J’ai récemment eu l’occasion de faire un saut à Paris et d’y trouver le plus vieil arbre de la capitale, qui fait face à Notre-Dame depuis...423 ans !

Ìl en a vécu des choses: la Révolution Française­, l’empire napoléonien, la rénovation complète de Paris sous l’autorité du baron Haussmann, et deux guerres mondiales. Bref, un arbre toujours à la hauteur (quinze mètres) et doté d’ une circonférence de 3,50 mètres.

Si vous le croisez en mai, vous apercevrez ses jolies fleurs blanches disposées en grappes et à la bonne odeur de miel. Des fleurs d’ailleurs comestibles, qui font immédiatement penser à un acacia. Cet arbre n’est pas vraiment un acacia mais un robinier (ou faux acacia). Son nom lui sera donné en hommage à Jean Robin, herboriste du roi Henri IV. Mais alors, quel est le vrai acacia? Il porte le nom de mimosa avec ses petits pompons jaunes très prisés des fleuristes. Le vrai mimosa est par ailleurs une plante qualifiée de sensitive car ses feuilles se rétractent lorsqu’on les touche.

Longue vie au plus vieil arbre de Paris !

« Eloge des Moches » par Philippe Chevalier

Dimanche 21 juillet 2024 : Il n’y a rien à faire, je ne supporte pas que mon maitre soit au téléphone lorsque nous nous promenons et dans ce cas, j’aboie en continu.

 

Lundi 22 juillet 2024 : Mon poil me pèse en cette chaude saison.

 

Mardi 23 juillet 2024 : J’étais si enthousiaste de partir en balade avec mon maitre que j’ai fait valser un magnifique lys d’un coup de queue. Gros malaise...

 

Mercredi 24 juillet 2024 : Chaleur ou pas, je conserve mon appétit.

 

Jeudi 25 juillet 2024 :Mon maitre ayant des obligations à l’extérieur me confie la garde de la maison pour quelques heures. Me voici comme un pacha, bien au frais avec eau et nourriture. C’est pas Versailles ici ?

 

Vendredi 26 juillet 2024 : Deux demoiselles, probablement des touristes, nombreux ici en cette période estivale, qui sortaient de l’immeuble en même temps que nous commencèrent à me caresser Et mon maitre d’ intervenir pour rappeler que j’étais un chien de défense et pas un jouet ! Fermez le ban !

 

Samedi 27 juillet 2024 : Duarte vient nous dire au revoir avant de partir pour la Belgique. Il nous manque déjà...

À l’occasion de la dissolution récente de l’Assemblée Nationale par le Président, certains députés ont perdu leurs sièges quand d’autres en ont profité pour passer à autre chose. C’est le cas d’Hubert J-L, député écologiste du Rhône, qui avait annoncé publiquement au soir de la déclaration de qui vous savez se retirer de la vie politique et se consacrer désormais à la sauvegarde des grands singes, « sa passion secrète ».

 

Mais celui qui avait reconnu « avoir déconné » en février 2023 après ses déclarations sur la cryptomonnaie Limocoin est rattrapé par la justice et il va devoir répondre de ses actes devant un juge. Il est, en effet, mis en examen pour ingérences étrangères et voici les premiers détails de cette affaire qui s’annonce compliquée.

Lire la suite : https://journalducoin.com/actualites/scandale-crypto-ex-depute-francais-mis-en-examen-corruption-trafic-influence/ (source : Le Journal du coin)

En août, avec les fortes chaleurs, le jardin peut sembler être en vacances. Les fruits mûrissent au soleil. Au potager, la récolte est abondante, presque tous les légumes arrivent à maturité. N’oubliez pas d’apporter de l’eau aux fleurs et légumes assoiffés.

 

 

Arrosage le soir en cas d’absence de pluie prolongée et tonte hebdomadaire seront les principales tâches à réaliser pour votre gazon ce mois-ci. Utilisez vos tontes pour alimenter le compost.

 

 

 

Plantez roses trémières et fleurs bisannuelles, les fleurs qui attirent les papillons (scabieuse, monarde, sédum,buddléia, aster et céanothe d’été), les plantes vivaces du printemps, les plantes couvrantes, les pivoines et pavots d’Orient, les arbustes à feuillage persistant et les conifères.

 

Taillez les magnolias, les haies d’arbustes à feuilles persistantes et les conifères, les arbustes dont la floraison est achevée, et retirez les roses fanées.

 

Bouturez géraniums, fuchsias et laurier-rose.

Binez les massifs pour décrouter la terre

Arrosez les plantes par manque de pluie

Désherbez allées et parterres

 

 

Repiquez poireaux, laitues et choux

Taillez les aromatiques

Récoltez aubergines, courgettes, poivrons, carottes, navets, choux, cornichons, concombres, tomates, fenouil, laitues, cresson, oignons, échalotes, haricots,et pommes de terre.

Arrosez les cultures le soir (sans mouiller le feuillage)

 

 

Arrosez framboisiers, groseilliers et autres jeunes arbres

Cueillez framboises, groseilles et prunes

Taillez légèrement cerisiers, poiriers, pommiers et pruniers

Surveillez la survenance d’éventuelles maladies sur les arbres

 

 

Arrosez copieusement s’il fait chaud

trempez les orchidées 5 à 10 minutes chaque semaine et apportez de l’engrais pour orchidées tous les 15 jours.

Inspectez les plantes (invasion de parasites)

Encouragé par les principaux industriels de la tapisserie et du tapis, un premier musée est construit par l’architecte Albert Mazet sur le site des ruines médiévales du Chapitre, sur les hauteurs d'Aubusson, et inauguré le 5 octobre 1885. Ce musée est créé en regard de l’ouverture de l’École Nationale d’Arts Décoratifs d’Aubusson, en 1884. Il est porté par Auguste Louvrier de Lajolais, directeur unique des trois écoles nationales des Arts décoratifs de l’époque (Paris, Aubusson et Limoges), qui définit un programme muséographique centré sur la tapisserie et sa production, à la croisée du musée des Beaux-Arts et du musée industriel et qui vient en complémentarité de l'École. Pourtant, la dynamique autour de ce musée retombe relativement vite. L'Inspection des musées note d'ailleurs dès 1920 l'état catastrophique des œuvres conservées. Le bâtiment se dégradant trop rapidement et faute de moyens, la commune décide de transférer la collection à la mairie et le musée est détruit vers 1935. Ce n’est qu’en 1978 que la construction d’un nouveau musée est décidée, sous l’impulsion d’André Chandernagor, ancien Ministre des Affaires européennes. Il s’agit alors de concevoir un projet culturel complet et ambitieux eu égard à la taille de la ville : réunir en un lieu unique musée, théâtre (qui deviendra "Scène nationale"), médiathèque, salle audiovisuelle équipée, studio son, imprimerie et café-musique. Ouvert sans collections propres en 1982, le musée retrace les six siècles de l’histoire tissée d’Aubusson-Felletin avec près de 330 tapisseries.

 

L'inscription des savoir-faire et techniques de la tapisserie d'Aubusson au Patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l'UNESCO, en 2009, a favorisé le lancement du projet de Cité internationale de la tapisserie. Depuis le 1er janvier 2011, la gestion du musée de la tapisserie et de ses collections, propriété du Conseil départemental de la Creuse, est déléguée au Syndicat mixte de la Cité internationale de la tapisserie. Un musée étendu au sein de la Cité, dont toutes les fonctions sont implantées sur le site de l'ancienne École Nationale d'Art Décoratif d'Aubusson, entièrement réhabilitée à cet effet, permet de développer le nouveau projet scientifique et culturel et, notamment, de mettre en lumière les savoir-faire d'Aubusson et leur transmission. La multiplicité des fonctions du Centre culturel et le développement des collections du musée posent aujourd'hui un problème de place et, 30 ans après son ouverture, un projet d'agrandissement indispensable au sein de la Cité internationale de la tapisserie voit le jour.

 

 

Le nouveau parcours d’exposition de la Cité internationale de la tapisserie occupe environ 1.200 m2. La scénographie en trois espaces est signée Frédérique Paoletti et Catherine Rouland. Elle est complétée par une plateforme de création contemporaine :

 

 

 

- La nef des tentures : espace phare du nouveau parcours d’exposition, la Nef des tentures est une invitation à voyager au fil de cinq siècles et demi de production en tapisserie d’Aubusson. Parcours chronologique aux dimensions dignes du gigantisme des tapisseries, cet espace de 600 m2 et de 7 m de hauteur en finit avec la présentation traditionnelle des tapisseries sur le modèle d’une galerie de peintures. La scénographie évoque, grâce à des décors en trompe-l’œil inspirés du théâtre, leur époque d’origine pour une véritable immersion dans l’univers tissé d’Aubusson. Le parcours est chronologique et la présentation est entièrement modulable. De nombreuses informations sont apportées sur la façon dont sont fabriquées les tapisseries, en écho à la section précédente consacrée aux métiers. Tout au long de la Nef, des tablettes multimédia sont à disposition des visiteurs pour zoomer sur des caractéristiques techniques de différentes tapisseries. Cette lecture technique des tapisseries est à la fois poussée et pédagogique. Elle fait le lien avec l’inscription des savoir-faire de la tapisserie d’Aubusson sur la liste représentative du Patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’Unesco. Concrétisant les fonctions de recherche, de prospective et d'ouverture à la création contemporaine de la Cité, cet espace expérimental met en avant les créations originales issues notamment de l’appel à création annuel de la Cité, poursuivant le parcours permanent en un "espace XXI" en mouvement. Depuis l'été 2017, cet espace est dédié au projet "Aubusson tisse Tolkien". Pour prolonger la visite, un programme d'activités autour des savoir-faire d'Aubusson : le musée propose des démonstrations de tissage et de restauration dans les espaces professionnels. Dans ses espaces professionnels, pour permettre à des ateliers privés de réaliser des tissages de grande envergure sur un métier à tisser de 8 mètres de long.

 

Avenue des Arts, à Aubusson (23)

https://www.cite-tapisserie.fr/

Pendant 5 semaines au cœur de la belle saison, le festival 31 notes d’été convie à vivre, partager, ressentir le plaisir de la culture, de la découverte, du souvenir. Près de 150 événements émailleront ces journées marquées par des visites touristiques, patrimoniales, mémorielles et écoresponsables, la découverte du terroir, des Pauses guinguette musicales et des événements artistiques d’intérêt. Le tout gratuitement. Pour concrétiser des valeurs d’accueil et de partage qui font la singularité d’un territoire où la convivialité et la simplicité prédominent.

 

Ainsi, du 2 au 31 août, des concerts, des spectacles de cirque, de danse, d’arts croisés, du rire, des échanges, des regards, des sensations se mêleront, pêle-mêle, grâce à 50 spectacles et concerts d’artistes locaux, 90 visites touristiques, culturelles et patrimoniales et 9 expositions. Avec le souci constant de l’écoresponsabilité, du respect de l’environnement qui permettront l’obtention du label « Événement détonnant » délivré par l’association Elémen’terre pour des pratiques écoresponsables sur les festivals.

Peut être avez-vous déjà eu l’occasion de parcourir des lieux de souvenir plus confidentiels ? On vous emmène, quant à nous, découvrir des cimetières moins connus, un monument très graphique en hommage au commando Kieffer, la croix de Lorraine, ou encore des bunkers version street art :

 

- Le cimetière militaire de Saint James (50)

A quelques kilomètres d’Avranches, le cimetière militaire de Saint-James abrite les dépouilles d’un peu plus de 4 000 soldats américains tombés lors des campagnes de Normandie et de Bretagne. A l’occasion de votre visite, nous vous invitons à faire un détour par la tombe de Robert Melzer, assistant de Charlie Chaplin sur le film Le Dictateur, et mort fin août 1944 lors des combats pour la libération de Brest.

 

 

- L’ossuaire allemand du Mont d’Huisnes (50)

L’ossuaire allemand du Mont d’Huisnes fut fondé en 1963, soit 3 ans après l’inauguration des cimetières militaires allemands. Parmi les 11 956 personnes inhumées ici, des femmes et des enfants, originaires des départements de l’est de la France, et internés au camp de la Chauvinerie, près de Poitiers, sur ordre du gouvernement de Vichy, reposent aux côtés de soldats allemands.

 

 

- Le « Lone Sailor » d’Utah Beach (50)

Le « lone sailor », qui rend hommage à tous les marins américains, est présent à une quinzaine de reprises tout autour du globe. Cadeau des États-Unis, la statue de Utah Beach en est la première reproduction inaugurée en Europe, le 6 juin 2022.

 

 

- Les Bunkers Version Street Art (50)

La pop culture s’est emparée des bunkers allemands dans la Manche. Depuis quelques années, les street-artistes Näutil, Blesea ou encore Baby K décorent certains vestiges du mur de l’Atlantique de leurs fresques. Ainsi, vous pourrez voir Goldorak à Urville-Nacqueville, le dragon Shenron de Dragon Ball à Réville, ou encore un gorille de Dragon Ball à Fermanville.

 

 

- Le cimetière militaire du Commonweath de Brouay (14)
Du 8 au 16 juin 1944, de furieux combats opposent les troupes anglo-canadiennes aux blindés de l’armée allemande dans les alentours du village de Brouay. Les 377 soldats alliés, victimes des durs affrontements, sont commémorés dans le cimetière militaire du Commonwealth de Brouay (département du Calvados). Tout comme à Ranville, les corps des soldats reposent à côté du cimetière du village.

 

 

- Cimetière canadien de Bény-sur-Mer (14)

Situé au cœur de la plaine, à proximité de Juno Beach, le cimetière canadien de Bény-sur-Mer abrite les restes des 2 049 soldats tombés le 6 juin 1944 et lors des batailles pour la libération de Caen. Et si vous faisiez une halte devant la sépulture du père Walter Leslie Brown, probablement exécuté le soir du 6 au 7 juin 1944 ? Cet aumônier militaire débarqué le 6 juin sur Juno Beach, avec le régiment des Fusiliers de Sherbrooke, et célébra les premières funérailles dans ce même cimetière, où il repose désormais.

 

 

- La croix de Lorraine à Courseulles-sur-Mer (14)

La croix de Lorraine se situe à la limite des communes de Courseulles-sur-Mer et de Graye-sur-Mer, près de là où le général de Gaulle a débarqué le 14 juin 1944. Les donateurs en ont choisi soigneusement les matériaux : l’acier inoxydable, parce qu’à leurs yeux les valeurs du gaullisme sont inaltérables, et l’alliage qui symbolise toutes les races, religions, et doctrines qui se sont rassemblées pour résister et participer à la libération de la France.

 

 

- Le monument Kieffer de Ouistreham (14)

Les noms des 177 commandos français libres ayant participé au Débarquement sont inscrits sur le monument Kieffer. Œuvre de l’artiste caennaise Yvonne Guégan, la sculpture intitulée La flamme se trouve à Ouistreham, presque à l’endroit où une partie des Français libres du commando Kieffer ont débarqué le 6 juin 1944.

 

 

- Le Cimetière polonais d’Urville (14)

Le cimetière polonais d’Urville est la seule nécropole polonaise de la Seconde Guerre mondiale que l’on trouve en France. Au milieu des sépultures des 696 soldats polonais tombés pour libérer la France, vous trouverez une émouvante plaque commémorative offerte par leurs 3 000 compatriotes émigrés dans la commune de Potigny, pour venir travailler dans les mines de fer pendant l’entre-deux guerres.

 

 

- Le Cimetière militaire français de Radon-les-Gateys (61)

L’association des anciens de la 2ème DB a acheté un terrain après-guerre, lieu de sépulture de 6 soldats français, afin de constituer le cimetière militaire français de Radon les Gateys. Entretenu par le service français des sépultures des anciens combattants, ce lieu abrite les sépultures de 19 soldats français originaires de métropole ou des unités supplétives coloniales.

 

Cet été, à travers 150 œuvres issues de ses propres collections, le Rijksmuseum interroge les idées reçues sur le genre en Europe occidentale du XVIème au XXIème siècle.  

 

Pour coïncider avec l'exposition, le Rijksmuseum a reçu en prêt à long terme une peinture du Chevalier d'Éon ou chevalière d'Éon provenant d'une collection privée. Cette œuvre du peintre français Jean-Laurent Mosnier (1743-1808) raconte l'histoire de Charles d'Éon de Beaumont (1728-1810), l'un des diplomates et espions les plus célèbres de son temps. D'Éon a vécu habillé en homme pendant 50 ans et en femme pendant 30 ans. Il est un exemple que l'on cite souvent pour montrer la fragilité de nos ancrages identitaires traditionnels. 

 

Au fil du parcours, l'exposition dévoile également des œuvres essentielles d'artistes tels que Gesina ter Borch, Marlene Dumas, Bartholomeus van der Helst, Kinke Kooi, Robert Mapplethorpe, Erwin Olaf, Maria Roosen, Charley Toorop et Sara Troost. 

 

Au Rijksmuseum, Museumstraat 1 à Amsterdam (Pays-Bas)

Le mégalithisme de la Corne de l’Afrique est l’un des plus riches et exceptionnels du continent africain. Dans le sud de l’Éthiopie, sur les contreforts orientaux de la grande vallée du Rift, près de cent trente sites identifiés à ce jour rassemblent plusieurs milliers de stèles phalliques ou anthropomorphes. La densité des découvertes, répartie entre les zones Gedeo, Oromo Guji et Sidaama, est unique à l’échelle du continent africain et en fait un ensemble d’intérêt mondial. Le paysage mégalithique du pays Gedeo vient d’être inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO lors de la 45ème session, en septembre 2023.

 

L’exposition Éthiopie, la vallée des stèles vise à restituer le travail scientifique engagé depuis près d’un siècle autour de ces monuments comme les résultats les plus récents, fruits des nouvelles techniques d’investigation en archéologie. Elle ambitionne aussi de présenter les enjeux actuels de conservation d’un patrimoine fragile, soumis à une forte pression démographique, dans une région où prédomine une agroforesterie traditionnelle reconnue au titre du patrimoine mondial de l’UNESCO, associant la culture du café et de l’ensète, un proche cousin des bananiers. Cette exposition s’appuiera sur un ensemble unique de stèles éthiopiennes conservées dans les collections du Weltkulturen museum de Francfort suite aux missions de l’ethnologue Adolf E. Jensen. Près d’une dizaine de monolithes provenant du site de Tuto Fela seront présentés pour la première fois en France, en association avec des dessins et aquarelles réalisées sur le terrain par l’artiste Alf Bayrle. Cette sélection sera complétée par un large choix de sculptures, objets, photographies et archives de fouilles provenant de collections publiques françaises et allemandes

 

Au Musée Fenaille, 14, place Eugène Raynaldy, à Rodez (12)

Nosferatu le vampire, Metropolis, Le Cabinet du docteur Caligari… ceux qui ont vu ces films des années 1920 ne peuvent s’empêcher de frissonner à leur évocation.

L’exposition du Musée de Lodève ravive le frisson et met en lumière comment la peinture et les arts graphiques ont influencé le cinéma expressionniste de l’époque, qui se hisse alors au rang d’art à part entière. Les peintures, dessins et gravures d’une trentaine d’artistes (A. Macke, E. Heckel, O. Dix, K. Schmidt-Rottluff, E.L. Kirchner....) sont confrontées à des extraits de 12 films célèbres.

Cette exploration troublante de l’univers expressionniste nous plonge directement dans la société allemande de l’entre-deux guerres, ses traumatismes, ses rêves et ses cauchemars.

 

Au Musée de Lodève, 1 place Francis Morabd, à Lodève (34

50 randonnées au Portugal, entre continent et Madère. Pour chacune, la carte du circuit, un QR Code renvoyant au site Wikiloc pour une orientation encore plus précise depuis son portable, un descriptif détaillé avec les points d’intérêt et une rubrique « À visiter autour, avant ou après… ».

Ancien journaliste-voyage au Portugal et éternel découvreur, Marc Nevoux est devenu au fil du temps ambassadeur de territoires. Projeté en 2016 sur le tarmac de l’aéroport de Porto, il arrive alors en terre inconnue, armé d’un sac à dos, d’un smartphone et de ses baskets. Quelques jours lui ont suffi pour tomber amoureux de ce pays et de ses habitants. Il enchaînera ensuite des séjours réguliers jusqu’à aujourd’hui pour devenir le plus portugais des Français.

 

Relectrice-correctrice expérimentée, Barbara De Amorim est la fondatrice de B.A. Correction.

Franco-portugaise, elle entretient un lien profond avec le Portugal, destination de prédilection pour ses randonnées annuelles. Ce guide est une fenêtre sur sa passion pour la marche et un hommage à son héritage portugais. Il marque son premier pas d’un voyage professionnel de l’ombre à la lumière de l’écriture.

 

Prix : 18,90€

Ces quatre préfectures nippones se distinguent par leur riche patrimoine culturel, leurs paysages époustouflants et leurs traditions bien ancrées.

 

La préfecture d'Ishikawa est renommée pour la finesse et la diversité de son artisanat, reflétant des siècles de tradition et de savoir-faire. La laque de Wajima, connue pour sa durabilité et ses motifs exquis, est particulièrement prisée, tout comme le Kaga Yuzen, une technique de teinture de soie produisant des kimonos aux motifs colorés et complexes. La région est également célèbre pour sa poterie Kutani, caractérisée par des émaux vibrants et des dessins détaillés. Les visiteurs peuvent découvrir ces arts traditionnels dans divers ateliers et musées, où ils peuvent également participer à des expériences pratiques pour mieux comprendre et apprécier ces techniques ancestrales.

Toyama est la porte d'entrée des Alpes japonaises. Pour ceux qui préfèrent des activités plus tranquilles, une croisière sur la baie de Toyama offre une perspective unique sur les montagnes environnantes. Pour les amateurs d'histoire, il existe les villages de Gokayama, inscrits au patrimoine mondial de l'UNESCO, célèbres pour leurs maisons de style gassho-zukuri. Ce terme signifie "mains en prière" et fait référence à la forme des toits de chaume, qui ressemblent à des mains jointes en prière. Ces toits inclinés permettent à la neige lourde de glisser facilement pendant les hivers rigoureux, tout en offrant une isolation efficace. Les visiteurs peuvent également explorer les gorges de Kurobe, endroit idéal pour les randonnées et les sources chaudes naturelles.

 

 

Fukui est un havre de paix et de sérénité, connu pour ses paysages naturels et ses sites historiques. Pour les amateurs de plein air, les falaises de Tojinbo offrent un petit sentier de randonnée et des paysages côtiers spectaculaires. Pour une expérience culinaire unique, les visiteurs peuvent déguster le crabe de Fukui, une spécialité locale renommée.

Niigata offre des paysages naturels diversifiés et magnifiques. La région est dotée de rizières en terrasse, cultivées depuis des siècles, offrant des vues panoramiques saisissantes, particulièrement au lever et au coucher du soleil. L'île de Sado est un joyau de la mer du Japon, connue pour ses paysages côtiers spectaculaires et ses montagnes verdoyantes. Sado offre une riche histoire culturelle, où les visiteurs peuvent même explorer les mines d'or et d'argent, témoins de l'ancienne prospérité de l'île, et assister à des représentations de théâtre Noh.

Ensemble, Ishikawa, Toyama, Fukui et Niigata forment un quatuor incontournable dans la région du Hokuriku, offrant aux voyageurs une expérience authentique et diversifiée du Japon, loin des sentiers battus.

Nichés au cœur de paysages époustouflants, les vignobles de la région d'Ica et d'Arequipa sont les joyaux de l'industrie viticole péruvienne. Baignés de soleil et caressés par des vents frais, ces terroirs offrent un environnement idéal pour la culture des raisins utilisés dans la production du pisco, ce distillat emblématique du Pérou. Ici chaque voyageur aura l'occasion de parcourir les domaines viticoles, de se promener à travers les vignes et de s'émerveiller devant tant de beauté naturelle.

 

Au cours des visites guidées qui sont proposées, les visiteurs auront la chance de découvrir les différentes variétés de raisin cultivées dans la région, chacune apportant sa propre complexité aromatique et son caractère distinctif au pisco final. Des cépages tels que Quebranta, Italia, Torontel et Moscatel sont soigneusement sélectionnés et cultivés avec amour par des viticulteurs passionnés, préservant ainsi la diversité et l'authenticité des piscos péruviens.

Mais les Routes du Pisco offrent bien plus qu'une simple promenade à travers les vignobles. Les visiteurs auront également l'opportunité de plonger dans l'art ancestral de la distillation du pisco lors de visites guidées des bodegas locales. Accompagnés par des experts en distillation, les participants auront un aperçu exclusif du processus de production, des étapes de fermentation à la distillation, en passant par la maturation en fûts de bois.

 

Enfin, les dégustations organisées au sein des bodegas permettront de savourer une sélection de piscos primés, mettant en lumière la diversité des saveurs et des arômes caractéristiques de cette eau-de-vie péruvienne. Des piscos jeunes et frais aux variétés plus complexes et vieillies, chaque dégustation promet une expérience sensorielle inoubliable, offrant un véritable voyage au cœur des saveurs du Pérou.

 

Après avoir exploré les vignobles, les Routes du Pisco vous entraînent directement vers la vibrante capitale péruvienne, Lima. Célèbre pour sa scène culinaire dynamique et ses bars à la mode, Lima est un véritable paradis pour les amateurs de cocktails. Chacun aura ici l'occasion de découvrir certains des meilleurs bars de la ville récemment classés parmi les 50 meilleurs bars du monde.

 

Ces établissements emblématiques incarnent l'esprit vibrant de la vie nocturne de Lima et offrent aux participants des expériences uniques et mémorables. Que ce soit pour siroter un cocktail raffiné ou pour se laisser emporter par l'ambiance enivrante, les Routes du Pisco promettent une immersion totale dans l'art du cocktail péruvien.

 

Pour 1 € seulement, procurez-vous l’Explore Normandy Pass et bénéficiez de réductions dans plus de 60 sites et musées du D-Day en Normandie.. Ce sésame vous donne également accès à du contenu enrichi, exclusif et ludique.

 

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Afin de stimuler la croissance économique du pays, et de positionner le Portugal comme une destination de choix pour les talents et les investisseurs du monde entier, le gouvernement instaure un nouveau régime des Résidents non habituels (RNH) qui s’adresse aux seuls professionnels actifs étrangers qui souhaiteraient s’établir au Portugal.

 

Ce nouveau régime RNH prévoit :

- Un taux d’imposition de 20 % sur les salaires et les revenus professionnels, à l’exclusion des dividendes, plus-values et pensions.

- Une période de 10 ans, renouvelable.

- La non obligation d’achat d’une propriété immobilière pour être éligible

- Des incitations pout les citoyens portugais rentrant de l’étranger.

A l’heure où la France est exsangue et n’est plus l’ombre que d’elle-même, pourquoi ne pas envisager de vous expatrier ? L'île Maurice compte plus de 3 000 retraités français expatriés, ce qui représente près de la moitié des retraités étrangers vivant dans le pays. De plus en plus d’entre eux font le choix de s’y installer pour y vivre une retraite paisible et profiter des avantages que leur offre « l’île paradis ».

 

Le gouvernement mauricien facilite l’installation des retraités étrangers dans le pays par des démarchages simplifiées et l’encourage grâce à une fiscalité attractive.

 

Les Mauriciens sont accueillants et chaleureux : ici, le vivre-ensemble est roi. Beaucoup d’entre eux parlent couramment le français, ce qui facilite les échanges et l’intégration dans une vie communautaire active. L’harmonie sociale mauricienne est une réalité et elle rend la vie quotidienne simple et agréable.

 

Le coût de la vie à Maurice est inférieur à celui de nombreux pays occidentaux. Les frais de logement, de nourriture ou de santé y sont souvent plus abordables, permettant ainsi de vivre sa retraite confortablement. Les services publics y sont aussi de très bonne qualité.

 

Le pays bénéficie d'une gouvernance stable et démocratique depuis son indépendance en 1968, ce qui rassure les expatriés cherchant un lieu sûr pour y vivre leur retraite.

 

L’économie mauricienne est dynamique et souvent présentée comme un modèle à suivre pour les pays africains. Par ailleurs, il est considéré comme le deuxième pays le plus riche d’Afrique avec un PIB par habitant de 29 164 $US, selon un classement publié fin 2023 par le magazine britannique Global Finance.
Maurice dispose d’un régime fiscal simple, harmonisé et très favorable aux investisseurs étrangers. Grâce à la convention de non-double imposition conclue avec la France depuis 1980, les retraités expatriés à l'île Maurice bénéficient d’avantages fiscaux très attractifs parmi lesquels un taux d’imposition à 15%, l’exonération des biens immobiliers situés à Maurice dans l’assiette de calcul de l’Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI), l’exonération de la fiscalité sur les plus-values immobilières en cas de revente d’un bien immobilier situé à Maurice, l’inexistence des droits de succession ou encore la non-imposition sur les dividendes.

 

L’achat d’un bien immobilier à Maurice, d’une valeur minimum de 375 000 $US, donne droit à l’acquéreur et à sa famille au permis de résident permanent mauricien, qui leur permet d’y établir leur résidence fiscale et d’y vivre.
Pour pouvoir résider sous le statut de retraité à Maurice, les critères à respecter sont les suivants :

 

-Être âgé d’au moins 50 ans ;

-Passer certains examens médicaux moins de 6 mois avant la demande du permis ;

-Effectuer un premier virement de 1 500 $US (ou son équivalent en devise étrangère) sur son compte bancaire mauricien ;

-Par la suite, virer un minimum de 1 500 $US par mois pour un total annuel de minimum 18 000 $US, pendant les 10 années de validité du titre de séjour ;

-À la fin de chaque année, soumettre à l'Economic Development Board (EDB) les preuves de virement de fonds sur son compte bancaire mauricien.

Si toutes ces conditions sont respectées, il est possible de demander son autorisation de résidence permanente pour 10 à 20 ans.

Au cœur du Parc Naturel Regional de Camargue, en bordure du grand Rhone, le Domaine de Beaujeu conduit depuis toujours une polyculture ancestrale, caracteristique des exploitations camarguaises d'autrefois, dans le respect de la nature qui l’environne.

Entreprise familiale depuis 5 generations, parmi les premiers a pratiquer l’agriculture biologique dans la region, le Domaine de Beaujeu fidele par son respect de la Camargue des origines est aussi exemplaire par son mode d’exploitation, est plus attache a la qualite qu’au rendement et toujours soucieux de preserver l’avenir.

Le Domaine s'etend sur environ 300 hectares, dont 180 sont en polyculture, le reste etant constitue d’espaces proteges.
Trente hectares sont reserves a la vigne et selon les annees, environ quarante hectares sont dedies a la culture du riz. Sur le reste on trouve du tournesol, des prairies fourrageres et une plantation de grenadiers.

Ces parcelles cultivees cotoient de nombreux espaces proteges a l'etat naturel, haies, bosquets, bois et enganes faisant de Beaujeu un domaine unique, un des seuls mas du Pays d'Arles a avoir preserve l'equilibre d'antan.

Dernier vignoble sur la rive droite du Rhone avant la mer, le domaine elabore des vins blancs, roses et rouges « IGP Pays des Bouches du Rhone Terre de Camargue » et « IGP Mediterranee » issus de differents cepages (Vermentino, Chardonnay, Marsanne, Viognier, Roussanne, Cabernet, Caladoc, Merlot et Marselan).

Edifie en ecoconstruction son caveau vous accueille toute l’annee dans un cadre chaleureux pour vous faire decouvrir et partager ses vins que vous prendrez plaisir a partager, a votre tour, en famille ou entre amis. Il vous propose egalement une belle selection de ses produits : differentes varietes de riz, jus de fruits du domaine (grenade ou raisin) ainsi que d’autres produits du terroir.

Suivez-nous pour un tour d'horizon de nos merveilles inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO :Sites palafittiques, Basilique et Colline de Vézelay, Église Notre-Dame à la Charité-sur-Loire, Citadelle et fortifications Vauban de Besançon, Grande Saline de Salins-les-Bains, Saline Royale d'Arc-et-Senans, Abbaye Cistercienne de Fontenay, Chapelle Notre-Dame du Haut à Ronchamp ou encore les Climats du vignoble de Bourgogne.

Vidéo disponible ici https://youtu.be/gp9fIZa6pMc

Chef-d’œuvre de l’art roman, la cathedrale Saint Pierre d'Angouleme fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 1840. Elle expose desormais son fabuleux Tresor, dont la mise en scene d’une flamboyante collection d’ostensoirs, reliquaires, statues, calices et vetements liturgiques, soit pres de 150 objets sacres, a ete confiee a l’artiste Jean-Michel Othoniel. 1523 perles de verre souffle colore de Murano, les entrelacs qui se repondent a l’infini sur le sol et les murs, vitraux aux tonalites bleu et or qui diffusent une lumiere aux infinies nuances et objets scintillants contribuent a l’atmosphere onirique des lieux... Le Tresor magnifie trois salles : le Lapidaire, l'Engagement et le Merveilleux dans lesquelles on decouvre, au fil de la visite, une extraordinaire collection d'objets liturgiques du XIXème...

Le projet de la mise en valeur du Tresor de la cathedrale d’Angouleme a ete initie des 2008. Puis, l’Etat en a confie la scenographie a Jean-Michel Othoniel, dans le cadre d'une commande publique artistique. L'artiste a entierement transforme l'espace. Il s’agit, a ce jour en France, du seul Tresor compose par un artiste contemporain.

Plus d’infos sur www.angouleme-tourisme.com

Bourgogne-Franche-Comte Tourisme (BFC Tourisme) et La Poste ont devoile un carnet de timbres collector dedie aux neuf sites Unesco de la region, soulignant ainsi la richesse et la diversite du territoire.

Ce carnet de 8 timbres representant chacun des biens, est disponible depuis le 16 mai dans tous les bureaux de poste de la region, aupres de facteurs, en ligne sur le site Laposte.fr,(https://www.laposte.fr/pp/collector-8-timbres-sites-patrimoine-mondial-de-bourgogne-franche-comte-lettre-verte/p/2124300) ainsi que dans les boutiques des 9 sites emblematiques representes.

Ce partenariat est inedit entre BFC Tourisme et La Poste. Cette collaboration exceptionnelle offre une belle vitrine a l'ensemble des sites inscrits au Patrimoine Mondial de l'UNESCO de la region.