A la question : peut-on se passer des réseaux sociaux ? Je réponds oui. On s'est laissé progressivement envahir par ces nouveaux moyens de communication qui, selon moi, isolent plus qu'ils ne nous aident à communiquer. Et nombreux sont les jeunes et moins jeunes qui tombent dans le panneau en adhérant à ce genre de structure. Et moi le premier ! Comme beaucoup, j'utilise Whatsapp, non pas pour y raconter ma vie (qui ne concerne que moi)mais pour joindre famille et amis facilement et gratuitement. Aussi par facilité, je l'avoue. Mais ce type de logiciel ne m'enrichit en rien, car ce n'est que du virtuel, qui fait seulement illusion.
J'arrive à penser que ces plateformes d'échanges et de partage d'informations sur internet sont une invention diabolique destinée en apparence à élargir le cercle de ses amis. En fait, c'est le contraire qui se passe ; ces plateformes de relations virtuelles servent à isoler les êtres pour les rendre plus vulnérables et dépendants. De plus toutes les informations échangées sur ce genre d'application sont récupérées sans votre autorisation pour être revendues à des agences publicitaires,qui vous adressent ensuite des offres commerciales ciblées par rapport à vos besoins.Gain de temps et gain d'argent. Et ces réseaux sociaux, simples outils au service de milliardaires (ou pas), et même désormais des mafias et autres dégénérés qui sévissent sur la toile (comme l'application Coco).
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Demandez au jeune Philippe abattu à coups de hache et de batte de base-ball ce qu'il pense des réseaux sociaux ? D'après les premières informations, le pauvre garçon, pensant échanger sur le net avec une jeune fille a été victime d'un traquenard fomenté par deux déchets humains, des mômes irrécupérables et surtout très dangereux pour le reste de la population qu'ils côtoient.
En ce qui me concerne, je deviens peut être asocial et grincheux en vieillissant mais je préfère converser avec mon chien, lui, au moins ne me contredit pas, et est toujours de bonne humeur. Mieux, il remue la queue de contentement. Allez demander cela (d'être toujours content, pas de remuer la queue!) à un être humain...
Je ne suis pas plus malin qu'un autre mais je me méfie de cette technologie qui, vous l'avez sans doute remarqué, n'est faite que pour vous isoler de vos congénères : la télévision en soirée a remplacé les veillées en famille, le téléphone portable, espion de tous les instants, nous captive tellement qu'on ne s'ouvre plus au monde, et donc à ceux qui nous entourent et avec lesquels on aurait autrefois échanger quelques mots.
Cela m'attriste d'autant plus que la jeunesse se livre corps et âme à ce moyen de communication, en en ignorant les dangers, à commencer par le risque de faire de mauvaises rencontres, avec escroquerie, usurpation d'identité, chantage, cyberharcèlement et désinformation à la clef et de perdre son temps à échanger sur ces fichus réseaux (virtuels) au lieu d'écouter chanter les zoziaux (réels) en pleine nature.
 
LE CLIN D'OEIL DU MOMENT
La revue In Corsica nous gratifie, dans son numéro d'avril, d'un bel et long article sur Marie-José Nat (page 76), laquelle nous a quitté, à l'âge de 79 ans, en 2019. Celle qui était née en 1940 à Bonifacio, d'un père militaire de carrière originaire d'Algérie et d'une bergère corse, disait que sa vie s'était déroulée « comme un conte de fées ». Trois films cultes marquèrent sa carrière : La Vérité (1960), Elise ou la vraie vie (1970) et Les Violons du Bal (1974) On se souvient également de la série TV « Les Gens de Mogador » . On la voit en photo dans cet article aux côtés de notre cher et regretté Jean-Claude Brialy, mais aussi, à la page suivante, entourée de Jacques Chirac, Victor Lanoux, Serge Rezvani (son mari), Claude Rich, Johnny Hallyday, Alain Delon, Nathalie Baye, Line Renaud, Mireille Mathieu, Tino Rossi, Dalida et Régine. Une brochette d'artistes comme on n'en fait plus.
Autre article de ce numéro : Les 150 ans de l'impressionnisme avec le musée d'Orsay et le projet du Palais Fesch (page 94). A lire sans modération...
 
 
MURIEL ET LE CLIMAT
Aujourd’hui, je vous invite à regarder « Climat : le film » (https://youtu.be/zmfRG8-RHEI) , qui expose l’alarme climatique comme une frayeur inventée sans aucun fondement scientifique. Cela montre que les études traditionnelles et les données officielles ne soutiennent pas l’affirmation selon laquelle nous assistons à une augmentation des événements météorologiques extrêmes – ouragans, sécheresses, vagues de chaleur, incendies de forêt et tout le reste. Cela contredit catégoriquement l’affirmation selon laquelle les températures et les niveaux actuels de CO? atmosphérique sont inhabituels ou inquiétants. Au contraire, par rapport au dernier demi-milliard d’années de l’histoire terrestre, les températures actuelles et les niveaux de CO? sont extrêmement et inhabituellement bas. Nous sommes actuellement dans une période glaciaire. Cela montre également qu’il n’existe aucune preuve que l’évolution des niveaux de CO? (ils ont changé à plusieurs reprises) a jamais « entraîné » le changement climatique dans le passé.
Pourquoi alors nous répète-t-on, sans cesse, que le « changement climatique catastrophique provoqué par l’homme » est un fait irréfutable ? Pourquoi nous dit-on qu’il n’y a aucune preuve qui le contredit ? Pourquoi dit-on, que quiconque, qui remet en question le « chaos climatique » est un « platiste » et un « négationniste de la science » ? Le film explore la nature du consensus derrière le changement climatique. Il décrit les origines du mouvement de financement climatique et la montée en puissance d’une l’industrie climatique, pesant des billions de dollars. Il décrit les centaines de milliers d’emplois qui dépendent de la crise climatique. Cela explique l’énorme pression exercée sur les scientifiques et autres pour qu’ils ne remettent pas en question l’alarme climatique : retrait des fonds, rejet par les revues scientifiques, ostracisme social. Mais l’alarme climatique est bien plus qu’un mouvement de financement et d’emploi.
Le film explore la politique du climat. Il comprend des entretiens avec un certain nombre de scientifiques de renom, dont le professeur Steven Koonin (auteur de « Unsettled », ancien doyen et vice-président de Caltech), le professeur Dick Lindzen (ancien professeur de météorologie à Harvard et au MIT), le professeur Will Happer (professeur de physique à Princeton), Dr John Clauser (lauréat du prix Nobel de physique en 2022), professeur Nir Shaviv (Institut de physique de Racah), professeur Ross McKitrick (Université de Guelph), Dr Willie Soon et plusieurs autres. Le film a été écrit et réalisé par le cinéaste britannique Martin Durkin, et est la suite de son excellent documentaire de 2007 « The Great Global Warming Swindle. » Tom Nelson, un podcasteur qui examine en profondeur les questions du débat climatique, depuis près de deux décennies, a produit le film.
Marie-José Nat, actrice française née à Bonifacio, nous a quitté en 2019. Nous sommes nombreux à l’avoir admiré dans la série télévisée « Les Gens de Mogador » , en treize épisodes, diffusée pour la première fois le 18 décembre 1972 sur la première chaine de l’ORTF.
Julia Angellier (Marie-José Nat) est la fille aînée d'un monarchiste convaincu. Elle aime Rodolphe Vernet, le fils d'un colonel bonapartiste. Pour son père, c'est un amour inacceptable, mais la jeune femme est déterminée et Rodolphe fou de passion. La série relate la saga familiale entre le Second Empire et la Seconde Guerre mondiale, une histoire émaillée des conséquences des guerres, des jalousies, des maladies, des amours contrariées et des grands bonheurs sur plusieurs générations, avec au centre la propriété familiale de Mogador dans le sud de la France.
Dimanche 21 avril 2024 : Ce dimanche s’annonce ensoleillé alors que nous marchons déjà en forêt, moi et mon maitre
Lundi 22 avril 2024 : A force de faire copain copain avec mes congénères, je suis tombé ce matin sur un de mes semblables, qui ne m’appréciait pas et avec lequel je me suis battu. Mon maitre m’avait mis en garde mais je n’ai pas écouté.
Mardi 23 avril 2024 :J’ai encore vomi ce soir tout mon diner au retour de notre promenade
Mercredi 24 avril 2024 : Mon maitre m’a offert une balle colorée qui fait pouis-pouic. J’adore !
Jeudi 25 avril 2024 : J’ai encore rendu ce matin à 5h30.Mon maître s’est vite réveillé pour nettoyer derrière moi et me réconforter
Vendredi 26 avril 2024 :On se croirait au mois d’octobre, tant il fait froid ce soir. Et l’on parle de réchauffement de la planète ? Heureusement, froid, moi ? Jamais, grâce à mon thermofacile de chez Clébard, un sous-vêtement au poil avec ses mailles resserrées.
Samedi 27 avril 2024 : Mon maitre s’est lancé dans la confection d’une tarte au citron meringuée, un dessert que j'ai validé en tant que « testeur officiel »
 
 
VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR
La présence de la France en Afrique : Jean-Pierre Augé, auteur de "Afrique Adieu. Mémoires d'un officier du secteur Afrique noire de la DGSE" publié aux éditions Mareuil, s’entretient avec André Bercoff sur son parcours (https://youtu.be/Lfg8YBmpyPs à partir de la 40è minute)
 
 
NOUS PRENDRAIT-ON POUR DES ABRUTIS ?
Europe contre Russie : l’inquiétante loi qui vous enverra au front (grâce à votre épargne) : https://youtu.be/-whuAXhhGtg
Même les banques centrales (BCE, FED) sont en déficit, avec Pierre Jovanovic (source:TVLibertés)
Comment fabriquer un million de dollars en cryptomonnaies avec trois fois rien (c’est déjà quelque chose)...ou presque ?
A la veille d’un probable bull-run, hackers et cybercriminels restent plus actifs que jamais, desservant plus le monde de la cryptomonnaie qu’ils ne le servent.
Il faut d’abord savoir que le cryptojacking consiste à exploiter sans y être autorisé la puissance informatique d’une personne ou d’une entreprise afin de miner des cryptomonnaies. Grâce à ce genre de combines, l’homme a tout de même dégagé un profit d’un million de dollars.
 
 
LE PETIT MANUEL DU RESISTANT
CSI (Conseil Scientifique Indépendant) N°145 du jeudi 25 avril 2024 : l’invité est Dr Pierre Kory, Médecin réanimateur et Fondateur du Front-Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC), spécialiste des pathologies pulmonaires et spécialiste de l’Ivermectine. Thème abordé : La Food and Drug Administration (FDA) américaine sanctionnée pour sa communication sur l'ivermectine (https://crowdbunker.com/v/HBMLUwKm)
 
 
ACTIVONS NOS NEURONES
Voici quelques informations sur notre moyen de locomotion le plus utilisé en Europe, la voiture :
- La conduite à droite est pratiquée dans près de 70 % des pays, à l’exception de l’Australie, de l’Inde, du Japon et du Royaume-uni. On imagine que les Romains conduisaient les chars à gauche pour garder la main droite libre afin de manier les armes
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- La voiture particulière reste le premier moyen de déplacement terrestre des Européens avec 87,2 % des distances parcourue (données Eurostat 2022)
- A Chypre, boire (ne serait-ce que de l’eau) ou conduire, il faut choisir.
- En Australie, sortir la main par la vitre même pour l’agiter, est une infraction.
- En Thaïlande, il est interdit de conduire torse nu
- Dans la majorité des pays scandinaves, les conducteurs doivent laisser les phares allumés, même en plein jour.
- Un automobiliste suisse a reçu une amende de 275000€ pour avoir traversé un village à 137 km/heure, soit 57 km/h de plus que la vitesse autorisée. L’amende a été calculée en fonction des infractions antérieures et des revenus du chauffeur.
- L’Allemagne est l’un des rares pays à ne pas imposer de limite de vitesse sur autoroute. La vitesse moyenne pratiquée étant de 142km/h, ce réseau autoroutier est l’un des plus sûrs au monde.
- Cela fait 95 ans que l’on écoute la radio à bord de son véhicule : les premiers récepteurs radio installés dans les années 1930, étaient couteux et ne captaient que les ondes moyennes. Le premier auto-radio AM/FM n’arrivera qu’en 1953.
- En 1984, Emil et Liliana Schmid embarquaient à bord d’une Toyota Land Cruiser bleue pour un très long voyage. En 40 ans, le couple a en effet parcouru 741065 km dans 186 pays. Aujourd’hui les Schmid, qui sont octogénaires, partent moins souvent mais détiennent malgré tout le record Guinness du plus long voyage au volant d’un véhicule.
- En Alaska, la Dalton Highway est l’une des routes plus dangereuses au monde : ses deux voies de gravier s’étirent sur 666 km, sans réseau téléphonique et avec trois stations-service seulement. On y rencontre de nombreux nids de poule et l’hiver, les conditions de circulation sont rendues encore plus difficiles à cause des avalanches et des congères.
- Un véhicule est volé dans le monde...toutes les six minutes ! En Europe, et en haut de ce (triste) podium, on trouve l’Italie (avec 276 vols de véhicules pour 100000 habitants) suivie par la France (avec 261 vols).
- Si la voiture sans chauffeur n’est pas une idée futuriste, ces véhicules robots circulent déjà aux Etats-Unis, sans toutefois offrir des conditions suffisantes de sécurité (freinages inappropriés notamment) et l’on compte des centaines d’accidents.
Comme vous pouvez le constater, même si la voiture n’est pas parfaite, elle est loin d’être arrivée au...bout du rouleau (photo).
 
 
DU COTE DE CHEZ NOUS
Christian Combaz, romancier et essayiste, chroniqueur au Figaro et dans divers journaux, et réfugié en province depuis trente ans, nous invite à écouter une France que personne n'entend plus mais dont il craint qu'elle ne finisse par élever la voix. L'homme, qui a manifestement de la conversation, possède sa chaine Campagnol Tvl (https://odysee.com/@campagnoltvl:2) sur laquelle il diffuse ses vidéos :Ne démarquez pas, c’est un enfant (https://odysee.com/@campagnoltvl:2/habeas22:6)
 
 
MON JARDIN EN MAI
En mai, … la douceur s’installe sur le jardin et la nature reprend ses droits. Le jardinier a beaucoup de travail devant lui. C’est notamment le moment de planter les fleurs annuelles comme les géraniums, bégonias, etc. ainsi que les légumes dans le potager :
La pelouse : retracer les bordures des massifs à la cisaille ou à la bêche pour obtenir un contour précis. Arroser les nouvelles pelouses et autre zones de regarnissage et tondre une fois par semaine.
Au jardin : planter les plantes et fleurs dans les massifs et les jardinières (géraniums, pétunias, impatiences, bégonias), les pivoines et les iris, les plantes vivaces (les prendre en fleurs), les clématites et autres grimpantes, les palmiers (espèces rustiques en région tempérée), les bulbes d’été (dahlias, glaïeuls, crocosmia, bégonias, lys, hémérocalles, cannas, vallota...), les rosiers en fleurs (à planter à côté des pieds de lavande pour éloigner les pucerons), les fleurs annuelles (capucines, soucis, oeillets d’Inde, tournesols soleil, alysses, nigelles et centaurées, cosmos, pavots, cléomes et roses trémières) et les pois de senteur.
Tailler les arbustes printaniers (forsythias, corêtes, cognassiers du Japon), les bruyères d’hiver et les genêts.
Surveiller les plantes (les préserver des premières attaques de parasites – pucerons, oïdium, taches noires, rouille, dépérissement...).
Couper les dernières fleurs et feuilles fanées sur les bulbes de printemps, éparpiller des granulés anti-limaces dans les massifs en cas de temps humide, retirer les fleurs fanées des rosiers, installer un système d’arrosage goutte à goutte
éliminer les mauvaises herbes et apporter de l’engrais aux plantes et aux rosiers.
Au potager :
Semer les premiers légumes : légumes racines (carottes, radis, betteraves, panais, navets), cerfeuil, épinards, choux-fleurs, brocolis, laitues à couper, cresson, mesclun, persil, thym, estragon, ciboulette, pommes de terre.
Eclaircir les semis.
Au verger :
Ramasser et brûler les jeunes fruits tombés au sol, éclaircir les jeunes fruits sur les arbres trop chargés, installer des pièges à phéromones, des pièges à glu (pour protéger cerises, pommes et fraises) et prévenir les attaques des pucerons sur les cerisiers.
Au jardin intérieur :
Arroser les plantes plus généreusement, apporter de l’engrais tous les quinze jours, faire tremper les orchidées durant 5 à 10 minutes chaque semaine et apporter de l’engrais spécial orchidée tous les quinze jours. Inspecter les plantes (pour détecter d’éventuels parasites), ouvrir en grand les fenêtres par beau temps pour aérer et sortir les plantes à l’extérieur une fois le risque de gel passé.
 
 
LE MUSEE DU MOIS
Musée de l'Archerie et du Valois, de Crépy-en-Valois (60)
C’est en 1938 que Messieurs Michon, Duval et Quentin, membres du Syndicat d’initiatives de Crépy ont l’idée de créer un musée sur le folklore local et l’histoire du Valois à Crépy-en-Valois. Les premières collections, essentiellement ethnographiques, rassemblent des objets de la vie quotidienne et se constituent grâce aux dons des Crépynois. Le musée ouvre ses portes le 26 mars 1939. Malheureusement, la Seconde Guerre mondiale sonne sa fermeture dès 1940 et le château est bombardé de mai à août 1944.
Après la guerre, M. Charles Michon et la famille Scart rencontrent deux célèbres spécialistes de muséologie et de traditions populaires, Messieurs Georges-Henri Rivière et Roger Lecotté. Ces deux savants suggèrent de consacrer le musée aux traditions des compagnies d’arc, particulièrement présentes et actives dans le nord de la France. Grâce à l’association des Amis du Valois, le musée de l’archerie ouvre en 1949. Il est inauguré lors du Bouquet provincial organisé à Crépy-en-Valois cette même année.
M. Roger Scart, chevalier d’arc, prend bénévolement la direction de ce musée associatif qui acquiert rapidement le statut de « musée contrôlé ». M. Scart demeure en poste jusqu’à sa mort en 1959. C’est alors son épouse, Mme Pierrette Scart, qui le remplace à la tête du musée jusqu’à son propre décès en 1989. M. Philippe Gouble, son adjoint bénévole depuis 1964, prend ensuite les rênes de l’établissement. Au cours de cette période, les collections d’archerie s’enrichissent régulièrement d’achats et de dons.
Petit à petit, sous l’impulsion de la Ville et de l’association des Amis, de nouvelles salles de l’ancien château ouvrent au public : la chapelle Saint-Aubin en 1955, la Grande salle en 1960 et la chapelle haute Sainte-Marie en 1974.
Par ailleurs, suite aux expositions d’art sacré organisées par M. Gouble, tant au musée que sur le territoire du Valois, plusieurs communes des trois cantons environnants expriment le souhait de déposer une partie de leur patrimoine religieux au musée. Afin de pouvoir légalement recevoir ces multiples dépôts, le musée passe administrativement sous le contrôle de la commune de Crépy-en-Valois en 1974 et devient alors musée municipal.
L’évolution générale des musées conduit la Direction des Musées de France à réclamer, auprès de la Ville, la nomination à sa tête d’un professionnel. Une personne assure dès lors la direction scientifique de l’établissement, sans pour autant être exclusivement attachée au musée, tandis que M. Philippe Gouble continue de gérer une bonne part du quotidien jusqu’en 2004. Le musée est successivement dirigé par Mme Marie-José Salmon jusqu’en 1996, conservateur en chef du musée départemental de l’Oise, par M. Nicolas Dejardin-Hayart (1996-1998), attaché de conservation, puis, par l’Écomusée de l’Oise (1999-2002) et M. Eric Blanchegorge (2004-2011). Sous la direction de ce dernier le « musée contrôlé » devient un musée labellisé « Musée de France », conformément à l’application de la Loi Musée du 4 janvier 2002. Depuis 2012 et l’arrivée de Mme Marion Roux-Durand, attachée de conservation, le musée possède une direction qui lui est propre.
Musée de l’Archerie et du Valois, rue Gustave Choupinet, Crépy-en-Valois (60)
 
 
FESTIVALS, FÊTES, EVENEMENTS & SALONS
Ouverture de la Maison Jean Cocteau, du 2 mai au 3 novembre 2024, à Milly-la-Forêt (91)
Situee a Milly-la-Foret, un charmant village de l’Essonne, a l’ombre du chateau de la Bonde qui constitue son ecrin, la Maison du Bailli que Jean Cocteau a acquise juste apres le tournage de La Belle et la Bete, a ete son refuge, de 1947 a 1963, date de sa mort.
Visiter sa maison, se promener dans son jardin est une traversee du miroir, de notre monde vers le sien. Tout, de l’eau des douves qui coule sous les ponts et qui miroite sur le plafond du salon, aux tourelles en encorbellement qui encadrent l’entree au fond de l’impasse, participe a la poesie du lieu, evoque le genie de cet artiste. Cette maison est modelee a son image.
Propriete de la Region Ile-de- France depuis 2019, la Maison agrandit les espaces de visites. En 2024, le second etage de la Maison, jusqu’ici ferme au public, sera ouvert. Cet etage, devolu a Jean Marais du vivant de Jean Cocteau, donne a voir une œuvre exceptionnelle de l’artiste et sera l’occasion d’evoquer la relation entre ces deux personnages, la force de leur amour et les œuvres, theatre, dessins, sculptures, poemes, films, qui en sont les traces.
Chez Jean Cocteau, c’est « musiques a tous les etages ! »
De fin juin a mi-septembre, les samedis a 18H, on y entendra des melodies, des chansons que Jean Cocteau appreciait, et dont la diversite temoigne de son eclectisme : de Debussy, Ravel ou Satie a Edith Piaf et aux chansons des rues, sans oublier le Groupe des Six (anime par le poete et scelle par une amitie partagee).
Une exposition temporaire inedite explore le lien que le poete entretenait avec les musiques et les musiciens de son temps, lui qui a pratique presque tous les arts... sauf celui-ci ! Elle permet un voyage musical a travers le XXème siecle, en commencant par Le Sacre du Printemps d’Igor Stravinsky pour s’achever Sous les Ponts de Paris.
Enfin, La Maison Jean Cocteau accueille egalement les visiteurs qui souhaitent seulement deambuler dans le jardin. Nouveaute de cette annee, une buvette avec boissons chaudes et rafraichissements, gateaux et glaces est installee ainsi qu’une boutique qui privilegie les produits locaux.
Nature en fête au Parc Sainte Marie, les 4 & 5 mai 2024, à Nancy (54)
La 27ème édition de "Nature en Fête", un événement très attendu des Nancéiens, se déroulera samedi 4 et dimanche 5 mai prochain au parc Sainte-Marie.
Cette fête a su imposer son identité au niveau régional, s'enrichissant au fil des années sans déroger à sa vocation première : la valorisation du savoir-faire des horticulteurs de la région. Ces deux journées sont toujours un moment d'échanges et de rencontres privilégiés entre les visiteurs, les professionnels et les partenaires de la Ville de Nancy dans son action pour la préservation de la biodiversité et la transition écologique.
A travers "Nature en fête", la Ville de Nancy offre aux habitants en un même lieu et dans un cadre magnifique tout ce qu'il faut pour embellir leur jardin ou leur balcon, du compost aux acquisitions de plantes, en passant par les conseils et la pédagogie pour choisir les plantes les plus adaptées aux atouts et aux contraintes de chacun. Sans oublier les éléments décoratifs, avec des stands dédiés.
"Nature en Fête" répond également aux demandes de circuits courts et durables, avec la présence d'horticulteurs et de producteurs régionaux. Pour cette édition, 125 exposants dont 23 des Saveurs paysannes se déploieront à l'intérieur du parc Sainte Marie.
Un lien fort avec l’art nouveau sera mis en avant lors de cette édition, dans le cadre de la remise du prix Victor Lemoine, à travers quelques nouveaux exposants. Le Musée de l’Ecole de Nancy présentera sur un stand les premiers éléments de sa future exposition d’autochrome de Julien Gerardin.
La Maison du vélo proposera, à l’entrée du parc Sainte-Marie située rue du Maréchal Juin, une balade à vélo le samedi 4 mai et le dimanche 5 mai à 14h30. Objectif de cette promenade : découvrir les curiosités botaniques situées dans Nancy.
Points forts du week-end :
Graines de citoyens
La Direction Écologie et Nature de la Ville de Nancy distribuera aux visiteurs un sachet de graines de fleurs sélectionnées avec soin. Les espèces choisies sont sauvages, locales, économes en eau et rustiques. Sur le stand de la direction Nature et écologie.
Plantation de jardinières
Les jardiniers de la Ville de Nancy présenteront le fleurissement créé cette année dans Nancy ainsi que des plantes du patrimoine lorrain. Ils conseilleront les personnes souhaitant réaliser une ou plusieurs jardinières avec des plantes choisies auprès des différents horticulteurs exposants. La Ville de Nancy leur offrira le terreau nécessaire à la plantation des végétaux. Sur le stand de la direction Ecologie et Nature de la Ville de Nancy.
Distribution de compost
La Métropole du Grand Nancy restituera du compost aux habitants sur le parking situé rue du Maréchal Juin.
Brouettes
Le service Écologie et Nature pourra apporter vos contenants jusqu'aux limites du parc, en brouette.
Les samedi 4 et dimanche 5 mai de 10h à 19h. Entrée gratuite, par les portes avenue Boffrand, avenue du Maréchal Juin et Nancy Thermal.
Parcours Mode, Bijoux, Design, jusqu'au 10 novembre 2024, à Paris (75)
Quels liens unissent la mode, les bijoux et le design? Sur les 5 niveaux des galeries permanentes dédiées au design, découvrez une présentation inédite de 30 silhouettes de mode et 100 bijoux de créateurs et de prestigieuses maisons. Les pièces emblématiques de Cartier, Van Cleef & Arpels, Christian Dior, Lanvin ou encore Balmain, dialoguent avec les grands noms du design comme Ettore Sottsass, Ron Arad, Philippe Starck ou encore les frères Campana. Cette présentation permet également de révéler les nouvelles acquisitions de ces trois domaines.
Au Musée des Arts décoratifs, 107, rue de Rivoli, à Paris (1er)
 
 
TOURISME
Les 15 choses à voir à HongKong
Jadis port de pêche et ville commerciale aux multiples encens, Hong Kong signifie littéralement " port aux parfums ". Actuellement l'un des endroits les plus peuplés du monde, Hong Kong vit aux fluctuations de la bourse. Nature ou béton, chacun trouve sa place dans cette cité du passé futuriste. Voici 15 endroits à ne pas manquer :
- Le peak ou Pic Victoria
Ce sommet de 552 mètres qui culmine au coeur de Hong Kong vous offrira une vue panoramique à 360°. Vous accéderez au sommet grâce au Peak Tram, un funiculaire conçu en 1888 qui est devenu une attraction touristique. Bien que la montée soit seulement de 5 minutes, sa trajectoire en pente vous collera contre le dossier de votre siège ! Pour une vue dégagée, priviliégiez un soleil radieux ou une nuit étoilée. En plein jour, la jungle urbaine s'ouvrira sous vos yeux, mais aussi la baie de Victoria, Kowloon et les collines des Nouveaux Territoires. Tout ne sera pas de béton car la vue du sud vous apportera une végétation luxuriante agréable à contempler.
- Les marchés traditionnels
Les marchés de Hong Kong sont un excellent moyen de plonger dans l'ambiance populaire de la ville. Profitez de cette atmosphère, car celle-ci ne durera plus pour très longtemps, certains quartiers étant promis à la destruction. Faites un tour en journée aux marchés de Gage Street et Graham Street. Très pittoresque, vous y contemplerez de nombreux étals en tous genres : bouchers, fleuristes et primeurs aux allures d'antan. De nuit, savourez le marché de Temple street. Un nombre incroyable de stands vous y attend, la pause souvenir idéale ! C'est aussi un excellent endroit pour se restaurer à petits prix.
- HongKong en tramway
Connus localement sous le nom Ding Ding à cause de leurs bruits, les tramways sont les paradoxes de Hong Kong. Dans une ville continuellement en expansion tout en se modernisant de jour en jour, ces tramways sont nés en 1904 et n'ont pas beaucoup changé ! Possédant à leurs créations qu'un seul étage, c'est en 1925 qu'un deuxième étage voit le jour. Aux nombres de 163, ces tramways transportent chaque jour à peu près 230.000 passagers. Cela en fait le réseau de tramway à étage le plus dense au monde. Ce moyen de transport est d'une grande valeur sentimentale pour les Hongkongais. En effet, le tramway les a vu grandir mais reste aussi le moyen le moins cher de parcourir la ville (2 HK$ à payer en sortant).
- Escapade sur l’île de Lantau
Pour accéder à cette île, il faudra utiliser le téléphérique Nqonq Ping 360. Le trajet est une véritable merveille, vous verrez défiler sous vos yeux des vallées et des monts plus poétiques les uns que les autres. Pendant l'ascension vers le Bouddha de bronze de 34 mètres, qui fut jadis le plus grand au monde, vous passerez devant le village de Ngong Ping. Arrivés devant l'imposante statue, vous vous rendrez compte de la communion parfaite entre humain et nature au sein de ce lieu. L'autre attraction touristique d'envergure de l'île est le monastère, récemment rénové, de Po Lin. Ce sanctuaire bouddhiste est l'un des plus importants de Hong Kong et rassemble de nombreux moines pour des événements pittoresques. Surnommé le " Royame bouddhiste du sud ", n'oubliez pas de faire un tour à la cantine végétarienne du monastère qui bénéficie d'une excellente réputation.
- Les repaires d’artistes
Faites un tour au Cattel depot Ping. Ce village rassemble de multiples talents utilisant différents supports artistiques. Plasticiens, photographes ou peintres, vous trouverez l'expression esthétique qui vous correspond le mieux. À chaque porte que vous pousserez, une pépite en tout genre saura vous surprendre. Cette adresse est une véritable petite perle, et il est possible d'observer des représentations dans son petit théâtre. Outre l'art intérieur, ce lieu n'est pas dénué d'histoire. Anciennement abattoir, ce lieu artistique se retrouve protégé des futurs projets immobiliers des alentours. Pour les plus jeunes, il y a possibilité de laisser libre cours à son imagination au sein d'ateliers. De nombreux autres lieux artistiques parcourent Hong Kong, le Jockey Club Creative Art Center en est un qui mérite le détour. Situé dans un ancien bâtiment industriel, là encore, tous les arts y sont présents.
- Gratte-ciel de Central
Ouvertes au public, les tours de Central vous offriront la hauteur dont vous avez besoin pour capter la totalité de Hong Kong. Ce quartier des affaires est l'un des points centraux du business et de l'économie en Chine. Vous y verrez de nombreux gratte-ciel dont une tour inspirée d'une pousse de bambou appartenant à la Bank of China (315 m). Au 43ème étage, vous bénéficierez d'une vue à couper le souffle et pourrez y observer la tour HSBC et son architecture futuriste. Au pied de ce titan, deux lions de bronze nommés Stephen et Stitte gardent l’entrée. Il paraît que leur caresser la patte porte bonheur.
- Les plages du sud de l’île
Facilement accessibles depuis Central, ces plages vous promettent dépaysement et détente. La jet-set locale aime se prélasser à Repulse Bay et Deep Water, comme en attestent les riches logements des alentours. Les plages y sont dans l'ensemble propres et bénéficient de surveillance pendant la journée. Sur le chemin conduisant à la plage, vous ferez la rencontre de gigantesques statues des divinités Kwun Yam et Tin Hau. Arrivé à la plage, vous remarquerez sûrement un grand bâtiment ondulé avec un trou assez large. Construit selon les principes du Feng Shui, ce trou est censé laisser passer le dragon habitant la colline ! Plus haut encore, vous découvrirez la plage de Big Wave. Adresse appréciée des surfeurs, elle est l'une des plages où la tranquillité est le plus aisément accessible.
- Sheung Wan
Sheung Wan est le quartier de Hong Kong aux mille contrastes. Cet endroit est devenu un répertoire de bonnes adresses des aficionados de la mode, des gourmets et des bons vivants. Pourtant, Sheung Wan a réussi à garder son caractère passé véritablement authentique. Cette atmosphère d'antan est palpable à Wing Lok Street par ses échoppes de poissons séchés et ses herboristeries. Au pied des gratte-ciel, il est possible d'y visiter le temple ancestral Man Mo, l'un des plus vieux de Hong Kong où l'on vénère les divinités Man, dieu de la littérature, et Mo, dieu de la guerre. Ces deux dieux étaient vénérés par les étudiants qui souhaitaient réussir leurs examens afin d'obtenir une place de fonctionnaire dans la Chine impériale.
- Le Star Ferry
Incontournable de Hong Kong, il assure la liaison entre l'île de Hong Kong et Kowloon depuis 1888, et est l'un des meilleurs moyens pour observer l'une des plus belles baies au monde. Toujours à son poste depuis de nombreuses années, le Star Ferry reste important aux yeux des Hongkongais. En 2006, la compagnie s'est vue amputée de son embarcadère historique par la ville. Bien que bon nombre d'habitants se soient opposés à ce choix, la centrale fut déplacée... À l'embarcadère de Tsim Sha Tsui vous pourrez accéder à la promenade du Waterfront. Longez le bord de mer pour une balade touristique agréable.
- Golden Bauhinia Square
Lieu emblématique de Hong Kong, célèbre pour sa statue de Bauhinia dorée, un symbole de la réunification de Hong Kong avec la Chine en 1997. Situé à côté du Centre de Convention et d'Exposition de Hong Kong, il offre un cadre magnifique face à l'eau. C'est l'endroit parfait pour assister à la cérémonie quotidienne de lever du drapeau, qui se déroule dans une atmosphère solennelle et patriotique. La place est facilement accessible et représente un point de rencontre populaire pour les visiteurs et les locaux. Un passage ici ajoute une touche de culture et d'histoire à votre visite de Hong Kong, vous permettant de saisir l'importance de ce moment historique tout en profitant d'une belle vue sur le front de mer.
- Stanley Market
Parfait pour s'immerger dans une ambiance locale tout en faisant de bonnes affaires et situé dans le village de pêcheurs de Stanley, ce marché est l'endroit idéal pour acheter des souvenirs uniques, des vêtements, des objets d'artisanat, et bien plus encore. Les allées regorgent de boutiques et d'étals proposant une grande variété de produits à des prix souvent très attractifs.
- Ocean Park
C'est une aventure épique au cœur de Hong Kong qui combine le frisson des parcs d'attractions avec la beauté du monde marin. Imaginez un endroit où vous pouvez saluer des pandas, plonger dans les profondeurs d'un aquarium géant, et crier de joie dans des montagnes russes vertigineuses. Ce parc offre un mix parfait d'émotions fortes et d'éducation environnementale, le tout avec une vue imprenable sur la mer.
- Fa Yuen Street Market
Lieu idéal pour dénicher des pépites sans se ruiner. Ce marché est renommé pour sa diversité exceptionnelle et ses offres attractives. Entre deux achats, vous serez tenté par les échoppes proposant des en-cas savoureux pour vous revigorer. Fa Yuen Street est une véritable immersion dans le quotidien hongkongais, où résidents et visiteurs se côtoient dans une atmosphère chaleureuse et dynamique.
- Aberdeen Fishing village
Aberdeen Fishing Village est un petit coin de tradition au milieu de l'agitation de Hong Kong. C'est ici que vous pourrez découvrir un style de vie qui a résisté à l'épreuve du temps, avec des pêcheurs travaillant encore dans leurs bateaux et des maisons sur pilotis alignées le long de l'eau. Ce village crée un contraste saisissant avec les gratte-ciels modernes, donnant une perspective unique sur la diversité de Hong Kong.
- Sky100 Hong Kong Observation Deck
Ascenseur vers les étoiles, au 100ème étage de l'ICC, le plus haut gratte-ciel de Hong Kong. D'en haut, la vue à 360° sur la ville, le port et les montagnes au loin est simplement époustouflante. Prenez votre temps pour admirer le paysage. Si une petite faim se fait sentir, il y a un café où vous pouvez vous poser, toujours avec cette incroyable vue en toile de fond. Sky100, ce n'est pas juste une vue, c'est une expérience immersive qui vous élève littéralement au-dessus de la vie urbaine. Un must pour tous ceux qui visitent la ville et veulent la voir d'un point de vue unique.
La Chine, un pays aux mille visages
Que l'on souhaite découvrir d'anciennes cités impériales, randonner au coeur d'une nature grandiose ou encore profiter de l'effervescence de métropoles modernes, la Chine propose à qui le souhaite de vivre une aventure unique. Voici cinq idées insolites pour votre voyage :
- La plage rouge de Panjin
La plage rouge de Panjin se situe au Liaoning, en bordure du delta du fleuve Liaohe. Cette plage surprend car elle ne dispose d'aucune bande de sable. En revanche, les bords du cours d'eau se recouvrent à partir du mois d'avril de la sueda, une algue qui arbore au fil du temps une couleur rouge-bordeaux. À l'automne, une balade au coeur de cette zone humide de plus de 300 000 ha permet d'assister à un spectacle comme on en trouve nulle part ailleurs. Le contraste entre les couleurs de l'algue, du fleuve et des autres végétaux est saisissant. En plus, des centaines d'oiseaux et d'animaux sauvages peuvent être observés depuis cette plage unique au monde
- La vieille ville de Pinyao
Cité typique des dynasties Ming et Qing, cette vieille-ville entourée d’une muraille, est classée au Patrimoine mondial de l'UNESCO. Elle invite les curieux à flâner dans un dédale de rues et de ruelles dotées de maisons anciennes et traditionnelles. Bon nombre d'entre elles ont été converties en boutiques, en restaurants ou en chambres d'hôtes. Lors de la promenade, on ne manque pas d'aller admirer les édifices les plus remarquables que sont les temples des Dieux de la Cité et de Confucius, la banque Rishengchang et l'ancien siège du gouvernement du comté.
- Les rizières en terrasse de Yuanyang
Parmi les plus spectaculaires de Chine, celles-ci ont été soigneusement sculptées dans les montagnes par la minorité Hani, établie dans la région depuis plusieurs siècles. De novembre à avril, les rizières sont remplies d'eau et le coucher du soleil les pare de couleurs saisissantes. Une balade est l'occasion de s'étonner de la configuration des rizières, et d'entrer en contact avec la population au travail. Autour, les villages s'animent proposant une véritable immersion dans la Chine authentique, à la rencontre des minorités Dai, Yi et Hani.
- Chongqing, mégalopole chinoise surprenante
Située au confluent des fleuves Yangtze et Jialing, Chongping est une ville qui sort des circuits traditionnels qu’il faut découvrir absolument. On peut commencer la visite en se rendant sur la place Jiefang Bei, où se trouve le monument de la libération. Au sommet de la colline surplombant la rivière Jialing, le village de Ciqikikou transporte dans la Chine de la dynastie Min, avec son dédale de rues étroites aux accents traditionnels. Un lieu où découvrir l'artisanat de la porcelaine et où goûter à de très bonnes pâtisseries. On poursuit avec le parc Eling, qui abrite des arbres séculaires, un zoo, des expositions d'art et dévoilent quelques-unes des plus belles vues sur Chongqing.
- Les Montagnes jaunes de Huangshan
Situées dans le Sud de la province d'Anhui, les Montagnes jaunes sont considérées comme les plus belles de Chine. C'est l'un des meilleurs endroits où effectuer une randonnée dans le pays. Les marcheurs y découvrent des formations rocheuses spectaculaires et des pins étonnants agrippés aux roches. L'endroit, connu également pour abriter des sources d'eau chaude, présente un intérêt d'un point de vue historique et culturelle, avec la présence de temples, de pavillons et autres kiosques.
 
 
ACTUALITES
Nouveau billet et une médaille commémorative à l'effigie de la bête du Gévaudan en Lozère (48)
A? l’initiative de Lozere Tourisme, depuis 2022, La « Bete », qui terrorisa la population du Gevaudan entre 1764 et 1767 possedait son propre billet de 0€.
Cette annee, en plus de renouveler son image sur le billet, la Bete a aussi sa propre piece de monnaie.
Lozere Tourisme renouvelle donc son billet souvenir de la Bete et propose egalement une medaille souvenir de la Monnaie de Paris.
Ils sont en vente depuis debut avril, a la Maison du Tourisme a l’Aire de la Lozere sur l’A75, a la Maison de la Lozere a Paris et dans les Offices du tourisme Lozeriens partenaires.
Ces deux nouveaux souvenirs viennent s’ajouter a la collection deja existante des billets des regions naturelles de la Lozere edites en 2023 par Lozere Tourisme et les Offices du Tourisme partenaires.
 
 
INFOS PRATIQUES
Application « Pimp my trip » pour une expérience touristique sociale, collaborative et durable
PimpMyTrip, la startup qui réinvente l’expérience touristique avec une approche sociale, collaborative, durable et un bénéfice mutuel pour chacun se déploie en France ! Avec plus de 100 villes représentées, près de 400 Pimpeur(e)s séduits par le concept et près de 3000 adresses recommandées, cette expansion marque une étape majeure dans le paysage du tourisme local : elle offre aux habitants la possibilité d’être rémunérés pour partager leurs bonnes adresses et,aux visiteurs l’opportunité de découvrir une ville sous un angle authentique et personnalisé.
Contrairement aux guides traditionnels et aux circuits touristiques standardisés, PimpMyTrippropose une approche sur mesure et flexible du tourisme en local.Les membres de la communauté peuvent choisir parmi une multitude de bons plans, qu’il s’agisse de restaurants, en passant par des boutiques secrètes ou encore des balades, les Pimpeur(e)s proposent aux Pimpé(e)sleurs adresses incontournables hors des sentiers battus pour vivre une expérience unique.
L'utilisation de PimpMyTrip est simple et intuitive. Via le site ou sur la nouvelle application, les voyageurs, appelés les Pimpé(e)s, peuvent parcourir les expériences proposées par les Pimpeur(e)s : les locaux qui en plus de faire découvrir leur ville comme ils l’aiment, perçoivent 3€ à chaque fois qu’un voyageur déverrouille son carnet d’adresses ce qui permet de soutenir l'économie locale et de valoriser l'expertise des habitants.
Application Djowamon : dialogues avec les musées et les patrimoines africains
Djowamon - "ce qu'on est venu voir" en langue fongbé - est une application mobile gratuite de e-learning, plateforme de formation et d’échanges à destination des professionnels du secteur patrimonial et muséal africain, en particulier subsaharien, visant à faciliter le partage d’information, permettre la montée en compétence et stimuler un échange fluide et fécond entre acteurs du nord et du sud.
Lancée en février dernier, à Cape Town, lors des rencontres « Reimagining Heritage, Archives and Museums : Today/Tomorrow », l’application Djowamon a été développée par une équipe pédagogique interculturelle qui, à l’heure des retours et de la réparation du patrimoine africain, partage la même conviction de l’enjeu culturel, sociétal et économique de ce bien précieux pour l’humanité.
L’application Djowamon est une réponse, pédagogique et humaine, à un secteur en pleine expansion, mais également un espace de formations et de collaborations qui a été pensé pour les professionnels ou futurs acteurs du patrimoine et musées africains.
L’application Djowamon est un espace dédié à l’apprentissage des savoirs, des connaissances africaines connues, méconnues ou inconnues. Elle permet de voir le patrimoine sous toutes ses formes, lire l’Afrique au-delà des stéréotypes, comprendre les spécificités propres au Berceau de l’Humanité, son apport à l’universel et son ouverture sur le monde. Elle met non seulement en lumière les manières d’habiter, conserver, sauvegarder, mettre en valeur, présenter les merveilles de l’Afrique à tous ceux qui sont «venus» les «voir» mais aussi de lier les continents et les générations.
L’application fonctionne sous Android et iOs
 
 
LIVRES
Guide « Les 101 plus beaux sites de plein air de l'Ouest canadien »
Émaillé de photos spectaculaires, ce guide convie, aux quatre coins d’un territoire aux richesses naturelles inouïes, à la découverte d’endroits remarquables pour la pratique d’activités de plein air et d’étendues vouées à la protection d’espèces animales et végétales uniques. Sélectionnés en fonction de leur beauté, des nombreuses activités qu’ils offrent et de la qualité des expériences qu’ils permettent de vivre, les sites incluent d’exceptionnels parcs nationaux et provinciaux, réserves naturelles, refuges fauniques et zones récréatives des provinces canadiennes de la Colombie-Britannique, de l’Alberta, du Manitoba et de la Saskatchewan, de même que ceux du Yukon et des Territoires du Nord-Ouest.
Des grands parcs nationaux des Rocheuses canadiennes au West Coast Trail en passant par les Badlands des Prairies, la réserve de parc national Pacific Rim, la réserve de parc national et site du patrimoine haïda Gwaii Haanas, les stations hivernales de Whistler Blackcomb et du Mount Washington Alpine Resort, le Dinosaur Provincial Park et le parc national Wood Buffalo, ce guide constitue une formidable odyssée visuelle qui invite à sortir et à s’ébrouer dans des paysages envoûtants.
208 pages, 29,99€
Livre « De l'emprise des intellectuels français sur la vie publique et de ses inconvénients » de Jean Arnal (Editions du Panthéon)
En 1789, la France a fait sa Révolution, révolution conduite essentiellement par des juristes aux fins d’adapter à son temps un système politique en place depuis des siècles. Des actes mémorables furent alors votés : Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, abolition des privilèges… Mais comment expliquer alors ce qui a suivi, la Terreur et la guillotine ? De même, quelques décennies plus tard, une conquête de l’Algérie coûteuse en vies humaines ; ou encore, au XXème siècle, l’engouement des intellectuels français pour le communisme, à l’époque du goulag, et, plus tard, pour les révolutions « marxisantes » en Amérique latine. Pourquoi ce fonctionnement peu démocratique de nos institutions politiques ? Ainsi, depuis plus de 30 ans, le pouvoir suprême, la présidence de la République, est détenu par un groupe social comportant, tout au plus, quelques milliers d’individus.
248 pages, 20,90€
 
 
COMMEMORATIONS
500è anniversaire de la mort du chevalier Bayard (30 avril 1524)
Noble françaisqui s'illustra notamment comme chevalierdurant les guerres d’Italie (XVèet XVIèsiècles), Pierre Terrail, seigneur de Bayard, plus connu sous le nom de Bayard, ou du chevalier Bayard, nait en 1475 (ou 1476?) au château Bayard (à Pontcharra, dans l’Isère).
Connu pour sa bravoure dès son plus jeune âge, le chevalier Bayard excelle dans de nombreux affrontements liés aux guerres d'Italie, sous Charles VIII. Cavalier hors pair, il est également très bon fantassin, comme l'atteste sa victoire dans le duel l'opposant au capitaine espagnol Alonzo de Soto Mayor, qui l'accuse de maltraitance durant sa captivité. Six mois plus tôt, en février, il s'était déjà distingué lors d'un combat d'honneur à treize contre treize contre les Espagnols, selon Guyard de Belleville, où Bayard et d'Orose se retrouvent seuls contre treize. Bayard devient le héros des récits que se content les soldats pour distraire leur ennui.
 
 
EXPATRIATION
S'installer en République Tchèque, une excellente option pour les indépendants
Pour qui a de l’audace, est entrepreneur et souhaiterait s’installer en République Tchèque, quelques mises en garde sont toutefois nécessaires :
- Ne pas ouvrir une société de capitaux tchèque, le SRO, car l’impôt sur ce genre de société est assez élevé (19%) et entraine d’autres impôts et cotisations sociales réduisant salaires et dividendes.
- Choisir plutôt le régime fiscal connu sous le nom de licence commerciale.
Exposition « De l'atelier au paysage, fabrique de l'impressionnisme »
Lieu de villégiature prisé des artistes du XIXème siècle, Auvers-sur-Oise occupe une place de choix dans l’Histoire de l’Impressionnisme. Dans le sillage de Charles François Daubigny, puis de Camille Pissarro, de nombreux peintres vont s’y installer, charmés par la diversité de ses paysages et par l’ambiance qui y règne.
Leur palette, plus claire que celle de la génération précédente se nourrit des nouvelles théories sur la couleur et fait la part belle à la lumière.
Les peintres Victor Vignon, Charles Sprague Pearce, Léon Giran Max, Louis Hayet sont mis à l’honneur.
Au Musée Daubigny, Manoir des Colombières, rue de la Sansonne, à Auvers-sur-Oise (95)
 
 
EXPOSITIONS
«Mort », jusqu'au 24 novembre 2024, à Nancy (54)
Cette année, le Muséum-Aquarium de Nancy met en avant un sujet souvent délicat, parfois inquiétant, et pourtant fondamental à la vie humaine et animale. Dans une approche mêlant sciences, santé, art et humour, adolescents et adultes sont invités à mieux comprendre la mort et à replacer notre espèce dans le cycle de la vie.
Pour l’anaconda, l’humain ou la baleine bleue, la mort semble simple : un arrêt respiratoire, un dernier battement de cœur, la fin des pensées... Mais quand et pourquoi meurt-on, que devient la dépouille, et peut-on vraiment avoir un cercueil arc-en-ciel ? Découvrez les causes de la mort, de la prédation animale au vieillissement et suivez les insectes nécrophages dans les différentes étapes de décomposition du corps, pour enfin tout savoir sur les cycles de vie… et de mort !
Qu’est-ce que la mort ? Quelles en sont les causes ? Que devient le corps ? Que laisse-t-on derrière nous ? Autant de questions que de chapitres à cette exposition. Un parcours qui embrasse le sujet dans sa globalité, jalonné par de nombreux spécimens de nos collections, d’œuvres d’art et d’expériences un peu décalées.
Au Muséum-Aquarium, 34 rue Sainte-Catherine, à Nancy (54)
« Mémoires. Genève dans le monde colonial » du 3 mai 2024 au 5 janvier 2025, à Genève (Suisse)
Quel est le passe colonial de Geneve ? Le Musee d’ethnographie en est-il l’un des acteurs ? Qu’en racontent ses collections ? Autant de questions que pose « Memoires. Geneve dans le monde colonial » la nouvelle exposition temporaire du MEG.
Dans le parcours d’exposition, de nombreux partenaires sondent notre histoire commune, redefinissent le statut des collections ethnographiques et inventent leurs futurs. L’exposition questionne le role du MEG dans une societe post-coloniale ou les traces du passe, les discriminations et le racisme se font echo.
Au Musée d’Ethnographie de Genève, Boulevard Carl-Vogt 67, à Genève (Suisse)
« Pierre Bonnard », du 3 mai au 22 septembre 2024, à Aix-en-Provence (13)
Pierre Bonnard fan de d’Utamaro, d’Hokusai et d’Hiroshige ? Ce n’est certainement pas un hasard si le « peintre du bonheur » fut surnommé à ses débuts le « Nabi très japonard ». Pour la première fois, une exposition revient sur l’attachement sincère de l’artiste pour le Pays du Soleil-Levant.
A l’Hôtel de Caumont, 3 rue Joseph Cabassol, à Aix-en-Provence (13)
«Maitres et merveilles. Peintures germaniques des collections françaises » du 4 mai au 23 septembre à Dijon (21)
Trois musées du Nord-Est se sont regroupés pour proposer un vaste panorama de la peinture germanique des 15ème et 16ème siècles. Chacun des musées propose un volet spécifique, en regard du foyer artistique qu’il représente.
On y retrouve de grands nom comme Lucas Cranach, Albrecht Dürer ou Martin Schongauer, et des artistes moins connus.
Au Musée des Beaux-Arts de Dijon, 1 rue Rameau, à Dijon (21)
«Couleur, gloire et beauté. Peintures germaniques des collections françaises » du 4 mai au 23 septembre à Colmar (68)
Trois musées du Nord-Est se sont regroupés pour proposer un vaste panorama de la peinture germanique des 15ème et 16ème siècles. Chacun des musées propose un volet spécifique, en regard du foyer artistique qu’il représente.
On y retrouve de grands nom comme Lucas Cranach, Albrecht Dürer ou Martin Schongauer, et des artistes moins connus.
La collection de peintures anciennes du Musée Unterlinden émane principalement de l’art à Colmar durant les derniers siècles du Moyen Âge. L’exposition permet, grâce à des prêts généreux provenant de musées et d’églises, de l’inscrire dans le cadre géographique plus large du Rhin supérieur : ce territoire, qui correspond plus ou moins à l’actuelle Alsace, s’étend de part et d’autre du Rhin, des Vosges à la Forêt Noire, et de Strasbourg au Nord à Bâle au Sud ; il abrite des villes riches, au grand dynamisme économique, qui sont autant de grands centres de production artistique : Bâle, Colmar, Fribourg-en-Brisgau et Strasbourg.
Le volet colmarien de l’exposition s’attache tout d’abord à répondre aux nombreuses questions que les visiteurs d’aujourd’hui peuvent se poser face à de telles œuvres : comment étaient-elles réalisées
aux 15ème et 16ème siècles ? Quelles fonctions avaient ces peintures considérées aujourd’hui comme des œuvres d’art ? Quelle était la nature des relations entre les peintres et leurs commanditaires ? Il invite ensuite ses visiteurs à une exploration stylistique, cherchant à leur faire saisir les spécificités de chaque centre de production, voire de chaque atelier, et les changements qui s’opèrent au fil du temps dans les goûts des commanditaires et les propositions des artistes.
Au Musée Unter Linden, Place Unterlinden, à Colmar (68)
« Made in Germany. Peintures germaniques des collections françaises » du 4 mai au 23 septembre à Besançon (25)
Trois musées du Nord-Est se sont regroupés pour proposer un vaste panorama de la peinture germanique des 15ème et 16ème siècles. Chacun des musées propose un volet spécifique, en regard du foyer artistique qu’il représente.
On y retrouve de grands nom comme Lucas Cranach, Albrecht Dürer ou Martin Schongauer, et des artistes moins connus.
Au Musée des Beaux-Arts et d’Archéologie, 1 Place de la Révolution, à Besançon (25)
« Natures vivantes », du 30 avril au 31 décembre 2024, à Boulogne-Billancourt (92)
L’exposition met en lumiere la passion du banquier philanthrope Albert Kahn pour le vegetal a travers les milliers d’images realisees dans ses jardins de Boulogne et du Cap-Martin, presentees en regard d’œuvres historiques et contemporaines. Sur une proposition de l’historienne de la photographie et commissaire d’exposition Luce Lebart, l'exposition reunit pres de 200 photographies autochromes issues des collections du musee, ainsi que des films, documents d’archives et œuvres historiques comme contemporaines, incluant les creations d’artistes invites.
La collection des photographies des jardins d’Albert Kahn, c’est-a-dire ses jardins de Boulogne et les fameux jardins disparus du Cap-Martin, n’a jamais ete exposee dans son intégralité. L’exposition fait revivre l’exceptionnel site horticole disparu de Cap-Martin, paradis exotique du mécène et alter-ego du jardin alto-séquanais, représenté dans les collections par plus de 2 000 images et séquences animées.
Au Musée Albert Kahn, 2 rue du Port à Boulogne-Billancourt (92)
« Japon, la route oubliée », jusqu'au 3 juin 2024, à Nice (06)
Le musée départemental des arts asiatiques à Nice accueille sa nouvelle exposition « Photographes en Asie » intitulée Japon, la route oubliée, qui invite à découvrir des clichés uniques du pays du Soleil-Levant.
En 2016, après avoir consacré près de vingt ans à documenter les racines culturelles et spirituelles de l’Occident, Léonnard Leroux entame un reportage au long cours sur le Japon. Au cœur de l’archipel, le photographe conçoit son travail comme « un parcours non un discours, un arpentage non un langage ». Les photographies présentées sont issues de quatre voyages réalisés entre 2016 et 2023, sur les chemins sacrés tels que le Tokaido et le Henro, en passant par Hiroshima, Onomichi et Kamakura, dans les pas des grands cinéastes japonais, Yasujiro Ozu et Akira Kurosawa.
Au Musée des Arts asiatiques, 405 Promenade des Anglais, à Nice (06)
« Architecture et cinéma muet », jusqu'au 14 mai 2024, à Paris (75)
Parce que l’architecture d’un film est un terrain de jeu infini pour tenter l’impossible ou l’interdit d’un atelier d'architecture, les architectes et décorateurs de cinéma ont exploré tous les possibles et mis en scène leurs conceptions les plus folles et les plus audacieuses. À travers une quarantaine de films - courts ou longs - de fiction, documentaires ou d’œuvres expérimentales, ce programme explore les espaces d'imagination, d'innovation et d'émotion établis entre le cinéma et l’architecture dans la période du cinéma muet.
La vision intemporelle d'une architecture qui tourne mal dans One Week (Buster Keaton, 1920), les toiles de fond peintes de l’expressionniste Cabinet du Dr. Caligari (Robert Wiene, 1920), les fantaisies orientalistes du Voleur de Bagdad (Raoul Walsh, 1924), les manifestes du style Art Déco de L’Inhumaine (Marcel L’Herbier, 1924), en passant par les visions les plus pessimistes d'un avenir régi par les gratte-ciel et les lignes droites dans des fantasmes dystopiques tels que Metropolis (Fritz Lang, 1927) ou High Treason (Maurice Elvey, 1929), tout autant que des films documentaires qui discutent des problèmes architecturaux de leur époque.
A la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé, 73 avenue des Gobelins, à Paris (13ème)
« Architectures remarquables:les salles de cinéma » jusqu'au 13 juillet 2024, à Paris (75)
Rex, Tuschinski, Omnia, Louxor, Urania… ces noms mythiques de salles de cinéma renvoient à la création de remarquables ensembles architecturaux qui ont participé et participent encore aujourd’hui, par leur décor et leur technologie, au spectacle cinématographique. Ils montrent comment, au cours du XXème siècle, s’est constituée la notion de palais de cinéma dans l’espace urbain.
La Fondation Pathé se penche sur cette histoire à travers des ensembles de photographies et de films issus de sa collection et de collections privées.
A la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé, 73 avenue des Gobelins, à Paris (13ème)
« Renzo Piano-Paris », jusqu'au 23 novembre 2024 à Paris (75)
La Fondation Jérôme Seydoux-Pathé fête les 10 ans du bâtiment construit par Renzo Piano ! A travers sept projets emblématiques situés dans Paris et la région parisienne, la Fondation s’interroge sur la vision de l’architecte génois de la Cité idéale.
Lorsqu’il concourt en 1971 avec Richard Rogers pour un projet de musée d’art moderne, Renzo Piano savait-il qu’il doterait la capitale, en l’espace d’un demi-siècle, des institutions fondamentales qui définissent le vivre ensemble ? En cinquante ans, l’agence Renzo Piano Building Workshop a inscrit dans le paysage francilien un immeuble d’habitation, une école, un tribunal, des institutions culturelles, un cinéma, un hôpital, imbriquant dans des forêts de pierre, comme dans des friches, ses constructions traversées par la lumière et la verdure.
Dix ans après l’ouverture de son bâtiment, la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé rend hommage à « l’atelier de construction », le Renzo Piano Building Workshop (RPBW) fondé en 1981 par l’architecte génois, en s’interrogeant sur l’intégration de chacun des sept projets dans le tissu francilien.
Le rez-de-chaussée sera dédié aux processus de création et d’élaboration. Les dessins et croquis exécutés de la main de Renzo Piano proposeront une entrée graphique dans son imaginaire ainsi qu’une incursion dans ses réflexions. La traversée du hall d’entrée, qui mène au jardin et au Studio (dernier né de l’agence RPBW, ouvert en 2021) suit une temporalité de l’élaboration architecturale : imagination, recherche, construction.
Au premier étage, la scénographie se concentrera sur les projets et leur insertion dans la ville.Trois tables présenteront des maquettes accompagnées de dispositifs graphiques permettant de découvrir des photos et des plans des bâtiments. Le parcours de l’exposition permettra de comprendre la singularité de chaque édifice et de le situer dans le tissu urbain, dans son environnement, le paysage et son quartier. Enfin, un film sur un écran géant offrira une entrée cinématographique et dynamique dans ces différents projets.
A la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé, 73 Avenue des Gobelins, à Paris (13ème)
« Les corniches de la Riviera, habitats naturels et biodiversité ,Natura 2000 », jusqu'au 15 septembre 2024, à Eze (06)
Le site Natura 2000 des Corniches de la Riviera, implanté dans le sud-est de la France, est composé d’une chaîne de massifs, de balcons littoraux et de rivages. Le Département des Alpes-Maritimes est engagé pour préserver ce site qui constitue un important patrimoine naturel sur le territoire maralpin. L’environnement particulier des Corniches de la Riviera a été reconnu d’importance mondiale pour la protection de nombreuses espèces endémiques, notamment l’emblématique Nivéole de Nice, dont la présence est à l’origine du classement en zone Natura 2000.
Le Département, avec l’appui scientifique du Conservatoire Botanique Naturel Méditerranéen, a conçu cette exposition composée de 19 panneaux thématiques, pour offrir aux visiteurs une plus ample connaissance de cet espace naturel protégé atypique, et les liens avec les espèces qui y vivent.
Accès libre.
A la Maison de la Nature, Parc de la Grande Corniche, à Eze (06)
« Virtually Versailles », à partir du 2 mai 2024, à Hangzhou (Chine)
Après le succès des éditions de Shanghai, Hong-Kong et Macao, l’exposition itinérante Virtually Versailles aura pour prochaine étape la ville de Hangzhou, en Chine. Cette exposition immersive permettra aux visiteurs du monde entier de découvrir l’univers de Versailles grâce aux technologies les plus innovantes: réalité augmentée, réalité virtuelle, vélos connectés ou encore projections à 360°.
L’exposition Virtually Versailles est conçue comme une première exploration du Château permettant au plus grand nombre de découvrir son histoire et ses collections. Néanmoins, chaque édition est unique, agrémentée de nouveaux contenus et d’une scénographie propre. À Hangzhou, l’exposition se tiendra au Winland Center, au cœur d’un quartier historique de la ville. À cette occasion, 56 musiciens de l’orchestre de l’Opéra royal de Versailles joueront un concert à l’ouverture de l’exposition
Au Winland Center de Hangzhou (Chine)
« Indiennes Remix » jusqu'au 12 mai 2024, à Mulhouse (68)
L’exposition « Indiennes Remix » propose une relecture des motifs, structures et significations des indiennes - étoffes de coton peintes ou imprimées importées des Indes très en vogue à partir des XVIIème-XVIIIème siècles.
Objets textiles culturels ayant traversé trois siècles et plusieurs continents, de l’Orient à l’Occident, les indiennes furent produites intensivement à Mulhouse. L’exposition présente les travaux de neuf étudiants, des options Art et Design mention textile, qui ont mené des explorations créatives s'appuyant sur la collection d’indiennes du musée de l'impression sur étoffes (MISE), au caractère unique puisque rare.
À travers une approche personnelle, il s’agit de réorienter et d’amplifier ces objets d’importance historique, en abordant un éventail de questions politiques, économiques, la relation aux héritages culturels, l’identité, la forme et la matérialité. En s’affranchissant - ou non - des limites du textile, les étudiants ont cherché à connecter différentes réalités en imaginant des objets manifestes de formes multiples.
Au Musée de l’impression sur étoffes, 14 rue Jean-Jacques Henner, à Mulhouse (68)
 
REPORTAGE DE LA SEMAINE
Exposition "Sacrilège! L'Etat, les religions et le sacré" (Archives nationales, Paris, France) Jusqu'au 1er juillet 2024, les Archives nationales invitent le public à découvrir l'exposition « Sacrilège, l'Etat, les religions et le sacré » qui pose les questions suivantes : Pourquoi les rois de France poursuivaient-ils le blasphème au même titre que le crime de lèse-majesté ? Comment l'État, qu'il soit monarchique ou républicain, compose t-il avec le pouvoir religieux ? Même laïc, un État peut-il se passer de toute forme de sacré ?
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