L'improvisation semble être de mise pour les JO qui se tiendront dans quelques mois dans la capitale française.
Que penser de l'incitation des fonctionnaires à rester chez eux pour pratiquer le télétravail afin de ne pas engorger les infrastructures de transports publics compte tenu de l'affluence attendue ? Ou encore le report d'autorité de 10 jours de congés sur l'année 2025 pouvant être imposé par les ministères dont les agents seront mobilisés par les Jeux ?
En fait, il y aura deux types de fonctionnaires : les « confinés » chez eux et les « mobilisés » (qui pourront bénéficier d'un plan d'action sociale). Quant à tous les Franciliens qui travaillent quotidiennement sur la capitale, le crédo sera « Déguerpissez, y'a rien à voir ! »
L'engagement pris par nos élites d'organiser les JO en 2024 est-il raisonnable ? On peut se le demander, alors qu'il n'y a jamais eu autant de chantiers de travaux ouverts à Paris et que les transports sont, dans certains cas, déjà saturés. A défaut de carotte, ça sera le bâton durant cette période qui se veut pourtant festive (du 20 juillet au 8 septembre 2024), avec l'augmentation (encore une!) du prix des titres de transport : Passe Transports Paris 2024 à 70€ la semaine, ticket de métro unitaire à 4€ (au lieu de 2,10€ actuellement) et le ticket de RER à 6€. Je passe sur la malhonnêteté de la RATP (médiatrice compris !) envers les « verbalisés » à tort (j'en ai fait la triste expérience il y a un an à la suite d'un bug de mon badge contenant mes tickets de métro, et malgré la présentation de preuves). Déplacez-vous plutôt en trottinette?
Quid de la sécurité durant ces JO ? Je crains le pire en temps normal (souvenons-nous comment « Mr Scooter » avait à l'époque sous-estimé la menace du Bataclan et le carnage qui en avait résulté) mais cette fois, et compte tenu du budget rikiki (d'après la Cour des Comptes, dès 2020, seulement 182,5 millions d'euros, soit 2,6 % du budget global initial étaient affectés à ce poste alors qu'en règle générale, il est de mise de consacrer 10 % du budget total à la sécurité) accordé par « Mr Tout et son contraire » pour ces JO 2024, je me tiendrai pour ma part à bonne distance de cet évènement.
Faut-il rappeler qu'en temps normal, 120 personnes sont en moyenne et quotidiennement victimes d'attaques au couteau dans notre pays ouvert à tous les vents (mauvais). Alors, que dire des risques d'attentats terroristes lors d'un évènement aussi couru et diffusé dans la planète entière ? Drones et cyberattaques ont déjà fait leur ?uvre chez les Britanniques en 2012, puis chez les Japonais). Enfin, là où les JO de Rio avaient mobilisé 70000 policiers et militaires, et les Jeux d'Athènes, 85000, nos autorités prévoient de mobiliser..30000 policiers et gendarmes à Paris. Sans commentaires !
 
LE CLIN D'OEIL DU MOMENT
Si l'on est ce que l'on mange, il va encore une fois nous falloir être sélectif face à la nouvelle vague de malbouffe qui débarque en France à coup de donuts, ces beignets gras et sucrés venus des Etats-Unis.
Le géant américain Krispy Kreme a récemment ouvert ses portes sous la Canopée des Halles (Paris 1er) à travers un premier point de vente (500 sont prévus dans l'hexagone d'ici cinq ans). Cette célèbre enseigne américaine, qui naquit à Nashville en 1934, aurait, semble t-il passé avec succès sa première étape de dégustation grâce au donut originel, l'Original Glazed, avec son glaçage de sucre figé et son goût frais, léger, et sans excès de gras. Avec des gourmandises faites sur place, Krispy Kreme ose ainsi se lancer hors de ses frontière alors que son principal concurrent, Dunkin'Donuts, n'a jamais traversé l'Atlantique.
Cette enseigne ne se lance pas au hasard : le donut est déjà bien implanté chez nous, tout comme les cookies (arrivés dans notre pays en 1985) avec l'entreprise Laura Todd originaire de l'Illinois. Cheesecakes, cupcakes, puis carrot cake et brownies passèrent aussi à l'offensive et parvinrent même depuis à s'inscrire durablement dans la pâtisserie française (à l'exception du cupcake).
Mais revenons au donut, lequel mit du temps à nous séduire tout simplement parce qu'il n'offre rien de plus que notre traditionnel beignet, même si le beignet français est plus petit, moins gonflé et moins décoré que son homologue yankee. Certes, il faut distinguer le donut artisanal (comme par exemple celui fabriqué maison de chez Boneshaker, rue d'Aboukir, à Paris, ou encore celui de Raamin Samiyi, co-fondateur de Momzi installé au coeur du quartier japonais de la capitale française) du donut industriel, gras et bariolé comme une voiture volée, malheureusement omniprésent au rayon boulangerie des supermarchés, aux snacks des gares et dans les chaines de cafés.
A nous d'être sélectifs !
 
 
MURIEL ET LA PYRAMIDE DE NICE (06)
Nice a sa pyramide. Ou plutôt a eu sa pyramide. Si celle de Falicon (en partie détruite) est aujourd'hui la plus connue, elle ferait office de petite sœur à côté de celle qui existait autrefois en lieu et place de l'échangeur de l'A8, sur la commune de Saint-André-de-la-Roche.
Qui a déjà eu écho de l'existence de cette incroyable structure qui fut pourtant complètement rasée il y a plus de 40 ans...
En cause? La construction de la sortie nord-est de Nice avec un échangeur autoroutier pour l'A8. La pyramide mesurait entre 50 et 60 mètres de haut pour 200 de large, ce qui en ferait une des plus importantes jamais retrouvées en Europe.
Un grand dolmen aurait même été bâti à son sommet. Avant d'être complètement détruite, la pyramide servait de carrière, où des camions venaient extraire des matériaux de la roche, comme en témoigne la piste visible sur certaines photos.
Preuve d'une ancienne civilisation avancée? Trace d'une culture ancestrale en Europe? Nul ne le sait. Mais le site, apparemment nommé site du Mérindol, aurait été une place forte des Huguenots durant les guerres de religion d'après le conseil municipal de la petite commune…
Cependant l’attention du public et de nombreux chercheurs, ceux qui ne sont pas soumis à la contrainte des systèmes sociaux de leurs pays, s’est orientée vers la recherche des pièces archéologiques qui subsistent encore de l’ancienne civilisation européenne.
Une première découverte, qui fit sensation dans le monde de l’archéologie, fut celle des pyramides de Bosnie que l’on estime avoir été bâties il y a 20 000-30 000 ans par une civilisation étrangère à ce jour à l’histoire officielle.
La grande pyramide de Saint-André, au nord-est de Nice, fait plus de 50 mètres et pouvait donc être considérée comme l’une des plus grandes pyramides découvertes sur le continent européen, semblable à celle de Barnenez en Bretagne, de Guimar aux Canaries et de Monte d’Accoddi en Sardaigne. Un symbole emblématique de l’ancienne civilisation des Natifs européens. Après avoir été utilisée comme carrière de pierres elle fut, inexplicablement démolie définitivement dans les années 70 pour faire place à ...un échangeur autoroutier !
Dimanche 21 janvier 2024 : Je me dégourdis les papattes par un temps gris et froid
Lundi 22 janvier 2024 : Mon caractère est tempétueux, comme le temps en Bretagne
Mardi 23 janvier 2024 : A force d’avaler n’importe quoi, j’ai encore attraper la « courante »
Mercredi 24 janvier 2024 : J’adore prendre le soleil d’hiver, bien au chaud.
Jeudi 25 janvier 2024 : Ayant attrapé la « courante » depuis quelques jours, mon maitre m’a emmené chez le vétérinaire où plusieurs personnes ont dit que j’étais « superbe » !
Vendredi 26 janvier 2024 : Me revoici encore chez la vétérinaire pour passer une échographie. On me prend par les pattes et l’on me flanque sans ménagement sur une table d’examen. On me rase le bidon et l’examen débute tandis que mon maitre me parle pour me rassurer.
Samedi 27 janvier 2024 : Une belle journée ensoleillée mais froide s’annonce. Mon maitre et moi effectuons la première balade du jour dans une campagne recouverte de givre. Le froid, moi, j’adore !
 
 
VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR
Les prévisions chocs 2024 avec Olivier Delamarche et Sylvain Tiger :
La Cour des Comptes française en veut aux stablecoins
Un rapport «Les cryptos actifs, une régulation à renforcer» propose des ajustements du cadre fiscal français en matière de crypto-actifs. Dans ce rapport, l’une des propositions les plus importantes concerne l’imposition des conversions de cryptomonnaies en stablecoins. Notons que l’utilisation de stablecoins pour l’achat de biens ou services pourrait ne pas être imposée, les traitant ainsi plus comme des monnaies que des actifs.Le traitement fiscal des NFT, actuellement considérés comme des actifs numériques, pourrait également être revu.
Les cryptomonnaies ne sont pas oubliées pour autant. En effet, l’analyse de la Cour des comptes ne se limite pas aux stablecoins et aux NFT. Le document de 88 pages couvre également d’autres aspects importants : contrôles renforcés des cryptomonnaies, coopération européenne pour l’harmonisation d’un cadre pour les cryptomonnaies, étude du lien entre les banques traditionnelles et le secteur crypto, étude de l’empreinte environnementale des cryptomonnaies. A suivre...
 
 
LE PETIT MANUEL DU RESISTANT
CSI (Conseil Scientifique Indépendant) N°132 du jeudi 25 janvier 2024, avec l’intervention de Viviane Cuendet, patiente experte et citoyenne suisse engagée, sur la recherche des données post-COVID fiables en Suisse (https://crowdbunker.com/v/2eLiXzWS)
 
 
ACTIVONS NOS NEURONES
Le monde agricole français est-il, lui aussi, condamné à disparaître, au nom d’un monde plus propre, moins pollué, qui est prêt à se tirer une balle dans le pied pour satisfaire les caprices de la commission européenne ?
Ces héros paysans à qui la France demanda après-guerre de mettre les bouchées doubles pour relancer l’agriculture et nourrir la France sont aujourd’hui méprisés, laissés pour compte, misant avec un certain humour sur le retournement des panneaux d’agglomérations pour rappeler à nos décideurs qu’on marche sur la tête.
Les diktats de Bruxelles et de Davos nous demandant de ne plus manger de viande de bœuf insupportent un nombre croissant d’éleveurs. D’autant plus que l’Europe, qui mène la vie dure à ses Etats membres, fait une fleur à la Nouvelle-Zélande en laissant entrer les produits néo-zélandais venant de l’autre bout du monde, des importations agricoles au coût de transport faramineux, à l’heure où les écolos traquent la moindre trace de méthane sortant du cul des vaches ! C’est le bouquet !
L’agriculture française ne nourrit plus son homme, excepté dans les grandes exploitations (lesquelles touchent d’ailleurs 80 % des aides financières). Fernand Raynaud (https://youtu.be/gH7xhjeKTnM) parlait déjà dans un de ses sketchs des difficultés des paysans. Il est vrai que sur un caddy de courses de 100€, il est difficile de faire vivre les agriculteurs lorsque seuls 6,50€ de ce chariot reviennent aux producteurs agricoles.
Parallèlement, les normes environnementales et européennes jugées trop contraignantes empêchent agriculteurs et éleveurs de faire leur beurre. Si l’on rajoute l’augmentation des coûts de production, des hausses qui ne sont pas répercutées sur les prix payés à ceux qui produisent la matière première, la goutte d’eau a récemment fait déborder le vase: le pacte vert sur la transition écologique, les contraintes de la PAC (obligeant les agriculteurs à maintenir en jachère 4 % de leurs surfaces cultivables) ou la directive sur les émissions industrielles, sans parler des contraintes européennes imposées au monde agricole sur l’usage durable des pesticides sont autant de (bonnes) raisons de faire monter le mécontentement.
Heureusement, les Français, qui ne sont pas dupes, se sont récemment prononcés à 94 % contre les importations de produits agricoles étrangers dans un sondage. Se souviendraient-ils qu’une écrasante majorité d’entre nous descend de la paysannerie ?
Mais en y réfléchissant, d’où viennent tous les problèmes ? De la servilité de ceux qui ont été élus pour nous représenter et qui… font le jeu de leurs propres intérêts (que penser de l'augmentation de 300€ du traitement mensuel des députés alors que certains de nos compatriotes ne mangent pas à leur faim?) et des intérêts anti-français. C’est tout simplement de la haute trahison envers notre peuple. A ceux qui en douteraient encore, donnez-moi un (seul) exemple de défense effective des intérêts de la France par nos élites.
Désormais, il ne reste plus qu’une chose à faire : boycotter les produits agricoles étrangers… et nos pires ennemis, nos élus!
 
 
DU COTE DE CHEZ NOUS
Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix: Devant Goliath, tout le monde n’est pas David (https://odysee.com/@campagnoltvl:2/enfants22:6)
 
 
MON JARDIN EN FEVRIER
Février peut changer du tout au tout : ou il est clément, ou il est très froid. Et il faudra bien sûr tenir compte des conditions météo réelles pour organiser son travail au jardin.
Concernant la pelouse : à part aérer le sol à l’aide de patins aérateurs, le moment n’est pas encore venu pour s’occuper de l’entretien du gazon.
Au jardin : planter les fleurs du printemps (pâquerettes, giroflées, myosotis), les fleurs de saison (jacinthes, narcisses, primevères et pensées), les rosiers à racines nues , les camélias et les haies de persistants (lauriers, buis et conifères). Nettoyer les géraniums hivernés, apporter de la cendre aux massifs de fleurs, et prendre toujours et encore soin des oiseaux.
Au potager : Trier ses semences (dates de péremption), préparer l’agencement de son potager, choisir et commander ses semences potagères, puis réaliser ses premiers semis en intérieur (tomates, poivrons, aubergines).
Au verger : terminer les plantations d’arbres fruitiers, hors période de gel, ainsi que la plantation d’arbustes à fruits rouges. Poursuivre le traitement des arbres fruitiers (frotter les troncs, bouillie bordelaise, apport de cendres).
Au jardin d’intérieur : augmenter progressivement l’arrosage des plantes (laisser sécher la terre de surface entre deux arrosages), retirer l’excédent d’eau des soucoupes placées sous les pots, ne pas arroser cactus et plantes grasses (ou alors une fois par mois si vous observez des signes de flétrissement du à un manque d’eau), tenir les plantes loin des radiateurs et prenez soin de vos plantes vertes et de vos orchidées (chiffon humide sur les feuilles, apport d’engrais espacés dans le temps pour les orchidées).
 
 
LE MUSEE DU MOIS
Le musée de l'hôtel-Dieu à Mantes-la-Jolie (78)
Installé depuis 1996 dans le bâtiment de l’ancien Hôtel-Dieu aux pieds de la Collégiale gothique, le musée de Mantes-la-Jolie a été intégralement refait à neuf en 2019. Bien que le musée existe depuis peu dans sa forme et à son emplacement actuels, l’histoire des collections qu’il conserve remonte au XIXème siècle.
Simultanément aux travaux de restauration menés sur la Collégiale, l’architecte mantais Alphonse Durand constitue à partir de 1851 un dépôt lapidaire en partie exposé au musée aujourd’hui. En 1909, la ville reçoit deux importants dons : la collection d’Auguste Mesnil, instituteur passionné d’Histoire naturelle et d’archéologie nationale, et celle du voyageur Victor Duhamel, qui fait bâtir à Mantes-la-Jolie un pavillon reprenant le style Louis XVI pour présenter sa collection à vocation universelle.
Aujourd’hui, la moitié du parcours permanent est consacrée au peintre Maximilien Luce (1858-1941) grâce à l’important don de son fils Frédéric Luce en 1971, complété depuis par de nombreuses acquisitions. Avec près de 380 peintures, dessins, estampes, coffrets ou céramiques, le musée de l’hôtel-Dieu conserve la plus importante collection consacrée à cet artiste.
Ce premier versement permettra de mettre à l’honneur l’œuvre de Maximilien Luce, peintre néo-impressionniste et anarchiste proche des grands artistes de son temps comme Georges Seurat, Paul Signac, Camille Pissarro, Henri-Edmond Cross mais aussi du critique d’art Félix Fénéon.
 
 
EXPOSITIONS
« Dans la Seine, Objets trouvés de la Préhistoire à nos jours » à partir du 31 janvier 2024, à Paris (75)
L’exposition dresse un portrait de la Seine parisienne à partir d’une série d’objets recueillis dans son lit ou sur ses berges, présentés dans le parcours des vestiges de la Crypte archéologique de l’île de la Cité, en plein centre de Paris. Ces objets, issus de recherches ou de collectes, rappellent les interactions entre l’homme et le fleuve depuis la Préhistoire. Illustrée par une iconographie variée ainsi que par des restitutions numériques, l’exposition réunit plusieurs chercheurs en archéologie et rassemble près de 150 objets recueillis dans la Seine, dont chacun raconte Paris.
Le fleuve qui a façonné Paris depuis les premières installations humaines jusqu’à nos jours a reçu quantité d’objets tombés, jetés, perdus, ou déplacés par les courants. Tous témoignent de l’histoire de la Seine, de son évolution, de ses aménagements et de ses paysages, mais aussi de ses populations successives, leurs modes de vie, leurs croyances ou leurs combats. Présentées de manière chronologique, ces découvertes sont aussi l’occasion d’expliquer les méthodes scientifiques utilisées dans l’interprétation et la datation des vestiges et des objets archéologiques.
L’exposition témoigne d’abord des installations humaines de l’époque préhistorique, sur les berges du fleuve, puis dans l’Antiquité, le temps de ses premiers aménagements réalisés par les Romains. Les périodes médiévale et moderne recueillent des armes, des ex-voto mais aussi des déchets. Aujourd’hui encore, des découvertes fortuites livrent des armes et fragments d’architecture. L’exposition explore aussi la Seine en amont et en aval de Paris, avec l’évocation de ses sources en Bourgogne, d’une pêcherie antique dans l’Aube, et d’un site paléolithique à Clichy-la Garenne.
A la Crypte archéologique de l’Ile de la Cité, 7 place Jean Paul II, à Paris (4ème)
«Anna Boch, un voyage impressionniste » du 3 février au 26 mai 2024, à Pont-Aven (29)
Le Musée de Pont-Aven, en partenariat avec le Mu.ZEE d’Ostende (Belgique) rend hommage à Anna Boch (Saint-Vaast, Belgique, 1848- Ixelles, Belgique, 1936), 175 ans après sa naissance.
L’exposition dresse le portrait multiple d’une artiste, mélomane, collectionneuse, mécène, voyageuse et passionnée d’architecture à la personnalité dynamique et avide de découvertes. Elle était la femme artiste la plus en vue de Belgique. Anna Boch a en effet mené une vie très indépendante, un choix rendu possible grâce à ses origines sociales et à la bienveillance familiale. Seule femme à avoir adhéré aux cercles artistiques Les XX et La Libre Esthétique, animés par son cousin Octave Maus, elle s’y est positionnée – fait rare pour l’époque – d’égale à égale avec ses confrères. Ensemble, ils se lancent dans l’aventure du néo-impressionnisme, alors incarné par Théo van Rysselberghe, Paul Signac et Georges Seurat. Ses tableaux lumineux illustrent sa recherche du trait et de la couleur. Sa passion de la nature l’a emmenée dans des coins reculés, rêvant de vivre dans une cabane, pour capter la beauté des paysages bucoliques. Amoureuse de la mer, elle a saisi la lumière et les reflets des côtes, notamment bretonnes, pour les transposer dans des compositions audacieuses. Anna Boch prend résolument toute sa place dans le post-impressionnisme des 19ème et 20ème siècles.
Au Musée de Pont-Aven, Place Julia, à Pont-Aven (29)
Autour de l'exposition « Quel chantier », jusqu'au 26 mai 2024, à Mulhouse (68)
Le musée de l’Impression sur étoffes vous offre une visite guidée de l’exposition temporaire « Quel chantier ! Inventaire et sauvegarde du musée de l’Impression sur étoffes » le dimanche 11 février à 15h, animée par le guide-conférencier Bruno Peyrelon.
L’inscription est gratuite mais obligatoire (billet d’entrée non inclus).
Au Musée de l’Impression sur étoffes, 14, rue Jean-Jacques Henner, à Mulhouse (68)
Rouverture de la fondation Bemberg, le 2 février 2024, à Toulouse (31)
Au terme de trois années de travaux, la fondation Bemberg rouvre ses portes avec un parcours repensé et une collection enrichie à l’Hôtel d’Assézat. Le visiteur y découvrira un vaste panorama de peintures et objets d’art, émaillé de grands noms avec toutefois une prédilection pour l’art de la Renaissance.
A l’Hôtel d’Assézat, Place d’Assézat, à Toulouse (31)
« Dans l'appartement de Léonce Rosenberg. De Chirico, Ernst, Léger, Picabia... » du 30 janvier au 19 mai 2024, à Paris (75)
« Dans l’appartement de Léonce Rosenberg. De Chirico, Ernst, Léger, Picabia… » offre une plongée inédite au cœur du lieu de vie conçu, entre 1928 et 1929, par le marchand et mécène Léonce Rosenberg, au 75 rue Longchamp à Paris. Associant tableaux d’artistes majeurs de l’Entre-deux-guerres à une sélection de meubles anciens et modernes, son aménagement témoignait d’une conception libre et moderne des arts décoratifs.
À nouveau réunis pour la première fois dans cette exposition au Musée national Picasso (Paris), à partir du 30 janvier 2024, une partie des tableaux et sculptures conçus pour ce lieu hors du commun retrouvent leur cohérence d’ensemble.
Au Musée national Picasso, 5 rue de Thorigny, à Paris (3ème)
 
 
FESTIVALS, FÊTES, EVENEMENTS & SALONS
Les Extatiques descendent dans les sous-sols de Paris La Défense, du 2 au 18 février 2024, à La Défense (92)
En surface, Paris La Défense est un vaste musée à ciel ouvert, avec ses 50 œuvres d’art accessibles à tous. Mais qui connait les dessous de cette immense dalle en béton ?
Cet hiver, les Extatiques – le rendez-vous incontournable des amateurs d’art contemporain au grand air - entraînent ses visiteurs dans les entrailles du plus grand quartier d’affaires d’Europe.
Du 2 au 18 février 2024, quelques 5000 m2 souterrains, habituellement fermés au public, vont prendre vie au rythme d’un parcours d’œuvres et d’installations imaginé par le collectif Interstices qui rassemble des artistes issus de l’exploration urbaine. Un lieu à la fois mythique et méconnu que les initiés surnomment la « cathédrale engloutie ».
Après un premier évènement artistique couronné de succès en février 2023, dans le cadre de Paris Face Cachée, la cathédrale entrouvre à nouveau ses portes pour permettre aux amateurs d’exploration urbaine de découvrir les installations monumentales, séries photos, peintures, sculptures, projections, œuvres numériques et cinétiques de 18 artistes qui jouent avec les volumes et les espaces.
Ce parcours - ponctué d’œuvres créées pour l’occasion - évoque la puissance de la nature reprenant ses droits dans des lieux abandonnés. Guidés par un médiateur, les petits groupes chemineront dans les dédales de la cavité pour une immersion entre ombre et lumière. Cet événement inédit sera aussi l’occasion de découvrir l’œuvre cachée de la Défense, le fameux « monstre » et l’atelier de Raymond Moretti.
Soirée spéciale « Les Dessous de la vie aquatique », le 14 février 2024, à Paris (75)
Le mercredi 14 février, profitez d’une soirée spéciale pour découvrir tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les animaux marins sans jamais oser le demander ! L’Aquarium tropical invite à suivre, dans une ambiance intimiste et tamisée, un parcours autour de la sexualité et la reproduction des poissons et des coraux. En couple, en date ou entre amis, venez vivre cette expérience à la fois immersive et éducative pour fêter la Saint-Valentin autrement.
Les humains n’ont pas le monopole de la drague, les animaux s’y connaissent aussi en parades amoureuses… et à ce jeu-là, les animaux marins ne sont pas les derniers. Aussi ludique qu’instructive, cette soirée spéciale à l’Aquarium tropical explore l’éventail des comportements amoureux des vivipares, ovipares et autres ovovivipares.
Que l’on soit aquariophile, novice ou simplement curieux, cette soirée spéciale permettra de(re)découvrir l’Aquarium tropical sous un autre jour. Le parcours créé à cette occasion met en lumière l’intimité de 14 espèces. En enrichissant son offre et en apportant davantage de connaissances sur la richesse du monde aquatique, l’Aquarium tropical affirme sa volonté de sensibiliser sur l’urgence de préserver le vivant.
Pour accompagner cette soirée spéciale, une coupe de champagne ou une boisson sans alcool sera offerte. Envie d’immortaliser votre soirée ou de partager votre amour ? Une boîte à mots et un photocall seront proposés toute la soirée.
Cet évènement est sur réservation, le 14 février 2024, de 18h30 à 21h15.
Au Palais de la Porte Dorée, Aquarium tropical, 193 Avenue Daumesnil, à Paris (12ème)
Samaritaine Paris : Venise en tête à tête, du 7 février au 23 avril 2024, à Paris (75)
D’un côté la Samaritaine, destination parisienne, de l’autre le Fondaco Dei Tedeschi, à Venise. Sous l’aile du groupe DFS, leader du produit de luxe, ces deux magasins sont réunis pour la première fois pour un tête-à-tête entre les deux villes, véritable ode à leurs cultures et leurs savoir-faire.
Pour ce début d’année 2024, les portes de la Samaritaine s’ouvrent sur les bâtiments et quartiers emblématiques de Venise qui s’invitent à chaque recoin du grand magasin. Le grand canal, le pont des Soupirs et la gare de Venise-Santa-Lucia révèlent leur charme et s’immiscent entre les murs très parisiens de la Samaritaine.
Qui se ressemble s’assemble ! De la gastronomie à la peinture, en passant par la mode ou un sens inné de l’hospitalité et de l’amour, Paris et Venise ont aussi un goût prononcé pour le mystère, dont leurs rues sont imprégnées. Un décor propice à l’aventure, qui a souvent inspiré la littérature et le cinéma.
A La Samaritaine, 9 rue de la Monnaie, à Paris (1er)
 
 
MUSIQUE
Concert flûte et harpe « Napoléon et l'Orient », le 4 février 2024, à Alençon (61)
Le programme retrace un parcours dans le temps, avec des compositeurs européens que Napoléon a pu rencontrer de son vivant et d’autres compositeurs issus du courant Orientalisme qui fit suite à l’Expédition en Égypte. Il fera également la part belle à un Orient Réel. Le duo interprétera ainsi des airs, choisis parmi des extraits d’opéras et de musiques instrumentales, de Mozart, Zingarelli, Berlioz, Bizet, Rimsky-Korsakov, Debussy, Jules Massenet... mais également une composition de Kouchyar Shahroudi, L’Oiseau mythique (2023).
Gratuit dans la limite des places disponibles. Durée : 1 heure.
Au Musée des Beaux-arts et de la Dentelle, Cour carrée de la Dentelle, à Alençon (61)
250ème anniversaire de la mort de Charles-Marie de La Condamine (4 février 1774)
Explorateur, scientifique, astronome et encyclopédiste du XVIIIème siècle, Charles-Marie de La Condamine sera membre de plusieurs académies (Académie royale des sciences de Paris, Académie de Stanislas de Nancy, Académies de Berlin, Saint-Pétersbourg, Bologne, Cortone) et de la Société royale de Londres.
Elu à l’Académie française en 1760, il sera reçu par Buffon.
Célèbre pour avoir mené une expédition géodésique française en Equateur, de 1735 à 1743, pour mesurer trois degrés du méridien afin de déterminer la figure de la Terre, il est également connu en tant que défenseur engagé dans l’inoculation contre la variole.
Par son apport sur la botanique, la zoologie et la géographie de l’Equateur et de l’Amazonie, il sera considéré comme un précurseur de Humbolt.
 
 
INFOS PRATIQUES
Les 13 infractions les plus simples à contester
Recevoir une contravention sans avoir été interpellé ou flashé par un radar automatique, ou « PV à la volée ». On peut éviter le retrait de points en commençant par ne pas payer l’amende. L’article L121-3 du code de la route précise que le titulaire du certificat d’immatriculation est financièrement responsable de l’amende, SAUF s’il prouve un vol, un évènement de force majeure, ou qu’il n’est pas l’auteur véritable de l’infraction. Un PV à la volée peut être contesté en cas de vol, destruction, cession, vente, usurpation de plaques, prêt ou location du véhicule avec désignation de l’auteur de l’infraction, ou contestation de la réalité de l’infraction.
Une requête d’exonération doit alors être adressée à l’Officier du Ministère public (OMP) par lettre recommandée avec accusé de réception dans les 45 jours en cas d’amende forfaitaire et dans les 30 jours en cas d’amende majorée. Joindre l’avis de contravention, une lettre explicative et la consignation.
Les 13 infractions les plus faciles à contester sont :
- Les signalisations imposant l’arrêt (non-respect du feu rouge, du feu orange ou de l’arrêt au stop)
- Le non-respect des distances de sécurité.
- L’obligation d’être couvert par une assurance garantissant la responsabilité civile.
- Le non-respect des vitesses maximales autorisées.
- La circulation en sens interdit.
- L’usage du téléphone tenu en main ou le port d’une oreillette au volant.
- Le non-port de la ceinture de sécurité.
- Le non-port d’un casque homologué.
- Le non-respect de la priorité de passage à l’égard d’un piéton
- Le franchissement des lignes continues.
- L’usage de voies et de chaussées réservées.
- L’arrêt, la circulation ou le stationnement sur les bandes d’arrêt d’urgence
- Le port d’une plaque d’immatriculation non conforme
 
 
TOURISME
Les sept plus grands marchés du monde, selon Civitatis
Quoi de mieux, lorsqu'on visite une ville, que de se perdre parmi les allées des étals de son marché ? Une visite incontournable pour connaître en profondeur la culture d'un pays. On y trouve toutes sortes d'objets : de la nourriture locale, des vêtements, de l’artisanat, des parfums, des objets d'occasion... Dans cette sélection des plus grands marchés du monde établie par Civitatis, vous découvrirez ceux où flâner dans leurs allées, devient une véritable aventure au cœur de la culture de la destination :
- Marché de Yiwu (Futian, Chine)
Le marché de Futian, aussi appelé marché de Yiwu, est le plus grand marché de gros du monde, avec ses 5,5 millions de mètres carrés et ses 7 kilomètres d'extension. On y trouve la plupart des produits de tous les bazars chinois du monde, principalement des cadeaux, des jouets, des montres, des accessoires, des vêtements, des articles de décoration et de l'électronique - tout cela - en gros. Inutile de dire qu’il faudrait plusieurs jours pour tout voir.
- Central de Abastos (Mexico City, Mexique)
Le Central de Abastos (CEDA) de la ville de Mexico - le plus grand marché de produits frais au monde - figure en bonne place sur cette liste des plus grands marchés. Ses étals s'étendent sur une superficie de 327 hectares, où l'on trouve de tout, des produits alimentaires aux voitures de location. Pour vous faire une meilleure idée, il est plus vaste que l’État de Monaco. Dans ses allées, vous croiserez plus de 70 000 employés qui fourmillent avec des diables chargés de marchandises.
- Grand Bazar d’Istanbul (Turquie)
Le Grand Bazar d'Istanbul est l'un des plus grands et des plus célèbres marchés du monde. Situé dans la vieille ville, il s'étend sur 64 rues et est accessible par 22 portes. Comme la plupart des souks, il est organisé par corps de métiers, de sorte que les bijoutiers, les fourreurs, les chapeliers et d'autres artisans exposent leurs marchandises dans les mêmes rues.
Ses origines remontent à 1455, lorsque Mehmet II construisit un bazar à côté de son palais, autour duquel des ateliers d'artisans commencèrent à se développer. Les commerces proliférèrent peu à peu, puis les rues furent couvertes et une muraille fut construite autour.
- Marché de Tsukiji (Tokyo, Japon)
Attention aux amateurs de sushis. Si vous souhaitez connaître l’un des meilleurs endroits au monde où déguster ce mets japonais, les environs du marché de Tsukiji - le plus grand marché aux poissons du monde - sont un passage obligé. Il compte plus de 450 espèces différentes de fruits de mer et de poissons, et son histoire remonte au XVIème siècle.
L'un des temps forts dans le quotidien de ce marché à Tokyo est la vente aux enchères de thon. Entre 5h00 et 6h15 du matin, des tonnes de thon sont vendues aux enchères chaque jour. Attention, pour y assister, il faut se lever tôt !
- Marché de Chatuchak (Bangkok, Thaïlande)
Chatuchak, à Bangkok, est un autre des plus grands marchés du monde. Sur ses 140 000 mètres carrés, on trouve de tout : de la nourriture, des plantes, de l'artisanat, des meubles, de l'art et même des animaux domestiques. Le marchandage est monnaie courante sur ce marché, il est donc possible d'obtenir un bon prix si l'on sait négocier. À noter, il n'est ouvert que les week-ends et les jours fériés.
Dans sa section alimentaire, vous trouverez des stands de street food avec des spécialités thaïlandaises et, bien sûr, les fameux snacks d'insectes. Un scorpion grillé vous tente ?
- Merkato d’Addis-Abeba (Ethiopie)
Merkato, également appelé Addis Ketema (Nouvelle ville) est un marché en plein air situé à Addis-Abeba, la capitale de l'Éthiopie. Il s'agit du plus grand marché en plein air d'Afrique, spécialisé dans les produits agricoles locaux tels que le café, les tubercules et les épices.
Ses origines remontent à l'époque de la colonisation italienne de l'Éthiopie, entre 1936 et 1947, d'où le nom de mercato (marché en italien). Aujourd'hui, il occupe tout un quartier d'environ 15 hectares.
- Queen Victoria Market (Melbourne, Australie)
Le Queen Victoria Market s'étend sur 7 hectares et est le plus grand marché de l'hémisphère sud. Impressionnant, n'est-ce pas ? Il a ouvert ses portes en mars 1898 et, grâce à l'expansion du commerce, il s'est rapidement développé pour devenir ce qu'il est aujourd'hui : l'une des plus grandes attractions touristiques de Melbourne, le centre de sa vie nocturne et de sa culture. Le gouvernement australien tente d'ailleurs de le faire inscrire au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Bienvenue en Hautes-Vosges (88) !
Si l'idée des vacances d'hiver évoque invariablement les longues journées de ski, pourquoi ne pas envisager une approche différente cette année ? Les Hautes Vosges attendent les férus de grands espaces pour une expérience authentique et nouvelle. Zoom sur les activités à découvrir sans plus attendre :
- Glissade en airboard
Direction l'auberge de la Drosera avec Emeric Bourlier pour profiter des descentes en airboard. C’est l’occasion de s’imaginer être dans la peau d’un pingouin sur la banquise, dévalant à toute vitesse les pentes depuis La Drosera, au pied du tremplin des Bas-Rupts.
20 chemin des Haut-Rupts - 88400 Gérardmer
2h : 30 €/personne – Groupe (mininum 10) : 25 €/personne
- Promenades en Segway
Partir à la Gyrovosges pour des balades en Segway, des explorations urbaines et des randonnées à la découverte des Vosges. C'est une opportunité de savourer le paysage d'une manière nouvelle.
Le Fatbike aux côtés de Laurent Cahonour pour explorer en douceur les territoires, une expérience ouverte à tous les niveaux. Cette activité dissipe toutes les excuses pour ne pas chausser ses baskets.
Sylvie Triboulot invite les non-skieurs à explorer les Hautes Vosges à pied. De la découverte de la flore à l'observation des chamois, des balades inédites attendent les vacanciers.
Montée de la Chapelle, Route de Menaurupt - 88400 Gerardmer
Randonnées entre 16€ et 20€
- Balades à Cheval
Les Écuries du Vent des Champs invitent ses vacanciers à partager des randonnées équestres entre lacs et montagnes pour tous les niveaux. Une véritable découverte des paysages, de l'artisanat et de la gastronomie locale en fermes auberges.
Cycle de conférences « L'aventure impressionniste », du 11 janvier au 27 juin 2024, à Paris (75)
À l'occasion des 150 ans de la première exposition impressionniste et en lien avec l'exposition « Paris 1874 », un cycle de conférencestout public aborde l'impressionnisme sous un angle neuf et dynamique. La seconde conférence, qui aura lieu le 8 février, à 19h00, à l’auditorium du musée d’Orsay, nous fait traverser les saisonspuisque les artistes impressionnistes sont les maitres dans l'art de les représenter. Entre géographie, histoire du climat et histoire de l'art, Alexis Metzger, enseignant-chercheur à l'Ecole de la nature et du paysage de Blois examinera plus attentivement les hivers impressionnistes, rappels des glaces et neiges d'antan.
A l’Auditorium du musée d’Orsay, Esplanade Valéry Giscard d’Estaing, à Paris (7ème)
 
REPORTAGE DE LA SEMAINE
Exposition "Cabarets" (Centre national du Costume et de la Scène, Moulins, Allier, France) L'exposition « Cabarets », présentée jusqu''au 30 avril prochain par le Centre national du costume et de la scène de Moulins (03) a de quoi nous faire rêver. 120 costumes en provenance de maisons historiques comme le Paradis Latin, le Moulin Rouge, le Lido, le Crazy Horse ou Chez Michou mais aussi d'autres artistes indépendants, illustrent le spectre de la création depuis l'excellence des métiers d'art, ateliers spécialisés, créateurs haute couture, jusqu'à celle de la débrouille astucieuse où tout est mis en ?uvre pour permettre au public de passer une soirée d'exception, loin des turpitudes quotidiennes.
Le visiteur est ainsi convié à une (re)découverte d'un cabaret à la fois élégant et insolent, agrémentée de grandes figures comme celles de Zizi Jeanmaire, Line Renaud, Jean-Marie Rivière, Michou, Dita Von Teese, sans oublier les créatures fantasques actuelles comme la Big Bertha, l'Oiseau Joli, Kiki Béguin, Miss Knife...
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