Je n'ai rien contre l'art contemporain pourvu que ça soit beau (à la différence de l'art « comptant pour rien »)
L'exposition « Les Aliénés du Mobilier national, le retour ! » qui s'offre à nous jusqu'au 7 janvier 2024, 42 Avenue des Gobelins, à Paris (13ème), n'a pas froid aux yeux en réinterprétant du mobilier ancien et de faible valeur patrimoniale et en apportant une réponse artistique à la question du devenir de cette part modeste du patrimoine décoratif français des 19ème et 20ème siècles.
Haut lieu du patrimoine et acteur majeur de la création contemporaine, le Mobilier national est pris en flagrant délit de récidive avec cette deuxième session : 39 créateurs enthousiastes pour 53 objets mis en scène dans un décor de tapisseries exécutées dans les manufactures nationales de Beauvais et des Gobelins.
Mais au fait, qu'entend t-on par aliéné ? Depuis le 17ème siècle, le garde-meuble royal, devenu Mobilier national, est une institution largement impliquée dans la création. L'établissement a toujours été libre de se délester, après avis d'un comité scientifique, de pièces stockées, inutilisées depuis longtemps et qui ont perdu leur intérêt pour l'ameublement sans avoir acquis un caractère patrimonial. Ces objets deviennent alors « aliénés ».
Avec cette réflexion sur la réutilisation de ce patrimoine mobilier « aliénable » et la présente exposition, le Mobilier national apporte des réponses artistiques au devenir de ces objets en leur donnant une seconde jeunesse.
Certains rappelleront que le Mobilier national soutient les métiers d'art et la création depuis le 17ème siècle, en assurant la conservation et la restauration de collections uniques au monde, tout en perpétuant et en transmettant des savoir-faire exceptionnels. Trois cents artisans d'art oeuvrent ainsi au sein de la vénérable institution, à Paris et en région. Et sept ateliers de restauration de se répartir les différentes spécialités du bois, du métal et du textile, aux côtés d'un autre atelier, celui de la recherche et de la création (créé en 1964 à l'initiative d'André Malraux, afin de promouvoir la création et le design contemporain en France).
D'autres (dont je fais partie) diront qu'il faut bien vivre avec son temps et que l'art, qui s'inscrit dans notre quotidien, a lui aussi le droit d'évoluer...
 
LE CLIN D'OEIL DU MOMENT
Voilà déjà deux siècles que le Dr James Parkinson décrivait pour la première fois une maladie caractérisée par des tremblements, une lenteur des mouvements et une rigidité du corps.
Cela fait un siècle que le neuropathologiste russe, Constantin Tretiakoff, découvrit en 1919 que l'altération du contrôle des mouvements du corps était le résultat de la destruction des neurones situés dans la « substance noire » du cerveau, ceux-là mêmes qui synthétisent la dopamine.
Il faudra attendre les années 1960 pour que soit proposé un premier traitement, la L-Dopa, qui consiste à combler la perte de production de la dopamine par des médicaments. Le problème est que l'efficacité de ce traitement est limité dans le temps alors que les symptômes de la maladie poursuivent leur inexorable avancée.
Les années 1990 virent l'apparition de la stimulation cérébrale profonde, consistant à implanter dans le cerveau deux électrodes pour stimuler électriquement les noyaux subthalamiques mais cette technique française trouve rapidement ses limites car elle ne convient qu'à moins de 10 % des malades (eux-mêmes âgés de moins de 70 ans).
Alors que la recherche tatonne, Santé publique France annonce d'ores et déjà une explosion du nombre de cas (+56 % d'ici à 2030). Le temps presse.
On imagine alors de remplacer l'apport de Dopamine (dont les effets sont limités dans le temps) par de l'apomorphine, une substance directement délivrée au cerveau grâce à une pompe logée sous la peau. Mais il y a un an, des médecins français font le pari de perfuser ce neurotransmetteur directement dans le cerveau et de manière continue H24.Cette première mondiale nommée DIVE (dopamine intra cérébro-ventriculaire) fait l'objet d'un essai clinique et s'adresse à des patients ayant atteints un stade de complications du traitement oral, avec des blocages et des dyskinésies (mouvements anormaux involontaires). Les premiers résultats sont très prometteurs : quasi-disparition des mouvements involontaire et réduction de 70 % des prescriptions orales.
La deuxième idée est de réintroduire dans le cerveau des cellules qui synthétisent la dopamine. Un premier essai clinique a vu le jour en Suède au début de cette année, qui a consisté à injecter des cellules souches embryonnaires programmées pour devenir des neurones synthétisant la dopamine. A suivre.
La troisième option se trouve du côté de Toronto (Canada) avec l'observation de l'amélioration de l'état de santé des malades parkinsoniens grâce aux ultrasons focalisés d'une échographie au niveau du cerveau. D'autres travaux sont aussi menés en utilisant des ultrasons pour détruire de manière unilatérale une structure cérébrale profonde impliquée dans le contrôle des mouvements volontaires. Les résultats plutôt encourageants malgré quelques effets secondaires (difficultés d'articulation, perte de goût et troubles visuels) ont montré une amélioration des symptômes de la maladie.
Une quatrième voie existe avec le projet NIR (Near Infra Red). Le but recherché étant d'envoyer au plus près des neurones des rayons lumineux d'une longueur d'onde proche de l'infrarouge afin de ralentir la dégénérescence des neurones et la progression de la maladie. L'utilisation d'un dispositif composé de trois parties (un stimulateur fournisseur d'énergie, implanté sous la clavicule, un boitier optique implanté sous la boite crânienne et une fibre optique logée dans les ventricules du cerveau) est nécessaire pour permettre de réveiller des neurones endormis et leur faire secréter à nouveau de la dopamine.
Cinquième et dernière piste: l'importance (démontrée) de pratiquer une activité physique. Celle-ci augmente la production d'énergie de nos cellules énergétiques, stimule les défenses antioxydantes de l'organisme, réduit les phénomènes inflammatoires menant à la dégénérescence des neurones et augmente la production des connexions entre ces derniers. Plusieurs études montrent en effet que les activités physiques d'endurance ont un effet positif sur l'équilibre, la vitesse de marche, la qualité de vie et le risque de chutes. La pratique du taï-chi, de la marche ou du yoga, et de la danse est recommandée.
 
 
MURIEL A L'OEIL
Les chefs-d’œuvre ont des secrets que les musées s’emploient à mettre au jour. L’expression s’applique tout particulièrement au cas de la Liseuse à la fenêtre, une huile sur toile réalisée par Johannes Vermeer vers 1657 à laquelle la Gemäldegalerie Alte Meister de Dresde, où elle est conservée depuis le XVIIIème siècle, a consacré une campagne de restauration aux résultats pour le moins spectaculaires. Une première série d’analyses, menées en 2017, avait révélé la présence d’un Cupidon, à l’arrière-plan du tableau, dissimulée sous une couche de repeint. Après avoir déterminé qu’il ne s’agissait pas là d’une volonté de l’artiste, l’institution a confié à ses restaurateurs le soin de dégager cette figure juvénile de l’amour afin de restituer la composition originale de l’œuvre.
La présence sous-jacente du personnage était connue depuis 1979, date à laquelle une radiographie avait permis de révéler que l’arrière-plan de l’œuvre comprenait originellement la représentation d’un tableau figurant un cupidon nu. Les spécialistes avaient alors émis l’hypothèse que le repeint avait été réalisé par Vermeer lui-même qui aurait ainsi souhaité modifier radicalement la composition de son œuvre, le tableau à sujet mythologique laissant ainsi la liseuse à son espace de solitude.
En 2017, la Gemäldegalerie a entrepris une importante série d’analyses scientifiques (réflectographie par rayons X, infrarouge, examens microscopiques), en parallèle de nouvelles recherches menées sur l’histoire de l’œuvre et de sa restauration. Un examen effectué avec la fluorescence X sur l’ensemble de la composition, et réalisé en partenariat avec le Rijksmuseum d’Amsterdam, a permis de démontrer que le repeint avait en réalité été réalisé au XVIIIème siècle, plusieurs dizaines d’années après la mort de Vermeer. Il a en outre été établi que le tableau était déjà modifié lors de son acquisition à Paris en 1742 pour le prince-électeur de Saxe Auguste II (1694-1733). Selon Uta Neidhardt, conservatrice en chef et commissaire de l’exposition, les repeints ne sont pas rares au XVIIIème siècle et plusieurs tableaux de Vermeer ont connu un sort similaire.
Grand Solennel de Notre-Dame de Paris, grande volée des 10 cloches lors de la commémoration de l'armistice de la guerre 14/18, le 11 Novembre 2014. Vues intérieures des beffrois.
Dimanche 29 octobre 2023 : Un jouet attaché au bout d’un manche à balai me suffit pour m’amuser avec mon maître.
Lundi 30 octobre 2023 : Ce matin, j’ai accompagné mon maitre en voiture pour faire les courses
Mardi 31 octobre 2023 : Ma première marche au pied du jour a été parfaite. Et mon maitre de m’accorder les félicitations du jury et un...petit gâteau en guise de récompense.
Mercredi 1er novembre 2023 : Après notre promenade matinale, mon maitre apprend le décès de sa maman. Nous préparons nos affaire et rentrons en Bretagne dans la foulée.
Jeudi 2 novembre 2023 : Deux jours sur la banquette arrière, avec pauses pipi régulières, ça donne envie de dormir
Vendredi 3 novembre 2023 : Mon maitre est excédé par mon niveau d’excitation.C’est que je suis incontrôlable depuis notre arrivée.
Samedi 4 novembre 2023 : De tempête en tempête, je sors en balade entre...deux averses
 
 
VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR...
L’épidémie des cancers (avec le Professeur Henri Joyeux)
A tous ceux qui ne veulent pas avoir un cancer, à tous ceux qui veulent guérir, à tous ceux qui ne veulent pas connaitre une récidive. Trop de cancérologues n'ont pas le temps de parler de prévention. Quand le cancer est là, ils considèrent que c'est trop tard et n'osent pas évoquer les causes, alors que si les causes premières persistent, les risques de rechute sont évidents... Le Pr Henri JOYEUX tente de répondre à vos questions pour toutes les localisations cancéreuses, quel que soit l'âge ; il ose dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas : "L'épidémie" des cancers peut régresser... Un public solidement informé, par ses changements de comportements, parviendra même, selon lui, à tuer le cancer. https://youtu.be/huCpl_hzAoM
Comment lutter contre Alzheimer et Parkinson (avec le Professeur Henri Joyeux)
Le Pr Henri JOYEUX, ancien chirurgien cancérologue et chirurgien des hôpitaux, a aussi enseigné à la faculté de médecine de Montpellier, s’installe sur ABC TALK TV pour une série d’émissions sur la santé. Saviez-vous que le premier signe d’Alzheimer n’est pas la perte de mémoire ? Connaissiez-vous l’un des premiers signes de Parkinson, en dehors du tremblement ? Le Professeur Henri JOYEUX répond à toutes vos questions. Pour écrire au Professeur : emissionhenrijoyeux@gmail.comhttps://youtu.be/LqsWq9UcOR0
 
 
NOUS PRENDRAIT-ON POUR DES ABRUTIS ?
Mais que suis-je donc venu faire dans cette galère ? A l’air de dire ce petit garçon :
Automobilistes...et vaches à lait ! (source: 40 millions d’automobilistes)
12,5 milliards d'euros. C'est ce qu'a rapporté à l'État le parc de radars en France en 20 ans.
Il faut dire qu'à l’heure actuelle, le compte n’y est (vraiment) pas pour les usagers de la route :
1) Le déploiement des radars en tous genres continue, bien que la mortalité routière ne baisse plus depuis 2013 : la preuve que le système poursuit aujourd'hui davantage un objectif lucratif que de sécurité. Encore cette année, on estime que les amendes générées par les radars rapporteront environ 955 millions d'euros, prélevés dans la poche des citoyens.
2) Une partie significative de l’argent des amendes radars ne sert en réalité aucun objectif de sécurité routière, contrairement à ce qui avait été exposé initialement : un rapport de la Cour des Comptes de 2021 estime que près de 40% des dépenses du CAS routier (budget auquel revient l’argent collecté au titre des contraventions routières) sont sans rapport avec la politique de sécurité routière.
3) Trop peu a été accordé aux automobilistes en contrepartie des restrictions dont ils sont victimes : l'état des routes se dégrade continuellement, les comportements réellement dangereux sur la route pullulent en toute impunité, et l'accès à la voiture ainsi que son usage, bien que primordiaux, sont toujours plus coûteux.
"40 millions d'automobilistes" s’efforce, non seulement de faire cesser cet objectif lucratif mais aussi de faire en sorte que l'argent collecté via les radars reviennent aux usagers de la route en finançant des mesures qu'il souhaitent vraiment.
C'est de notre argent dont il s'agit : il est donc parfaitement légitime qu'il nous revienne pour renforcer notre sécurité et notre accès à la mobilité.
Selon Chainalysis, les pays émergents en tête de l’adoption des cryptos
Chaque année, l’entreprise Chainalysis, spécialisée dans l’analyse de blockchain, publie son ?Geography of Cryptocurrency Report?. Un rapport qui permet de faire le point sur l’adoption de Bitcoin et des cryptos à travers le monde :
- L’Inde, le Nigéria et le Vietnam, sont les leaders de l’adoption des cryptos. Ils sont suivis des États-Unis et de l’Ukraine. De son côté, la France arrive à la 23ème place. Toutefois, Chainalysis a tout de même identifié une chute de l’adoption globale depuis la fin 2021. Cela peut notamment s’expliquer par la fin du bull market.
Néanmoins, tous les pays n’ont pas fait face à cette chute de l’adoption. Ainsi, Chainalysis a identifié un segment de pays où l’adoption a continué d’augmenter. Il s’agit des pays émergents, ou à revenu moyen inférieur (LMI). Le LMI est l’une des quatre désignations utilisées par la Banque mondiale pour classer les pays en fonction de leur niveau de richesse, sur la base du revenu national brut par habitant. Pour rappel, cela représente 40?% de la population mondiale.
- Sept pays ont connu une augmentation des flux entrants en Europe centrale, septentrionale et occidentale vers les échanges décentralisés : l’Albanie, le Luxembourg, la Lettonie, l’Espagne, le Royaume-Uni, la France et la Lituanie. (source : le Journal du Coin)
 
 
LE PETIT MANUEL DU RESISTANT
CSI (Conseil Scientifique Indépendant) N°122 du jeudi 2 novembre 2023 : Le Docteur Jessica Rose nous parle aujourd’hui des rapports d’effets indésirables associés aux vaccins Covid dans le VAERS (Etats-Unis)
Nous arrivons bientôt au terme de l’année 2023 et je m’aperçois que je vous ai pas beaucoup parlé du 150ème anniversaire de la disparition de Napoléon III.
Mieux vaut tard que jamais, et voici ci-dessous un rappel d’évènements commémoratifs de cet anniversaire pour cette fin d’année :
- A Fontainebleau,et jusqu’au 19 novembre, exposition « Fontainebleau, la ville sous le Second Empire » à la médiathèque municipale.
- A Boulogne-sur-Mer, et jusqu’au 15 décembre, exposition « Boulogne sous le Second Empire » et nombreuses conférences.
- A Saint-Cloud (92), jusqu’au 18 février 2024, accrochage commémoratif «Napoléon III (1808-1873), dans l’intimité du Palais de Saint-Cloud » au Musée des Avelines.
- A Compiègne, le 15 novembre, à 18h30, conférence « Les tableaux présentés par l’Impératrice Eugénie à l’Exposition de 1867 à Malmaison ». Entrée gratuite et sans réservation.
- A Fontainebleau, le 17 novembre, à 20h30 : conférence « Eugénie à Fontainebleau » par Jean Vittet, Conservateur en chef du château de Fontainebleau.
Le 18 novembre au théâtre municipal, en matinée : bal de démonstration. L’après-midi, jeux impériaux puis pièce de théâtre « prise de bec » de Laurent Tixier. En soirée : mini-concerts de tambours par la Garde Républicaine et les élèves des conservatoires de Fontainebleau et de Château-Thierry.
Le 19 novembre, toujours en matinée : marché place Napoléon , cour Charité Royale (exposition ouverte). L’ après-midi : théâtre municipal : musiques festives par l’orchestre Eugénie.
- A Rueil-Malmaison, le 25 novembre, colloque « Louis-Napoléon Bonaparte, d’un Empire à l’autre », remise du prix Napoléon III et Salon du Livre Empire, à la médiathèque Jacques-Baumel.
- A Pau le 2 novembre, à 14h30, conférence « Pau sous le Second Empire : les grands travaux ».
- A Saint-Germain en Laye, le 6 décembre, à 18h30 au Musée d’Archéologie nationale, Domaine national de Saint-Germain en Laye, conférence « Napoléon III et Malmaison : histoire d’une restauration ». Entré gratuite et sans réservation.
- A Rennes (35), à partir de 18h00, a l’hôtel Novotel 2 Avenue de la Noue, conférence « Voyage au cœur des Expositions Universelles sous le Second Empire » par Régis Rouillier. Exposition d’une soixantaine d’objets, souvenirs historiques et documents d’époque en rapport avec le sujet.
- A Pau, le 16 décembre, à 14h30, conférence : De Louis Napoléon Bonaparte à Napoléon III, l’homme derrière les personnages »
 
 
DU COTE DE CHEZ NOUS
Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix: Poussez-vous, je suis le Duc de Bourgogne ! (https://odysee.com/@campagnoltvl:2/serend4:8)
 
 
COMMEMORATIONS
Fondation des Concerts Colonne il y a 150 ans (le 9 novembre 1873)
Fondé par Edouard Colonne sous le nom d’Association artistique des Concerts Colonne, l’orchestre Colonne figure parmi les plus anciens orchestres associatifs parisiens encore en activité.
Cet orchestre fut étroitement lié à la carrière de son fondateur par ailleurs violoniste et chef d’orchestre.
Salon international du Tourisme et des Voyages, du 10 au 12 novembre 2023, à Colmar (68)
1er Salon du Tourisme Grand public du Grand Est, le SITV est avant tout une invitation au voyage, à la découverte et au rêve, le temps d’une journée, d’un weekend, celui du vendredi 10 au dimanche 12 novembre 2023. Il bénéficie d’une population avec un fort pouvoir d’achat, mais aussi d’une situation stratégique exceptionnelle.
Son but est de tout mettre en œuvre pour offrir aux visiteurs du salon une expérience inoubliable, un voyage immersif et une bouffée d’oxygène pure, en proposant au public un tour du monde complet, vers des destinations plus exceptionnelles les unes que les autres, et faire du SITV le rendez-vous pour programmer son prochain road trip.
Alors prenez votre sac à dos et venez vous laissez porter vers un nouvel horizon ensoleillé, et profitez de ce weekend pour vivre une expérience unique et énergétique à l’occasion de cette 38e édition du SITV !
HOLD-UP trois ans après, le 11 novembre 2023, à 20h00 sur www.citizen-v.com
Trois ans après le lynchage médiatique du film HOLD-UP
Trois ans après la censure du film en moins de 24h par VIMEO
Trois ans après le début d’une « guerre » mondiale déclarée à un virus, retour sur les dessous de cette sortie et sur ces trois années historiques et planétaires et rendez-vous le 11 novembre à 20h00 pour suivre cinq heures d’émissions-débats enregistrées en studio dans les conditions du direct, autour d’invités prestigieux, des personnalités inattendues, des anonymes bouleversants d’humanité et questionnés par de vrais reporters citoyens.
Festival « Au Fil des ailes » du 8 au 25 novembre 2023, en région Grand Est
Festival biennal, itinérant et gratuit depuis sa première édition en 2009, « Au fil des ailes » réunit les curieux, les lecteurs et les professionnels du livre autour d’une programmation itinérante et éclectique. Cette année, le festival reçoit vingt-et-un auteurs francophones originaires des cinq continents. Par leurs récits, ils suscitent en nous des rêves, des questions, des désirs, des émotions, et surtout l’envie d’en apprendre plus sur l’autre et l’ailleurs.
Salon « Résonances », du 10 au 13 novembre 2023, à Strasbourg (67)
Près de 200 créateurs d'art sont à cette occasion réunis par la Fédération des métiers d’art d’Alsace pour cette manifestation dédiée exclusivement à la vente d’objets de métiers d’art.
Considéré par les professionnels du secteur comme le salon phare des métiers d’art en France, ce salon est devenu un événement incontournable pour les prescripteurs en quête d’œuvres inédites, les collectionneurs et les amoureux d’objets singuliers.
Au nouveau parc d’expositions Wacken (Hall 1), Avenue Herrenschmidt, à Strasbourg (67)
Paris Photo 2023, du 9 au 12 novembre 2023, à Paris (75)
Paris Photo vous propose cette année un parcours florissant de 191 galeries et éditeurs au Grand Palais Éphémère avec un large éventail d'œuvres photographiques de la scène française et internationale, des plus classiques aux artistes émergents.
À ne pas manquer : le tout nouveau secteur digital sous la direction de Nina Roehrs, où l'art et les nouvelles technologies se rencontrent, et le parcours "Elles x Paris Photo" avec une sélection de 35 artistes soutenues par Kering Women In Motion.
Un panorama d'expositions, de rencontres festives et de prix photographiques du 8 au 12 novembre prochains pour tous les passionnés, collectionneurs ou amateurs de photographie.
Au Grand Palais éphémère, Champ de Mars, Place Joffre, à Paris (7ème)
20ème Festival international Film et Livre d'aventure, du 12 au 19 novembre 2023, à La Rochelle (17)
Fort d’une belle édition 2022 qui marquait le retour à un festival 100% en présence, le FIFAV revient à un format inspiré de l’édition 2019. En clair, nous poussons les murs pour répondre à l’engouement constaté et satisfaire le plus grand nombre.
Deux grandes salles de projection à l’Espace Encan, quatre expositions, une programmation littéraire élargie, l’ouverture au podcast et un Quai de l’Aventure revisité, sans oublier la programmation spéciale 20 ans... Soit 137 séances et rendez-vous !
« Paris jubile » à la Samaritaine, du 8 novembre 2023 au 9 janvier 2024, à Paris (75)
Pour les fetes de fin d’annee, la Samaritaine se transforme en Palais des gourmandises ! Finie la demi-mesure, du 8 novembre au 9 janvier, le grand magasin celebre la fete, l’art de vivre a la Francaise, pour vous plonger dans un univers ou regne le plaisir.
La Samaritaine met les bouchees doubles pour vous mettre en appetit, avec une selection aux couleurs allechantes et aux formes genereuses, des accessoires qui jouent sur les formats XXL et XXS, et des matieres laquees, brillantes ou moelleuses. Dans les vitrines, la monochromie prime, mandarine, bleu nuit ou grenade, les objets s’accumulent, avec des pieces montees de sapins, des mains gantees au service des produits, des miroirs qui refletent a l’infini, et une foule de mannequins prets a danser.
Pour faire briller les fetes, les lustres majestueux de Mathieu Lustrerie illuminent les vitrines ! Ils habillent aussi l’entree de Rivoli et le marche de Noel de la Scene Pont-Neuf, ou un banquet nappe et genereux vous attend. Carte blanche de la saison, la photographe Gab Bois partage quant a elle sa vision detournee de la gourmandise pour en faire un art recreatif et euphorique, tout comme la mode qu’elle reinvente en terrain de jeu inspire. Pour la Samaritaine, elle expose ses creations pret-a-porter gourmandes et realise un lustre gigantesque debordant de bonbons. Retrouvez sa vision decalee aux quatre coins du magasin.
Avec « Paris Jubile », la Samaritaine demontre son art de recevoir pour un moment d’allegresse. Apres les amuses-bouches, decouvrez nos animations fleuries, festives ou a croquer. La cerise sur le gateau ? Le grand magasin est partenaire de Warner Bros. pour la sortie exuberante, feerique et savoureuse du film Wonka : Pour celebrer la sortie du film WONKA le 13 décembre prochain au cinéma, l’extraordinaire inventeur, magicien et chocolatier Willy Wonka pose ses valises à Paris et ouvre sa boutique au coeur de la Samaritaine. Du 8 novembre au 3 janvier, à l’Atrium, découvrez un décor gourmand inspiré du film et de l’univers féérique de Charlie et la chocolaterie. À cette occasion, le traditionnel sapin de Noël se transforme en gigantesque arbre en chocolat ! Ce n’est pas tout : WONKA et ses bonbonnières multicolores s’emparent également de la vitrine de la Boutique de Loulou, pour le plus grand plaisir des passants (Bâtiment Pont-Neuf, -1 et RDC).
Expérience immersive « The Little Prince World », à Miami (Floride, Etats-Unis)
Le 13 octobre dernier s'est ouvert à Miami - sur L'île de Watson - The Little Prince World, un dôme gigantesque renfermant une expérience immersive inédite autour du chef-d’œuvre de Saint-Exupéry.
Depuis l'intérieur du Dôme, les visiteurs voyagent avec Le Petit Prince et découvrent des personnages fascinants, le tout dans l'étreinte immersive d'un environnement spectaculaire. Dans cet univers, l'imagination ne connaît aucune limite et l'esprit du Petit Prince prend vie. Dans la structure, les visiteurs plongeront dans l’univers du Petit Prince dont l’histoire se déroule sous leurs yeux. Ils pourront ainsi voler avec le narrateur, se promener dans un désert, apprivoiser un renard ou encore chérir une rose.
Guide de voyage « Les 50 plus beaux itinéraires autour du Monde »
Par où commencer quand l’élan de l’aventure s’empare de son cœur, en quête d’expériences nouvelles et assoiffé de découvertes ? Répondre présent à l’appel du monde pour aller à la rencontre de l’autre et de soi, de cultures et de contextes; prendre le large en toutes saisons pour saturer sa rétine de beauté, pour s’émouvoir et apprendre; voyager pour mieux comprendre notre planète, ses écosystèmes, ses trésors historiques, ses humains et ses animaux. Pour oser réaliser ses rêves et choisir, devant l’ampleur inouïe des possibilités, la destination qui interpelle, Ulysse présente la toute nouvelle édition du guide Les 50 plus beaux itinéraires autour du Monde. Comme une ode à la beauté du monde, voici une invitation à s’évader pour mieux apprécier, à expérimenter pour mieux prendre soin.
Ce guide aborde l’aventure en fonction d’une thématique particulière et est classé dans le mois de l’année au cours duquel il est le plus agréable de le parcourir. Décrits au jour le jour, les itinéraires mettent en lumière les expériences inoubliables à vivre, les attraits, les sites historiques et naturels, les plages, les villes et villages à explorer, les activités de plein air à pratiquer et les paysages spectaculaires à admirer. Les parcours s’accompagnent d’un plan, d’encadrés qui dévoilent des anecdotes ou les coups de cœur des auteurs ainsi que de capsules mettant en lumière des faits étonnants, des informations historiques ou des repères pour mieux planifier son séjour. La section « À la carte » présente quant à elle un bref portrait des pays couverts, détaillant notamment la capitale, les langues officielles, quelques règles d’étiquette et un artiste à découvrir.
208 pages, 51 cartes, 27,99€
Guide gratuit sur les villes et pays d'art et d'histoire du Grand Est
La DRAC Grand Est vient de rééditer une publication qui valorise les 15 territoires du Grand Est labellisés Villes et pays d'art et d'histoire. Cette publication met en lumière la richesse et la diversité des villes et pays labellisés du Grand Est et invite à découvrir leurs patrimoines et les actions de médiation mises en place.
« Costumes de scène », jusqu'au 27novembre 2023, à Sermaises (45)
Le Centre National de Création Orléans-Loiret et la commune de Sermaises proposent un voyage à la découverte des costumes de scène. C'est une occasion rare de passer de l'autre côté du rideau, de découvrir ce qui se joue en coulisses et d'apprécier, au plus près, le savoir-faire des artistes-artisans de l'ombre.
Cette exposition met en avant le travail extraordinaire de Chouchane Abello-Tcherpachian. La créatrice de costumes, qui accompagne les créations du CADO depuis de nombreuses années, et sait s'entourer d'une myriade d'artistes et d'artisans (plumassiers, perruquiers, dentelliers...).
Pour Christophe Lidon, metteur en scène et directeur du CADO, c'est un "travail sensible, spectaculaire et intelligent" car "elle n'oublie pas son lien affectif aux artistes et les raisons intimes qui lient les acteurs à leurs costumes."
Accompagnée de Fanny, qui répondra à toutes les questions, la visite est agrémentée de nombreuses explications et anecdotes, notamment sur les costumes et accessoires issus de créations de Christophe Lidon (la Tempête, l'Impresario de Smyrne, la Vie est un Songe...).
Après avoir notamment été utilisés sur la scène du théâtre d'Orléans, ces costumes, perruques et accessoires ont encore, aujourd'hui, des histoires à nous conter ou à nous inspirer.
Dans le hall d’accueil de la mairie, 16 rue de Paris, à Sermaises (45)
«Podium 1896 : Les archives racontent l'art et le sport au tournant du XXème siècle », jusqu'au 4 janvier 2024, à Strasbourg (67)
À l’occasion de l’Olympiade culturelle, cette exposition, conçue par la DRAC Grand Est, et présentée sur les grilles extérieures du Palais du Rhin, propose un regard entre patrimoine et pratiques sportives en Alsace de 1896 (premiers Jeux Olympiques de l’ère moderne) à 1924 (Jeux d’été de Paris).
Oy y voit les pratiques sportives en Alsace de 1896 à 1924 : illustré par des documents d’archives, des photographies et des objets conçus durant cette période, le parcours se déroule selon les thèmes suivants :
- Le renouveau des JO en 1896
- Arts et sports
- Les femmes et le sport
- le sport en Alsace à travers : L’évolution des pratiques sportives ; Les équipements sportifs ; Les grands évènements sportifs; Une petite galerie de portraits.
Sur les grilles extérieures du parc du Palais du Rhin – siège de la DRAC Grand Est – 2 place de la République à Strasbourg (67)
« L'art de courir », jusqu'au 3 décembre 2023, et du 16 janvier au 30 octobre 2024, à Manderen (57)
Cet accrochage étonnant est consacré à l’engouement planétaire en faveur de la course à pied. Avec deux artistes de stature internationale : le photographe JR et le dessinateur Lorenzo Mattotti.
Tout, dans cette exposition foisonnante, a de quoi séduire le visiteur. A commencer par sa profusion : dessins, photographies, vidéos, sculptures, objets et même travail sur le son (ce dernier offrant d’ailleurs une immersion saisissante dans l’activité physique la plus pratiquée des Français-entre 12 à 15 millions d’entre eux selon les sources) : entre les bruits de la ville et de la nature, en passant par l’écoute de podcasts, c’est l’univers propre aux pratiquants de la course à pied dont on se rapproche par l’intermédiaire de dispositifs sonores.
Une exposition séduisante également, en raison des thèmes abordés au gré du parcours : « la course à pied, un hymne à la liberté », « la course à pied investit la ville », « féminisation de la course à pied », « course à pied et écologie », « quand les révolutions technologiques révolutionnent les pratiques »… Sans oublier, en guise d’entrée en matière, une synthèse de l’histoire des Jeux Olympiques mettant les coureurs à l’honneur, à commencer bien entendu par ses premières légendes : les marathoniens des Jeux de la Grèce antique.
Au Château de Malbrouk, rue du Château, à Manderen (57)
« Une autre histoire du monde » du 8 novembre 2023 au 11 mars 2024, à Marseille (13)
Cette exposition entend présenter de manière accessible et réflexive une histoire décentrée du monde du XIIIèmeau XXIèmesiècle. Sans prétendre représenter le monde dans sa totalité, elle propose aux visiteurs d’abandonner la perspective occidentale encore dominante aujourd’hui, afin de privilégier d’autres points de vue en Asie, en Afrique, en Amérique et en Océanie, où sculptures, peintures, textiles, cartes, objets archéologiques, manuscrits et arts décoratifs donnent à voir autrement les mondialisations successives. Ces œuvres permettent d’appréhender le rapport au temps et à l’espace des sociétés en dehors de l’Europe tout en mettant en lumière leur manière d’écrire l’histoire. Peau de bison lakota, bambou gravé kanak, sarong historié javanais, récit de griot sénégalais témoignent ainsi de l’infinie richesse des historiographies vernaculaires.
Les voyages et les explorations des marchands, pèlerins et savants arabes, asiatiques ou africains qui «découvrent» des contrées lointaines et produisent de nouveaux savoirs vont venir bouleverser ces conceptions du monde dites traditionnelles. Les cauris africains comme les cartes de navigation chinoises nous rappellent avec force que la mondialisation fut multipolaire, en Asie centrale, dans l’Océan indien et bien au-delà.
Dans le prolongement du décloisonnement progressif du globe, les Européens eux-mêmes deviennent les sujets de nombreuses et parfois déroutantes représentations, et le monde, un objet de multiples curiosités et d’ambitions encyclopédistes hors d’Occident. Face au récit européo-centré produit par les empires coloniaux à partir du XVIIèmesiècle, les souverains, les élites et les artistes des autres continents ont cherché à se réapproprier leur histoire, parfois en s’inspirant des pratiques occidentales, pour mettre en scène leur pouvoir ou la résistance anticoloniale. De nouveaux romans nationaux leur permettent aujourd’hui de réécrire leur passé en réinventant leur rapport au monde.
Au Mucem J4, à Marseille (13)
« Claude Gillot, Comédies, fables et arabesques » du 9 novembre 2023 au 26 février 2024, à Paris (75)
Dessinateur et graveur des dernières années du Grand siècle, Claude Gillot tient une part de sa réputation à la fantaisie et à l’originalité de ses oeuvres, préfigurant la liberté de ton et de moeurs de la Régence.
Parodies paillardes, scènes de sorcellerie, arlequinades et improvisations de foire font avant tout de lui un artiste de la satire, de la comédie et des arts du spectacle. Ses innombrables dessins, recherchés des collectionneurs, témoignent d’une intense activité dans une large variété de domaines, dans l’illustration, au théâtre et à l’opéra, pour le costume et pour le décor.
Au coeur de son oeuvre, Gillot affiche un attrait pour le comique de la Comédie italienne, avec ses pantomimes, ses acrobaties et ses figures travesties. Costumier et décorateur pour l’Opéra, l’artiste est aussi ornemaniste, collaborant avec Claude III Audran pour des intérieurs privés, renouvelant alors le répertoire ornemental de l’arabesque.
Riche d’invention, d’étrangeté et de poésie, l’art railleur de Gillot, d’une vivacité et d’une verve joyeuse, donne de son époque une image jubilatoire, faite de réjouissances qui sont déjà celles des fêtes galantes de la Régence.
Au Musée du Louvre (Aile Sully, 2è étage,Salle de l’Horloge), rue de Rivoli à Paris (1er)
« Georges Hugo », du 10 novembre 2023 au 10 mars 2024, à Paris (75)
Georges Hugo (1868-1925), petit-fils du poète, immortalisé enfant par “L’Art d’être grand-père”, fut peintre, le premier d’une lignée familiale qui se poursuit aujourd’hui. Dilettante de grand talent, il fut une sorte de chroniqueur proustien. Cette exposition monographique lui rendre hommage et invite à le découvrir.
Bercé par une enfance trop heureuse, héritier de la gloire de Victor Hugo, riche mais prodigue, mondain mais matelot, témoin de la Belle époque et peintre de guerre, il est resté émerveillé d’avoir vu son grand-père dessiner. Il est artiste dans l’âme et peint comme Proust écrit, chroniqueur de sa propre mémoire et mémorialiste du temps qui passe.
L’exposition retrace la vie et l’œuvre de Georges Hugo à travers peintures, aquarelles et dessins. De nombreux prêts provenant des archives familiales permettent de présenter des documents inédits illustrant les différents aspects de son existence.
A la Maison de Victor Hugo, 6 Place des Vosges, à Paris (4ème)
« Goûter le monde. Le banquet des merveilles » jusqu'au 11 décembre 2023, à Epernay (51)
Célébrer le partage, l’ouverture au monde, le goût de la collection et l’amour de la nature, c’est ce que propose l’exposition Goûter le monde. Le Banquet des merveilles.
Réunissant notamment des œuvres exceptionnelles de Louis Majorelle, d’Emile Gallé, de Claude Lalanne, de Christofle et de grands designers contemporains, elle fait dialoguer près de deux cents pièces autour de la célébration du vivant par le prisme artistique.
Hommage aux collectionneurs du Château Perrier et de la Maison Perrier-Jouët, l’exposition est une ouverture au monde dans laquelle la relation entre nature et culture est révélée.
Au Musée du vin de Champagne, 13 Avenue de Champagne, à Epernay (51)
«Les aliénés du Mobilier national, le retour ! » jusqu'au 7 janvier 2024, à Paris (75)
Depuis le XVIIème siècle, le Mobilier national est un haut lieu de patrimoine et de création contemporaine. Pour répondre à ses missions, l’institution s’est toujours délestée, après avis d’un comité scientifique, de meubles stockés,
inutilisés depuis longtemps et qui ont perdu leur caractère patrimonial. Ces pièces, jusqu’alors inaliénables, deviennent « aliénées » . Elles peuvent alors être détruites, vendues ou même réutilisées pour récupérer les matériaux dont
elles sont composées.
Dans le cadre d’une démarche innovante et écologique, le Mobilier national a choisi de confier certaines de ces pièces à des artistes plasticiens. Pour la deuxième promotion des Aliénés, ce sont ainsi trente-neuf créateurs contemporains qui ont eu « carte blanche » pour réinterpréter, selon leur sensibilité, ce mobilier ancien et de peu de valeur patrimoniale afin qu’il puisse réintégrer les collections du Mobilier national.
L’occasion de découvrir 53 œuvres inédites, métamorphosés par 39 créateurs contemporains.
Au Mobilier national, 1 rue Berbier du Mets, Galerie des Gobelins, à Paris (13ème)
« Noël Coypel, peintre de grands décors », jusqu'au 28 janvier 2024, à Versailles (78)
Malgré ses nombreuses réalisations, le nom de Noël Coypel est aujourd'hui éclipsé par celui de ses fils : Antoine et Noël-Nicolas Coypel ainsi que son petit-fils Charles-Antoine Coypel.
À travers une sélection de plus de 80 oeuvres (peintures, dessins, cartons de tapisseries, etc.), cette exposition permet de souligner les talents de coloriste et de dessinateur de Noël Coypel.
La première partie de l'exposition prend place dans la Galerie des Cotelle au Grand Trianon, où sont présentées les oeuvres retraçant les grandes réalisations du peintre. C'est une occasion inédite de découvrir des décors disparus, comme le petit appartement du roi aux Tuileries, des ensembles peints pour le Grand Trianon ainsi que des réalisations encore visibles aujourd'hui, notamment au Parlement de Bretagne à Rennes et à l'église royale des Invalides. Ces derniers seront visibles grâce à des dispositifs numériques.
Le parcours se poursuit dans le Grand appartement de la Reine au château de Versailles, avec la présentation de dessins et d’esquisses en relation avec le plafond de la salle des Gardes de la Reine, décor réalisé par Coypel, et qui a fait l’objet d’une restauration entre 2015 et 2017.
« Le Japon en couleurs. Photographies du XIXème siècle », du 8 novembre au 31 décembre 2023, à Paris (75)
À l’occasion d’une publication aux éditions Volonté d’art, le musée des Arts décoratifs présente à la bibliothèque, du 8 novembre au 31 décembre 2023, l’exposition « Le Japon en couleurs. Photographies du XIXème siècle. ». 35 photographies inédites rehaussées de couleurs issues du fonds de photographies japonaises composé de plus de 800 épreuves, illustrent une vision pittoresque du Japon. Appartenant à la vogue des « Yokohama Shiashin », ces images offrent une version théâtralisée et stéréotypée du pays du Soleil Levant.
A la bibliothèque du Musée des Arts décoratifs, 111 rue de Rivoli, à Paris (1er)
 
 
SAVOIRS
France Terme : Mêlée ouverte aux termes français
La Coupe du monde de rugby a vu s’affronter le raffut du règne animal et la sève débordante du règne végétal.
Une compétition où des Antilopes sud-africaines coupent l'herbe et la fougère sous les crampons des All Blacks, où le XV de la Rose et les Samoa au Teuila ne se font pas de fleurs, et où les Chardons ont le choix entre piquer suffisamment le ballon et se faire piétiner.
Pour le Trèfle et le Poireau, l’enjeu est de survivre aux ratissages des adversaires, tandis que les Chênes roumains doivent veiller à ne pas se faire déraciner. Côté Téros d’Uruguay, le risque est de se faire voler dans les plumes par force àcoups dechapeau. Un tel tournoi est en tout cas l’occasion pour les Brave Blossoms japonais de se refaire la cerise après quelques années peu florissantes, et pas question, pour les Italiens, de se reposer sur leurs lauriers.
Chaque équipe souhaite que les Tongiens à la colombe la laissent poursuivre le tournoi en paix, et peut s’appuyer sur ses atouts spécifiques : la meute de Lobos portugais est bien armée pour les groupés pénétrants, les envols d’ascenseurs vont de soi pour les Flying Fidjian, et, chez les Wallabies, les préparations au saut porté sont évidemment dans la poche – même s’ils ne sauraient être à la hauteur des Pumas d’Argentine.
Enfin, dans une Coupe du monde où l'entraînement du capitaine de nos Bleus se voit contrarié, les Coqs ne sauraient chanter victoire trop vite.
Ce qui est certain, c’est que chaque collectif fait toujours de son mieux pour aller régulièrement jusqu’à l’en-but : le jeu au pied en vaut la chandelle !
 
 
TOURISME
Nouveau chemin de 500 km sur les pas de Saint Amadour
Pour lancer un nouvel itinéraire de randonnée, il faut plusieurs ingrédients: une belle histoire, des chemins agréables, des paysages variés, et un patrimoine remarquable. Ensuite, la logistique doit suivre rapidement: balisage, hébergements, site internet, topo-guide. Tous ces éléments ont été réunis pour le lancement du chemin d'Amadour, qui a été officiellement inauguré fin mars dernier.
Un chemin de 180 km a d’abord été créé, de Bergerac à Rocamadour, passant par les abbayes de Saint-Avit-Senieur et de Cadouin (Dordogne), qui possèdent déjà une grande tradition pèlerine, avant d’être prolongé pour finalement représenter un parcours de 500 km de Soulac-sur-Mer, au bord de l'océan Atlantique, à Rocamadour, dans les causses du Quercy.
Sur ce trajet, le patrimoine bâti n'est pas en reste: centres historiques des villes (Bordeaux, Bergerac, Sarlat), châteaux viticoles, bastides, châteaux de la vallée de la Dordogne, cités médiévales, etc. "Sans oublier, précise Sébastien Pénari, de l’Agence française des chemins de Compostelle, les dix sites inscrits sur la liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO, au titre des chemins de Saint-Jacques: Notre-Dame-de-la-Fin-des-Terres, à Soulac-sur-Mer (Gironde) ; la cathédrale Saint-André, la basilique Saint-Michel et la basilique Saint-Seurin à Bordeaux (Gironde) ; l'abbaye de la Sauve-Majeure et l'église Saint-Pierre à La Sauve (Gironde) ; l'église de Saint-Avit-Sénieur (Dordogne) ; l'abbaye de Cadouin au Buisson-de-Cadouin (Dordogne) ; et la basilique Saint-Sauveur et la crypte Saint-Amadour à Rocamadour (Lot)."
Un guide, Le Chemin d’Amadour (Editions Sud-Ouest), décrit les 21 étapes, ainsi que le patrimoine à découvrir. Enfin, les traces GPX peuvent être téléchargées sur le site internet dédié, où le trajet est aussi indiqué sur une carte Googlemaps. Ce site recense également les hébergements, listés par étapes.
Fort de ces nombreux atouts, le chemin d'Amadour devrait devenir une destination incontournable pour les pèlerins et marcheurs en quête de sens, et des agences spécialisées la proposent déjà dans leur catalogue (en randonnée en liberté ou accompagnée).
Amoureux des belles pierres et de détours improvisés au fil de rues et ruelles, le département breton dispose d'une ville d'Art et d'Histoire - Dinan -, de neuf Petites Cités de Caractère, de douze Communes du Patrimoine Rural de Bretagne et de deux Villes Historiques - Lannion et Lamballe. Autant de lieux où s'arrêter pour une balade, poser ses valises et découvrir les richesses de villes et villages labellisés et qui ont tant à offrir :
Tréguier, capitale historique du Trégor
Enlacée par le Jaudy et le Guindy, lovée dans un estuaire vivant au rythme des marées, la Petite Cité de Caractère de Tréguier est l’une des 7 étapes du « Tro Breiz », pèlerinage breton. Que l'on emprunte la rue Renan, la ruelle Saint-Yves ou que l'on s'arrête sur la place du Martray, on est de suite séduit par la beauté des maisons à pans de bois et par les encorbellements divinement préservés. De style gothique, la cathédrale Saint-Tugdual dont la flèche atteint 63 m de haut semble de son côté veiller sur la cité. Elle est l'une des plus belles de Bretagne.
Ambiance médiévale à Guingamp
Guingamp promet un doux voyage vers l'époque médiévale avec ses édifices à pans de bois, son château fort du XVème siècle en plein centre-ville, ses maisons Renaissance et sa superbe basilique Notre-Dame de Bon-Secours où cohabitent trois styles architecturaux. On aime s'y perdre dans ses venelles et s'adonner à une session shopping, avant de s'accorder une pause gourmande autour d'un kouign-amann. Dans l'ancienne prison pennsylvanienne de Guingamp, le centre d'Art GwinZegal est un lieu de référence pour les amateurs d'expositions photographiques.
Léhon et le charme des bords de Rance
Cette autre Petite Cité de Caractère accueille les visiteurs via un passage sur son vieux-pont enjambant la rivière. On déambule ensuite dans des rues et ruelles pavées et aux façades ouvragées. On y découvre de petites portes, toutes plus belles les unes que les autres. Le charme opère de suite. C'est alors que se dresse fièrement l'abbaye Saint-Magloire, avec son ensemble de bâtiments remarquables, ses jardins et son atmosphère si paisible. Plus tard, en rejoignant les hauteurs de Léhon, on découvre les ruines du château féodal qui assurait la protection du monastère et du village.
Moncontour, unique en son genre
La petite cité médiévale peut être fière de représenter les Côtes d'Armor au titre des Plus Beaux Villages de France. Moncontour, qui a joué un rôle militaire important au XIIème siècle et qui se trouve au confluent de l’Evron et du Ruisseau de l’Etang, dévoile un dédale de ruelles aux belles façades à colombages et où l'on retrouve des influences flamandes et italiennes. Avant de rejoindre les forêts et landes environnantes, il ne faut pas manquer d'aller visiter sa belle église baroque Saint-Mathurin. Ses vitraux préservés du XVIème siècle sont une merveille.
Pontrieux, la Venise bretonne
La Petite Cité de Caractère de Pontrieux offre une balade riche de la découverte de maisons à pans de bois ou en pierres de taille, d'une fontaine du XVIIIème siècle, de charmantes places et d'une maison à la façade incroyable : l’ancienne tour de guet portant le nom de Maison de la Tour Eiffel. Elle fait partie des symboles de la ville, tout comme les 50 lavoirs rénovés qui répondaient aux besoins des habitants au XIXème siècle. On les découvre aujourd’hui avec plaisir à la belle saison lors de balades en barque sur la rivière.
Châtelaudren, joyau des bords du Leff
L'ancienne capitale du Goëlo invite à une belle promenade au gré de ses rues et venelles dévoilant de superbes habitations de pierre. On s'arrête sur la place de la République pour admirer les demeures et l'église du XVIIIème siècle. On passe plus tard voir la chapelle Notre-Dame-du-Tertre et ses splendides peintures polychromes, avant de rallier les bords de la rivière en contrebas, lieu de vie des pêcheurs, des marcheurs et des marins d'eau douce. De retour dans le centre de Châtelaudren, un tour dans l'ancienne imprimerie Montsouris, décorée des inscriptions Petit Echo de la Mode en référence à la présence du magazine pendant 50 ans à partir des années 1920, est l'occasion d'aller voir une exposition temporaire ou un spectacle.
Quintin, cité féodale
La cité médiévale se trouve au cœur du verdoyant bocage breton et doit sa fortune passée à l'industrie du lin. On ne manque pas d'ailleurs de passer par La Fabrique - Atelier du lin pour découvrir les secrets de la conception des toiles. Au cœur de Quintin, plusieurs maisons de style et hôtels particuliers de riches négociants sont dévoilés aux yeux des promeneurs. Les adeptes d'architecture ont décidément de quoi faire dans la Petite Cité de Caractère, avec la présence du château composé de plusieurs ensembles bâtis au fil des siècles. Le jardin accueille des sculptures d'art en été, et l'exposition permanente « les Arts de la Table » offre un périple autour du savoir vivre à la française, avec la présence de 900 pièces issues des collections du château.
La Roche-Derrien, capitale des teilleurs de lin
Située à seulement 10 km de la mer au fond de l'estuaire du Jaudy, la commune de La Roche-Derrien a été construite au XIème siècle sur un promontoire rocheux et dévoile aujourd'hui ses multiples facettes. La ville basse, celle des chiffonniers et couvreurs, est colorée et bucolique à souhait, quand la ville haute autour de la place du Martray regorge de maisons bourgeoises des XVème et XVIIème siècles. Il faut aussi passer la rue de la Fontaine, qui a su conserver les traces des anciens commerces avec fenêtres à échoppes. Et puis, il y a l'église Sainte-Catherine d'Alexandrie, superbe avec ses voûtes ogivales. Elle abrite un orgue aux 1700 tuyaux, l’un des plus impressionnants de Bretagne. La visite est de plus enrichie des technologies 3D.
Jugon-les-Lacs, ville d’eau
Cette ville est un petit oasis dans un océan de verdure, encadrée par deux lacs qui sont aujourd’hui des espaces de détente, de loisirs et de pêche. La Maison Pêche et Nature est un lieu ressource pour mieux les comprendre et prendre une foule de renseignements. Avant de s'essayer au voilier ou à l'aviron, la balade dans le centre de la cité est un régal pour les yeux, avec tour à tour des hôtels particuliers, des habitations en granit du XVIIème siècle et l'incontournable Maison de la Tête Noire, à pans de bois. Autour de Jugon-les-Lacs, isolé dans un vallon marécageux, se cache une merveille de l'architecture militaire : le château de la Hunaudaye. On y contemple ses douves en eau et son pont-levis, un véritable lieu d'immersion au cœur du Moyen Âge.
« Créatures des profondeurs », jusqu'au 15 décembre 2023, à l'aquarium SeaLife de Serris (77)
L’aquarium SEA LIFE PARIS Val d’Europe a conçu pour ses visiteurs un programme d’animations ludique et pédagogique qui permet aux enfants d’apprendre tout en s’amusant et de développer leur curiosité et créativité. Le temps de leur visite, ils deviennent de véritables explorateurs des abysses, grâce à un jeu d’exploration « le défi des abysses », une exposition photos de David Wrobel qui immortalise ces espèces abyssales, et des reproductions artistiques de grande taille (en papier et carton) de ces créatures incroyables !
Les abysses sont un monde fascinant et mystérieux où des monstres marins ont trouvé des stratégies pour survivre. L’aspect physique de ces créatures marines est un peu effrayant… Mais découvrir leur existence en famille est passionnant. Les abysses représentent le point le plus profond de la surface des océans : 11 000 mètres sous l’eau.
C’est un monde étonnant, sombre et froid où la pression de l’eau est très forte.
Néanmoins, une vie foisonnante s’y développe et les créatures se sont adaptées pour répondre à des conditions de vie extrêmes. Elles ressemblent à des animaux sortis de rêves étranges.
L’aquarium invite les jeunes explorateurs (trices) des abysses à profiter des nombreuses animations prévues pour eux :
- un parcours entre frissons et découvertes : munis de leur petit guide « Le Défi des abysses », les explorateurs (trices) partiront à l'aventure afin de découvrir davantage d’informations sur les créatures abyssales, tout en participant à un quizz. Grâce aux informations sur les panneaux, ils trouveront les réponses aux questions posées relatives aux abysses ou aux espèces. Récompense à la clé remise en fin de visite !
- une exposition photos de David Wrobel : les visiteurs seront transportés dans l’univers dépaysant des espèces qui peuplent les abysses à travers 13 magnifiques photos de David Wrobel (un biologiste qui se consacre à la vie marine du Pacifique Est aux Etats-Unis et à la photographie des fonds marins). Ils auront aussi accès à d’autres informations sur l’environnement des abysses exposées en salle de classe et ouvert au public.
- des reproductions artistiques de grande taille (en papier et carton) de créatures abyssales réalisées par Norman Von Schmeling seront intégrées à l’expérience des jeunes visiteurs.
Cette animation est proposée jusqu’à la mi-décembre 2023.
 
 
ACTUALITES
Derniers jours pour se rendre à l'Arsenal des Mers, jusqu'au 15 novembre 2023, à Rochefort (17)
La Fabrique de l’Arsenal est un veritable chantier vivant qui permet d’explorer la vie, les metiers et les savoir-faire des hommes qui ont construit des navires mythiques. On y revit l’epopee de la fregate L’Hermione pour en apprendre davantage sur ce navire emblematique a travers les recits de ses voyages, les grandes etapes de sa construction et de sa restauration actuelle...
Le parcours retrace l’histoire du Noe, chalutier aux mille et une vies et fait decouvrir les secrets de sa construction et sa nouvelle aventure pour les annees a venir... L’experience peut se prolonger en visite libre du Noe.
Pour les aventuriers, le Periscope Geant est ideal, avec huit techniques a tester pour voir sans etre repere et communiquer sans etre decrypte.
L’aventure maritime peut ensuite se poursuivre en visitant la Corderie Royale, le musee de la Marine et en grimpant de mat en mat a plus de 30 metres de haut a l’assaut de l’Accro-Mats.
Ouvert jusqu’au 15 novembre, du mardi au dimanche de 10h a 19h.
Le Centre des monuments nationaux et le développement d'outils d'aide à la visite pour les personnes en situation de handicap
Le Centre des monuments nationaux fait de l'ouverture et de l'appropriation par tous les publics des sites de son réseau un axe prioritaire de sa politique culturelle, notamment pour les personnes en situation de handicap.
Le CMN propose des activités culturelles inclusives ou adaptées à leurs besoins spécifiques et co-construits avec des associations et fondations qui travaillent auprès des publics en situation de handicap des outils de médiation adaptés et variés :
Des carnets de visite en gros caractères, braille ou « Facile à lire et à comprendre (FALC) »
Des mallettes multisensorielles pouvant être mises à disposition de structures d’accueil ou d’associations pour préparer la visite d’un groupe ou pour établir un contact avec les personnes dans l’incapacité de se déplacer dans les monuments
Des maquettes tactiles et tables d’orientation
Des visio-guides en langue des signes française (LSF), applications de visite en audiodescription et outils adaptés pour les visiteurs déficients intellectuels
Des bornes multimédia accessibles à tous.
Grâce aux efforts déployés depuis 2003, 26 labels « Tourisme et handicap » concernant les déficiences intellectuelle, auditive, motrice et visuelle ont ainsi été attribués à 13 monuments et sites nationaux.
Le CMN remercie chaleureusement la Fondation d’entreprise Malakoff Humanis Handicap pour son soutien sur 3 ans qui lui permettra de continuer à déployer de nombreux autres dispositifs dans ses monuments.
 
 
EXPATRIATION
Forum « Vivre et s'installer au Portugal », le 23 novembre 2023, à Lisbonne (Portugal)
Ce Forum est principalement destiné a des particuliers et des investisseurs français installés à Lisbonne ou intéressés à vivre dans le pays.
Le Forum fournira toutes les informations et le soutien nécessaires pour une bonne installation dans le pays, soit par des séances d’information, soit en B2B dans les stands. Il aura lieu de 9h00 à 15h00.
Au programme :
09:00 - 09:10
Ouverture du Forum, par Laurent Marionnet, Directeur Général de la CCILF
09:10 - 09:30
L’accompagnement patrimonial de l’expatrié
Atout Conseil Métropole
09:40 - 10:00
Les formalités nécessaires pour s’installer
Kpl - Kleya Premium Living, Unipessoal Lda
10:10 - 10:30
Quelle fiscalité pour les Français installés au Portugal ?
Igmasa Management Portugal, Lda
10:40 - 11:00
Le statut du résident non habituel
Abreu Advogados
11:10 - 11:30
Le courtage, les assurances au Portugal et l’assurance santé
MDS Group
11:40 - 12:00
Comment rentabiliser votre bien immobilier au Portugal ?
REB Realty
12:10 - 12:30
Obtenir un crédit immobilier
MFD – Crédit Taux Services
A l’Hôtel Sana Maloa, Avenida José Malhoa 8, à Lisbonne (Portugal)
 
REPORTAGE DE LA SEMAINE
Exposition "Nouvelles du Paradis, la carte postale de vacances" (Musée de La Poste, Paris, France) Qui se souvient encore des cartes postales ? Celles que nous recevions et celles que nous adressions à l'entourage et à la famille lors de nos pérégrinations. Il aura fallu l'avènement d'internet pour que ce qui fut longtemps une tradition soit relégué dans un coin de notre mémoire, et encore, chez les plus anciens d'entre nous. Heureusement, le Musée de la Poste se souvient de cette époque et nous gratifie d'une superbe exposition consacrée à la carte postale.
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