De milieu modeste, mes parents ne dépensaient jamais plus que ce que leur budget les y autorisait. Nous ne souffrions pas de privation parce que nous n'avions pas les moyens de nous offrir certaines choses. C'était comme çà, tout simplement. Juste une question de bon sens...
Il ne me serait jamais venu à l'idée d'être jaloux d'un camarade qui partait en vacances pendant que je devais me résoudre à passer mes vacances d'été à la maison. Cela fit-il pour autant de moi un enfant traumatisé ? Bien sûr que non (rires). Je dirais même que cela me rendit service de ne pas être issu d'une famille « bourgeoise » qui m'aurait peut être accordé le moindre souhait et aurait fait de moi un enfant gâté et capricieux. Mieux ! Je considère aujourd'hui avec le recul, que ce fut une chance pour moi d'être le fils de parents ouvriers qui entreprirent les efforts financiers nécessaires pour me permettre de faire des études suffisantes afin de me lancer avec succès dans la vie. Soixante ans plus tard, mission accomplie !
Un pays, c'est la même chose mais à une autre échelle. Une bonne gestion, c'est éviter de gaspiller l'argent que l'on n'a pas, et encore plus celui qui ne nous appartient pas. Nos dirigeants politiques semblent l'avoir oublié, depuis les années 1970, point de départ des budgets d'Etat déficitaires. Comme, par exemple, ces hommes d'Etat qui trahissent leur peuple en autorisant les banques privées à prêter de l'argent à l'Etat pour ses investissements, ce que la Banque de France faisait jusqu'alors très bien et gratuitement. (Merci VGE!).
A partir de 1981, « l'important, c'est la rose »prit le relais pour deux septennats, ce qui couta bonbon à la Nation. Mais qu'importe ! Les dépenses fastueuses engagées pour l'accueil d'étrangers ne se discute plus dès lors qu'il s'agit de sauver les réfugiés de tous poils, mais également de démultiplier les strates administratives (régions, départements, communes, communautés de communes, syndicats inter-communaux, syndicats mixtes, établissements publics de coopération inter-communale... et le nombre des fonctionnaires, d'agents territoriaux et sociaux qui vont avec!), invraisemblable enchevêtrement de structures et de compétences, mais clientélisme garanti. Cout de ces doublons administratifs : 60 milliards d'euros par an (source : Le Figaro). Et de vivre ensemble les années Covid et l'embauche d'experts McKinsay pour conseiller qui vous savez . Toujours plus pour les amis du pouvoir, mais pas un euro pour soigner les Français dans les hôpitaux ruraux. Il y a des claques qui se perdent...
Nos élus tous partis confondus sont d'autant plus à l'aise pour dépenser que cet argent ne leur appartient pas puisqu'il s'agit de celui du contribuable.
Autre manie de nos politiques : créer des normes afin de tout régenter au détail près, de pinailler, de faire coute que coute rentrer les Français dans une case, jusqu'à tout contrôler à la sauce jacobine : à ce rythme-là, le code général des collectivités territoriales a triplé de volume en dix ans. Bien entendu, ce normativisme démesuré a un cout pour notre société ; celui-ci était de 2,5 milliards en 2022.
Et ces fonctionnaires sans affectation, payés à ne rien faire, on en parle ?
En effet, le transfert par l'Etat de certaines compétences des régions vers les collectivités locales ont eu pour conséquence de retirer leurs postes à des centaines de fonctionnaires, lesquels sont rémunérés à ne rien faire, sans qu'ils ne soient redéployés ailleurs. A titre d'exemple, 39 fonctionnaires territoriaux du département du Var sont ainsi payés à ne rien faire depuis ...25 ans ! On a connu meilleure gestion.
Environ 56 préfets sans affectation et rémunérés 8000? nets par mois (sans compter les primes, l'appartement de fonction et les frais de fonctionnement) génèrent 6 millions d'euros de cout annuel pour le contribuable français.
Le délire est poussé jusqu'à créer, dans certaines collectivités territoriales, une prime de présence afin de motiver certains agents souffrant d'absentéisme chronique. Et puis quoi encore ? Il existe pourtant une solution qui a d'ailleurs été mise en place dans notre pays entre 2013 et 2016 : la baisse des dotations d'argent public aux collectivités. Et ça marche ! Alors pourquoi ne pas poursuivre dans cette voie ?
(source : Contribuables Associés)
 
LE CLIN D'OEIL DU MOMENT
D'après une grande enquête de Preply menée dans 27 pays, seulement 46% des Français savent comment réagir en cas d'appel à l'aide ! Mourez tranquille, nous nous occupons du reste...
Cette enquête s'intéresse aux signaux de détresse et à leur connaissance. Les résultats de ce sondage révèlent des disparités significatives dans la connaissance des signaux d'urgence parmi les participants, soulignant à la fois des points forts et des lacunes préoccupantes. Une analyse plus approfondie nous conduit à plusieurs réflexions critiques sur la sensibilisation et l'éducation en matière de sécurité publique.
Concernant les résultats liés à la connaissance des signaux de détresse en France, 46% disent savoir comment réagir si quelqu'un demande de l'aide, 35% savent comment signaler par la main une situation de violence domestique et 59% connaissent les numéros d'urgence.
Quant aux signaux d'urgence les plus connus en France, 17 % connaissent la signification de commander un « angel shot » au bar, 15 % connaissent la signification d'un point noir sur la paume d'une main, puis d'autres signaux utilisables en cas de violence (13%) la signification de l'acronyme « STAN' (Send the Authorities Now)(13%) et la signification d'une personne qui dit vouloir parler à Angela
En France, les résultats de ce sondage soulèvent des questions cruciales : cet été, quelles sont les principales préoccupations des Français en termes de sécurité ? Ces derniers savent-ils comment réagir en cas de danger ? Nous verrons également dans quelle mesure la maîtrise d'une langue étrangère permet de se sentir en sécurité à l'étranger.
 
 
MURIEL SE MET EN MODE ALERTE
La trêve olympique aura été de courte durée : à peine les J.O version Manège enchanté ont-ils fermé, et avant même le démarrage des Jeux paralympiques, nous assistons maintenant à une avalanche de catastrophes à venir (retour du QR code, instauration de la carte de vaccination européenne, et...du Pass sanitaire européen dès ce mois de septembre.
Vous imaginiez naïvement en avoir terminé avec le COVID. Grave erreur, le COVID n’était qu’un amuse-gueule (répétition générale)destiné à vérifier la capacité des gouvernements à surveiller et à encadrer les populations européennes, pour entamer l’instauration de la dictature « à la chinoise », c’est à dire les instruments de contrôle de notre santé pour mieux nous vendre et sous la contrainte demain vaccins, traitements, examens médicaux confinements, et imposer à chacun d’entre nous l’interdiction de circuler.
Cette surveillance médicale des populations doit être généralisée pour juin 2026 (date de fin programmée pour le projet EUVABECO).
Mais en quoi le projet EUVABECO consiste t-il exactement ? Celui-ci entend améliorer les pratiques de vaccination tant dans le cadre de la vaccination de routine qu’en cas d’épidémies futures dans les pays européens. Au cours de ce projet, des plans de mise en œuvre basés sur des pratiques innovantes appliquées lors de la pandémie de COVID-19 sont élaborés, afin de les mettre en pratique par la suite et de valider leur mise en application dans le cadre de projets pilotes. Ceux ci s’inscrivent dans différentes dimensions telles que la sélection de populations pour la motivation à la vaccination, le carnet de vaccination numérique portable ou l’emballage neutre pour une distribution flexible des vaccins.
Parallèlement, est lancé le développement de la CVE (carte de vaccination européenne) qui prévoit clairement que la vaccination ouvrira ou fermera certains droits. A quoi tient-on le plus si ce n’est à sa santé ? Faute d’opposer un NON ferme et collectif à ce funeste plan, les moutons que nous sommes seront gentiment (mais fermement) dirigés dans l’enclos final, celui de l’identité numérique via l’utilisation d’une seule et même carte regroupant toutes vos caractéristiques d’identité, de vaccination, de maladie… et vos données bancaires bien sûr.
Pour l’instant, cinq pays pilote se sont portés volontaires (La France n’en fait pas encore partie sans doute à cause des déconvenues électorales successives de qui vous savez) à savoir la Lettonie, la Grèce, la Belgique, l’Allemagne et le Portugal. Des pays réputés pour la docilité de leurs populations. A quand la marche au pas de l’oie ?
Contre l’oubli, les non-dit, la banalisation et le laisser-faire, souvenons-nous de ce que fut « La nuit de Cristal » du 9 au 10 novembre 1938 : https://youtu.be/Ts3PDKRH4L4
 
 
LA SEMAINE DE SOUKO
Dimanche 11 août 2024:Mon maitre me voyant haleter, me passe un gant de toilette mouillé sur le museau, puis sur le reste du corps
Lundi 12 août 2024 : Personne en vue ce soir lors de notre promenade, ni Blondie, ni Jasper...
Mardi 13 août 2024 : Il m’arrive de rêver de...banquise !
Mercredi 14 août 2024 : Je prends chaque soir un malin plaisir à regarder mon maitre confectionner mon diner (que j’engloutirai en trois minutes!)
Jeudi 15 août 2024 : Chez nous, on regroupe les courses avant 10 heures du matin, avant que touristes et fortes températures ne passent à l’offensive, ce qui me permet d’accompagner mon maitre sans souffrir de la chaleur.
Vendredi 16 août 2024 : Youpi ! J’ai revu aujourd’hui Jasper et Blondie. Et Bang ! Je me suis frotté d’un peu trop prêt à une véhicule sur un chemin de terre le long du terrain de golf.
Samedi 17 août 2024 : 32° aujourd’hui. Mon maitre étant de sortie, j’ai fidèlement gardé la maison
 
 
VOICI DE QUOI SE POSER DES QUESTIONS SUR...
Vaccinogate : incroyable fraude dans la composition des vaccins (source : La Newsletter de Michel Dogna)
L'association pour la liberté de vaccination, Corvelva, fondée en 1993 et composée de scientifiques et de juristes, a annoncé avoir reçu un don de 10.000 euros de l'Ordre national des biologistes italiens afin de tester la sécurité et l'efficacité des vaccins couramment utilisés pour la vaccination des enfants.Le premier vaccin qu'ils ont testé de manière approfondie est Infanrix Hexa, un vaccin « six en un » fabriqué par GlaxoSmithKline (GSK) supposé contenir les antigènes suivants :
- toxoïdes du tétanos
- de la diphtérie et de la coqueluche
- souches virales 1-2-3 inactivées de la poliomyélite
- antigène de surface de l'hépatite B
Corvelva n'a trouvé AUCUN de ces antigènes dans le vaccin, ce qui signifie qu'aucun anticorps ne serait créé contre les antigènes prévus. Non seulement aucuns antigènes vaccinaux n'ont été détectés, mais ils ont trouvé ce qui suit :
- des traces de 65 contaminants chimiques dont 35% seulement sont connus, issus du processus de fabrication ou de contamination croisée avec d'autres chaînes de fabrication
- toxines chimiques
- toxines peptidiques bactériennes, des allergènes potentiels capables d'induire des réactions auto-immunes
- macromolécule insoluble et non digestible qui réagit au dosage des protéines mais qui ne peut être reconnue par aucune base de données de protéines.
Vous pouvez trouver le résumé des premières analyses du vaccin Infanrix Hexa sur le site de Corvelva :
Le 24 décembre 2018, Corvelva a publié une mise à jour concernant les résultats d'analyses, débutées il y a quelques mois, du vaccin Priorix Tetra (rougeole-rubéole-oreillons-varicelle) fabriqué par GlaxoSmithKline (GSK).
Les analyses précédentes montraient des problèmes au niveau des mutations dans le génome des virus et au niveau des quantités absurdes d’ADN. L'extension des analyses chimiques/protéines révèlent la présence de traces de composés de contaminants résiduels, dont :
- des traces du médicament Vigabatrin et Gabapentine (antiépileptiques)
- d'un médicament expérimental anti-VIH
- d'antibiotiques
- d'herbicides
- d'acaricides (insecticides)
- de métabolites de la morphine
- de Viagra
Mais ce n'est pas tout...
La présence d'ADN fœtal en grande quantité a été confirmée (1,7 µg dans le premier lot et 3,7 µg dans le deuxième lot), soit environ 325 fois la limite maximale fixée à 10 nanogrammes et 325 000 fois supérieur à la limite minimale de 10 picogrammes.
Des cellules issues de bébés avortés font partie de la composition des vaccins, c'est connu et utilisé depuis les années 60 !
Une nouvelle étude scientifique publiée dans les archives de l'Académie nationale des sciences (PNAS) révèle que les personnes vaccinées contre la grippe émettent 630% plus de particules virales dans l'air que les individus non vaccinés.
CNBC : « Des preuves scientifiques démontrent que les individus vaccinés avec des vaccins contenant des virus vivants comme le RRO (rougeole, rubéole et oreillons), rotavirus, varicelle, zona et grippe, peuvent excréter le virus pendant plusieurs semaines ou plusieurs mois et donc, infecter les vaccinés ainsi que les non vaccinés. »
Le site de la bibliothèque nationale de médecine des États-Unis a publié un article en mars 1991 à propos d'une flambée de cas de rougeole dans un collège du Colorado qui a fait 84 malades chez les étudiants qui étaient à 98% vaccinés contre la maladie (en 1988)… La moitié des élèves qui ont contracté le virus avaient pourtant reçu les deux doses du vaccin contre la rougeole.
Des étudiants vaccinés contre la coqueluche ont contracté la maladie dans une école de Californie, à l'intérieur de laquelle 99,5% de la population étudiante était adéquatement vaccinée.
Conclusion
Est-il admissible que soient rendus obligatoires des (prétendus) vaccins dont personne ne sait rien :
- De leur composition complète
- Des validités expérimentales
- De l’efficacité statistique réelle
- Des multiples additifs plus toxiques les uns des autres qu’ils contiennent
- De leur dangerosité
- Des dégâts au long cours et des accidents mortels qu’ils provoquent
- Des risques énormes sur les bébés surtout sevrés du sein, donc privés des défenses de la mère
- De l’irresponsabilité juridique et de l’immunité des labos, du ministère de la santé, des rouages administratifs, des médicaux vaccinateurs
Bref, ces vaccins ne présentent aucune garantie. Personne n’accepterait cela pour un quelconque achat.
Comment expliquer cette soumission générale à l’autorité en échange du droit d’accès aux garderies, aux écoles, même à certaines professions, et pourquoi pas au droit d’exister ? Aurions-nous perdu l’instinct de survie ? La peur est mauvaise conseillère ! Personne ne peut rien contre une majorité qui dit NON. L’Italie montre l’exemple, bravo aux Italiens !
 
 
QUOI DE NEUF EN CRYPTO ?
Hausse de l'investissement crypto aux Etats-Unis
C’est en tout cas ce que semble indiquer une récente enquêtemenée par le cabinet d’avocats Barnes & Thornburgaux États-Unis :
L’approbation des ETF Bitcoin au comptant semble avoir ouvert la voie à un changement de dynamique important dans la logique d’investissement des habitants des États-Unis. Car cette validation apportée par la SEC rend le secteur des cryptomonnaies désormais envisageable et accessible.
Il suffit de voir comment des banques comme Standard Chartered décident d'ouvrir leurs portes à ces options, afin de les proposer à leurs clients. Avec le soutien de géants de la finance comme BlackRock,
84 % des participants à cette enquête estiment que l’investissement privé dans les cryptomonnaies devrait augmenter au cours des 12 prochains mois. Cela alors que 59 % des personnes interrogées déclarent qu’elles sont plus susceptibles d’investir dans des fonds crypto qu’il y a un an.
Car l’approbation des ETF au comptant ouvre de nouvelles perspectives. Cela pouvant aller jusqu’à « des investissements dans des fonds crypto privés et d’autres produits non réglementés », si la tendance du marché les rends plus attractifs
Du côté des réfractaires (26 %) les principales raisons invoquées restent la trop forte volatilité(46 %), les fraudes omniprésentes (43 %) et le spectre d’un effondrement des exchanges (43 %). C’est-à-dire ceux qui débarqueront au moment où le Bitcoin sera devenu aussi docile qu’une action en bourse…(source:Le Journal du coin)
 
 
ACTIVONS NOS NEURONES
Quels sont les touristes qui laissent le plus de pourboire dans les restaurants ?
Sunday, leader des solutions de paiement pour les restaurants, dressait en juillet dernier un panorama des nationalités les plus généreuses au restaurant. Voici les cinq pays dont les ressortissants se montrent les plus généreux :
- Les Etats-Unis
Sans surprise les Américains arrivent en tête des nationalités qui laissent le plus de pourboire. Avec un taux moyen de 6,3% du montant de l’addition, les États-Unis, où la culture du pourboire est complètement entrée dans les mœurs, sont en haut du classement. Ils donnent un pourboire dans 64% des cas et le plus gros montant offert est de 304 euros.
- Israël
En deuxième position se trouvent les Israéliens. De tous les pays, ce sont eux qui laissent le plus souvent un pourboire, deux fois sur trois, d’une moyenne de 5,6% du montant de leurs additions.
- Les Emirats Arabes Unis
A la troisième place,on retrouve les Emiratis, qui donnent plus d’une fois sur deux, en moyenne 5,2% du montant des additions.
- Le Mexique
- Le Canada.
Notons pour clore ce chapitre que la lanterne rouge revient aux Sud-Coréens, qui ne laissent qu’une fois sur cinq un pourboire d’une valeur moyenne correspondant à 1,8% du montant de l’addition.
 
 
EXPOSITIONS
«Kandinsky » jusqu'au 10 novembre 2024, à Amsterdam (Pays-Bas)
À moins de 4 heures de Paris en train, Amsterdam est une destination idéale pour une escapade culturelle lors d’un week-end prolongé ou pendant les vacances de la Toussaint. L’occasion de découvrir le nouveau H’ART Museum et sa première exposition dédiée à l'artiste mondialement connu Vassily Kandinsky, en partenariat avec le Centre Pompidou.
Le H’ART Museum est l’un des plus grands musées d’Amsterdam, avec le Rijksmuseum et le musée Van Gogh. Il est situé dans le cœur vert de la ville, au bord de la rivière Amstel. L’imposant bâtiment du XVIIème siècle, connu comme le Amstelhof, fut pendant plus de 300 ans une maison de repos pour personnes âgées. Sa façade néoclassique contraste aujourd’hui avec un espace intérieur entièrement rénové, contemporain et épuré, comprenant une impressionnante cour intérieure et un Grand Café très animé.
Autrefois connu en tant que Hermitage Amsterdam, satellite de l’Ermitage de Saint-Pétersbourg, le musée néerlandais a rompu ses liens avec la Russie en 2022 pour devenir le H’ART Museum. Sa vocation : parcourir le monde pour présenter à Amsterdam les œuvres d'art et les histoires les plus célèbres du monde entier dans le cadre d'expositions uniques. Pour cela, il collabore désormais avec des institutions telles que le Centre Pompidou à Paris, le British Museum à Londres et le Smithsonian American Art Museum à Washington.
Pour la grande exposition d’ouverture du H’ART Museum, une vaste sélection de chefs-d’œuvre du Centre Pompidou a voyagé temporairement à Amsterdam. Plus de 60 pièces majeures offrent une vue d’ensemble inédite de la carrière artistique de Kandinsky et du parcours personnel qui en a fait l’un des pionniers de l’art abstrait.
Au H’ART Museum, Amstel 51, à Amsterdam (Pays-Bas)
« Planète(s) Decouflé », jusqu'au 5 janvier 2025, à Moulins (03)
Au Centre national du costume de Moulins, une exposition propose, à travers plus de 100 costumes, de plonger dans l'univers du grand chorégraphe Philippe Decouflé, à mi-chemin de la danse, du cinéma et du dessin animé vivant. Vous pourrez revivre l’extraordinaire cérémonie des Jeux Olympiques d’Albertville 1992 mise en scène par Decouflé et les costumes signés Philippe Guillotel.
Au Centre national du costume et de la Scène, Quartier Villars, Route de Montilly, à Moulins (03)
« Les Menhirs du Loiret », jusqu'au 31 août 2024, à Pithiviers (45)
En ce mois d'août, l'Office de Tourisme du Grand Pithiverais propose l’exposition Les menhirs du Loiret. Elle a été réalisée par Marc Laroche, préhistorien amateur et correspondant scientifique du M.O.B.E. (Muséum d'Orléans pour la Biodiversité et l'Environnement) pour la Fédération Archéologique et Historique du Loiret.
Cette exposition fait état du recensement des 28 menhirs toujours présents dans le Loiret et d’au moins 25 disparus, signalés par une trace écrite dans la littérature ancienne.
Datés de l'époque néolithique (entre 5500 et 2200 ans avant J.C.), ces mégalithes, du grec mega : grosses et lithos : pierres, sont principalement regroupés dans l’Est du département et la partie orientale de l'axe ligérien.
Ce sont donc sept panneaux explicatifs qui illustrent et renseignent sur les origines et les significations des menhirs, les critères d'authentification et les légendes qui y sont rattachées. Des fouilles récentes ont permis la mise en évidence de trois nouveaux monuments, passés inaperçus jusqu'alors.
A l’Office de Tourisme du Grand Pithiverais, 1 Mail Ouest, à Pithiviers
 
 
PATRIMOINE
Affiche touristique : L'île d'Oléron
Comment réalise t-on une affiche touristique? Découvrez le travail d'affichiste. L’affiche présente et vante l’ensemble des richesses de l’île d’Oléron. La lumière éclatante, la douceur du climat sont mises en avant. Louis Lessieux, illustrateur, décline dans cette affiche les thèmes de la mer et des vacances.
Festival Ravel en pays basque, du 19 août au 4 septembre 2024
Né en 2020 de la fusion de l’Académie Ravel et du Festival Musique en Côte Basque, le Festival Ravel est aujourd’hui un rendez-vous majeur du calendrier musical en Nouvelle-Aquitaine, en France et en Europe.
Du 19 août au 4 septembre, près de 30 concerts et rencontres assortis de 18 masterclasses publiques sont
prévus sur les terres de Ravel, à Saint-Jean-de-Luz, Ciboure et dans six autres communes du Pays Basque.
Inspirée par Maurice Ravel et son univers, la programmation du Festival et de l’Académie Ravel mêle étroitement tradition, modernité, création et audace, avec une large place donnée à la musique française et au croisement des générations. En effet, si le Festival présente les grands artistes d’aujourd’hui, il forme aussi, par le biais de son Académie, la génération des grands interprètes et compositeurs de demain.
Parmi les ensembles et artistes qu’il convie cette année, on retrouve notamment l’Orchestre Philharmonique de Radio France, Tabea Zimmermann, Jordi Savallet son Concert des Nations, Barbara Hannigan, Les Siècles, le Quatuor Belcea, Katia et Marielle Labèque ou encore le compositeur anglais George Benjamin.
30è édition des Traversées Tatihou, du 20 au 25 août 2024, dans la Manche (50)
Bordée par la mer qui lui donne son nom, la Manche est l’un des départements français les plus maritimes avec ses 674 kilomètres de côtes. Du Mont Saint-Michel aux Plages du débarquement en passant par la pointe du Cotentin. C’est un littoral est en perpétuel mouvement avec des paysages uniques entre dunes, falaises et plages de sable fin. Pourquoi ne pas profiter de la 30ème édition des TRAVERSEES TATIHOU pour parcourir son territoire aux multiples facettes, entre sites naturels et patrimoine bâti remarquable ?
Cette année encore, le festival vous donne rendez-vous pour vivre ensemble une édition riche et intense avec 46 concerts, 12 stages, 5 rencontres en médiathèque, 6 sessions irlandaises, 5 visites patrimoniales, 6 bals sur la scène ouverte du contient et la Nuit de Bals.
Festival de Sablé, du 21 au 24 août 2024, à Sablé-sur-Sarthe (72)
Le Festival de Sable, rendez-vous incontournable du monde baroque, se tiendra dans la Sarthe du 21 au 24 aout 2024. Cette edition se distingue par sa thematique "Du ciel a la terre", mettant en lumiere des compositeurs et compositrices eminents qui ont su transposer les images celestes en symphonie terrestre.
Quatre soirees d'exception, reunissant de grands ensembles reconnus sur la scene internationale, marqueront ce festival. Leonardo Garcia Alarcon et son ensemble Cappella Mediterranea ouvriront les festivites avec Carmina Latina, un voyage de la peninsule iberique a l'Amerique latine. Amandine Beyer et Gli Incogniti reviendront a Sable avec Le Monde a l'Envers de Vivaldi, pour une explosion de couleurs et de sonorites joyeuses. Le Poeme Harmonique, dirige par Vincent Dumestre, plongera le public dans l'ambiance des processions venitiennes. Le concert se terminera en beaute avec le Nisi Dominus de Vivaldi, sublime par la mezzo-soprano Eva Zaicik, revelation lyrique 2018 des Victoires de la Musique Classique. Pour cloturer le festival, Sebastien Dauce et l'Ensemble Correspondances presenteront le programme original Les Maitres de Notre-Dame, melant premieres polyphonies et motets inedits, qui sera egalement interprete lors de la reouverture de la cathedrale Notre-Dame de Paris.
Les compositrices seront mises a l'honneur ! L'Ensemble De Caelis a choisi de suivre les pas de la visionnaire Hildegard Von Bingen, a la fois compositrice, femme de lettres, abbesse et medecin renommee. Baignes de profondeur, de mysticite et de douceur, ses chants medievaux seront associes a ceux de l’Abbaye des Cisterciennes de Las Huelgas. La lumiere sera faite sur les compositrices du Seicento par les Kapsber'girls, de Barbara Strozzi a Antonia Bembo. L'ensemble dresse un portrait musical de six femmes italiennes qui, parmi d'autres, ont marque l'Histoire de la Musique.
Foodwatch dénonce un trafic de viande de chevaux de course depuis l'Irlande
Le saviez-vous?? Les chevaux de course reçoivent des traitements médicamenteux qui les rendent totalement impropres à la consommation humaine. Pourtant, des chevaux de course sont bel et bien envoyés à l’abattoir pour finir dans des barquettes au supermarché, en boucherieou on ne sait où en France et en Europe.
Les sources officielles indiquent ainsi que la France a importé 400 tonnes de viande de cheval d’Irlande l’année dernière, vraisemblablement en provenance de l’abattoir au cœur du documentaire « Horses-Making a Killing ». C’est l’équivalent de1,6 million de steaks de 250 grammes... dont la traçabilité est aujourd’hui sérieusement questionnée.
Ces fraudeurs, qui opèrent aussi en France, en Belgique, en Espagne, aux Pays-Bas, falsifient les passeports des bêtes, leur insèrent de nouvelles puces électroniques pour brouiller leur identité et les font ainsi entrer dans la chaîne alimentaire comme si de rien n’était. Ce qui soulève évidemment des questions sur le potentiel risque sanitaire : où cette viande a-t-elle été vendue, par qui et sous quelle marque ?
 
 
LIVRES
« La tumultueuse histoire du pâté d'alouettes de Pithiviers » par Hugues Plisson et Christian Chenault (Editions Loire et Terroirs)
Outre son riche patrimoine historique, la ville de Pithiviers offre un patrimoine culinaire diversifié. Si la renommée du Pithiviers, version sucrée, dépasse les frontières du pays, une autre version salée a fait parler d'elle jusque dans les années 80 : le pâté d’alouettes. Aujourd'hui disparue, la tradition de ce mets persista, à Pithiviers, jusqu’en 1984.
C’est ce que racontent Hugues Plisson, historien amateur et généalogiste, et Christian Chenault, ethnologue, dans le livre La tumultueuse histoire du pâté d’alouettes de Pithiviers.
Ils retracent ainsi l’histoire de ce mets traditionnel qui a été découvert dans le Gâtinais Orléanais et dont la légende du pâté d’alouettes fut popularisée, en 1827, par Charles-François Vergnaud-Romagnési dans l’Album du département du Loiret où il recense l'histoire et les us et coutumes de chaque ville du département.
Pour la petite histoire, cette tradition culinaire remonte au temps de Charles IX qui, lors d’un voyage, n’aurait eu d’autre choix que de manger des restes de pâté d’alouettes. Ce dernier, étant conquis par le pâté (et quelques gouttes d'hydromel) aurait légitimé le pâté et donné son approbation royale.
Le pâté d'alouettes fut donc une des traditions culinaires de la ville jusqu'en 1984, quand Édith Cresson, alors ministre du Commerce extérieur, décida d'y mettre fin en raison de la disparition de l’espèce.
128 pages, 24€.
« Nouveau guide des guérisseurs de Suisse Romande », de Magaly Jenny (Editions Favre)
Avec son premier livre (Guérisseurs, rebouteux et faiseurs de secret en Suisse romande, 2008), le mystère et le secret qui enveloppaient les pratiques des guérisseurs traditionnels en Suisse romande ont été levés. Ce premier ouvrage a contribué à mettre en lumière un sujet encore tabou en proposant des réponses à de nombreuses questions. Il a permis aussi de présenter ces hommes et ces femmes qui, avec des techniques diverses et des dons souvent innés ou hérités, donnent leur savoir, leur temps et leur énergie pour aider, soulager, soigner avec honnêteté et humilité, sans pour autant promettre la guérison ou le miracle parfois attendus.
Quatre ans après cette parution, le contexte avait évolué et engendré de nouveaux questionnements. Son deuxième livre, sorti en 2012, examinait ainsi l’évolution dans les rapports avec les médecins, les changements intervenus dans la perception que pouvaient en avoir les différents acteurs sociaux concernés. Il proposait également de nouveaux portraits de guérisseurs, d’autres témoignages de praticiens et de consultants.
Son troisième livre regroupe les parties théoriques (analyses, portraits de guérisseurs, témoignages) des volumes 1 et 2, de façon synthétisée. Il a aussi été l’occasion de faire un nouvel état des lieux sur l’évolution des pratiques des guérisseurs en Suisse romande, leur acceptation, etc. Cette réédition sera entièrement remise à jour au niveau des portraits et des témoignages des différentes guérisseurs.
Edition papier : 29€
 
 
COMMEMORATIONS
200è anniversaire de l'exposition par Eugène Delacroix des Scènes des massacres de Scio (25 août 1824)
Le peintre Eugène Delacroix nous offre ici un tableau représentant les massacres perpétrés à Chios en avril 1822, par les Ottomans, lors de la guerre d’indépendance grecque. Exposée au Salon de 1824, cette toile est alors achetée par la Direction des Musées pour la somme (considérable) de 6000 Francs de l’époque.
Centième anniversaire de la mort du Facteur Cheval (19 août 1924)
Joseph Ferdinand Cheval est aussi connu sous le nom de Facteur Cheval. L’homme qui fréquentera peu de temps l’école communale maitrise mal la langue française. Acculé à la misère, il se présente au concours de facteur et débute sa carrière le 12 juillet 1867. Deux ans plus tard, et à sa demande, il est nommé facteur à Hauterives, à douze kilomètres de son village natal. Il sera chargé d’effectuer la « tournée de Tersanne », une longue tournée pédestre quotidienne qu’il effectuera jusqu’à sa retraite, en 1896. Ces longues randonnées lui laissent le temps de rêver à « un palais féérique »,lequel ne deviendra réalité que dix années plus tard.
Ce jour d’avril 1879, une pierre (dénommée par lui pierre d’achoppement) le fait chuter lors de sa tournée. Et de s’émerveiller devant la forme de ce caillou sculpté et de bien d’autres encore qu’il ramasse sur le chemin. « Puisque la Nature veut faire la sculpture, je ferai la maçonnerie et l’architecture » dira t-il. L’homme passe pour un fou aux yeux de ses voisins,ramassant des pierres par brouettes entières, qu’il dépose en tas dans son jardin. Le Palais rêvé par notre facteur mettra du temps avant de devenir le Palais idéal dont la construction ne s’achèvera qu’en 1912. Ce monument sera classé au titre des monuments historiques le 2 septembre 1969 avec l’appui d’André Malraux. Un œuvre qui requerra 33 années de travail.
 
REPORTAGE DE LA SEMAINE
Exposition "Le crin dans tous ses états" (Musée de la Toile de Jouy, Jouy-en-Josas, Yvelines, France... L'exposition qui est présentée actuellement au Musée de la Toile de Jouy tombe à point nommé, au moment où Paris accueille les Jeux olympiques et paralympiques.. « Le Crin dans tous ses éclats » nous offre une merveilleuse occasion de découvrir la riche histoire de cette fibre remarquable qu'est le crin de cheval et les différents usages que l'on peut en faire, depuis les objets utilitaires traditionnels jusqu'à l'artisanat contemporain.
Conformément à la réglementation sur la protection des données à caractère personnel, vous bénéficiez d'un droit à l'information,
d'accès, de rectification et de suppression des données, d'un droit d'opposition notamment pour tout traitement lié à la diffusion
d'informations, d'un droit à la limitation du traitement, d'un droit à la portabilité de vos données ainsi que du droit de définir
des directives relatives au sort de vos données après votre décès. Pour exercer ces droits, écrivez -nous à : contact@leglobeflyer.com.
Pour en savoir plus, consulter la rubrique données personnelles. Si vous ne souhaitez plus recevoir nos newsletters, cliquez ici.