Une rude journée m’attend ce dimanche avec un périple de 550 kilomètres et une longue route constituée de plus de 400 kilomètres de piste (d’ailleurs parfois en mauvais état).
Je prends la route alors que le soleil lui, est encore couché. Il est 6h45 lorsque je quitte El Chalten, laissant derrière moi les montagnes colorées de tons pastels par le soleil qui finit par pointer le bout de son nez (...)
Après une bonne nuit de sommeil , c’est une belle journée qui s’annonce : Ciel bleu et soleil. Pas de vent à El Calafate , ou si peu.
Je dois aujourd’hui me rendre à El Chalten soit quelques 250 kilomètres à parcourir.
A la sortie de El Calafate, encore un contrôle de police. Ils contrôlent les véhicules de location en vérifiant toujours les mêmes documents. Cela change de l’Europe, dis-je aux policiers, où des milliers de personnes pénètrent sur nos territoires sans aucun contrôle (...)
Nous sommes vendredi et il me faut changer des traveller chèques à la banque. Car, en Argentine, il y a beaucoup d’endroits où l’on n’accepte pas la carte de crédit (est-ce de la méfiance par rapport au système financier argentin qui plongea ce pays dans une profonde crise il y a quelques années avec la parité 1 US$ = 1 peso ?) . Quelle aventure ce matin pour obtenir du liquide : La première banque (dont j’ai d’ailleurs déjà oublié le nom) m’indique qu’ils sont en panne d’informatique, la deuxième banque , Banco de Santa Cruz , elle, n’échange pas les traveller chèques (Sympa !) et la troisième banque est la bonne (...)