Malgré plusieurs réformes (qui ne devaient pas être les bonnes) pour inciter au retour au travail et la récente remontée du chômage, plus de 350000 postes restent vacants, soit 2,2 % de l'emploi total.
Et encore, on est loin des chiffres réels car le ministère du Travail ne prend pas en compte les postes vacants dans les entreprises de moins de dix salariés, du secteur agricole, de l'intérim ou de la fonction publique. Encore une aberration de plus du système!
Contrairement à l'Europe du Nord qui connait des difficultés similaires de recrutement, notre pays ne peut pas dire qu'elle manque de bras puisqu'elle totalise toujours plus de trois millions de chômeurs, sans aucune activité. Un (gros) caillou dans la chaussure de qui vous savez qui avait pourtant fait du plein emploi une promesse électorale (mise en garde à destination des naïfs, des simples d'esprit ou des utopistes : seuls les poussins d'un jour savent que les promesses formulées par notre classe politique n'engagent que ceux qui y croient!).
Nos « élites » étant adeptes du maniement de la carotte ou du bâton ont malgré tout tenté plusieurs mesures depuis 2017 : durcissement des conditions d'accès aux indemnités chômage, mise en place de la dégressivité du montant des indemnités au-delà de 4800? ou réduction de la durée maximale de protection lorsque le chômage baisse sous les 9 %, l'effet recherché étant de rendre le travail plus rémunérateur que l'inactivité.
Le problème de nos responsables réside dans leur absence d'anticipation. Il s'agit d'observer qui vous savez pour entendre tout et son contraire en quelques jours et le ridicule que nous affichons vis à vis du reste du monde. Rajoutez à cela le manque de compétence et l'on se demande s'il y a encore un pilote dans l'avion : absence de plan de vol, changement de cap à tout bout de champ...je comprends qu'en pareille situation, nos compatriotes sans emploi hésitent encore à recréer de la richesse pour un pays dont nos dirigeants politiques dilapident avec autant de légèreté les milliards, qui plus est, au profit d'intérêts étrangers, sans parler, pire encore, des sept milliards d'euros (minimum)qui s'évaporent du jour au lendemain des comptes de l'UNEDIC (écouter le document à ce sujet dans ma rubrique Nous prendrait-on pour des simplets?). C'est ballot car il s'agit précisément du fond de garantie des salaires habituellement versés aux travailleurs lésés en cas de fermeture d'entreprises... des salariés qui, demain, les poches plus vides que jamais, n'auront plus que leurs yeux pour pleurer.
Nos crânes d'oeuf ont voulu démanteler la France, qu'ils en assument les conséquences ! Aux plus jeunes qui ont une vie professionnelle à bâtir, qu'ils partent à l'étranger dans un pays « normal », sain et géré comme il faut, et à ceux qui en ont les moyens, qu'ils vendent leurs actifs et se mettent eux aussi à l'abri. Même si le pire n'est jamais certain, il reste à venir.
 
LE CLIN D'OEIL DU MOMENT
Il y a une dizaine d'années, lors de mon périple québécois, je m'étais arrêté dans un motel et m'étais attardé sur une carte de restaurant qui livrait à domicile. Là, je découvrais la poutine, opérant immédiatement un rapprochement avec le président russe Vladimir. Mais pourquoi donc ? Après avoir conversé avec le réceptionniste de l'hôtel, je comprenais enfin que la fameuse poutine québécoise n'était autre qu'un plat national au triple plaisir : des frites croustillantes sur lesquelles fond du cheddar en grains qui chante sous la dent, souvent recouvert d'une sauce brune à base de b?uf.
L'origine du mot poutine reste obscure. Pour un Québécois, le terme traduirait l'idée d'un mélange hétéroclite tandis que, pour d'autres, il serait dérivé de pudding. Sylvain Charlebois, auteur de « Poutine Nation » prétend que la première poutine vit le jour en 1957 à Warwick, petit village où le fromage se vendait déjà en sachet pour être consommé en casse-croûte. Un client pressé aurait demandé au restaurateur, Fernand Lachance (ça ne s'invente pas!) de glisser dans le même sac en papier les frites et le fromage. Et Fernand aurait alors déclaré : Ca va faire une sacrée poutine ! La chose fit tant causer les jours suivants que le mélange connut un vif succès dans tous les « casse-croûte » de la province. La sauce brune, elle, n'apparaitra qu'en 1964 dans la ville de Drummonville, grâce à Jean-Paul Roy, saucier de profession et propriétaire du restaurant Le Roy Jucep, qui se mit à recouvrir les frites et le fromage de cette sauce.
Voilà comment la poutine est devenue la fierté du Québec d'autant plus que le reste du Canada a depuis adopté la recette. On trouve ce plat dans la plupart des grandes enseignes de restauration rapide et dans les restaurants franchisés Smoke's Poutinerie où la recette se décline en une vingtaine de versions différentes dont la Country Style servi avec du bacon, des champignons et des petits pois.
Mieux encore, la poutine sévit bien au-delà des frontières canadiennes : à Paris, Londres, New-York, Shanghaï et même Moscou (où le plat a été rebaptisé Raspoutine!) et à Monaco. Sylvain Charlebois nous avoue en avoir dégusté une délicieuse à Brisbane (Australie) et une autre, moins glorieuse à Cleveland (Etats-Unis).
(source : Sélection du Reader's Digest).
 
 
MURIEL SE MET AU PAIN DES ORIGINES
Nous sommes aujourd’hui loin du pain des origines, ce pain sacré d’autrefois. La différence entre ce pain et les autres est son levain, qui n’a rien à voir avec la levure du boulanger, la levure de bière ou la levure chimique. Le levain est constitué d’une flore microbienne complexe, bactéries lactiques, levures et même moisissures totalement dépendantes du lieu où il a été fait.
Chaque village avait son propre levain, et le goût du pain n’était pas le même d’une région à l’autre. C’est pourquoi le pain que l’on mangeait à Babylone, à Nazareth, ou à Rome autrefois, n’avait rien à voir.
Il se conservait précieusement pendant des décennies voire des siècles – on l’appelait le “levain-chef”. On le cachait dans un endroit tenu secret. On en prélevait un peu pour chaque nouveau pain. Ce levain s’offrait, on l’emportait quand un membre du village partait en voyage. Certains villages étaient connus pour détenir des levains exceptionnels qui donnaient à leurs habitants santé et longévité. Est-ce un hasard si le nom de “Bethléem” signifie, en hébreu, la “Maison du Pain” ?
Le pouvoir du levain est de transformer la farine, l’eau et le sel, en une substance vivante et nourrissante. Et sa fermentation est plus lente qu’avec la levure de boulanger : 36 heures contre 6 heures.
Cette fermentation réduit la teneur en gluten et en acide phytique (lequel peut réduire la capacité de notre corps de métaboliser des nutriments essentiels, zinc, protéines...) du pain. Elle permet donc de diminuer les problèmes digestifs et les intolérances.
Un bon levain donne au pain un goût acidulé délicieux, qui vient renforcer le goût brioché des farines anciennes comme le blé de Khorasan, et réduit drastiquement le besoin de sel – le pain traditionnel contient 10 g de sel par kilo de farine, contre 30 g pour la baguette parisienne !
Ce patient travail permet au boulanger de faire un pain riche, nourrissant, à la mie serrée, et qui se conserve plus d’une semaine grâce à son taux d’hydratation plus élevé.
Tant que ces traditions ont été respectées, le pain éveillait naturellement le respect. Le jeter à la poubelle aurait été, évidemment, un sacrilège, mais personne n’en aurait eu l’idée. S’il durcissait, on en faisait de délicieux croûtons à l’ail pour la salade, du pudding ou, bien sûr, on le trempait dans une bonne soupe de légumes du potager.
Quant aux morceaux de ce pain rassi, on les ajoutait dans les ragoûts car, après avoir mijoté dans la marmite, ils devenaient aussi tendres, fondants et savoureux que les meilleurs morceaux de viande
Dimanche 19 novembre 2023 : Qu’on est bien à lézarder sur la terrasse baignée d’un soleil d’hiver éclatant
Mardi 21 novembre 2023 : Les jours passent et se ressemblent : je prends mon rôle de garde du corps au sérieux, en suivant mon maître partout où il se rend
Mercredi 22 novembre 2023 : Zut ! Mon cours de dressage a été annulé, mais ce n’est que partie remise.
Jeudi 23 novembre 2023 : J’ai croisé ce matin ma copine Maya, la petite chienne peureuse.
Vendredi 24 novembre 2023 : Il y avait du mouvement aujourd’hui : j’ai d’abord pourchassé un lapin puis des oiseaux.
Samedi 25 novembre 2023 : Ce soir, mon dresseur Duarte m’emmène me promener en ville pour m’habituer aux bruits de la ville et à la foule
 
 
VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR ...
Livre de Jacques Myard « Bye Bye démocratie » (Editions Laffont Presse), avec André Bercoff (https://youtu.be/SgWSlQGN_yc)
La France s'interroge, elle doute, inquiète et en colère, abasourdie par les multiples ruptures qui mettent à nu la fragilité de la cohésion nationale. Les dernières émeutes des banlieues ont terrifié les Français, l'incroyable guérilla urbaine est arrivée. L'heure n'est plus aux propos lénifiants. Jacques Myard, après une analyse sans concession des défis que la France doit relever, appelle au nécessaire sursaut. Qui sera le Cincinnatus qui restaurera la République et la Nation, socles irremplaçables de nos libertés et de notre destin ? Ancien diplomate, Jacques Myard est membre honoraire du Parlement et maire de Maisons-Laffitte.
Trois mille milliards : les secrets d’un état en faillite (https://youtu.be/hcKZ6lXvy-I) , un film de Contribuables Associés : Sur un rythme enlevé et dans une démarche didactique, mêlant analyses, témoignages d’experts et graphiques, le documentaire 3 000 milliards : les secrets d’un État en faillite a pour objectif d’expliquer aux Français l’engrenage de la dette et comment nous en sommes arrivés là. Mais aussi de pousser les responsables politiques à agir, tant l’heure est grave.
 
 
NOUS PRENDRAIT-ON POUR DES SIMPLETS ?
7 milliards d’euros (minimum) envolés comme par enchantement, avec Philippe Mürer et André Bercoff :
Démission attendue de Changpeng Zhao, le PDG de Binance (source : Le Journal du Coin)
Le ministère de la Justice américain, le DoJ, préparait il y a quelques jours une annonce importante relative au règlement du litige qui l’oppose à Binance avec une paix négociée autour d’une amende de 4,3 milliards de dollars.
Mais alors que l’annonce officielle se faisait attendre, des murmures commençaient à circuler dans les coulisses. Des sources proches du média Forbes indiquent que Changpeng « CZ » Zhao, le dirigeant de Binance, est en négociation avec le régulateur et a accepté de démissionner. Il garderait la part majoritaire de Binance.
Par ailleurs, CZ devrait plaider coupable de violation des règles anti-blanchiment d’argent. Il devrait être amené à comparaître devant un tribunal fédéral. Ce plaidoyer fait partie d’un accord qui pourrait permettre à Binance de poursuivre ses opérations.
 
 
LE PETIT MANUEL DU RESISTANT
CSI (Conseil Scientifique Indépendant) N°125 du jeudi 23 novembre 2023. L’invité est le Dr Martin Zizi, ancien directeur scientifique médical à la Défense belge, directeur de la division épidémiologie et biostatistiques, qui traite de l ‘argument selon lequel les vaccins n’ont eu aucun effet sur la mortalité (https://crowdbunker.com/v/XQKyWMW1)
Des centres de télémédecine dans 300 gares SNCF (source : FranceSoir)
Partant du principe que la gare est un lieu de passage important (Dix millions de personnes passent dans les gares chaque jour en France) et que 90 % de la population vit à moins de 10 km d’une gare, la SNCF prévoit de déployer des espaces de télémédecine dans environ 300 gares d’ici à 2028. Ces gares concernées seront "situées dans les zones d'intervention prioritaires (ZIP) et les zones d'aménagement concertées (ZAC), caractérisées par une offre de soins insuffisante et une difficulté d'accès aux soins".
Dans un premier temps, les espaces de télémédecine seront installés dans "des boxes de 15 m² sur les parvis des gares, le temps des travaux dans les gares. Un infirmier diplômé d'État sera toujours présent sur place et le patient sera "examiné à distance par un médecin exerçant sur le territoire français", selon SNCF Gares et Connexions.
 
 
ACTIVONS NOS NEURONES
J’ai rêvé d’une autre France…
Et pourtant, mon pays attire depuis des décennies plus de « cloches *» et « illégaux ** » que de talents. Cela commença par notre classe dirigeante, dont le niveau ne cessera de baisser, depuis les années 1970, jusqu’à nous offrir aujourd’hui des fanfarons qui ridiculisent les Français, bradent nos intérêts nationaux, font fuir à l’étranger ce que notre pays compte encore de cerveaux, et importent chaque jour des « cloches » qui ne causent que tracas et déchéance à notre peuple et vivent sur nos aides sociales.
Mais oui, la France produit toujours plus de talents mais peine à les attirer : Selon l'indice mondial de compétitivité en matière de talents, la France est passée cette année de la 9ème à la 7ème place dans la catégorie "production de talents", mais seulement 25ème dans l"'attraction des talents".
La Suisse, Singapour et les Etats-Unis sont les trois pays qui attirent le plus de jeunes talents, selon l'Index mondial compétitivité et talents publié mardi 7 novembre par l'école de management Insead, l'Institut Descartes et le Human Capital Leadership Institute. Cet indicateur mesure la capacité à produire, attirer et retenir le capital humain sur son territoire dans 134 pays en se basant sur des données "internationalement comparables et vérifiables", comme le cadre fiscal et réglementaire, la qualité de l'enseignement, la protection sociale, l'employabilité ou encore la formation de la main-d'œuvre.
Loin derrière, la France se trouve tout de même à une place honorable, puisque depuis trois ans elle a fait son entrée dans le top 20, et n'en a pas bougé en se maintenant à la 19ème place encore cette année.
L'Hexagone s'illustre notamment dans la "production de talents", autrement dit les études, puisqu'elle passe cette année de la 9ème à la 7ème place. "En plus du système d'éducation formel tricolore, c'est la formation permanente pour laquelle les entreprises ont joué le jeu qui expliquent ce bon classement. La capacité française à former tout au long de la vie se hisse ainsi à la troisième place et son système éducatif se classe à la 16ème place.
Bien formés, les talents peuvent avoir toutefois du mal à trouver un emploi. La France se classe en effet à la 43ème place en ce qui concerne le critère "employabilité".
La France n'est par ailleurs qu'à la 25ème place dans la catégorie "attraction des talents". "Le principal reproche qui est fait n'est pas la fiscalité trop élevée de la France mais le manque de prévisibilité du système. Alors que le pays affichait un écart important avec des pays très attractifs comme la Suisse ou les pays scandinaves en raison de leurs atouts en matière de géographie, de qualité de vie et d'accès aux services, la France a en partie rattrapé son retard. Toutefois les mouvements sociaux, comme celui des gilets jaunes, ou les violences urbaines, affectent négativement son attractivité auprès des étrangers.
Ou comment plomber durablement l’image de notre pays en accueillant des « cloches » au lieu de « gens formés et désireux de travailler ». Question d’ambition me direz-vous…
Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix : Une société de vieillards à plat ventre devant la jeunesse (https://odysee.com/@campagnoltvl:2/soundof:b)
 
 
SAVOIRS
L'Odyssée au Louvre, un roman graphique : Homère en philosophe, du 27 novembre au 11 décembre 2023, à Paris (75)
Une relecture de l’Odysséed’Homère pour interroger la manière dont se construit une identité d'homme : par la conscience d’être mortel, risque et voyage, les noms que l’on se donne, l’usage qu’on fait de la langue et la reconnaissance par l'autre. Barbara Cassin plonge son regard dans la collection de céramiques grecques pour comprendre comment les artistes se sont saisis de l’Odyssée.
Cinq conférences par Barbara Cassin, de l’Académie française, les 27 & 29 novembre, 4, 6 & 11 décembre 2023.
Au Musée du Louvre, Auditorium Michel Laclotte, à Paris (1er)
Conférence «Dire la mode en français » le 30 novembre 2023, à Paris (75)
Rencontre le 30 novembreà l'auditorium du Louvre, organisée par des professionnels du secteur et linguistes. Cette conférence sera l’occasion de répondre à une question laissée en suspens à l’issue de la première rencontre sur ce thème, en 2021 : faut-il dire la mode en français ?Lors de cet évènement sera également présentée la 3ème édition du recueil« La Mode en français ».
Conférence « Amédée Couder, l'histoire d'un designer textile de génie au 19ème siècle », le 2 décembre 2023, à Jouy-en-Josas (78)
Par Jean-François Luneau, Conservateur général du Patrimoine, Centre André Chastel, Galerie Colbert – INHA
Participation : 10€ par personne. Durée : 1h30. A 17h00.
Au Musée de la Toile de Jouy, Château de l’Eglantine, 54 rue Charles de Gaulle, à Jouy-en-Josas (78)
 
 
LIVRES
Livre « La science face au pouvoir » du Docteur Hélène Banoun (Editions Talma)
Avec la pandémie de Covid-19, nous sommes brutalement entrés dans l'ère du « biopouvoir », qui prétend s'appuyer sur des « vérités » scientifiques pour imposer des mesures liberticides et totalitaires. Peut-on encore parler de « science » quand le débat est censuré, quand toute critique est discréditée, voire pénalisée et ostracisée ? Loin du pseudo-consensus fabriqué pour étouffer les voix dissidentes, des chercheurs indépendants résistent aux nouveaux dogmes, dont la biologiste Hélène Banoun, qui, avec ce livre, traite des questions cruciales : d'où vient le virus SARS-CoV-2 ? Que sait-on vraiment de cette maladie ? Pourquoi cet acharnement du pouvoir à ne pas la soigner ? Que penser de ces vaccins insuffisamment testés ? Quelles sont les conséquences de l'ARN messager injecté massivement ? Pourquoi tant d'effets indésirables graves ? En quoi cette gestion de crise préfigure-t-elle les prochaines ? Peut-on encore faire confiance aux autorités de santé ?
L'auteur nous livre des réponses dont il est urgent de prendre conscience, d'autant plus que les expériences sur les virus continuent et que le biopouvoir étend ses projets de vaccination généralisée à partir de thérapies géniques hasardeuses, en contournant les règles de sécurité élémentaires au nom de la « science » pour masquer le profit et la cupidité. Un citoyen informé en vaut deux, c'est pourquoi "La Science face au Pouvoir" constitue un atout précieux pour rester vigilant face à ce que prépare le biopouvoir. Il en va presque de notre survie.
288 pages, 19,90€
Ouvrage « Le Palais de l'Elysée » de Muriel Barbier (Gourcuff Gradenigo)
Co-édité avec le Mobilier national, cet ouvrage s’affirme comme le livre de référence sur le palais de l’Élysée. Il retrace l’histoire du lieu et de ses habitants successifs depuis la construction de l’hôtel d’Évreux en 1718, jusqu’à nos jours.
Ce livre offre un véritable voyage sur plus de 300 ans d’histoire de l’architecture et des arts décoratifs. Chacun des occupants aura marqué son passage au palais, du comte d’Évreux aux présidents des IIIème, IVème et Vème républiques, en passant par la marquise de Pompadour, Joachim et Caroline Murat, Napoléon Bonaparte et Joséphine, le duc et la duchesse de Berry ou Napoléon III.
Au-delà du panorama historique complet du palais de l’Élysée, marqué par des évolutions et des bouleversements des usages, cet ouvrage décrypte plusieurs espaces singuliers et remarquables du bâtiment : la salle des fêtes, la bibliothèque de Napoléon III, le boudoir d’argent, la salle de bains de l’Impératrice, les appartements des Pompidou, le bureau particulier de Valéry Giscard d’Estaing…
304 pages, environ 250 illustrations, 49€.
 
 
NOËL EN FRANCE
Magie de Noël, les 2 & 3 décembre 2023, à Paris (75)
Spectacle, visites, ateliers, maquillage… Les 2 et 3 décembre, le musée proposera de nombreuses activités gratuites pour les enfants et leurs parents, et l'après-midi, dès 14h, il y aura des chocolats viennois et des mini-muffins ! Toute la magie de Noël avant Noël !
Au Musée de La Poste, 34 Boulevard de Vaugirard, à Paris (15ème)
Fééries de Noël, du 1er décembre 2023 au 7 janvier 2024, à Amboise (37)
Pour les fêtes de fin d'année, le château du Clos Lucé se pare de mille feux, grâce aux décorations de la scénographe florale Marjolaine Bougrier Vaucelles. Dans une ambiance chaleureuse et festive, de nombreuses animations seront proposées aux petits et grands, et même pendant les vacances scolaires.
Au programme des festivités, la comédienne Pierrette Dupoyet interprétera Léonard de Vinci et se baladera dans le château, dialoguant avec les visiteurs. Des ateliers manuels, des tours de calèche, des dégustations de chocolat chaud seront également au programme.
Au Château du Clos-Lucé, Parc Leonardo da Vinci, à Amboise (37)
Noël au Château de Cheverny, du 1er décembre 2023 au 14 janvier 2024, à Cheverny (41)
La fin d’année est une période à partager en famille ou en amoureux dans ce lieu que la grande Mademoiselle, cousine germaine de Louis XIV, aimait qualifier de "palais enchanté"… Des jardins à chaque pièce du château, Noël est partout.
Des décorations lumineuses et immenses dans tous les jardins – dont le fameux sapin de près de 20 mètres, un livre géant de recettes de Noël, une allée de bonhommes géants en pain d’épices : dès l’extérieur chacun replonge dans les contes de son enfance.
Magnificence également au rendez-vous dans chaque pièce du château. Sans oublier la grande table de Noël dans la salle des Trophées… !
À la nuit venue, rendez-vous dans le parc pour admirer la façade éclairée aux couleurs de Noël !
Le dimanche 10 décembre, petits et grands auront la chance de rencontrer le Père et la Mère Noël, sans oublier leurs lutins. L’occasion pour les plus jeunes de recevoir un petit cadeau et pour tous de garder un souvenir de cette journée fantastique, grâce au photocall dans la Salle des Trophées. Tous pourront également applaudir les 40 enfants du Chœur d’enfants d’Ile-de-France, qui chanteront Noël !
Au Château de Cheverny, Avenue du Château, à Cheverny (41)
 
 
FESTIVALS, FÊTES, EVENEMENTS & SALONS
Salon des Vins des Vignerons Indépendants, du 30 novembre au 3 décembre 2023, à Paris (75)
A Paris Expo, Porte de Versailles, à Paris (15ème)
Contes et Histoires dans les Hauts-de-France
Rendez-vous incontournable des fêtes de fin d'année, "Contes & Histoires" invite petits et grands à découvrir les plus beaux monuments de France.
Visites contées, costumées, illuminées, ateliers, spectacles plongent les visiteurs dans la magie de Noël pour une découverte enchantée du patrimoine.
Plus de 150 événements vous attendent dans 48 monuments partout en France, dont la région des Hauts-de-France: Château de Coucy (02), Cité internationale de la langue française (02), Villa Cavrois (59),Château de Pierrefonds (60)
Salon Saveurs des Plaisirs gourmands, du 1er au 4 décembre 2023, à Paris (75)
Avec 250 exposants experts des produits du terroir et d’épicerie fine de France ou d’ailleurs, le salon Saveurs des Plaisirs Gourmands offre une large palette de produits exceptionnels.
Plusieurs secteurs : Produits de la mer et des rivières, fromages, œufs et autres produits laitiers, viandes, volailles, gibiers et charcuterie, produits d’épicerie, vins et spiritueux, produits sucrés, chocolats.
Plusieurs animations : marché des producteurs, dégustation œnologique...
A l’Espace Champerret, Place de la Porte Champerret, à Paris (17ème)
Salon du Livre et de la Presse, jusqu'au 4 décembre 2023, à Montreuil (93)
L’Exposition du Salon cette année est La tectonique des corps :
Pour sa 39ème edition, le Salon du livre et de la presse jeunesse ouvre quatre espaces en plein cœur du Salon a quatre artistes qui donnent du corps a la litterature jeunesse : Albertine (Suisse), Gerard DuBois (Canada), Mari Kanstad Johnsen (Norvege) et Roxane Lumeret (France). Quatre manieres singulieres d’incarner l’enfance. Le dispositif scenographique interactif (jeux de lumieres et de miroirs, gymnastique et manipulations) donne a voir et a sentir les effets de formes et de matieres, les esquisses de chacune et chacun pour engager les corps dans une veritable immersion.
A l’Espace Paris Est-Montreuil, 128 rue de Paris, à Montreuil (93)
Jungle en voie d'illumination, jusqu'au 21 janvier 2024, à Paris (75)
Plus de la moitié des espèces animales et végétales découvertes jusqu'ici dans le monde s'observerait dans les forêts tropicales d'Asie, d'Océanie, d'Amérique du Sud et d'Afrique. Une faune et une flore d'une richesse extraordinaire dont le Muséum national d’Histoire naturelle propose un aperçu lors d'un parcours immersif. Tigres du bengale, python réticulé, nasiques, crocodiles, orchidées et mangrove... Installées dans les allées du Jardin des Plantes, des centaines de structures lumineuses - dont plusieurs dizaines animées - attendent le public pour un voyage spectaculaire à travers le monde.
Après avoir mis en scène les espèces en voie d’extinction (2018), les océans (2019), l’évolution de la vie (2021) et la faune minuscule (2022), le festival En voie d’illumination est de retour pour une cinquième édition. Chaque sculpture est une création originale conçue pour l’événement en coordination avec les scientifiques du Muséum. Éclairées avec des ampoules LED à faible consommation, ces statues lumineuses sont produites par China Light Festival, une entreprise chinoise du Sichuan qui respecte le savoir-faire des lanternes traditionnelles dans son élaboration de parcours lumineux et d'expériences immersives.
Au Jardin des Plantes-Muséum national d’Histoire naturelle, 57 rue Cuvier à Paris (5ème)
Salon Créations & Savoir-faire, du 29 novembre au 4 décembre 2023, à Paris (75)
Loisirs créatifs.
A Paris Expo, Porte de Versailles, à Paris (15ème)
 
 
EXPOSITIONS
«Saamis, nous vivions dans la toundra », jusqu'au 16 décembre 2023, à Paris (75)
Photographies de Natalya Saprunova.
A Paris Anim’ La Grange aux Belles, 6 rue Boy Zelensky, à Paris (10ème)
Mokuzaï (dessins et peintures de Philippe Weisbecker), du 28 novembre 2023 au 3 février 2024, à Paris (75)
À travers des dessins d’architecture et d’objets japonais, en bois pour la plupart, l’exposition reflète la façon unique et personnelle dont l’artiste voit les choses.
A la Maison de la culture du Japon, 101bis quai Jacques Chirac, à Paris (15ème)
L'atelier d'Eric Seydoux, jusqu'au 21 janvier 2024, à Paris (75)
Maître imprimeur et éditeur en sérigraphie, Éric Seydoux (1946-2013) a travaillé avec plusieurs générations d’artistes contemporains. La BnF rend hommage à son savoir-faire et à son engagement pour la création en exposant les œuvres produites dans son atelier, lieu unique d’expérimentation. Durant 40 années d’une riche et intense activité, son travail d’impression lui a valu la reconnaissance de ses collègues imprimeurs d’art et de nombreux artistes.
À travers une sélection de près de 60 estampes, affiches et livres sortis de l’atelier d’Éric Seydoux, l’exposition entend restituer les temps forts et les collaborations qui ont émaillé les 40 années d’activité de l’imprimeur-éditeur. Elle évoque son rôle fondamental dans la mise en place de l’atelier populaire d’affiches de l’École des beaux-arts de Paris en mai 1968, ainsi que ses échanges privilégiés avec les artistes.
A la BnF, Site François Mitterrand,11 quai François Mauriac, à Paris (13ème)
« Virginie et Paul au pays de la Toile de Jouy », du 30 novembre 2023 au 7 janvier 2024, à Jouy-en-Josas (78)
A travers une dizaine de créations, cette exposition retrace l’univers de Virginie Broquet et Paul Simmons.
En s’inspirant des motifs des toiles de Jouy, les artistes dialoguent et créent des œuvres contemporaines. Ils font de leur passion pour le dessin un véritable enchantement pour les yeux des visiteurs.
Au Musée de la Toile de Jouy, 54 rue Charles de Gaulle, à Jouy-en-Josas (78)
« Station#1 », du 29 novembre au 30 décembre 2023, à Paris (75)
Pour l’exposition Station #1, les artistes Clément Fourment, Juliette Green, Hippolyte Hentgen et Aurélie Pagèsont mis à l’épreuve leur imaginaire de l’Espace en se confrontant aux traces que laissent sur Terre les activités spatiales. À l’invitation de l’Observatoire de l’Espace du Cnes, les artistes se sont saisis de documents textuels, de plans techniques, de photographies documentaires ou encore d’images vernaculaires pour en user comme des substances nécessaires à leur création. Chaque artiste a développé, au moyen de sa pratique, le caractère formel ou fictionnel de ces documents.
A l’Institut national de l’Histoire de l’art, Auditorium Colbert, 2 rue Vivienne, à Paris (2ème)
« Formes de la ruine » du 1er décembre 2023 au 3 mars 2024, à Lyon (69)
L’exposition Formes de la ruine a pour ambition d’établir un dialogue entre tous les types de ruines. Elle se propose d’investiguer autant les traditions multiséculaires, qui ont permis en Occident et en Orient l’apparition d’une culture des ruines monumentales devenue dominante, que celles des sociétés qui ignorent jusque à la notion de monument.
Elle s’intéresse à toutes les formes de pratiques des ruines, qu’il s’agisse de la collecte de fragments d’activités humaines sur et dans le sol, de l’aménagement d’espaces naturels à des fins mémorielles ou cultuelles, ou encore de la construction d’édifices comme les mégalithes, les pyramides et les ouvrages d’art des grands empires.
Elle tente de capter les diverses expériences de la ruine depuis la récupération des édifices du passé si chère aux Egyptiens, aux Mésopotamiens, aux Américains jusqu’aux Chinois et aux Japonais qui refusent en partie le culte monumental si prisé par leurs contemporains d’Asie, d’Europe et d’Amérique.
Elle s’interroge sur les pratiques de mémoire des Indiens, des Africains et des Océaniens qui privilégient une sorte de pacte avec la Nature plutôt que son assujettissement à des architectures grandioses et parfois même mégalomanes.
Au Musée des Beaux-Arts, 20 place des Terreaux, à Lyon (1er)
« La fabrique du regard, les filiations lyonnaises de Gustave Moreau », du 1er décembre 2023 au 11 février 2024, à Lyon (69)
La Fabrique du regard met en lumière les filiations d’artistes-peintres lyonnais dont la tradition remonte jusqu’à l’une des figures du mouvement symboliste français, Gustave Moreau (1826-1898). C’est dans son atelier que furent formés, en effet, quelques-uns des peintres les plus audacieux de la première moitié du XXème siècle.
Lors de ce parcours initiatique au sein de cette proposition artistique, le visiteur est invité à pénétrer dans l’univers du peintre et du praticien. Y seront abordés les conditions concrètes du travail en Atelier : la maitrise des outils, des gestes, la recherche, les échanges, les principes enseignés et la production picturale (archives, outils, œuvres, croquis, correspondances, paroles enseignées et photographies seront convoqués pour le visiteur).
Au Fort de Vaise, 27 boulevard Antoine de Saint-Exupéry, 69009 Lyon.
« Il faut sauver le Joba Mena : enquête à Madagascar » jusqu'au 1er septembre 2024, à Paris (75)
Depuis le 14 novembre 2023, l’Aquarium tropical du Palais de la Porte Dorée invite à suivre sous forme d’exposition une enquête passionnante pour sauver une espèce en danger critique d’extinction : le Joba Mena, poisson d’eau douce de Madagascar.
L’exposition est basée sur une histoire vraie, celle d’une grande enquête internationale qui démarra en novembre 2012 au zoo de Londres. Le parcours retrace pas à pas cette aventure palpitante et humaine entre scientifiques, aquariophiles et habitants de la grande île rouge partageant le même but : sauver le Joba Mena.
Cette exposition rappelle aussi, à tous les publics, le rôle clé des aquariums, comme celui du Palais de la Porte Dorée, dans la conservation, la sensibilisation et la préservation de la biodiversité.
L’objectif de l’expédition à laquelle le visiteur est convié à participer ?
Retrouver une des dernières Joba Mena femelle de Madagascar afin de former une population de secours.
Classé en danger d’extinction, le Joba Mena, fait face à diverses menaces : pêche artisanale locale, déforestation entraînant des modifications de son habitat, drainage de l’eau pour l’irrigation des cultures, introduction d’espèces invasives indigènes. Pour cette quête, l’équipe scientifique aidée par les populations locales malgaches parcourt pendant plus de 3 semaines des kilomètres de route, de Londres à Madagascar en passant par Toronto et Paris, et inspecte 7 rivières.
Au Palais de la Porte Dorée, Aquarium Tropical, 293 Avenue Daumesnil, à Paris (12ème)
«Iris Van Herpen, Sculpting the senses » du 29 novembre 2023 au 28 avril 2024, à Paris (75)
Le musée des Arts décoratifs rend hommage à la créatrice de mode néerlandaise Iris van Herpen, aujourd’hui reconnue comme l’une des figures les plus avant-gardistes de sa génération. Conçue comme une véritable exploration immersive et sensorielle dans l’univers de la créatrice, cette rétrospective, fusionnant mode, art contemporain, design et science, s’articule autour de huit thématiques qui recensent l’essence même de son travail.
Au Musée des Arts décoratifs, 107 rue de Rivoli, à Paris (1er)
«Léonard sous les feux de la rampe » du 1er décembre 2023 au 21 mai 2024, à Amboise (37)
À l’occasion de la sortie prévue en 2024 du film d’animation Léo, le Clos Lucé, partenaire du film expose, en avant-première, une grande partie de ses décors comme le château du Clos Lucé, la chambre de Léonard ainsi que les personnages qui ont servi à la fabrication du film. Léo est un film d’animation de Jim Capobianco qui porte sur la vie de Léonard de Vinci au Clos Lucé. En s’appuyant sur l’esprit bouillonnant de l’artiste-inventeur, ce film questionne la notion d’héritage : comment choisit-on sa vie ? Comment ces choix influencent-ils les autres ? Que laisse-t-on derrière soi de durable ?
Au Château du Clos Lucé, à Amboise (37)
« Un panoramique napoléonien » jusqu'au 26 février 2024, à Rueil-Malmaison (92)
Le musée national du château de Malmaison possède un exemplaire complet de la réédition d’un papier peint paysager conçu par la manufacture Dufour & Leroy vers 1829 et restauré pour l’occasion. Y sont relatés – sur un mode atténué - cinq épisodes relatifs au déploiement victorieux de l’armée française contre les Autrichiens en Italie du nord en 1796, puis contre les Anglais à Rome et Naples en 1798-99. Autour de cette spectaculaire « tenture en camaïeu » de 16 mètres de long qui sera présentée en cinq parties, documents, objets, peintures, dessins et gravures complèteront et développeront ces séquences, évoquées avec charme et une certaine fantaisie sur le papier peint.
Au Château de Bois-Préau, Avenue de l’Impératrice Joséphine, à Rueil-Malmaison (92)
« Sans concession Montparnasse, l'Afrique, la Bretagne : Maurice Le Scouëzec », jusqu'au 23 décembre 2023, à Paris (75)
A la Galerie Les Montparnos, 5 rue Stanislas, à Paris (6ème)
«Gustave Moreau, Le Moyen Âge retrouvé » jusqu'au 12 février 2024, à Paris (75)
Gustave Moreau (1826-1898) participe tout au long de sa carrière à la résurrection de la période médiévale, très en vogue au XIXème siècle. Le Moyen Âge traverse tout son art, depuis les peintures romantiques des années 1850 jusqu’à ses œuvres syncrétiques, ultimes travaux des années 1890. C’est donc bien à la découverte des visions médiévales de l’artiste que nous convie le musée Gustave Moreau, un Moyen Âge syncrétique qui révèle en filigrane la sensibilité et les rêves de l’artiste.
Enfant de la génération romantique, admirateur de Delacroix et de Chassériau, Gustave Moreau étanche très tôt sa soif d’onirisme aux sources du Moyen Âge. En plein chantier de reconstruction de Notre-Dame de Paris par Viollet-le-Duc, cette époque le nourrit à la fois par son iconographie, mais l’inspire aussi à travers la lecture de Shakespeare, Walter Scott ou encore Victor Hugo. La présentation d’œuvres de Gustave Moreau (peintures, aquarelles, dessins), en regard des photographies, des estampes, des livres et objets d’art permet de mettre en valeur les réinventions médiévales du peintre durant la seconde moitié du XIXème siècle.
Au Musée Gustave Moreau, 14 rue de La Rochefoucault, à Paris (9ème)
« Ruth Orkin : Bike Trip, USA, 1939 » jusqu'au 14 janvier 2024, à Paris (75)
Ruth Orkin (1921-1985) réalise, alors qu’elle est adolescente, un projet avant-coureur : la traversée des États-Unis d’Ouest en Est. Ce sera pour elle un moment déterminant de formation et d’émancipation, vérifiant ainsi le dicton populaire selon lequel : l’important n’est pas la destination, mais bien le voyage lui-même. L’exposition rassemble une quarantaine de photographies et des documents d’archives, dont le manuscrit de Ruth Orkin sur cette aventure.
Pour la première fois en France, la Fondation Henri Cartier-Bresson présente une exposition entièrement consacrée à la photographe américaine Ruth Orkin (1921-1985). En 1939, alors qu’elle est âgée de 17 ans, Ruth Orkin entreprend de traverser seule les États-Unis, du Pacifique à l’Atlantique. Elle voyage à vélo ou, pour être plus précis, avec celui-ci. Elle parcourt les longues distances en voiture, en train ou en bus, utilisant surtout sa bicyclette pour visiter les grandes villes : Chicago, Philadelphie, Washington, New York, Boston et San Francisco
A la Fondation Henri Cartier-Bresson, 79 rue des Archives, à Paris (3ème)
« Oser la liberté » jusqu'au 11 février 2024, à Paris (75)
L'exposition retrace l’histoire du combat contre l’esclavage dans l’histoire de France, qui s’est deployé sur quatre siècles et trois continents, scandée de moments de ruptures, de régressions, de temps forts et de bascules. Le parcours montre comment le systeme colonial esclavagiste a toujours suscité résistances et oppositions, et combien des figures héroïques qui les ont portées continue d’inspirer les combats d’aujourd’hui.
À travers un dispositif inedit melant archives, œuvres et dispositif sonore et visuel, l'exposition présente les figures qui ont incarné le combat contre l'esclavage. Dans le Pantheon, l’exposition raconte cette histoire en l’incarnant à travers la presence de celles et ceux qui y sont deja honores – comme Toussaint Louverture, Aime Cesaire et Josephine Baker... – mais aussi a travers l’evocation de figures moins connues (Olympe de Gouges, Makandal, Julien Raimond...), pour un re?cit plus juste, plus ouvert, plus complet.
Au Panthéon, Place du Panthéon, à Paris (5ème)
Minéral Expo Paris, du 1er au 3 décembre 2023, à Paris (75)
Salon des pierres précieuses.
A l’Espace Charenton, 327 rue de Charenton, à Paris (12ème)
«Chana Orloff, Sculpter l'époque », jusqu'au 31 mars 2024, à Paris (75)
Rassemblant une centaine d’œuvres, l'exposition met à l'honneur la sculptrice Chana Orloff (1888–1968) dont le travail fut emblématique de l’École de Paris. Le parcours met en avant les grands thèmes chers à l'artiste : le portrait grâce auquel l’artiste s’est fait connaître et a acquis son indépendance économique, mais aussi la représentation du corps féminin et de la maternité – thèmes dont elle propose une vision particulièrement sensible et actuelle.
Le musée célèbre une artiste remarquablement célébrée de son vivant mais encore trop méconnue aujourd’hui, en faisant dialoguer ponctuellement ses sculptures avec celles du maître des lieux, Ossip Zadkine. Tous les deux nés dans l’Empire russe, ils furent Parisiens de cœur et familiers du quartier de Montparnasse. L’exposition offre un aperçu de l'évolution de son travail de portraitiste réputée, en passant par le bestiaire sculpté nourri par la symbolique et la culture juive ou encore son œuvre d’après-guerre.
Au Musée Zadkine, 100bis rue d’Assas, Paris (6ème)
«L'art dans la nature » jusqu'au 21 janvier 2024, à Paris (75)
Le temps d'une promenade nocturne au cœur du parc de la Villette, le public est invité à découvrir des installations lumineuses se mêlant aux œuvres surréalistes de Salvador Dalí (1904-1989). L’occasion d'admirer les sculptures surréalistes du célèbre artiste espagnol, combinées à un spectacle lumineux et interactif. Parmi les œuvres exposées : La danse du temps I, Alice au Pays des Merveilles, Eléphant de Triomphe ou encore Le Profil du temps.
Au Parc de la Villette, 211 Avenue Jean-Jaurès, à Paris (19ème)
« L'icône, Couleurs de l'infini » du 30 novembre 2023 au 10 janvier 2024, à Paris (75)
« L’icône. Couleurs de l’infini » en est à sa dixième édition, organisée par la Paroisse orthodoxe bulgare à Paris « Saint Patriarche Euthyme de Tarnovo » et l'Institut culturel bulgare.
Les œuvres de 8 iconographes bulgares ainsi que celles de 7 artistes provenant d’Italie, de Grèce, de Roumanie, et de Serbie seront présentées. Les icônes exposées créent un ensemble soigneusement sélectionné pendant deux ans et c'est une rare occasion pour les amateurs de l'art iconographique de les voir rassemblées dans l'espace culturel bulgare. Les œuvres interprètent la tradition à travers plusieurs formes créatives, exemples de différentes écoles, pratiques, techniques.
L’exposition inclut des œuvres des artistes suivants : Georgios Kordis (Grèce), Mihai Coman (Roumanie),Gabriel Chituc (Roumanie), Andrei Musat (Roumanie), Vasile Tudor (Roumanie), Todor Mitrovic (Serbie), Ivan Polvenari (Italie), Tzvetelina Maximova, Desislava Guetova, Liliya Nikolova, Ivan Kostov, Christo Peev, Veska Koleva, Elena Karagueorguieva, Vanya Sapoundzieva (Bulgarie).
A l’Institut culturel bulgare, 28, rue de la Boétie, à Paris (8ème)
Derniers jours de l'exposition « Années Pop, années choc, 1960-1975 » jusqu'au 31 décembre 2023, à Caen (14)
L’exposition porte sur les mouvements sociaux, politiques et culturels de contestation en France de 1960 à 1975. Les œuvres d’artistes proches de la figuration narrative tels que Arroyo, Erró, Fromanger, Grau, Messac et Rancillac apportent une réflexion critique sur leur temps, de la guerre du Vietnam aux lendemains de Mai 68.
Déployé sur deux étages, le parcours s’articule autour de dix sections thématiques qui permettent de comprendre les luttes qui sous-tendent cette période de quinze ans. En pleine guerre froide, les artistes s’engagent autant contre la guerre et la dictature que pour faire avancer les droits sociaux et politiques.
Au Mémorial de Caen, Esplanade Général Eisenhower, à Caen (14)
 
 
COMMEMORATIONS
300ème anniversaire de la mort du Régent Philippe d'Orléans (le 2 décembre 1723)
Lorsque Louis XIV décède en 1715, il laisse derrière lui un unique héritier derrière lui, âgé de cinq ans seulement et un royaume ruiné par la guerre de Succession d’Espagne. En attendant la majorité de Louis XV, son neveu Philippe d’Orléans, le fils de Monsieur, son frère, est donc nommé régent de France. Contre toute attente, ce prince rebelle et intrépide va se révéler fin stratège et habile réformateur, transmettant au jeune Louis un royaume en paix et un pouvoir consolidé.
- Le musée Carnavalet – Histoire de Paris (23, rue de Sévignéà Paris 3ème) présente une exposition consacrée à la Régence, période oubliée de l’histoire qui marque le retour du roi et de la vie politique, économique et culturelle à Paris. Jusqu’au 25 février 2024. https://www.carnavalet.paris.fr/expositions/la-regence-paris-1715-1723
 
REPORTAGE DE LA SEMAINE
Exposition "Boulogne sous le Second Empire. Du coup d'Etat de 1840 à la débâcle de 1870" (Archives m... Les Archives municipales de Boulogne-sur-Mer (62) présentent actuellement l'exposition « Boulogne sous le Second Empire, du coup d'Etat de 1840 à la débâcle de 1870 », jusqu'au 15 décembre 2023. Cité symbolique dans le mythe napoléonien, Napoléon III tissera un lien particulier avec cette ville, laquelle se retrouvera malgré elle,à la croisée des relations internationales de l'époque.
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