Si notre pays a été mille ans durant la première puissance mondiale, c'est bien à l'agriculture qu'elle le doit. La première souveraineté d'une nation doit être son agriculture, pour ne dépendre en aucun cas des autres. Une agriculture florissante permit ainsi à la France d'exercer sans partage une suprématie durable, en levant des armées et en assurant son intendance.
Notre vieille nation est le pays le plus peuplé d'Europe, le plus puissant et le plus redouté grâce à son patrimoine agricole qui équivaut à une force de frappe.
Il faut remonter à 1851 lorsque Napoléon III lance le pays dans une révolution industrielle, et dépeuple les campagnes pour fournir de la main d'oeuvre à cette nouvelle activité. Premier exode rural et premier coup porté à la paysannerie.
Deuxième attaque : la guerre de 1914-18, véritable boucherie qui emportera 1 300 000 hommes dans la force de l'âge, dont plus de 900 000 jeunes paysans. La population agricole passe alors de 13 millions en 1920...à 10 millions en 1950 (année où le nombre de fermes en activité s'élève à 2,28 millions contre? 389000 en 2022). Cette année-là, les terres agricoles passent également de 72 % du territoire à 48 % en 2020.
En 1962, le général De Gaulle, fondateur de la Vème République, confiera à Edgar Pisani le soin de faire de l'agriculture une force économique (face à une Allemagne qui se réindustrialise). Et nos gouvernants de s'inspirer (à tort) du modèle américain, à savoir appliquer à l'agriculture une logique industrielle en transformant la ferme en usine et le paysan en ouvrier agricole. C'est là qu'est l'os : ce modèle qui convenait parfaitement au continent nord-américain compte tenu de son étendue ne pouvait pas s'adapter à la France, constituée d'exploitations agricoles plus petites. Ce plan Pisani sera la sottise qu'il ne fallait pas faire : au nom du remembrement pour augmenter la surface des terres cultivables, on arrachera les haies et on comblera les fossés jusqu'à défigurer pour de bon cette France chère à nos aïeux. La FNSEA, fondée en 1946, participera au désastre en encourageant la modernisation intensive des campagnes, en co-gestion avec le ministère d'Agriculture (ceci peut expliquer cela, comme les accointances de ce syndicat avec les élites en place, dénoncées par certains paysans).
Ce plan Pisani donnera naissance à la PAC (Politique agricole commune) dont on martèlera qu'elle « a sauvé » l'agriculture française. Arrive 1973, année où l'agriculture française est jetée en pâture à la globalisation dérégulée avec l'extension des accords du GATT (traité sur les tarifs douaniers et le commerce). En résumé de ce premier acte : PAC et GATT encouragent ce productivisme agricole avec la bénédiction de la FNSEA.
Deuxième acte : qui dit productivisme dit industrie agro-alimentaire et grande distribution. Ces deux-là sont déjà en embuscade, et attendent leur heure sachant que la fortune n'est plus qu'une question de temps. En face, les agriculteurs seront bien seuls pour défendre leur activité ancestrale et leurs revenus. En effet les deux acteurs cités plus haut deviennent de gros clients et n'hésitent pas à dicter leur loi tarifaire aux producteurs agricoles, en ne payant par exemple ces derniers qu'après avoir déjà encaissé les bénéfices des produits venus. Eh oui, c'est cela le libéralisme !
Troisième acte : l'Union européenne, favorable aux plus gros acteurs, avec à sa tête un Jacques Delors adulant le néolibéralisme triomphant tout en promettant bonheur et prospérité aux agriculteurs, en 1992, année du référendum sur le Traité de Maastricht (dont le résultat - 55 % contre ce traité -, sera remis en question par le triste sire qui nous sert alors de président!). Un scandale !
Résumons-nous : d'un côté, la paysannerie française, titulaire de la connaissance agricole et du savoir-faire ancestrale qui fit de la France une véritable puissance économique. De l'autre, des leurres mortels comme le dépeuplement des campagnes, un syndicat agricole, faux-frère, plus préoccupé de ses propres intérêts que de ceux des agriculteurs qu'il représente, un Pisani (véritable pis-aller qui signera l'arrêt de mort de la paysannerie française en se prenant pour un yankee) et les puissants acteurs du libéralisme, l'industrie agro-alimentaire, la grande distribution, et l'Union européenne, soutenue par nos dirigeants politiques, opportunistes par définition, qui suivent systématiquement les vents porteurs en fonction de leurs propres intérêts.
Comment voulez-vous que nos paysans s'en sortent ? En France, « Big is beautiful* »(ce qui est grand est beau) et seul compte le productivisme. Peu importe que 80 % des fonds de la PAC aillent aux agriculteurs les plus aisés (dont le Prince de Monaco, qui possède 2000 hectares de château de Marchais dans l'Aisne et qui palpe 300 000? de subventions européennes par an), laissant les petits agriculteurs se partager les 20 % restants. Rajoutez à cela les normes et règlements divers, avec application de pénalités en cas de non-respect des procédures, et l'on ne s'étonne plus de compter un suicide tous les deux jours dans cette profession.
Il reste les Français, dont une très forte majorité a des racines paysannes, pour soutenir nos paysans. Mangeons moins mais mieux, boycottons systématiquement les produits étrangers de façon à ce que poulets brésiliens, cerises chiliennes et mouton néo-zélandais pourrissent sur place dans les cours des préfectures ou dans les permanences de la FNSEA et des élus politiques qui soutiennent le génocide programmé de l'agriculture française. Harcelons les services consommateurs de grandes marques agro-alimentaires dès lors qu'une étiquette ne répond pas aux normes attendues, avec dépôt de plainte systématique auprès de la DGCCRF, sollicitons quotidiennement nos députés sur la qualité déplorable des produits d'importation et rappelons-leur le non-respect par un de leurs semblable du résultat du référendum par les Français, signons des pétitions pour faire du bruit et les rappeler à leurs responsabilités.
Arrêtons le « toujours plus » et plébiscitons le « toujours mieux ». Ecrivons à nos élus députés et sénateurs pour que l'agriculture « artisanale » soit inscrite au patrimoine de l'UNESCO et devienne intouchable par les géants productivistes, refusons la vente de terres agricoles à des Etats et/ou des entités étrangères en inscrivant ces territoires comme « bien national ». Etudions l'opportunité juridique de diviser une petite exploitation en centaines ou milliers de parts dont les Français feraient l'acquisition, afin de bloquer tout rachat ultérieur par des entreprises financières, ou étrangères. Signons aussi des pétitions (https://les-patriotes.fr/non-a-laccord-avec-le-mercosur-et-denonciation-des-accords-de-libre-echange/, par exemple).
Même seuls, chez soi, avec une forte détermination, un esprit de résistance et avec plein d'idées, nous pouvons encore sauver ce joyau national qu'est le patrimoine agricole français ! Pas touche aux bijoux de famille.
 
LE CLIN D'OEIL DU MOMENT
A l'approche du Salon international de l'agriculture, une nouvelle application vient de naître : « Dans les Bottes »
Face aux défis de l'agriculture contemporaine et à un désir croissant de reconnexion avec le monde rural, l'application "Dans les Bottes" apparaît comme une solution innovante. Créée par Thierry Bailliet, un agriculteur visionnaire, elle propose une immersion unique dans la vie agricole combinant éducation, divertissement et agritourisme."Dans les Bottes" répond à une double nécessité : informer sur les nouvelles pratiques agricoles et répondre à l'aspiration du public à mieux comprendre et se reconnecter avec le monde rural. Un récent sondage révèle un intérêt marqué pour des expériences authentiques au sein des exploitations agricoles, témoignant d'une volonté de découvrir les réalités du terrain.
Que ce soit pour un simple tour de ferme ou pour des activites plus impliquantes comme la traite des vaches ou un tour en tracteur, "Dans les Bottes" offre a chacun la chance de vivre le quotidien d'un agriculteur. Ces experiences permettent non seulement de comprendre les realites de l'agriculture, mais aussi de creer des liens durables avec ceux qui nourrissent notre pays.
En ces temps ou l'agriculture fait face a des defis sans precedent, "Dans les Bottes" sert de pont entre le grand public et les agriculteurs. Elle permet une meilleure comprehension des enjeux actuels et futurs de l'agriculture, tout en offrant une experience concrete, educative et pour tous les budgets.
"Dans les Bottes" est le fruit de la vision de Thierry Bailliet, un agriculteur engage du Nord-Pas-de-Calais et un pionnier de la communication agricole sur YouTube. Sa motivation pour creer cette application decoule d'une experience personnelle marquante : le harcelement de son fils du a son metier d'agriculteur. Thierry a transforme cette epreuve en une force, en devenant AgriYoutubeur pour combattre les idees recues sur l'agriculture. Aujourd'hui, avec "Dans les Bottes", il poursuit cet engagement en favorisant une comprehension et une connexion plus profondes entre le grand public et le monde agricole.
Benjamin est un jeune Américain qui adore l’Arctique et tout particulièrement l’archipel de Svalbard, l’une des terres les plus au nord de notre planète, située à seulement mille kilomètres du pôle Nord. Là se dressent des pics montagneux face à l’océan Arctique, des glaciers, des aurores boréales et des milliers d’ours polaires en liberté.
Chef cuisinier, il a décidé de s’y rendre pour y vivre en s’inspirant de la permaculture, prendre soin de soi tout en respectant l’environnement et de transformer les problèmes en...opportunités !
Nous qui vivons dans un climat tempéré nous plaignons parfois d’un hiver trop long. En Arctique, c’est l’hiver tous les jours et cultiver la terre dans une nature composée de 60 % de glace, 30 % de roches montagneuses et à peine 10 % de végétation, relève d’une véritable prouesse. Et pourtant, Benjamin est parvenu à installer une serre permacole : il y cultive tout l’année légumes, graines germées, herbes aromatiques, radis, choux et œufs de caille.
Il dispose ainsi, depuis 2015, d’une petite ferme polaire installée à Longyearbyen, principale ville de l’archipel de Svalbard. Un dôme lui sert de serre pour les cultures estivales et un laboratoire intérieur est utilisé comme potager hivernal. Au programme : compost, hydroponie,et lampes LED basse consommation. Aujourd’hui, Benjamin est toujours au stade de l’expérimentation pour plusieurs techniques destinées à terme à permettre de développer des cultures locales pour remplacer les légumes importés d’ailleurs qui n’offrent pas du tout le même goût.
Son ambition ultime reste cependant de participer à la construction d’un modèle circulaire et durable pour toute la communauté locale, en récupérant par exemple les déchets organiques pour les transformer en compost au lieu de les jeter à la mer. Et au-delà, d’assurer à la petite ville de Svalbard une certaine indépendance alimentaire, elle qui importe jusqu’ici ses légumes. Un beau projet que nous suivrons avec attention !
Dimanche 4 février 2024 : Mon maitre et moi sommes allés au Mont Saint Michel pour jouer à la baballe.
Lundi 5 février 2024 : Lors de mes promenades nocturnes, je tire encore sur ma laisse, ce qui exaspère mon maitre
Mardi 6 février 2024 : Balade au Mont-Dol par temps de tempête. Ça décoiffe !
Mercredi 7 février 2024 : Ma première sortie a lieu sous la pluie et avec un vent soufflant en tempête
Vendredi 9 février 2024 :J’ai sauté par dessus un fossé rempli d’eau d’ un mètre cinquante sous les yeux perplexes de mon maitre.
Samedi 10 février 2024 : J’ai profité d’un instant d’inattention de mon maitre pour avaler son assiette de saumon fumé. Ce qui m’a valu une raclée dont je me souviendrai longtemps et le sobriquet de « voleur »
Projet de loi MICA : véritable avancée crypto ou erreur de débutant ?
L’Europe aime rappeler au reste du monde qu’elle sera la première juridiction de son envergure à imposer un cadre légal au secteur des crypto actifs. Mais être le premier n’a véritablement de valeur que dans une salle de classe… et encore. Car lorsqu’il s’agit de l’innovation, c’est avant tout le meilleur qui l’emporte.
Et dans le domaine, le projet de loi MiCA pointe souvent aux abonnés absents. Car plus sa mise en application approche, plus cet outil d’accompagnement se transforme en une sorte de matraque prête à punir le moindre contrevenant. Alors que dans le même temps, l’obtention du statut de prestataire de service sur actif numérique (PSAN) ferait fuir même le plus enthousiaste des juristes.
Une fuite justement pointée du doigt dans le dernier rapport de la structure 21Shares. Un document intitulé « State of Crypto » (état des lieux crypto), au sein duquel elle aborde la course actuelle à la réglementation des cryptomonnaies. Avec cette simple question : qui va l’emporter ?
« Les choses ne semblent pas si claires pour l’Union européenne. Alors que la réglementation du marché des crypto-actifs (MiCA) peut aider les fournisseurs de services centralisés à s’engager plus efficacement dans des opérations commerciales, la clause du Data Act visant à mettre fin aux smart contracts peut éloigner les développeurs de blockchain ».
 
 
LE PETIT MANUEL DU RESISTANT
CSI (Conseil Scientifique Indépendant) N°134 du jeudi 8 février 2024 : l’invité est Denis Rancourt, PhD, physicien et scientifique interdisciplinaire, qui traite du thème suivant : Cause de surmortalité mondiale et pourquoi une campagne COVID ? (https://crowdbunker.com/v/yeHA2p1e)
 
 
ACTIVONS NOS NEURONES
On dira tout ce qu’on voudra mais en matière de livraison, ma préférence va de très loin à Amazon. Friand des commandes sur internet (trainer dans les magasins est pour moi une vraie corvée!), cela fait des années que je suis client chez Amazon France, filiale de ce géant américain dont la capitalisation dépasse aujourd’hui les 1700 milliards de dollars.
En tant que client, je veux que ce soit simple rapide et abordable :
- Passer une commande chez Amazon France est simple et je sais qu’en cas de problème sur un produit, je peux le retourner gratuitement sans avancer un seul euro. Je serai alors remboursé rapidement et sans discussion. De plus, le service clients d’Amazon France est bien supérieur à son homologue espagnol.
- Passer une commande, c’est bien mais la recevoir rapidement, c’est essentiel. Pour les produits livrés par Amazon, il n’y a rien à redire. Contrairement aux autres livreurs (Colissimo, Chronopost, TNT, UPS, DHL...et j’en passe qui oeuvrent dans l’hexagone) qui s’arrêtent de travailler le week-end (cette remarque vaut aussi pour les services clients de bien des marques françaises), Amazon livre le dimanche. Et sans supplément de prix. D’ailleurs, la réduction des délais de livraison ainsi que le développement de sa propre flotte de camions ont dopé les résultats de l’entreprise l’année dernière.
- Passer une commande sans dépenser une fortune, ça me va. Je ne recherche pas le moins cher du moins cher mais un bon rapport qualité/prix. Le large choix de produits disponibles est aussi déterminant.
Quelques regrets cependant, dont j’ai déjà fait part aux équipes d’Amazon :
- L’ouverture de la vitrine Amazon aux produits MarketPlace, ne me semble pas une bonne idée. MarketPlace est pour moi le ramasse-tout international du pire comme du meilleur (pour ma part, mes mauvaises expériences avec Amazon concernent toujours des produits émanant de MarketPlace, des expériences malheureuses qui trouvent la plupart du temps une issue favorable grâce à l’intervention des agents clientèle d’Amazon)
- En temps qu’expatrié au Portugal, je ne peux malheureusement plus profité de mon abonnement Prime d’Amazon France (et pas davantage de celui d’Amazon Espagne) et dois me résoudre à m’acquitter de frais de livraison non négligeables. Pourquoi ne pas proposer aux Français expatriés (nous serons de plus en plus nombreux dans ce cas au cours des prochaines années) une version Prime expat pour ceux qui, comme moi, ont choisi de partir dans un pays où l’enseigne Amazon n’existe pas ? Cette formule permettrait à la marque de conserver ses clients grâce à cet effort sur les couts de livraison et les clients se résigneraient à payer un forfait annuel Prime plus cher pour participer de leur côté au surcout occasionné. C’est ce qu’on appelle couper la poire en deux.
- A quand Amazon Portugal ? J’ai émis cette idée au service clientèle d’Amazon France, en leur promettant de figurer parmi leurs premiers clients en cas d’installation de l’enseigne dans ce beau pays. La marque pourrait compter sur un nombre croissant d’expatriés français, qui étaient eux aussi parfois clients d’Amazon France. A suivre !
Pour terminer, et parce qu’il est toujours intéressant de savoir comment se porte son enseigne favorite, penchons-nous sur les résultats récents d’Amazon : les restructurations préconisées par le patron d’Amazon, Andy Jassy (successeur de Jeff Bezos) ont porté leurs fruits (profits trimestriels nets, fin 2023, les plus élevés depuis deux ans, revenus de 575 milliards de dollars, dont un bénéfice net de 30, 4 milliards de dollars). Certes, l’enseigne a ajusté les effectifs de ses troupes (-27000 personnes en 2023) mais emploie toujours 1,53 million d’employés. D’autre part, la réorganisation des centres de traitement des commandes a permis de réduire les délais de livraison et le développement de sa propre flotte de camions permet désormais à Amazon de livrer plus de colis que...UPS. AWS (Amazon Web Services) reste pour l’instant le principal moteur du groupe avec 7,2 milliards de dollars de profits sur une hausse de chiffre d’affaires de 13 %. Quant à l’IA (intelligence artificielle), elle devrait soutenir cette reprise en s’intégrant aux offres du cloud.
 
 
DU CÔTE DE CHEZ NOUS
Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix: La cocaïne gouverne ceux qui vous gouvernent (https://odysee.com/@campagnoltvl:2/rennes22:0)
 
 
FESTIVALS, FÊTES, EVENEMENTS & SALONS
Spectacle immersif « Luminiscence » du 16 février au 25 mai 2024, à Paris (75)
Après Bordeaux, l’expérience immersive Luminiscence s’installe bientôt au coeur de la capitale, à l’église Saint-Eustache à Paris (1er). L’occasion de célébrer les 800 ans de cette paroisse à travers une expérience multisensorielle dans une des églises les plus iconiques.
Voulue par François Ier comme l’équivalent de Notre-Dame sur la rive droite, la construction de l’église Saint-Eustache s’étale sur plus de cent ans, avant de connaître des remaniements au fil des siècles par Jean Hardouin-Mansart de Jouy, Victor Baltard, ...
L’église Saint-Eustache était fréquentée à la fois par le peuple des Halles et par des personnalités clés de l’histoire de France. Molière et Richelieu y ont été baptisés, Louis XIV y a fait sa première communion, Sully et Lully s’y sont mariés et les funérailles de la mère de Mozart, de La Fontaine et que Colbert s’y déroulèrent.
Les projections vidéo à 360 degrés subliment les qualités architecturales et les vitraux de Saint-Eustache, depuis son emprise majestueuse au sol jusqu’à l’élancement de ses voûtes à plus de 30 mètres de hauteur.
LUMINISCENCE révèle la richesse du patrimoine bâti de l’édifice entre gothique flamboyant et style Renaissance. La bande sonore, spatialisée en 3D, guide le public à travers l’acoustique exceptionnelle de l’église, ajoutant une dimension musicale unique à l’expérience.
A l’église Saint-Eustache, 2 Impasse Saint-Eustache, à Paris (1er)
Pierre Frey : tissus, papiers peints, tapis et mobilier, le 17 février 2024, à Paris (75)
Histoire de la maison Pierre Frey, fondée en 1935 et spécialisée dans les arts du textile d'ameublement, retracée en présence de Patrick FREY, à l'occasion de la parution de l'ouvrage sur l'entreprise familiale aux éditions Flammarion.
Des brocards et damas enchanteurs, des velours de soie lumineux tissés à la main, des imprimés traditionnels à la planche de bois, ainsi que des motifs contemporains éclatants, conçus comme de véritables œuvres d’art : Pierre Frey, une entreprise familiale fondée en 1935, est célèbre pour la diversité et l’audace de ses créations. Elle s’est affirmée dans le monde du luxe comme le maître incontestable des tissus d’ameublement et des papiers peints à l’échelle mondiale. Après avoir acquis les vénérables maisons Braquenié, Le Manach et Thorp of London, elle possède l’un des plus importants patrimoines textiles privés au monde, et collabore aussi bien avec le Louvre qu’avec le château de Versailles. Elle décore des châteaux et fournit des tissus et papiers peints contemporains et traditionnels pour d’élégantes demeures privées.
rencontre suivie de la vente dédicace de l'ouvrage
Le samedi 17 février 2024, de 15h30 à 17h00. Accès gratuit.
A la Bibliothèque Forney, 1 rue du Figuier, à Paris (4ème)
Corso fleuri, les 17 et 18 février 2024, à Bormes-les-Mimosas (83)
Dimanche 18 fevrier 2024, Bormes les Mimosas accueillera la 84eme edition du Corso Fleuri.
Au cœur du village medieval, veritable perle nichee dans un ecrin de verdure, 8 chars et 8 troupes d’animation vont s'elancer sous le regard de plusieurs milliers de spectateurs.
Mimosas, gerberas, oeillets, germinis, bruyeres... Ce sont quelques 100 000 fleurs qui viendront orner les carcasses imaginees et soudees par les equipes de benevoles.
Une tradition que perpetuent depuis 1920 des generations de Bormeennes et de Bormeens avec ferveur et bonne humeur.
Animations et deambulations des 10h
Presence des mascottes du Corso - Mimo & Zaza
Defile des 8 chars et 8 troupes ds 14h
Bataille de fleurs - 16h/16h30
 
 
EXPOSITIONS
Derniers jours de l'exposition « Afrique, mille vies d'objets » jusqu'au 18 février 2024, à Lyon (69)
Avec l’exposition Afrique, mille vies d’objets, le musee des Confluences s’interesse aux trajectoires de vie des masques, statuettes et autres objets ayant compose la collection d’Ewa et Yves Develon. Du processus de creation a leur usage, de l’objet rituel a l’œuvre d’art, de l’Afrique a l’Europe, de la collection privee au musee, ces œuvres ont vu se poser sur elles une diversite de regards, de statuts et de valeurs.
Presentant plus de 200 objets d’une grande variete de formes et de styles, l’exposition revient aux sources de leur creation, en Afrique. Des gestes des sculpteurs a leurs sources d’inspiration, la sculpture africaine temoigne aussi de l’etroite relation entre esthetisme, croyances religieuses et ordre social.
La scenographie contemporaine s’appuie sur de nombreux films et photos documentaires rarement presentes pour evoquer les contextes d’usage de ces objets.
Admires pour leur qualite esthetique, ces objets vont integrer les galeries d’art ou les collections de passionnes. Ainsi, pendant pres de 50 ans, les collectionneurs Ewa et Yves Develon ont rassemble une importante collection d’art africain provenant principalement du Nigeria et du Cameroun. La majeure partie de cette collection est desormais conservee au musee des Confluences ou se deroule une nouvelle etape de leur existence, a la fois objets d’etude, d’exposition ou d’inspiration.
Au Musée des Confluences, 86 quai Perrache, à Lyon (2ème)
« Noël Coypel, peintre du roi » du 17 février au 5 mai 2024 à Rennes (35)
Le Musée des Beaux-Arts de Rennes et le musée national des châteaux de Versailles et Trianon, organisent conjointement la première exposition rétrospective consacrée au peintre Noël Coypel (Paris, 1628-Paris, 1707).
Fondateur d’une dynastie d’artistes qui compte des peintres et sculpteurs célèbres aux 18 ème et 19 ème siècles, Coypel mena une carrière exemplaire sous le règne de Louis XIV en participant à tous les chantiers les plus prestigieux de son temps dont celle du décor de la Grand’Chambre du Parlement de Bretagne. Grâce aux nombreux prêts consentis par les institutions françaises et collectionneurs privés, l’étape rennaise de l’exposition propose de réunir, plus de 120 dessins, gravures, peintures et tapisseries retraçant l’ensemble de la carrière exceptionnellement longue de ce peintre du roi, resté actif jusqu’à sa mort à l’âge de 79 ans.
Au Musée des Beaux-Arts, 20 Quai Emile Zola, à Rennes (35)
«En forêt avec Vincent Munier », du 16 février au 13 avril 2024, à Lyon (69)
Les espaces forestiers sont le decor d’une vie foisonnante.
Photographe des grands espaces sauvages, Vincent Munier parcourt les forets francaises, en particulier celles des Vosges, depuis son enfance. Avec le musee des Confluences, il propose un voyage visuel et sonore dans une nature en apparence familiere mais souvent meconnue. Les images, fixes et animees, revelent la faune qui peuple les forets en invitant chacun a apprendre a observer, comme a l’affut, pour mieux s’emerveiller de cet univers grandiose et menace.
Au Musée des Confluences, 86 quai Perrache, à Lyon (2ème)
« Constant Pape : la banlieue post-impressionniste », du 14 février au 13 juillet 2024, à Issy-les-Moulineaux (92)
Le Musée Français de la Carte à Jouer organise avec le Musée d’art et d’histoire de Meudon une exposition de l’artiste Constant Pape. Cet important paysagiste francilien, inspiré par l’École de Barbizon et les Impressionnistes, a consacré sa vie aux paysages alto-séquanais au tournant du siècle, livrant une image fidèle de la banlieue entre sous-bois, paysages de carrières et fêtes champêtres.
L’exposition a été rendue possible par une campagne de restauration d’envergure des oeuvres de l’artiste conservées dans plusieurs musées et mairies d’Ile-de-France, menée par le Musée Français de la Carte à Jouer.
Au Musée Français de la carte à jouer, 16 rue Auguste Gervais, à Issy-Les-Moulineaux (92)
«Les enfants impressionnistes du Musée d'Orsay » du 17 février au 26 mai 2024, à Roubaix (59)
À l’occasion du cent cinquantième anniversaire de l’Impressionnisme, le musée d’Orsay a proposé à plusieurs musées en région, de prêter des oeuvres emblématiques de sa prestigieuse collection pour créer une chaîne d’évènements et pour dialoguer avec les fonds des institutions intéressées par cette proposition. Saisissant cette généreuse opportunité, La Piscine a émis l’idée de demander à sa « Joconde », La Petite Châtelaine de Camille Claudel, de convier quelques enfants impressionnistes des collections nationales. Trois tableaux, de Degas, Renoir et Pissarro, et une sculpture de Degas seront donc, durant trois mois, les invités de marque du marbre élaboré par Claudel dans l’esprit de l’Impressionnisme, au début des années 1890. Ce rendez-vous sera présenté dans la salle actuellement consacrée au thème de l’enfance au coeur du parcours permanent et dont l’accrochage sera profondément modifié pour permettre de vrais dialogues entre les oeuvres et les protagonistes.
Cette exposition est présentée dans le cadre des 150 ans de l’impressionnisme avec le musée d’Orsay.
A la Piscine, 23 rue de l’Espérance, à Roubaix (59)
Grande rétrospective Frans Hals du 16 février au 9 juin 2024, au Rijksmuseum (Amsterdam, Pays-Bas)
Ce sont près de 50 des plus beaux tableaux de Frans Hals, en provenance de collections prestigieuses internationales, qui seront exposés durant cette période.
La liberté et la vivacité de sa touche impressionniste placent Frans Hals parmi les peintres les plus novateurs du XVIIème siècle. Ses portraits de régents, de joyeux musiciens ou d’enfants rieurs témoignent d’un talent et d’une audace inégalés. Ils sont si pleins de vie qu’ils semblent presque parler pour de vrai.
Parmi les exclusivités de l’exposition, figureront des tableaux comme le Banquet des officiers de la garde civique de Saint-Georges de 1616 et Les régents de l’hospice des vieillards (Musée Frans Hals), les Portraits de Lucas de Clercq et Feyntje van Steenkiste (Rijksmuseum) et Jeune Garçon Riant (Mauritshuis).
L’exposition Frans Hals (la première du genre présentée dans la capitale néerlandaise) est présentée dans l’aile Philips du Rijkmuseum et est acessible uniquement sur réservation d’un créneau de visite. Les billets sont en vente sur le site www.rijksmuseum.nl
Au Rijksmuseum, Museumstraat 1, à Amsterdam (Pays-Bas)
« En extinction...peintures d'Erékosé » jusqu'au 30 mars 2024, à Alençon (61)
“En nous désintéressant de leur sort, nous courons à notre perte... Ces animaux extraordinaires, qui pleurent en nous voyant, ce sont eux qui nous questionnent là maintenant… devant nos yeux… Larmoyants, ils attendent que l’on réagisse. Peut-être qu’avec de si grandes oeuvres exposées, nous nous rappellerons que c’est aussi nous qui disparaissons… un peu… beaucoup… Ma sensibilité d’artiste dans cette exposition se résume à la dénonciation de massacres, cachés, inavouables par des “non humains”. Je vous invite juste à ne pas oublier que la vie des animaux reste une priorité pour notre survie et à garder l’harmonie de la nature.” Érékosé .
Entrée libre
A la Médiathèque de Champfleur, Passage du lavoir, à Alençon (61)
«Etrangers indésirables 1939-1944 » jusqu'au 6 avril 2024, à Argelès-sur-Mer (66)
Conçue avec l’Amicale du Camp de concentration du Vernet d’Ariège, cette exposition rassemble quelque quatre-vingt dessins concentrationnaires originaux, réalisés par une quinzaine d’artistes internés dans le camp de concentration du Vernet d’Ariège de 1939 à 1944, appelés “Étrangers Indésirables”. Sur les cimaises des deux musées, biographies des artistes et documents d'archives complèteront cette exposition qui, pour la première fois, montre les liens qui ont existé entre les camps du Vernet d'Ariège, d'Argelès-sur-Mer et de Djelfa en Algérie.
Pour la première fois seront présentées, hors les murs du Vernet d’Ariège, des dessins réalisés dans le camp de Djelfa, en Algérie, par l’artiste allemand Ernst Teufel. Ex-brigadiste, Ernst Teufel est passé par les camps d’Argelès et du Vernet d’Ariège avant d’être interné à Djelfa. Seront aussi exposés des dessins de Carlos Duchatellier, artiste-peintre haïtien, qui illustrent, eux aussi, ces départs d’Argelès et du Vernet d’Ariège vers Djelfa, en 1941. En présentant conjointement les dessins de ces deux artistes différents, réalisés respectivement à Djelfa et au Vernet, l’exposition invite à considérer ces créations artistiques aussi comme des documents d'Histoire.
Au Mémorial du camp d’Argelès (26, avenue de la Libération) et à la Casa de l’Albera (4, Place des Castellans), à Argelès-sur-Mer (66)
 
 
ACTUALITES
Les monuments nationaux du Berry en février
- 10 & 17 février : Nohant autrement. Visite commentée de la demeure de George Sand sous l’angle des aménagements qu’elle y entreprit. 9€ surréservation au 02 54 31 06 04 .
- 15 février : Le Palais au diapason. Le Moyen-Âge, connu pour ses fêtes et ses musiques, révèle l’aspect qu’avait la maison de Jacques Coeur avec ses trouvères et ses troubadours. 9€ sur réservation au 02 48 24 79 42
- 21 et 28 février à 14h30 : Découverte du château de Bouges.6€ (enfant) et 9€ (adulte) sur réservation via la e-billeterie sur www.chateau-bouges.fr
 
 
TOURISME
Que visiter à Paris en trois jours ?
Paris a toujours su envoûter les voyageurs du monde entier grâce à son charme intemporel, son ambiance romantique et son patrimoine culturel d'une richesse inégalée. Située le long des rives de la Seine, Paris est un véritable bijou où chaque coin de rue raconte une histoire captivante et chaque quartier invite à l'exploration :
- Commencez par visiter Le Louvre
L'un des plus grands musées du monde conserve, au coeur de Paris, des trésors universels. Visiter le musée du Louvre est une étape essentielle pour comprendre l'amour de Paris pour l'art du monde. En pénétrant dans ce monument emblématique, vous serez émerveillé par son architecture grandiose et son histoire fascinante. Les vastes galeries du Louvre vous invitent à découvrir des milliers d'années d'histoire à travers les différentes civilisations représentées. Que vous soyez passionné d'art, d'histoire ou simplement curieux de découvrir des trésors artistiques, une visite au Louvre est une expérience captivante. Vous pourrez admirer des sculptures antiques, des peintures Renaissance, des artefacts égyptiens et bien plus encore. Le Louvre offre également des expositions temporaires qui permettent d'explorer des thèmes artistiques spécifiques et de découvrir de nouvelles oeuvres. Il est conseillé de planifier votre visite à l'avance afin de profiter pleinement de ce trésor culturel.
- Arrêtez-vous à la cathédrale Notre-Dame de Paris
Cette cathédrale gothique emblématique est une merveille architecturale qui incarne l'histoire et l'âme de la ville. Son impressionnante façade, ses gargouilles et ses vitraux colorés captivent les visiteurs depuis des siècles. La visite de Notre-Dame vous permettra de découvrir l'intérieur majestueux de la cathédrale, avec ses voûtes élancées, son choeur orné et sa rose occidentale magnifique.
- Explorez le quartier du Marais
Ce quartier historique est réputé pour son charme médiéval, ses ruelles pavées et ses hôtels. Promenez-vous dans ses rues étroites et découvrez ses trésors, comme la Place des Vosges, l'une des plus anciennes places de Paris. Goûtez aux délices gastronomiques du quartier, avec ses boulangeries, ses pâtisseries et ses restaurants réputés. Le Marais est également un lieu de vie animé, avec ses bars, ses cafés et sa vie nocturne. Plongez-vous dans son atmosphère unique, imprégnez-vous de son riche patrimoine et laissez-vous séduire par la créativité qui émane de chaque coin de rue.
- Finissez cette première journée dans l’atmosphère montmartroise
Visiter Montmartre, c'est découvrir une atmosphère unique, notamment grâce aux visites-spectacles ou aux city tours. Niché sur une colline, ce quartier bohème respire l'art et l'authenticité. Ses rues pavées, ses cafés et sa vie artistique en font un lieu unique. Une balade à Montmartre vous transporte dans le passé, à l'époque des artistes tels que Picasso, Van Gogh et Toulouse-Lautrec, qui ont fréquenté ce quartier. Vous pourrez vous promener sur la célèbre Place du Tertre, où des artistes de rue exposent leurs oeuvres, ou visiter la magnifique Basilique du Sacré-Coeur qui domine la ville. Montmartre offre également des vues imprenables sur Paris depuis ses ruelles en pente. Le charme unique de Montmartre réside également dans ses cabarets traditionnels. Laissez-vous porter par l'atmosphère bohème, découvrez les lieux qui ont inspiré tant d'artistes et plongez-vous dans la vie culturelle de ce quartier légendaire.
Le deuxième jour de visite :
- Visitez la Tour Eiffel
Incontournable par excellence, la dame de fer rayonne sur Paris et sur le monde. Monter en haut de la Tour Eiffel est un indémodable absolu que vous ne pouvez pas manquer lors d'une visite de trois jours à Paris. Symbole emblématique de la ville, cette tour de fer offre une expérience inoubliable. En grimpant jusqu'au sommet, vous serez récompensé par une vue panoramique à couper le souffle sur tout Paris. De chaque plateforme, vous pourrez contempler les toits de la ville, les monuments célèbres tels que l'Arc de Triomphe et la cathédrale Notre-Dame, ainsi que la majestueuse Seine qui serpente à travers la capitale. C'est une occasion unique de saisir l'ampleur et la beauté de Paris.
- Découvrez le quartier de Saint-Germain des-Prés
Ce quartier emblématique de la Rive Gauche est réputé pour son atmosphère bohème, son riche passé intellectuel et sa scène artistique vibrante. Promenez-vous dans ses rues et découvrez l'église de Saint-Germain-des-Prés, l'une des plus anciennes églises de Paris, ainsi que le légendaire Café de Flore et les Deux Magots. Le quartier abrite également des librairies anciennes et des galeries d'art contemporain. Vous pourrez vous balader le long de la rue de Buci et découvrir des produits gastronomiques de qualité dans ses nombreux marchés. Saint-Germain-des-Prés offre une ambiance unique, mêlant l'histoire et la modernité. C'est l'endroit idéal pour s'immerger dans la vie intellectuelle et culturelle de Paris. En soirée, le quartier s'anime avec ses nombreux bars, cafés et clubs de jazz.
- Achevez cette journée par une promenade sur les quais de la Seine
" Vogue, mais ne sombre pas " telle est la devise de Paris, dont le symbole est un navire. La Seine est sans doute le meilleur moyen de découvrir Paris. Cette rivière emblématique traverse la ville, offrant une perspective unique sur les plus beaux monuments parisiens. Vous pourrez admirer la majesté de la Tour Eiffel, la magnificence de Notre-Dame, et les charmants ponts qui enjambent la Seine. Lors de cette croisière, vous serez bercé par l'atmosphère paisible de la rivière, tout en admirant les rives bordées de bâtiments historiques et de quais animés. Que ce soit lors d'une croisière en journée ou lors d'une promenade romantique en soirée, vous serez captivé par la beauté intemporelle de Paris. Au fil de la balade, vous pourrez également en apprendre davantage sur l'histoire de la ville grâce aux commentaires audio ou aux guides qui vous accompagneront. C'est une manière agréable et relaxante de découvrir les trésors de Paris tout en vous laissant porter par le doux mouvement de l'eau.
Pour cette troisième et dernière journée dans la capitale :
- Visitez le musée d’Orsay
Situé dans une ancienne gare ferroviaire, ce musée abrite l'une des plus importantes collections d'art impressionniste et post-impressionniste au monde. En explorant les vastes salles du Musée d’Orsay, vous serez transporté dans l'univers captivant des grands maîtres tels que Monet, Renoir, Van Gogh, Cézanne et Degas. Les oeuvres emblématiques telles que Les Nymphéas, La Danseuse et La Nuit étoilée, sont exposées dans toute leur splendeur. Le Musée d'Orsay offre également une perspective unique sur l'histoire de l'art, couvrant une période allant du réalisme du XIXème siècle à l'art moderne du début du XXème siècle. Outre les peintures, vous pourrez également admirer des sculptures, des photographies et des arts décoratifs, témoignant de la diversité des courants artistiques de l'époque. La situation géographique du Musée d'Orsay, au bord de la Seine, offre également une vue imprenable sur la ville, notamment sur la majestueuse Tour Eiffel. C'est une étape incontournable pour tous les amoureux de l'art lors d'une visite de la Ville Lumière.
- Explorez le Quartier Latin
Situé sur la Rive Gauche de la Seine, ce quartier historique est réputé pour son ambiance étudiante et son riche patrimoine. Promenez-vous dans les ruelles pavées du Quartier Latin et découvrez des joyaux architecturaux tels que la Sorbonne, l'une des plus anciennes universités du monde, et le Panthéon, où reposent de grands personnages de l'histoire française. Le quartier abrite également de nombreux cafés, brasseries et librairies anciennes, où vous pourrez vous détendre en sirotant un café ou en dégustant des plats traditionnels français. Ne manquez pas de vous aventurer dans les jardins du Luxembourg, un havre de paix et de verdure au coeur du Quartier Latin. Vous pourrez vous détendre, faire une promenade en bateau sur le bassin, ou simplement profiter de la sérénité de ce magnifique parc. En soirée, le Quartier Latin prend vie avec ses nombreux bars, clubs et théâtres. Profitez d'une soirée animée dans l'un des établissements emblématiques du quartier pour une expérience divertissante.
- Visitez le quartier de Montparnasse
Ce quartier emblématique de la Rive Gauche est réputé pour son histoire artistique et sa vie nocturne animée. La Tour Montparnasse vous donnera une vue panoramique imprenable sur la ville, rivalisant avec celle de la Tour Eiffel. Montez jusqu’à son observatoire pour admirer Paris sous un nouvel angle. Le quartier abrite également de nombreux cafés, restaurants et brasseries animés, où vous pourrez déguster des plats délicieux et vous imprégner de l'ambiance parisienne. Montparnasse est célèbre pour avoir été un haut lieu de la scène artistique du début du XXème siècle.
C'est un quartier où l'art, la culture et la créativité se rencontrent pour offrir une expérience inoubliable.
- Promenez-vous le long des Champs-Elysées
Cette célèbre avenue est synonyme de glamour, de boutiques de luxe et d'une atmosphère animée. Flânez le long des Champs-Élysées et imprégnez-vous de l'élégance et de la splendeur de cette icône de la ville. Les Champs-Élysées offrent également de nombreuses possibilités de shopping. Des grandes marques de luxe aux enseignes internationales, vous trouverez une grande variété de boutiques pour satisfaire vos envies de shopping. Profitez également des cafés, des restaurants et des terrasses le long de l'avenue pour faire une pause et vous imprégner de l'ambiance parisienne. Terminez votre promenade par une visite à l'Arc de Triomphe, situé au bout des Champs-Élysées. Se promener le long des Champs-Élysées est une expérience inoubliable qui capture l'essence de Paris. C'est une occasion de vivre le chic et le glamour de la capitale française et de profiter de l'animation et de l'élégance de l'une des avenues les plus célèbres au monde.
 
 
LIVRES
Livre « D'en-bas, personne ne nous voit » de Zenzel
En 2011, le photographe Zenzel rencontre de jeunes free runners arpentant les toits parisiens et vivant en parallèle de la société. Il décide alors de travailler avec eux et leur philosophie du mouvement. En les suivant sur les toitures notamment, il a documenté leurs histoires à travers son appareil photo, questionnant les principes de la liberté, de l’identité ou encore du danger. À travers le temps, cet ouvrage réunit neuf années d’un travail photographique mettant en lumière la capture du corps de ces artistes free runners déambulant dans la ville. Il a pour but de montrer l’évolution de jeunes adolescents créant leur monde du futur, de partager des images surprenantes d’hommes sautant au dessus de nos têtes en plein cœur de la capitale mais aussi de partager un point de vue sur le monde à travers un regard «vertical».
80 photos en noir et blanc et 110 pages, couverture carton avec rabat.
 
 
JO 2024
Les femmes et les Jeux olympiques : Alice Milliat
Figure méconnue du sport féminin et du féminisme au XXème siècle, Alice Milliat (1884-1957) a organisé les premiers « Jeux olympiques féminins » à Paris en 1922, une appellation non reconnue par le Comité international olympique (CIO).
Née en 1884, fille de commerçants nantais, Alice épouse Joseph Milliat en 1904 à Londres. Leur union ne dure que quatre ans, jusqu’à la mort de Joseph. C’est en Angleterre, où elle vécut jusqu'en 1908, qu’elle aurait découvert le foot et l’aviron.
À son retour en France, elle parle anglais et décide de quitter son emploi d’institutrice. Elle pratique alors l’aviron, la nage et le hockey. Regrettant que les femmes ne puissent participer aux compétitions sportives internationales, elle lutte pour que leurs exploits sportifs soient reconnus au même titre que ceux des hommes. L’entreprise est difficile, le CIO, présidé par le baron Pierre de Coubertin, s'opposant à leur participation aux Jeux olympiques.
Qu’à cela ne tienne, Alice Milliat organise la première édition des Jeux olympiques féminins à Paris en 1922, dans le stade Pershing (12ème). Sous la pression du président de la Fédération internationale d'athlétisme, elle renonce toutefois au qualificatif « olympique » et rebaptise l'événement « Jeux mondiaux féminins ».
Exposition "Visions chamaniques. Les arts de l'ayahuasca en Amazonie péruvienne (Musée du Quai Branl... Certaines cultures utilisent des substances hallucinogènes et les placent au coeur de leur vie sociale.C'est le cas des sociétés d'Amazonie occidentale qui accordent une place à l'ayahuasca, un breuvage hallucinogène d'origine végétale
et s'en servent notamment à des fins esthétiques. L'exposition «Visions chamaniques. Arts de l'ayahuasca en Amazonie péruvienne » met en valeur la diversité des modes de représentations contemporains des « visions » induites par ce breuvage. Et de réfléchir aux usages sociaux de ces images au-delà du côté esthétique, en soulignant le rôle de ces psychotropes non seulement dans le domaine artistique, mais également comme pratiques thérapeutiques,ou moyen de lutte politique, de développement personnel ou d'émergence de formes nouvelles de religiosité
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