J'ai connu une France qui fonctionnait, irriguée d'administrations compétentes dont les personnels étaient formés. A la campagne, le facteur faisait deux tournées par jour. Il est vrai qu'à l'époque, internet n'existait pas encore et qu'on écrivait encore des lettres et des cartes postales.
Aujourd'hui, l'Europe et la mondialisation sont passées par là, ouvrant grandes les portes à la concurrence et les vannes de la déréglementation en tous genres. Bref, du n'importe quoi. Rajoutez à cela l'arrivée des populations d'origine étrangère, dont l'assimilation est imparfaite voire inexistante de par leur importance numérique, et tous les ingrédients du chaos sont réunis.
Transports, écoles, hôpitaux et mairies, jadis sanctuaires de la république, sont laissés volontairement à l'abandon (bien souvent au nom de la compression des couts)pour rendre le secteur public exsangue et le refiler à des investisseurs privés qui en feront des centres de profits rentables sur le dos des Français. Le manque de main d'oeuvre, et le défaut de moyens affectent des pans entiers de l'économie et des services publics, autant de dégradations directement subies par nos compatriotes.
A défaut d'élites dirigeantes compétentes, particuliers, entreprises et collectivités s'ingénient à pallier aux manques : des chauffeurs retraités sont ainsi sollicités pour reprendre du service à bord de cars scolaires, et des cabines de téléconsultation sont progressivement déployées dans les mairies et dans les gares. Jusqu'à ce que le gouvernement, longtemps resté les bras ballants, se résolve enfin à lancer un grand plan de revitalisation avec, pour c?ur de cible 2500 villages sélectionnés et (cela ne s'invente pas!) rebaptisés Villages d'avenir. Au programme : réhabilitation de bâtiments, développement de services, réouverture de commerces de proximité, création de pistes cyclables et de voies piétonnes...
J'ai personnellement toujours pensé que le salut viendrait des Français eux-mêmes. Et de l'entraide des uns et des autres, comme ces paysans aux savoir-faire multiples, prêts à assister des personnes en difficulté. A cela rien de plus normal pour une profession habituée à mutualiser les achats de matériels agricoles au sein de coopératives.
Dans certaines communes, des cabinets médicaux rouvrent grâce à des médecins retraités.
Quant à La Poste, elle a redéployé ses facteurs qui, non seulement distribuent le courrier, mais, au besoin, rendent visite aux personnes âgées, leur livrent des repas, ou installent des boitiers de télé-assistance. Dans le domaine de la petite enfance, la pénurie d'éducateurs a poussé un habitant de Haute-Savoie à créer une...crèche itinérante, à bord d'un bus aménagé pour accueillir les enfants des villages alentours. Faute d'animateurs en nombre suffisant, les centres de loisirs se débrouillent comme ils peuvent : certains parents détenteurs du brevet d'aptitude aux fonctions d'animateur sont réquisitionnés.
Face au repli de l'Etat qui ferme ses administrations, environ 3000 guichets uniques (baptisés France Services) répartis dans tout le pays remplacent désormais les impôts, la sécurité sociale et autres structures publiques. Mentionnons enfin l'état de faillite d'un Etat qui contraint l'hôpital Georges Pompidou (APHP) à faire appel aux dons pour financer un scanner à 1,5 million d'euros (alors que nos impôts partent sous forme d'aides par dizaines de milliards d'euros pour financer la guerre en Ukraine!). Quel sens des priorités les tristes sires qui nous gouvernent pratiquent-ils donc?
Heureusement, il est encourageant d'observer une France empreinte de débrouillardise et de solidarité et qui préfère l'action au discours face à la démission et à l'incompétence d'un pouvoir politique essentiellement préoccupé par la défense de ses propres intérêts.
 
LE CLIN D'OEIL DU MOMENT
Pour combattre la fraude fiscale, Bercy compte bien continuer de surveiller les réseaux sociaux. Méfiance donc si vous êtes marchand et que vous postez sur eBay vos offres de vente, si vous êtes coiffeuse et que vous offrez des prestations à domicile sur votre page Facebook, si vous donnez du conseil et que vous le faites ouvertement savoir sur vos comptes X, Facebook, LinkedIn ou Instagram, si vous possédez un véhicule et que vous proposez des services de déménagement ou si vous louez votre bien sur AirBnB...car s'il y a un endroit où cultiver le secret est un art, c'est bien sur les réseaux sociaux !
Toutes les plateformes de vente en ligne sont du pain béni pour le fisc français qui y trouve vos coordonnées, les types de services offerts, les tarifs, et les régions desservies. Il lui suffit de quelques clicks pour vérifier que ladite entité est bien enregistrée en tant que société, ou qu'elle déclare la TVA et le tour est joué.
Il y a ce qui se dit (on vous jure que les fonctionnaires exercent leur mission avec intégrité et probité sans l'octroi de primes au rendement, ou que la CNIL s'insurge contre l'utilisation par l'Etat de vos données personnelles et à des fins fiscales) et ce qui se fait (en 2021, 13227 annonces de ventes en ligne, prestations de coiffure, etc...ont en réalité été récupérées par le fisc, puis le gouvernement a voté unilatéralement un décret publié le 11 février 2021 autorisant Bercy à collecter et exploiter des données personnelles publiées ? écrits, images, vidéos, photos...).
Si les données strictement nécessaires à la constatation des infractions peuvent être conservées un an maximum, elles pourront l'être jusqu'au terme de la procédure en cas d'une procédure de contrôle. Toutes les autres données doivent être détruites dans un délai maximum de trente jours après leur collecte. Oui mais...la surveillance définitive pourrait bien devenir la règle, à l'instar de pays comme le Canada, la Belgique ou l'Espagne, où des influenceurs ont été sanctionnés par le fisc plusieurs années après leur traque. Attention donc à vos publications sur les réseaux sociaux et les plateformes de vente en ligne.
Il existe pourtant des endroits offrant une juridiction paisible pour vos finances : Andorre offre une taxation intéressante (10 % sur les revenus, 10 % sur l'impôt des sociétés et 4,5 % de TVA). La Bulgarie et la Hongrie sont aussi attractifs pour y transférer sa résidence. (Source:Libredetat)
 
 
MURIEL SE MET AU SIROP
Si, comme moi, vous avez des roses dans votre jardin, faites-en du sirop !
On ne doit utiliser que les roses en pleines fleurs, et n’importe quelle rose fera l’affaire. Si aucune n’est toxique, certaines offrent un meilleur goût que d’autres : c’est pour cela qu’il ne faut prélever que la rose dont vous sentez l’odeur (car cette fleur-là vous donnera un sirop au goût suffisamment prononcé). Servez-vous plutôt de variétés ancienne (plus parfumées), et faites des mélanges (par exemple, des pétales de roses anciennes aux fleurs plus petites et plus foncées mais au goût très sucré et suave, avec des pétales de roses plus récentes, aux fleurs plus larges et d’un rose plus pâle, offrant un goût plus acidulé et léger). Prévoyez de cueillir une vingtaine de boutons floraux afin d’obtenir un mélange au goût assez perceptible.
Dans une casserole, séparez vos pétales de roses des boutons puis recouvrez-les de 500 ml d’eau (environ 4 verres d’eau).
Faites cuire à feu très doux (mieux vaut laisser macérer longtemps que d’infuser trop vite) et trempez un doigt dans l’eau de temps à autre (l’eau doit être tiède, 30° maximum, sans bulles au fond de la casserole et sans évaporation).
Rajoutez 500 grammes de sucre (autant de sucre que d’eau), de préférence un mélange de sucre blanc et de sucre de canne histoire de donner au sirop un petit goût corsé et une jolie couleur ambrée, dès que l’eau atteint 30°, et retirez l’ensemble du feu.
Ajoutez une cuillère à soupe de jus de citron pour préserver la couleur rose, puis recouvrir la casserole et laissez reposer le mélange une nuit entière.
Le lendemain, passez le mélange dans une passoire fine en pressant bien les pétales de roses contre les rebords de l’ustensile afin d’en extraire au maximum le goût.
Au final, vous obtenez un sirop maison ambré, légèrement rosé, à conserver un mois au frigo (voire deux si vous avez mis assez de sucre) et à servir à votre convenance (une cuillerée à café dans un verre d’eau fera l’affaire).
L’être humain ment, trahit et mène des guerres sanglantes. À croire que faire le mal serait le propre de notre espèce. Pourtant, les humains peuvent faire preuve de bonté, éprouver des sentiments, et même faire la paix avec leurs ennemis. Alors, qu'est-ce qui prédomine, le vice ou la vertu ? Et s’il s’avérait finalement que nous sommes bons par nature, changerions-nous pour autant ?
 
 
LA SEMAINE DE SOUKO
Dimanche 31 décembre 2023 : J’ai la diarrhée et je ne tiens pas la forme. Vivement que l’année 2023 se termine !
Lundi 1er janvier 2024 : après une bonne nuit de sommeil, me voici requinqué ! Et prêt à affronter 2024.
Mardi 2 janvier 2024 : J’ai revomi cette nuit et mon maitre m’a conduit à la clinique vétérinaire
Mercredi 3 janvier 2024 : Mon traitement semble fonctionner puisque j’ai retrouvé la forme
Vendredi 5 janvier 2024 : Youpi, j’ai eu ce matin la visite de Duarte pour mon entrainement
Samedi 6 janvier 2024 : J’ai joué, j’ai couru aujourd’hui. Une journée bien remplie
Après la confiscation massive des libertés publiques, lentement entamée par le USAFREEDOM ACT, anciennement "Patriot Act" et accélérée brutalement avec les graves dérives fascistes de la période covid, la prochaine étape, d'une limpidité biblique, consiste à attaquer la propriété privée. De Blackrock s'emparant du marché immobilier US aux monnaies digitales de banques centrales en passant par la récupération par les agences de renseignement US de plus de 80% des données échangées dans le monde des cryptomonnaies, nous faisons le point avec Philippe Béchade.
 
 
QUOI DE NEUF EN CRYPTO?
La crypto sur le podium des 10 plus belles fraudes fiscales aux Etats-Unis en 2023
Pourquoi l’endettement public mène au contrôle des nations et à la perte de la souveraineté ?
Avec plus de 3000 milliards d’euros qui pèse lourdement sur chacun d’entre nous, comment la France peut-elle sortir de cette spirale infernale ?
Vous verrez que ce n’est pas qu’une question de chiffres et que chaque euro dépensé, chaque décision politique nous aliène un peu plus envers des puissances étrangères.
Qu’y a t-il de commun entre l’éolien et les véhicules électriques ? Leur absence d'avantage pour leurs utilisateurs par rapport aux énergies déjà existantes.
La rentabilité de l'éolien est loin derrière celle des modes productions historiques, c’est à dire les énergies fossiles et le nucléaire: il faut dépenser beaucoup plus pour produire un kilowatt heure d'électricité avec le vent qu'en brûlant du charbon, du gaz, du pétrole ou avec l'énergie nucléaire.
On observe la même chose en comparant le moteur thermique et le moteur électrique.
Présentées dès leur origine comme "vertes", ces deux technologies sont en fait à l'opposé de ce à quoi on s’attendait. En effet, le bilan environnemental du minage des dizaines de métaux nécessaires aux éoliennes et aux voitures électriques est une pollution aux métaux et produits chimiques d'une ampleur sans précédent.
Les ressources rares comme la plus grande partie des métaux utilisés dans ces technologies sont gaspillées sans possibilité de recyclage.
Censé réduire notre dépendance aux producteurs d'hydrocarbures dont la Russie, ils nous mettent pour des années dans les mains de la Chine qui domine l'extraction et la transformation des "terres rares" et autres métaux similaires.
Ce bref rappel des données techniques qui régissent ces technologies, prouve qu'on nous a menti.
Elles sont en réalité des illustrations spectaculaires du développement des activités économiques sans vraie utilité qui ne servent qu'à faire tourner le système.
On peut creuser des trous pour les reboucher. On peut aussi remplacer des centrales nucléaires ultra efficaces par des champs d'éoliennes qui délivrent même pas 25% de leur potentiel théorique d'électricité, et dont les coûts dépassent largement celui du parc électronucléaire français.
On peut remplacer des véhicules thermiques par des véhicules électriques deux fois plus lourds, deux à trois fois moins autonomes, aux durées de rechargement ridicules par rapport aux 5 mn qu'il faut pour faire un plein d'essence, et deux fois plus chers.
Le système économique ne tourne plus pour le progrès mais pour se maintenir.
Il ne repose plus sur la force d'attraction des innovations positives sur la vie des gens, comme le fut celle du moteur thermique, de l'électro-ménager, ou du PC, mais sur une propagande omniprésente servie par les médias aux ordres, et les subventions des Etats.
Ce sont donc des activités parasites qui ne tiennent que par l'argent des citoyens:
L'éolien est ainsi financé par une taxe prélevée sur nos factures EDF.
Quant à la voiture électrique, son marché est remis en cause par la fin annoncée des subventions.
Le capitalisme a besoin en permanence de susciter la demande des consommateurs.
Plus leurs besoins sont satisfaits, plus il faut inventer de nouveaux produits de moins en moins attractifs.
Pour convaincre les masses consommatrices que ces nouveautés sont indispensables, il faut mentir avec toute la force des moyens actuels de la propagande.
On comprend que plus les productions de l'économie deviennent superfétatoires, plus il faut mentir et abrutir les populations pour qu'elles achètent!
Mais voilà, la ficelle est de plus en plus grosse et cette situation ne pourra pas durer éternellement. La fin du pouvoir des supercheries technologiques est proche.
 
 
DU COTE DE CHEZ NOUS
Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix: 2024, l’une de ces années où l’on souhaite de toutes ses forces la défaite de l’Occupant (https://odysee.com/@campagnoltvl:2/occupant22:0)
 
 
EXPOSITIONS
" Les 77 ans du journal de Tintin", jusqu'au 12 mai 2024, à Angoulême (16)
C’est un anniversaire symbolique qu’ont voulu célébrer les éditions du Lombard en réunissant des autrices et auteurs d’aujourd’hui dans un numéro spécial du Journal de Tintin. Près de 400 pages d’hommages, d’histoires inédites et de documents pour témoigner de l’importance de ces personnages mythiques à travers lesquels s’est écrite l’histoire du 9ème art.
De ce journal exceptionnel, La Cité de la Bande Dessinée et de l’Image d’Angoulême a tiré 77 planches qui sont présentées dans cette exposition. Elles sont mises en regard avec des exemplaires originaux et d’époque du journal, et témoignent de la diversité des histoires et des personnages d’origine, mais peut-être plus encore de la créativité et de l’invention des artistes de bande dessinée du XXIème siècle.
Au Musée de la bande dessinée, Quai de la Charente, à Angoulême (16)
« Lumières parallèles », du 8 janvier au 8 juin 2024, à Gordes (84)
Elisabeth von Wrede est nee en Allemagne et est installee a Gordes depuis 5 ans. Artiste peintre et plasticienne depuis 1989, elle est influencee par les artistes de son pays comme Heinz Mack et Gunther Uecker, que cotoyait sa famille. Elle etudie puis decouvre la peinture aupres de l’artiste japonais Keiji Uematsu durant plusieurs annees.
Arrivee en France, elle multiplie les formations comme la reliure d’art ou la peinture sur cuir aupres d’artistes comme Sun Evrard et Florent Rousseau. Avec Thibault de Reimpre, elle choisit de vouer son temps et sa vie a la peinture et a la creation artistique.
Depuis 35 ans, Elisabeth von Wrede vit et cree en France. Elle est representee par plusieurs galeries en France et a l’etranger. Une de ses œuvres est presentee au Bon Marche Rive Gauche et est integree a la collection de la Fondation Vuitton. Elle a egalement collabore avec Vinci Immobilier ainsi que d'autres promoteurs et ses œuvres monumentales sont visibles dans plusieurs villes. Aujourd'hui, elle se tourne de plus en plus vers une expression artistique qui cree du lien et donne du sens.
Il y a 5 ans, suite a divers evenements familiaux, elle decide de faire une pause et de chercher calme et lumiere. C’est a Gordes qu’elle pose ses valises face au Luberon, entouree de vignes et d’oliviers.
Avec cette exposition, l'artiste met en paralle?le plus de 50 oeuvres contemporaines, avec des artistes qui ont autrefois arpente les ruelles pavees du village emblematique : Serge Poliakoff, Jean Deyrolle, Jean Degottex, Nicolas de Stael, Victor Vasarely, Andre Lhote, Fernand Dubuis et Andree Simon.
Ainsi, l'exposition est une balade joyeuse entre citations, video, et œuvres mises en parallele. En plus de ses installations majeures, l'artiste presente des peintures inedites.
Le but ? Immerger les visiteurs dans le processus de creation que vivent les artistes. De quoi se nourrissent ils ? Comment sont-ils influences et pourquoi une ambiance ou un lieu ont un impact sur leurs creations ? L'exposition repond a ces questions et est une experience participative, alors a vous de jouer !
Au Château de Gordes, Place Genty Pantaly, à Gordes (84)
« Lucharaan ! Une histoire de la Lucha Libre mexicaine » du 8 au 25 janvier 2024, à Paris (75)
Cet événement retrace pres d’un siecle de passion a travers une selection des photographies et objets d’art populaire collectes depuis les annees 1930. Cette collection est veritablement exceptionnelle, avec plus de 2 500 masques, 20 000 revues specialisees mexicaines, japonaises et nord-americaines, plus de 20 000 programmes et affiches de matchs organises dans toute la Republique mexicaine depuis 1934, ainsi que des milliers de figurines, jouets, jeux de socie?te, affiches de films, disques, fanzines et photographies. Cette veritable mine d’informations ravira les chercheurs et les passionnes de Lucha Libre.
A l’Institut culturel du Mexique, 119, rue Vieille du Temple, à Paris (3ème)
Oeuvres de Julian Taylor, du 8 janvier au 26 février 2024, à Paris (75)
Suite à un séjour qu’il a effectué sur la côte, dans les Charentes-Maritimes, en juillet dernier, Julian Taylor a travaillé un nouveau thème : les carrelets, petites cabanes de pêche en bois sur pilotis que l’on trouve sur l’Île d’Oléron, l’Île Madame et à l’embouchure de la Gironde. Il a également rapporté de ce séjour quelques tableaux du roi des phares : Le phare de Cordouan.
A la Galerie 26, 26 place des Vosges, à Paris (3ème)
« Cabarets », jusqu'au 30 avril 2024, à Moulins (03)
Depuis le 9 decembre 2023, le Centre national du costume et de la scene propose une exposition sur le theme du cabaret. 120 costumes provenant de maisons historiques comme le Paradis Latin, le Moulin Rouge, le Lido, le Crazy Horse ou Chez Michou, ainsi que d’artistes independants, qui peuplent les nouveaux cabarets « indisciplinaires », illustrent le large spectre de la creation depuis l’excellence des metiers d’art, ateliers specialises, createurs haute couture, jusqu’a celle de la debrouille geniale ou tout est imagine pour faire rever et proposer une soiree d’exception, hors du quotidien.
Un parcours ou se croisent de grandes figures comme Zizi Jeanmaire, Line Renaud, Jean-Marie Riviere, Michou, Dita Von Teese et les creatures fantasques d’aujourd’hui comme la Big Bertha, l’Oiseau Joli, Kiki Beguin, Lola Dragoness Von Flame, Miss Knife... qui revisitent le cabaret avec elegance et insolence.
Au Centre national du costume et de la scène, Quartier Villars, Route de Montilly, à Moulins (03)
 
 
SAVOIRS
Langue française et...mots d'hiver
Contre toute attente, l’arbre généalogique de la famille Hiver est loin d’être dégarni... Le lointain ancêtre latin hibernum a en effet donné de nombreux descendants en ligne directe : hiberner, hibernage, hibernation, et leurs cousins de la branche cadette : hiverner, hivernage, hivernal, hivernation, hivernement. De son côté, FranceTerme héberge deux autres membres de la famille : l’hiver nucléaire, un parent par alliance que l’on fait en sorte d’éviter, et la jeune hivernisation, née en 2011.
Tandis que hérissons, ours et marmottes, engourdis du sommeil hivernal, s'enferment dans leurs abris, tandis qu'on hiverne le bétail à l'étable, les plantes dans les serres, et que la nature s'assoupit... entre hangar et atelier, l'homo technologicus s'active à grand renfort d'antigel et d'antirouille, d'équipements spéciaux et de systèmes de protection, pour préparer locomotives et wagons, aiguillages et caténaires, à affronter la bise, la neige et la glace : les matériels ferroviaires ont droit à une toilette soigneuse, moins pour prendre leurs quartiers d'hiver que pour poursuivre leur service dans les intempéries. C’est ce travail que l’on nomme hivernisation, une affaire de spécialistes. L'homo technologicus pourra ensuite s'engouffrer dans un train à destination des stations de sports d'hiver, avant de s'élancer sur les pistes préparées à l'aide de dameuses hivernisées de naissance...
Gagné par le numérique, le vocabulaire de l'éducation s'adapte
Toujours dans l’air du temps, ces nouveaux termes de l’éducation et de l’enseignement supérieur désignent pour la plupart des concepts impliquant les nouvelles technologies numériques, et qui concernent tout autant les apprenants que les enseignants ou les chercheurs. Ci-dessous, la liste élaborée par les experts et publiée au Journal officiel du 12 décembre 2023 :
Grâce au numérique, les modalités d’apprentissage se diversifient. Ainsi lacyberformation ou formation en ligne (e-learning, e-training), qui fait appel à des ressources et à des dispositifs pédagogiques accessibles dans un espace numérique, devient de plus en plus courante. Elle s’appuie parfois sur une forme particulière de dialogueur : le dialogueur pédagogique, alimenté par l’intelligence artificielle et utilisé sous la supervision d’un enseignant.
Pour garantir une efficacité optimale des outils numériques, on peut avoir recours à l’analytique(analytics), qu’il s’agisse de l’analytique de l'évaluation (assessment analytics), dans le but d’améliorer les performances d’un système numérique d’évaluation des apprenants, ou de l’analytique des apprentissages (learning analytics), qui vise quant à elle l’amélioration d’un système numérique d’apprentissage. Dans les deux cas, l’analyse se fonde sur des données d’activité cognitive (process data) résultant de l’utilisation du système en question par les apprenants.
D’autre part, les progrès du traitement des mégadonnées font également évoluer les disciplines et la recherche elles-mêmes, comme en témoignent déjà depuis plusieurs années les humanités numériques. Aujourd’hui, l’anglicisme distant reading apparaissant dans le milieu universitaire, les experts proposent le terme de transtextualité numérique, une méthode de recherche appliquée à des mégadonnées textuelles, notamment à des fins d’étude de corpus d’œuvres littéraires.
Enfin, un concept pouvant encore se passer d’outils numériques : le bilan pédagogique(feedback), qui désigne l’évaluation par un enseignant d’une activité pédagogique.
Depuis sa premiere apparition en 1959, Asterix rassemble les lecteurs du monde entier et de toutes les generations. Un veritable prodige que l’on doit a ses createurs : les geniaux René Goscinny et Albert Uderzo.
Les Editions Albert René
qui ont le privilège de servir l’irreductible Gaulois saisissent l’opportunite offerte par ce soixante-cinquieme anniversaire pour rendre hommage a ce phenomene hors-norme.
Pour cette annee riche en celebrations, de nombreux partenaires ont tenu a se joindre a elles. Tous animes d’un enthousiasme partage pour le petit Gaulois - un enthousiasme ne des plaisirs de lecture toujours renouveles - et motives par l’envie de souhaiter a Asterix un magnifique anniversaire. Tout le monde s’est donne rendez-vous pour le remercier des moments de communion passes avec et grace a lui. A suivre...
Salon de la Plongée du 11 au 14 janvier 2024, à Paris (75)
A Paris Expo, Porte de Versailles, à Paris (15ème)
 
 
TOURISME
Tournée des (grands) ducs à Chambéry (73)
A l’occasion de la réouverture du Musée savoisien, une visite s’impose dans cette ville qui se souvient de ce qu’elle doit à la Maison de Savoie.
En devenant le chef-lieu d'un département, le 24 mars 1860, Chambéry a définitivement tourné une page de son histoire. Celle qui lia la ville pendant près de six siècles à la Maison de Savoie. L'hôtel de ville (1), érigé en 1863, symbolise le nouveau pouvoir en place, marquant d'une pierre blanche le rattachement du duché à la France, à la faveur d'un accord conclu entre le roi de Piémont-Sardaigne et Napoléon III. Il prend le relais du château. Pour rejoindre celui-ci, il suffit d'emprunter la rue Basse-du-Château(2) qui abrite le dernier passage aérien de la ville. Jusqu'en 1830, elle offrait un accès direct à la résidence des ducs de Savoie (3) , dominant les vallées et piémonts du nord-ouest du massif alpin. Ceux-ci s'y établirent en 1295. Entre 1408 et 1430, ils firent bâtir la Sainte-Chapelle, qui servit d'écrin au Saint Suaire de 1502 à 1578, avant son transfert à Turin, devenue leur nouvelle capitale politique.
Resté siège administratif du duché, Chambéry a continué à prospérer. Parmi les lieux animés de la cité des Ducs: la place Saint-Léger (4) , autour de laquelle se déploient les allées. Spécificité locale, ce maillage d'étroits passages draine tout un réseau de cours et d'arrière-cours. Au détour de l'une d'elles, l'entrée de l'appartement où Jean-Jacques Rousseau (5) proposait ses services comme professeur de solfège et de chant aux jeunes filles de bonne famille de Chambéry, de 1732 à 1736. Contrastant avec ce dédale de sombres ruelles, la rue de Boigne (6) ouvre le tissu urbain en 1830, agrémentée de ses arcades à la turinoise que les Chambériens surnomment "les portiques".
On doit cette artère à la générosité du général comte de Boigne. Fils de commerçants chambériens, il a fait profiter ses concitoyens de sa fortune, acquise après un périple en Inde. Reconnaissante, la ville lui a érigé un monument après sa mort, en 1838: la fontaine des Éléphants (7), avec des bas-reliefs narrant son parcours. Cette épopée aurait pu faire l'objet d'une pièce au théâtre Charles-Dullin (8) , du nom d'un dramaturge savoyard. Reconstruit en 1866, le bâtiment abrite l'une des plus belles salles à l'italienne de France.
Direction ensuite la cathédrale Saint-François-de-Sales (9) pour admirer une des pépites du patrimoine chambérien. L'ancienne église du couvent des Franciscains abrite la plus grande surface peinte en trompe-l'œil d'Europe, soit 6 000 m2 . Réalisés entre 1809 et 1835, les personnages peints ressemblent à s'y méprendre à de vraies sculptures en relief. Et c'est dans l'ancien couvent accueillant le Musée savoisien (10) que s'achève notre périple. L'établissement, qui vient de rouvrir, expose dans l'escalier d'honneur 63 portraits de membres de la Maison de Savoie. Outre son empreinte dans le patrimoine chambérien, cette dynastie a légué son blason à la croix blanche sur fond rouge, auquel s'identifie aujourd'hui toute la région.
Après cette balade en ville (dont vous possédez désormais le commentaire, il ne vous reste plus qu’à vous procurer le plan-itinéraire auprès de l’office de tourisme!), vous ne manquerez pas de visiter le Musée savoisien : Après huit ans de travaux dans l'ancien couvent franciscain au cœur de la vieille ville, celui-ci a rouvert ses portes. Accessible gratuitement, l'établissement, qui fête cette année ses 110 ans d'existence, permet au grand public de découvrir l'histoire et les cultures territoriales, dévoilant les figures emblématiques, les activités économiques et la diversité des modes de vie de ce territoire alpin. Un passionnant voyage du paléolithique à aujourd'hui, à travers 2 000 objets sur site et plus de 100 000 présentés en ligne. https://patrimoines.savoie.fr (Source : Le Pèlerin).
Fêtes populaires de janvier à Majorque
Au mois de janvier, l'île de Majorque célèbre deux des fêtes les plus importantes de son calendrier : Sant Antoni, déclarée d'intérêt touristique, et la Nit de Sant Sebastià. Une multitude d'activités culturelles et festives rendent hommage à ces deux saints dans une tradition qui se transmet de génération en génération depuis des décennies et qui incite les habitants et les visiteurs à découvrir les racines culturelles de l'île :
Sant Antoni
C'est l'une des fêtes les plus connues de l'île. La fête de Sant Antoni, déclarée d'intérêt touristique, a lieu les 16 et 17 janvier dans des communes comme Sa Pobla, Manacor et Artà, où se déroulent des activités et des festivités pour célébrer l'héritage majorquin.
Ses origines remontent aux racines agricoles de l'île, lorsque les habitants montraient leur dévotion à Saint Antoine, patron des animaux qui travaillent dans les champs. Chaque localité célèbre avec des traditions différentes qui donnent à cette fête un charme unique.
L'un des temps forts est le premier bal des dimonis, qui donne le coup d'envoi des festivités. Au son de la musique traditionnelle, les danses se succèdent dans tous les coins des villages. Ces dates sont également marquées par des événements cérémoniels, comme les Completes, une messe au cours de laquelle sont chantés des Goigs, des chants en l'honneur du saint.
En plus des événements publics, il y a les foguerons, feux de joie en castillan, au cours desquels la gastronomie majorquine brille avec les flammes du feu. Sobrasada, botifarrons, espinagades et coques amb pebres sont quelques-uns des produits que l'on peut déguster.
L'une des traditions les plus ancestrales de Majorque est celle des Beneïdes de Sant Antoni, une célébration au cours de laquelle l'esplanade de la cathédrale de Majorque est remplie d'animaux qui reçoivent l'eau bénite du curé. Cette activité est très populaire à Palma et à Muro, tandis que dans des villes comme Pollença se distingue le Pi de Sant Antoni (Pi de Saint Antoine), au cours duquel les jeunes rivalisent pour être les premiers à grimper jusqu'à la hutte.
La nuit de Sant Sebastià
Le 20 janvier, la ville de Palma honore son saint patron, Sant Sebastià, lors d'une célébration riche en musique et en activités. Tout au long de la semaine, la capitale majorquine est remplie de fumée, de musique, de lumières et de danses, qui commencent dès le 17 janvier.
Il y a des activités pour tous les âges, des expositions, des ateliers, des feux d'artifice et des concerts, entre autres événements culturels.
La Revetlla de Sant Sebastià est l'un des rendez-vous incontournables de ces festivités. Elle a lieu le 19 janvier, une nuit où des milliers de personnes profitent de l'ambiance dans les rues avec des concerts, des correfocs (courses de feu) et l'allumage de feux de joie, accompagnés de la dégustation de délices gastronomiques majorquins.
Le jour de la fête patronale, le 20 janvier, des activités cérémonielles ont lieu, comme la messe en l'honneur du saint dans la cathédrale de La Seu. En outre, le soir, la ville se met sur son trente-et-un pour le Premis Ciutat de Palma (Prix de la ville de Palma) au Teatro Principal.
 
 
PATRIMOINE
Pérégrinations de la Compagnie internationale des wagons-lits en temps de guerre
Déjà en 1870 une guerre contrecarre les premiers efforts de Georges Nagelmackers pour créer une compagnie unique d’exploitation de wagons-lits sur le plan international. Ses projets aboutissent en 1876 avec la Compagnie internationale des wagons-lits (CIWL), devenue en 1886 « Compagnie internationale des wagons-lits et des grands express européens ». Cette entreprise décloisonne l’Europe en améliorant et en développant les liaisons entre les pays. Ce qui s’apparente à un monopole va cependant voler en éclat avec les deux guerres suivantes.
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Les dilemmes de la protection de l'environnement
Quand on revendique, comme notre Fédération, le nom composé de Patrimoine-Environnement, il serait fort mal venu de s’opposer, par principe, à l’éolien. Tout comme le nucléaire et d’autres sources d’énergie décarbonées, nous aurons besoin de tout pour fournir l’énergie de notre nouveau monde.
Mais, pour le même motif, il nous est absolument impossible d’accepter que la beauté des paysages, que les abords des patrimoines historiques, que l’environnement de nos lieux de vie, que l’intégrité d’espaces et d’espèces protégées et que le confort visuel et auditif de nos concitoyens soient sacrifiés, sans plus de respect, à l’idéologie « éolienne » des uns et à l’intérêt économique des autres.
Un exemple concret et d’actualité s’offre à nous avec l’atteinte inenvisageable au patrimoine UNESCO du Val de Loire.
Le Val de Loire, trésor national, peut légitimement s’enorgueillir de son inscription au patrimoine mondial de l’UNESCO. Rappelons que, dans notre pays, seuls 52 biens ont obtenu une telle reconnaissance. Le Château d’Amboise constitue l’un des fleurons du site UNESCO Val de Loire.
Le « plan de gestion » du site, adopté par l’État et les 197 collectivités concernées en 2012, exclut toute implantation d’éoliennes « visibles depuis le Val », et notamment « à moins de 15 km du rebord du Val ». Pourtant, à Auzouer-en-Touraine, en violation de cette prescription unanime et dans le champ de visibilité du Château d’Amboise, l’autorisation d’un parc de 4 éoliennes n’attend plus que la décision du représentant de l’État, nonobstant les nombreux avis défavorables qu’elle a suscitée, incluant celui de la Commission Départementale de la Nature, des Paysages et des Sites (CDNPS) rendu le 10 octobre 2023.
150ème anniversaire de la disparition de Victor Baltard (13 janvier 1874)
Fils d’un des architectes les plus réputés de la génération néo-classique, Victor Baltard entre à l’École des Beaux-Arts de Paris en 1824 pour en sortir dix ans plus tard, en 1833, titulaire du prix de Rome. Cet « admirateur passionné de l’œuvre très classique d’Ingres » (selon le jugement du baron Haussmann) était d’abord un homme de savoir et de culture.
Entré à la ville de Paris dès 1842, il prend sept ans plus tard la succession d’Étienne-Hippolyte Godde (1781-1869) au poste enviable d’architecte de la ville de Paris chargé des églises. C’est à ce titre qu’il engage la même année le spectaculaire programme de décoration polychrome de l’ancienne abbatiale Saint-Germain-des-Prés, dont il confie l’abondant volet pictural à l’un des meilleurs élèves d’Ingres, Hippolyte Flandrin (1809-1864). Puis il effectue la transformation du chevet de Saint-Leu/Saint-Gilles (1858) à l’occasion du percement du boulevard de Sébastopol, ainsi que la restauration de Saint-Eustache (à partir de 1859) après l’incendie qui en avait détruit les couronnements ; il interviendra également à Saint-Séverin et à Saint-Étienne-du-Mont.
Ce décorateur virtuose, proche des peintres et des ornemanistes avec lesquels il travaille au quotidien, est aussi l’artisan de la fête impériale : mariage de l’Empereur (1853), visite de la reine Victoria (1855), baptême du Prince impérial ou retour des troupes de Crimée (1856). De l’architecture, il est passé aux arts décoratifs en dessinant l’illustre berceau en forme de nef offert à l’héritier par la ville de Paris (musée Carnavalet) ou le surtout de table destiné au préfet de la Seine.
Pourtant, sa carrière avait déjà pris un autre tour lorsqu’il avait été chargé, à partir de 1844, de dessiner les pavillons des Halles – en collaboration avec Félix Callet (1792-1854). Au terme de longs débats qui voient s’opposer les projets sur ce site majeur de la capitale, c’est la construction en fonte (1853) des célèbres « parapluies » de Baltard qui s’impose comme le modèle d’une architecture moderne faisant appel aux produits de l’industrie : brique, verre, fonte et acier. L’élégance de la structure aérienne, raidie par des tirants d’acier, a fait le tour du monde en générant une famille d’édifices que la disparition absurde des Halles de Paris n’a pu que valoriser – au moins, dans notre imaginaire. (Source : France Archives).
 
REPORTAGE DE LA SEMAINE
Exposition "Trésors de décors, Façades d'Île-de-France (Musée d'histoire urbaine et sociale, Suresne... Voici une exposition qui invite à découvrir et comprendre les ornements des façades de bâtiments publics. Hôtels de ville, bâtiments administratifs, groupes scolaires, équipements d'hygiène et de soins, salles de spectacle et d'équipement défilent lors de cet événement intitulé «Trésors de décors, Façades d'Île de France» . Nous apprendrons beaucoup, à la lecture de cet article, qu'il s'agisse des techniques mises en ?uvre pour la réparation ou dans les domaines de la ferronnerie, de la sculpture. Quant aux décors portés sur les façades, ils jouent traditionnellement une fonction d'embellissement et d'harmonisation.
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