifique à bord du train de luxe japonais Saphir Odoriko
Connue dans le monde entier grâce au Shinkansen, célèbre train à grande vitesse, JR EAST est la plus grande compagnie ferroviaire de passagers au Japon, qui transporte chaque jour 17 millions de voyageurs.
Son réseau couvre la moitié de l’île de Honshu, de la métropole de Tokyo à de nombreuses régions de l’Est du pays.
Un train se démarque toutefois des autres par son luxe : le Saphir Odoriko.
Envie de confort, de beaux paysages et d’une escapade relaxante loin de la la vie trépidante tokyoite ? Ce train est fait pour vous. Plus qu’un voyage, le Saphir Odoriko vous emmène à la découverte de la péninsule d’Izu : riche en sources d’eau chaude relaxantes, avec vue sur le bleu saphir de la mer, les paysages fleuris, cette destination appréciée notamment pour ses succulents fruits de mer, n’est qu’à 2h30 de la capitale et est l’endroit idéal où se retrouver pour un week-end entra amis ou en famille.
Aménagées par le célèbre designer Ken Okuyama, les voitures du Saphir Odoriko offre un confort exceptionnel : sièges spacieux, confortables, moelleux et pivotables vers la mer dans les Green cars, sièges plus privatifs et paisibles à bord des Green cars Premium, et salon privés pour des groupes de six personnes maximum (avec service des repas et des boissons à la place).
Le train comprend une voiture cafétéria servant repas, boissons (dont le jus de mandarine Satsuma, le thé vert Numacha et la bière artisanale Suun Hansharo) et pâtisseries que les voyageurs peuvent consommer à table ou assis au comptoir face à la mer. Lors de cette idyllique promenade, vous découvriez Izu-Kogen, Kadowakisaki, Sakuranamiki, avant d’atteindre Izukyu-Shimoda, haut lieu de villégiature situé à l’extrémité sud-est de la Péninsule d’Izu. Attention au départ !
Du Musée Berardo au Musée d'art moderne et contemporain, à Lisbonne (Portugal)
Ce 28 octobre, le Centro Cultural de Bélem (Lisbonne) inaugure un nouveau musée d’art moderne et contemporain en lieu et place du Musée Berardo.
La collection de l’homme d’affaires José Berardo, qui comprend des œuvres de Gerhard Richter, Francis Bacon, Piet Mondrian ou Joan Miro sera désormais présentée aux côtés d’oeuvres des collections Teixeira de Freitas et Ellipse.
Le Centre des monuments nationaux présente la 6esaison de l'Incubateur du patrimoine
Cette année, trois porteurs de projets intègrent le programme créé en 2018 par le Centre des monuments nationaux : Re’Up, Ygor et Les Flâneuses. Au programme : des projets au service de la responsabilité sociale et environnementale des secteurs du patrimoine, de la culture et du tourisme.
Pour cette promotion axée sur le thème de la transition, six thématiques ont été identifiées :
- Favoriser l’inclusion de tous les publics et renforcer le tissu social des territoires
- Encourager le «?mieux-être?» dans les sites patrimoniaux et améliorer le confort du visiteur
- Mettre en œuvre une gestion durable du patrimoine et de son environnement (espaces verts et maritimes, gestion des déchets, consommation énergétique)
- Prévenir et s’adapter aux risques climatiques
- Développer l’accès au monument par des mobilités vertes
- Contribuer à la sobriété numérique
36 porteurs de projet ont déposé leur candidature pour proposer des solutions innovantes au sein du réseau des monuments du CMN. Finalement, trois projets lauréats ont été sélectionnés par un comité de sélection : les Flâneuses, Re’Up et Ygor :
- Les Flâneuses conçoivent et réalisent des sièges mobiles anti-fatigue accueillant confortablement tous les visiteurs, (personnes âgées, enfants, personnes en difficulté de mobilité) et leur permettant de s'appuyer, de s'asseoir ou de transporter des affaires. Les Flâneuses souhaitent cartographier les singularités spatiales et organisationnelles des sites du CMN afin d’identifier les contraintes liées au déploiement de leur solution dans le patrimoine et de nourrir leurs travaux R&D sur de nouveaux prototypes.
- Re’up s’inscrit dans une démarche respectueuse de l’environnement en proposant des solutions de tri sélectif, de recyclage et de réemploi des déchets dans le secteur événementiel. L’expérimentation visera à améliorer le réemploi de déchets au sein du réseau du CMN, notamment ceux liés aux chantiers de restauration. Il s’agira également de tester « l’upcycling » de ces matériaux pour réaliser des produits souvenirs commercialisés dans nos boutiques.
- Ygor est une startup de participation citoyenne qui vise à développer pour les territoires et leurs habitants des applications et services visant à inciter les citoyens à s'engager, concevoir et relayer des missions participatives à fort impact. Au CMN, l’expérimentation vise à adapter la "briq", un système d'incitation basé sur un principe de points que les citoyens peuvent obtenir en participant à des missions (participer aux choix de programmation culturelle, contribuer à organiser des événements, accompagner des personnes fragiles dans la visite).
73ème troll de Thomas Dambo, à Elfy Park, aux Mazures (08)
C’est au bord du lac des Vieilles-Forges, dans le petit village des Mazures, que le 73ème troll de Thomas Dambo, s’est installe au milieu des lutins de Elfy Park. Ce site touristique, adherent au reseau departemental “Ardennes, Nature et aventures”, accueille Valdemar the Walker, statue de 3,50 m en bois recycle. Valdemar fait ainsi partie de la chasse au tresor mondiale initiee par Thomas Dambo, artiste danois qui se definit comme un Recycle Art Activist dont les codes dissimules au pied des 99 statues a travers la planete revelent une redoutable enigme.
La date limite de consommation (DLC) indique une limite impérative. Elle est signifiée par la mention « à consommer jusqu’au… » suivie du mois, du jour et éventuellement de l’année.
Elle s'applique à la majorité des produits à conserver au frais qui sont microbiologiquement très périssables. Il s'agit par exemple des aliments frais, tels que les viandes, les poissons, la charcuterie, les plats cuisinés réfrigérés, ainsi que certains produits laitiers.
Les denrées alimentaires assorties d’une DLC se conservent, en général, au réfrigérateur. Il faut respecter la température d’entreposage ou de conservation mentionnée sur l’emballage. En cas de rupture de la chaîne du froid, le produit est impropre à la consommation.
La date limite de consommation est fixée sous la responsabilité des professionnels lors de tests de vieillissement sur chaque produit.
A savoir : ne jamais congeler un produit dont la DLC est proche, atteinte ou dépassée.
La date de durabilité minimale (DDM) est apposée sur les denrées alimentaires qui ne sont pas soumises à une mention DLC. La date de durabilité minimale a remplacé la mention « date limite d’utilisation optimale » (DLUO) depuis la mise en application du Règlement européen n°1169/2011 à propos de l’information du consommateur sur les denrées alimentaires.
La DDM est présentée sous la forme « à consommer de préférence avant… ». Elle concerne les produits secs, stérilisés et déshydratés (café, lait, jus de fruit, gâteaux secs, boîte de conserve, pâtes, riz, sucre, farine, etc...)
Par ailleurs, les conditions de conservation, après ouverture, des denrées soumises à une DDM doivent être précisées.
Le dépassement de la DDM ne rend pas l'aliment dangereux mais il peut en revanche avoir perdu ses qualités nutritionnelles et gustatives (arômes, consistance...)
L'application Activ'Route
Avez-vous repéré, sur votre trajet, un nid-de-poule qui tarde à être rebouché ? Un carrefour dangereux qu’il faudrait aménager d’urgence ? Un ralentisseur hors norme qui peut provoquer des accidents ? Alors signalez-les. Cela ne vous prendra que deux minutes en utilisant l’application Activ’Route mise au point par la Ligue de défense des Conducteurs. Une fois la remontée d’information faite, l’association veille à ce que les travaux de réparation soient réalisés rapidement par les pouvoirs publics.
Activ’Route est téléchargeable dans l’Apple Store et sur Google Play.
« Fermes & Dépendances » de Catherine Scotto et Marie-Pierre Morel (Editions de La Martinière)
Malgré la disparition des exploitations agricoles, de nouveaux fermiers se retrouvent – par vocation ou par surprise – à la tête d’un patrimoine rural à rénover, à entretenir et, surtout, à faire perdurer. Fermes et dépendances brosse le portrait de onze de ces défricheurs connectés, informés et cultivés, qui sèment pour les générations futures. Avec un vrai sens esthétique, ils ont entrepris la restauration de leurs bâtiments en les adaptant à de nouveaux modes de production responsables.
Une ode à la beauté de l’esthétique rurale.
240 pages, 39,95€
« Les plus belles plages de France » de Christophe Chommeloux (Casa Editions)
À la plage on s’évade, on s’abandonne, on retrouve sa vraie nature, on touche à l’essentiel. L’océan, c’est la vie. Des confins de la Belgique au coeur du Pacifique, la France nous offre des milliers de bords de mer, tous plus vivifiants les uns que les autres.
Des plages d’Armor aux îles d’Or, du plus lointain atoll aux proches dunes du Nord,Christophe Chommeloux, spécialiste reconnu du farniente à la française, a sélectionné pour vous les 100 plus beaux endroits où poser votre serviette. Cet ouvrage est une réédition du livre Paradis de sable paru en 2021 : nouveau graphisme, nouveau format, plus pratique pour emporter en voyage avec soi.
192 pages, 21,95€
« Le compagnonnage. Voyager, apprendre,transmettre » de François Icher (Editions de la Martinière)
Depuis la fin du Moyen Âge, le compagnonnage est associé à la haute idée d’un homme créateur, bâtisseur et voyageur, qui transmet ses savoirs au sein d’une fraternité bienveillante. Dans cet ouvrage, l’historien François Icher invite à découvrir le compagnonnage dans toutes ses dimensions : son histoire, ses légendes, ses valeurs, sa vie communautaire ou encore ses lieux de mémoire. Il nous livre les éléments fondamentaux pour comprendre une institution ouvrière séculaire, qui a toujours su s’adapter pour répondre à l’évolution des métiers et de la société ainsi qu’aux attentes de la jeunesse.
Comme le souligne l'historien Maurice Agulhon, « François Icher nous oblige à réfléchir utilement sur la dialectique des changements et des continuités : une institution qui survit, qui se prolonge, qui dure, qui reste elle-même, en assumant par la force des choses un changement de rôle, de recrutement et de méthodes adapté aux bouleversements de la société ambiante. […] L’histoire du compagnonnage aujourd’hui ne peut se réduire à une histoire de faits et d’institutions, […] elle est aussi une histoire des représentations réciproques que se donnent les compagnons et la société globale, une histoire d’imaginaire en somme.
256 pages, 35€
« Peuples des Abysses, la grande migration verticale » par Fabien Michenet et Anthony Berbérian (Editions Au vent des îles)
A l'occasion de la sortie de l'ouvrage, le photographe animalier Anthony Berbérian, lauréat lauréat du prestigieux concours international Wildlife Photographer of The Year, fait le voyage de Tahiti jusqu’en France et sera présent à Paris du 25 au 31 octobre.
Une sélection des photographies seront exposées à la Délégation de la Polynésie française, 28, boulevard Saint Germain (Paris 5ème).
Une présentation de Peuples des abysses aura lieu le jeudi 26 à 18h à la Délégation de la Polynésie française, en présence de la déléguée Sarah Teriitaumihau.
Dans un milieu où règnent sans partage les ténèbres de la nuit, des pressions colossales et un froid uniforme, la vie a prospéré, foisonné, et exploré d’innombrables stratégies de survie, de prédation et de reproduction défiant nos préjugés.
Deux photographes animaliers témoignent de la grande migration verticale de la faune marine issue des grandes profondeurs, chaque nuit. à l’occasion d’innombrables heures de plongées nocturnes sur plusieurs années, de centaines de kilomètres de dérive au large des îles de Polynésie, et en réalisant des milliers de clichés en milieu naturel, ils ont documenté un phénomène universel et méconnu, qui rythme la vie océanique depuis toujours.
Cet ouvrage relate au travers de photographies inédites et spectaculaires cette aventure naturaliste et dévoile la réalité stupéfiante de la diversité océanique et abyssale. Au fil des rencontres imprévues avec ces animaux minuscules ou bien immenses, ces êtres transparents ou lumineux, ces monstres des grandes profondeurs, ces méduses létales et d’autres immortelles, ces animaux primordiaux vieux de centaines de millions d’années, bercés par les chants des baleines, en apesanteur, tous leurs sens furent stimulés à l’extrême.
Guide « 150 voyages romantiques autour du monde » chez guidesulysse.com
Truffé de photographies ravissantes et inspirantes, 150 voyages romantiques autour du mondeinvite à explorer en tourtereaux des lieux émouvants et enveloppants comme Hawaii, paradis tropical, Madère, l’île aux fleurs et aux jardins, et Malte, au rythme des festas.
Cet ouvrage convie à sillonner l’Acadie sur les traces d’Évangéline et de Gabriel, à jouir des sources chaudes de l’Islande, à revivre la mélodie du bonheur au Vermont et à voler au-dessus des cheminées de fée en Cappadoce. Il propose d’arpenter Prague en musique, Amsterdam et ses canaux, Québec sous la neige, les jardins secrets de Versailles et Copenhague en version hygge. Il incite à partir à la chasse aux aurores boréales en Laponie, en randonnée sur le Machu Picchu, à cheval en Patagonie, en safari au Zimbabwe et à la découverte de la Grande Barrière de corail en Australie. Il dévoile les secrets du Taj Mahal, construit par amour, vous surprend avec une lune de miel à Disney World et vous fait doucement naviguer sur le Mékong, le Danube et le Nil.
Les 150 voyages retenus sont regroupés en six grandes catégories : les destinations où se ressourcer en amoureux; les plongées romanesques dans l’histoire; les escapades galantes; les voyages d’amour et d’aventures; les évasions insolites et les fugues sentimentales au fil de l’eau. Leurs descriptions révèlent les idylles romantiques qu’elles inspirent et indiquent les meilleures pistes pour repérer le nid douillet idéal. Elles fournissent de plus des précisions sur la meilleure période de l’année pour les visiter et des conseils pour optimiser leur découverte et mieux en profiter.
224 pages, 39,95 CAN$
« Guide des jardins remarquables en Hauts-de-France »
Écrit par Sandrine Platerier, chargée de la protection des monuments historiques, correspondante jardins de la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC) des Hauts-de-France, le guide des jardins remarquables en Hauts-de-France offre une invitation à un voyage botanique.
L’ouvrage, édité par les Éditions du patrimoine, présente chacun des 32 jardins remarquables de la région par le biais de nombreuses illustrations, tout en indiquant l’histoire et les spécificités de ces lieux en complément des informations pratiques.
Prix : 11€
« Le Château de Médavy, comme un voyage » d'Anne-Marie Royer-Pantin & Philippe Abergel (Editions Esplanade)
Une découverte du château de Médavy, demeure de l'Orne située entre Perche, bocage et campagne d'Argentan, à travers son histoire, son architecture, ses décors intérieurs et ses personnages marquants.
Reportage photographique original de Philippe Abergel, accompagné de nombreux documents d'archives inédites.
168 pages, 34€
 
REPORTAGE DE LA SEMAINE
Exposition "La scandaleuse vie de la nature, Sex-Appeal" (Muséum de Toulouse, Haute-Garonne, France) Etonnante cette exposition que nous propose le Museum de Toulouse (31) en cette rentrée. Des siècles durant, la sexualité a alimenté de manière directe ou indirecte l'imaginaire de l'espèce humaine à travers des représentations de vulves sur les parois des grottes ornées ou la sensualité des chefs-d'oeuvre de la peinture ou de la sculpture. Souvent réduite aux fonctions de reproduction, la sexualité est pourtant omniprésente à travers l'ensemble des espèces animales et végétales. A l'heure où le monde scientifique nous alerte sur l'érosion de la biodiversité et sur les prémices de la sixième extinction, l'exposition «La scandaleuse vie de la nature, Sex-Appeal » nous invite à la découverte du monde discret, mais bien réel, de l'homosexualité des primates, de l'hermaphrodisme des escargots, du changement de sexe chez des poissons et de la polyandrie chez les oiseaux.
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