Merveilleuse fête de Noël...n'en déplaise aux impies !
Malgré les attaques ciblées toutes plus grotesques les unes que les autres de certains détracteurs, Noël demeure l'une des fêtes de fin d'année les plus importantes. Ca n'a pourtant pas toujours été le cas.
Pendant plusieurs siècles, on s'intéressa davantage à la date de la mort (ou de la résurrection) de Jésus qu'à celle de sa naissance. Le choix de cette date est en fait attribué à l'empereur romain Constantin, qui se convertit au christianisme au IVème siècle après J.C et souhaita que tout son peuple en fit autant...
La date du 25 décembre est alors une question stratégique car les Romains célébraient déjà des fêtes dédiées au soleil à cette date.
Noël est aussi devenue une fête religieuse depuis son appropriation par la culture chrétienne (et première religion persécutée aujourd'hui dans le monde, et devinez par qui?). Avec le recul de cette religion, notamment en Europe, Noël est devenue une fête familiale.
Le Père Noël, lui, serait né il y a 1700 ans. Il s'appelait alors Nicolas de Myre, un riche évêque turc qui avait l'habitude d'aller distribuer des cadeaux et de la nourriture aux plu pauvres, durant la nuit.
Après avoir été canonisé par l'église (laquelle cherchait alors à remplacer les personnages des fêtes païennes par des saints), la saint Nicolas (que les mêmes détracteurs commencent également à dénigrer), le 6 décembre, devint une fête religieuse populaire dans plusieurs pays du monde. Et malgré la réforme protestante qui supprima cette fête dans de nombreux pays d'Europe, les Hollandais transformèrent saint Nicolas en un personnage semi-laïc, Sinter Klaas et maintinrent sa distribution de jouets.
Rappelons au passage que le nom de Santa Claus (Père Noël) est une déformation du terme néerlandais Sinter Klaas (Sant-Nicolas). A l'arrivée des premiers immigrés aux États-Unis, « Sinter Klaas » se transforme en Santa Claus. En 1821, un pasteur américain, Clement Clarke Moore, publie un conte de Noël pour enfants intitulé « The Night before Christmas », dans lequel Saint-Nicolas est présenté comme un lutin sympathique, dodu et souriant, qui distribue des cadeaux dans les maisons et se déplace sur un traîneau volant tiré par des rennes, (Rudolf, le petit renne au nez rouge chargé d'éclairer le chemin, n'apparaît que plus tard, en 1839).
Le récit est traduit et publié dans le monde entier. C'est le point de départ de l'élaboration du mythe actuel du Père Noël qui arrive la veille de Noël plutôt que le jour même. En 1863, le dessinateur Thomas Nast publie une illustration dans Harper's Illustrated Weekly, dans lequel Santa Claus porte un costume bordé de fourrure blanche et un large ceinturon de cuir. Pendant 30 ans, Nast illustra de ses dessins tous les aspects de la légende de Santa Claus : un petit bonhomme rond, vêtu d'une houppelande en fourrure, la pipe au coin de la bouche. C'est aussi Nast qui, dans un dessin de 1885, établit la résidence du Père Noël au Pôle Nord.
Quoiqu'il en soit, une fête comme Noël capable d'émerveiller autant les enfants ne peut être qu'une fête merveilleuse. Et n'a rien à envier au monde d'horreurs et de perversions que nous impose désormais le nouvel ordre mondial satanique et mercantile qui tente de mettre l'humanité sous esclavage. Impies, hommes de peu de foi ou serviteurs du diable ne parviendront ni à dompter la nature ni à dominer la spiritualité qui animent non seulement les Chrétiens mais aussi tous les croyants des autres religions.
Joyeux Noël !
 
LE CLIN D'OEIL DU MOMENT
Les bonnes nouvelles sont suffisamment rares pour que nous ne boudions pas notre plaisir lorsque cela arrive.
L'association «Tous contribuables » nous informe que depuis le début de l'année, les décisionnaires publics peuvent être condamnés par la Cour des Comptes à une amende représentant jusqu'à 6 mois de salaire en cas d'irrégularités graves.
Les magistrats financiers ont renforcé leur arsenal juridique avec la mise en place d'un nouveau régime de responsabilité financière des gestionnaires publics.Ce régime permet notamment d'obtenir la condamnation de tout gestionnaire public auquel est reproché l'inexécution d'une décision de justice, si cette dernière présente une incidence en termes financiers.
Jusqu'alors, l'impunité n'était pas de mise. Les gestionnaires indélicats pouvaient être traduits devant la Cour de discipline budgétaire et financière (CDBF). Toutefois, en pratique, ces infractions étaient rarement sanctionnées par le juge financier. Désormais les gestionnaires publics peuvent être poursuivis et condamnés à une amende représentant jusqu'à 6 mois de traitement s'ils commettent une infraction.
Depuis l'entrée en vigueur du nouveau régime, sur saisine du parquet général, l'institution a jugé quatre affaires et une quarantaine d'autres sont à l'instruction. Pour faire remonter des affaires portant sur des irrégularités ou des dysfonctionnements, les administrés peuvent s'appuyer sur la plateforme de signalement de la Cour.
Mise en place dans le cadre du projet stratégique de modernisation des juridictions financières « JF 2025 », cette plateforme permet au citoyen lambda de faire remonter des faits irréguliers constatés dans la gestion publique.
Tout citoyen peut procéder à un signalement en ligne : https://signalement.ccomptes.fr/entreprises « Qu'il s'agisse de la gestion des marchés publics, de rémunérations ou de subventions indues, de conflits d'intérêt ou de fautes graves de gestion, tout fait signalé comme étant irrégulier pourra faire l'objet d'un contrôle après instruction, si les juridictions financières le décident en toute indépendance et confidentialité », promet la Cour des comptes.
La Cour préserve l'anonymat des informateurs s'il est demandé, et, le cas échéant, la protection du statut de lanceur d'alerte.Depuis un an, un peu plus de 1 000 signalements ont été jugés recevables.
 
 
MURIEL ET LES VOITURES ESPIONNES
Votre voiture vous espionne ! « Les voitures modernes sont un cauchemar lorsqu'il s'agit de protéger la vie privée », déclare Jen Caltrider, qui a dirigé les recherches pour la Fondation Mozilla, basée à San Francisco,
Jen Caltrider a examiné les voitures des 25 marques les plus populaires. « Les voitures constituent la pire catégorie de produits que nous ayons jamais évaluée », déclare t-elle.
Les 25 marques de voitures examinées, dont Tesla, Audi, BMW, Fiat, Ford, Honda, Hyundai, Nissan, Renault, Subaru et VW, sont surnommées « pieuvres de données » : Elles sont en effet équipées de caméras et de microphones à l’intérieur, et les données collectées sont envoyées en permanence vers le cloud. Certains constructeurs, comme Nissan et Kia, envahissent même la vie privée des utilisateurs en collectant potentiellement des informations sur « l'activité sexuelle » des occupants du véhicule.
L'étude montre aussi que plus des trois quarts des constructeurs automobiles non seulement utilisent les données collectées, mais les revendent également à des prestataires de services, des négociants en données et d'autres entreprises. McKinsey estime que les données collectées par les voitures pourraient générer entre 250 et 400 milliards de dollars de valeur supplémentaire par an d’ici 2030.
L'étude montre enfin que plusieurs constructeurs automobiles collectent des données sur « l'origine, les croyances religieuses, l'orientation sexuelle, la géolocalisation, la santé et même les informations génétiques » de leurs utilisateurs. De plus, 13 des 25 voitures examinées collectent des informations sur leur environnement...
Dimanche 3 décembre 2023 : Jouer à la balle est peut-être ce que je préfère
Lundi 4 décembre 2023 :C’est sous une pluie battante que j’ai fait ma première promenade de la journée
Mercredi 6 décembre 2023 : Mon maître est souffrant et je veille sur lui plus que jamais
Jeudi 7 décembre 2023 : Je sens le retour de Ruben, prévu pour aujourd’hui et je tourne en rond
Vendredi 8 décembre 2023 : Youpppii ! Mon tapis de course est arrivé et Duarte mon dresseur, va m’apprendre à m’en servir
Samedi 9 décembre 2023 : Cela fait aujourd’hui tout juste un an que j’ai rencontré mon maître. Ca se fête !
 
 
VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR...
Entretien entre André Bercoff et Mathieu Bock-Côté, essayiste, chroniqueur politique et auteur de "Le totalitarisme sans le goulag" publié aux Presses de la Cité (https://youtu.be/i3_uXOrlNNE)
" Les Occidentaux ont voulu se faire croire après la chute du communisme que l'histoire du totalitarisme était derrière eux, qu'elle ne les concernait plus. Au pire redoutaient-ils l'apparition d'un totalitarisme doux, à visage humain, mais ils ne le croyaient pas vraiment, ne le prenaient pas au sérieux. Et pourtant, le totalitarisme revient. Dans l'incrédulité générale, puisqu'il revient sans goulag, car il n'en a plus besoin. Et il revient sous une forme paradoxale. Nos sociétés veulent croire que ce qu'elles appellent "l'extrême-droite' les menace existentiellement, comme si elle sortait des enfers pour les y ramener avec elle. Cette catégorie politique fantomatique, indéfinissable, manipulée et instrumentalisée, sert essentiellement à étiqueter tous ceux qui s'opposent au régime diversitaire. Mais pas seulement : toute personnalité de gauche n'adhérant pas à la doxa ambiante est désormais frappée de cette marque de l'infamie. La lutte contre la prétendue "extrême-droite' justifie aujourd'hui une suspension progressive des libertés, le retour de mécanismes d'ostracisme et un contrôle social croissant, prétendant éradiquer le mal du cœur de l'homme. En d'autres mots, ce n'est pas "l'extrême-droite' qui nous menace, mais la lutte contre "l'extrême-droite' qui nous conduit au totalitarisme. Je sais cette thèse contre-intuitive. Je me donne la mission ici de la démontrer. " Mathieu Bock-Côté
Surveillance de la population française : entretien avec .Fabrice Epelboin, enseignant, entrepreneur et spécialiste de l'influence et de la surveillance sur les réseaux sociaux (https://youtu.be/iVo6QvSFEUs) (à la 17è mn 15)
 
 
QUOI DE NEUF EN CRYPTO ?
Bitcoin : l’incroyable exploit de ce petit mineur* (source : Le Journal du coin)
La nouvelle est tombée il y a quelques jours, de la bouche du développeur principal de la pool de minage solo ckpool : un de ses utilisateurs a réussi à valider un bloc, en solitaire.
Ce mineur modeste a donc réussi l’impossible, ou presque. Avec ses 2 Peta Hash, une unité de mesure utilisée pour quantifier la puissance de calcul d’un mineur, il a battu les géants du minage et a extrait un bloc entier. Le gain? 6,25 BTC de récompense de bloc, soit environ 258 000 dollars. C’est comme si, notre chanceux du jour venait de gagner une petite fortune à la loterie.
En effet, habituellement dans les pools de minage classiques, les mineurs se répartissent les BTC trouvés en proportion de leur puissance de calcul fournie. Mais ici, ce petit mineur a tout raflé pour lui, tout seul. Un exploit qu’un mineur de cette taille ne résoudrait normalement en moyenne qu’une foistous les 5 ans.
* Le minage de crypto, également appelé preuve de travail (proof of work) est l'activité qui consiste, à l'aide de matériel informatique, à vérifier et enregistrer des transactions sur une blockchain
 
 
NOUS PRENDRAIT-ON POUR DES CONS ?
L’arnaque des prix de l’électricité dénoncée sur ARTE
« Selon le baromètre du Médiateur national de l’énergie, 79 % des consommateurs disent avoir restreint leur chauffage en 2023 pour réduire leurs factures. Après des longs mois de négociations, l’État et EDF sont parvenus à un accord sur le prix de l’électricité, qui passe de 42 à 70 euros le mégawattheure. Quelles seront les répercussions pour les consommateurs ? »
Voilà pour la présentation rapide de l’émission.
Après, il y a l’intervention d’Anne Debregeas ingénieur de recherche chez EDF.
Que dit-elle ?
Ce que nous sommes très nombreux à penser et cela fait du bien de le voir sur ARTE.
A savoir que les opérateurs alternatifs ne sont que des émetteurs de factures.
Ils ne font rien, ne produisent rien, n’acheminent rien, ne stockent rien. ne prennent même pas le risque des « invendus » comme peut le faire n’importe quel commerçant achetant à un grossiste et qui porte le stock, le risque de perte, de vol et de gâche ou de péremption.
Bref, les opérateurs alternatifs ne sont que des accapareurs d’argent qui n’existent que parce que nous les avons autoriser à rapiner.
Un autre marché de l’énergie est non seulement possible, mais surtout totalement souhaitable. Regarder l’émission ici https://youtu.be/sffJvwcETpg
Alexis Poulin (Sud Radio) reçoit Philippe Pascot, administrateur d'Anticor. Auteur de "Les cons ça ose tout, moi aussi..." publié aux éditions Bonneton et "Le pouvoir du pire" publié chez Max Milo.
Ne soyons pas naïfs, aucune guerre n’a jamais été faite au nom du bien commun même si les marchands de canons prétendaient la mener au nom du peuple. Lorsqu’ il s’agit d’envoyer les populations au front, les termes « Patriotisme », « ennemi commun » ou «grandeur de la Nation », mots habituellement honnis par les petits marquis qui nous dirigent, sont alors ressortis pour convaincre le bon peuple d’aller au casse-pipe, comme en 1914, et faire ainsi la fortune de l’industrie d’armement ...et des autres qui passeront reconstruire derrière. Et, de mémoire, aucun membre du Congrès américain (on en comptait 530 au moment du vote en faveur de l’invasion américaine de l’Irak en 2003) n’avait alorsrépondu favorablement au réalisateur du film Farenheit (2004) qui les avait invité à envoyer leurs enfants faire la guerre au Moyen-Orient. Ou plutôt, si, un seul avait répondu présent, son fils étant parti se battre sur place.
Si seulement les gens savaient... ils croient savoir mais ne savent rien, désinformés par les médias de masse au service des financiers. Maintenus ainsi dans l’ignorance, la désinformation, et une certaine naïveté, on prépare nos enfants à partir alimenter les lignes de front en chair à canon, au nom de la défense du drapeau national.
La guerre ne fait pas qu’enrichir les marchands d’armes, elle permet aussi de détourner l’attention des peuples. La guerre en Ukraine nous a ainsi permis de concentrer notre regard sur ce conflit des mois durant, période pendant laquelle nous ne nous préoccupions pas d’autres problèmes affectant d’ailleurs gravement notre quotidien (insécurité, inflation, appauvrissement généralisé des Français...). Aujourd’hui, le conflit israelo-palestinien occupent la plus grande partie des programmes des chaines d’information, tant et si bien que cela devient abrutissant. Que croyez-vous qu’il arrive chez nous ? Des barbares français (de papier) équipés de longs couteaux viennent assassiner des Français (de sang). Ils ne se cachent même plus, sûrs du soutien médiatique et des élites qui nous dirigent. Et d’annoncer sur les réseaux sociaux vouloir massacrer du blanc ! Avez-vous entendu une indignation générale à la suite de ses propos ? Et vous êtes-vous demandé à qui profite le crime ?
 
 
DU COTE DE CHEZ NOUS
Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix : Les milices slaves vont venir passer l’aspirateur en France (https://odysee.com/@campagnoltvl:2/biai222:e)
 
 
L'ASSOCIATION DU MOIS
Société Française de Campanologie
Après plusieurs années d’inventaire, de contacts avec les sonneurs et de démarches pour monter le dossier de demande d’inscription, cette association vient d’obtenir l’inscription à l‘Inventaire national du Patrimoine Culturel Immatériel de la pratique de la « sonnerie de cloches par tintement manuel dite banc du sonneur, coptée ou trézolage (selon les lieux) au titre des pratiques sociales et festives traditionnelles.
Cette pratique était courante autrefois dans de nombreuses régions de France comme en témoigne la présence, dans les clochers, de cordelettes attachées au battant de chaque cloche, de bancs, de pédaliers… et reste active dans plusieurs régions telles que les vallées du Haut Pays niçois, en Occitanie, en Savoie, en Lorraine, en Corse… On compte encore une cinquantaine de sonneurs pratiquants, réguliers ou occasionnels, dont quelques jeunes venant en relève des sonneurs plus âgés. Cette pratique de sonnerie, qui est complémentaire des sonneries de volée à la corde ou électrifiées, est mise en œuvre pour l’annonce des décès mais surtout pour les moments festifs (mariages, fêtes patronales, grandes fêtes religieuses, etc.).
Cette reconnaissance officielle de la valeur patrimoniale d’une pratique qui remonte au Moyen Age, et qui est souvent identitaire d’un village, va permettre le développement d’actions de transmission de ce savoir-faire (plus précisément du « savoir sonner ») et de restaurer cette pratique dans les villages qui n’ont plus de sonneurs.
Comme en Espagne ou en Suisse, les cloches et leur sonnerie sont désormais « protégées » et valorisées par divers dispositifs institutionnels ou réglementaires : protection au titre des monuments historiques du bâti spécifique (clocher d’édifices religieux, beffrois civils…), protection de la cloche ou d’un ensemble de cloches (objet d’art, instrument de musique) au titre des monuments historiques (et donc en tant que rare archive sonore parvenue jusqu’à nous), protection des sonneries de cloches (contributives de l’identité sonore des villages et des territoires) au titre du patrimoine sensoriel (code de l’environnement amendé en janvier 2021), protection des techniques ou pratiques de sonneries (grands carillons à clavier, sonneries manuelles par tintement), et le répertoire correspondant, en tant que patrimoine immatériel. Le patrimoine campanaire est un patrimoine sonore présent dans toutes les communes françaises, vivant mais parfois menacé par la destruction du bâti, souvent mal connu car caché, mais apprécié de nombreux habitants.
 
 
TOURISME
La route des sept églises (Turquie)
Berceau de certaines des premières civilisations, l'Anatolie est également l'une des destinations les plus populaires au monde pour le tourisme religieux, avec des itinéraires couvrant les lieux saints et les héritages culturels de diverses religions. Parmi ces itinéraires figurent certaines des plus importantes routes de pèlerinage chrétiennes.
Les sept grandes églises mentionnées dans le Nouveau Testament, la seconde moitié de la Bible chrétienne, sont considérées comme l'un des itinéraires les plus sacrés d'Anatolie pour les chrétiens. Également connues sous le nom de "Sept Églises de l'Apocalypse" ou "Sept Églises d'Asie", ces structures sont importantes dans l'histoire du christianisme, à la fois en tant que point central des trois premiers chapitres du Livre de l'Apocalypse et en tant que lieux réels qui ont joué un rôle essentiel dans la propagation du christianisme. Saint Jean (Jean-Baptiste) a également vécu à Éphèse, où se trouve l'une de ces églises. La route des sept églises est essentielle pour retracer l'histoire du christianisme en Anatolie :
Situées dans la région égéenne de la Türkiye, les sept grandes églises se trouvent dans les provinces d'Izmir, de Manisa et de Denizli. Izmir abrite trois de ces églises primitives essentielles, la première étant l'église d'Éphèse. Inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO, Éphèse est considérée comme la plus importante des congrégations auxquelles des lettres ont été envoyées. Selon le récit, après la crucifixion de Jésus-Christ, Jean le Baptiste a amené la Vierge Marie à Éphèse, une ville importante de l'Empire romain. Comme les Romains de l'époque adhéraient principalement à des croyances païennes, la première communauté chrétienne s'est formée avec prudence.
On pense que la Vierge Marie a vécu dans une maison sur le mont Bülbül jusqu'à sa mort à l'âge de 101 ans et qu'elle a été enterrée par Jean quelque part sur la montagne, dans un lieu connu de lui seul. Le tombeau de saint Jean se trouve sur la colline d'Ayasuluk à Selçuk, près de la maison de la Vierge Marie. L'empereur byzantin Justinien y a érigé une impressionnante basilique au VIème siècle. Après avoir visité l'église d'Éphèse, vous pourrez poursuivre votre voyage sacré dans l'histoire du christianisme à la basilique Saint-Jean et à la maison de la Vierge Marie. La grotte des Sept Dormants, mentionnée dans les textes islamiques et chrétiens, et le temple d'Artémis, l'une des sept merveilles antiques du monde, sont également des étapes importantes dans cette région.
Smyrne, où une autre lettre de saint Jean a été envoyée, est la deuxième étape de cet itinéraire. Les vestiges de l'ancienne agora de la ville peuvent être visités aujourd'hui aux ruines de l'agora d'Izmir, dans le centre-ville. Le musée archéologique d'Izmir, où sont exposés de nombreux vestiges trouvés dans la ville, constitue un autre point fort. La dernière adresse d'Izmir des lettres était Bergama (Pergame). Pergame, capitale de la province asiatique de l'Empire romain, était un centre culturel important qui possédait une bibliothèque rivalisant avec la célèbre bibliothèque d'Alexandrie. La ville abrite également un magnifique théâtre antique, l'asclepieion (centre de guérison) et le Kizilavlu, dédié aux dieux égyptiens. Le musée d'Izmir Bergama présente des objets de la vieille ville inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.
- Les trois lieux saints de Manisa : Thyatire, Sardes, Philadelphie
Trois des sept grandes églises se trouvent à Manisa. La plus longue des sept lettres a été envoyée à Thyatire, dans le district d'Akhisar. L'ancienne Thyatire était également connue pour ses teintures violettes brillantes obtenues à partir des racines de la région. On pense que le district d'Akhisar a été construit sur cette ancienne ville. Bien que la plus grande partie de la vieille ville ait disparu, les ruines comprennent les cimetières de la colline (Tepe Mezarliklari). Sardes, près du district de Salihli à Manisa, était connue comme la capitale de la Lydie et le lieu où la monnaie a été imprimée pour la première fois dans l'histoire sous la garantie de l'État. Les ruines de Sardes méritent une visite en raison de leur place dans l'histoire du christianisme et de leurs autres valeurs culturelles. Le complexe Bathgymnasium, le temple d'Artémis, l'acropole et les mille collines (Bin Tepeler) (tombes en forme de collines) sont les points forts de cette ville antique, dont les bâtiments romains ont survécu jusqu'à aujourd'hui. La dernière étape dans les limites de Manisa est Philadelphie. L'ancienne ville de Philadelphie, dans le district d'Alasehir, a été établie en tant que forteresse frontalière de Pergame. Bien que la majeure partie de la vieille ville soit aujourd'hui occupée par des constructions modernes, les vestiges d'un temple et du théâtre de la ville ont été mis au jour.
- Sanctuaire de Denizli : Laodicée
La dernière des sept grandes églises se trouve dans l'ancienne ville de Laodicée, à l'intérieur des frontières de Denizli. Laodicée, ville hellénistique, a été un centre essentiel de la région pendant des siècles ; l'église laodicéenne, qui est aussi le plus ancien exemple des sept églises, a fait de la ville un centre religieux de niveau métropolitain au début de la période byzantine. Laodicée attire également l'attention en raison de sa proximité avec Pamukkale. Après avoir visité Laodicée, vous pourrez vous rendre à Pamukkale, où les travertins qui ressemblent à un champ de nuages et l'ancienne ville de Hiérapolis peuvent être vus dans la même localité. Les travertins de Pamukkale et la cité antique de Hiérapolis, tous deux classés au patrimoine mondial de l'UNESCO, sont de magnifiques exemples du patrimoine naturel et culturel.(source : Turquie Tourisme)
Que faire à Cracovie ? (Pologne)
La belle Polonaise n'a définitivement rien à envier aux plus belles villes historiques d'Europe. Voici les 13 incontournables de celle qui reste la capitale scientifique et culturelle du pays :
- La Voie Royale
Sans visiter les monuments, la promenade sur la Voie Royale ne dure qu'une heure. Pour l'histoire, c'est cette voie que suivaient les monarques qui rentraient de batailles victorieuses ou bien encore que les évêques suivaient à leur entrée en fonction. On emprunte la rue Floria?ska avant de se retrouver sur la Grand-Place. Puis vient le temps d'emprunter les rues Grodzka et Kanonicza avant de se retrouver au Wawel. C'est simple, les principaux monuments de la ville sont concentrés autour de la Voie Royale : la Porte Saint-Florian, la Barbacane, la Halle aux Draps, les palais, musées ou bien encore les églises. Elle est un itinéraire incontournable pour quiconque souhaite faire le tour des trésors qu'abrite Cracovie.
- La cathédrale de Wawel
Aussi nommée Basilique-cathédrale Saints-Stanislas-et-Venceslas de Cracovie, il s'agit de la plus importante église de Pologne. Le monument a été détruit et reconstruit à trois reprises au cours de son histoire et la cathédrale actuelle date du XIVème siècle et prend la forme d'une basilique gothique. Autour, on observe une ravissante couronne de chapelles qui arborent des styles différents. Elles ont été ajoutées successivement au cours des siècles. En plus de la beauté et de la spécificité de son architecture, il est important de noter que la cathédrale de Wawel est un véritable sanctuaire national, puisque de nombreux rois, reines, poètes et héros nationaux y sont enterrés. C'est aussi ici que furent couronnés pendant des siècles les rois de Pologne.
- Le Collegium Maius et l’université Jagellonne
L’université Jagellonne est la seconde plus ancienne d'Europe, après celle qui se trouve à Prague. Elle fut fondée en 1364 par le roi Casimir le Grand. Le Collegium Maius est lui le plus ancien bâtiment de l'université et est un splendide exemple d'architecture gothique du XVème siècle. On y trouve une cour remarquable ornée d'une galerie en arcades. Aujourd'hui, le monument abrite le musée de l'Université Jagellonne et on y visite des intérieurs historiques qui ont par le passé servi aux professeurs et aux étudiants comme l'ancien réfectoire, la bibliothèque, les chambres des enseignants ou bien encore le grand auditoire qui abrite une très belle collection de tableaux. On peut notamment y visiter la chambre du célèbre astronome Copernic, qui étudia à Cracovie de 1491 à 1495, et voir un ensemble incroyable d'instruments astrologiques et astronomiques.
- La Halle aux draps
Cette halle est l'un des plus importants monuments de Cracovie et son plus ancien « centre commercial ». Elle réunit des éléments architecturaux d'époques très différentes, pas étonnant lorsque l'on sait qu'elle a été construite sur une période allant de 1257 à nos jours. En 1358, le roi Casimir le Grand fit construire un bâtiment de 100 mètres de longueur à trois nefs, puis après un incendie en 1555, Giovanni Maria Mosca construisit lui un nouveau bâtiment à deux niveaux dans un style Renaissance. Entre 1875 et 1879, Tomasz Prylinski y ajouta de splendides arcades néogothiques des deux côtés. On ne peut passer à côté de cet imposant édifice de la place du Marché qui, s'il fut principalement dédié par le passé au commerce de gros tissus, abrite aujourd'hui de nombreux cafés et commerces d'artisanat, ainsi que les collections de peintures et de sculptures du XIXème siècle duMusée national de Cracovie à l'étage.
- La place du Marché, ou Rynek
Rynek signifie marché en polonais. Le Rynek, ou place du Marché de Cracovie, est un endroit exceptionnel puisqu'il s'agit de la plus grande place médiévale du continent européen. C'est le lieu le plus fréquenté de la ville, à la fois par les habitants, mais aussi par les visiteurs. On aime y flâner lorsque le ciel est bleu pour profiter des terrasses et de la vue offerte sur les belles façades des maisons bourgeoises. C'est aussi un lieu remarquable pour y apercevoir quelques-uns des plus beaux monuments historiques de la ville : la Halle aux Draps, la basilique Sainte-Marie de Cracovie, l'église Saint-Wojciech ainsi que la tour de ce qu'il reste de l'ancien Hôtel de Ville.
- Le tertre de Kosciuszko
Ce monticule de 80 mètres de diamètre a été érigé pendant le XIXème siècle (en 1823) par les habitants de Cracovie pour rendre hommage à Tadeusz Kosciuszko, leader de l'insurrection nationale de 1794. En 1853, il a été ceinturé par une citadelle militaire en briques et afin d'accéder au sommet du monticule, il faut rejoindre la petite chapelle de la Bienheureuse de Bronis?awa, à l'architecture néogothique. C'est un endroit paisible pour se balader et une fois arrivé tout en haut de la colline, à 34 mètres, on profite d'un splendide panorama sur Cracovie, sur les villages environnants ainsi que sur plusieurs chaînes de montagnes des Carpates du sud.
- L’usine d’Oskar Schindler
Ce musée est l'un des lieux les plus populaires de Cracovie. Si cet endroit incontournable a inspiré le célèbre film La Liste de Schindler, il permet surtout aux visiteurs de mieux comprendre comment cet industriel nazi a sauvé la vie de 1 200 juifs durant l'Holocauste. Le musée propose une exposition permanente nommée Cracovie sous l'occupation nazie entre 1939 et 1945 et dévoile l'histoire de la cité depuis la fin de l'année 1939 jusqu'au vent de liberté de l'ère communiste. À travers les expositions, des sons et des images, une visite de l'usine offre un voyage vers l'époque effroyable où les Juifs vivaient sous l'occupation nazie en Pologne.
- Le château du Wawel
Le château royal de Cracovie est situé sur la colline du même nom et surplombe la vieille-ville ainsi que la Vistule en contrebas. Il accueillait autrefois les rois et reines de Pologne, les visites guidées vous donnent donc l'occasion de découvrir la gloire passée de la ville. Ce splendide complexe de plusieurs bâtiments, d'églises et de fortifications, dévoile un mélange de styles différents. On note ainsi la présence d'éléments gothiques, Renaissances, romans et rococos. En plus d'admirer son architecture globale et de faire un tour dans sa cour remarquable, il faut absolument aller voir les appartements royaux, le Musée d'art oriental et l'exposition du sous-sol qui montre à quoi ressembler la colline il y a 1 000 ans. Au pied du château, au bord du fleuve, on ne manque pas d'aller admirer la statue du légendaire Dragon du Wawel, qui, attention, crache même du feu.
- Le parc des Planty
Le parc des Planty est en forme d'anneau et encercle le centre historique de la ville. C'est le poumon vert de la ville, avec ses 21 hectares et ses nombreux jardins de styles différents. Les Planty furent créés au début du XIXème siècle sur l'emplacement des fortifications médiévales qui tombaient en ruine et étaient un véritable couvoir de maladies. Certains fragments des fortifications sont cependant encore visibles : la Barbacane et la porte Saint-Florian. Aujourd'hui, on y admire 40 espèces d'arbres et arbustes et on y contemple aussi des statues dressées en mémoire d'artistes polonais. C'est un lieu paisible, aucune ville de Pologne ne dispose d'un parc semblable. Visitez le parc des Planty et constatez qu'il fait bon de s'y balader pour observer les couleurs de l'automne ou bien pour se mettre à l'abri du soleil lors des chaudes journées d'été.
- Le MOCAK
Situé dans le quartier de Podgorze, le musée d’art contemporain de Cracovie est l'œuvre de l'architecte italien Claudio Nardi. C'est l'une des attractions touristiques les plus récentes de la ville puisqu'il a été inauguré en 2011. Dans un bâtiment moderne et sur deux étages, on découvre des expositions permanentes et temporaires où sont mises en avant des peintures, sculptures, photographies et installations d'artistes contemporains, aussi bien polonais qu'étrangers.
- L’ancien camp d’Auschwitz-Birkenau
Ce camp gigantesque, largement détruit par les nazis avant leur fuite, fut la véritable usine de la mort. En arrivant, la sinistre façade du bâtiment de garde qui marque l’entrée du camp se dresse devant les visiteurs avec au milieu la porte de la mort qui laissait entrer les trains. Montez au sommet de la tour pour une vue d’ensemble du camp et de ses baraquements. La plupart ont été détruits, mais les cheminées, toujours élevées, témoignent de leur emplacement. Quelques baraquements se visitent. Le musée mémorial d’Auschwitz est un site exceptionnel dont on se souvient longtemps après.
- Le quartier juif de Kazimierz
Avant la Seconde Guerre mondiale, un tiers de la population de Cracovie était juive. Beaucoup d'efforts ont été faits pour conserver les bâtiments et synagogues de ce quartier historique. En son centre, sur la place Nowy, autrefois appelée "place juive", s'érige une halle circulaire édifiée en 1900 pour l'abattage rituel kasher des volailles. Elle abrite désormais une multitude de kiosques vendant les célèbres zapiekanka, un succulent sandwich long garni de champignons, de légumes et de fromage, servi chaud. Bordée d’une multitude de bars, cafés et restaurants, la place devient le centre de toutes les sorties en soirée. Le samedi et le dimanche matin, on y trouve un petit marché aux puces qui mélange babioles et artefacts de la Seconde Guerre mondiale.
- Les mines de sel de Wieliczka
Classées au Patrimoine mondial de l’UNESCO, ces mines existent depuis le XIIIème siècle. Ce voyage au centre des entrailles de la Terre est une visite incontournable de votre séjour à Cracovie ! Vous découvrirez l'histoire passionnante de la mine à travers ses salles et ses galeries. Admirez les lacs souterrains, les outils et machines d'époque ainsi que les impressionnantes sculptures et les bas-reliefs, tous fabriqués à partir de blocs de sel par les mineurs. La chapelle Sainte-Cunégonde (St. Kinga), faite entièrement à base de sel, est un chef-d’œuvre. Au-delà du parcours classique, il existe aussi le « parcours minier », une véritable expédition lors de laquelle les visiteurs accompagnés d'un guide et habillés et équipés comme des mineurs descendent dans la mine par le puits Regis, le plus ancien des puits existants.
 
 
EXPOSITIONS
« Bulles de Louvre », jusqu'au 2 mars 2024, au Lamentin (972)
L'association des Bibliothèques publiques de la Martinique (ABPM) s'associe à la librairie Kazabul et au Musée du Louvre pour accueillir cette exposition en Martinique.
Ce parcours propose à ses visiteurs de découvrir le Louvre à travers le regard de 10 auteurs de Bande Dessinée. En mettant en lumière chacun de leur univers et en explorant les thématiques abordées, l’exposition montre comment ils se sont inspirés de ce haut lieu culturel et des œuvres présentes pour imaginer des récits et partager leurs réflexions sur l’Art et la création.
A la médiathèque municipale du Lamentin (972)
« Les Motte au parvis », actuellement à Roubaix (59)
Proposée dans le cadre d'un partenariat avec la ville de Roubaix et l'association des amis du fonds Motte-Bossut, cette exposition ramène la famille Motte aux portes de son château d'industrie.
À travers une sélection de clichés privés détenus par un collectionneur, on découvre quelques instantanés de vie de la grande bourgeoisie industrielle du Nord.
C'est un clin d'oeil à l'histoire de la famille Motte, aux Roubaisiens, aux passionnés de patrimoine industriel et au 30ème anniversaire des ANMT qui occupent désormais le château.
À découvrir gratuitement en ce moment sur le parvis des Archives nationales du monde du travail, rond-point de l'Europe à Roubaix (Eurotéléport)
Du lundi au vendredi (9h-17h) et du samedi au dimanche (13h-18h)
«Rambouillet 1950, dans l'intimité du Président », jusqu'au 21 avril 2024, à Rambouillet (78)
Du 10 décembre 2023 au 21 avril 2024 l’exposition temporaire "Rambouillet 1950, dans l'intimité du Président", sous le commissariat de Gérald Rémy, inspecteur des collections de mobilier, de céramiques et de sculptures 1900-1964 au Mobilier national, se déploiera dans l'appartement d'Assemblée à l'étage et la salle des Marbres au rez-de-chaussée . Elle présentera le mobilier de Jean-Charles Moreuxdestiné à une chambre d'hôte de marque et le cabinet de travail du Président Auriolcréé par Jacques Adnet. Ce projet donnera au public l’opportunité unique d’une immersion dans l’univers d’une résidence présidentielle de grande élégance dans les années 50.
Au château de Rambouillet, à Rambouillet (78)
« Maurice Denis, Les Chemins de la Nature » , du 13 décembre 2023 au 31 mars 2024, à Saint-Germain-en-Laye (78)
Cette exposition s’intéresse à la place de la nature dans l’œuvre de Maurice Denis. Ce thème permet d’embrasser l’essentiel des sujets qui ont fait sa notoriété, à commencer par les jardins, espaces propices aux scènes d’intimité familiale comme à des sujets mythologiques ou religieux. Les figures dans la nature comme les motifs pittoresques illustrent les variations au fil des saisons, permettant d’exalter toutes les couleurs de sa palette. Les arbres constituent également un thème récurrent dans sa peinture, voire un motif suscitant le dialogue permanent entre Art et Culture, matériel et spirituel.
Maurice Denis a été un ardent défenseur de la nature en son temps, attentif à la protection de l’environnement.
Cette exposition permet de faire le lien entre ses œuvres et les territoires aujourd’hui.
Outre les prêts des institutions, notamment du musée d’Orsay, nombre d’œuvres exposées sont inédites ou rarement montrées, issues en particulier de collections privées.
L’exposition donne lieu à la publication d’un catalogue, aux éditions Ouest-France, commun aux deux étapes, qui reproduit l’ensemble des œuvres présentées, et plusieurs essais des meilleurs spécialistes.
Au Musée départemental Maurice Denis, 2bis, rue Maurice Denis, à Saint-Germain-en-Laye (78)
Prolongation de l'exposition « Pablo Picasso : Masterprints » jusqu'au 20 janvier 2024, à Paris (75)
La Galerie Jean-François Cazeau, installée à Paris à deux pas du Musée Picasso, dresse des ponts entre les Maîtres Modernes et l’art de l’après-guerre des deux côtés de l’Atlantique. Cette année, pour fêter la Célébration Picasso, à l’occasion du cinquantenaire de la mort de l’artiste, la galerie met en exergue le travail graphique du grand innovateur du XXème siècle. Pablo Picasso : MasterPrints, exposition prolongée jusqu’au 20 janvier 2024, permet de découvrir de manière panoramique la création graphique de l’artiste, à travers toutes ses techniques, ses séries et ses périodes de création.
Au 8 rue Sainte-Anastase, à Paris (3ème)
« Prosper Mérimée » du 15 décembre 2023 au 18 mars 2024, à Compiègne (60)
Cette exposition s’attache à restituer les multiples facettes d’un écrivain fascinant, en présentant non seulement le créateur d’un des plus grands mythes littéraires de tous les temps (Carmen), mais aussi l’archéologue qui, en France, se trouve à l’origine de la protection des monuments historiques, l’homme du monde et l’académicien, le sénateur et l’épistolier proche du couple impérial.
Au Château de Compiègne, Place du Général de Gaulle, à Compiègne (60)
 
 
MUSIQUE
Musicales de Redon (35) : concert à la bougie le 17 décembre 2023
Le duo Ogma fusionne les timbres insolites de la harpe celtique et du handpan à travers des compositions originales créant un univers onirique et poétique.
Le harpiste et compositeur, Quentin Vestur s'est spécialisé dans les répertoires de musiques traditionnelles de Bretagne et D'Irlande. Titouan Gautier accordéoniste et joueur de handpan (percussion mélodique suisse inventée en l'an 2000) est un jeune artiste issu des musiques traditionnelles de Haute Bretagne.
A 17h00, à l’église Saint-Charles, 10 Avenue Gaston Sebilleau, à Redon (35)
 
 
FESTIVALS, FÊTES, EVENEMENTS & SALONS
Festival des Lanternes réinventé, du 15 décembre 2023 au 11 février 2024, à Montauban (82)
Concurrencant les plus grandes capitales regionales et europeennes, la douce ville occitane de Montauban accueille pour la 2eme annee consecutive, le Festival des Lanternes, festival de tous les records ayant deja a son actif plus de 2 millions de visiteurs.
Et comme si cela ne suffisait pas, Montauban propose autour de cet evenement devenu incontournable, bien d’autres animations et occupations entre musees, marches de Noel, patrimoine et patinoire.
Un nouvel ecrin : Le Festival des Lanternes s’installe pour cette 6eme edition dans le magnifique Jardin des Plantes situe en plein cœur de Montauban du 15 decembre 2023 au 11 fevrier 2024.
De nouvelles animations : Si la tradition ancestrale artisanale reste le socle du Festival des Lanternes (les artisans chinois viennent chaque annee, plus d’un mois pour creer sur place quelques 2500 lanternes), c’est un festival 100% renouvele , interactif et ludique qui associe tradition et nouvelles technologies.
Une nouvelle histoire : Intitule « Le Jardin Fantastique », ce nouveau chapitre, imagine par le dramaturge montalbanais Francois-Henri Soulie, transportera les visiteurs dans un monde feerique entre Alice au Pays des Merveilles et Avatar a travers 38 tableaux de lumiere.
Les traditionnelles couleurs jaune et rouge symboles des editions precedentes laissent la place au rose et bleu d’Avatar, pour plonger le visiteur au cœur d’un monde ou la realite cotoie l’imaginaire !
Mapping, hologrammes geants, dalles musicales, projections, images epoustouflantes, tableaux lumineux interactifs... Ce nouveau Festival des Lanternes promet aux petits et grands un voyage extraordinaire a la de?couverte du jardin fantastique. Un reve eveille ou la frontiere entre tradition ancestrale et technologie devient floue.
Durant 2 mois, le Jardin des Plantes de Montauban et ses 3 hectares se transformeront en ecrin de lumiere et transporteront les visiteurs de surprises en surprises.
Dragons volants, creatures mystiques, plantes fantastiques ... 38 tableaux seront presentes et mettront en scene 2 500 lanternes faconnees a la main. Le point d’orgue de cette 6eme edition : une deesse enchanteresse de 25 m de haut sur plus de 45 m de long.
Un brouillard lumineux et une mysterieuse lune blanche apporteront une touche de mystere a ce nouveau volet. Des experiences sonores et visuelles accompagneront les visiteurs tout au long de balade pour leur offrir une veritable experience immersive au cœur de ce jardin onirique.
Au Jardin des Plantes, 3 Grand Rue Sapiac, à Montauban (82)
 
 
PATRIMOINE
Victimes ou traitres ? Les établissements Arbel face aux occupations allemandes
La thematique de l’annee 2023 est celle de la grande exposition « Travailler en temps de guerre » présentée du 26 mai 2023 au 4 mai 2024 aux Archives nationales du monde du travail.
Comment les conflits armés changent-ils les modes d’organisation du travail ? Quels sont les impacts sur les vies, les corps et les esprits des travailleurs ? Tout au long de l’année, ces dossiers ou documents du mois prolongeront l’exposition en interrogeant les liens entre guerre et travail.
Le Territoire de Belfort (90)...une histoire d'archives !
Les archives du Territoire de Belfort regorgent de tresors historiques mis en lumiere a l’occasion de leur centenaire cette annee. L’occasion de plonger a travers les epoques, et les evenements insolites qui ont ponctue le Territoire au fil des siecles. Des histoires cocasses, inattendues, parfois terrifiantes, qui permettent, de facon ludique, de rencontrer le patrimoine du Territoire, qui n’aura plus de secrets pour ses visiteurs :
- La plus ancienne des archives
L’archive la plus precieuse par sa valeur temporelle reside dans un petit parchemin date de 1320, qui atteste des droits du seigneur de Delle, comte de Ferrette, sur les habitants de la cite. Un document a haute valeur juridique, conserve dans les archives seigneuriales de 1324 a 1789, date de l’abolition des privileges. De surcroit, au debut du XIIIeme siecle, dirigee par le comte de Ferrette, Delle fut au cœur d’un conflit entre les comtes de Ferrette et de Montbeliard, avant de passer aux mains des Habsbourg en 1324. Le document, sans doute perdu, fut ensuite recopie en 1324. Aujourd’hui, la commune est la deuxieme du Territoire de Belfort apres la ville eponyme, a la frontiere suisse.
- L’archive la plus mystérieuse
Alors que la saison la plus terrifiante de l’annee, celle d’Halloween, s’est encore recemment imposee a nous, les archives du Territoire de Belfort leve le voile sur son document le plus obscure. Un melange de textes et de lettres recues pour des demandes d’exorcisme, a destination... d’un pretre mystique originaire de Delle, aux pratiques effrayantes. Ces documents, precieusement conserves, devoilent meme le detail des objets avec lesquels le pretre s’infligeait, des punitions pour purifier son esprit ! Ames sensibles s’abstenir.
- L’archive la plus consultée
Il s’agit de l’archive la plus abimee, marquee par le passage du temps : le registre des baptemes, mariages et sepultures de la paroisse de Phaffans, vraisemblablement l’une des plus consultees du departement. Cette archive porte en effet la trace de sa manipulation pendant des annees par les pretres successifs : celle d’un trou sur le bord, a l’endroit ou le doigt manipulait le registre. Si le choix a ete fait de conserver cette marque du temps et de ne pas le combler par une restauration, afin de temoigner du passage de l’Histoire, la numerisation des archives du territoire de Belfort permet toutefois de preserver la longevite de ces documents precieux, et de leur permettre de conserver leur role de memoire.
- L’archive la plus épique
Ce document a haute valeur historique est celui de la charte scellee du grand sceau de l’archiduc Maximilien de Habsbourg en 1492. Celui-ci indique ses titres, et certifie qu’outre sa position de duc de Bourgogne, il est egalement comte de Belfort. En effet, Maximilien de Habsbourg, egalement appele Maximilien 1er ou Maximilien d’Autriche, se retrouve, grace a son mariage avec la duchesse Marie de Habsbourg en 1477, a la tete de plusieurs fiefs francais. Cette archive appuie les privileges, notamment fiscaux, octroyes par l’archiduc Albert VI d’Autriche a l’ensemble des marchands de Belfort.
- L’archive la plus inattendue
En 1895, un officier d’artillerie est envoye dans les Balkans pour venir en aide aux armees serbes. A l’aide de son appareil photo, il documente de plus de 1400 cliches sa vision de la guerre de 1914. Fiance a une femme originaire de La chapelle-sous-Rougemont, commune du Territoire de Belfort, il lui fait confectionner une robe de mariee typique de la Macedoine. Lorsque ses heritiers recuperent ses effets personnels, outre les negatifs de ses photographies, ils decouvriront aussi cette robe de mariee, telle une relique d’une epoque marquante de leur histoire.
Le week-end dernier, un incendie de nature accidentelle a bien failli détruire la Gaspésienne n° 20, le dernier exemplaire authentique des bateaux de pêche mythiques de la Gaspésie. Aujourd’hui, nous vous demandons d’unir nos forces pour protéger la Gaspésienne n°20, en l'abritant dans un bâtiment adapté et résistant aux intempéries.
Dans la nuit du 24 au 25 novembre 2023, un incendie s'est déclaré à l'extérieur du Musée vers 20 h. Les flammes ont entièrement détruit la terrasse et le passage vers le bateau emblématique. Vers 1 h 20, au plus fort de l’incendie, la coque du bateau a été la proie des flammes à son tour. Heureusement, deux jeunes femmes ont remarqué le feu en passant en voiture vers 1 h 40, alertant ainsi la SQ. Grâce à leur promptitude, conjuguée à l'intervention des pompiers, la Gaspésienne n° 20 a été sauvée in extrémis d’une destruction totale. Nous serons éternellement reconnaissants à ces deux jeunes femmes qui ont pris le temps de s’arrêter, ainsi qu’aux agents de la SQ et aux pompiers dont les efforts combinés ont permis d’éviter le pire.
Le musée s’active désormais pour récolter des fonds afin de restaurer le bateau puis de bâtir un abri permanent qui protègera La Gaspésienne N°20 des éléments et des tragédies futures.
 
 
SAVOIRS
La langue française s'enrichit
Trait de côte : C'est la ligne de séparation de la terre et de la mer, qui est située, par convention, à la limite des plus hautes eaux marines par temps calme. Le trait de côte est soumis à des évolutions liées à des facteurs climatiques ou anthropiques, qui le font bouger : ainsi, les tempêtes de novembre ont provoqué une érosion précoce de la façade atlantique. On a alors entendu parler dans les médias de « recul du trait de côte ».
Colloque « Le peuple du volcan: archéologie des premiers agriculteurs en Martinique » les 11 & 12 décembre 2023 au Marigot (972)
Depuis 2019, une équipe internationale regroupant une vingtaine de chercheurs dans les Antilles, en France et aux Etats-Unis s’est consacrée à l’étude pluridisciplinaire de l’occupation céramique ancienne de la Martinique sous la direction du professeur Benoît Bérard de l’université des Antilles. Le colloque international « Le peuple du volcan : archéologie des premiers agriculteurs de la Martinique » a pour ambition première de faire un point sur les résultats de ces cinq années de recherches. Il s’agira ainsi de présenter : les différentes fouilles et prospections qui ont été réalisées à cette occasion, les différentes éruptions volcaniques récentes de la Montagne Pélée et leur impact sur le peuplement précolombien de l’île, les premières données paléobotaniques permettant de reconstituer la nature du couvert forestier et ses modalités d’exploitation par les Amérindiens,ainsi que les pratiques artisanales développées par ces groupes.
Ces différents éléments permettront de développer une réflexion générale tant sur la chronologie que sur les dynamiques spatiales liées aux premières occupations agricoles de l’arc antillais. Par ailleurs, ce colloque sera aussi l’occasion de discuter de la médiation auprès du public du patrimoine amérindien ainsi que de l’actualité de la recherche en archéologie précolombienne tant en Martinique qu’en Guadeloupe. Au final, les différentes interventions seront réalisées par des chercheurs venant de Martinique, de Guadeloupe, de France hexagonale, de Suisse, des Etats-Unis, d’Angleterre et de Nouvelle Calédonie.
Préparez-vous à vivre un Noël festif, où chaque coin de rue vous réserve une surprise et où la porcelaine se pare de son habit le plus tendance :
Place de la République et rue Saint-Martial
La place incontournable de Limoges s’habille de son manteau festif : 55 chalets gourmands et savoir-faire, une luge géante et une véritable piste de roller.
Place de la Motte
En face des Halles Centrales, un petit village nordique de sept chalets s’installe accompagné de son manège Sapin qui saura séduire les petits comme les grands. Soirée gourmande et animée garantie.
Rue Jean Jaurès
Sur la grande rue commerçante de Limoges retrouvez quatre chalets animés aux vitrines enchantées. Les oursons limougeauds se mettront en scène durant tout le mois de décembre pour le plus grand plaisir de vos petits bouts.
Place Saint-Pierre
Découvrez chaque soir un spectacle en plein air, lumineux et magique sur la façade de l’Eglise Saint-Pierre de Queyroix. Une animation haute en couleur qui dépasse les frontières de l’âge et vous plonge dans l’univers féerique de Noël. Tous les jours de 18h00 à 21h30.
Champ de Juillet
Pomme d’amour, churros, carrousel, train fantôme… La fête foraine fait son grand retour cette année sur le Champ de Juillet tout le mois de décembre.
Place Saint-Etienne, face à la Cathédrale
Une centaine d’artisans et de producteurs locaux qui vous proposeront des pièces originales, des cadeaux uniques, des délices régionaux et des dégustations nos produits locaux sur place. Vivez la féérie de Noël au marché “100% Artisans & Producteurs Locaux”.
Noël à la Cité internationale de la Gastronomie et du Vin, jusqu'au 20 janvier 2024, à Dijon (21)
La toute nouvelle exposition temporaire Et si on allait au resto ? ouvrira ses portes le vendredi 22 décembre. N'attendez pas pour connaitre l'histoire du restaurant, cette invention française qui a vu le jour à la veille de la Révolution !
Et si vous appreniez comment associer les crémants de Bourgogne à vos repas de fin d'année ? L'École des vins de Bourgogne vous propose un cycle d’atelier spécial fêtes.
Au menu encore de ce nouveau programme : des ateliers inédits autour des senteurs de Noël et de belles découvertes autour des saveurs épicées...
Parvis de l’UNESCO, à Dijon (21)
Le Village de Noël, du 15 au 17 décembre 2023, à Saulce-sur-Rhône (26)
Cette année, le Père Noël prend ses quartiers au Château de Freycinet. Et il ne vient pas tout seul ! Pour préparer Noël comme il se doit, nous vous invitons à partager un moment convivial et enchanté dans notre village de Noël, avec, le samedi 16 décembre à 19h00 un concert de gospel avec Gospel Team.
Et tout au long du weekend : Marché de Noël avec plusieurs exposants et artisans : Faites du Slip, Alma et Co, Bali’Val, Les Botanistes, Les Tableaux d’Irina, Faïences & Couleurs, Provence-Alpes, Markus, Domaine de Grangeneuve, Les Planches, L’Antigaspillerie, Miellerie d’Elodie, Château de Freycinet, Spectacle son et lumière sur la façade du Château, Patinoire, Présence du Père Noël, Balade à Poney avec la Ferme de Zoé, Borne photo avec Commod, Bar et restaurant : bar à huîtres, vin chaud et autres plats et boissons d’hiver…
Au Château de Freycinet, Chemin de la Cadouillère, à Saulce-sur-Rhône (26)
 
 
ACTUALITES
60ème anniversaire du Parc national de Port-Cros, à Hyères (83)
Le Parc national de Port-Cros fête ses 60 ans en 2023. Plus ancien Parc marin d'Europe, cet anniversaire est l'occasion de revenir sur sa création en 1963, de rappeler la richesse de son histoire et les grandes réussites qui ont jalonné le chemin.
Pour ses 60 ans, le Parc national de Port-Cros propose un programme d’animations pour tous les publics, co-construit avec ses partenaires, avec les communes adhérentes à la charte du Parc national, avec les habitants du territoire.
Tout au long de l'année, différents temps forts culturels, sportifs et scientifiques permettront de partager cet anniversaire et de faire de cette année de ces célébrations une réussite.
181, Allée du Castel Saint Claire, Hyères (83)
Portes ouvertes au Fort du Pradeau, du 14 au 17 décembre 2023, à Hyères (83)
Pour fêter les 60 ans du Parc national, le Fort du Pradeau ouvrira gratuitement ses portes du 14 au 17 décembre. Animations pour tous, ateliers, projections et exposition seront au programme de ces journées exceptionnelles.
Au programme : plongée en Méditerrannée avec casques de réalité virtuelle, journée sur la thématique des Paysages, projection du film « PosidoniaManifesto »...
Au sud de la presqu’île de Giens, à Hyères (83)
Le ticket de métro à 4 euros pour les JO 2024, à Paris (75)
Alors que le ticket de métro vient d’être dématérialisé, enfin pour les carnets de 10, mais reste encore disponible à l’unité, cette annonce d’augmentation du tarif unitaire à 4 euros préfigure certainement une hausse durable du carnet et surtout du ticket à l’unité
Rouen capitale européenne de la culture en 2028 ?
Le mercredi 13 décembre 2023, nous saurons si Rouen Seine Normande obtient le label « Capitale européenne de la Culture 2028 ». Elle figure parmi le carré final des villes françaises présélectionnées.
Chaque année, ce label créé par la Commission européenne en 1985, est décerné à l’issue d’un concours entre plusieurs villes d’un même pays, parmi deux ou trois simultanément en Europe.
En 2028, la France accueillera une Capitale européenne de la Culture ainsi que la République tchèque (Budweis) et la Macédoine (Skopje).
Rouen porte donc une candidature plurielle en s’unissant à la vallée de la Seine, de Giverny au Havre, jusqu’à Honfleur. Cette dynamique singulière représente un territoire de projet cohérent.
Terre industrielle et portuaire, chemin des conquêtes historiques, mais aussi terre d’inspiration artistique, la Seine est un lieu de contrastes en perpétuelle mutation. Dans le cadre du projet « Capitale européenne de la Culture », l’objectif est de faire de la culture un outil, un levier, pour lancer collectivement une métamorphose des territoires.
Comment ? En jouant sur des atouts patrimoniaux existants mais aussi en redonnant vie à des espaces déshérités.
 
 
LIVRES
Livre «Trésors de la spiritualité franciscaine aux 20è et 21è siècles » de Michel Sauquet (Salvator)
François d'Assise n'a pas fini de nous émerveiller, et la spiritualité franciscaine de nous inspirer ! Comment expliquer une telle postérité ? Les 160 textes présentés dans cet ouvrage témoignent de l'actualité de son message : émerveillement, louange, respect de la Création, humilité, joie, paix, pauvreté, fraternité. Un message qui irrigue notre époque bien au-delà de l'univers franciscain, comme le montre la diversité des profils des 140 auteurs ici rassemblés (écrivains, poètes, religieux, scientifiques, historiens, artistes, personnalités politiques ou engagées dans la société civile). Tous ont vu dans le « Petit Pauvre » d'Assise une source, un repère, une raison d'espérer.
Ce florilège de textes éclairants et souvent méconnus, patiemment réunis par Michel Sauquet, constitue un véritable trésor à méditer au fil des jours. Il nous renvoie à nous-mêmes, à nos visions du monde et à notre soif de spiritualité. Michel Sauquet est membre d'une fraternité franciscaine séculière.
Il est l'auteur d'une trentaine d'ouvrages, notamment sur les questions interculturelles, sociétales et religieuses, parmi lesquels Le drapier d'Assise (Salvator, 2016), Éloi Leclerc ou l'espérance franciscaine (Salvator, 2018), Émerveillement et minorité, la spiritualité franciscaine pour aujourd'hui (Tallandier, 2019). 22,90€
Les bouleversements climatiques et environnementaux en cours font peser sur le patrimoine des dangers nombreux dont les effets sont parfois déjà visibles, parfois encore discrets ou en devenir : dégradations directes et indirectes, préservation plus difficile, menace de profonde transformation ou de disparition de certains éléments du patrimoine matériel comme du patrimoine immatériel…
208 pages, 30€
 
REPORTAGE DE LA SEMAINE
Exposition "Le Paris de la Modernité, 1905-1925" (Petit Palais, Paris, France) En cette fin d'année, le Petit Palais (Paris) consacre une exposition au « Paris de la Modernité, 1905-1925 ». De la Belle Epoque aux Années folles, la capitale attire plus que jamais les artistes du monde entier. Paris, la Ville-monde, est à la fois une capitale au coeur de l'innovation et le foyer d'un extraordinaire rayonnement culturel.
Ambitieuse, inédite et trépidante, cette exposition qui traite de la créativité durant ces années 1905-1925 à travers la mode, le cinéma, la photographie, la peinture, la sculpture, le dessin, la danse, le design, l'architecture et l'industrie, présente près de 400 oeuvres mais également des tenues de Paul Poiret et de Jeanne Lanvin, des bijoux de la maison Cartier, un avion du Musée de l'Air et de l'Espace du Bourget et une voiture du musée national de l'automobile de Mulhouse
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