En ce premier jour de l'an 2024, je me garderai bien de balancer les formules toutes faites qui finissent par manquer d'authenticité. La vie est ce que l'on en fait : elle dépend de l'énergie de chacun à la bâtir, à assumer les difficultés qui se présentent et de la volonté de se battre pour se construire l'existence désirée.
Une chose est sûre : les dirigeants de ce monde ont besoin de notre adhésion au système car nous sommes les rouages (producteurs et consommateurs) essentiels de cette société capitaliste dont ils tirent savamment les ficelles.
De deux choses l'une. Ou bien vous êtes satisfait du monde dans lequel on vit et vous courbez l'échine en acceptant tout ce qu'on vous impose, ou bien vous aspirez à autre chose, pour vous-même et pour vos enfants, et vous sortez du système.
Dans ce deuxième cas, l'ennemi à abattre est sa propre zone de confort. C'est si rassurant de déléguer à d'autres et d'accorder sa confiance à des gens qui feront les choses à votre place. Dans mon entourage, il y a des personnes qui ont accepté de recevoir le « vaccin » contre le COVID, pour simplement continuer de pouvoir se rendre au restaurant, au cinéma et sortir avec leurs amis. Et aussi parce que le gouvernement, les autorités sanitaires et les médias disaient qu'il fallait le faire. Mauvaise pioche, car l'efficacité de ce produit est plus que discutable et les effets secondaires incalculables. Et ne croyez pas que cette histoire est terminée puisque la folie du 49-3 débat actuellement de la nécessité de nous imposer tel ou tel traitement médical pourvu que celui-ci ait reçu l'aval des autorités sanitaires. Peine encourue par les récalcitrants : 1 an de prison ferme et/ou 15000? d'amende.
Le deuxième plan est d'ordre climatique : on vous impose aujourd'hui des champs d'éoliennes (non-recyclables) et de panneaux solaires, des voitures électriques équipées de batteries (non-recyclables), un compacteur de déchets par foyer obligatoire depuis aujourd'hui, et demain, un permis de conduire dont la validité sera limitée à 15 ans. Des milliers de têtes de bétail ont déjà été abattues dans la douce et docile Irlande, et dans les serviles Pays-Bas, car les bovins polluent par le méthane qu'ils rejettent lors du processus de digestion. Mais où va t-on ? Le GIEC conseille même d'abattre nos animaux de compagnie car ils ne sont pas utiles et polluent. Tiens donc !
Troisième menace : l'identité numérique. Personnellement, je ne me suis jamais immiscé dans les affaires des autres. Question d'éducation et de respect pour autrui. Et je m'interroge sur ces élites psychopathes qui tiennent absolument à pister nos moindres faits et gestes. N'ont-ils pas autre chose à faire de leur journée pour avoir de telles idées ? Et en quoi cela les regarde t-il ? L'intimité et le respect de la vie privée est un droit fondamental et je vois dans cette démarche une mesure dictatoriale de plus.
La maire de Romans sur Isère confiait récemment qu'on ne peut pas continuer comme cela. Je suis de son avis, d'autant plus qu'il y a dans notre pays de plus en plus de miséreux tandis que les riches capturent de plus en plus de richesses et que nos représentants politiques ne s'occupent que de leurs intérêts et pas des nôtres. Alors, en 2024, stop ou encore ?...et Bonne Année tout de même!
 
LE CLIN D'OEIL DU MOMENT
En 2024, partons d'un bon pied et dénonçons les pièges à cons : parlons aujourd'hui du business de la compensation carbone, un moyen qu'on nous vend comme la meilleure façon d'atteindre la neutralité carbone, en utilisant des crédits carbone censés faire payer les entreprises polluantes et les Etats à la hauteur des émissions qu'ils génèrent.
Pourtant, plus on gratte et plus on s'aperçoit de l'inefficacité de ce système qui, en revanche, remplit les poches d'intermédiaires. Pire ! Dans de nombreux cas, les projets de compensation carbone conduisent à l'expulsion des populations locales de leurs territoires.
Preuves à l'appui, la revue Socialter (N°61 dec23-Janvier 2024) développe ce sujet dans son enquête : Abel Carrasco, sa femme enceinte et ses enfants jetés à la rue par l'entreprise Verra (Washington) dans le nord du Pérou, l'exemple de la société Blue Carbon LLC (Emirats Arabes Unis) et de ses agissements au Libéria, ou celui de la société américaine Jadora en République démocratique du Congo démontrent les failles d'un système qui privilégie avant tout le profit des sociétés certificatrices en crédit carbone.
Des recherches ont permis en effet de comprendre ce qui se cachait derrière le marché de compensation carbone, évalué à plus de deux milliards de dollars dans le monde pour le marché volontaire (contre 900 milliards pour les marchés réglementés). A la lecture de l'article, on s'aperçoit que les 50 principaux projets de compensation carbone se situent dans une vingtaine de pays en développement et perpétuent ainsi des héritages d'extractivisme colonial puisque les pays du Nord s'approprient les ressources forestières des pays du Sud pour poursuivre leur développement, au détriment des pays les plus pauvres mais aussi de leur environnement et des conditions de vie des populations locales.
(source : Revue Socialter N°61)
 
 
MURIEL SE MET A LA CHASSE AUX « VIEUX »
Les chiffres sont imparables : le nombre de Français âgés de plus de 80 ans va bientôt doubler. Pour faire face à la demande, il faudrait doubler les 500 000 lits actuellement disponibles en EHPAD. Voilà pour le constat.
ARS et cabinets de conseil proposent donc de fusionner EHPAD et soins à domicile au cours des quatre prochaines années. Une idée aberrante car il s’agit là de deux métiers différents.
Plus grave, selon le professionnel de santé qui s’exprime dans cette vidéo (https://twitter.com/Art50Mercier/status/1733570543201173582), certains établissements confondraient soins palliatifs (accompagnement des personnes jusqu’au bout) et pratique de l’euthanasie (en générant un arrêt cardiaque).
Et le phénomène de mort miséricordieuse de commencer à faire parler de lui (https://www.lefigaro.fr/vox/societe/2014/06/27/31003-20140627ARTFIG00329-aktion-t4-quand-les-nazis-pratiquaient-la-mort-misericordieuse.php). Pire encore, certains EHPAD (de grands groupes) rachètent actuellement des entreprises de pompes funèbres. Business is business quand on sait que seuls les patients les plus lourds seront à l’avenir transférés en EHPAD et qu’un EHPAD s’efforce de rentabiliser au maximum le T.O (taux d’occupation) de ses lits (plus longtemps un patient occupe un lit, et moins ce lit rapporte à l’établissement). Et si, à son arrivée, votre parent a signé un formulaire de non acharnement médical, le voici automatiquement propulsé vers la voie de l’euthanasie de masse, façon Adolf Hitler et version New Age. Emballé c’est pesé !
 
 
UN PEU PLUS D'HUMOUR
On ne rappellera jamais assez les ravages provoqués par l’abus de chouchen sur les touristes en Bretagne.
Si vous ne tenez pas l’alcool, limitez votre consommation au cidre doux (ou brut pour les plus aguerris ), surtout si vous pratiquez ...le surf ! (photo)
(merci à France pour cette page d’humour)
 
 
SEQUENCE NOSTALGIE
Patrick Simonin, sur TV5 Monde, reçoit Guy Marchand
Dimanche 24 décembre 2023 : En cette nuit de Noël, je veille sur la crèche au pied de l’arbre, au cas où un pédophile voudrait emporter l’Enfant Jésus
Lundi 25 décembre 2023 : Sorties habituelles et entrainements ordinaires pour ce jour de Noël
Mercredi 27 décembre 2023 : Je marche mieux au pied depuis que mon maitre alterne des phases de laisse longue et laisse courte
Jeudi 28 décembre 2023 : J’adore les bords du terrain de golf car j’y trouve mon herbe préférée pour me purger
Samedi 30 décembre 2023 : Mon entrainement ? Je remets çà chaque jour « sur le tapis »
 
 
VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR...
L’ouvrage de Thibaud Gibelin « Pourquoi Viktor Orban joue et gagne » (Editions Fauves) (https://youtu.be/d16-WsviOBs à partir de la 42ème mn et 15 secondes)
"Le Brexit consommé, l'axe franco-allemand déséquilibré, l'Union européenne aborde à bout de souffle les années 2020. Un vent de fronde souffle sur l'Europe centrale, où Viktor Orbán dessine depuis dix ans une alternative politique qui inquiète l'Europe de l'Ouest.
Premier ministre de Hongrie une première fois de 1998 à 2002, son retour en 2010 marque un véritable tournant européen. En une décennie d'exercice continu du pouvoir, Viktor Orbán a fait exploser tous les clivages : avocat de l'unité européenne, mais bête noire de Bruxelles ; à la fois démocrate et illibéral ; rigoureux en économie, mais opposé au libre-échange global ; défenseur de l'Occident chrétien et diplomate empressé auprès de la Chine, la Turquie et la Russie...
L'Union européenne prendra-t-elle le visage de l'homme fort de Budapest dans les années à venir ? Thibaud Gibelin retrace l'histoire du groupe de Visegrád - la Hongrie, la Pologne, la Slovaquie et la Tchéquie - pour mieux comprendre ce qui se joue aujourd'hui en Europe centrale et éclairer la personnalité d'un chef d'État parmi les plus décriés et certainement les plus expérimentés du continent."
 
 
QUOI DE NEUF EN CRYPTO ?
Après la disparition de la Binance card en France...
Les déboires réglementaires de Binance ont bien évidemment des conséquences notables sur ses utilisateurs. Et, dans le domaine, la fermeture de son offre Binance card en Europe a résonné comme un coup de massue pour ses nombreux adeptes. Car comment dépenser ses cryptomonnaies en toute sécurité dans des achats de la vie quotidienne ? La question est sur les lèvres de nombreux amateurs de cette économie numérique. Voici donc quelques pistes à étudier, pour continuer d’accompagner activement l’adoption des cryptomonnaies.
La disparition de la Binance card ne signe pas la fin des cartes de paiement crypto de ce type. Toutefois, le paysage réglementaire actuel incite à la vigilance. D’autant plus si l’on considère que ces excroissances plastiques, certes très pratiques, ne permettent pas d’échapper à l’imposition sur les plus-values. Plus précisément dans le cadre de dépenses effectuées avec des bénéfices crypto.
Une fois cette réalité intégrée, il est possible de trouver d’autres offres assez similaires. Par exemple, la Kucard récemment déployée sur la plateforme Kucoin (https://www.kucoin.com/fr/ucenter/signup?rcode=QBSSS6XW&utm_source=af). Un outil bien évidemment accompagné des fameux cashbacks, à l’origine de la popularité de ces cartes. En effet, la KuCard propose « un monde de remises en cash, de réductions et bien plus encore, tout en gagnant des cryptomonnaies à chaque achat ».
Un service pour le coup plus spécifique, puisque son fonds de commerce concerne la gestion des fonds de ses utilisateurs, avec une forte valeur ajoutée associée aux cryptomonnaies. Dépensez ainsi en devise FIAT ou en cryptomonnaies auprès de plus de 40 millions de commerçants dans le monde entier avec des cartes VISA exclusives. En cas de perte ou de vol, bloquez et débloquez votre carte en un instant, directement depuis l’application. Changez aussi le code PIN de votre carte à tout moment. Enfin, ses différents services permettent de procéder à des paiements sans frais, mais aussi, de percevoir des intérêts présentés comme « composés » (entre 6,5 % et 17 % environ). Cela à l’aide de rendements tirés du secteur de la DeFi ou de l’industrie du minage de Bitcoin. (Source : Le Journal du coin)
 
 
LE PETIT MANUEL DU RESISTANT
Jamais la liberté d’expression n’a été aussi importante et en danger (Source : France Soir)
Jay Bhattacharya, médecin et économiste, est professeur de la célèbre université californienne de Stanford. En octobre, 2020, il s’est élevé contre la gestion de la crise sanitaire en étant l’un des auteurs de la Great Barrington Déclaration avec les professeurs Martin Kulldorff (biostatisticien, Harvard) et Sunetra Gupta (épidémiologiste, Oxford). Cette déclaration a été signée par près d’un million de personnes. Elle attira sur ces trois personnes les foudres des médias et de la communauté scientifique.
Jay Bhattacharya revient dans cet entretien essentiel sur la déclaration et ses conséquences. Il a fini par le surnommer “fringe scientist” (scientifique à la marge ou marginal) alors qu’il était, avant l’épisode Covid un professeur et chercheur reconnu.
CSI (Conseil Scientifique Indépendant) du jeudi 28 décembre 2023 : rediffusion de l’émission du CSI N°24 du 23 septembre 2021, en hommage à Michèle Rivasi, récemment décédée. https://crowdbunker.com/v/r1hQp18W
 
 
ACTIVONS NOS NEURONES
Ma préférence à moi !
La semaine dernière, je regardais l’émission « Face à de Villiers » sur CNEWS (en rediffusion sur https://www.cnews.fr/emission/2023-12-22/face-philippe-de-villiers-emission-du-22122023-1432988) et en ai tiré la substantifique moelle. A savoir qu’une nation digne de ce nom a le droit à la préférence sur son territoire : préférence familiale (ma famille d’abord) et préférence nationale (les Français d’abord). Je ne vois rien de choquant en cela et gageons que les traites qui dirigent notre pays CONTRE nos intérêts nationaux (chacun les reconnaitra et saura les trouver à l’heure des comptes) se reprennent vite avant le désastre.
A l’image de notre bien aimée Brigitte Bardot, notre vieux peuple n’en peut plus de l’usine à gaz européenne qui est ni plus ni moins en train de tuer les nations de notre continent. Je conseille à tous les amoureux des libertés de lire l’entretien que Brigitte Bardot a accordé au magazine Valeurs Actuelles (du jeudi 21 décembre 2023). La protectrice des animaux qui s’exprime avec son franc-parler et sans détour, avec son cœur et ses tripes, nous livre ses impressions sur ce fatras qu’est devenu notre pays : Notre idole fête d’abord Noël que le « cerveau malade de nos contemporains » tentent de déconstruire, qualifiant au passage le wokisme de « ridicule ». Et de traiter le pape actuel de « branquignol » qui « ne s’occupe pas du tout des chrétiens d’Orient. Pour elle, « il n’y a plus de justice, il n’y a plus rien du tout », et de rajouter : « les Français traversent une époque épouvantable, les retraités n’ont plus un rond, les gens n’ont plus de quoi se loger, mais on offre des sommes faramineuses aux immigrés, des hôtels sont réquisitionnés pour loger tout ce monde, c’est scandaleux ! ». A la question : « Trouvez-vous que la France est foutue ? », elle répond « Oui, elle est foutue pour le moment, mais avec une reprise en main par un gouvernement autoritaire et avec des c******s » elle peut renaître de ses cendres ». Et d’avouer que si elle était moins âgée, elle foutrait le camp pour un pays plus libre et plus ensoleillé à tout point de vue.
Comme je vous comprends !...
 
 
DU COTE DE CHEZ NOUS
Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix: Les résistants portent une coccinelle à la boutonnière (https://odysee.com/@campagnoltvl:2/cocc:d)
 
 
LE MUSEE DU MOIS
Donation Maurice Jardot, à Belfort (90)
Le 13 septembre 1997, Maurice Jardot donne à la Ville de Belfort 112 œuvres (peintures, sculptures, arts graphiques) de sa collection, et il choisit de l’implanter dans la villa bourgeoise de la famille du poète Léon Deubel proposée par la Ville de Belfort. La donation Maurice-Jardot ouvre ses portes au grand public en 1999 et depuis lors fait découvrir aux passionnés d'art moderne les plus belles œuvres des artistes qui ont marqué la première moitié du XXème siècle, entre cubisme et surréalisme : Beaudin, Braque, Chagall, Gris, Kermadec, Laurens, Le Corbusier, Léger, Masson, Picasso. La présente collection est, comme toute collection privée, un portrait intime de Maurice Jardot, ancien collaborateur du marchand Daniel-Henry Kahnweiler, illustrant ses goûts, ses recherches et ses fidélités. Plus qu’un musée, dont Kahnweiler et Jardot se méfient en tant qu’obstacle entre l’artiste et le monde, la donation Maurice-Jardot respire l’atmosphère de la galerie Louise-Leiris. Depuis 1999, l’enrichissement de cette collection se fait dans le respect de la donation initiale avec notamment en 2019 un don exceptionnel de 45 estampes de la « Caisse à remords » de Picasso par la galerie Louise-Leiris. La mise en ligne progressive de la collection d’art moderne de Belfort permet la mise en valeur des œuvres encore trop méconnues et pourtant emblématiques du début du XXème siècle, en amont de l’ouverture du musée d’Art de Belfort – donation Maurice-Jardot.
Musée d’Art et d’Histoire de Belfort (90)
Le musée d’art et d’histoire de Belfort est créé en 1872 par la Société Belfortaine d’Emulation autour d’un fonds archéologique issu des fouilles locales. Des dépôts de l’Etat, des dons particuliers et des donations d’artistes viennent enrichir les collections beaux-arts. En 1968, la donation Pierre Boigeol, composée de plus de 800 objets militaires, marque la naissance du musée d’Histoire installé dans l’ancienne caserne, construite en 1826 par le Général Haxo sur l’emplacement du château médiéval. En 2008, les collections du musée sont scindées en deux. Le musée d’Histoire reste dans les espaces de la Citadelle tandis que les collections beaux-arts sont placées dans la Tour 41 appartenant aux anciennes fortifications Vauban du XVIIème siècle. Bien que ces collections soient réparties sur deux sites, le musée d’art et d’histoire reste une seule entité administrative. Actuellement en sommeil dans les réserves, les collections beaux-arts sont destinées à rejoindre le futur musée d’art de Belfort – donation Maurice-Jardot qui constituera ainsi un riche pôle muséal. La mise en ligne progressive des collections beaux-arts et historiques permet la mise en valeur de l’histoire locale avec des personnages emblématiques tels que Denfert-Rochereau ou Camille Lefèvre et des artistes incontournables tels que Dürer, Bartholdi, Courbet, Rodin...
 
 
MON JARDIN EN JANVIER
Janvier est le mois le plus froid de l’année, les journées sont courtes et sombres, il est difficile de jardiner. La plupart des végétaux sont au repos. Quelques petits travaux dans le jardin peuvent être réalisés en attendant des jours plus cléments.
La pelouse
Enlevez les éventuelles feuilles mortes pour éviter l’apparition de mousse
En cas de gel ou de neige, ne marchez pas sur le gazon
En cas d’apparition de taupinières, arasez-les pour permettre à l’herbe de repousser par-dessus
Au jardin
Plantez les arbustes qui fleurissent en hiver (mahonias, hamamélis, lauriers-tins...) et les fleurs de saison (primevères, pensées...)
Vérifiez les protections hivernales placées en novembre et décembre
Secouez la neige tombée sur les branches d’arbustes persistants et les conifères
Au potager
Triez les semences
Préparez le plan du prochain potager
Au verger
Terminez de planter les arbres fruitiers hors période de gel
Plantez les arbustes à fruits rouges (framboisiers, groseilliers)
Frottez les troncs des arbres puis nettoyez le pied des arbres
Traitez les arbres fruitiers contre les insectes et les maladies
Apportez de la cendre aux arbres fruitiers
Au jardin intérieur
Faites tremper les orchidées durant 5 à 10 minutes toutes les deux semaines
N’arrosez pas les cactus et les plantes grasses
Nettoyez les feuilles des plantes (plantes et orchidées) à l’aide d’un chiffon humide
 
 
EXPOSITIONS
Derniers jours de l'exposition « Ave Maria, un pèlerinage en Méditerranée », jusqu'au 6 janvier 2024, à Marseille (13)
Cet événement propose un pèlerinage imaginaire d’un sanctuaire marial à l’autre, à la découverte de lieux sacrés partagés entre croyants de diverses confessions, et même parfois de religions différentes.
Au Musée de Notre Dame-de-la-Garde, rue Fort du Sanctuaire à Marseille (13)
« Spirou dans la tourmente de la Shoah », jusqu'au 3 mars 2024, à Toulouse (31)
Entre Spirou, le jeune groom, et Felix Nussbaum, le peintre allemand de la Nouvelle Objectivité, assassiné à Auschwitz, y a-t-il un rapport? Emile Bravo, dans sa série Spirou. L’Espoir malgré tout fait se côtoyer ce personnage de fiction, avec cette figure réelle, victime de la Shoah.
Au Musée départemental de la Résistance et de la Déportation, 52, Allée des Demoiselles, à Toulouse (31)
«Rouen, port(e) des océans » jusqu'au 19 mai 2024, à Rouen (76)
Ils avaient le goût du risque et ont suivi leur intuition. Vikings, explorateurs et scientifiques ont pris le cours de la Seine pour aller vers l'inconnu, ouvrant la porte du monde à la cité rouennaise et forgeant son destin de port fluvial et maritime. Cette épopée commerciale et humaine est vécue dans cette exposition tournée vers le large.
Pas besoin d’aller loin pour voyager lorsque l’on est déjà à la croisée des mondes. Par sa situation géographique, Rouen a toujours été un port stratégique. Port fluvial et maritime, il relie terres et mers et se développe dès l’Antiquité.
Rouen devient vite une véritable porte d’entrée entre l’Île-de-France, une des principales régions économiques d’Europe, et la Manche, la mer la plus fréquentée du globe.
Tournée vers les côtes brésiliennes, à l’assaut de l’Amérique du Nord, Rouen est aussi une ville négrière qui ne dit pas son nom. Les fétiches africains, la proue de pirogue maorie et l’ara de Lear du Brésil se font l’écho de voyages lointains.
Autrefois fleuve sauvage aux bancs de sable mobiles, la navigation sur la Seine est aujourd’hui facilitée, faisant de Rouen un port industriel et commercial de premier plan, exportations céréalières en tête.
Sous la forme d’un guide de voyage, l’exposition invite à adopter l’état d’esprit des ancêtres et à embrasser leur ressenti face au fleuve. Le public est amené à partir à l’assaut des vitrines que l’on explore tels des îlots, promesses de trésors.
Au Musée Beauvoisine (Musée d’Histoire naturelle et Musée des Antiquités) de Rouen (76)
« Voyage à contre-courant » jusqu'au 19 mai 2024, à Elbeuf-sur-Seine (76)
Cette exposition est faite pour les esprits curieux et aventuriers. Le public est invite a partir a la decouverte de cet organisme vivant qu’est le fleuve. De la Seine au Nil, les mille et une vies de ces eaux en perpetuel mouvement, leurs mysteres et leurs usages, sont presentes dans un parcours interactif.
Dans cette exposition aussi ludique qu’instructive, le visiteur se glisse dans la peau d’un voyageur, d’un pecheur ou meme d’un poisson pour decouvrir la genese des fleuves, leur composition et leur evolution liee a la presence et l’activite humaine. Cartes, taxidermies, reconstitutions, maquettes ou temoignages sonores de riverains ponctuent un espace ouvert ou l’on navigue librement. Dans son periple, le public croise un crocodile du Nil, suit l’incroyable histoire du veau marin perdu dans l’estuaire de la Seine, se penche sur une amphore romaine qui temoigne du commerce prosperant deja sur le fleuve, decouvre les innombrables iles qui jalonnaient la Seine, entre Rouen et Elbeuf-sur-Seine – et qui ont aujourd’hui disparu –, ou tombe nez a nez avec une tete de dragon, divinite du fleuve en Asie.
La mascotte de l’exposition guide les jeunes visiteurs dans cet incroyable parcours ou des jeux et des maquettes manipulables les attendent. Il est possible d’observer la modification des paysages par la puissance des courants grace a une experience de sedimentation a decouvrir sur place.
Des sessions pour les tout-petits sont aussi organisees avec des comptines et spectacles, accessibles des 6 mois.
Le gout du voyage emmene l’exposition hors des murs de la Fabrique des savoirs, avec des mediations sur le territoire, notamment avec les associations africaines d’Elbeuf-sur-Seine. Des visites a deux voix avec un marinier, un scientifique, un pecheur ou un artiste offrent, par ailleurs, un autre regard sur l’exposition.
A la Fabrique des savoirs, 7 Cour Gambetta, a Elbeuf-sur-Seine (76)
« Eau, source d'énergies », jusqu'au 19 mai 2024, à Notre-Dame-de-Bondeville (76)
Le musee industriel de la Corderie Vallois est un site hydraulique exceptionnel. Si la roue a aube de cette ancienne usine de cordes fonctionne encore aujourd’hui, elle accompagne une exposition qui explore les differentes facettes
de l’energie de l’eau et eclaire, de maniere interactive, ses enjeux contemporains.
La puissance de l’eau fascine. Les humains ont toujours cherche a utiliser ce potentiel d’energie illimite pour servir leurs activites. En faisant dialoguer art, industrie et histoire des techniques, ce parcours emmene le visiteur de la riviere du Cailly aux impressionnantes chutes du Niagara et invite a mieux saisir les liens qu’entretiennent les hommes avec leur environnement. Si l’exploitation de l’eau est evidente durant l’Antiquite et le Moyen Age, elle se fait secondaire avec la decouverte des energies fossiles, mais revient desormais au gout du jour dans un contexte de crise climatique et d’independance energetique. Elle est aujourd’hui la deuxieme source d’energie en France apres le nucleaire. Se pose alors la question du partage de l’eau et de sa gestion a travers les barrages ou les inondations de zones habitables. En penetrant dans le Labo, la decouverte des initiatives actuelles et des innovations en cours d’experimentation, comme l’utilisation hydraulique des marees ou de la houle, est entamee.
Maquettes manipulables, ambiances sonores, jeux interactifs... Une dizaine de dispositifs ludiques agremente le parcours et est accessible aux enfants. Ils sont invites a actionner la roue pour transmettre l’energie qui produira du papier ou de la farine ou a se laisser submerger par le fracas sonore des cascades. Une maquette complete de la Corderie avec elements maconnes, vannes et deversoirs pour comprendre son fonctionnement technique, est creee pour l’occasion et restera dans le musee.
Des temoignages ont ete collectes aupres d’habitants sur leur perception du fleuve et sont restitues dans le parcours. Des jeunes de la mission locale d’Elbeuf-sur-Seine ont realise des interviews et videos de Metropolitains travaillant autour de la Seine, enrichissant l’exposition d’une dimension participative.
Au Musée industriel de la Corderie Vallois, à Notre-Dame-de-Bondeville (76)
« Céramiques au bord de l'eau », à Rouen (76)
C’est l’heure du thé et chacun est convié. En 2018, le Musée de la Céramique acquiert une exceptionnel service à thé royal célébrant les bords de Seine et la Normandie.
Cette exposition propose une déambulation parmi les plus belles céramiques aux thèmes aquatiques, le tout avec élégance, couleur et raffinement. Elle révèle aussi le charme du service à thé cité plus haut témoignant ainsi de l’excellente technique et esthétique de la Manufacture de Sèvres de 1835 à 1837 sans oublier la beauté des scènes pittoresques de la vie rurale alors confrontée à la naissance de l’industrialisation dans la vallée de la Scène avec ses usines et ses manufactures.
Au Musée de la Céramique, 1 rue Faucon, à Rouen (76)
« Corneille : du fleuve aux larmes », jusqu'au 2 juin 2024, à Rouen (76)
Chez Pierre Corneille, l’eau est une force dramatique et un déclencheur d’émotions. La maison des Champs à Petit-Couronne plonge le public dans l’ambiance des rives de la Seine à l’époque de Corneille. Le dramaturge, accompagné de son père alors maître des Eaux et Forêts, avaient pour habitude de quitter Rouen par la voie fluviale pour rejoindre leur petit paradis. Tableaux, gravures, et archives rendent compte de ces paysages des bords de Seine aux 16ème et 17ème siècles.
Au Musée Pierre Corneille à Petit-Couronne (76) et à la Maison natale de Pierre Corneille, à Rouen (76)
« Miroirs de la Seine-Chez Flaubert et au-delà », jusqu'au 2 juin 2024, à Rouen (76)
Pour Gustave Flaubert la Seine est une source d’inspiration quotidienne et un symbole de rêveries lointaines.
Cette exposition est une invitation à redécouvrir le fleuve sous tous ses aspects artistiques, presque une histoire d’amour entre l’écrivain et ce fleuve qu’il n’a jamais vraiment quitté. Dans sa maison natale, le public est invité à pénétrer le cabinet de voyage où momies, reportages, plume, fusils et pochette de correspondance de l’écrivain témoignent de l’expédition que Flaubert effectua en Orient en 1849, tout particulièrement en Egypte.
Au Musée Flaubert et d’Histoire de la Médecine, 51, rue de Lecat, à Rouen (76)
« Le Cours de la Seine par Raoul Dufy : un chef d'oeuvre retrouvé », à Rouen (76)
Raoul Dufy est connu pour ses importants ensembles décoratifs des années 1930 et sa célèbre « fée Electricité » conçue en 1937 pour l’Exposition universelle de Paris. L’exposition emmène le public dans l’histoire des grands décors de l’entre-deux-guerres, au cœur de l’activité foisonnante de Dufy et de l’aventure de ce triptyque fluvial.
Au Musée des Beaux-Arts, Esplanade Marcel Duchamp, à Rouen (76)
« Néandertal fait son chaud » jusqu'au 7 juillet 2024, à Lille (59)
La nouvelle exposition temporaire présentée à Arkéos revisite les connaissances sur la Préhistoire et propose un discours éclairant sur les changements climatiques à cette époque.
S'appuyant sur les recherches archéologiques récentes réalisées sur le territoire douaisien et plus largement dans les plaines du Nord-Est de la France, l'exposition apporte un éclairage sur la relation entre l'Homme de Néandertal et son environnement durant les 200 000 ans du Paléolithique moyen.
Au Musée-Parc archéologique, 4401 Route de Tournais, à Douai (59)
 
 
FESTIVALS, FÊTES, EVENEMENTS & SALONS
Bourges (18) désignée Capitale européenne de la Culture 2028
Le Centre des monuments nationaux, qui gère deux monuments à Bourges, le palais Jacques Cœur, la crypte et la tour de la cathédrale Saint-Etienne, ainsi que deux monuments à proximité, le château de Bouges et la maison de George Sand à Nohant-Vic, tous associés aux projets de la Capitale européenne de la Culture 2028, se réjouit de cette occasion de mettre en valeur ces monuments.
 
 
PATRIMOINE
La presse locale ancienne du Grand Est accessible en ligne
La presse locale, plus que tout autre source d'information des deux derniers siècles, permet de retracer l'histoire d'un département, dans toute sa diversité : élections, mouvements sociaux, débats d'opinions, faits divers, événements sportifs ou culturels... Elle est une source d'information précieuse pour les historiens, comme pour le grand public.
A l'instar des registres d'état civil, les journaux anciens sont particulièrement consultés. Très fragiles, du fait de leur format, du type de papier, etc., ils se détériorent, et c'est pourquoi, les services d'archives mènent depuis plusieurs années des campagnes de numérisation, afin de les rendre accessibles, tout en préservant ce patrimoine.
Dans le cadre de sa stratégie numérique de diffusion de la culture au plus grand nombre, le ministère de la Culture - DRAC Grand Est, accompagne les porteurs de projets qui s'engagent dans la numérisation des contenus culturels par le biais de subventions, notamment dans le cadre du Programme national de numérisation et de valorisation des contenus culturels ou par des crédits de droit courant visant à valoriser, préserver et promouvoir les documents d'archives.
Railcoop est la première entreprise ferroviaire coopérative d'Europe. Alors que le transport ferroviaire est ouvert à la concurrence depuis décembre 2020, elle cherche à impliquer les citoyens, les entreprises et les collectivités dans la relance des lignes de train abandonnées.Parmi ces lignes, il y a Bordeaux – Lyon. Railcoop souhaite reconnecter ces deux villes phares de l'Ouest et de l'Est de la France fin 2024, tout en accompagnant le développement des villes moyennes et territoires ruraux situés entre les deux. Mais ce projet est aujourd’hui menacé.
Alors que Railcoop est en train de négocier avec des investisseurs pour financer sa première ligne Bordeaux – Lyon, la coopérative a été placée en redressement judiciaire mi-octobre. Elle dispose désormais de six mois pour rétablir sa situation financière, et a besoin du soutien de toutes celles et tous ceux qui veulent agir pour des mobilités alternatives, plus respectueuses de l’environnement.
Le projet Railcoop, c’est le premier train citoyen : une coopérative qui appartient donc à ses sociétaires. Elle ne vise pas à concurrencer la SNCF, mais souhaite simplement reconnecter des villes moyennes et des territoires ruraux, principalement reliés aujourd'hui par la voiture.
Son premier défi : rétablir un train entre Bordeaux et Lyon en 2024, sa première ligne voyageurs. La ligne Bordeaux – Lyon est une ligne historique. Elle a longtemps permis au Massif Central d'être connecté à ces deux importantes villes de France. Hélas, la dégradation du service et son absence de rentabilité ont conduit à sa fermeture en 2014. Mais le contexte a changé : entre la prise de conscience environnementale et l'augmentation des prix de l'énergie, la réouverture de lignes de trains devient stratégique. Railcoop s'est donc donné pour objectif de faire revivre cette ligne.
Railcoop a pour projet de proposer un aller-retour Bordeaux – Lyon en train par jour, pour un trajet qui durera environ 7h30. Le prix ? autour de 50 € pour les voyageurs qui effectuent la totalité du trajet entre la préfecture de Gironde et la préfecture du Rhône. La ligne desservira pas moins de 10 villes entre les deux : Libourne, Périgueux, Thiviers, Limoges, Saint-Sulpice-Laurière, Guéret, Montluçon, Gannat, Saint-Germain-des-Fossés et Roanne. Une aubaine pour les voyageurs amoureux du train qui souhaitent découvrir toutes les richesses autour de cette ligne qui traverse le centre de la France d'est en ouest.
Parmi les villes qui seront desservies, il y a donc Périgueux, qui séduit de suite par la beauté de ses rues médiévales, sa majestueuse cathédrale byzantine de Saint-Front, ses berges de l'Isle à parcourir à vélo et ses gorges de l'Auvézère situées à la sortie de la ville.
À Guéret, les amoureux de la nature auront l'occasion d'aller randonner à pied ou à vélo au cœur des magnifiques paysages vallonnés et verdoyants de la Creuse. Flâner dans la vallée des Peintres, sillonner le Parc naturel régional de Millevaches et faire un arrêt aux abords du lac de Vassivières. Sans oublier de déambuler dans des châteaux grandioses comme celui de Villemonteix.
Prendre la ligne de train entre Bordeaux et Lyon, c'est aussi s'offrir la possibilité de descendre à Roanne et de découvrir les merveilles du Roannais. Le territoire est connu pour son magnifique panorama offert sur un méandre de la Loire depuis le site du Pêt d'Âne. On y flâne aussi dans des villages de caractère, comme Saint-Haon-le-Châtel et Saint-Jean-Saint-Maurice-sur-Loire. Avis aux amoureux des vieilles pierres ! Dans le Roannais, on prend aussi le temps de se balader le long de la Véloire en famille. Avant de se détendre en soirée devant un bon verre de vin de la Côte Roannaise.
Dans un contexte de réchauffement climatique, comment imaginer que certaines lignes aient pu être abandonnées, alors que le train est un moyen de transport bien plus écologique que le voiture et l'avion ? Pour rappel, la voiture, c'est 170,6 g de CO2 par voyageur et par km ; l'avion, 241,5 g de CO2 par voyageur et par km, et le train, 11,8 g de CO2 par voyageur et par km ! Et les besoins en termes de mobilité sont là. Il est en effet prévu une forte augmentation du trafic routier en 2050, alors que 90 % des Français vivent à moins de 10 km d'une gare. Malheureusement, 30 % d'entre elles ne sont plus desservies par le réseau ferré et la majorité des lignes nationales passent par Paris.
Railcoop a lancé un grand appel à mobilisation citoyenne. Toutes les personnes qui croient qu’un autre modèle est possible et qui se refusent au déclin des services dans les territoires ont la possibilité de rejoindre la coopérative en prenant une part sociale de Railcoop. D’une valeur de 100 euros, elle offre la possibilité de s’impliquer dans la vie et les décisions de l’entreprise. Railcoop étant placée en redressement judiciaire, cette somme est un vrai acte de soutien, et non un investissement. Il est en effet possible que la coopérative doive fermer et que cet argent soit perdu. Mais à toutes celles et ceux qui souhaitent lutter contre le recul des services en milieu rural, et qui souhaitent aussi agir, à leur échelle, en faveur de nouvelles façons de penser l’économie et la transition écologique, il ne fait aucun doute que le projet Railcoop pourrait les intéresser !
Location de voitures électriques à 100 euros par mois, en 2024
Le Gouvernement accentue son soutien à la mobilité propre des ménages avec la mise en place d’un dispositif de leasing (location avec option d’achat) de voitures électriques à 100 euros par mois ou moins à compter du 1er janvier 2024, sous certaines conditions :
- Ce dispositif concerne les ménages qui ont besoin d’un véhicule pour leurs trajets professionnels
- le revenu fiscal de référence des actifs par part ne doit pas dépasser 15 400 euros par an.
- les actifs doivent résider à 15 km ou plus de leur travail ou parcourir plus de 8 000 km par an dans le cadre de leur activité professionnelle
- la location est de 3 ans minimum.
Les voitures électriques neuves proposées en location devront atteindre un score environnemental minimal lié à leur empreinte carbone, selon la même liste que les véhicules éligibles au bonus écologique.
Le dispositif sera également ouvert aux véhicules d’occasion ou transformés en électrique, à condition que leur première immatriculation ou leur conversion soit intervenue depuis moins de trois ans et six mois.
Cette nouvelle offre de location à 100 euros par mois a vocation à être élargie courant 2024 à l'ensemble des Français dont le revenu fiscal de référence est inférieur à 15 400 euros (dans la limite des stocks disponibles).
Afin de permettre aux ménages concernés de s’informer sur ce dispositif et de vérifier leur éligibilité, un espace dédié est lancé : « mon-leasing-electrique.gouv.fr ».
Il est possible de s’inscrire dès à présent pour être prévenu du lancement des pré réservations avant la fin de l’année 2023.
Les modèles de véhicules proposés, les offres des loueurs ayant conclu une convention avec l’État, et une cartographie des professionnels habilités seront prochainement mis en ligne.
 
 
INFOS PRATIQUES
Comment transformer son véhicule diesel en...GPL ?
Leprocessus d'hybridation GPL (autrefois réservé aux véhicules essence) est désormais disponible pour le véhicules diesel : https://youtu.be/S8jBKwe3L7s
Ce processus s'avère particulièrement intéressant pour les usagers qui sont propriétaires d’un véhicule qui n’a – ou n’aura bientôt – plus le droit de circuler dans une ZFE, et qui n’ont pas les moyens financiers d’en acquérir un neuf ou plus récent. De plus, rouler au GPL permet une réduction des émissions de CO2 et une réduction très importante des émissions de particules : une solution de transition écologique, mais surtout des performances qui rendront votre voiture éligible à la vignette Crit’Air 1, précieux sésame permettant de circuler dans les ZFE.
Cette solution est à la fois vertueuse, abordable et efficace pour éviter de jeter à la casse des voitures en parfait état de fonctionnement, et ainsi préserver la mobilité de millions d’usagers. En outre, elle ne présente plus de risque d’accident depuis que la loi a imposé les soupapes de sécurité. Enfin, le processus d'hybridation GPL s’adresse également à ceux qui souhaitent faire des économies sur leurs frais de carburants.
Le GPL est actuellement le carburant le moins cher en station-service (moins d’un euro par litre), ce qui lui vaut d’être très économique à l’usage, malgré une légère surconsommation par rapport aux carburants fossiles traditionnels. Enfin, le double système d’alimentation et les deux réservoirs qui équipent les véhicules fonctionnant au GPL permet d’améliorer considérablement leur autonomie et d’effectuer plus de 1000km sans passer à la pompe.
(Source : 40 Millions d’automobilistes)
Des cartes pour illustrer toute l'actualité
Esri France, premier acteur de la cartographie digitale, annonce son engagement à fournir des contenus interactifs et réactifs aux médias (TV, Radio, Presse écrite) à travers son initiative innovante, MapTheNews. Utilisant les cartes vivantes pour informer et décrypter l'actualité, Esri France ouvre une nouvelle ère d'accessibilité à une information moderne et vivante.
Le mois dernier, Esri France a participé avec enthousiasme au #30DayMapChallenge, un événement visant à créer une carte par jour à partir d'une thématique spécifique imposée. L'équipe de cinq experts en géographie, cartographie et analyse de données a pris part à ce défi en utilisant des technologies avancées telles qu'ArcGIS Pro ainsi que des méthodes traditionnelles, comme l'art de la broderie, pour produire trente cartes variées. Ces créations cartographiques sont déclinées dans des styles modernes.
La collection comprend également des localisations géographiques, de la cartographie de pays et des courbes de niveaux pour offrir une diversité d'informations.
Retrouvez dès à présent un aperçu des cartes réalisées lors du 30MapChallenge ici :
Exposition "A la cour du Prince Genji, 1000 ans d'imaginaire japonais" (Musée Guimet, Paris, France) La (très) longue histoire japonaise regorge de merveilles que mes nombreux voyages au pays du Soleil levant m'ont donné à maintes reprises l'occasion de partager avec vous. Une page de cette histoire, l'époque Heian (794-1185), laquelle symbolisait le Japon impérial et l'extrême raffinement de sa cour, a donné naissance à une ?uvre remarquable de la littérature classique japonaise, le Dit du Genji. L'auteur de cette ?uvre datant du 11ème siècle n'est autre que la poétesse Murasaki Shikibu. Le Musée Guimet nous invite à en apprendre davantage à travers son exposition «A la Cour du Prince Genji, 1000 ans d'imaginaire japonais ».
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