Fichez-moi la paix avec le « Faites-le vous-même »
S'il y a bien une chose dont j'ai horreur, c'est de devoir monter un meuble livré en kit. On a tous connu le début de cette mode du « Do it yourself » (faites-le vous-même) lorsque les fameux meubles en kit ne représentaient justement qu'un mince segment de marché. Les amoureux des défis se rendaient alors chez Ikea pour mettre leur ingéniosité à l'épreuve de ces génies malveillants qui rédigent les notices de montage. La tache n'était pas insurmontable à condition de rester concentré sur le moindre détail de la notice et d'être patient. Et chez moi, c'est là qu'est l'os, car je n'ai jamais été patient.
Or, de nos jours, tout (ou presque) est vendu en tant qu'article à monter. Personnellement, j'ai toujours eu du mal à monter les blancs en neige ou les jaunes d'oeuf en mayonnaise alors vous pensez bien que me proposer un meuble en kit est pour moi si énervant que j'aurais tendance ...à monter sur mes grands chevaux.
Si encore ces fichues notices n'étaient pas rédigées en lettres minuscules (vous avez remarqué que les notices sont écrites de plus en plus petit, certainement pour emm..... les vieux, à moins que ce soit notre vue qui baisse) et décrivaient les étapes du montage de manière claire et précise. Mais non, ça serait trop facile, et les différentes phases de montage prêtent parfois à confusion, d'autant plus lorsqu'il s'agit de notices étrangères traduites dans un français approximatif.
Sur certaines notices, le concepteur du produit a le toupet d'indiquer une petite horloge indiquant la durée du montage, suggérant que tel meuble ne nécessite que 30 minutes de montage, et que si vous y passez la journée, vous basculez automatiquement dans le monde des lapins crétins.
On vit décidément une drôle d'époque : au temps de « La Petite Maison dans la prairie », Madame Oleson ne vous demandait pas de vous transformer en caissière au moment de régler vos courses. Charles Ingalls ne labourait pas avec une charrue livrée en kit et Caroline Ingalls ne livrait pas ses tartes aux pommes en pièces détachées pour la kermesse de l'école. Aujourd'hui, certains restaurants ont le toupet de vous proposer des plats « déconstruits » car il paraît que c'est très tendance...Le premier restaurateur qui me proposerait ce genre de truc, je lui dirais d'aller se faire cuire un ?uf et rentrerais chez moi pour me concocter un repas à l'aide de mon robot-cuiseur Magimix. Ah ce Magimix ! Impatient que je suis, j'ai souffert les premiers jours d'utilisation. D'autant plus que le service consommateurs de cette boite française est aux abonnés absents !
A l'heure actuelle, non seulement on remet le client au turbin, mais on lui impose d'être un génie intuitif. .. et de payer pour tout cela. J'applaudis au passage ce modèle économique qui consiste à faire payer le client pour un produit ou un service qu'il devra monter ou réaliser lui-même. Bienvenue au monde de la crétinisation !
 
LE CLIN D'OEIL DU MOMENT
Le saviez-vous ? La randonnée est le sport le plus pratiqué en France. Plus de 27 millions d'hommes et de femmes sont partis au moins une fois explorer les sentiers qui sillonnent le pays au cours de ces 12 derniers mois.
Un engouement qui représente une formidable opportunité pour développer l'attractivité des territoires et mettre un coup de projecteur sur tous les atouts locaux, qu'ils soient naturels, économiques, ou patrimoniaux.
La solution pour toutes les communes et les EPCI qui veulent mettre du "waouh" au coeur de leur région ? La web-application Guidéoscope, une solution pensée par Scopika pour valoriser les richesses locales grâce à des points d'intérêts géolocalisés.
Une application résolument innovante qui est à la fois :
- 100 % personnalisable, afin de s'adapter aux besoins et attentes de chaque acteur du tourisme local ;
- 100 % RGPD-friendly et sécurisée, puisqu'elle ne nécessite ni inscription ni téléchargement.
Grâce à cette application, les territoires sont mis en valeur et les visiteurs sont désormais protégés : leur position n'est pas tracée.
Guidéoscope est bien plus qu'une simple appli ! Elle a été imaginée pour devenir le compagnon idéal de tous les randonneurs, qu'ils soient amateurs ou plus expérimentés, amoureux des balades en pleine nature ou inconditionnels des excursions urbaines.
Totalement personnalisable, elle peut être configurée par les équipes de Scopika ou directement par les communes et EPCI afin d'inviter à la découverte de leur patrimoine culturel, architectural, ou artistique.
Les points d'intérêts géolocalisés et librement définis vont ainsi mettre l'accent sur des services, de bons petits restaurants, des commerces de proximité, les cafés et bars ?du coin?, les musées et curiosités à visiter, les fontaines à voir? Tout ce qu'il y a à voir et à faire est désormais accessible de façon simple et intuitive.
La souplesse de cet outil. Au-delà de la possibilité d'ajouter des couleurs, des images et un logo, l'appli va donner vie à tous les projets : création de parcours pédagogiques agrémentés de contenus, de balades éphémères, de guides audio, de jeux de type chasse au trésor?
Les points d'intérêts géolocalisés. Ils enrichissent les visiteurs à chaque balade, contribuent à faire connaître les pépites locales, tout en offrant aussi des informations pratiques très attendues des randonneurs (ex. : les lieux pour manger et boire un verre, les parkings pour se garer, etc.).
Des balades sûres: un bouton SOS, présent sur la barre latérale du menu, permet une sécurité renforcée en cas d'accident. Les utilisateurs peuvent également partager leurs coordonnées exactes avec un proche.
Le total respect du RGPD. Contrairement aux applications similaires, Guidéoscope ne demande aucune création de compte, aucun téléchargement, et la position du visiteur reste protégée (l'application n'y a pas accès). Une révolution dans un monde de plus en plus connecté ! Et il y a mieux : Guidéoscope ne diffuse aucune publicité.
C’est le moins qu’on puisse dire, les Ovnis n’ont atteint leur importance culturelle actuelle que depuis la Seconde guerre mondiale, avec une amplification durant l’ère spatiale.
Il y aurait pourtant des choses à dire car on releva ce qu’on qualifiera de « phénomène » plusieurs étrangetés comme par exemple le phénomène céleste qui se produisit en 1561 au-dessus de Nuremberg. Les passionnés d’OVNIS qualifieront cet événement comme une bataille aérienne d’origine extraterrestre, tandis que les plus sceptiques parlaient tout simplement de « chien solaire ».
Doit-on rappeler que tout au long de l’histoire, les gens ont toujours éprouvé le besoin d’observer le ciel et ce qu’il contenait : comètes, météores ou planètes visibles à l’oeil nu, ou encore des conjonctions planétaires et divers autres phénomènes atmosphériques.
Prenons pour exemple la Comète de Halley :Celle-ci fut enregistrée pour la première fois par des astronomes chinois en 240 avant J.C et peut être même dès 467 avant J.C. Atteignant le système solaire interne tous les 76 ans, il fut alors identifié (à tort!) comme un événement isolé unique alors qu’il s’agissait en réalité d’un phénomène répétitif. On considérait fréquemment ces bizarreries célestes comme des présages surnaturels, des ange ou autres présages religieux.
Il n’empêche que des observations pré-modernes de phénomènes aériens étranges s’imposent à nous, comme, par exemple, dans l’ouvrage « Liber de prodigiis » (Livre des Prodiges) écrit par l’écrivain romain Julius Obsequens qui aurait vécu au milieu du IVème siècle après J.C. et dont le contenu ne manqua pas d’enthousiasmer certains passionnées d’OVNI. Bien plus tard, le 25 janvier 1878, un fermier local des Etats-Unis rapportait avoir aperçu un grand objet circulaire sombre se déplaçant à « une vitesse merveilleuse », évoquant la ressemblance avec une soucoupe (une des premières utilisations de ce mot en association avec un OVNI). Autant dire qu’il se pourrait bien que nous soyons entourés de « voisins cosmiques » dont les intentions restent pour l’instant inconnues.
Le numéro de février de la revue OVNIS Magazine nous révèle aussi qu’une planète habitable aurait été découverte par la NASA. Et si c’était de là que partaient les petits hommes verts ?
Explorateur de légende, pionnier du cinéma, inventeur de génie, écologiste avant l’heure... Le Commandant Cousteau a eu 1000 vies… Retour sur l’incroyable parcours de « l’Immortel au bonnet rouge ».
 
 
LA SEMAINE DE SOUKO
Dimanche 3 mars 2024 : Évacuez les lieux, j’arrive près du terrain de golf, jetant le trouble chez les pauvres cigognes de passage en cette saison.
Lundi 4 mars 2024 : J’ai effectué une séance d’entrainement sur tapis, de 20 minutes
Mardi 5 mars 2024 : Ce matin, c’est ma première séance de toilettage. Je n’ai jamais senti aussi bon ni eu le poil aussi doux et brillant qu’aujourd’hui.
Mercredi 6 mars 2024 : Entrainement avec Duarte sur le respect des ordres donnés.
Jeudi 7 mars 2024 : Nous ne nous éloignons pas du domicile car le vent souffle en tempête et la pluie menace.
Vendredi 8 mars 2024 : Le temps est encore incertain mais mon maître et moi partons nous balader le long du terrain de golf, actuellement en travaux. Les camions qui passent de temps à autre déclenchent chez moi l’envie de courir après. Mon maitre me tient alors en laisse.
Samedi 9 mars 2024 : Nous partons assister à une compétition canine avec des chiens malinois, à Vila Real de Santo Antonio.
 
 
VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR
Bistrot Libertés avec Guillaume Bigot, le choc des civilisations ?
Les réserves en Bitcoin du Salvador se sont appréciées de +40 %
Plus de 43 millions de dollars en valeur, voilà ce que le Salvador a gagné avec la hausse prodigieuse du Bitcoin ces dernières semaines. Bonne pioche de la part du président Nayib Bukele qui avait commencé à accumuler des bitcoins en septembre 2021 pour les ajouter au Trésor national.
Les critiques de Bitcoin et les anti-cryptos primaires étaient nombreux à signaler la moins-value latente des bitcoins du Salvador à la fin 2022, quand le marché des actifs numériques était au plus bas. La courageuse et avant-gardiste petite nation centraméricaine avait d’ailleurs tenu bon et HOLD (conserver) l’intégralité de ses bitcoins
 
 
LE PETIT MANUEL DU RESISTANT
CSI (Conseil Scientifique Indépendant) N°138 du jeudi 7 mars 2024 : aujourd’hui, le CSI accueille Olga Vinogradova, doctorante en Institut de bioéthique et d’éthique médicale à l’Université de Bâle, enseignante-chercheuse en philosophie et bioéthique au sein de la Première Université de Médecine Ivan Setchenov de Moscou (Russie)
Comment les Franciliens envisagent-ils leurs prochaines vacances? 1846 d’entre eux se sont exprimés à ce sujet lors de l’enquête menée, en novembre 2023, par le Salon Mondial du tourisme.
Les premiers enseignements de cette enquête font ressortir une appétence pour des séjours hors de nos frontières, en Europe et en Asie notamment. S’ils privilégient les départs en couple, les Franciliens apprécient aussi les escapades en solo, c’est d’ailleurs une de leurs particularités. On note aussi que la dimension environnementale se normalise et que la saisonnalité s’étale d’avril à septembre. Côté budget, ils jouent les extrêmes avec une augmentation des fourchettes basses et hautes. De plus en plus exigeants dans leurs choix de vacances, ils se montrent aussi particulièrement vigilants quant aux événements géopolitiques. Leurs activités de vacances sont multiples avec toutefois une prédilection pour les activités culturelles pour la moitié d’entre eux.
Ce qu’il faut retenir de cette enquête :
- Une saisonnalité étalée sur 6 mois avec une prédilection pour le hors saison
Les dates de départ des Franciliens vont s’étaler d’avril à septembre avec une prédisposition pour le hors saison: septembre (29 % vs 15 % en 2023); mai (27 %); avril (24 %) et juin (24 % vs 14 %). On note toutefois un sursaut des départs en juillet (20 % vs 7 %) et août (21 % vs 10 %).
A noter que 3 % des Franciliens ne comptent pas partir en 2024 majoritairement pour des raisons budgétaires.
- Un budget tendant vers les extrêmes: moins de 1000 euros ou plus de 3000 euros
Pour 59 % des Franciliens (vs 49 % en 2023) le prix entrera en compte dans leur choix de vacances. Dans le détail, les budgets vacances (hébergements et transports) sont tirés vers les extrêmes. Ainsi, 38 % (vs 29 %) prévoient un budget de 1000 euros tandis que 14 % (vs 9 %) devraient débourser plus de 3000 euros.
De fait, la durée des séjours s’en trouve modifiée. Si le nombre de partants sur deux semaines restent quasi identique (45 % vs 46 %), ils sont plus nombreux à prévoir de ne partir qu’une semaine (22 % vs 16 %).
- L’environnement rebat les cartes du voyage
Les Franciliens sont de plus en plus nombreux à modifier leurs habitudes de voyage face aux problématiques environnementales (60 % vs 50 % en 2023). Ainsi, 18 % voyageront moins souvent et 17 % iront moins loin.
Globalement, 9 % des Franciliens prendront en compte la dimension écologique du séjour avant de faire leur choix.
Malgré un recul de 6 points, l’Europe reste très populaire et conserve sa première place (34 % vs 40 %). Les Franciliens apprécient la dolce vita italienne (28 % vs 26 %) au débit de l’Espagne qui perd 2 points (25 % vs 27 %) et de la Grèce qui en perd 7 (18 % vs 25 %).
L’Asie maintient sa deuxième place avec une belle progression (26 % vs 20 %). C’est le Japon qui a les faveurs des Franciliens avec une hausse de 6 points (33 % vs 29 %), suivi de la Thaïlande (24 % comme en 2023). Le Vietnam progresse de 6 points (22 % vs 16 %) et le Cambodge fait son apparition avec 14 %.
A peu de choses près, les Amériques séduisent autant qu’en 2023. 10 % des Franciliens prévoient de se rendre en Amérique du Nord et choisiront les Etats-Unis (77 % vs 74 %) ou le Canada (55 % vs 54 %).
L’Amérique du Sud sera la destination de 9 % d’entre eux. Si le Brésil se maintient à 33 %, on note une baisse pour l’Argentine (43 % vs 46 %) et le Pérou (28 % vs 33 %).
L’Amérique centrale est choisie par 4 % des Franciliens qui pensent s’aventurer au Costa Rica (66 % vs 57 %) ou au Panama (34 %). Le Mexique recule quant à lui de 34 points (36 % vs 70 %).
Comme en 2023, 9 % devraient prendre la direction de l’Afrique avec un retour en grâce de l’Egypte (17 % vs 14 %). Le Maroc reste prisé pour 18 % des Franciliens (vs 19 %). Quant à la Tanzanie, elle recule de 7 points (17 % vs 24 %).
Plus loin, l’Océanie (7 % comme en 2023) voit l’explosion de l’Australie progresse de 10 points (40 % vs 30 %). La Nouvelle-Zélande se maintient à 38 % quand la Nouvelle-Calédonie perd 14 points (19 % vs 33 %).
22 % planifient de rester en France avec une prédilection pour la Bretagne (31 %, identique à 2023). La région Sud recule de 3 points (30 % vs 33 %) et l’Occitanie prend 1 point et repasse à la 3ème place (25 %).
Notons les belles progressions des régions Grand Est et Hauts-de-France qui augmentent de 5 points chacune, avec respectivement des intentions de départ de 13 % (vs 8 %) et de 10 % (vs 5 %). La Normandie prend aussi 3 points (18 % vs 15 %).
- Pour le transport et l’hébergement, avion et hôtel sont favorisés
L’international étant de mise en 2024, l’aérien est le mode de transport privilégié (81 % vs 71 % en 2023) au débit du train (22 % vs 24 %) et surtout de la voiture (22 % vs 29 %).
Nouveauté de cette enquête, 2 % des Franciliens envisagent de se déplacer en van ou en camping-car, solution également choisie comme hébergement pour 2 % d’entre eux.
La logique est la même pour les hébergements avec une prédilection pour l’hôtellerie (70 % vs 63 %). Loin derrière, l’hébergement chez l’habitant (location, chambre ou maison d’hôtes et gîte) séduit 29 % d’entre eux (vs 31 %). On note aussi une baisse du côté des villages ou club vacances (17 % vs 20 %), des locations via les agences (10 % vs 16 %) ou du camping (4 % vs 9 %).
- Culture et gastronomie en tête des activités
Parmi les activités préférées de l’été 2024, 51 % souhaitent pratiquer des activités culturelles (vs 53 % en 2023) et 49 % découvrir la gastronomie locale (vs 53 %). 34 % veulent observer la nature environnante (vs 43 %), 31 % visiter un parc national ou une réserve (vs 38 %) et ils sont autant (32 %) à vouloir pratiquer une randonnée ou aller à la plage.
La pratique de la photographie ou de la vidéo séduit 29 % d’entre eux. Tendance du moment, 3 % se laissent tenter par une micro-aventure.
- Les Franciliens et la randonnée
44 % des vacanciers prévoient de faire des randonnées ou de petites balades pendant leurs congés (vs 56 %). Ils y voient l’occasion de découvrir les paysages ou une destination (78 %), d’être en contact avec la nature (42 %) et ou de se maintenir en forme (40 %).
A noter que 23 % d’entre eux (vs 21 %) sont sensibles à l’aspect écologique de la randonnée dans une démarche zéro déchet.
 
 
DU COTE DE CHEZ NOUS
Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix: Quand le gendre idéal devient le fusible idéal (https://odysee.com/@campagnoltvl:2/kine222:0)
 
 
JO 2024
Les femmes et les Jeux olympiques : golf et tennis, premières disciplines 100 % féminines en 1900
Les premières disciplines ouvertes aux femmes sont proposées lors de la deuxième édition des Jeux de l’ère moderne en 1900, à Paris. Seules deux épreuves étaient strictement féminines, le golf et le tennis. Une dizaine de participantes ont pris part à des épreuves mixtes en voile, en croquet et en équitation. La britannique Charlotte Cooper, gagnante du tournoi de tennis, est la première championne olympique dans une épreuve individuelle.
Progressivement, la participation des femmes s’est accrue, notamment depuis 1991. « Tout nouveau sport souhaitant être inclus au programme olympique doit obligatoirement comporter des épreuves féminines », précise cette année-là le Comité international olympique (CIO).
Le Centre des monuments nationaux se positionne en tant qu’acteur des Olympiades culturelles, à l’occasion des JO 2024
L’Olympiade culturelle est une programmation artistique et culturelle pluridisciplinaire qui se deploie jusqu’en septembre 2024 sur tout le territoire francais.
Les DRAC contribuent ainsi, en lien avec les collectivites territoriales et les acteurs culturels, a construire cette programmation qui permet de faire dialoguer les arts et le sport, avec la volonte de refleter la vitalite de la creation artistique ou de valoriser la richesse du patrimoine, a travers des propositions artistiques inclusives et participatives se deployant sur tout le territoire et s’adressant aux publics les plus nombreux.
Le CMN dévoile ainsi une programmation sportive dans ses monuments. Un marathon événementiel entre des expositions autour du sport, des performances chorégraphiques et artistiques, des créations contemporaines et des ateliers sportifs. Une programmation dont vous pourrez suivre l’actualité chaque semaine dans La Lettre à la rubrique JO 2024.
 
 
LIVRES
Album « Whisky San »de Fabien Rodhain & Alcante (Grand Angle)
Début du 20ème siècle. Masataka Taketsuru est un jeune Japonais au destin tout tracé. Issu d’une grande lignée de brasseurs de saké, il doit reprendre la brasserie familiale, comme l’ont fait tous les hommes de la famille avant lui. Seulement, bercé par les histoires captivantes de son grand-père maternel, Masa aspire à un autre rêve. Un rêve inouï, inimaginable pour son pays et ses traditions : créer le premier whisky japonais. Pour son père, l’idée est grotesque, impensable, même. S’opposant aux idéologies conservatrices de sa famille, Masa va alors entreprendre un long chemin mêlé de découvertes, d’apprentissage mais aussi de coups bas pour réaliser son rêve. D’abord en travaillant chez un commerçant de vins et de spiritueux, puis en rencontrant un des plus grands importateurs d’alcools du pays, jusqu’à s’envoler pour l’Europe en plein milieu de la guerre, en écosse, plus précisément. Racisme, concurrence déloyale, difficulté de se faire accepter, mais aussi amour et opportunités… Masa va passer par toutes les épreuves de la vie pour se faire une place dans l’univers du whisky. Mais il a un avantage de taille : il est ce qu’on appelle un nez. Un nez exceptionnel.
Prix : 24,90€.
« Vers un monde sans faim » de Hervé Pillaud (Editions Diateino)
Dans ce livre, Hervé Pillaud, agriculteur vendéen et autodidacte, nous propose un voyage vers une nouvelle révolution agricole. Il nous transmet sa passion pour l’innovation et nous exhorte à mettre en œuvre un monde sans faim pour créer un monde sans fin. Son livre fourmille d’exemples et d’expériences vécues qui montrent qu’Innovation, Entrepreneuriat et Agriculture sont les clés de la réussite. Il livre sa vision d’un avenir qui tourne le dos à l’écologie de l’apocalypse et nous propose d’oser, enfin, le futur.
Parce que l’innovation ne doit pas être une option mais un engagement! Hervé Pillaud donne des exemples concrets des bénéfices des nouvelles technologies pour l’agriculture. Des robots aux NBT en passant par l’intelligence artificielle et la blockchain, il nous fait découvrir des startups qui mettent en oeuvre ces innovations (Naïo Technologies, UV Boosting, Mycophyto, AIHerd et bien d’autres…) pour arriver à une agriculture de régénération. Enfin il nous propose un contrat environnemental entre l’agriculteur et la société dans lequel chacun doit s’engager à changer ses pratiques.
248 pages, 21€
 
 
INFOS PRATIQUES
Qu'est-ce qu'une monnaie locale ?
Connaissez-vous l'Eusko et le Sol-Violette ? Ce sont des monnaies locales, complémentaires à la monnaie officielle, qui sont utilisées dans le périmètre d'une ville voire d'une région. Pourquoi une monnaie locale ? Quel est son fonctionnement ?
Face à une surreprésentation des passoires énergétiques, le calcul du diagnostic de performance énergétique a été revu pour les logements de moins de 40m 2. Si vous détenez un DPE (Diagnostic de performance énergétique) pour ce type de logement, demandez dès à présent une simulation de votre nouvelle étiquette.
Kinosaki Onsen, havre de paix pour amateurs de lecture (Japon)
Bordé de saules soufflés par le vent et empreint du charme des cités anciennes, Kinosaki Onsen est une ville-muse pour les arts depuis plus d'un millénaire. Aujourd'hui encore, la promesse des bains curatifs attire les visiteurs à Kinosaki Onsen, et de nombreux créateurs y cherchent l'inspiration artistique au-delà des brumes mystiques des sources d'eau chaude.
Shiga Naoya était l'un de ces artistes. Écrivain réputé dans les milieux littéraires pour sa prose existentielle et autobiographique, Naoya a fait un voyage de trois semaines à Kinosaki Onsen après avoir été renversé par un train à Tokyo en 1917. L'esprit créatif de Naoya s'est concentré sur la rédaction d'une nouvelle histoire, "At Kinosaki", pendant son séjour dans sa chambre d'hôte au Mikiya Ryokan. Si les sources d'eau chaude ont réussi à guérir ses blessures, certains pensent que la passion de Naoya pour l'écriture a guéri son traumatisme après cette expérience de mort imminente. Bien qu'un siècle se soit écoulé depuis la visite de Naoya à Kinosaki Onsen, la ville thermale tranquille accueille toujours les artistes littéraires et les lecteurs pour qu'ils y trouvent leur paix intérieure.
Auberge de prédilection de Naoya, Mikiya Ryokan propose non seulement des chambres luxueuses, mais aussi une mini-bibliothèque interne et un coin lecture avec vue sur l'impressionnant étang de carpes koï de l'auberge, qui invitent les lecteurs et les écrivains à s'évader dans la sérénité et la révélation créative. Les hôtes ont également la possibilité de visiter la chambre de Naoya lui-même.
Situé à l'écart de la foule, dans une petite rue résidentielle, le Kinosaki Onsen Heritage Museum abrite de nombreuses expositions célébrant l'héritage de Naoya et ses liens avec la ville. Outre les expositions relatives à l'histoire de Kinosaki en tant que havre pour les arts, une petite librairie située au premier étage vend de nombreux ouvrages écrits par des auteurs locaux de Kinosaki.
Le Book Cafe Un est la version moderne de Kinosaki Onsen de la tradition de la ville d'être un havre pour les arts. Il est meublé de lampes d'art moderne, de sculptures de livres et même d'espaces de travail privés inspirés par des symboles populaires trouvés dans les environs de Kinosaki. Les personnes à la recherche d'une retraite confortable pendant leur séjour sont invitées à venir prendre un café et quelques friandises tout en feuilletant les innombrables murs de livres qui bordent le café.
Charmant recoin regorgeant de petites boutiques, de sandales geta qui claquent et d'acheteurs vêtus de yukata, la place Kiyamachi n'est pas seulement un lieu de souvenirs, mais aussi un coin de lecture en plein air équipé de tatamis et de bancs en bois sous un ciel dégagé. Prenez une boisson ou une friandise dans une boutique, trouvez un tatami ou un banc et plongez-vous dans votre dernière lecture.
Niché dans un monde forestier qui lui est propre, le temple Gokurakuji est un endroit charmant où les visiteurs peuvent pratiquer la pleine conscience grâce à une séance guidée de méditation zen. Le jardin de rocailles du temple abrite une cacophonie de sons tranquilles provenant de la forêt voisine, offrant une retraite aux lecteurs en plein air.
Le temple bouddhiste gardien de Kinosaki Onsen offre une vue spectaculaire sur la ville depuis son perchoir au sommet du mont Daishi, inspirant de nombreux artistes au fil des siècles. Après une visite guidée du temple, vous pouvez prendre le téléphérique de Kinosaki jusqu'au pavillon situé au sommet de la montagne, avec un livre et une vue incomparable pour compagnie.
Le Jura (39) en fleurs
Bien plus qu'un spectacle, le retour du printemps est une veritable renaissance au cœur des Montagnes du Jura, destination nature par excellence ! Apres de longs mois d'hiver, faune et flore se reveillent et revelent un nouveau decor, rechauffe par une douce lumiere et des journees plus longues.
Narcisses, jonquilles, perce-neige, crocus, orchidees sauvages ou fleurs des champs tapissent les sols et donnent lieu a un spectacle unique. Petit a petit, les premieres couleurs egaient les prairies et les alpages, et quelques coins encore secrets permettent de les apprecier :
- A La Vrine dans le Haut-Doubs, veritable eldorado de la jonquille, les champs se couvrent de jaune une quinzaine de jours par an.
- Pour admirer les delicats narcisses, direction le Haut-Bugey. La delicate fleur blanche pousse a foison sur le plateau d’Hauteville-Retord, recouvrant la montagne de son parfum capiteux.
- Les Montagnes du Jura abritent environ 60 especes rares d’orchidees sauvages a observer dans les prairies, les lisieres de foret mais surtout du cote des tourbieres...
- Voici une fleur qui porte bien son nom ! Le perce-neige est la premiere fleur a fleurir, de janvier a mars. Plante d'ombre, on retrouve ses petites clochettes blanches dans les forets et vallees.
Balade botanique et ateliers cueillette
Qu’elles soient comestibles ou medicinales, les plantes sont nombreuses a proposer leur magie. Pour apprendre a les reconnaitre et a utiliser leurs vertus comme le faisaient autrefois les sorcieres, « Serpe et Chaudron » a imagine un programme de balades botaniques et d’ateliers « cueillette-transfo » (cuisine, sante, cosmetique).
Echappees actives : randonnees itinerantes, reprise du VTT, du trail ou decouverte du gravel, le printemps se vit au grand air. Partir en randonnee sur la Grande Traversee du Jura, prendre l'air en faisant quelques balades au bord des lacs et cascades ou encore decouvrir des petits villages, au printemps, on profite du grand air dans les Montagnes du Jura.
Vivre une micro-aventure sur des routes emblematiques
Les Montagnes du Jura se decouvrent de mille manieres : a pied, a velo, a cheval, en voiture... Les routes emblematiques du massif font decouvrir des tresors naturels, gastronomiques ou encore architecturaux ! Une aventure a vivre le temps d’un sejour pour percer les secrets de ces routes si particulieres : route des vins du Jura & du Bugey, route des lacs, route du Comte...
Les Montagnes du Jura – Une destination « Dog Friendly »
Parce que nos amis a quatre pattes ont aussi besoin de vacances en compagnie de leurs maitres et que denicher sites, restaurants et logements acceptant les animaux s’avere souvent complique, le Haut-Bugey s’engage !
Lacs toleres aux chiens en laisse, itineraires nature recommandes, liste des etablissements « dog-friendly », gamelles d’eau a disposition, carnet de vacances remis aux proprietaires d’animaux...
Les cinq premières villes intelligentes dans le monde
L'équipe de Geonode vient de conclure une recherche approfondie, identifiant les cinq premières villes intelligentes qui dominent la scène mondiale. Avec des innovations allant des mesures sismiques avancées de Tokyo à l'inclusivité technologique de Londres, ces villes établissent la norme d'excellence pour l'avenir.
Vous êtes-vous déjà demandé à quoi ressembleront les villes de demain ? Les villes intelligentes peuvent sembler être un concept futuriste, une vision lointaine d'utopie où la technologie améliore tous les aspects de la vie. Mais l'avenir est plus proche que vous ne le pensez. Découvrons l'avenir qui est déjà présent dans ces 5 villes intelligentes à travers le monde. Ces villes exploitent la technologie au maximum pour gérer les services urbains, garantissant une qualité de vie durable et améliorée pour leurs habitants, en accord avec la vision de la vie en 2050 :
- Singapour
Connu comme la "Ville Jardin", Singapour utilise des technologies de pointe pour répondre à tous les besoins urbains possibles, que ce soit le trafic, l'eau, les déchets ou les services. Selon l'indice Smart City 2020, Singapour s'est classée première, démontrant son efficacité à utiliser la technologie pour le bénéfice de ses citoyens.
Initiatives clés de ville intelligente adoptées :
Smart Nation Initiative : Un effort à l'échelle nationale pour améliorer la vie grâce à la technologie, visant à faire de Singapour un leader mondial en matière de solutions intelligentes.
Systèmes de gestion du trafic : Singapour a mis en œuvre des technologies comme le système de tarification routière électronique (ERP) qui ajuste les péages routiers en fonction des conditions de circulation.
Réseaux intelligents : La cité-État a développé des réseaux énergétiques intelligents qui optimisent la distribution d'électricité.
Gestion des déchets : Les systèmes de transport pneumatique des déchets dans les nouveaux quartiers transportent les déchets ménagers via des tunnels souterrains, réduisant le besoin de collecte manuelle.
Logement public : Le Housing & Development Board (HDB) a mis en place diverses initiatives intelligentes pour améliorer les conditions de vie des résidents. Celles-ci incluent l'éclairage intelligent, la collecte des eaux de pluie et l'agriculture urbaine.
Solutions de paiement numériques : Pour réduire la dépendance à l'argent liquide et améliorer l'efficacité des entreprises, Singapour encourage de nombreuses solutions de paiement numériques.
- Copenhague
Modèle mondial pour un mode de vie durable, Copenhague propose un prototype urbain tourné vers l'avenir, visant une neutralité carbone de 100% d'ici 2025. La ville a réussi à réduire ses émissions de CO2 de près de 40% depuis les années 1990. En 2022, Copenhague a obtenu des classements élevés dans les indices mondiaux des villes intelligentes, soulignant son efficacité à intégrer la technologie pour le bien-être de ses citoyens.
Initiatives clés de ville intelligente adoptées :
Copenhagen Solutions Lab : C'est l'incubateur de la ville pour les technologies de ville intelligente, testant et mettant en œuvre des solutions innovantes pour relever les défis urbains.
Transition énergétique verte : Copenhague s'est fermement engagée à devenir neutre en carbone d'ici 2025.
Éclairage intelligent : Les systèmes d'éclairage public à LED adaptatifs économisent de l'énergie en ajustant la luminosité en fonction des besoins.
Infrastructure cyclable : De vastes itinéraires cyclables sont améliorés avec des solutions technologiques comme la "Green Wave" pour les cyclistes, qui synchronise les feux de circulation.
Réseaux intelligents intégrés : Pour optimiser la consommation d'énergie et intégrer davantage d'énergies renouvelables.
- Barcelone
Dans une enquête de la Commission européenne, Barcelone se classe régulièrement parmi les villes européennes en termes de promotion de la numérisation et de l'innovation, ce qui reflète son engagement en tant que ville intelligente. Barcelone a réussi à économiser environ 42,5 millions d'euros par an sur l'eau grâce à ses initiatives de gestion intelligente de l'eau et les initiatives d'éclairage intelligent de la ville ont conduit à des économies d'énergie de 30%.
Initiatives clés de ville intelligente adoptées :
22@Barcelona : Ce plan de rénovation urbaine a transformé le quartier de Poblenou en un quartier d'innovation, réunissant des universités, des entreprises technologiques et des centres de recherche.
Plateforme urbaine : Un système qui collecte des données provenant de divers capteurs dans la ville, aidant à la prise de décision liée au trafic, à la consommation d'énergie, et plus encore.
Éclairage de rue intelligent : Incorporation de lumières LED qui s'ajustent en fonction du mouvement, économisant de l'énergie pendant les périodes d'inactivité.
Gestion intelligente de l'eau : Des capteurs ont été placés dans la ville pour détecter les fuites d'eau, optimiser l'irrigation dans les parcs et gérer la qualité de l'eau.
Intégration de l'IoT : Le déploiement de capteurs dans toute la ville à diverses fins, telles que la surveillance de la qualité de l'air, de la congestion du trafic et de la gestion des déchets.
- Amsterdam
Régulièrement classée parmi les villes intelligentes les plus performantes d'Europe, l'engagement d'Amsterdam en faveur de l'innovation et de la croissance durable est évident dans divers indices mondiaux des villes. Amsterdam a pour objectif de devenir une ville entièrement circulaire d'ici 2050, avec des objectifs intermédiaires fixés pour 2025.
Initiatives clés de ville intelligente adoptées :
Amsterdam Smart City (ASC) : Une plateforme de collaboration qui rassemble des entreprises, des autorités, des instituts de recherche et des citoyens pour façonner l'avenir de la ville.
Portail de données de la ville : Une plateforme de données ouvertes où des ensembles de données liés à divers aspects urbains comme le trafic, la consommation d'énergie et la qualité de l'air sont mis à disposition du public et des entreprises.
Solutions de mobilité : Initiatives telles que "Mobility as a Service" (MaaS) et des solutions de stationnement intelligentes qui guident les conducteurs vers des places libres en utilisant des données en temps réel.
Économie circulaire : Des projets visant à transformer Amsterdam en une ville où rien n'est gaspillé, y compris le recyclage des textiles et la production alimentaire durable.
Infrastructure IoT : Déploiement d'un réseau Long Range (LoRa) à l'échelle de la ville pour l'IoT, facilitant tout, de la surveillance du trafic des bateaux dans les canaux à la collecte intelligente des déchets.
- Stockholm
Dans les classements mondiaux des villes intelligentes, Stockholm occupe souvent une position de premier plan, démontrant son intégration réussie de la technologie au profit des citoyens et de l'environnement. La ville a pour objectif d'avoir 30% de sa flotte de voitures fonctionnant avec des carburants renouvelables d'ici la fin de 2023 et vise à être sans combustibles fossiles d'ici 2040, témoignant de son engagement envers la durabilité.
Initiatives clés de ville intelligente adoptées :
Stockholm Data Parks : Encourager les centres de données à s'installer dans la ville et à utiliser leur excès de chaleur pour chauffer les maisons de Stockholm.
ElectriCity : Un projet axé sur les bus électriques, visant à rendre les transports publics plus silencieux, plus économes en énergie et sans émissions.
Essai de réseau intelligent : Diverses initiatives pour mettre en œuvre des réseaux intelligents qui permettent une distribution et une consommation efficaces de l'énergie.
Ville connectée : Visant à faire de Stockholm une ville leader en matière d'IoT, avec des projets pour tout, de la gestion des déchets aux soins pour les personnes âgées.
eServices : Stockholm propose une gamme de services numériques à ses citoyens, y compris des services de santé en ligne, des plateformes d'éducation en ligne, et bien plus encore.
 
 
EXPOSITIONS
« Les arts en France sous Charles VII » du 12 mars au 16 juin 2024, à Paris (75)
Le musée de Cluny met en lumière un moment charnière de l’histoire et de l’histoire de l’art, celui du règne de Charles VII (1422-1461). Chassé de Paris, réfugié à Bourges, le dauphin Charles réussit à reconquérir son trône, puis son royaume occupé par les Anglais.
Ce règne qui s’inscrit dans une période troublée porte en germe l’extraordinaire renouveau artistique de la fin du 15ème siècle.
L’exposition entend montrer toute la diversité de la production artistique pendant le règne de Charles VII. Elle rassemble de prestigieux manuscrits enluminés, peintures, sculptures, pièces d’orfèvrerie, vitraux et tapisseries. Des oeuvres exceptionnelles y figurent, comme le dais de Charles VII (tapisserie, musée du Louvre), le manuscrit des Grandes Heures de Rohan (BNF), le tableau de l’Annonciation d’Aix (Aix-en-Provence) par Barthélémy d’Eyck, peintre du duc René d’Anjou qui enlumine son Livre des tournois (BNF) ou le gisant d’albâtre d’Agnès Sorel (Ville de Loches).
Enfin, une section entière sera dévolue à Jean Fouquet, l’un des plus grands peintres français du 15ème siècle. Enlumineur de génie, il est l’auteur du célèbre portrait peint sur bois de Charles VII (musée du Louvre), présenté en juste place dans l’exposition.
Au Musée de Cluny, 28 rue du Sommerard, à Paris (5ème)
« Tina Modotti, l'oeil de la révolution » jusqu'au 26 mai 2024, à Paris (75)
Photographe et activiste politique d’origine italienne, le parcours exceptionnel de Tina Modotti (1896-1942) n’a jamais cessé de fasciner.
L’exposition retrace ainsi la carrière unique et le regard précurseur dont est dotée cette citoyenne du monde engagée dans les luttes de son temps, qui fut notamment l'amie et l'interlocutrice des peintres Frida Kahlo et Diego Rivera. Près de 240 tirages, ainsi que des documents d’archives et des revues d’époque, sont à découvrir.
C’est à l’étude de Tina Modotti en tant que photographe qu’invite cette exposition chronologique et thématique conçue en cinq parties. Le parcours dévoile le début de sa pratique photographique, son basculement vers une approche plus singulière au milieu des années 1920 ou encore la vie mouvementée d'une artiste artiste libre et engagée. Au cœur du parcours, l’exposition révèle les traits originaux de son art qui passe de la perfection des formes abstraites à la photographie sociale dans un Mexique en pleine effervescence politique et sociale.
Au Jeu de Paume, 1 Place de la Concorde, à Paris (1er)
« Extérieurs : Annie Ernaux et la Photographie, jusqu'au 26 mai 2024, à Paris (75)
La MEP présente une exposition de photographies issues de sa collection, conçue avec l'autrice Annie Ernaux et rendant hommage à son œuvre littéraire. La sélection de 150 tirages réalisés par 29 photographes, couvre la période de 1940 à 2010. Le parcours s'articule autour de thèmes centraux de son livre Journal du dehors, à savoir : les rituels quotidiens de déplacement et de consommation, la performance de classe et de genre qui hiérarchise la société, mais aussi les sentiments de peur et de solitude que peuvent provoquer les villes modernes.
A la Maison européenne de la Photographie, 5 rue de Fourcy,, à Paris (4ème)
« Robert Mallet-Stevens, Jan & Joël Martel, l'Union parfaite entre Architecture et sculpture » jusqu'au 26 mai 2024, à Croix (59)
Cette exposition evoque Les liens artistiques et amicaux qui ont uni l'architecte et les deux sculpteurs, avant qu'ils ne se retrouvent reunis, tel un aboutissement, dans la realisation du chef-d'œuvre de la villa Cavrois voulu par leur commanditaire et ami Paul Cavrois.
Le parcours de l'exposition concue en deux parties pre sente, d'une part, les protagonistes et les œuvres de Jan et Joel Martel disposees a leur emplacement historique dans la Villa. Entre autres, cinq œuvres ont ete commandees par Mallet-Stevens aux freres Martel: le Bas-relief dans la salle a manger des enfants, L'Hermine ou la Belette dans la salle a manger des parents, le Pigeon a queue plate dans le hall-salon, le Chat assis dans le fumoir et le Medaillon Saint-Christophe dans le bureau de Paul Cavrois.
La deuxieme partie presente l'entente cordiale entre Mallet-Stevens, les freres Martel et Paul Cavrois qui a permis la realisation de l'œuvre totale la plus aboutie de l'architecte qu'est la Villa Cavrois. Exposees dans la salle de jeu des enfants, les œuvres retracent cette parfaite harmonie et une amitie qui s'est consolidee au fil des collaborations comme celle pour l'exposition de 1925 ou pour celle du Casino de Saint Jean-de-Luz.
A la Villa-Cavrois, 60 Avenue du Président John Fitzgerald Kennedy, à Croix (59)
Peindre la nature. Paysages impressionnistes du musée d'Orsay » du 16 mars au 24 juin 2024, à Tourcoing (59)
L’exposition du MUba Eugène Leroy rassemble 58 chefs-d’oeuvre impressionnistes des collections du musée d’Orsay signés Monet, Sisley, Renoir, Pissarro, Cézanne ou Gauguin.
Après l’exposition Chrétiens d’Orient (2018) conçue avec l’Institut du monde arabe, et Picasso illustrateur (2019) avec le Musée Picasso Paris, le MUba Eugène Leroy présente une nouvelle exposition-événement inédite autour du paysage impressionniste, qui témoigne de la richesse des collections du musée d’Orsay et de l’importante dynamique culturelle de Tourcoing.
Exposition présentée dans le cadre des 150 ans de l’impressionnisme avec le musée d’Orsay
Au Muba Eugène Leroy, 2 rue Paul Doumer, à Tourcoing (59)
« Auguste Herbin » du 15 mars au 15 septembre 2024, à Paris (75)
Le peintre Auguste Herbin (1882-1960) est le secret le mieux gardé de l’aventure de l’art moderne. Il a pourtant pris une part active à toutes les ruptures créatives du XXème siècle : fauvisme, cubisme, abstraction. Celui qui, pendant dix-huit années, a vécu au Bateau-Lavoir aboutit dans son ultime manière à un alphabet plastique à visée universelle.
Le musée de Montmartre Jardins Renoir est le premier musée parisien à consacrer une exposition rétrospective à Auguste Herbin, dans la ville où il a créé toute sa vie. Elle retrace, avec des œuvres souvent inédites, les sept périodes de création du peintre : postimpressionnisme, fauvisme, cubisme, objets monumentaux, nouvelle figuration, première et seconde abstraction. Herbin retrouve ici sa juste place dans l’histoire de l’art moderne, et nous donne à découvrir des œuvres de tout premier plan pour chacune des périodes créatrices traversées.
Au Musée de Montmartre Jardins Renoir, 12 rue Cortot, à Paris (18ème)
« Paolo Roversi », du 16 mars au 14 juillet 2024, à Paris (75)
L’exposition Paolo Roversi au Palais Galliera dévoile 50 ans de photographies, et révèle comment l’artiste s’est emparé de la mode pour créer une oeuvre unique. Il s’agit de la première monographie consacrée au photographe à Paris.
D’origine italienne, Paolo Roversi s’installe à Paris en 1973. Depuis, il travaille pour des magazines prestigieux (Vogue italien et français, Egoïste, Luncheon…). Sa carrière est marquée par sa collaboration avec les plus grands créateurs de mode, notamment Yohji Yamamoto, Romeo Gigli, Rei Kawakubo pour Comme des Garçons. Dès ses années d’apprentissage, le choix du studio, de la chambre grand format et du Polaroid, définissent la manière de travailler et l’esthétique du photographe qui s’adapte au numérique avec succès. Sa signature est reconnaissable entre toutes : tonalités douces et sépia des noir et blanc à la lumière du jour, densité et profondeur des couleurs à la lumière de la lampe torche.
Au fil des années, Paolo Roversi cherche, invente son propre langage photographique, accueillant les hasards et les accidents comme des opportunités de se renouveler. Les plus grands mannequins sont passés devant son objectif. Elles posent toujours avec simplicité; leur présence est intense. Chacune de ses photographies de mode est un portrait. Paolo Roversi se tient à la fois au cœur du système et à distance, loin des courants éphémères de la mode. À la recherche de la beauté, il construit une œuvre singulière sur laquelle le temps n’a pas prise.
Cette exposition qui réunit 140 œuvres dont des images inédites, des tirages Polaroid, des archives (magazines, catalogues…) dévoile le parcours professionnel et artistique d’un photographe de mode exceptionnel. Entraînant le visiteur de l’ombre vers la lumière, la scénographie fait du Palais Galliera le studio de l’artiste, un espace imaginaire, le théâtre de tous les possibles.
Au Palais Galliera, 10 Avenue Pierre 1er de Serbie, à Paris (16ème)
 
 
FESTIVALS, FÊTES, EVENEMENTS & SALONS
Francis Huster lit Prosper Mérimée, le 15 mars 2024, à Compiègne (60)
Dans le cadre de l'exposition Prosper Mérimée (1803-1870), le Château de Compiègne aura le privilège de recevoir, le vendredi 15 mars à 20h, Francis Huster, qui prêtera son talent au service d'une sélection de textes de Prosper Mérimée.
Acteur, metteur en scène, réalisateur et scénariste, ancien sociétaire de la Comédie française, Francis Huster a côtoyé les plus grands metteurs en scène au théâtre (Jean-Louis Barrault, Jérôme Savary, ou Robert Hossein) et a été dirigé au cinéma par Claude Lelouch, Nina Companeez, ou encore Andrzej ?u?awski.
Fin connaisseur de la littérature française, il révèlera l'esprit de Prosper Mérimée sous un nouvel éclairage.
Cette soirée exceptionnelle s'inscrit dans le cadre du Festival Paroles.
Au Château de Compiègne, Place du Général de Gaulle, à Compiègne (60)
29è édition de la « Semaine de la langue française et de la francophonie » du 16 au 24 mars 2024
Cette année, cette manifestation a pour thème le Français et le sport : « Sur le podium ».
Les Jeux olympiques et paralympiques sont un événement mondial… où le français joue les premiers rôles. En effet, le français est la langue officielle (avec l’anglais) des Jeux depuis 1896. C’est inscrit dans l’article 23 de la charte olympiquegrâce à Pierre de Coubertin, « père » fondateur des JO de l’ère moderne et du Comité international olympique (CIO).
Dans ce contexte, les prochains Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024(du 26 juillet au 8 septembre) constituent une opportunité en or pour célébrer la langue française dans le monde entier.
Salon Destination Nature, du 14 au 17 mars 2024, à Paris (75)
A ce salon, se tiendra le stand « Chemins d’étoiles » (A096) consacré aux chemins de pèlerinage. Un large choix de livres dont les dix titres de la collection Chemins d’étoiles (Salvator) y sera proposé.
D’autres évènements auront également lieu sur ce stand durant ce salon :
- Séance de dédicaces d'Antoine de Suremain et de Gaële de La Brosse samedi 16 mars, de 14h45 à 15h45
- Conférences : le vendredi 15 mars de 14h15 à 14h45, "Tout savoir pour partir sur les chemins de Compostelle" – Par Compostelle 2000, le samedi 16 mars de 14h15 à 14h45, "Arpenter la France en se nourrissant de plantes sauvages (par exemple sur le chemin de Saint-Guilhem)" – Par Antoine de Suremain, auteur du livre Marche au désert sur le chemin de Saint-Guilhem(éditions Salvator, collection "Chemins d’étoiles"), interviewé par Gaële de La Brosse/ Enfin, le samedi 16 mars de 15h45 à 16h15 [Pour les enfants 6/12 ans], "Découvrir les beautés de la nature en France" – Par Antoine de Suremain
A Paris Expo, Porte de Versailles, à Paris (15ème)
Salon mondial du Tourisme 2024, du 14 au 17 mars 2024, à Paris (75)
A tout ceux dont l’envie de partir se fait sentir, les portes de la 47ème édition du Salon Mondial du tourisme seront grandes ouvertes, du 14 au 17 mars 2024, à Paris Expo Porte de Versailles afin de leur proposer « un océan de possibilités ». L’offre du salon s’enrichit de destinations émergentes ou qui méritent d’être redécouvertes sous un autre angle.
Enfin, à l’instar du voyage, le Salon Mondial du tourisme se transforme et proposera aux visiteurs de nouvelles thématiques (Voyages en train, Art de vivre à la française…) et de nouveaux rendez-vous (Espace Carnets de voyages et Espace Photos et Vidéos, Apéro « Fan de », Espace Réalité Augmentée…) pour les accompagner avant et après leurs escapades.
En 2022, 30 % des Français ont privilégié une ou deux fois le train par rapport à un trajet en voiture. Signe d’une prise de conscience de son bilan carbone, d’un désir renouvelé pour le déplacement contemplatif en train mais aussi de l’ouverture de nouvelles lignes, cet engouement pour le déplacement ferroviaire ne cesse de faire des émules. Rien que pour l’été 2023, la Sncf enregistrait une fréquentation de 24 millions de voyageurs (+4 % vs 2022).
Sur le salon, les visiteurs bénéficieront des conseils des agences de voyages et des offices de tourisme sur les modalités pour rejoindre leur destination par le rail et découvrir aussi les lignes touristiques offrant un point de vue différent d’une région.
Entre juillet et août 2023, 67 % des Français (+3 points vs 2022) sont partis en vacances en week-ends ou longs séjours et 88 % d’entre eux ont privilégié la France (idem 2022). La France conserve cet attrait indiscutable pour nos compatriotes qui ne cessent finalement d’en redécouvrir la richesse patrimoniale, gastronomique et oenotouristique. Ainsi, de nombreuses destinations françaises valoriseront leurs atouts et les nombreuses pépites qu’elles proposent (hébergements, festivités, patrimoine naturel ou bâti, routes gourmandes ou oenotouristiques…)
En 10 ans, le tourisme de mémoire a retrouvé du galon auprès des voyageurs qui y voient l’occasion d’enrichir leur culture mais aussi d’intéresser et de sensibiliser la jeune génération à l’Histoire grâce à des moyens toujours plus didactiques.
En 2024, le tourisme de mémoire sera de nouveau mis en lumière puisque l’on commémorera les 80 ans des débarquements alliés en Normandie et dans le Var. Le Ministère des Armées fera le point sur les nombreux rendez-vous d’ores et déjà prévus à l’instar de l’inauguration, le 6 juin 2024, du Musée du Débarquement d’Arromanches, fraîchement rénové. Rappelons qu’il fut le premier musée construit pour commémorer le 6 juin 1944 et la Bataille de Normandie.
En complément, les visiteurs retrouveront des informations sur les autres manifestations commémoratives, expositions, sites mémoriels…
Au Parc Expo, Porte de Versailles, à Paris (15ème)
Salon « Vivre autrement » du 15 au 18 mars 2024 à Paris (75)
Ethique et Bio
Au Parc Floral de Paris, Route de la Pyramide, à Paris (12ème)
Journée Portes ouvertes de Gîtes de France Lozère le 16 mars 2024
Suite aux succès des éditions précédentes, l'Agence renouvelle cette initiative avec deux gîtes qui ouvriront leurs portes pour une visite immersive. Les participants pourront profiter de l’expérience des propriétaires qui se sont lancés avec succès dans l’activité d’hébergement chez l’habitant aux côtés de Gîte de France.
C'est une opportunité unique de pénétrer au cœur des valeurs du label Gîtes de France : l'accueil, le confort et le partage. Les visiteurs pourront découvrir comment un séjour chez Gîtes de France offre une véritable immersion dans le territoire tout en offrant un cadre reposant.
Samedi 16 Mars, la journée débutera à 10h avec la visite du Gîte Le Balcon des Gorges à SAINT-ROME-DE-DOLAN (48500) classé 4 épis.
Puis à 14h30 les participants se rendront au Gîte Chez Monique à FLORAC (48400) classé 3 épis et situé à proximité du Château du Parc national des Cévennes.
Lors de cette journée, toutes les questions pourront être posées et les porteurs de projet pourront échanger avec des experts Gîtes de France mais également avec des propriétaires.
Cette journée est un moment d'échanges et de découverte, mettant en avant l'engagement des propriétaires et l'importance du réseau Gîtes de France pour le tourisme en Lozère.
Festival « Italiart » jusqu'au 31 mars 2024, à Dijon (21)
La dix-huitième édition du Festival Italiart va vous faire beaucoup rire avec deux spectacles au goût sucré. Le premier avec Roberta Checchin, qui raconte les aventures d’une Italienne à Paris avec une mauvaise prononciation de certains mots de la langue française, ce qui donne lieu à des situations hilarantes. Roberta nous raconte l’histoire du bidet, explique comment séduire une Italienne et pourquoi certains plats dits italiens ne le sont pas du tout.
L’autre spectacle vous fera mourir de rire est celui d’Antonio Di Stasio, qui raconte son arrivée en France depuis la région de la Ciociaria (près de Rome) avec sa famille composée de personnages drôles et déjantés. Au milieu des rires, il vous apprendra comment faire un bon café, des pâtes aux tomates, et bien d’autres choses encore.
Bien sûr, le village gastronomique italien de la place Darcy ne saurait manquer à l’appel, avec le meilleur de la gastronomie et du vin du bel paese et des surprises...
Fête du Crémant et du Tape-Chaudron, le 16 mars 2024, à Châtillon sur Seine (21)
L’histoire du Tape-Chaudrons remonte à plusieurs siècles en arrière. D’après un ancien écrit, l’origine de cette fête remonte au Ve siècle alors que les Huns envahissaient le territoire. On raconte que les villageois avaient créé un très grand élevage d’escargots afin que ceux-ci fassent glisser les chevaux et cavaliers dans la plaine. Cependant, la veille de mardi gras, les habitants trop occupés à préparer la fête n’auraient pas vu venir l’attaque. En guise de victoire pour ces derniers, les villageois ont été obligés de chasser les escargots en tapant très fort sur leur bouclier et en criant « « Au chaudron, Tape chaudron ». Parce qu'il n'y a pas que les dégustations de crémant et le défilé qui font de cette manifestation un emblématique de Côte-d'Or, retrouvez également de nombreuses autres activités proposées tout au long de ce week-end festif avec :
• La randonnée du Crémant
• Les autres dégustations dans les caveaux des vignerons et des producteurs de vins
• L'intronisation à la Confrérie des Echansons du Châtillonnais
• De la restauration sur place
• Le brûlage du traditionnel « Bonhomme Carnaval »
• Un feu d'artifice
En voilà, un drôle d’évènement qui mêle à la fois l'univers du vin et du carnaval ! Tradition ancestrale, cette fête incontournable se déroule tous les ans en mars à Chatillon-sur-Seine.
Autrefois, les habitants défilaient en tapant sur des chaudrons afin de faire fuir l’hiver et fêter l’arrivée du printemps. Désormais, ce sont des chars décorés qui défilent dans toute la ville avec de nombreux groupes déguisés et musiciens qui animent le carnaval. Étant donné que cette fête se situe au cœur de la Route du Crémant, il est de coutume que ce carnaval se célèbre accompagné d'un petit verre de pétillant.
C’est le 13 avril 2025 que l’Expo 2025 Osaka ouvrira ses portes au public, à Yumeshima et ce, jusqu’au 13 octobre.
Le thème en sera « Concevoir la société future pour nos vies ».
Les billets d'entrée, qui sont en vente depuis le 30 novembre vous inciteront peut être à vous y rendre et à profiter de cette occasion pour visiter Osaka et la région du Kansai dans son ensemble.
Pourquoi ne pas découvrir le château d'Osaka, situé au centre d'Osaka, et qui a la forme d’une tour d'environ 50 mètres de haut avec 5 étages visibles à l'extérieur et 8 étages à l'intérieur. L'observatoire, qui offre une vue panoramique de la ville, est situé au 8ème étage. Dans le parc du château d'Osaka, les visiteurs peuvent se promener tranquillement parmi les fleurs de saison.
Après avoir visité le château d'Osaka, partez à la découverte de la vie nocturne éclairée au néon à Shinsekai, un quartier animé situé dans la partie sud de la ville d'Osaka. On y trouve une grande variété de restaurants et d'établissements savoureux, dont beaucoup servent la spécialité locale, le kushikatsu (escalopes en brochettes).
La préfecture voisine de Shiga abrite le plus grand lac du Japon, le lac Biwa. Faites le tour de ce magnifique lac à vélo tout en écoutant le bruit des vagues. Il existe de nombreux ports pour cyclistes autour du lac Biwa, ainsi que des hébergements confortables offrant une gamme complète de services pour les cyclistes, qu'ils soient débutants ou experts.
Salon des Seniors, du 13 au 16 mars 2024, à Paris (75)
Le Salon des Seniors a pour mission de répondre à toutes les questions que se posent les seniors et leur propose un voyage dans leur galaxie à travers six univers thématiques : M’évader, Me divertir / Mon bien-être, Prendre soin de moi / Ma santé / Ma vie active / Mes droits, Ma retraite, Mon patrimoine / Mon cadre de vie.
A titre d’exemple,Gaële de La Brosse, collaboratrice de l’hebdomadaire Le Pèlerin donnera une conférence dont le thème sera : "10 conseils pour se (re)mettre en marche, sur des chemins qui ont du sens" (salle 100), le jeudi 14 mars de 16h30 à 17h15.
A Paris Expo, Porte de Versailles, Paris (15ème)
 
REPORTAGE DE LA SEMAINE
Exposition "Précieux déchets" (Cité des Sciences et de l'Industrie, Paris, France) Ce sont chaque année plus de deux milliards de tonnes de détritus qui sont générés à l'échelle planétaire. Il est évident que notre façon de concevoir, de produire et de consommer laissera une marque indélébile et toxique pour les futures générations, d'autant plus qu'un bon nombre de ces déchets souillent le sol, l''eau et l'air de notre planète. L'exposition « Précieux déchets » présentée jusqu'au 1er septembre prochain, à la Cité des Sciences et de l'Industrie à Paris (75), invite à prendre conscience de cette pollution tout en incitant à une réduction draconienne de leur quantité et en envisageant un retraitement intelligent de ces déchets.
Conformément à la réglementation sur la protection des données à caractère personnel, vous bénéficiez d'un droit à l'information,
d'accès, de rectification et de suppression des données, d'un droit d'opposition notamment pour tout traitement lié à la diffusion
d'informations, d'un droit à la limitation du traitement, d'un droit à la portabilité de vos données ainsi que du droit de définir
des directives relatives au sort de vos données après votre décès. Pour exercer ces droits, écrivez -nous à : contact@leglobeflyer.com.
Pour en savoir plus, consulter la rubrique données personnelles. Si vous ne souhaitez plus recevoir nos newsletters, cliquez ici.