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Yamagata et ses lieux de culte (Préfecture de Yamagata, Tohoku, Japon)

Le Tohoku, région sur laquelle il m'arrive d'ironiser car un peu lointaine et démunie, est cependant très riche culturellement et Yamagata en fait partie. Cette ville (qu'il ne faut pas confondre avec Yamagata située dans la préfecture de Gifu) se trouve dans la Préfecture du même nom, plus exactement dans la région montagneuse du sud-ouest. La rivière Mogami traverse la ville tandis que le Mont Zao domine l'ensemble (on peut observer ce dernier par temps clair, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui). D'une longueur de 224 kilomètres, le cours d'eau Mogami est considéré comme l'une des trois rivières les plus accidentées du Japon. Et coule du sud de la Préfecture vers le nord pour se jeter ensuite à Sakata, dans la Mer du Japon. Autrefois, la rivière Mogami était utilisée pour le transport de marchandises (fleurs, riz) vers le Kansaï. Yamagata faisait jadis partie de la Province de Dewa (...)


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Le Musée d'Histoire et de la Nature d'Otaru (Hokkaido, Japon)

La ville d'Otaru possède un musée d'histoire et de la nature, fort intéressant. Je m'y rends aujourd'hui afin d'en savoir davantage sur cette cité. On apprend ainsi que l'île Hokkaido était autrefois peuplée par les Aïnous. Ces derniers succédèrent aux peuples Jomon et Satsumon. La culture Aïnou serait l'aboutissement de la culture Satsumon (similitudes dans la nourriture à base de saumon, et dans les outils utilisés, et retrouvés à Kaminokuni , ville du sud de Hokkaido). On situe la culture Aïnou à partir des 12è-13è siècles. On sait que ce peuple vivait de la pêche , de la chasse et de la cueillette, et qu'il commerçait aussi avec d'autres peuples. Les Aïnous étaient les producteurs directs et indirects des biens vendus à Honshu (dont la saumon séché). Les Japonais commencèrent leur incursion sur Hokkaido au XVIII è siècle, pour la développer le siècle suivant, notamment à Otaru (...)


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Promenade à Otaru (Hokkaido, Japon)

A mon arrivée en gare d'Otaru, je me mets immédiatement en quête d'un casier afin d'y déposer mon gros sac à dos. Une consigne me permet de partir l'esprit tranquille et je me rends ensuite à l'office de tourisme situé dans la gare. C'est une tradition au Japon : on trouve souvent un bureau de ce type dans les gares nippones. Deux dames m'accueillent et m'informent des curiosités de la ville. Otaru est aussi un port, face à la baie d'Ishikari. Un plan m'est remis et je suis invité à descendre en direction du canal d'Otaru (ci-dessous) qui fut créé entre 1914 et 1923 sur une longueur d'un kilomètre. Cette voie navigable servit longtemps au transport des marchandises depuis les bateaux qui mouillaient dans le port (...)


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